Merci pour ces photos qui montrent l'avancée des travaux du nouveau stade.
N'hésites pas à en poster d'autres.

OL: Bats, Baticle et Genesio prolongent
Tous les adjoints de Hubert Fournier ont été prolongés mercredi à l'OL. Bruno Genesio et Gérald Baticle rempilent pour trois ans jusqu'en 2019, Joël Bats d'un an jusqu'en 2017, et les préparateurs physiques Dimitri Farbos et Antonin Da Fonseca de deux et un an jusqu'en 2017. Le coach lyonnais, grâce à sa qualification pour la Ligue des champions, avait déjà été automatiquement prolongé d'un an, étendant ainsi son contrat jusqu'en 2017.
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Arsenal humilie Lyon, Grenier blessé

Lyon a connu un véritable calvaire face à Arsenal, dimanche dans le cadre de l'Emirates Cup. A Londres, les Lyonnais ont été dominés par les Gunners sur le score fleuve de 6-0.
Olivier Giroud a inscrit le premier but de la rencontre de l'épaule (1-0, 29e). L’ancien Montpelliérain a été imité par Oxlade-Chamberlain, d’une frappe croisée (2-0, 34e), Iwobi, d'une reprise en force, (3-0, 35e), Ramsey, tout en finesse, (4-0, 38e). En deuxième période, Özil s'est distingué d'une belle demi-volée (5-0, 62e). Cazorla a parachevé le succès des locaux sur coup franc (6-0, 85e).
Outre ce lourd revers, Lyon a perdu Clément Grenier. Le numéro 7 s'est écroulé sur une passe anodine à la 24e minute. Le milieu de 24 ans, touché en haut de la cuisse gauche, a été remplacé par Nabil Fekir. Un nouveau coup dur pour l'international français qui a connu une saison blanche l'an passé.
Football.fr

Clément Grenier sera opéré vendredi après avoir été victime d’une rupture totale du tendon droit fémoral de la jambe gauche, samedi dernier, lors du match amical face à Arsenal (6-0). L’Olympique Lyonnais a confirmé l’information ce mercredi après-midi dans un communiqué.

Clément Grenier devrait ensuite être absent au moins quatre mois.

Et si Mathieu VALBUENA regagnait la Ligue 1 cet été ?
L'hypothèse n'était pas totalement à exclure depuis les sanctions prises – interdiction de Coupes européennes – à l'encontre du Dynamo Moscou le mois dernier, en raison du non-respect des règles du fair-play financier.

Mathieu Valbuena signe officiellement à Lyon
Mathieu Valbuena s'est engagé officiellement, ce mardi, avec Lyon. Le vice-champion de France a déboursé entre 5 et 6 millions d'euros pour s'attacher les services du milieu offensif, qui arrive en provenance du Dynamo Moscou.
Mathieu Valbuena (30 ans) s'est, comme annoncé, engagé officiellement avec Lyon ce mardi. Le contrat du milieu offensif porterait sur trois ans et son transfert en provenance du Dynamo Moscou s'élèverait entre 5 et 6 M€. L'international français (48 sélections, 7 buts), qui sera présenté à 17h00, a passé avec succès sa visite médicale dans la matinée. Il va connaître son deuxième club en Ligue 1, après Marseille (2006-2014). Avec l'OL, Valbuena va prendre part à la Ligue des champions tandis que le club russe, lui, a été privé de Coupe d'Europe cette saison pour non respect du fair-play financier.
Non conservé par le centre de formation de Bordeaux, l'ancien joueur de Libourne-Saint-Seurin a véritablement pris son envol sur la Canebière sous les ordres d'Eric Gerets. Avec l'OM, il s'est jusqu'à présent construit l'essentiel de son palmarès, en enlevant le Championnat de France en 2010, la Coupe de la Ligue à trois reprises (2010, 2011 et 2012) ainsi que le Trophée des champions en 2010. Avec l'équipe de France, il a été retenu dans le groupe pour les Coupes du monde 2010 et 2014, ainsi que pour l'Euro 2012.

Equipe

Une bonne chose, sa place est en France. Peut-être aussi a-t-il craint pour sa participation à l'Euro dans 10 mois même si je doute que Deschamps l'aurait oublié.

