Avec presque 6.5 millions de licenciés,la DFB (l'équivalent allemand de la FFF) est la plus grande association sportive du monde.
Plus de 139000 licenciés en plus par rapport à 2005 (effet coupe du monde oblige).
25800 clubs et 176000 équipes.Les Moins de 18 ans représentent 2.232 millions de personnes.A noter la forte proportion de filles:958000 licenciées soit environ 14% du total.
Au niveau des Länder (régions),la Bavière arrive en tête avec 1.37 millions d'adhérents suivie de la Westphalie (809000),la Basse-Saxe (674000),le Würtemberg (515000) et la Hesse (513000).
A comparer avec les chiffres de la FFF,si quelqu'un les a.Il faudrait enlever un quart aux chiffres pour respecter la proportionnalité (population allemande environ 81 millions,population française environ 62 millions).

Source:Deutscher Fussball Bund

Allemagne : Pas d'argent pour les agents de mineurs
La cour d’appel de Francfort a tranché en faveur de la Fédération allemande (DFB) en annulant la décision prise par le tribunal régional l’an passé. Elle a ainsi décidé que les agents ne pourraient pas être rémunérés sur les transactions concernant les joueurs mineurs.

«La DFB a un objectif légitime de protection des mineurs en interdisant qu'un intermédiaire touche de l'argent lors des négociations concernant un joueur mineur , s’est justifiée la Cour d’appel dans son verdict. Cette décision est censée «empêcher les joueurs mineurs d'être motivés principalement par l'argent et arriver en Allemagne sans solides perspectives.»
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Scandale Mondial 2006 : Procédure de la fédération allemande contre Franz Beckenbauer
Une procédure visant Franz Beckenbauer concernant le scandale de l'attribution du Mondial 2006 a été engagée ce vendredi par la fédération allemande de foot (DFB).

«La DFB a pris ses dispositions pour éviter une prescription (qui empêcherait une éventuelle demande d'indemnisation de la fédération)», explique le DFB dans un communiqué.

L’instance se réserve ainsi le droit de réclamer les mystérieux 6,7 millions d'euros versés à la FIFA et qui auraient servi à garantir l'attribution du Mondial 2006 à l'Allemagne.

Equipe

Helmut Sandrock quitte la fédération allemande de football
La fédération allemande de football vient d'annoncer la démission de son secrétaire général, Helmut Sandrock. Cela fait suite au départ du président Wolfgang Niersbach suite au scandale de corrution ayant éclaboussé la DFB. Sandrock était le responsable du Mondial 2006, que l'Allemagne aurait obtenu en payant la FIFA.
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Soupçons de corruption au Mondial-2006 L’Allemagne dans l’attente
L’Allemagne attend des premières réponses ce vendredi sur les allégations de corruption qui entachent depuis des mois « son » Mondial-2006, avec la publication du rapport d’enquête interne du cabinet d’avocats Freshfields.


L’enquête, mandatée par la Fédération allemande de football (DFB), doit apporter des éléments de réponse à la question majeure : ce Mondial, resté dans les mémoires comme le « conte de fée » de l’été 2006, avait-il été acheté grâce à un virement douteux de 6,7 millions d’euros ?
Les conclusions de l’enquête du cabinet d’avocat doivent être d’abord présentées aux 45 membres du Comité de la DFB à Francfort, avant la tenue d’une conférence de presse et la mise en ligne du rapport.

«On veut résoudre ça»

« On va d’abord prendre connaissance du résultat puis évaluer la situation. Ensuite on parlera des conséquences à court, moyen et long termes », a déclaré Rainer Koch, l’un des vice-présidents par intérim de la DFB.
« Notre position a toujours été de dire : on veut résoudre ça », a ajouté son homologue Reinhardt Rauball.
L’hebdomadaire Der Spiegel avait jeté le pavé dans la mare fin octobre en avançant que l’Allemagne aurait utilisé un fonds secret de 6,7 millions d’euros pour acheter des voix et obtenir l’organisation du Mondial-2006.
Ce fonds aurait été alimenté par l’ancien patron d’Adidas, le défunt Robert-Louis Dreyfus, peu avant l’été 2000, période à laquelle s’est faite l’attribution à l’Allemagne d’une courte marge (12 voix contre 11) aux dépens de l’Afrique du Sud.
La DFB a reconnu le versement de cette somme à la Fifa, mais assuré qu’il s’agissait de s’assurer une subvention pour l’organisation du Mondial et non pas d’acheter des voix au sein de la Fifa, une version démentie par l’instance internationale.

