LFP -
 Le pouvoir dans les mains des clubs de Ligue 1



Le combat entre les clubs de Ligue 1 et "les autres" continue. Le recours déposé par l'Union des Clubs Professionnels de Football contre la représentation des clubs français par le syndicat "Première Ligue" a été rejeté.

Cette lutte entre ces deux syndicats est la conséquence d'une rupture entre les clubs de Ligue 1, dont dix-neuf font partie de "Première Ligue", et vingt-trois des clubs des deux échelons inférieurs auxquels il faut ajouter Guingamp représentés par l'UCPF.

Un second recours a été déposé il y a une semaine par le syndicat historique (UCPF) pour faire suspendre toute réunion du conseil d'administration de la Ligue jusqu'à la décision définitive, attendue pour janvier prochain. Selon l'AFP, le tribunal aurait rejeté cette requête pour "défaut d'urgence".

Cette scission pourrait avoir des effets indésirables pour les clubs des échelons inférieurs. Une moindre représentativité pourrait les léser dans les attributions de subventions, ou permettre aux clubs de Ligue 1 de baisser le nombre de descentes en Ligue 2 à deux équipes, ce qui aurait des conséquences sportives, mais aussi financières (par les droits TV par exemple).

Live Foot

le foot français est un vrai foot-oir.

Les barrages dès cette saison ?


Selon L'Equipe, la LFP pourrait instaurer dès cette saison deux montées et deux descentes entre la Ligue 1 et la Ligue 2. Le tout accompagné du fameux barrage.

Alors que l'on semblait devoir patienter encore une saison, on pourrait assister dès maintenant à l'instauration de deux montées et deux descentes entre la Ligue 1 et la Ligue 2. Le tout accompagné d'un barrage entre le 18eme de L1 (le Gazélec Ajaccio actuellement) et le 3eme de L2 (Dijon aujourd'hui) à l'issue de l'exercice 2016-17. Selon L'Equipe, le conseil d'administration de la LFP est passé jeudi à la vitesse supérieure. « Noël Le Graët (le président de la FFF) souhaite que le litige prenne fin, explique Frédéric Thiriez, le président de la LFP, dans les colonnes du quotidien sportif. Mais il faut que chacun y mette du sien. La Fédération veut ce 2-1 dans dix-huit mois. Mais si tout le monde est pour cette solution, faisons-la tout de suite, dès la fin de la saison. J'ai donc proposé à la mon conseil d'administration d'adopter cette mesure. Ce qu'il a fait. »

Mais alors que la Ligue 2 et le National doivent adopter maintenant ce même schéma pour que cette décision soit entérinée, il n'est pas encore acquis que l'assemblée fédérale du 12 décembre soit favorable à Frédéric Thiriez. Et en attendant de connaître la position définitive du monde amateur (notamment), le feuilleton est donc encore loin d'avoir livré son verdict.
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Et ça revient comme il y a quelques mois. En fin de compte, les gros bonnets de la L1 vont obtenir gain de cause.

Il y a surtout un de la bande qui souhaiterait que la L1 soit entre eux.

Bientôt une association mondiale des Ligues de football
La Ligue de Football Professionnel a annoncé mardi, par le biais d'un communiqué, la création d'une association mondiale des Ligues de football. Une décision actée à Paris lors d'une réunion annuelle qui se tenait en présence de 23 Ligues venues de tous les continents et de quatre candidats à la présidence de la FIFA.
Les Ligues du monde entier seraient-elles prêtes à s'exprimer d'une seule et même voix ? Elles se sont engagées mardi sur cette voie, la Ligue de Football Professionnel française ayant dévoilé mardi via un communiqué la création d'une future Association mondiale des Ligues de football. Celle a été décidé à l'issue d'une réunion mardi à Paris, dans le cadre du deuxième « Forum Mondial des Ligues ». Vingt-trois ligues issues de tous les continents y ont participé et la FIFA y était également conviée. Elle était représentée par James Johnson, manager en charge des relations institutionnelles.
Thiriez président du groupe de travail
Le communiqué de la LFP indique que « quatre des cinq candidats à la présidence de la FIFA (le Prince Ali, le Sheikh Salman, Jérôme Champagne et Tokyo Sexwale) ont exposé leur programme et leur vision du rôle des ligues dans la future gouvernance de la FIFA. » Seul Gianni Infantino, secrétaire général de l'UEFA, n'était pas présent parmi les postulants. A noter que dans l'optique de la création de l'Association mondiale des Ligues de football, un groupe de travail a été mis en place pour en définir les statuts. Frédéric Thiriez en fait partie, aux côtés des présidents des Ligues mexicaine, américaine, allemande et japonaise. Le boss de la LFP en est même le président. En espérant que la France en profite pour ne pas rater un nouveau train pour le développement de son football.
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Pourquoi deux associations? FIFA et Ligue mondiale?
Elles vont se marcher sur les pieds.

