y a plus que le foot pognon qui compte.

Démenti pour le pognon

Il n'en sera rien. Dans un premier temps, des raisons financières avaient été évoquées. Il y a quelques minutes, l'Equipe de Bretagne de Football a indiqué que c'est l'indisponiblité de plusieurs joueurs, et donc pour des raisons de calendrier, que la tournée était finalement annulée

Je l'ai dit et redis, Raymond serait l'entraineur idéal pour le racing.
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Raymond Domenech: «Je ne suis pas un accusateur public»
Raymond Domenech, l'ancien sélectionneur des Bleus (2004-2010) rejoint L'Equipe comme chroniqueur. Il détaille son rapport aux médias.
«Vous jouiez systématiquement le rapport de force avec les médias lorsque vous étiez à la tête des Bleus. En rejoignant maintenant L’Equipe, vous passez de l’autre côté de la barrière ?
J’ai toujours été un peu des deux côtés. Je comprenais la position des médias, je leur demandais de comprendre la mienne et ils ne l’ont pas toujours comprise. C’était une forme de jeu. Je l’ai toujours pris sous cette forme-là, pas comme une bataille. Ils faisaient leur métier, je faisais le mien : donner les infos que je voulais donner et pas celles qu’ils voulaient entendre. Eux essayaient de me faire dire ce qu’ils avaient envie d’entendre et que je ne voulais pas donner. C’est le jeu.

Quelle est votre relation avec L’Equipe ? A-t-elle beaucoup évolué au fil de votre carrière de joueur, d’entraîneur puis de sélectionneur ?
Quand j’étais joueur, c’était une époque où un seul journaliste de L’Equipe se déplaçait avec nous. On le voyait tous les jours à l’entraînement. J’ai fait toute ma carrière à Lyon avec Claude Chevally. On se connaissait. Quand il y avait quelque chose à lui dire, on n’était pas obligé de passer par le conseiller en communication du club, c’était totalement différent. Maintenant, un club est suivi par des dizaines de journalistes, et certains beaucoup plus. Quand j’étais entraîneur, j’ai pris pour parti de dire que chacun faisait un métier différent. Mon travail en tant qu’entraîneur, c’était de faire. Le journaliste, son métier c’était de trouver des angles. J’ai fait ce métier quelquefois. Pour L’Alsace durant la Coupe du monde 1994, j’ai fait Le Monde en 1998… Un papier tous les jours, je sais ce que c’est et je dis à chaque fois «chapeau». Je comprends que parfois on soit à la limite, qu’il faut trouver quelque chose, faire un truc…

Vous allez travailler cette saison à la fois pour la chaîne, pour le site et pour le quotidien L’Equipe. Quel sera votre rôle ?
Normalement, je vais travailler un an. Pour voir si ça nous va, aux uns et aux autres. Je ne suis plus à un âge où je cours après des trucs. Ça me plaît, je fais, ça ne me plaît plus, je ne fais plus. C’est ça la liberté. Pour la télé, ça sera surtout sur les grands matches (pour La Grande Soirée, le dimanche soir et les soirs de Ligue des champions) puis après d’autres émissions à la demande, comme L’Equipe du soir, en fonction de l’actualité. Dans L’Equipe, je ferai des chroniques mais pas forcément toutes les semaines. Ça sera plutôt en fonction des sujets.

«Il faut faire attention au dérapage. Je ne peux pas me le permettre.»
Ecrire une chronique est un exercice qui vous plaît ?
J’aime bien parce que ça met plus en danger que la parole. En paroles, on peut dire n’importe quoi, n’importe comment, couper la phrase, repartir, ça ne reste pas en fait. Ça n’a pas le même impact. Quand on écrit quelque chose, ça reste. Et après on ne peut pas dire qu’on ne l’a pas dit, on l’a écrit.

