On sent que tu apprécies autant Plessis que moi le Présidieu

Il n'avait pas une réputation de toquard quand il est arrivé. Mais il en prend le chemin surtout si le Racing n'arrive pas à s'extirper de la situation qui est la sienne. A moins que le malade l'est déjà été trop quand il est arrivé dans ce cas, ses efforts auront été vains.
Je le jugerai définitivement le jour où le championnat reprendra en National. Avec ou sans le Racing.

06/07/2010 04:12

Strasbourg / Conseil municipal

Roland Ries : « Le Racing évoluera en National la saison prochaine »
Après le choc de la relégation en championnat de France amateur, faute de garanties financières suffisantes, un sursaut salutaire s'est semble-t-il opéré : les investisseurs londoniens et locaux cherchent la meilleure solution pour maintenir le Racing en National. Coûte que coûte.


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Les déboires du Racing ont une fois encore alimenté les débats, hier dans la salle du conseil municipal. (Photo DNA - Jean-François Badias)
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partager : L'attribution à l'unanimité d'une somme de 300 000 euros (145 000 euros pour l'opération été foot et 155 000 euros pour des prestations de service), hier lors du conseil municipal de Strasbourg, a relancé le débat sur la descente aux enfers du club résident de la Meinau et les responsabilités des acteurs du dossier. Après la calamiteuse saison en L2, la relégation en National, le Racing est aujourd'hui rétrogradé administrativement en championnat de France amateur, pour garanties financières insuffisantes : de semaines en semaines, « le club qui porte le nom de la ville » est allé de Charybde en Scylla. Et encore, le fond - le dépôt de bilan - n'est pas encore atteint, ou évité. LONDRES EN CONTACT AVEC STRASBOURG. - La dernière péripétie aurait semble-t-il provoqué un sursaut. Roland Ries a rencontré Jafar Hilali à Paris, il y a une dizaine de jours, a confirmé le maire. Et « les actionnaires londoniens sont en contact avec le pool d'actionnaires locaux », a rapporté Roland Ries. Objectif : trouver les voies et les moyens de garantir un statut professionnel au Racing en National, la saison prochaine - qui va démarrer dès cet été... « La collectivité va tout mettre en œuvre pour que le club puisse jouer en National », a martelé le premier magistrat. ACHETER LES MURS DU CENTRE DE FORMATION ? - Ce qui signifie que dans les jours à venir, de l'argent devra être mis sur le table pour « assurer une saison entière afin de ne pas fausser l'ensemble du championnat », a poursuivi Roland Ries. Par qui ? Trois hypothèses : par les propriétaires londoniens, par les repreneurs locaux (à condition que le club soit vendu) ou par les deux instances réunies « dans le cadre d'un rapprochement » - « l'option durable », indique l'adjoint aux finances, Alain Fontanel. Pour l'heure, et dans l'urgence, le maire veut s'assurer de la survie du club : cela pourrait passer par l'achat des murs du centre de formation qui appartiennent au Racing, ou faire baisser le prix de location du stade de la Meinau, ou encore actionner d'autres leviers qui n'ont pas été détaillés hier.

Ah bah si c'est le maire qui le dit, on ne peut être que sauvé ...

Je constate simplement que l'on a encore perdu du temps,maintenant que le Racing se retrouve véritablement au bord du précipice,la municipalité lâche enfin du lest

K4is3rt0m a écrit:

On sent que tu apprécies autant Plessis que moi le Présidieu

En foot je n'aime pas les perdants. Rassure toi, Ginette est pour moi une escroquerie totale.