Histoire de pognon ?

LFP : l'UCPF demande la démission de Frédéric Thiriez
L'Assemblée générale de la Ligue, fin février, s'annonce délicate pour son président, Frédéric Thiriez : l'UCPF, l'un des deux syndicats de clubs, estime qu'il «a failli à sa mission» et appelle à sa démission.
Il n’y a plus de doute. L’UCPF, le syndicat historique des clubs de football pro qui réunit désormais les 20 pensionnaires de L2, plus trois de National et un seul de L1, Guingamp, s’est réuni en Assemblée générale ce jeudi. Ses représentants en appellent à la démission de Frédéric Thiriez : «Face à l’impasse institutionnelle actuelle, l’UCPF considère qu’une telle démarche ne peut s’accomplir qu’avec une re-légitimation du Conseil d’administration de la  LFP. En conséquence elle appelle à la démission du président de la LFP qui, depuis de nombreux mois, a failli à sa mission en ne jouant pas son rôle de rassembleur. L’UCPF appelle à un vote en ce sens lors de la prochaine AG de la LFP prévue fin février».
Depuis plusieurs semaines, comme nous vous l'avons révélé le 10 décembre dernier, l’UCPF, par l’entremise de Jean-Michel Roussier, ancien président de l’OM et membre du CA de la LFP, a tenté de rallier quelques présidents de L1 afin de tenter de renverser Thiriez et son conseil d’administration. Sans succès. Le syndicat a donc décidé d’agir à visage découvert pour mettre fin au mandat du président Thiriez.

Main tendue à Première Ligue

Par ailleurs, l’UCPF, qui dit reconnaitre «pleinement le rôle de leadership de la Ligue 1» a réaffirmé son accord sur quelques principes suivants. La Ligue doit être la maison de tout le football professionnel français, incontestable et incontestée. L’UCPF se dit favorable au système de 2+1 pour les montées et descentes, elle souhaite une garantie de longue durée sur la clé de répartition des droits audiovisuels entre L1 et L2 et elle souhaite un CA de la LFP composé de 9 représentants de L1 et 3 représentants de L2, et des familles. Enfin elle souhaite aussi la transformation de la LFP en société commerciale, dont la direction doit être confiée à un exécutif fort et indépendant à vocation économique.

Des propositions qui devraient satisfaire Première Ligue, le syndicat de 19 clubs de L1.
Equipe

LFP  La LFP prive la L2 de 4,5 millions d'euros de solidarité
Le conseil d’administration (CA) de la Ligue a remis en cause la redistribution des sommes versées par l’UEFA au titre de la solidarité avec les clubs non qualifiés en Coupe d’Europe. Cette saison, le total versé par la Confédération européenne s’élève à 10 millions d’euros. Mais la Ligue 2, qui devait percevoir 4,5 millions d’euros, ne touchera rien. «C’est très désagréable, limite scandaleux, estime Claude Michy (Clermont), représentant de la L2 au CA de la LFP. Ces sommes étaient attendues par les clubs.»
Equipe

Pure décision arbitraire et de rétorsion contre les clubs de L2: scandaleux, Thiriez est un s...... de première.