Est-il possible quand on est un ancien entraîneur de critiquer un collègue, de dire qu’il s’est planté tactiquement ?
C’est toujours possible, mais pas de cette manière. Il ne s’agit pas de critiquer. Je ne connais pas un entraîneur qui essaie de faire une mauvaise équipe. Il faut expliquer ce que l’entraîneur a voulu faire. Dire que des fois ça marche, et que des fois ça ne marche pas. Pourquoi ça ne marche pas, c’est une autre question.
Vous étiez volontiers piquant lorsque vous étiez sélectionneur des Bleus. Comment voyez-vous votre rôle de consultant, comme quelqu’un qui peut être dans la polémique ?
Non, moi je suis dans l’explicatif. Je vois un match, je dis ce qui se passe. Je ne suis pas un accusateur public. Mais je peux éclairer, sous des angles différents, les situations. Je ne suis pas un donneur de leçons, je n’ai pas la science infuse du football, je sais ce que c’est de faire ce métier d’entraîneur. Je sais ce que c’est d’avoir été joueur. Je peux éclairer simplement les différents aspects. Je ne suis pas dans le «il aurait dû faire jouer celui-ci ou celui-là».

Si vous défendez un point de vue dans le journal, le personnage que vous incarnez ne risque-t-il pas, malgré vous, de vous entraîner vers la polémique ?
C’est le risque. Moi, je dis un truc banal, avec un autre ça passera tranquille, sans incidence. Si c’est moi qui le dis, on ressortira les cordes. Je le sais. Il faut faire attention au dérapage. Je ne peux pas me le permettre. Certains le peuvent. Parfois, je regarde certaines émissions et je me demande comment ils peuvent parler ainsi sans que ça provoque de polémiques. Moi, je n’ai pas le droit.»
equipe
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Raymond Domenech élu président de l'Unecate
Libre depuis son départ du poste de sélectionneur des Bleus en 2010, Raymond Domenech (64 ans), aujourd'hui consultant du groupe L'Equipe, a été élu ce lundi président de l'Unecatef. Il succède à Joël Muller.
En poste depuis quinze ans, Joël Muller n'est officiellement plus le président de l'Unecatef (Union nationale des entraîneurs et cadres techniques professionnels du football). L'ancien coach messin ne s'était pas réprésenté cette année, et ce lundi, en assemblée générale, c'est Raymond Domenech qui a été élu pour lui succéder.

L'ex-sélectionneur des Bleus, libre depuis 2010 et aujourd'hui consultant du groupe L'Equipe, a été préféré notamment à Jacques Santini et Jean-Marc Furlan, parmi les autres candidats. Le technicien âgé de 64 ans, auparavant simple trésorier, va à présent honorer un mandat de quatre ans à la tête du syndicat.
equipe
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Raymond Domenech hospitalisé en Haute-Savoie
L'ancien sélectionneur de l'équipe de France, qui devait visiter l'hôpital de Thonon-les-Bains ce jeudi, est hospitalisé dans ce même hôpital après avoir été pris de vives douleurs à son arrivée en Haute-Savoie.
Comme le révèle le Dauphiné, l'ancien sélectionneur de l'équipe de France de football Raymond Domenech est hospitalisé à l'hôpital de Thonon, ce jeudi.
À la tête des Bleus entre 2004 et 2010, celui qui est désormais consultant pour la Chaîne L'Equipe devait visiter ce jeudi le pôle santé-sport des Hôpitaux du Léman… à l'hôpital de Thonon, avant d'y donner une conférence
Mais l'actuel président du syndicat des entraîneurs français (Unecatef) aurait été pris de vives douleurs à son arrivée à Thonon, le forçant à être hospitalisé.
dna