Citation :

STATUT DE LA DNCG :
Les clubs professionnels de Ligue 1 et de Ligue 2 font tous l'objet, chaque saison, d'un contrôle de leur situation juridique et financière par la Commission de Contrôle des Clubs Professionnels de la Direction Nationale du Contrôle de Gestion.
Ce contrôle s'exerce en toute indépendance dans le cadre de la mission (qui lui a été confiée par la loi du 16 juillet 1984 modifiée), ainsi que par les règlements de la Fédération Française de Football et de la Ligue de Football Professionnel.
Dans son rôle de contrôle des clubs professionnels, la DNCG a pour principal objectif d'assurer la pérennité et l'équité des compétitions, en vérifiant notamment que les investissements sportifs de chaque club n'excède pas ses capacités financières. Cette appréciation se fait à partir des données financières, historiques et prévisionnelles, communiquées par les clubs. La Commission rappelle ainsi l'importance de l'existence, au niveau des clubs, de systèmes comptables et de contrôle interne efficients, d'un contrôle de gestion adapté au secteur d'activité et d'un processus structuré de prévision. Ce dispositif est placé sous le contrôle des Commissaires aux Comptes des clubs. In fine, ce sont les dirigeants des clubs qui ont la responsabilité des informations communiquées à la Commission.
La DNCG n'a pas pour mission d'auditer les comptes des clubs au sens où peut le faire un commissaire aux comptes : elle n'en a d'ailleurs pas les moyens juridiques et matériels. Sa mission principale est de contrôler la situation juridique et financière des clubs. Elle s'intéresse à ce titre à la sincérité des informations qui lui sont fournies (et donc à la fiabilité des comptes), mais n'a pas pour mission de les certifier ou de les attester. L'objet de ses contrôles sur pièces et de ses auditions n'est donc pas d'identifier d'éventuelles erreurs et/ou fraudes comptables, mission d'une toute autre nature que la DNCG ne serait pas à même d'assumer en l'état actuel des procédures. Elle peut toutefois ponctuellement constater des irrégularités dans l'exercice de ses missions et transmettre alors ces informations aux organes compétents, lorsqu'elle ne l'est pas elle-même.
Le Rapport d’activité Commission de Contrôle des Clubs professionnels de la DNCG pour la saison 2008/09 reprend les conclusions de sa mission sur l’exercice et suggère des améliorations dans les domaines relevant de sa compétence.
Pour plus de détails sur la mission de la DNCG et les moyens dont elle dispose pour faire appliquer ses décisions il convient de se reporter à l’Article 11 de l’Annexe 1 du Règlement de la DNCG et pour les sanctions en cas d’inobservations des dispositions relatives à la tenue de comptabilité, aux procédures de contrôle et à la production de documents à l’Annexe 2 du même Règlement (voir sur le site l’Annexe à la Convention FFF/LFP).
La DNCG est un organisme spécifique au sport, et qui n’existe que si une Fédération Sportive délègue à une Ligue la gestion du secteur professionnel. Il n’a pas d’équivalents dans d’autres secteurs d’activité, à la fois par son mode de désignation, ses objectifs et son fonctionnement. A l’exemple de l’UEFA qui a institué au niveau européen un système de supervision dont les objectifs s’inspirent de ceux de la DNCG (le Fair Play Financier), la situation financière des clubs en Europe pourrait justifier la création d’organismes similaires dans d’autres pays que la France dans un avenir rapproché.

Comme je l'avais déjà expliqué, le pool régional a semble t-il trouvé un moyen de revenir sur le devant de la scène !!

Sitterlé pose ses jalons

Chef de file du pool de repreneurs alsaciens cet hiver, Frédéric Sitterlé, soutenu par la Ville de Strasbourg, pourrait apporter les deux millions d’euros nécessaires au Racing pour franchir l’obstacle de la DNCG d’appel (1).

Décidément, Roland Ries n’est pas du genre à faire sa publicité autour des rendez-vous qu’il organise pour sauver le Racing de la rétrogradation administrative en CFA et éviter la mort du football professionnel à Strasbourg.
Sa rencontre avec le propriétaire du club, Jafar Hilali, il y a quinze jours à Paris avait mis quelque temps à filtrer. Idem pour le déjeuner qu’il a récemment organisé à Strasbourg avec Frédéric Sitterlé, patron haut-rhinois de la holding parisienne « The Skreenhouse Factory » et porte-parole du dossier alsacien de rachat avorté début mars.

