MONTZUCK disait ça de manière ironique, il est le premier à trouver que nos joueurs sont des chochottes d'habitude.

C'est Schilles, il est méchant : il les faisait même courir, c'est honteux !

Sauf Lacour, il courait tout seul dans tous les sens comme d'habitude, jusqu'à ce qu'il se blesse
A l'entraînement, Gress lui aurait dit : "Wenn s'dich jùckt, kràtz di' àm Füss !"

De toute façon si nos chochottes veulent baver en preparation physique il faut qu'ils fassent un tour a SCHALKE 04 avec notre ami MAGATH la Gress c'est le club med.J'ai lu dans le kiker que des joueurs ont dit avoir vomi tellement il leur a donné.
Tu imagines cela chez nous nos chochottes iraient se plaindre aux prud'hommes lol .

On peut aimer ou pas Lacour, mais en tout cas il fait vraiment parti des cadres de notre Racing.
Il n'est peut-être pas très bon, mais comme l'a dit Montzuck, il se donne toujours à fond et il ne pourra faire que du bien avec son retour

Lacour out contre Sedan !

Dès qu'il entre le jeu s'accélère. Je pense que Rodrigo va faire un tour sur le banc en attendant de digérer les résidus de nems.

Je trouve aussi que Lacour est un cran au-dessus.

K4is3rt0m a écrit:

Dès qu'il entre le jeu s'accélère. Je pense que Rodrigo va faire un tour sur le banc en attendant de digérer les résidus de nems.

Un peu de concurrence ne lui fera que du bien, dommage qu'on ne puisse pas en faire autant avec certains défenseurs!

Pourquoi ne pas mettre notre petit Lacour en arrière droit ? ( Et Damour en test à la place de Rodrigo )
Au moins on corrigerait un mauvais point de la défense..

Ce lundi après-midi se déroulait la journée nationale de
sensibilisation à la lutte contre la leucodystrophie, menée par
l'association ELA. Cette association, parrainée notamment par Zinédine
Zidane, a l'habitude de sensibiliser les jeunes élèves des classes
hexagonales à travers une dictée composée par un écrivain actuel et lue
aux élèves par des célébrités.
Ce lundi, Guillaume Lacour contacté par l'école primaire de
Goersdorf (Bas-Rhin), dans le nord de l'Alsace, s'est prêté au jeu et
est donc allé à la rencontre d'une quarantaine de jeunes élèves issus
des classes de CE2, CM1 et CM2 du village.
Après une vidéo expliquant les actions d'ELA et les causes de cette
maladie, le capitaine du Racing a lu le texte écrit par Guillaume
Musso. Jeunes et moins jeunes (parents, grands-parents) ont été
attentifs et ont essayé de ne faire qu'un minimum de fautes.
Cette dictée s'est ponctuée par une longue séance d'autographes dans la salle de classe.


Source:Site officiel du RCS

Bonne initiative :!bien!:
Voilà une adresse pour mieux comprendre http://www.ela-asso.com/default.htm

Très bonne initiative !

J'en vois un derrière qui copie.....

Un bon gars Lacour. :!bien!:
Si il pouvait être aussi fort sur le terrain qu'il est motivé et volontaire ...

Ah ça c'est l'éternel problème ici

Bravo captain Lacour :!bien!:

**** : Soucieux de se situer dans les intervalles, offrant des solutions, le capitaine a profité de la mollesse de Sabo pour continuer à marquer et s'est affirmé comme une valeur solide du onze strasbourgeois.

Il retrouve enfin son véritable niveau qu'il avait avant, à la différence près que c'est un buteur maintenant.

C'est ça quand on joue en bloc équipe ! Sur les derniers matchs : deux buts de Lacour, deux buts de Bah, un but de Sikimic, un but de Maire. Ça faisait bien longtemps que l'ensemble de l'équipe ne s'était pas mise à contribuer à l'apport offensif à ce point, sans pour autant déstabiliser le secteur défensif.

Petite interview de Lacour avant le derby.


La semaine d'entraînement n'a débuté que mardi et cela a fait du bien au groupe, affirme le capitaine, Guillaume Lacour. Après la défaite à Tours (2-0), les joueurs avaient besoin de couper. Mais la préparation du derby face à Metz ne va pas en pâtir, au contraire.
Lacour et les siens auront à coeur, dit le milieu de terrain, de se rapprocher du maintien.