Beckenbauer éclaboussé

Le scandale a contraint Wolgang Niersbach à la démission de la présidence de la DFB, et a éclaboussé l’icône du football allemand Franz Beckenbauer, qui serait au cœur du trouble marché en tant que président du comité de candidature puis d’organisation de l’événement planétaire.
Beckenbauer a reconnu « une erreur » mais toujours assuré qu’il « n’y avait pas eu de voix achetées » au sein de la Fifa.
Soupçonnée de fraude fiscale par le parquet allemand, la DFB a assisté à une descente de la police financière dans ses bureaux de Francfort, perquisitions qui se sont étendues aux domiciles de trois personnes mises en cause, dont M. Niersbach.
La justice suisse a indiqué mi-décembre qu’elle traiterait en « priorité » la demande d’entraide judiciaire adressée par le parquet de Francfort.
Selon le quotidien Süddeutsche Zeitung , même le FBI, « qui mène des procédures pénales contre des hauts membres (de la Fifa) pour des faits de corruption » s’intéresserait aussi au mystérieux versement de 6,7 millions d’euros.
Début février, la DFB a elle engagé une procédure visant le « Kaiser » Franz, expliquant sa démarche : « La DFB a pris ses dispositions pour éviter une prescription » qui empêcherait une éventuelle demande d’indemnisation de la fédération.
L’instance nationale se réserve ainsi le droit de réclamer les mystérieux 6,7 millions d’euros versés à la Fifa et qui auraient servi à garantir l’attribution du Mondial 2006 à l’Allemagne.
dna

Ottmar Hitzfeld honoré par ses pairs

Ottmar Hitzfeld (à g.) a reçu mercredi son trophée des mains de Rainer Koch, président par interim de la Fédération allemande de football.
 

Celui qui a mené la Nati aux phases finales de deux Coupes du monde a reçu mercredi un prix pour «l'ensemble de son oeuvre».
Ancien sélectionneur de l'équipe de Suisse, Ottmar Hitzfeld a été honoré par la Fédération allemande (DFB) pour sa contribution au football. Il a reçu à Francfort le prix «Lebenswerk», littéralement l'oeuvre d'une vie.
Agé de 67 ans, Ottmar Hitzfeld est seulement le sixième entraîneur à obtenir cette distinction après Dettmar Cramer, Udo Latter, Gero Bisanz, Otto Rehhagel et Jupp Heynckes.
Ottmar Hitzfeld a gagné deux Ligues des Champions avec le Borussia Dortmund et le Bayern Munich. Il a mené l'équipe de Suisse à deux phases finales de la Coupe du monde, en 2010 en Afrique du Sud où elle n'a pas passé le cap du premier tour, et en 2014 au Brésil où elle a été éliminée en huitièmes de finale par l'Argentine.
Le Matin

Reinhard Grindel à la présidence de la fédération allemande
Reinhard Grindel a été nommé président de la fédération allemande de football.

Reinhard Grindel est le nouveau président de la fédération allemande (DFB). Il prend la suite de Wolfgang Niersbach.
equipe

La justice reconnait que Theo Zwanziger a le droit de dire que «le Qatar est le cancer du football mondial»
Theo Zwanziger, ancien président de la fédération allemande de football, avait qualifié le Qatar de « cancer du football mondial ». Malgré une plainte, la justice de son pays a estimé mardi qu'il n'avait pas à retirer ses propos.

