Je vais peut-être aller visiter ça à Strasbourg samedi.
Après tout, j'en suis un des fondateurs...en 1991 (eh oui et pas en 90).

Allmen67 MrEnigme tu étais dans les UB 90.

Les UB 90 fêtent leur 25e anniversaire 25 ans et toutes leurs dents
Les UB90 fêtent leur quart de siècle d’existence cette année. Une occasion pour le principal groupe de supporters strasbourgeois de raconter leur belle histoire et de confirmer leur irrémédiable vigueur.

Les Ultra Boys fêtent leurs 25 ans. L’occasion d’ouvrir la boîte à souvenirs…
Ils étaient moins d’une dizaine au départ. Ils sont des milliers à avoir rallié la cause dans l’intervalle.
Aujourd’hui, encore, ils sont 250 à incarner le mouvement ultra dans le quart virage historique de la Meinau. 25 ans après, les UB90 sont toujours là et ce n’est pas rien au regard de ce par quoi le Racing est passé.
De sacrés souvenirs…
La saison 2015-2016 marquera un quart de siècle dépassé pour un groupe qui pèse lourd dans l’ambiance unique qui existe autour de l’équipe strasbourgeoise à domicile, qui épate à chaque déplacement en terre hostile.

Pour les Béotiens, qui ignorent la règle du hors jeu ou les grandes tendances constatées dans les stades d’Europe, rappelons que les UB90 défendent une conception latine du supporterisme : il s’agit régulièrement d’assurer aussi le spectacle en tribune pour amener ses favoris à ne pas lâcher l’affaire.

Évidemment, cela donne lieu à de sacrés souvenirs, de spectaculaires images, à des milliers d’anecdotes.
Pour bien marquer que cela a pu être beau avant, mais que ce n’est pas mort maintenant, en dépit de la cinquième saison dans le monde amateur qui se prépare pour la bande à Duguépéroux, les UB90 ont organisé une exposition, dans le salon nord de la Meinau.

À travers des images d’archives, un historique synthétique, un film de 30 minutes et quelques vitrines remplies de gadgets divers et variés – mention spéciale au cocasse string estampillé UB – l’aventure se déploie, marquée par quelques tifos époustouflants, des épisodes marquants (les voyages à Paris ou à Saint-Denis pour les finales de coupe de France et de la ligue par exemple), des archives, des combats remportés ou incertains.
Il apparaît évident, ainsi, que le président Jafar Hilali n’est pas le préféré des UB, et qu’il y a quelques périodes dorées – l’ère Weller, la récente passion réaffirmée autour du Racing malgré la catastrophe sportive… Et que l’attitude des instances du foot, la Ligue notamment qui mène une lutte aveugle contre les ultras, ne fait rien pour faire retomber la rage originelle.

Et les UB90 rassemblés ont rappelé lundi, lors de l’inauguration de l’exposition – en présence d’Alain Fontanel, le premier adjoint, des amoureux du club, mais surtout des anciens du groupe de supporters, mordus de la première heure – qu’il suffira d’une étincelle.
Dans l’assemblée, certains ont amené leurs enfants, d’autres, ou les mêmes, semblaient loin de leur jeunesse passée, d’autres encore laissaient envisager un avenir tout tracé. Le président, Papin, récemment élu, était à peine né quand les premiers UB commençaient à encourager.
Dna

Ce soir Meinau :
les 25 ans des Ultras Boys 90 et un hommage à Dropsy
Le club de supporters du Racing Club Strasbourg Alsace fête ses 25 ans cette année et compte bien le faire savoir, en deux temps. Ce vendredi soir à l'occasion du match contre Boulogne, à la Meinau et le 30 octobre, à Châteauroux. Ce soir également, la Meinau rend un ultime hommage à son emblématique gardien Dominique Dropsy, décédé le 7 octobre.