Quand Raymond Domenech entraînait dans le championnat de France
Si Raymond Domenech est surtout connu pour son expérience à la tête de l'équipe de France, l'entraîneur annoncé Nantes a aussi dirigé en Ligue 1. Retour sur cette expérience qui n'occupe que quelques années dans sa longue carrière dédiée au football
La dernière fois que Raymond Domenech a entraîné dans le championnat de France, plus de la moitié de l'effectif nantais n'était pas né. C'était en juin 1993, quand l'OL était battu par Bordeaux (2-3). Pas encore champions du monde, Christophe Dugarry, Zinedine Zidane ou Bixente Lizarazu étaient alignés dans les rangs girondins ce soir-là. C'est sur une saison 1992-1933 de D1 terminée à la 14eme place que le futur sélectionneur des Bleus a terminé sa dernière expérience en club. Essentiellement reconnu pour avoir dirigé l'équipe de France entre 2004 et 2010 ou pour sa décennie passée à la tête de l'équipe de France espoirs (1993-2004), l'ancien joueur n'a pas été sollicité que par la FFF. Avant d'entrer dans le giron fédéral et d'avoir plus tard des responsabilités à l'UNECATEF ou du temps de parole dans les médias, le natif de Lyon a été entraîneur à l'OL et à Mulhouse.En une saison, Domenech a fait monter Lyon en D1
Après une honnête carrière de joueur durant laquelle il a été sacré champion de France à deux reprises (avec Strasbourg en 1979, avec Bordeaux en 1984), Raymond Domenech a commencé sa reconversion du côté de Mulhouse. En D2, il a été nommé entraîneur-joueur après son départ de Bordeaux. Il restera au FCM pendant quatre ans, dont deux passées uniquement sur le banc de touche. Ca n'aura pas été suffisant pour ramener le club alsacien dans l'élite du football français. Bien classée, l'équipe dirigée par Raymond Domenech échouera toujours lors des barrages ou des pré-barrages. Mais lui finira par accéder à l'élite aux commandes avec Lyon.

En 1988, il est nommé par Jean-Michel Aulas à la tête de l'OL et ramène son club formateur en première division dès le printemps 1989. Le futur septuple champion de France n'en est plus jamais reparti. Au début des années 90, le maintien dans l'élite est rapidement acquis avec deux saisons terminées dans le top 10. Les deux suivantes ont été plus compliquées pour les hommes de Raymond Domenech mais l'entraîneur a fait le nécessaire pour conserver l'OL en première division et convaincre la FFF de le recruter. 27 ans plus tard, celui que l'on annonce à Nantes est sur le point de revenir dans le football professionnel français.
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dna a écrit:
Raymond Domenech devient entraîneur de Nantes

Retour sur les terrains pour l'ancien sélectionneur des Bleus: il a six mois pour assurer le maintien du club au maillot canari octuple champion de France; à la peine depuis le mois d'octobre en Ligue 1.
Raymond Domenech est le nouvel entraîneur du FC Nantes jusqu'au mois de juin. Après l'éviction de Christian Gourcuff le 8 décembre, l'ancien sélectionneur national (2004-2010) est missionné pour assurer le maintien du club.

Avant cette 17e journée du Championnat de France, les Canaris pointent à la 15e place avec 11 points, quatre devant le premier relégable, Lorient, 19e. Ils se déplacent ce mercredi soir à Lyon (21 heures) en pleine euphorie et qui joue pur devenir leader du championnat à la trêve ce qui ne s'est pas produit depuis plus d'une décennie.
Une mission de six mois

Le club breton met fin à l'intérim de Patrick Collot l'adjoint de Christian Gourcuff et rappelle l'ex joueur et entraîneur de l'OL qui a aussi évolué au RC Strasbourg et au PSG.

Le président de Nantes, Waldemar Kita, très gros consommateur d'entraîneurs a rencontré récemment Raymond Domenech. Les deux hommes sont tombés d'accord sur cette mission de six mois.
Au-delà de la limite d'âge

Agé de 68 ans, Domenech a dépassé la limite d’âge de 65 ans et devra obtenir une dérogation de la Ligue de football professionnel (LFP).

En tant que président de l’Unecatef, le syndicat des entraîneurs français, il avait d’ailleurs critiqué le choix d’accorder une telle dérogation à Claudio Ranieri, devenu entraîneur de Nantes en 2017, l’année de ses 66 ans.

Même si le nom de Domenech avait déjà été cité lors du départ de Vahid Halilhodzic à l’été 2019, son retour sur un banc serait une surprise.

