En ce moment comme entraineur de renom, et avec un tel palmarès, c'est tout à fait normal que l'on parle de lui.

Arsenal négociera finalement les prolongations de Mesut Özil et Alexis Sanchez cet été
 Arsène Wenger et la direction des Gunners ont décidé de reporter à cet été les négociations avec leurs stars allemande et chilienne.
À la peine en Championnat, avec une quatrième défaite en cinq matches (3-1) sur le terrain de West Bromwich Albion samedi, Arsenal doit gérer en coulisses deux cas épineux, ceux de Mesut Özil et Alexis Sanchez. Les deux joueurs seront en fin de contrat en juin 2018 et les négociations pour les prolonger traînent depuis plusieurs semaines.

Arsène Wenger, dont l'avenir est lui aussi incertain, a confirmé mercredi qu'aucun accord n'avait été trouvé avec l'attaquant chilien. «Et la situation est la même avec» le meneur de jeu allemand, a-t-il ajouté, indiquant que sa direction avait «décidé de se focaliser sur la fin de la saison et de discuter [des prolongations] durant l'été».
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Evidemment, non  qualif en LCD ce ne sera plus le même budget, et dans ce cas là Arsenal fera de juteuses affaires avec ces 2 joueurs.

Au vu de la situation d'Arsenal, qui n'arrive pas à être champion d'Angleterre, en plus presque tous les ans la même galère il y a des joueurs qui n'ont plus envie de rester.

Arsène Wenger ne veut pas de directeur sportif à ArsenalAlors que son contrat à Arsenal expire à la fin de la saison, Arsène Wenger a assuré qu'il ne travaillerait pas avec un directeur sportif, comme lui a proposé la direction du club, tant qu'il sera manager des Gunners.

Le refus est catégorique. Tant qu'Arsène Wenger sera sur le banc d'Arsenal, il n'y aura pas de directeur sportif chez les Gunners. Le technicien de 67 ans l'a assuré : «Non, non, non. Désolé, je ne suis pas prêt à en parler. Je suis le manager et tant que je serais manager du club de football d'Arsenal, je déciderai de ce qui se passe sur l'aspect technique. C'est tout.» L'entraîneur français a par ailleurs été assez critique sur le rôle alloué au directeur sportif dans les clubs : «Je ne comprends pas et je n'ai jamais compris ce que cela signifie.»
Cette déclaration intervient alors que le directeur général d'Arsenal, Ivan Gazidis, envisage de nommer un directeur sportif afin d'améliorer divers domaines au sein du club londonien, expliquant que cette saison décevante devait servir de «catalyseur» pour un changement. Alors que l'avenir du technicien français, en fin de contrat à la fin de l'année, n'est toujours pas réglé du côté des Gunners, Arsenal se déplace à Southampton mercredi soir pour disputer le match en retard de la 26e journée. Une victoire permettrait aux joueurs d'Arsène Wenger de continuer à espérer une quatrième place synonyme de Ligue des champions. Arsenal est actuellement sixième de Premier League, à six points de Manchester City, quatrième, mais avec un match en moins.
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Petr Cech (Arsenal) : «La C3, c'est aussi l'Europe»
 Cinquième à une journée de la fin, Arsenal devrait disputer la Ligue Europa la saison prochaine.
 Malgré 72 points récoltés en 37 journées, Arsenal n'est que 5e de la Premier League et devrait, sauf miracle, se contenter d'une participation à la Ligue Europa la saison prochaine. «Sur le terrain, je m'énerve parce que quand je vois l'équipe que nous avons... Souvent, on ne gagne pas à la maison alors que nous sommes bien supérieurs à l'adversaire. On a pourtant le niveau pour se battre pour le titre de champion», regrette Alexis Sanchez.

Une frustration qui touche aussi Petr Cech, qui estime cependant qu'il faudra jouera la Ligue Europa à fond la saison prochaine : «C'est tout de même un trophée européen. On voit bien que de plus en plus de grands clubs font tout pour la gagner et la respectent de plus en plus.»
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Entièrement d'accord avec lui.
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Arsenal éjecté du Big 4, une première au XXIe siècle
Malgré sa victoire ce dimanche contre Everton, lors de la dernière journée de Premier League, Arsenal termine la saison à la cinquième place. Ce qui n'était plus arrivé depuis... 1996.
Arsenal espérait un miracle. Celui-ci n'a pas eu lieu.
Condamnés à la cinquième place après les succès de City à Watford (5-0) et surtout de Liverpool contre Middlesbrough (3-0), les Gunners bouclent la saison 2016-2017 sur une fausse note, malgré leur joli succès contre Everton (3-1).
En effet, jamais Arsenal n'avait terminé au-delà des quatre premiers rangs de l'élite depuis la prise de pouvoir d'Arsène Wenger, dans le courant de la saison 96-97.

