L’incroyable destin de Luka Karabatic

- D1 : Sélestat s’incline à Chambéry (30-24)
Tristement logique
Sélestat, trop diminué, ne pouvait guère espérer, hier contre Chambéry. Les Violets sont repartis de Savoie avec une défaite logique (30-24). Christian Gaudin et ses joueurs ont beaucoup de boulot devant eux…

D1 (16e journée) : Sélestat – Montpellier (21-27) Des raisons d’espérer ?

Ils ont fini par céder, logiquement, hier contre Montpellier (21-27). Mais même diminués, les Violets ont chahuté le leader du championnat. De quoi se reprendre à espérer, même si les autres résultats n’ont pas été favorables à Sélestat…

DNA

D1 (18e journée) : Sélestat s’incline à Dunkerque (24-19) Et de seize…
Sélestat, malgré sa résistance et avec ses maigres moyens du moment, s’est incliné hier à Dunkerque (24-19), comme lors des quinze précédentes confrontations face aux Nordistes. Les Violets ont maintenant huit matches pour rendre l’impossible possible.

D1 (22e journée) : Sélestat – Nîmes Ça sent la fin…
C’est sans aucun doute la défaite de trop, celle qui enterre les derniers espoirs de maintien. Hier, contre Nîmes, les Violets ont tout fait de travers (20-27). Et on ne voit pas comment ils pourront éviter la D2.


Ça sent la fin… 05:00 handball - D1 (22e journée) : Sélestat – Nîmes Ça sent la fin…

D1 (23e journée) : Toulouse – Sélestat (31-29) Cette fois, c’est la D2
C’était inéluctable, c’est désormais officiel. Sélestat, battu à Toulouse hier malgré une belle prestation (31-29), est relégué en D2, épilogue d’une saison galère de bout en bout.
http://www.dna.fr/sports/2015/05/14/cette-fois-c-est-la-d2

Handball - Après la relégation de Sélestat en D2 L’heure de la reconstruction
Sélestat et la D1, c’est fini. Au moins temporairement. Le club violet va devoir analyser les raisons de cet échec. Et s’appuyer sur ses forces, nombreuses, pour rapidement revenir à sa place.
http://www.dna.fr/sports/2015/05/15/l-heure-de-la-reconstruction

Les premiers mouvements à Sélestat Le chant du départ
Les dirigeants sélestadiens ont rencontré tous les joueurs hier. Fulop, Beretta, Pesic, François-Marie et Clementia ne seront plus Violets la saison prochaine. Vujovic a reçu une proposition pour prolonger, mais la tendance serait au départ. Quant aux discussions avec Christian Gaudin, elles se poursuivent.
http://www.dna.fr/sports/2015/05/22/le-chant-du-depart

Coupe d’alsace - Finales à Bouxwiller Le Bas-Rhin haut la main
Pour la troisième année consécutive, le Bas-Rhin s’est offert le doublé lors des finales de la Coupe d’Alsace. Plobsheim a conservé son bien, quand les filles de l’ATH ont remis la main sur le trophée.

 http://www.dna.fr/sports/2015/06/01/le-bas-rhin-haut-la-main

Jordan François-Marie s’engage trois ans avec Dijon
Après 259 buts en 84 matchs de D1 sur les quatre dernières saisons, Jordan François-Marie quitte l’Alsace et Sélestat pour s’engager trois ans avec Dijon. Relégué en Pro D2 avec son équipe, il a accepté de relever le challenge proposé par Jackson Richardson, nouvel homme fort de la formation bourguignonne.
total sport

Pro D2 (7e journée) : après Pontault-Combault – Sélestat (20-21) Retour(s) réussi(s)
Même petitement (20-21), Sélestat a confirmé à Pontault-Combault le succès décroché une semaine plus tôt contre Dijon. Les Violets ont réussi un superbe retour en fin de match, Jérémie Sargenton n’a pas raté le sien face à son ancien club.
Dna

Pro D2 (8e journée) :
Sélestat domine Istres (25-21)

Le duel des deux relégués de D1 a tourné à l’avantage de Sélestat (25-21). Contre Istres hier, les Violets ont une nouvelle fois bâti leur succès, le troisième consécutif, sur une défense de fer. Et semblent définitivement lancés vers les hauteurs.

DNA

Pro D2 (9e journée) : après la défaite de Sélestat à Nancy (28-27)
Versatiles Violets
On pensait Sélestat lancé, apte à mater cette séduisante formation nancéienne. Las, il va vraiment falloir s’habituer à l’irrégularité des Violets.
DNA

Pro D2 : après Sélestat – Limoges (27-24)

L’envol de Greg

Sélestat a dominé Limoges, certes sans briller, et a aussi retrouvé un Grégory Martin incisif en attaque. Le bilan de cette 10e journée est parfait pour les Violets.