- Comment se sont passés les deux jours de repos ?
- En fait, c'est toujours bon de couper après une défaite. Ca fait du bien de penser à autre chose et de pouvoir bien attaquer la préparation du derby.

- Comment le groupe était en début de semaine, après la défaite de Tours ?
- De toute façon, nous n'avons pas le choix. Il ne faut pas gamberger. On sait qu'il reste peu de matches et qu'il nous faut encore quelques points pour décrocher ce maintien. Il ne faut pas se poser de question et se lâcher pour prendre des points rapidement.

« Avoir faim sur le terrain »

- Le derby se prépare-t-il de manière différente ?
- C'est un match important, mais Metz ou une autre équipe, ça importe peu finalement. On sait l'importance de ce derby ici. Mais, dans notre préparation, cela ne changera rien. Par contre, lundi soir, il nous faudra être conquérant et avoir faim sur le terrain.

- L'idée est de se mettre à l'abri rapidement ?
- Oui, c'est exactement ça. Comme on a du mal à l'extérieur, le maintien se jouera pour nous à la Meinau. Et comme nous n'avons pas le droit à l'erreur, c'est un peu plus compliqué. Mais gagner lundi soir nous rapprocherait de cet objectif. Il ne faut pas se mettre de pression inutile mais on sait que gagner serait faire un grand pas.

Pas le plus à l'aise ce soir, mais deux passes décisives qui comptent énormément.

Arnaud Maire et Guillaume Lacour figurent dans l'équipe-type de la 33e journée de France Football.

Grande interview de notre captain Lacour...Nostalgie et réflexion sur son avenir

Capitaine courage d'une équipe à la dérive, Guillaume Lacour, au club depuis 2001, revient sur une saison « très éprouvante », ponctuée par la relégation de son club de coeur en National.
Dans le monde du foot, il y a des mercenaires. Et il y a ceux qui s'attachent à un club et y trouvent leur compte. Guillaume Lacour est de cette dernière espèce. A près de 30 ans, le milieu récupérateur arrivé au Racing en 2001 - après avoir été formé à l'Olympique Lyonnais - compte 244 matchs officiels en championnat avec les Ciel et Blanc, Ligue 1 et Ligue 2 confondues.
Alors que la relégation du Racing en National est actée, le capitaine a accepté de revenir sur cette saison noire.

- Une semaine après la relégation du Racing, quel est votre sentiment ?
- Je suis toujours très déçu et je repense à toute cette saison. A Châteauroux, on a payé les pots cassés, mais les difficultés ont commencé bien avant.

- On vous sent découragé. Cette saison a été difficile à ce point ?
- Oui, elle a été très éprouvante, tant physiquement que mentalement. J'étais capitaine, donc très impliqué... J'ai tout donné, tout essayé. Mon travail était aussi de "booster" les autres, tout en me motivant moi-même. C'était fatiguant.

« On a dû courir
après les points »

- Notamment en fin de saison...
- Sur le final, la situation était encore plus difficile. Il fallait être vigilant tous les jours, toute la semaine. Franchement, je le répète, c'était une saison très fatiguante.

- Vous parlez de la fin de saison, mais les débuts ont aussi été compliqués, non ?
- On a fait un très mauvais départ, c'est évident, et on a dû courir après les points. Après nos dix premières journées catastrophiques, on a fait un parcours correct, mais se maintenir aurait été un peu miraculeux après ce mauvais départ.

- Dans le sprint final, ne pensez-vous pas que le Racing a aussi craqué mentalement ?
- A Châteauroux, on a manqué de lucidité. Mais je pense qu'il n'y a pas eu de relâchement mental. Au niveau collectif, on a su rester soudés, solidaires et personne n'a complètement baissé les bras.
Personnellement, j'ai toujours pensé qu'on se sauverait, surtout après le match face au Havre (1-1, à domicile, ndlr). On a égalisé en toute fin de rencontre, toute l'équipe a poussé. Ça m'avait donné beaucoup d'espoir...

- Pensez-vous que l'échec de l'an passé, quand le Racing rate la montée en L 1 pour un point, a pesé dans les esprits ?
- Je ne crois pas. C'est plus la préparation ratée d'avant saison, et les soucis à la tête du club, qui ont pesé. On avait raté la montée d'un point, c'était un échec, c'est certain, mais fallait-il tout remettre en question ? Tous ces changements de dirigeants ont perturbé les joueurs. Peut-être qu'inconsciemment, certains ont eu une réaction de rejet par rapport à ces histoires, et à la fin, on a quelques points qui manquent pour se maintenir...