La présence d’Alexandre Lacazette sur le front de l’attaque samedi à Guingamp (2eme journée de L2) est plus qu’incertaine. En effet, alors qu’il n’avait pas pu terminer la rencontre à Lorient dimanche (0-0) en raison d’un coup reçu dans le bas du dos, l’attaquant de l’OL a travaillé seul jeudi lors de l'entraînement. L'occasion pour lui de placer quelques légères accélérations avant de procéder à une séance d'étirements.

Déjà forfait face aux Merlus, Christophe Jallet ne s’est lui pas entraîné et devrait encore laisser sa place à Rafael en Bretagne. Autre absent : Clinton Njie qui doit « passer des examens » selon le club mais qui est en partance pour Tottenham.

Par le biais de Jean-Michel Aulas, l'Olympique Lyonnais a annoncé son intérêt pour Nicolas Nkoulou (25 ans) depuis le début du mercato. Malgré la fin du contrat de l'international camerounais dans un an, l'Olympique de Marseille a toujours repoussé les propositions de l'OL et le défenseur central avait décidé de rester en raison de la présence de Marcelo Bielsa. Après le départ surprise de l'Argentin, Lyon a bien évidemment tenté de profiter de la situation pour recruter Nkoulou, mais sans succès puisque c'est finalement Mapou Yanga-Mbiwa (26 ans) qui va rejoindre le club.
D'après les informations du quotidien L'Equipe, les dirigeants phocéens sont restés inflexibles sur ce dossier et surtout Nkoulou n'a pas souhaité aller au clash avec sa direction malgré son intérêt pour la proposition de l'OL. En fin de contrat, le Camerounais sera libre de s'engager avec le club de son choix dans quelques mois…

Maillot "Stade des Lumières"

Suite à la longue période d'indisponibilité de Nabil Fekir, l'OL avait le droit d'avoir recours à un joker médical qui joue en France. Le club a décidé de ne pas engager de joker médical, aucun club français ne voulant lâcher un joueur important pour le laisser filer dans le Rhône.

Après des années de construction, le Stade des Lumières va peut-être ouvrir ses portes le 9 janvier lors de la venue de Troyes à Lyon.

J'adore ta signature Lyonniste.

Olympique Lyonnais - AS Saint-Etienne : 3-0

(Dernier Derby à Gerland.)

Balaud ça.
Qu'il le donne plutôt au nouveau stade, ce huis clos. Mais ce serait lui faire porter la poisse.

http://sports.orange.fr/football/ligue-1/olympique-lyonnais/article/commission-de-discipline-lyon-s-expliquera-ce-jeudi-soir-CNT000000fmpTa.html

Le huit-clos serait probablement pour la réception de Montpellier.

Qui a-t-il après le ONLY sur les sièges de la tribune?

Joueurs, Fournier, Aulas... Tous coupables !
L'Olympique lyonnais est officiellement éliminé de toute compétition européenne depuis mardi et sa défaite contre La Gantoise (1-2). L'heure de tirer un premier bilan de cet échec cuisant pour l'OL.

« Quand on perd, il faut courber l'échine et accepter les injustices, tout en se disant qu'on n'a pas bien fait certaines choses ». En une phrase, Jean-Michel Aulas a bien résumé l'échec de l'Olympique lyonnais en Ligue des champions cette saison. Les Gones sont éliminés de toute compétition européenne avant même la dernière journée de la phase de groupes, après leur défaite à domicile contre La Gantoise mardi (1-2). La compétition n'est pas encore bouclée qu'il est déjà temps de tirer le bilan de ce qui s'apparente à un fiasco. Surtout que l'objectif annoncé était de disputer un huitième de finale lucratif dans le futur Grand Stade de l'OL. Alors accusés, levez-vous !

Des cadres loin du niveau requis
Avant toute chose, ce sont les joueurs qui écrivent leur propre histoire sur le terrain et ils se retrouvent en première ligne au moment d'évaluer les responsabilités de chacun dans cette désillusion. Les cadres de l'effectif n'ont tout simplement pas répondu présent dans les rendez-vous européens, Alexandre Lacazette en tête. L'attaquant de l'OL, meilleur buteur de Ligue 1 la saison passée (27 réalisations), n'a jamais fait oublier son échec sur penalty qui a coûté deux points à son équipe en ouverture de la C1 face à La Gantoise. Son but sur le terrain du Zenit Saint-Pétersbourg s'est révélé vain (défaite 3-1) et il a traversé comme une ombre les autres rencontres. Un échec cuisant pour un élément revalorisé en août et qui se devait d'être le patron de l'attaque des Gones.