La Meinau rendra hommage ce vendredi soir à son ancien gardien Dominique Dropsy
Ce soir, plusieurs animations sont prévues à la Meinau, indiquent les UB90 dans un communiqué. Les membres et anciens membres du club de supporters ont rendez-vous à partir de 19h dans les gradins de la Meinau, un tifo inédit est annoncé pour 19h40.
Les supporters sont également invités à prendre leurs dispositions pour participer à un déplacement à Châteauroux pour le match du 30 octobre.
Ce vendredi soir, pour Racing-Boulogne, les choses suivantes sont prévues :
- tour d'honneur par les anciens présidents UB90 ainsi que par les responsables actuels, à 19h10
- tifo anniversaire à 19h40 précises et jusqu'à 20h01.Le déploiement se fera en plusieurs séquences.
- coup d'envoi fictif par deux créateurs du groupe
320 membres des UB90 auraient déjà manifesté leur intention de participer à ces animations. Sur le terrain, les joueurs porteront exceptionnelement un maillot spécial floqué du logo des 25 ans des UB90.

Un hommage à Dropsy

Par ailleurs, un hommage sera rendu à l'ancien gardien international Dominique Dropsy, décédé le 7 octobre dernier et qui a fait une partie de sa carrière au Racing club de Strasbourg. Dropsy a gardé les buts du club strasbourgeois de 1973 à 1984 et a fait partie de l'équipe qui fut championne de France en 1979.
Quelques uns des champions de 79 -notamment leur entraîneur Gilbert Gress et les joueurs Gemmerich, Marx, Tanter, Specht entre autres, seront à la Meinau ce vendredi soir pour rendre hommage à Dropsy avant le coup d'envoi. Et évidemment aussi l'actuel entraîneurs Jacky Duguépéroux qui fut un des coéquipiers de Dropsy.
Les obsèques de Dominique Dropsy, décédé à l'âge de 63 ans des suites d'une leucémie, ont eu lieu mercredi à Bordeaux.
Dna

Quelqu'un connaît-il l'identité des deux "créateurs du groupe" qui ont donnés le coup d'envoi?
A mon avis, ce sont des "usurpateurs"...

Tu crois que ce ne sont pas les personnes qui ont créé le groupe.

J'ai déjà eu l'occasion de m'en expliquer ici ou ailleurs.

Le groupe a été crée en mars 1991 lors d'un match de 2ème division (sous l'ère Gress) contre Dunkerque. Pour la date exacte, il suffit de voir sur le stub, le match avait été gagné par 3-0 par le Racing. C'est un certain Daniel Goebbel de Haguenau qui avait décidé de changer de tribune ce jour-là suite à des incidents qui avaient eu lieu lors du match à l'extérieur à Gueugnon (là aussi voir le stub, on avait fait 2-2 là-bas), j'ai été aux deux matchs. C'était une époque où je faisais partie des Meinau Boys qui se trouvaient en tribune nord debout.

A Gueugnon, le comportement des Meinau Boys avait franchement écœuré Daniel et quelques autres dont moi. En le voyant dans le quart de virage, je n'ai pas hésité à le rejoindre (on se connaissait bien). C'est je crois ce même jour que Daniel avait proposé le nom d'Ultra Boys (UB) pour ce nouveau groupe, un nom que l'on a tout de suite adopté parce que c'était la mode tout simplement (à l'époque, les supporters marseillais ultra étaient tout simplement les meilleurs de France).
Voilà pourquoi ça m'a toujours un peu énervé cette date de 1990 comme point de départ du groupe alors que c'est faux et que je doute qui beaucoup de personne connaissent encore Daniel et les autres véritables fondateurs dont ... moi.

Alors à moins qu'il y ait eu deux de ces véritables fondateurs (et il faudrait qu'il y ait Daniel) qui ont donné le coup d'envoi, pour moi ce n'étaient que des usurpateurs.

Il n'y a pas de jalousie dans tout ça mais simplement la constatation  d'un mensonge éhonté qui ne fait vraiment pas honneur au groupe.

Ce que je ne comprends pas, il doit bien avoir des UB sur le stub qui connaissent la date ainsi que  Daniel et toi .

Allmen67 MrEnigme a écrit:

Quelqu'un connaît-il l'identité des deux "créateurs du groupe" qui ont donnés le coup d'envoi?
A mon avis, ce sont des "usurpateurs"...

Je pense que personne ici ne pourra répondre à ta question, par contre tu peux contacter des responsables des ub (qui seront mieux placé pour te répondre^^) sur le net. (MP si tu veux)

Pour l'anniversaire, je pense que le groupe est actuellement dans sa 25ème saison (car créé en 90/91), donc fêter en 15/16 ne parait pas illogique.