- Selon vous, comment le Racing s'est retrouvé dans une telle situation ?
- Je pense qu'il y a eu une accumulation d'erreurs cette saison, que ce soit au niveau des joueurs, des dirigeants... Mais cela fait trois, quatre ans, que l'on n'a pas tout fait pour faire progresser ce club. Or même pour se maintenir en L 2, il faut toujours chercher plus haut.

- Comment voyez-vous l'avenir du club ?
- Je pense qu'il faut profiter de cette situation pour repartir à zéro, sur des bases saines, pour mettre en place une nouvelle politique, avec une orientation et des ambitions claires. Si c'est pour remonter et galérer à nouveau ensuite, ça ne sert à rien.

- Comment imaginez-vous ce renouveau ?
- Déjà, il faut que le projet soit motivant et intéressant. Ensuite, il faut voir quels joueurs correspondent à ce projet. Et il faut vraiment une ligne directrice, si on repart dans le flou, ce sera dur, quelle que soit l'équipe.

« Je me pose beaucoup
de questions »

- Personnellement, pensez-vous continuer en National ?
- Malgré cette fin de saison, j'ai toujours beaucoup d'attachement pour ce club, pour les employés... Et les liens affectifs, c'est important pour un sportif. Si on arrive à me persuader que le projet est intéressant, je repartirais.
Mais d'un autre côté, je vais avoir trente ans et il est peut-être temps pour moi de découuvrir autre chose. L'an dernier au même moment, je m'étais déjà un peu interrogé sur mon avenir. Cette année, je me pose beaucoup plus de questions.

- Qu'est ce qui pourrait vous persuader de rester ?
- Tant qu'on ne connaît pas le budget, je me pose des questions. Pour moi, Strasbourg reste un club qui a des grandes capacités, mais encore une fois, être dans le flou, c'est difficile.
Est-ce que ça vaut le coup de continuer ? Est-ce qu'on donnera des moyens à l'équipe ? On verra...
Je suis dans la réflexion, je n'ai rien décidé de définitif. La seule chose qui est sûre, c'est que je ne veux pas me tromper.

Propos recueillis par
Barbara Schuster

l'un des rares a ne jamais avoir jeté l'éponge même si la réussite n'a pas toujours été au bout. Maintenant il parle de projet et pour l'instant comme soeur Anne on ne voit rien venir.

Il en aura connu des saisons noires...

Je pense que là il peut et doit partir, c'est un gros salaire du club, il a fait quelques bons matches mais quand l'équipe joue mal, il n'arrive décidément pas à la remettre à flots. Ce n'est peut-être pas son rôle (bien qu'il soit capitaine) mais il n'en a ni les moyens physiques ni techniques. Et puis bon il a râlé comme les autres contre Schilles, prenant sans états d'âme le parti des joueurs. On voit où ça a mené.

J'espère qu'il rempilera. Voilà un mec qui a toujours mouillé son maillot et on en aura bien besoin de gars comme ça.

Non. Depuis qu'il est là, le club est descendu en L2, remonté puis descendu; resté 2 ans en L2 puis maintenant en National. Bilan sportif nul.

Enormément de bonne volonté mais il semble apporter bien malgré lui davantage la loose qu'autre chose.
Je pense dans ces conditions que pour lui et le club, il vaudrait mieux que les routes entre lui et le club se séparent.

l'est peut-être limité mais si on avait d'autres gars avec la même volonté que lui, on serait surement pas descendu, n'est-ce pas JAF?

Faudra pas se plaindre alors si le club reste en National. Il est resté car il n'a pas eu d'offres concrètes ailleurs, c'est tout. D'accord pour payer un gros salaire, mais pour UN CADRE, ce qu'il n'est absolument pas.

Ce joueur n'est pas mon copain, mais je trouve injustes les critiques sur lui.
Je lui trouve beaucoup de circonstances atténuantes, surtout cette saison.
Quand a t-il joué à sa place de milieu défensif ?
Très peu souvent.
Cette saison, Janin en a fait son bouche-trou habituel !
Personne en milieu droit ? On met Lacour.
Personne en arrière droit ? On met Lacour.
Et ainsi de suite.
Comme Furlan avec Gameiro !
Un joueur peut être excellent à sa place,
et mal à l'aise à une place où ses qualités ne peuvent s'exprimer !