On ne l’avait pas vu à pareille fête cette saison. Vendredi soir, Greg Martin a montré, si besoin était, que son bras droit pouvait être dévastateur.
On l’a vu percutant, puissant, n’hésitant pas à prendre sa chance de loin. Et ses six buts – sur douze tirs – ont tous été importants : les trois premiers pour creuser l’écart (3-2 à la 7e puis 6-3 à la 11e après son triplé), un quatrième pour donner deux longueurs d’avance juste avant la pause (13-11), deux autres pour redonner de l’air à son équipe quand Limoges voulait encore espérer (20-16 à la 45e puis 25-20 à la 54e ).
À 30 ans et plusieurs saisons de D1 et de D2 derrière lui, Greg Martin a suffisamment d’expérience pour ne pas sauter au plafond après un match réussi. Cela n’empêche pas d’éprouver une légitime satisfaction.
« Je suis très content », souffle-t-il. Surtout que cette prestation fait suite à trois matches où il était resté muet offensivement.
Pour des raisons tactiques ou parce qu’il était diminué physiquement, l’arrière gauche avait été peu utilisé en attaque depuis le début de la saison.

« Je prends la place que l’on me donne dans l’équipe »

C’est en défense qu’il aidait Sélestat à gagner. « Quand tu apportes à l’équipe et qu’elle gagne, ça fait forcément du bien, ajoute-t-il. Si tous les matches se passent comme ça, ça me va (sourire). »
Contre Limoges, c’était son tour de briller. « Je me retrouve plus dans le jeu demandé. Je suis content d’avoir pu apporter en attaque. On sait que c’est le collectif qui va porter l’équipe. Quand quelqu’un passe à côté, il faut trouver celui qui va le remplacer. »
Greg Martin a été celui-là. Mais le Martiniquais ne détourne jamais son regard du collectif. « Je prends la place que l’on me donne dans l’équipe. Si je dois moins jouer en attaque pour apporter davantage en défense, je le ferai. »
Les esprits chagrins (on en fait parfois partie) regretteront le manque de relief de ce succès violet. Le Sélestadien ne l’ignore pas, mais rappelle quelques évidences.
« On n’a pas gagné de dix buts et c’est vrai qu’il y avait la place pour un écart plus conséquent, confie-t-il. Mais on joue d’abord pour gagner les matches. Et puis les équipes mal classées ne sont pas forcément les plus faciles à jouer. Il faut faire le travail, il a été fait. La manière n’était pas là, mais le résultat est positif. »
Promu ou pas en face, une victoire vaut toujours trois points. Et celle-là fait du bien. « C’est une belle opération car ce succès nous permet de rester au contact de nos concurrents. » Mieux, les joueurs de Christian Gaudin sont revenus à deux points de la première place.
Sélestat s’est replacé et peut, au regard de son calendrier – Cherbourg, Valence, Angers –, espérer aller plus haut que son actuelle 6e place d’ici la trêve.
Là encore, l’arrière gauche formé au club souligne les difficultés d’une D2 qu’il connaît par cœur. « On approche de la fin du cycle aller. Personne ne va vouloir perdre des points. » Ceux d’en haut comme ceux d’en bas. « On doit faire des résultats, redémarrer une série, mais ce ne sera pas simple. Il n’y a pas de petites ou de grosses équipes en D2. »
Pas simple certes, mais Sélestat sait pouvoir compter sur le bras de Greg Martin.
DNA

Pro D2 : après la défaite de Sélestat à Cherbourg (23-21)
L’apprentissage dure
Sélestat a encore payé pour apprendre du côté de Cherbourg. Face à un grand Laszlo Fulop, les Violets ont encore affiché leurs récurrentes lacunes à la finition.
Après chaque défaite loin du CSI – celle concédée en Normandie est déjà la 4e –, l’analyse est la même.
Sélestat n’est jamais loin, plutôt très près même (jamais plus de deux buts d’écart lors de ces quatre revers). Mais les Violets ont raté, comme lors de leur précédent déplacement à Nancy, une nouvelle opportunité de revenir dans le Top 5.