[Vidéo] Les 25 ans des UB 90 > Meinau / Racing Club Strasbourg [Vidéo] Les 25 ans des UB 90 Vendredi 16 octobre, à l'occasion de Racing Strasbourg-Boulogne (2-0), les Ultra Boys 90 ont fêté leurs 25 ans. Avec une série d'animations et des tifos décliné dans leur quart ...

« Racing, tes supporters sont là »



Ils étaient 18 000 supporters pour ce premier match strasbourgeois de la saison, pas mal pour un 6 août. Pour la première fois, le club des Ultra Boys a pris ses aises en tribune ouest, tandis qu’à l’est, des animations pour les enfants étaient inaugurées.
« Jetzt gehts los, jetzt gehts los… », scande Nicolas, 21 ans, d’Ergersheim, appuyé contre une rambarde, le bras levé. Ce membre des Ultra Boys 90 apprécie le passage du quart de virage nord-ouest à la grande tribune ouest : « Ça va faire comme une marée bleue. Un mur bleu, comme à Dortmund ! » Il vient à la Meinau depuis qu’il a sept ans : « Je suis toujours resté ! » Et il savoure déjà la suite : « On va monter au plus haut niveau, on va rejouer contre des grands clubs… »

« On voulait l’ambiance »

« Allez Racing, allez ! » « Si t’es Strasbourgeois, lève-toi… » Dès avant le coup de sifflet, les supporters donnent de la voix et n’arrêtent pas, encouragés au micro par les « capos ». Les supporters font un beau « tifo » en bleu et blanc et c’est parti. Pas question pour ceux qui ont leurs places numérotées juste derrière la longue banderole des Ultra Boys de rester assis. D’abord, ils ne verraient rien et de toute façon, c’est difficile de ne pas bouger dans le voisinage du club de supporters : tout le monde est mis à contribution pour pousser l’équipe.
Leur ancien président Olivier Kost, supporter depuis la fin des années 80, apprécie : « On sent que ça revient. Le changement de tribune suit l’engouement pour le club. »
Les Ultra Boys seront bientôt 400 membres, ils étaient 300 la saison passée. Au plus fort des turbulences, le noyau n’a pas varié, ils étaient 100, 150 à avoir persisté.
« On voulait l’ambiance », confirment Michel Bronn, 47 ans, et son fils Quentin, 20 ans, de Gerstheim. Ils ont justement pris leur abonnement pour toute la saison dans la tribune ouest. Supporters de longue date, ils ont des écharpes « collectors » autour du cou - elles ont au moins huit ans- mais ils ont déjà prévu de se rééquiper, c’est l’effet retour en Ligue 2. Ils espèrent « minimum le maintien » mais restent « raisonnables » : « Si ça passe en Ligue 1, c’est le bonus. »
« Il va falloir attendre au moins une dizaine de matchs pour faire un premier bilan », estime de son côté Baptiste Siegrist, 22 ans, de Hunawihr, dans le Haut-Rhin, prudent à quelques minutes du coup d’envoi.
Posté en haut de l’escalier de la tribune, il maquille bénévolement les joues des supporters, une ligne bleue, une ligne blanche, depuis l’ouverture des portes.

Une nouvelle « family zone »

à l’arrière de la tribune est

C’est là qu’est expérimenté le nouveau concept de « family zone ». Au menu, coloriage, foot sur un mini-terrain synthétique, goûter, et même petit concert des Gospel Kids pour donner envie aux familles.
Le milieu offensif blessé, Abdelhak Belahmeur, passe dire bonjour au public, se prête à une interview conduite par le magicien Dan Leclaire, qui s’occupe d’animer le nouvel espace. Le joueur échange ensuite quelques balles avec les enfants sous le regard des parents.
Marion, 23 ans, de Strasbourg, et Bénédicte, 38 ans, de Sélestat, se dirigent, elles, vers la tribune « présidentielle », elles ont eu une invitation. Pas spécialement fans de foot, hors grandes compétitions, elles font une exception pour le Racing, « parce que c’est le club local ». Prudentes elles aussi, elles pronostiquent la première partie du tableau, sans penser encore à la montée.
Pendant que la première mi-temps suit son cours, tout le monde ne regarde pas le match : « On sent un effet Ligue 2, un engouement pour le nouveau maillot », observe Pascal, responsable de la boutique du Racing qui reste ouverte pendant le match. Jusqu’au début de la rencontre, le flot des clients était ininterrompu : « C’est un carton. »
Pascal entame sa 27e année auprès du Racing et est avant toute chose supporter. À lui le pronostic de fin : « Vu l’effectif et par rapport aux autres équipes, que je suis aussi, le Racing arrivera parmi les quatre premiers du tableau. »
dna