Mais Lacazette n'est pas le seul à avoir failli dans sa mission. Christophe Jallet, Rafael, Maxime Gonalons, Mathieu Valbuena, Mapou Yanga-Mbiwa, Jérémy Morel : tous ces joueurs ont l'expérience de la Ligue des Champions et se devaient de guider ceux de leurs coéquipiers qui ne connaissaient pas ce monde. Sauf qu'ils n'ont été que trop rarement à la hauteur de l'événement et Lyon ne pouvait aspirer à mieux sans leur concours. Ce sont finalement des seconds couteaux qui ont tiré leur épingle du jeu. Jordan Ferri s'est imposé comme le Gone le plus régulier lors de cette campagne européenne et Anthony Lopes a souvent limité la casse et/ou retardé l'échéance. A eux deux, ils ne pouvaient combler tous les manques de leurs partenaires. Loin s'en faut.
Un coach impuissant pour relancer l'OL

« C'est un échec d'ensemble, d'entraîneur aussi. » A l'heure d'analyser les manques de l'OL sur la scène continentale, Hubert Fournier n'a pas éludé les siens. Le technicien rhodanien découvrait la Ligue des Champions dans le rôle qui est le sien aujourd'hui et son expérience de joueur dans la compétition se limitait à deux petits matches. Comme ses hommes, l'ancien coach de Reims n'est pas apparu en mesure de répondre au défi proposé par le très haut niveau européen. Il a tenté des coups, essayé de secouer le cocotier par une communication parfois maladroite. Mais il n'a jamais trouvé le remède aux maux de son équipe.
Fournier s'est d'abord obstiné à aligner le 4-4-2 en losange qui avait fait le succès lyonnais la saison passée en Ligue 1, sans prendre en compte les mutations de son effectif ni les exigences de la C1. Il s'est ensuite fourvoyé en alignant Rafael dans une position d'ailier lors du déplacement des Gones chez le Zenit. Une expérience tout sauf concluante et qui symbolise le tâtonnement permanent du staff. Le natif de Riom avait fait le grand saut vers Lyon à l'été 2014 pour franchir un cap dans sa carrière d'entraîneur et se frotter à l'élite. A l'instar de son équipe, il a vu l'écart qui l'en sépare encore à ce jour.

Un président qui a tout raté
Jean-Michel Aulas n'est pas du genre à se défiler dans la défaite et la soirée de mardi n'a pas dérogé à la règle. « L'objectif était de se qualifier et d'imaginer un meilleur destin. C'est difficile pour Lyon et ce n'est pas très brillant pour le football français. (…) C'est une fin de Coupe d'Europe qu'on n'avait pas imaginée. » C'est le moins que l'on puisse dire, puisque le président de l'OL avait annoncé viser un huitième de finale de Ligue des Champions dans son nouveau stade et la manne financière de cinq millions d'euros qui devait aller avec. Une déclaration qui n'a pas participé à amener de la sérénité au sein du groupe et qui n'a fait que lui rajouter de la pression. Pour un effectif si peu habitué aux joutes de C1, le calcul n'était certainement pas le bon.
Autre élément à mettre au débit de « JMA », le recrutement tant pointé du doigt depuis le début de la saison. En première ligne sur ce dossier, comme il l'a toujours été, Aulas s'est globalement trompé au vu du rendement décevant des nouveaux venus. Déjà cités plus haut, Yanga-Mbiwa, Morel, Rafael et Valbuena n'ont tout simplement pas été dignes des attentes placées en eux. Pas plus que Sergi Darder ou Claudio Beauvue, qui n'arrivaient pas avec le même pedigree que les autres, mais qui devaient aussi tirer l'équipe vers le haut. Aulas a investi plus qu'il ne l'avait fait depuis 2010 pour renforcer son groupe (35 millions d'euros au total). Mais il n'a pas visé juste. Ce qui pourrait coûter cher à moyen terme et d'autant plus s'il devait ne pas y avoir de qualification pour la prochaine Ligue des Champions.