Depuis qu'il a presque tous les présidents de L1 sur le dos, il fait tout pour emmerder son monde.

sera bientôt remplacé par Platini qui va chercher du boulot.

Il ne manquerait plus que celui-là.

Vers trois descentes et trois montées en Ligue 1 et Ligue 2
Le Conseil d'État a examiné mercredi le conflit entre la Ligue (LFP) et la Fédération française (FFF), sur le nombre de descentes et de montées en Ligue 1 et Ligue 2. La séance a largement tourné en faveur de la FFF, qui entend en rester à trois clubs concernés, alors que la LFP souhaite qu'ils ne soient plus que deux.

Il est désormais plus que probable que le Conseil d'État suive la demande du rapporteur public, Xavier Domino, de donner raison à la position fédérale. La décision sera rendue dans environ trois semaines.
Equipe

L1/L2 : le Conseil d'Etat maintient le principe des 3 montées et 3 descentes
Le Conseil d'Etat a annoncé ce mercredi sa décision de maintenir le principe des trois relégations et promotions entre la Ligue 1 et la Ligue 2 cette saison, rejetant ainsi la requête de la LFP et s'alignant avec la FFF.
Le Conseil d'Etat s'est prononcé en référé ce mercredi dans le conflit qui oppose la Ligue (LFP) à la Fédération française (FFF) depuis plusieurs mois. Il a décidé de maintenir le principe des trois relégations et promotions entre la Ligue 1 et la Ligue 2, rejetant ainsi la requête formulée par la LFP. Celle-ci souhaitait faire annuler une décision de la FFF, qui avait invalidé sa réforme, selon laquelle deux clubs seraient désormais autorisés à monter dans l'élite, tandis que dans le même temps, deux en descendraient à l'échelon inférieur à l'issue de la présente saison.
«Il revient à la fédération de réformer les décisions de la ligue qui seraient contraires aux statuts de la fédération»

«Le Conseil d'Etat a d’abord rappelé que les fédérations sportives sont chargées, par la loi, d’une mission de service public qu’elles peuvent soit exercer directement en définissant les règles d’organisation des compétitions, soit, pour les sports professionnels, déléguer à une ligue professionnelle qu’elles ont créée, a expliqué l'instance dans un communiqué. Le Conseil d’État a ensuite jugé que, lorsqu’elle crée une ligue professionnelle, une fédération doit s’assurer que celle-ci fait usage des pouvoirs qui lui sont ainsi délégués, dans le respect des statuts de la fédération et conformément à l’intérêt général de la discipline. Il revient donc à la fédération de réformer les décisions de la ligue qui seraient contraires aux statuts de la fédération ou qui porteraient atteinte aux intérêts généraux de la discipline dont celle-ci a la charge».

Plus aucun recours pour cette saison

Ce n'est pas la première fois que le Conseil d'Etat prend cette décision. En août dernier, il avait déjà déjugé la LFP, sur la même question. En désaccord total, Frédéric Thiriez et Noël Le Graët n'ont cessé depuis de s'envoyer des piques par médias interposés. «On a un litige qui a duré pendant six mois mais des dossiers sont traités tous les jours de manière parfaite. Mon souhait, c'est l'apaisement», explique le président de la FFF, ce mercredi dans France Football.

Reste à savoir quelle sera la réaction de son homologue, qui dirige la Ligue. Fort du soutien de 19 clubs de Ligue 1 dans cette affaire, à l'exception de Guingamp, Thiriez s'avouera-t-il enfin vaincu ? Ou persistera-t-il jusqu'à ce que son souhait se réalise ? Pour cette saison en tout cas, il ne dispose plus d'aucun recours. Mais si son rival ne se représente pas aux élections présidentielles à la FFF en mars 2017, le feuilleton pourrait repartir de plus belle...
equipe

Le TGI annule une décision de la LFP
Selon nos informations, le tribunal de grande instance de Paris (TGI) a annulé, ce mercredi, la décision du conseil d’administration (CA) de la LFP qui fait du syndicat Première Ligue (qui regroupe 19 clubs de l’élite) l’organe de représentation des clubs au sein de l’instance.