Face aux difficultés d’un club étranglé par des cordons de la bourse de plus en plus serrés, le maire, qui avait réclamé en pure perte le 11 mars le départ des actionnaires londoniens, a décidé d’agir. Avant-hier en conseil municipal, il s’est d’ailleurs engagé à ce que le club évolue en National en 2010-2011. Si l’hypothèse d’un rachat du centre de formation contre 2 millions d’euros, qui permettrait de répondre aux exigences de la DNCG, existe, elle n’apparaît que comme un ultime recours et est de toute façon impossible à mettre en œuvre à très court terme.

Sitterlé : « Nous pourrons trouver un accord »

Pour trouver ces fameux 2 millions, Hilali a quatre solutions : les mettre de sa poche, vendre des joueurs (ou récupérer la plus-value sur Kévin Gameiro si Lorient le cède), des actifs (les bâtiments du centre de formation) ou ouvrir la porte du capital à un nouvel entrant, en échange d’un apport sonnant et trébuchant.

Après la rencontre Ries - Sitterlé de lundi, la municipalité privilégie évidemment cette dernière solution. Reste à savoir ce qu’en pense un Jafar Hilali qui a fait lanterner tout son monde durant trois mois cet hiver avant de se rétracter en dernière minute.

L’apport de 2 millions versé au club - et non aux propriétaires - permettrait à Sitterlé de récupérer un pourcentage du capital - à définir - et entraînerait un changement du mode de gouvernance, doublé d’un bouleversement du conseil d’administration. Dans quelles conditions ? C’est précisément ce dont les deux hommes discutent depuis quelques jours, en quête d’une solution avant le nouvel examen du dossier strasbourgeois en appel. « Je suis persuadé que M. Hilali et moi pourrons trouver un terrain d’entente et un accord sur la gouvernance du club », prédit le Haut-Rhinois qui n’a jamais rompu les échanges avec le patron de Carousel Finance (« L’Alsace » de dimanche).

L’actionnaire londonien y est-il vraiment disposé ? Depuis sept mois, il s’est toujours montré joueur. Après un trimestre de discussions, il avait fini par envoyer balader les Alsaciens le 6 mars. S’il peut renflouer les caisses du RCS sans avoir à solliciter F. Sitterlé, il le fera sans nul doute. Sinon, il devra composer avec lui.

Car quand, dans une partie de poker, arrive le dernier tour de table et que l’on risque de jouer son tapis, le bluff ne suffit plus. À mesure que les sanctions tombent, Jafar Hilali prend un peu plus conscience qu’il court le risque de perdre son investissement de 5,2 millions. Ça doit lui donner à réfléchir.

S.G.
(1) Direction nationale du contrôle de gestion.

Bon pour l'instant c'est pas le pool régional, c'est juste un gars ^^ Qui si ça se trouve d'ailleurs a autant de fric que tout le reste du pool ...

Kientz d'un coté,Sitterlé (soutenu par la ville) de l'autre ,ça bouge quand même.
Après le plus important c'est que l'on puisse démarrer notre saison sereinement en National.

Poncho a écrit:

Kientz d'un coté,Sitterlé (soutenu par la ville) de l'autre ,ça bouge quand même.
Après le plus important c'est que l'on puisse démarrer notre saison sereinement en National.

Non non Poncho, Kientz, Specht, Weller et Sitterlé sont potes depuis longtemps. En tout cas, aux dernières nouvelles, ils marchent ensemble. Enfin, ce que j'ai entendu dire dans le microsome nancéien, de la bouche même d'un ancien attaquant qui a foulé aussi les pelouses de la Meinau... Tu vois ?

Je ne dis pas autre chose Manou,je parle bien du pool régional dans tous mes posts

On en sait un peu plus au sujet l'apport de Sitterlé, il est donc prêt à injecter ces 2millions mais en contrepartie il désire obtenir 34% des parts du racing !