Une première depuis 1996

Il faut justement remonter quelques mois auparavant, en mai 1996, pour trouver trace d'une équipe d'Arsenal éjectée du Big 4 en Angleterre. Et à la saison 1997-1998 pour constater l'absence des Gunners en Ligue des Champions.
L'arrivée du manager français avait relancé le club, lui offrant dès la saison suivante le titre de champion de Premier League (1998). Sous l'ère Wenger, Arsenal a ensuite trusté deux autres titres en 2002 et 2004, année des "invincibles".
Cinq fois deuxièmes entre 1999 et 2005, les Gunners ont petit à petit reculé dans la hiérarchie outre-Manche, devancés par Manchester United, presque intouchable sous la houlette d'Alex Ferguson, puis par les nouveaux riches Chelsea et Manchester City.

Aucun titre de champion depuis 2004

Le retour au premier plan de Tottenham et Liverpool sur la scène nationale n'a pas arrangé les affaires de Wenger et ses ouailles, le plus souvent relégués à la quatrième place du championnat (2006, 2007, 2009, 2011, 2013, 2014) et de temps en temps sur la dernière marche du podium (2008, 2010, 2012, 2015).
Finalement, la place de dauphin acquise la saison dernière derrière la surprise Leicester City n'était qu'un feu de paille et a retardé d'un an ce que tout le monde pressentait depuis plusieurs années.

Des débâcles en pagaille

L'incapacité des Gunners à s'imposer dans les grands matches depuis dix ans (défaites contre Liverpool deux fois, City, Chelsea, Tottenham cette saison), moyennant quelques débâcles mémorables en championnat comme en Ligue des Champions (la dernière en date contre le Bayern Munich : 1-5 à l'aller et au retour en 1/8 de finale) s'est souvent avérée fatale sur le plan comptable en fin de saison.
Sans compter les échecs successifs en Ligue des Champions : malgré une finale en 2006 et une demi-finale en 2009, Arsenal a le plus souvent stoppé sa course dès les huitièmes de finales (à neuf reprises, dont sept fois de suite depuis 2011).
Et les victoires en Cup (2013, 2014) ne suffisent pas à effacer les déceptions en championnat et sur la scène européenne, et ce en dépit d'une régularité et d'une stabilité presque uniques dans le football moderne.

Avec ou sans Wenger ?

Ces résultats en berne pourraient signer la fin de l'ère Wenger à Londres. En fin de contrat, l'Alsacien préserve le suspense sur son avenir : il peut prolonger à Arsenal - ce que de nombreux supporters ne souhaitent pas - ou mettre un terme à son aventure après plus de 20 ans de bons et loyaux services et une fin de règne compliquée.
Sur le déclin, Arsenal avec ou sans Wenger bataillera en Europa League l'an prochain. Une compétition à la mesure de son niveau actuel, qui s'appelait encore Coupe de l'UEFA en 1996, à une époque où existait encore la défunte Coupe des Coupes. Un autre siècle...
Classement d'Arsenal en championnat depuis 1997
1996-1997 : 3e
1997-1998 : 1er
1998-1999 : 2e
1999-2000 : 2e
2000-2001 : 2e
2001-2002 : 1er
2002-2003 : 2e
2003-2004 : 1er
2004-2005 : 2e
2005-2006 : 4e
2006-2007 : 4e
2007-2008 : 3e
2008-2009 : 4e
2009-2010 : 3e
2010-2011 : 4e
2011-2012 : 3e
2012-2013 : 4e
2013-2014 : 4e
2014-2015 : 3e
2015-2016 : 2e
2016-2017 : 5e
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Arsène Wenger dans le flou
Partira, partira pas ? Arsène Wenger lui-même n'en sait rien mais la finale de Coupe samedi face à Chelsea devrait peser lourd sur son avenir à Arsenal.
Arsène Wenger restera-t-il sur le banc d'Arsenal la saison prochaine? A vrai dire, le principal intéressé lui-même n'en a pas la moindre idée. Interrogé en conférence de presse sur la possibilité que la finale de la coupe d'Angleterre face à Chelsea, samedi, soit son dernier match, le technicien alsacien s'est contenté d'un laconique : "Je ne sais pas."
"Ce ne sera de toute façon pas mon dernier match car je resterai, quoiqu'il arrive, dans le football, a-t-il aussitôt ajouté. Je veux gagner la Coupe pour mon club, c'est tout ce qui m'intéresse. Il n'est pas question de moi, mais de tout donner pour gagner un trophée. (...) Après, si je peux en tirer des bénéfices, OK, mais ce n'est pas mon souci principal."