La cour de justice de Dusseldorf a décidé mardi que Theo Zwanziger n'avait pas à retirer ses propos tenus à l'encontre du Qatar en juin 2015. L'ex-président de la fédération allemande de football (DFB) avait déclaré sur une radio : « J'ai toujours dit clairement que le Qatar est un cancer pour le football mondial. »

Le pays du Golfe a porté plainte auprès de la justice allemande, jugeant que cette sortie était « irrespectueuse ». Si les juges étaient d'accord sur le caractère offensant de cette remarque, ils ont considéré que Zwanziger était libre de maintenir et répéter ces propos. Ils l'ont notamment justifié par le contexte dans lequel cette sortie s'inscrit : « Le fondement de la remarque, destiné à souligner la polémique autour de la procédure d'attribution de le FIFA, compte plus que l'honneur de la fédération qatarie de football. »

equipe

On est encore libre de dire ce qu'on veut dans un pays où existe la liberté d'expression.
Que l'on respecte la tradition des femmes voilées dans les pays musulmans, OK.
Que les autres respectent la tradition de la liberté d'expression de chez nous (ou en Allemagne).
Et les moutons seront bien gardés si j'ose dire.

Coupe du Monde 2006 : L'ancien président de la Fédération Allemande de football suspendu un an par la FIFA
Wolfgang Niersbach était également le vice-président du comité d’organisation de la Coupe du Monde 2006…

Dans l’ombre de la polémique sur la Russie aux Jeux Olympiques 2016, un petit séisme vient de secouer la planète football. Wolfgang Niersbach, ancien président de la Fédération allemande et vice-président du comité d’organisation du Mondial 2006 en Allemagne, a été suspendu un an de toute activité liée au football par la Fifa lundi, pour son implication dans le scandale de corruption présumée autour de cette même Coupe du Monde.
La chambre d’instruction du comité d’éthique de la Fifa avait requis une suspension de deux ans contre Wolfgang Niersbach. Celui-ci a été notamment reconnu coupable par la chambre de jugement du comité d’éthique de ne pas avoir rapporté des faits relatifs à de possibles malversations dans le cadre de l’attribution du Mondial 2006 à l’Allemagne.
20minutes

Sans vouloir défendre Platini, ce dernier a été davantage condamné en fin de compte même s'il est vrai que Platini avait un poste supérieur à ce Niersbach.

Réfugiés, le football pour s'intégrer en Allemagne

La Fédération allemande de football a annoncé ce mardi que le nombre de licenciés avait explosé. Il s'agit en grande partie de migrants.
Le football a souvent été un facteur d'intégration. C'est d'autant plus vrai en Allemagne, comme l'a annoncé la Fédération de football (DFB). Les quelques 890 000 réfugiés recueilli outre-Rhin depuis 2015 ont entraîné une hausse considérable de nombre de ressortissants étrangers footballeurs. La DFB a en effet délivré pas moins de 42 000 licences à des étrangers, contre 10 000 en 2012. La Fédération a également diffusé des conseils aux réfugiés afin de faciliter leur intégration dans leur nouveau pays d'adoption, notamment l'apprentissage de la langue.
orange sport

L'arrivée des migrants a fait exploser le nombre de licenciés en Allemagne

En 2015, la Fédération allemande de football (DFB)a enregistré 42 000 licences pour des joueurs étrangers. La raison de ce nombre record ? L'arrivée de centaines de migrants dans le pays l'année dernière.
En comparaison, en 2012, la DFB n'avait octroyé que 10 000 licences à des étrangers.

Face à cet afflux de joueurs, pour la plupart des réfugiés, la Fédération allemande a décidé de s'investir pour faciliter leur intégration. Une brochure à destination des clubs qui accueillent des réfugiés a été imprimée. Des recommandations pour les assister y sont données, tout comme des conseils pour qu'ils apprennent l'allemand.

Pour illustrer la brochure, la Fédération allemande a choisi la joueuse du PSG, Lira Alushi. Née au Kosovo, et arrivée à 4 ans en Allemagne, elle avait confié lors d'un sommet sur l'intégration à Berlin que le football l'avait aidée à s'intégrer. "Le football m'a permis de me faire des amis et m'a donné confiance en moi", avait-elle confié.

