Voilà j'ai fait ma pré-rentré ce matin de 10h à 11h30. Je repars l'après-midi et le soir pour la journée d'intégration.
Les premières impressions à l'ISCOM sont assez bonnes, de jolies filles et pas cours le lundi, le vendredi aprem et le samedi

Théo a écrit:

Les premières impressions à l'ISCOM sont assez bonnes, de jolies filles et pas cours le lundi, le vendredi aprem et le samedi

Y a un age limite pour s'inscrire ?

:rigolo:
Tu peux toujours essayer. Au pire comme prof, ça doit pas être beaucoup plus sévère

Théo a écrit:

pas cours le lundi, le vendredi aprem et le samedi

Tu veux pas nous dire quand tu travailles plutôt, ça ira plus vite :rigolo:

:boulay:

Huum le mardi, mercredi, jeudi et vendredi matin

Sinon on a fait la journée d'intégration cet après-midi et c'était sympa D'abord la création d'un logo pour l'école pendant une heure, par équipe. Puis pendant 2 ou 3h, on a fait une sorte de chasse aux trésors à travers Strasbourg. On part avec une patate, et à chaque "checkpoint", on doit réussir à l'échanger contre autre chose, puis échanger l'objet reçu contre un autre etc... Sans oublier des défis à chaque fois, comme danser sur une place la danse de Las Ketchup. La honte
On est rentré avec des vignettes mangas et une pilule du lendemain

Ben oui pour le premier septembre,(Jeudi et Vendredi) puis à nouveau le Week-End, il n'aurait pas pu démarrer le 5/09 =Lundi, enfin; pour nous la tranquillité, quand tu as les petits enfants pendant un certain temps, tu respires.

Quand j'ai commencé ma carrière dans l'enseignement en 92, on ne commençais que vers le 10 septembre et on finissait le 30 juin. Maintenant c'est le 31 août (pré-rentrée) et on ne finit jamais avant le 4 ou 5 juillet.
Certains ont peur au ministère que les grandes vacances sont trop longues. Pour rappel, à une certaine époque, c'était du 14 juillet au 1er octobre.

Rentrée des enseignants ce matin
 Ces profs que tout le monde juge
Qu’est-ce qu’un bon prof ? Est-ce l’enseignant qui sait tout ou bien celui qui sait faire passer ce qu’il sait ? Une maîtresse qui obtient le silence au moindre haussement de sourcil ou bien celle qui tolère le brouhaha ?
Ce mercredi, un jour avant leurs élèves, 861 000 enseignants font leur rentrée. À reculons ? Pas forcément. Selon le dernier sondage de l’UNSA, réalisé en juin 2016 auprès de 12 000 enseignants : les trois quarts disent être heureux d’exercer leur métier. Mais la plupart sont quand même dépités : huit sur dix ne sont pas satisfaits de leur carrière et de leur salaire. Et seulement un sur trois conseillerait cette profession à un proche.
Une certaine désaffection apporte de l’eau à leur moulin. « Près de 14 % des postes offerts au concours 2016 n’ont pas été pourvus » calcule le SNES-FSU, syndicat majoritaire chez les enseignants du secondaire. Lettres classiques, allemand, musique, mathématiques… Certaines disciplines sont davantage touchées. Même le primaire n’échapperait plus à la « crise du recrutement » dénoncée par le Snuipp au vu des 665 postes qui n’ont pas été pourvus en juin.

Difficile rapport aux parents et à la hiérarchie

Dans les conversations revient le sentiment de trop-plein, avec la hiérarchie qui en demande trop, les élèves passifs ou bruyants, les parents tatillons, voire agressifs. Désormais, des inspecteurs de l’Éducation nationale lèvent le tabou. Ainsi, en accueillant les professeurs stagiaires, le responsable de la formation les prévient : « Il y a 30 ans, si un élève faisait l’idiot, vous lui donniez 30 lignes et le soir, il reprenait 30 lignes à faire par son père. Aujourd’hui, si vous mettez 30 lignes, le père porte plainte ».
Leur ressenti reflète-t-il un exercice vraiment plus périlleux du métier ? Professeur à l’université Lyon 2 et auteur de recherches sur le travail enseignant, Françoise Lantheaume le confirme : « Incontestablement, leurs missions se sont diversifiées et leur travail s’est intensifié. Ceci est vrai dans toute l’Europe. » Saisir les notes, individualiser son enseignement, jouer un rôle dans l’orientation, plusieurs tâches nouvelles s’ajoutent. Olivier Rey, à l’Institut Français de l’Éducation, pointe une autre difficulté : « Les professeurs d’aujourd’hui sont davantage soumis à l’injonction de faire réussir tous leurs élèves. »
« Les attentes sociales sont contradictoires et cela se traduit aussi au niveau de l’État », analyse Françoise Lantheaume. « On leur fixe des objectifs très élevés sans forcément leur dire comment faire, sans leur laisser le temps de délibérer pour savoir quelle est la meilleure façon de faire. Les conditions objectives de leur travail ne facilitent pas ce qu’on attend d’eux ».
dna

Perso, je suis plutôt satisfait de mon salaire (pardon traitement) car j'estime que la sécurité de l'emploi a un coût (sans compter la durée des vacances ) sans compter qu'en moyenne on fait moins de 35 heures par semaine même si c'est très disparate selon les niveaux (en lycée on fait plus) et les matières (en français, c'est davantage à cause des corrections en particulier).

Allmen67 MrEnigme a écrit:

Perso, je suis plutôt satisfait de mon salaire (pardon traitement) car j'estime que la sécurité de l'emploi a un coût (sans compter la durée des vacances ) sans compter qu'en moyenne on fait moins de 35 heures par semaine même si c'est très disparate selon les niveaux (en lycée on fait plus) et les matières (en français, c'est davantage à cause des corrections en particulier).

:bien:Je ne suis pas enseignant, mais tu as raison, parfois il faut savoir se satisfaire de ceux que l'on a.