Une réussite qui les a fuis
Parait-il que la chance sourit aux audacieux et que la réussite se provoque. Les Lyonnais n'ont pas fait grand-chose pour qu'elle tourne dans leur sens, mais le sort s'est quand même sérieusement acharné contre eux. Les blessures les ont plombés avant même leur entrée en Ligue des champions. La perte de Nabil Fekir début septembre a contrecarré les plans de l'OL. L'absence prolongée de Clément Grenier et le passage à l'infirmerie d'Aldo Kalulu, au moment où le pur produit du centre de formation de l'OL se révélait au grand public, n'ont pas non plus aidé. Ce n'est pas une excuse, plus sûrement une circonstance atténuante.
Autant que le scénario du début de compétition. Si les Gones n'ont pas existé lors de la double confrontation contre le Zenit et semblaient déjà résignés avant même d'affronter La Gantoise, ils n'avaient pas démérité lors de leurs deux premières sorties. Quel aurait pu être leur destin si Lacazette avait transformé le penalty de la gagne à Gand ? Et si leur meilleur match, réalisé contre Valence, n'avait pas été sanctionné d'une défaite cruelle ? Avec des « si », on mettrait Paris en bouteille et on enverrait Lyon en huitième de finale de Ligue des Champions. La réalité est tout autre. Mais l'OL doit impérativement y revenir la saison prochaine. Pour faire en sorte que le rêve n'en soit plus un.

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Le Lyon d'Aulas était fait pour flamboyer en France (décennie 2000). Mais dès lors qu'un autre le fait à sa place (PSG désormais), le lion avait perdu ses griffes et devient très ordinaire.

Et le Lyon d'Aulas est de loin d'avoir les moyens financiers du QPSG.

Quel avenir pour Hubert Fournier ?


Suite à l'élimination de toutes compétitions européennes, Hubert Fournier, le coach de l'OL, est-il menacé ? Son président Jean-Michel Aulas donne la marche à suivre.
Alors que les coéquipiers de Maxime Gonalons ont rendez-vous vendredi soir avec Montpellier (15eme journée de Ligue 1), Hubert Fournier, l'entraîneur lyonnais, est-il menacé suite à l'élimination de toutes compétitions européennes qui a suivi la défaite de mardi soir contre La Gantoise (2-1, 5eme journée de la phase de poules de la Ligue des Champions) ? Pour Jean-Michel Aulas, l'ex-coach de Reims n'est pas sur la sellette, mais il y a tout de même une obligation de résultats dans les prochaines semaines. Voici la marche à suivre pour le successeur de Rémi Garde.
« Des interrogations ? Sur son avenir, non, explique le président des Gones dans les colonnes d'Aujourd'hui en France. Il est à Lyon pour deux ans (ndlr : jusqu'en juin 2017), il vient de finir deuxième du championnat. Il est urgent d'attendre et de savoir si on se qualifie pour la Ligue des Champions (les Rhodaniens occupent actuellement la deuxième place du classement, avec treize longueurs de retard sur le leader parisien.). Si ce n'est pas le cas, on sera en droit de réfléchir à cette question. On est bien classé, ce serait se tirer une balle dans le pied d'imaginer changer tout ou une partie du staff en cours de compétition. » En cas de troisième défaite de rang, toutes compétitions confondues, face au MHSC, les interrogations pourraient néanmoins se faire de plus en plus précises. Et c'était déjà le cas il y a quelques semaines…
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15e journée de Ligue 1 : La catastrophe lyonnaise


Tristement éliminé mardi soir de la Ligue des champions, Lyon (2e) a été auteur d'un match catastrophique ce vendredi soir à Gerland. Après Nice (3-0), c'est un Montpellier en grande forme qui a logiquement battu l'OL (4-2).

Le match : 2-4

Par où commencer pour évoquer le niveau catastrophique de Lyon ce vendredi soir contre Montpellier (2-4) ? Humilié à domicile, l’OL aurait pu s’incliner encore plus largement même si deux grosses erreurs arbitrales ont été commises en sa défaveur (le but de Tolisso était valable à la 45e et il y avait penalty sur Lacazette à la 84e). Mais Anthony Lopes a été le meilleur chez les locaux en réalisant pas moins de sept parades ! Dabo (22e), Ninga (31e) ou encore Camara (70e) ont notamment été mis en échec par l’international portugais.

L’entame de match très compliquée des Lyonnais ne les a pas rassurés, eux qui sortent d’une élimination précoce et décevante en Ligue des champions. Darder a par exemple gagné seulement trois ballons lors des 45 premières minutes. Montpellier, qui vient donc de gagner quatre de ses cinq derniers matches de L1, n’avait pas besoin de plus pour se mettre en route. Auteurs de 15 tirs dont 9 cadrés, les visiteurs ont autant impressionné que les locaux ont déçu.