La Fédération allemande de football a également mis en place un programme à destination des clubs, pour les inciter à recruter des réfugiés.
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Hans Flick quitte la Fédération allemande
Hans Flick a quitté son poste de directeur technique de la Fédération allemande. Alors que son contrat avec la Fédération allemande (DFB) courrait jusqu'en 2019, Hans Flick a décidé de quitter son poste de directeur technique, pour raisons familiales. Ancien adjoint de Joachim Löw à la tête de l'équipe d'Allemagne, il sera remplacé par Horst Hrubesch.
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L'Allemagne passe la barre des sept millions de licenciés
  La Fédération allemande a annoncé qu'elle comptait pour la première fois plus de sept millions de licenciés.
En pleine euphorie après les victoires internationales de la semaine dernière, la Fédération allemande a annoncé mardi avoir franchi pour la première fois la barre des 7 millions de licenciés, dans un pays de presque 83 millions d'habitants. A titre de comparaison, la France (66 millions d'habitants) compte 2,1 millions de footballeurs.

Selon la DFB, 7 043 964 femmes et hommes sont membres de la Fédération, soit 74 500 de plus que l'an dernier à la même date. Cette croissance est largement portée par le succès des équipes nationales masculine et féminine. Championne du monde en titre, la Mannschaft a encore remporté dimanche la Coupe des Confédérations en Russie, tandis que les Espoirs ont été sacrés champions d'Europe vendredi. Les dames sont championnes olympiques et championnes d'Europe.
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10 ans quand même pour passer de 6,5 millions à 7 millions.
Une progression certes mais lente quand même.
Sans doute boosté depuis 2015 suite à la victoire de 2014.

La Fédération allemande veut mettre fin aux huis clos et aux tribunes fermées
  Afin d'ouvrir le dialogue avec les ultras autour de la sécurité dans les stades, la Fédération allemande a procédé à un geste de bonne volonté en annonçant mercredi vouloir arrêter de sanctionner les clubs de matches à huis clos.
Le football allemand possède les meilleures affluences du monde et également son lot de débordements. Lundi dernier, le match de Coupe entre le Hertha Berlin et le Hansa Rostock en a été le triste spectacle. L'usage intempestif de fumigènes et les jets de sièges ont obligé l'arbitre à interrompre à deux reprises la rencontre.

Avant la reprise de la Bundesliga, la Fédération allemande souhaite renouer le dialogue avec tous les groupes de supporters afin que ce genre d'incidents ne se répète plus. Pour prouver sa bonne volonté, le président de la DFB, Reinhard Grindel, a affirmé mercredi que les clubs ne se verraient plus sanctionner de matches à huis clos (partiel ou total) jusqu'à nouvel ordre afin de ne plus pénaliser les fans qui n'ont rien à voir avec ces incidents.
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Au tour de la Bundesliga de revoir le mercato
C’est ce qu’on appelle un effet « boule de neige« . Après que la Premier League ait décidé de raccourcir la fenêtre du mercato d’été, d’autres compétitions européennes veulent adapter également les dates des transferts estivaux à l’image de la Bundesliga.
Pour rappel, il y a une semaine, les clubs  anglais ont voté la fin du mercato d’été au jeudi précédent la reprise du championnat. Le but étant de ne pas perturber voir fausser les 1ères journées avec notamment joueurs encore en négociation avec d’autres formations ou sur le point de partir.
Aujourd’hui, Reinhard Rauball, le Président de la Ligue de Football Allemand, s’est exprimé à ce sujet dans les colonnes de Sport-Bild. « Je vais faire la demande au bureau de la Ligue pour que la période de transferts soit raccourcie. Cette décision correspondante devrait être adoptée lors de l’Assemblée générale en décembre » a-t-il notamment déclaré.
Alors qu’Aleksander Ceferin, le Président de l’UEFA, s’est montré favorable à de tels changements, la Ligue 1 va prochainement se pencher sur la question et devrait sûrement suivre la tendance.
Live foot