Devenu consultant dans les médias, Raymond Domenech n’a plus été en charge d’une équipe depuis la grève des joueurs français à Knysna (Afrique du Sud) lors de la Coupe du monde 2010, et n’a plus été entraîneur de club depuis Lyon (1988-1993)

Raymond Domenech a accepté d'entraîner Nantes « sur un coup de tête »
De retour sur un banc pour la première fois depuis dix ans, Raymond Domenech a expliqué dimanche dans Téléfoot avoir pris cette décision « sur un coup de tête ».
Raymond Domenech a raconté dimanche dans Téléfoot, l'émission de TF1, les conditions de son retour sur un banc de touche à Nantes, lui qui n'avait plus exercé depuis 2010 et la fin de son contrat de sélectionneur de l'équipe de France. « Je suis venu dans ce club parce que c'était un vrai coup de coeur. C'est une décision que j'ai prise alors que j'étais en vacances. Je n'ai pas pris de vêtements, rien, ça s'est fait comme ça, d'un coup, sur un coup de tête, une discussion. J'ai dit oui parce que j'avais envie de reprendre le terrain, de m'y retrouver depuis un moment déjà. »
« Annoncer officiellement que je ne pouvais plus entraîner, je n'ai jamais pu le faire. Parce qu'au fond de moi, j'ai toujours eu cette envie d'être sur un terrain »
L'ancien entraîneur de l'OL (1988-1993), dont la dernière expérience comme responsable d'un club remonte d'ailleurs à 1993, a également dit « ne pas s'être posé la question » lorsque Waldemar Kita lui a proposé le poste d'entraîneur du FC Nantes. « L'envie d'entraîner a été plus forte que tout. Annoncer officiellement que je ne pouvais plus entraîner, je n'ai jamais pu le faire. Parce qu'au fond de moi, j'ai toujours eu cette envie d'être sur un terrain. Je n'ai pas réfléchi à tout ce qu'il y a autour, parce que si on se met à réfléchir à tout ce qu'il y a autour, plus personne n'entraîne. Des difficultés, il y en a partout. »
« Il y a toujours des gens qui auront quelque chose à dire, j'ai rarement vu un entraîneur faire l'unanimité quelque part. Ce sont les résultats qui feront la différence »
« Ce n'est pas ma problématique à l'heure actuelle », a répondu Domenech, interrogé sur la défiance des supporters et des anciens joueurs à son égard. Il a poursuivi : « Il y a toujours des gens qui auront quelque chose à dire, j'ai rarement vu un entraîneur faire l'unanimité quelque part. Ce sont les résultats qui feront la différence. Les joueurs ont envie de travailler, tout le monde à le sourire, c'est l'essentiel. »

Par ailleurs, il ne s'inquiète pas outre mesure de ses futures relations avec Kita, le bouillant président du FCN. « Je ne vois pas pourquoi ça ne fonctionnerait pas. Ce qui doit fonctionner, c'est plus la relation joueurs-entraîneur. Parce que si celle-là, elle marche bien, et que ça se passe bien sur le terrain, le reste, on n'en parlera pas. On n'évoquera pas tout ce qu'il peut y avoir autour. L'essentiel, c'est le terrain. »
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Raymond Domenech réélu à la tête de l'Unecatef, le syndicat des entraîneurs


Quelques semaines après son limogeage du FC Nantes, Raymond Domenech a été à nouveau élu président de l'Unecatef, le syndicat des entraîneurs.
Nommé sur le banc du FC Nantes le 26 décembre dernier et débarqué le 10 février, Raymond Domenech va retourner à ses anciennes amours. À la tête du syndicat des entraîneurs français (Unecatef) depuis octobre 2016, l'ancien sélectionneur de l'équipe de France (2004-2010) a été réélu président ce lundi, à l'issue de l'Assemblée générale de l'instance. Domenech et Pierre Repellini, réélu également, seront les représentants des entraîneurs au Conseil d'Administration de la LFP.
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