«L’UCPF (le syndicat historique qui regroupe la L2, trois clubs de National et Guingamp) avait saisi le Tribunal de Grande Instance de Paris le 10 novembre 2015 pour demander l’annulation des décisions du Conseil d’Administration de la LFP du 24 septembre 2015 et obtenir que L’UCPF soit désignée organisation la plus représentative des clubs membres de la LFP, avec exécution provisoire des décisions prises par le Tribunal.


Dans son jugement de ce jour, le TGI ne relève pas d’irrégularité dans la convocation du Conseil d’Administration, ni de manquement au principe d’impartialité, peut-on lire dans un courrier de Frédéric Thiriez adressé aux membres du CA. Il considère en effet, d’une part, que l’UCPF a normalement pris part à la réunion, et d’autre part, que Bernard Caïazzo était présent en tant que représentant de l’ASSE et non du syndicat Première Ligue.

En revanche, le TGI estime qu’il n’y a pas eu de discussion lors de ce Conseil d’Administration sur la détermination des critères de représentativité et qu’il aurait fallu un premier vote sur ces critères avant le vote sur l’organisation la plus représentative… En conséquence, il annule les délibérations prises le 24 septembre 2015. Cependant, il ne se prononce pas sur la représentativité de l’UCPF et son jugement n’est pas assorti de l’exécution provisoire. Le surprenant motif de l’annulation retenu par le TGI conduit la LFP à faire appel à titre conservatoire, ce qui suspend les effets du jugement.»
Equipe

Semaine après semaine, Thiriez accumule les défaites judiciaires
Ce mercredi, le tribunal de grande instance de Paris aurait annulé la décision de la LFP qui faisait de Première Ligue le syndicat représentatif au sein de l'instance, au détriment de l'UCPF. Une troisième défaite sur le terrain judiciaire pour Frédéric Thiriez, en quelques semaines seulement.
La dernière année de mandat de Frédéric Thiriez à la présidence de la LFP ressemble à un long chemin de croix. Contesté de toutes parts, le patron du football professionnel français est au bord de la rupture. Et contre toute attente, c'est sur le terrain judiciaire que l'avocat de profession est en train de perdre ses derniers combats. Alors que l'UCPF, syndicat regroupant les clubs de Ligue 2, trois pensionnaires de National, et Guingamp, a demandé sa démission en fin d'année dernière, à quelques mois de la fin de son mandat, Frédéric Thiriez paye ces dernières semaines ses erreurs de la rentrée. Car en début de saison, le président de la LFP a pris parti en coulisses pour le nouveau syndicat des clubs de l'élite (hormis Guingamp), Première Ligue. Un nouvel acteur qui s'est vu octroyer plusieurs avantages remis en question par l'UCPF. Et jugement après jugement, les avantages conférés à Première Ligue sont gommés par la justice.

La justice rejette toutes les décisions de la LFP
Tout a commencé le 13 janvier dernier, lorsque le Conseil d'Etat, saisi pour statuer sur le litige opposant la FFF à la LFP, a pris parti pour la Fédération en maintenant le principe de trois montées et trois descentes pour la saison en cours. Deux semaines plus tard, la cour d'appel de Paris a confirmé la décision du TGI de Paris, prise en novembre dernier, qui avait condamné la LFP à verser une subvention à l'UCPF. Une subvention correspondant à 0,27% des recettes commerciales nettes de la Ligue (ndlr : un peu plus de 1,5 M€), que cette dernière avait décidé de bloquer, contrairement à la convention signée entre les deux parties en 2009. Et dernier camouflet en date pour le président Thiriez ce mercredi, avec la décision du TGI de Paris d'annuler la décision de la LFP de faire de Première Ligue le syndicat représentatif au sein du conseil d'administration de la Ligue.