Affaire Özil : la Fédération allemande rejette les accusations de racisme 
La Fédération allemande a rejeté les accusations de racisme dont elle a fait l'objet de la part de Mesut Özil, qui l'a attaquée après avoir annoncé son retrait de la sélection.
La Fédération allemande de football (DFB) a rejeté lundi les accusations de racisme proférées à son encontre par le joueur Mesut Özil, qui a quitté avec fracas la sélection nationale, suscitant l'émoi en Allemagne.
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Affaire Özil : Reinhard Grindel, le président de la Fédération allemande, admet avoir commis une erreur

Reinhard Grindel (à gauche) en compagnie de Joachim Löw et d'Oliver Bierhoff.
  Mis en cause par Mesut Özil qui a décidé de se mettre en retrait de la sélection, Reinhard Grindel, le président de la Fédération allemande, a fait son mea culpa
Reinhard Grindel, le président de la Fédération allemande (DFB), a reconnu avoir commis une erreur dans sa gestion de l'affaire Özil. Dans un communiqué publié ce jeudi sur le site officiel de la DFB, il a regretté de ne pas avoir défendu le joueur Mesut Özil, cible de propos racistes après une rencontre avec le président turc, Recep Tayyip Erdogan. «En tant que président, avec le recul, j'aurais dû dire sans aucune ambiguïté ce qui est une évidence pour moi et pour toute la Fédération: toute forme de harcèlement raciste est insupportable, inacceptable et intolérable», a-t-il écrit.
Dimanche, le milieu de terrain allemand d'origine turc avait annoncé sa décision de se mettre en retrait de la sélection. Il avait notamment mis en cause son dirigeant. «Aux yeux de Grindel et de ses soutiens, je suis Allemand quand nous gagnons, mais je suis un immigré quand nous perdons», avait notamment affirmé le joueur de 29 ans aux 23 buts en 92 sélections. Grindel a rejeté ces accusations de racisme sans pour autant présenter d'excuses au joueur d'Arsenal.
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Reinhard Grindel, le président de la Fédération allemande, tacle Gianni Infantino, le patron de la FIFA
  Reinhard Grindel, le président de la Fédération allemande, a reproché à Gianni Infantino, le numéro 1 de la FIFA, son manque de transparence qui « renforce les préjugés sur » la Fédération internationale.
Reinhard Grindel, le président de la Fédération allemande (DFB) n'a pas été tendre avec le patron de la FIFA, Gianni Infantino, à qui il reproche son manque de transparence sur ses projets de nouvelles compétitions, dans une interview ce mercredi au site Sportbuzzer.de. « Avec son manque de transparence sur ces questions, il renforce les préjugés sur la FIFA, estime Grindel. C'est pourquoi j'insiste avec mes collègues de l'UEFA au sein du conseil de la FIFA pour la création d'une task force, où toutes les informations seraient mises sur la table, afin de déterminer avec honnêteté si nous avons besoin d'autres compétitions et, si oui, quel pourrait être leur format. »

Infantino envisage la création d'une Ligue des nations mondiale et d'un Mondial des clubs élargi à 24 équipes. Le projet, très flou, de vendre des droits de la FIFA à des investisseurs prêts à mettre 25 milliards de dollars sur 12 ans pour organiser le tournoi des clubs, suscite en outre l'inquiétude.
« Je serais satisfait si la FIFA lançait un processus de discussion ouvert, et si les principaux concernés, c'est à dire les clubs, les ligues et les fédérations, étaient beaucoup plus impliqués dans les discussions », a ajouté Grindel.
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Le président de la Fédération allemande, Reinhard Grindel, démissionne
  En poste de puis 2016, Reinhard Grindel, le président de la Fédération allemande a donné sa démission ce mardi avec effet immédiat.
Reinhard Grindel, le président de la Fédération allemande de football (DFB) a démissionné ce mardi, avec effet immédiat, après avoir accepté un cadeau luxueux, une montre d'une valeur de 6 000 euros, de la part d'un collègue ukrainien, Grigory Surkis, vice-président de l'UEFA, et avoué qu'il n'en connaissait pas la valeur.
Grindel, 57 ans, en poste depuis 2016, a expliqué dans un communiqué « être profondément bouleversé de devoir quitter les fonctions de président de la DFB à cause d'un tel comportement ». Les vice-présidents Rainer Koch et Reinhard Rauball assureront l'intérim avant de nouvelles élections en septembre.
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Le président du SC Fribourg, Fritz Keller, nommé patron de la Fédération allemande (DFB)