«Ces problèmes à la finition sont récurrents»

« Je pense que l’on aura d’autres occasions par la suite », positive Christian Gaudin. À commencer par les deux dernières rencontres avant la trêve, contre les deux plus mal classés, Valence et Angers.
« Ce sont deux matches à notre portée », avance le coach alsacien. Avec deux succès, Sélestat serait alors dans le bon wagon pour les play-offs avant la deuxième partie de saison.
Mais comme ce n’est pas encore fait, revenons sur cette défaite sur les bords de la Manche. On ne peut raisonnablement pas avancer que Sélestat a perdu ce match en défense.
Faut-il alors incriminer l’attaque violette, limitée à 21 buts en Normandie et seulement la 12e du championnat? « Je ne pense pas que ce soit un problème d’attaque », réfute Christian Gaudin.


Faut-il alors incriminer l’attaque violette, limitée à 21 buts en Normandie et seulement la 12e du championnat? « Je ne pense pas que ce soit un problème d’attaque », réfute Christian Gaudin.
Vraiment ? « On a les solutions, les situations de shoot. Contre Limoges, si on est efficace, on gagne de dix buts et tout le monde est content. »
Cette efficacité était encore déficiente contre Cherbourg (5 sur 13 pour les ailiers par exemple). « Ces problèmes à la finition sont récurrents, convient Christian Gaudin. On travaille pour les corriger. »
Sans ces échecs, les coéquipiers de Greg Martin auraient sans doute viré en tête à la pause (9-9). « On est bien entré dans le match, ce qui était plutôt intéressant par rapport à nos dernières sorties. »
Mais Laszlo Fulop a remporté nombre de duels face à ses anciens coéquipiers. « Il avait envie de se rappeler à notre bon souvenir, souffle le technicien sélestadien. On n’a pas pu creuser l’écart. Et le score de parité à la mi-temps est assez flatteur pour Cherbourg. »
Menés à l’entame du money-time (18-15, 48e’ ), les Alsaciens ont su revenir au score (19-19, 54e’ ). Avant de montrer une fébrilité coupable.
« Est-ce que l’on paie nos efforts pour recoller ? Pas sûr. On fait preuve de précipitation, on manque de maturité sur les ballons chauds. C’est dommage. Je retiens néanmoins le positif. On a su revenir. Mais notre manque d’expérience nous a fait défaut. Nous sommes encore en apprentissage. »
Cet apprentissage dure, entre jeunes qui prennent leurs marques à ce niveau-là et cadres qui cherchent leur place.
« J’espère que j’aurais trouvé le bon équilibre pour aborder la deuxième partie de saison », lance Christian Gaudin.

Personne, heureusement, ne se détache vraiment

La “chance” des Sélestadiens, c’est ce championnat très serré, où personne ne se détache. « Bien malin celui qui peut dire aujourd’hui quelle équipe finira en tête. »
Sélestat peut-elle être celle-là? « On construit pour être au minimum dans les cinq premiers à la fin de la saison », répète inlassablement Christian Gaudin.
Ce groupe est-il de taille à survoler la D2 ? Assurément pas. Est-il capable de finir dans le Top 5 ? Oui, assurément.
Les profanes que nous sommes ne demandent pas de miracles, même si c’est un peu le fonds de commerce de Sélestat depuis maintenant deux décennies…
dna

Pro D2 (12e journée) : Sélestat domine Valence (30-24)
Trois points de plus…

Sélestat s’est logiquement défait de la lanterne rouge hier (30-24). S’il leur a fallu près de 50 minutes pour réellement décrocher Valence, les Violets engrangent néanmoins trois points importants.

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Marco 69/73 a écrit:

Pro D2 (12e journée) : Sélestat domine Valence (30-24)
Trois points de plus…

Sélestat s’est logiquement défait de la lanterne rouge hier (30-24). S’il leur a fallu près de 50 minutes pour réellement décrocher Valence, les Violets engrangent néanmoins trois points importants.

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Importants pour la montée ou le maintien?

Coupe de France masculine - 16es de finales : Sélestat élimine Ivry (27-26)!
Quel finish!
On sentait ces Violets capables de réaliser l’exploit. Et ils l’ont fait ! Grâce à un incroyable dernier quart d’heure, Sélestat a éliminé Ivry, club de D1 (27-26), pour s’inviter en 8es de finale de la Coupe de France.

Championnat d'Europe : l'équipe de France a été éliminée au tour principal, après sa défaite face à la Norvège
L'équipe de France ne jouera pas les demi-finales du Championnat d'Europe. Mercredi à Cracovie, les Bleus ont été battus par la Norvège (29-24). Leur parcours s'arrête au tour principal. Les Norvégiens, eux, filent en demies.
Equipe


ils en ont quasiment terminé avec leur Championnat d'Europe et presque abandonné le titre continental gagné il y a deux ans au Danemark. A moins que, dans la soirée, la Croatie ne batte largement (par cinq buts d'écart minimum) la Pologne.