Une guerre d'influence pour la succession de Thiriez ?
Une information révélée par nos confrères de L'Equipe, qui se sont procurés un courrier du patron de la Ligue, informant les membres du conseil d'administration de cette décision judicaire. Une note dans laquelle Frédéric Thiriez insiste sur un problème de forme et non de fond pour expliquer la décision du TGI. « Le TGI estime qu'il n'y a pas eu de discussion lors de ce Conseil d'Administration sur la détermination des critères de représentativité et qu'il aurait fallu un premier vote sur ces critères avant le vote sur l'organisation la plus représentative… En conséquence, il annule les délibérations prises le 24 septembre 2015. Cependant, il ne se prononce pas sur la représentativité de l'UCPF et son jugement n'est pas assorti de l'exécution provisoire. Le surprenant motif de l'annulation retenu par le TGI conduit la LFP à faire appel à titre conservatoire, ce qui suspend les effets du jugement. » Dans tous les cas, cette décision pourrait avoir son importance quant à l'avenir de la LFP, puisque c'est le syndicat représentatif qui a la faculté de proposer un candidat à la succession de Frédéric Thiriez.
equipe

Allez hop virez-moi ça (Thiriez). Il est temps.

C'était qui avant lui, perde de mémoire.

Marco 69/73 a écrit:

C'était qui avant lui, perde de mémoire.

Gérard Bourgoin le roi du poulet Loué

Merci Marius .

[th]#[/th][th]Nom[/th][th]Début[/th][th]Fin[/th][th]Fonction[/th]

1	Emmanuel Gambardella	27 octobre 1944	30 août 1953	Président du Groupement des clubs autorisés
2	Georges Bayrou	Septembre 1953	5 décembre 1953
3	Paul Nicolas	22 décembre 1953	13 juin 1956
4	Louis-Bernard Dancausse	13 juin 1956	20 mars 1961
5	Antoine Chiarisoli	Avril 1961	Avril 1967
6	Jean Sadoul	Avril 1967	2 septembre 1991	Président de Ligue nationale de Football Président du Groupement des clubs autorisés (1970) Président de Ligue nationale de Football (1980)
7	Noël Le Graët	19 octobre 1991	6 juillet 2000
8	Gérard Bourgoin	6 juillet 2000	28 mai 2002
9	Frédéric Thiriez	28 mai 2002	en fonction	Président de la Ligue de Football professionnel

A virer tous les 2 Le Graet et Thiriez.

candyraton a écrit:

A virer tous les 2 Le Graet et Thiriez.

Je te le fais pas dire Guy.

À partir de Sadoul , les autres je ne me souviens plus trop.

Frédéric Thiriez à la tête des l'Association mondiale des Ligues
  Le président de la LFP, Frédéric Thiriez, a été choisi pour diriger l'Association mondiale des Ligues, créée en décembre.
Le président de la LFP, Frédéric Thiriez, a été choisi pour diriger l'Association mondiale des Ligues créée en décembre, selon un communiqué transmis jeudi. Frédéric Thiriez «va prendre la tête d'un Directoire - composé avec Enrique Bonilla (Ligue mexicaine) et Christian Seifert (Bundesliga) - qui dirigera l'Association Mondiale des Ligues de Football Professionnel», indique ce texte, après une réunion de ce nouvel organe jeudi à Zurich, à la veille de l'élection présidentielle à la FIFA.

L'Association comprend «aujourd'hui une trentaine de ligues professionnelles de tous les continents, représentant 1 100 clubs et environ 20 000 joueurs.» La création de l'association mondiale des Ligues avait été actée en décembre 2015 lors d'une réunion rassemblant 23 ligues à Paris, pour «travailler de manière formelle avec la FIFA sur les questions du football professionnel.» «Pour atteindre ces objectifs, l'Association travaillera avec le futur président de la FIFA, quel qu'il soit, avec la volonté d'être intégrée directement au processus de décision de l'instance», expose le nouvel organe jeudi.
Equipe

Il ne peux plus diriger le foot en France par la porte alors il passe par la fenêtre...

Le seul moyen d'avoir encore une certaine légitimité, malin de sa part quand même.