Fritz Keller, président du SC Fribourg, a été retenu ce jeudi pour succéder à Reinhard Grindel à la tête de la Fédération allemande (DFB).
Fritz Keller succède Reinhard Grindel, démissionnaire après une affaire de cadeaux luxueux, à la présidence de la Fédération allemande (DFB). Le président du SC Fribourg a été désigné à l'unanimité par la commission ad hoc de la DFB, ce jeudi. À 62 ans, Keller, également viticulteur et hôtelier, est un candidat surprise. Son nom sera soumis au vote de l'assemblée générale, qui doit formellement l'élire le 27 septembre.

Également impliqué dans d'autres controverses récentes, Grindel avait quitté ses fonctions en avril et aussi renoncé à son poste de vice-président de l'UEFA et de membre du Conseil de la Fédération internationale (FIFA).
equipe

Fritz Keller nouveau président de la Fédération


Sans surprise, Fritz Keller a succédé à Reinhard Grindel au poste de président de la Fédération allemande de football (DFB).
Comme prévu, l'ancien président de Fribourg, Fritz Keller (62 ans), a été élu à l'unanimité, ce vendredi, président de la Fédération allemande de football (DFB). Proposé comme seul candidat en août, il succède à Reinhard Grindel, qui a démissionné en avril.
« Ceux qui ont voté pour moi ont voté pour le changement, a déclaré Keller. Il est important que nous conduisions la DFB vers un avenir prospère, avec de nouvelles structures, efficaces et transparentes. »
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Bras de fer entre les ultras et les instances
En guerre ouverte contre les instances du football allemand, les ultras menacent de poursuivre leurs protestations injurieuses, quitte à provoquer l’interruption des matches de la 25e journée.

« Nous assumerons de nouvelles interruptions de matches », a mis en garde vendredi le groupement d’ultras « Fanszenen Deutschland », en référence aux arrêts temporaires des rencontres Hoffenheim-Bayern et Union Berlin-Wolfsburg le week-end dernier.
Les arbitres avaient stoppé le jeu, comme ils en ont l’instruction, après le déploiement de banderoles injurieuses («fils de p… ») ou menaçantes (sa tête au milieu d’une cible) visant le richissime propriétaire de Hoffenheim, Dietmar Hopp, incarnation pour les fans d’un foot-business contraire à la culture allemande du foot populaire.
L’étincelle qui a mis le feu aux poudres est une décision disciplinaire touchant les fans de Dortmund, interdits de déplacement à Hoffenheim pour les deux prochaines années, pour avoir injurié Hopp et l’avoir menacé de mort.
Vent debout depuis des années contre les « sanctions collectives », les ultras de toute l’Allemagne se sont solidarisés avec ceux du « Mur Jaune ». Et les insultes contre Hopp, la Ligue et la Fédération ont fleuri dans tous les virages de Bundesliga.
Sacro-sainte « Fankultur »
L’origine du conflit est idéologique. Les ultras « traditionalistes » allemands refusent l’arrivée d’investisseurs tout puissants dans les clubs de Bundesliga, sur le modèle du Paris SG ou de Manchester City : Hopp, un milliardaire qui a permis à Hoffenheim de monter en deux décennies de la 8e à la première division, est devenu leur bête noire, tout comme Red Bull à Leipzig.
« Que quelqu’un avec des moyens financiers illimités s’achète un club en Bundesliga, certains trouvent ça OK. Mais les fans ne trouvent pas ça OK, c’est ça le fond du problème. Ces clubs-là ne jouent pas avec les mêmes moyens que les autres », résume Holger Keye, un représentant des ultras de l’Union Berlin, un club farouchement attaché à ses racines associatives.
Sur le fond, la Ligue allemande partage cette vision. Elle a même instauré en 1998 la fameuse règle dite « 50+1 », qui interdit à quiconque de détenir la majorité absolue des actions dans un club.
Mais, soucieuse de ses revenus, la Ligue a aussi fait preuve de pragmatisme. Wolfsburg et Leverkusen, par exemple, étaient détenus depuis l’origine par Volkswagen et le chimiste Bayer. Une clause dérogatoire a été ajoutée, qui permet à un investisseur d’être majoritaire s’il finance le club de façon continue depuis au moins 20 ans.
C’est bien le cas de Dietmar Hopp. Mais les tenants de la tradition voient dans le modèle de Hoffenheim une atteinte à la sacro-sainte ''Fankultur'' allemande, la « culture des fans ».