Equipe

Je ne comprends pas !
La Pologne a été battue largement par la Croatie et la France est déclarée éliminée.
Et puis, La Pologne perd de 14 buts contre la Croatie qui elle a perdu de 8 buts contre la France...........et la Pologne a gagne de 5 buts contre la Ffrance.......cherchez l erreur.........
Drôle de championnat d'Europe.

Moi aussi je croyait que la France jouera la demi-finale , du moment que la Pologne a perdu de 14 buts contre la Croatie

Oui, bizarre, l'Allemagne qui joue la finale n'était même pas qualifiée puis repêchée par je ne sais quel tour de main. Il doit y avoir un Blatter bis à la tête de leur fédération.

Euro-2016 : l’Allemagne championne face à l’Espagne “Kolossal” !
La Mannschaft , pourtant décimée par les blessures, a réussi un exploit monumental en étrillant l’Espagne, hier à Cracovie, en finale de l’Euro (24-17). Le triomphe d’une jeunesse allemande portée par un portier en état de grâce : Andreas Wolff.

Les larmes ont rapidement inondé son regard de feu. Mais l’incrédulité les a empêchées, dans un premier temps, de ruisseler le long d’un visage figé par l’émotion.
Au coup de sifflet final, alors que cet Euro complètement fou venait de rendre son ultime souffle, Andreas Wolff peinait visiblement à réaliser son exploit. Le gardien de but de cette bondissante formation allemande n’aura besoin que de deux chiffres, ce matin, pour réaliser l’ampleur de son état de grâce : 24, comme le nombre de ses arrêts, et 59. Son pourcentage de réussite hallucinant face à des Espagnols qui, pour la quatrième fois, ont perdu une finale continentale. Dégoûtés. Écœurés par Wolff et tous les siens, par cette équipe d’Allemagne qui les a concassés.

Un mur en défense

À la manœuvre de cette entreprise de destruction massive, un symbole, un de plus : Kai Häfner. Celui qui avait offert la qualification aux siens, en demi-finale, à cinq secondes du terme de la prolongation, trois jours seulement après son arrivée en Pologne avec le costume de joker médical.
En inscrivant d’entrée un retentissant triplé face à une Roja hagarde, l’arrière droit allemand plaçait les siens sur la route menant au paradis (4-1, 8e ). Et comme la défense installée par le sélectionneur Dagur Sigurdsson grippait la machine espagnole, le score prenait vite d’inattendues proportions (10-6 à la pause).
La Mannschaft utilisait les ailes, avec Dahmke et Reichmann, pour s’envoler (12-6, 33e ). Entre ses poteaux, Wolff poursuivait son chantier historique. Du torse, du bout des doigts ou d’un pied souple et aérien, il sortait absolument tout.
Avant même son terme, la bataille, physique et mentale, venait d’être remportée par cette très jeune équipe d’Allemagne pourtant privée de six titulaires potentiels (22-13, 54e ).

« On était tellement loin de ce niveau il y a un an »

« On a réussi une incroyable performance, surtout au niveau de la défense et de notre gardien, lançait après coup Sigurdsson, estomaqué. On était tellement loin de ce niveau il y a un an, on a perdu tellement de matches, que j’ai encore du mal à y croire. »
Et pourtant, les siens l’ont fait. La Tauron Arena de Cracovie, là où venait de battre plus de deux semaines durant le cœur palpitant de cet Euro, poussait alors un dernier râle, puissant, lorsque Carsten Lichtlein levait haut dans le ciel le saladier décerné au vainqueur.
Cette enceinte pouvait célébrer le come-back d’un cador du handball mondial.
La Croatie a largement battu la Norvège dans le match pour la médaille de bronze (31-24)
Dna

Surprenante quand même cette victoire.

Pro D2 (14e journée) : Massy – Sélestat (18-20)
Sans trembler
Les Sélestadiens se sont montrés très solides à Massy. Les hommes de Christian Gaudin signent une 3e victoire de rang, se posant comme un prétendant à la LNH.

Pro D2 (15e journée) : Sélestat - Saran (21-26)

 Le mutisme violet
Indigent offensivement, Sélestat a concédé une défaite logique, hier contre Saran, promu toujours plus surprenant. C’est la deuxième fois cette saison que les Violets cèdent à domicile. C’est déjà beaucoup.

Pro D2 : après la défaite de Sélestat contre Saran (21-26)
L’attaque est patraque
Sélestat est tombé de (très) haut contre Saran. Et pour devoir coller à leurs ambitions, les Violets vont impérativement devoir remédier à leurs carences offensives.