Le nouveau mur bleu



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Et les abonnés du coté Ouest n'ont plus leurs places

Il existe un championnat de France des tribunes dont voilà le réglement


Le classement de la L2

La couverture d'un livre de Grégory Walther, un grand suiveur du Racing à l'extérieur.

366 000 km pour le Racing


Depuis 25 ans, Grégory Walter est un supporter du Racing. Tombé dedans dès le plus jeune âge, ce passionné a suivi son club dans tous ses déplacements, soit près de 9 tours du globe ! Ses aventures sont répertoriées dans un livre à sortir prochainement et qui racontent une part de l’Histoire du club.
« Ce jour-là, ma vie a basculé. » Comme beaucoup de gamins de l’époque, aujourd’hui adultes et parents, ce 13 mai 1992 restera comme un élément fondateur. José Cobos est inarrêtable, Stephen Keshi explose les filets rennais, Jacky Paillard fait chavirer la Meinau : ce barrage du Racing face à Rennes est ancré dans bien des mémoires. Pour Grégory Walter, tout « a basculé » ce soir-là.
Certes, le terreau était favorable, avec des parents supporters du club, qui avaient même assisté au titre de champion de France 79. Mais lui va encore plus loin dans cette passion. Il goûte à un premier déplacement en 2001, pour un match… à domicile du Racing. La Meinau suspendue, c’est à Caen que les Strasbourgeois « reçoivent » Auxerre. Gregory Walter est dans le car qui conduit les supporters alsaciens. Il sera de tous les déplacements de « son » Racing ensuite (seulement huit « absences » entre 2001 et 2003, aucune depuis…).

319 déplacements jusqu’à la fin de la saison dernière

De Lille à Toulouse, d’Amiens à Grenoble, de Dunkerque à Luçon, de Rome à Lovech, en passant par Illzach-Modenheim, Saint-Denis et le Stade de France, Moulins, Chambly, Paris, Belfort, etc… En tout, 319 voyages pour plus de 366 000 km parcourus sur les traces du Racing. Il a calculé, cela représente neuf fois le tour de la terre. Le titre de son livre, racontant ses déplacements, était tout trouvé : « Neuf fois le tour de la terre pour mon club ».
« Je me suis toujours demandé si j’étais capable d’écrire un livre, confie celui qui est aujourd’hui vice-Président de la Fédération des Supporters du RCS. Je me suis lancé un peu sur un coup de tête. J’ai attaqué ce projet en novembre dernier, l’écriture s’est terminée en août. » Epaulé par neuf relecteurs, et notamment Anaïs, rencontrée dans les tribunes de la Meinau, devenue sa femme depuis et la mère de son petit Robin (2 ans), Grégory Walter a bouclé son ouvrage dernièrement. Préfacé par Marc Keller, il sera en vente avant la fin du mois au stade ainsi que par correspondance (via sa page Facebook ou par mail : neuffoisletour@gmail.com).
Ce livre, qui explore 15 années de l’Histoire du Racing (2001 à 2016), va bien au-delà des simples anecdotes qui pimentent les déplacements retranscrits par Grégory. Il raconte une partie de cet attachement si fort que l’Alsace a pour son club, cet amour si fort qui fédère les Alsaciens derrière leur Racing. « Un bon supporter, c’est un supporter qui aime le club au-delà des hommes qui le composent et de manière inconditionnelle, analyse-t-il. Peu importe la manière de traduire cet attachement. » Grégory, lui, a traduit son attachement en étant là, partout, quelle que soit la division et la distance. Par amour de son club.