« Protestation créative »

Car avant d’être un spectacle, le foot en Allemagne est une activité sociale, et citoyenne. Les membres des clubs ont le droit de vote aux assemblées générales et sont associés à la gestion.
Le Bayern Munich ne compte pas moins de 293.000 membres, Dortmund et Schalke près de 155.000 chacun !
« A Hoffenheim et au RB Leipzig, les fans n’ont aucun pouvoir de cogestion », note Michael Gabriel, responsable d’un organisme national de supporters, alors que ce sont les associations de fans qui animent les stades, et font de la Bundesliga un championnat réellement populaire.
« Le problème fondamental », déplore Sig Zelt, actif également à l’Union Berlin, « c’est que les instances ne voient les fans que comme des spectateurs, et ne reconnaissent pas qu’ils sont partie prenante dans la vie du football et veulent aussi être associés aux décisions ».
Les « instances », Ligue et Fédération, sont poussées à trouver une sortie de crise par les clubs, qui ont besoin de leurs supporters.
« Les interruptions de matches et les sanctions collectives ne peuvent pas être une solution », plaide Stefan Reuter, directeur exécutif du FC Augsbourg, « il faut un dialogue d’égal à égal, dans lequel toutes les parties sont responsabilisées ».
Les ultras, eux, ne semblent pas prêts à reculer. En prononçant « des sanctions collectives pour protéger un milliardaire, la DFB montre son vrai visage », accusent-ils dans leur communiqué : « Il s’agit ni plus ni moins qu’une attaque contre notre ''Fankultur'' et contre nos valeurs ».
dna

Coronavirus : la Bundesliga suspendue au moins jusqu'au 30 avril
La Ligue allemande a repoussé d'un mois la reprise éventuelle du Championnat en raison de l'épidémie liée au Covid-19.
La Ligue allemande de football (DFL) avait annoncé il y a dix jours la suspension de ses compétitions jusqu'au 2 avril. Devant la pandémie de coronavirus, l'instance n'a pu que se résoudre à annoncer un délai plus long : les matches de Première et Deuxième Divisions allemandes (1. et 2. Bundesliga) sont désormais « suspendus jusqu'au 30 avril », comme l'indique un communiqué publié ce mardi.
Finir le Championnat avant le 30 juin
La décision est intervenue après une réunion en visioconférence de plusieurs heures entre les membres du comité directeur de la DFL, dont Christian Seifert, son président. La Ligue a par ailleurs maintenu son ambition de voir la saison de Bundesliga aller à son terme avant le 30 juin, « tant que cela est possible d'un point de vue sanitaire ».
equipe

equipe a écrit:
l'Allemagne avait souscrit une assurance pour ses matches annulés
La Fédération allemande (DFB) touchera une certaine somme, malgré l'annulation des matches amicaux de sa sélection en mars, en raison de l'épidémie du coronavirus, grâce à une assurance souscrite à cet effet.

Malgré l'annulation de ses matches amicaux en mars, en Espagne puis contre l'Italie, la Fédération allemande (DFB) percevra quand même des gains qu'elle aurait dû toucher pour ces rencontres. Elle avait en effet souscrit une assurance en cas d'annulation, ce qui lui permettra de limiter les pertes considérables dues à la suspension des compétitions en raison de l'épidémie du coronavirus.

« La DFB possède une assurance dans ces cas de figure, a confirmé Stephan Osnabrügge, trésorier de la Fédération allemande, lundi sur Sport1. [...] Elle dispose d'un plafond contractuel, a-t-il précisé, et ne couvrira donc pas toutes les défaillances du DFB. »