Citation :

Sitterlé veut 34 %. Patron haut-rhinois de la société « The Skreenhouse Factory » récemment rebaptisée « mySkreen.com », Frédéric Sitterlé est toujours disposé à verser les deux millions manquants si Jafar Hilali accepte son entrée dans le capital du club et un bouleversement du mode de gouvernance (nos éditions des 3 et 7 juillet). Les deux hommes négocient actuellement, mais l’actionnaire londonien n’est guère enclin à accéder aux exigences de l’homme d’affaires alsacien soutenu par la municipalité de Strasbourg. En contrepartie de son apport de deux millions, F. Sitterlé réclame en effet 34 % des parts du RCS. Un pourcentage qui n’a rien d’anodin : il disposerait ainsi de la minorité de blocage et pourrait s’opposer à toute décision ne lui convenant pas. Sauf à se retrouver le couteau sous la gorge avant son passage devant la DNCG d’appel, Hilali ne donnera sûrement pas suite à un projet qui remettrait en cause son pouvoir hégémonique.

Hilali plutôt non

Alors que les exigences de la DNCG lui imposent le versement de deux millions d'euros, Jafar Hilali serait sur le point de tourner le dos à la main tendue par Frédéric Sitterlé pour l'aider financièrement.
Cela tend à ressembler au Jour sans fin, ce film où Bill Murray, chaque matin, revit la même journée dans un village de Pennsylvanie où il est bloqué par le blizzard. Depuis que les actionnaires londoniens ont déboulé au Racing, on se demande quand ils vont céder le club, collaborer avec d'autres ou révéler leurs vraies intentions quant à ce qui devient chaque jour un peu plus une mauvaise affaire.
Sommés d'apporter une garantie de deux millions d'euros par la DNCG, Jafar Hilali, Alain Fontenla et les autres sont sous pression. Ils espèrent obtenir avec le transfert de quelques joueurs les moyens de se remettre d'équerre. Il n'en sera rien puisqu'il n'y a rien à espérer du marché dans l'immédiat. La Mairie, inquiète de la situation du club, a organisé un rapprochement avec Frédéric Sitterlé, pour tenter de préserver le statut professionnel d'un club plus que centenaire.
Le jeune chef d'entreprise alsacien avait tenté une première fois de procéder au rachat du club au printemps. En vain. Il a admis cette semaine que des négociations avaient été réouvertes et qu'il était prêt à apporter une contribution financière significative pour que le club s'en sorte. Mais il semblerait que, pas plus lors de la précédente négociation, le processus n'aboutira à une issue heureuse.
« Jafar est fier et n'aime pas se voir dicter de quelconques exigences », explique un proche des Londonniens. Il semblerait donc que le mystérieux propriétaire, qui n'a jamais daigné se présenter à Strasbourg, préfère voir le club disparaître de le sphère pro que d'y perdre la main.

DNA

Mon Dieu. On dirait un gamin dans un bac à sable jouant au caïd.

la seule "bonne" nouvelle pour l'instant est que le recommandé de la Ligue notifiant votre relégation administrative en CFA n'est toujours pas arrivée au club donc ça vous laisse un petit délai supplémentaire pour trouver des solutions...

Alors comme ça Jafar est quelqu'un de fier, et bin ça nous fait une belle jambe !

Qu'il garde sa fierté ce clown. Nous sommes en Alsace pas dans le sud de la France.

Le feuilleton continue ....


Au chat et à la souris

Même si le couperet de la DNCG (1) menace de tuer le foot professionnel à Strasbourg, les propriétaires londoniens du RCS continuent de rester sourds aux appels du pied de Frédéric Sitterlé, susceptible de leur apporter 2 millions d’euros de cash. Leur attitude jusqu’au-boutiste peut-elle couler définitivement le navire bleu ?


C’est reparti pour un tour. Comme aux « plus belles » heures de l’hiver où l’Alsace du foot attendait chaque matin le nouvel épisode des tribulations du Racing à Londres, les discussions ont repris ces jours-ci entre les propriétaires de la City et Frédéric Sitterlé, homme d’affaires alsacien porte-parole à l’époque du projet régional de rachat et qui fait désormais cavalier seul pour proposer ses services – et deux millions d’euros de cash – à des actionnaires majoritaires que l’échéance couperet de la DNCG d’appel attend dans quelques jours.