Fan du Racing


SO

Le plus impressionnant je trouve c'est qu'aucun événement de sa vie (sentimentale ou professionnelle en particulier) n'a su le dévier d'un iota de cette passion. Je reconnais que c'est la rencontre de ma femme en 1992 puis mon départ de la région pour raison professionnelle qui m'ont détournés du quart de virage vers la même époque alors q'entre la fin 90 et la mi-92, j'ai fais à peu près tous les matchs du Racing.
Qu'est-ce qu'on rigolait dans les bus en déplacement.

Les seuls déplacements que nous faisions avec les copains c'était en voiture et ce n'était que les clubs de l'Est de la France.

Lanceur de chants

Il a toujours eu des employeurs sympas je suppose.

Bon ben voilà, on y était, on a chanté, on n'a pas eu nos frites et on a perdu
Allez hop, c'est parti pour la cité mère du fameux Lucullus ! Nous sommes environ 46 Strasbourgeois dans le bus à partir soutenir notre Racing.
Lors de la dernière pause en Belgique, nous avons le plaisir de rencontrer la "tribu" Guillaume venu soutenir leur protégé à environ 9 participants. Ils sont heureux de notre rencontre et en profitent pour essayer de faire participer les moins éméchés des Strasbourgeois pour une p'tite vidéo qui sera immédiatement envoyée à Baptiste (NDPépito : qui se plait selon eux dans notre bonne cité de la choucroute).
Nous arrivons en vue de l'enceinte toute en rouge vers 20h03 après avoir été escortés par une p'tite escorte et avant d'être palpés et caressés par un service d'ordre semi-imposant et bien aimable. Tout le matériel (drapeaux, méga et tambour) rentrera et encore heureux vu le prix (environ 10 euros ) de la place.

Les Ultras, sauf votre aimable narrateur parti en éclaireur dans la tribune et en mode sacrifice pour déceler les pièges éventuels, patientent gentiment pour faire une entrée groupée, bien animée et colorée.
Nous retrouvons dans notre parcage la famille de @greg, la section écossaise, l'évadé fiscal, notre amateur de prostituées et un drogué, tous de la grande famille des Ultras, la voiture de @kitl revenu peut être du Juste prix et environ 12 Strasbourgeois ou autres locaux .
En gros, nous serons environ 78 à soutenir le Racing ou du moins à être présents.

Le parcage est une sorte de Quart de Virage et nous sommes placés à l'étage pour une visibilité somme toute correcte.
Pour les intégristes des détails, on avait, je crois, une buvette et les lieux pour se soulager avaient l'air presque propres.
Le stade du Hainaut est joli, avec des tribunes tout en rouge en deux anneaux. Il est connecté par deux écrans géants qui passent avant le match (et à l’interstice reposatoir) un concert d'un rappeur bizarre qui s'excite sur la scène et pendant la rencontre, presque en direct, les ralentis des actions (NDP : enfin je crois).
Environ 8221 sont présents pour assister à cette rencontre.
Nous accueillons nos joueurs en chantant et avons quasi toute la rencontre un soutien vocal et coloré même si vu notre nombre pas sur qu'on nous entende à l'autre bout du stade.
En face les "Roisters" sont en grève en premier mi-temps avec quelques banderoles illisibles d'où nous sommes (ils sont dans la tribune du bas sur notre droite (NDP : gauche si tu es à l'envers) pour protester contre les résultats déplorables du club du Nord.
Ils se mettent à chanter à partir de la mi-temps : deux capos, quelques drapeaux, un peu de pyrotechnie et un groupe entre 102 et 283 personnes environ (NDP : selon mon estimation personnelle) qui chantent et bougent pour les joueurs en rouge.
Ben pour le match on a l'air de pas trop mal jouer avec quelques occasions même si Valenciennes est aussi dangereux et hop deux erreurs individuelles nous font perdre la rencontre. C'est un peu dégoutés par le cheminement des buts et du score que nous saluons les joueurs venus vers nous sans se dérober.

D'humeur maussade et sans avoir vu l'ombre d'une frite, les Strasbourgeois repartent vers leurs pénates pour une arrivée vers 4h36 pour les occupants du bus et aucune idée pour les autres (NDP : ni si ils sont bien arrivés).