Positionnés trop haut sur le terrain, incapables de s’aligner correctement sans leurs piliers Umtiti et Jallet, les Lyonnais ont notamment été mis à mal par la vitesse de l’incroyable Ninga. Acheté 75 000 euros seulement l’été dernier, le jeune Tchadien a inscrit un doublé à Gerland (11e, 48e) après avoir vu Gonalons marquer contre son camp (8e). Camara, le prolifique remplaçant montpelliérain, a encore scoré en fin de rencontre (80e). Toujours en réussite contre Montpellier, Lacazette a tenu temporairement son équipe à bout de bras en réduisant la marque de la tête (14e). Mais personne ne peut sauver cet OL-là.

Un homme : Le calvaire de Rafael

Rafael, l’une des recrues les plus décevantes de Lyon, a encore montré toutes ses limites ce vendredi soir. A cause de lui, l’ancienne meilleure défense de la L1 à domicile a totalement sombré. Sur le premier but, il laisse filer Roussillon dont le centre est poussé au fond par Gonalons. L’ancien joueur de MU a ensuite été pris de vitesse, une constante dans cette rencontre, par Ninga sur la deuxième réalisation des visiteurs. Juste après la pause, il a commis une énorme bourde en donnant une passe en retrait à… Roussillon, qui a pu décaler Ninga pour le troisième but. Avec 20 ballons perdus, il a été le pire Lyonnais dans ce domaine ce vendredi soir. Et largement, en plus.

Le tournant du match : Le but refusé à Tolisso

Mené 2-1 dans le temps additionnel de la première période, Lyon a bien failli rentrer aux vestiaires en ayant égalisé à 2-2 ! Sur un coup franc local, la défense de Montpellier a joué le hors-jeu mais s’est manquée. Trois joueurs lyonnais se sont retrouvés seuls devant Pionnier, couverts par Roussillon. Tolisso a marqué mais l’arbitre lui a refusé le but de manière totalement injustifiée.

Avant son déplacement à Lyon, Montpellier possédait la plus mauvaise attaque de Ligue 1 à l'extérieur, à égalité avec Troyes (deux buts marqués). En une seule rencontre à Gerland, le MHSC a donc scoré deux fois plus que lors de ses six derniers déplacements !

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Une veste trop grande pour Hubert Fournier ?
Pour la deuxième année consécutive, Hubert Fournier s'est planté sur toute la largeur en Coupe d'Europe avec l'Olympique Lyonnais. Le technicien français n'a pas encore prouvé qu'il avait les épaules pour diriger un club de standing européen. La lourde défaite à domicile face à Montpellier (2-4) en Ligue 1 n'arrange rien.
L'élimination de l'Olympique Lyonnais de toutes compétitions européennes après moins de quatre mois de compétition peut s'expliquer par de nombreux facteurs. Blessures, recrutement pas à la hauteur des espérances, cohésion d'équipe plus que moyenne... Mais le débat est aussi à porter sur les performances d'Hubert Fournier, qui depuis deux ans échoue de la pire des façons lorsque l'OL évolue en dehors de son championnat domestique.

La saison passée, les Gones avaient été éliminés dès les barrages de l'Europa League face à la faible formation du FC Astra, en ayant notamment été battu à Gerland (1-2). Mardi, l'épopée européenne lyonnaise s'est terminée avec seulement un point (il reste encore un match à jouer pour du beurre à Valence) et aucune victoire au compteur. Un bilan désastreux, qui porte forcément un coup à la crédibilité du technicien français.

Ancien joueur de l'OL, Fournier était arrivé en provenance du Stade de Reims après deux saisons en L1 globalement réussis en Champagne. S'il est parvenu à lutter jusqu'à la fin de la saison dernière pour le titre de champion de France avec le PSG, son parcours en Coupe de France (16e de finale) et en Coupe de la Ligue (1er tour) avaient été pour le moins désastreux. Après le parcours calamiteux en Coupe d'Europe cette saison, Hubert Fournier serait bien inspiré de remporter un de ces deux trophées, puisque les 13 points de retard sur le PSG après 14 journées ne laissent plus aucun espoirs quant à une possibilité de titre en championnat. Sinon, Jean-Michel Aulas pourrait décider de revoir son staff technique...
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