Le gendarme financier de la Ligue a en effet exigé que les actionnaires « anglais » fournissent une garantie de 2 millions. Somme que ces derniers ne sont pas disposés à injecter, après en avoir déjà dépensé 5,2 depuis leur entrée en scène le 4 décembre (2).

Patron de la société mySkreen.com, Sitterlé, qui n’a jamais rompu les liens avec Jafar Hilali, PDG de Carousel Finance et véritable propriétaire du RCS, est de nouveau entré dans une phase active de négociations avec ce dernier. Pour l’heure sans plus de résultats qu’en mars.

Comme en janvier où les propriétaires avaient attendu d’être au pied du mur pour verser les 3 millions exigés par la DNCG, Hilali cherche une solution alternative. Celle-ci se limite à la vente de joueurs dont chacun a bien compris, dans un marché bloqué et morose, qu’elle ne se commande pas d’un simple claquement de doigts.

Depuis mercredi, le Londonien n’en a pas moins « gentiment envoyé balader » la mairie et son représentant, l’adjoint aux finances Alain Fontanel, puis Frédéric Sitterlé, auquel le maire Roland Ries a apporté un soutien sans faille lors d’un déjeuner privé lundi. « Comme dans toute négo, il y a des hauts et des bas », relativise Fontanel. « Il ne faut survaloriser ni les uns ni les autres. Nous sommes dans une phase normale de discussions, avec des avancées et des reculades, entre deux hommes d’affaires. Nous avons quelques jours pour finaliser un accord. Ou pas. »

« La meilleure solution pour Hilali »

En quatre mois, la situation a cependant sensiblement évolué. Alors que rien ne le pressait début mars lorsqu’il a rompu unilatéralement les tractations pour la vente du club, Hilali sait qu’il n’échappera pas à la DNCG d’appel (voir par ailleurs).

Contre deux millions, Sitterlé aimerait disposer de 34 % des parts de la SASP. EuroRacing, la holding de tutelle que contrôle le duo Fontenla – Hilali, en garderait 44. L’industriel Robert Lohr en possède 20 et les « nano-actionnaires » minoritaires, 2 %.

Avec ces 34 %, Sitterlé bénéficierait non seulement d’une minorité de blocage, mais par le jeu d’une alliance avec Robert Lohr qui devait l’accompagner dans le projet alsacien de reprise l’hiver passé, pourrait même récupérer la majorité. Un schéma difficilement acceptable pour Jafar Hilali. « C’est compréhensible », admet Henri Ancel, médiateur de la Ville revenu au cœur de la négociation, « Mais nous ne sommes plus dans le même cas de figure qu’en mars. Il n’est plus question de racheter la totalité du club et de demander le départ de Hilali et Fontenla, mais d’une prise de participation d’un investisseur extérieur. Hilali resterait l’actionnaire principal, à défaut d’être majoritaire. L’idée serait de construire un projet avec trois actionnaires principaux, comme à l’époque de Marc Keller et Egon Gindorf. Plus le temps passe et plus Jafar Hilali perd de l’argent. A nous de lui faire comprendre qu’il n’y a pas de piège dans cette formule et que même pour lui, c’est la meilleure solution. C’est le seul moyen d’avoir une chance de récupérer son argent, voire de faire une plus-value à terme si le club remonte la pente. »

Ce vœu pieux peut-il se réaliser ? La récente réponse de Hilali à Sitterlé n’esquisse pas franchement une ébauche de rapprochement. « Si tu mets 2 millions, tu auras 15 % de la SASP, rien de plus, et tu ne participeras pas aux décisions stratégiques », a lancé en substance le PDG de Carousel Finance à l’Alsacien. Provoc ou vraie détermination ? Comme le dit le proverbe, c’est à la fin du bal qu’on paie les musiciens. L’heure de régler la facture approche. (L'Alsace)

Robert Lohr, je n'y pensais plus. Il a été bien discret depuis le début de toute cette affaire, depuis six mois même. Ce n'est peut-être pas plus mal, je ne me souvenais d'ailleurs plus qu'il avait autant de parts.

Sitterlé a 15% + Lohr a 20 , ça fait quand même déjà la minorité de blocahe , n'empêche !

En tout cas à part perdre de l'argent , je comprends pas bien pourquoi Hilali s'entête à ne rien lacher..

Robert Lohr, mon ancien patron, un mec bien envers ces employés.

« Le dossier d'appel part aujourd'hui »

Des nuages aussi noirs que la situation du Racing. Aussi noirs que le regard de Jean-Claude Plessis, qui semble de plus en plus désabusé par la tournure des événements. « L'important, c'est ce qui se passe là », veut positiver le président en montrant le pré et ses troupes du doigt.
On aimerait le croire. Mais hier, le long de la main courante, ce sont une nouvelle fois les histoires de gros sous et autres rumeurs de dépôt de bilan qui ont alimenté les conversations des quelques supporteurs présents.
Car le triste feuilleton DNCG/Racing est toujours en cours. Hier, Plessis a en effet reçu le courrier qui notifie officiellement la relégation du Racing en CFA.
« Notre dossier d'appel va partir aujourd'hui », a-t-il précisé. Le président n'a pas apporté plus de détails sur la nature de cet ultime recours, notamment en ce qui concerne les deux millions d'euros exigés par la DNCG pour assurer une place en National au Racing. « C'est le souci de l'actionnaire », s'est borné à répéter une nouvelle fois Jean-Claude Plessis.La DNCG ne devrait pas se prononcer sur cet appel avant la fin de semaine ou le début de la semaine prochaine.(DNA)



Comme expliqué plus haut ou dans un autre topic, les championnats sont officialisés le 15 juillet, soit dans 2 jours et aucun club ne peut être rétrogradé administrativement après cette date !!

Ça devrait donc sentir bon ? A moins que derrière la DNCG peut se venger en nous retirant des points ?

je ne pense pas que çà entre dans les attributions de la DNCG de nous retirer des points, par contre nous exclure purement et simplement du championnat, çà oui.

Poncho a écrit:

Comme expliqué plus haut ou dans un autre topic, les championnats sont officialisés le 15 juillet, soit dans 2 jours et aucun club ne peut être rétrogradé administrativement après cette date !!

je suppose que seule la DNCG d'appel fait excéption à cette règle car j'ai vu encore récemment des clubs relégués et d'autres promu peu avant le début du championnat notamment entre le National et le CFA...

Je viens de revoir le topic de début de saison du National 2009-2010. A l'époque, deux équipes avaient un peu la même situation que nous au même moment de l'année, il s'agit de Louhans et de Cassis-Carnoux qui avaient fait appel. Ces deux clubs ont finalement eu le droit de continuer en National. Mais un an plus tard, ils n'y sont plus, relégués.

Citation :

Les exigences de la DNCG. Elle réclame aux actionnaires majoritaires 2 millions d’euros de garantie, mais pas seulement. Son jugement du vendredi 2 juillet est aussi très sévère pour l’actionnariat qu’elle estime incapable de maintenir la situation financière sur toute la saison 2010-2011.

l'Alsace

Allmen67 MrEnigme a écrit:

Je viens de revoir le topic de début de saison du National 2009-2010. A l'époque, deux équipes avaient un peu la même situation que nous au même moment de l'année, il s'agit de Louhans et de Cassis-Carnoux qui avaient fait appel. Ces deux clubs ont finalement eu le droit de continuer en National. Mais un an plus tard, ils n'y sont plus, relégués.

Oui c'est d'ailleurs ce que recherche pour le moment Hilali, gagné du temps pour éviter de mettre la main à la poche.Avec les ventes des joueurs (qui ne se font pas pour l'instant) résorber en partie le déficit actuel......mais en ce qui concerne la saison 2011 -2012 Bref on ne fait que repousser le problème et qui risque fort d'être plus important dans un an !!

moi je crois que la DNCG peut exclure le racing à n'importe quel moment du championnat, on a un précédent avec Cuiseaux-Louhans, exclus puis repêché in-extremis ensuite après avoir présenté quelques garanties la saison dernière.

Pour finalement tomber quand même.
Quelle saison ça va être avec toujours cette épée de Damoclès au-dessus de la tête.