Dernier titre en Premier League en 2004

Reste que le résultat de ce week-end aura sans doute une importance cruciale sur son maintien, ou non, à la tête des Gunners. Après 21 ans de bons et loyaux services, le Strasbourgeois est critiqué par toute une fraction des supporters pour le manque de trophées rapportés ces dernières années.
Depuis 2004, le club londonien a enchaîné les places d'honneur en Premier League sans jamais atteindre la plus haute marche du podium. Les supporters n'ont guère eu que trois Cup (2005, 2014, 2015) à se mettre sous la dent.

Le soutien de Sir Ferguson

Un succès samedi et Wenger détiendrait le record de victoires en FA Cup (sept). De quoi convaincre le conseil d'administration du club, qui se réunira après la finale, de lui confirmer sa confiance ?
Arsène a en tout cas reçu un soutien de poids, celui de Sir Alex Fergusion, le coach mythique de Manchester United : "C'est facile de dire 'Débarrassez-vous de lui', mais qui prenez-vous ? Qui choisissez-vous pour maintenir le club au niveau où il est pour les vingt prochaines années ?", a estimé le technicien qui aura, lui, passé 27 ans sur le banc des Red Devils.
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Arsène Wenger a prolongé de deux saisons à Arsenal 
Arsenal a officialisé ce mercredi la prolongation pour deux saisons du contrat d'Arsène Wenger, arrivé sur le banc des Gunners en 1996.
Le long épisode de l'avenir d'Arsène Wenger, qui s'était déjà éclairci ces derniers jours, a officiellement pris fin ce mercredi : Arsenal a confirmé la prolongation pour deux saisons du contrat de son manager français, arrivé en 1996 sur le banc des Gunners.

Wenger, 67 ans, va donc entamer une 21e saison dans le club qu'il n'entend pas quitter. Les résultats cette saison avaient nourri la contestation d'une partie des supporters qui ne verront pas leur équipe en Ligue des champions la saison prochaine, une première depuis vingt ans, après une décevante cinquième place en Premier League et une piteuse élimination en Ligue des champions face au Bayern (10-2 sur les deux matches, en huitièmes).

Mais Arsène Wenger s'est aussi offert le week-end dernier une septième victoire personnelle en FA Cup, un record, en même temps que la 13e du club, là aussi une performance sans égale.

«Arsène est le mieux placé»

«Notre ambition est de remporter la Premier League et les autres trophées majeurs en Europe. C'est ce que les supporters, les joueurs, le staff, le manager et le board attendent et nous ne trouverons de répit que lorsque nous y serons parvenus», déclare l'actionnaire majoritaire d'Arsenal, Stan Kroenke, dans un communiqué sur le site du club.

«Arsene est la personne la mieux placée pour y parvenir. Il a un bilan fantastique et notre soutien plein et entier.»

Wenger, apprécié par ses dirigeants pour sa capacité à maintenir des résultats tout en dépensant peu par rapport à la concurrence lors des saisons qui ont suivi la construction de l'Emirates, sera notamment jugé sur la qualité du mercato, alors qu'Arsenal doit se renforcer en n'ayant que la Ligue Europa à offrir comme perspective européenne la saison prochaine.

«J'aime ce club et je suis à la fois enthousiaste et optimiste quant à l'avenir, assure Wenger sur le site du club. Nous sommes en train d'évaluer ce que nous faisons bien et comment nous pourrions être meilleurs dans chaque domaine. Il y a un groupe de joueurs solide et avec quelques renforts, nous pourrions avoir encore plus de succès. Nous voulons être compétitifs en Championnat et ce sera notre principal objectif cet été et la saison prochaine.»
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Arsenal - Wenger : "Özil et Sanchez vont rester"
Récemment prolongé pour deux saisons comme manager d'Arsenal, Arsène Wenger a désormais l'ambition de conserver ses meilleurs éléments. L'entraîneur français affirme que Mesut Özil et Alexis Sanchez vont rester cet été et qu'ils vont prolonger leur contrat alors qu'ils sont encore engagés jusqu'en juin 2018 avec les Gunners. Une situation à surveiller au risque de voir deux éléments importants de la formation londonienne partir libre en fin de saison prochaine.
"Ils (Özil et Sanchez) aiment le club. Ils ont bien intégré les valeurs de notre club et ils veulent en faire partie, aussi parce qu'ils aiment le football tel qu'on le joue. Cet été, ils vont d'abord rester au club et j'espère que l'on pourra prolonger leurs contrats. Ils ne partiront pas. Vous ne pouvez pas affaiblir le club, affaiblir l'équipe, et cherchez à la renforcer. S'ils voulaient absolument partir, il faudrait trouver des joueurs du même calibre. Pour le moment, on n'en est pas là. On se concentre sur le fait de garder l'unité de l'équipe et on verra comment la renforcer."
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Alexandre Lacazette quitte officiellement Lyon pour Arsenal 
Comme attendu, Alexandre Lacazette a officiellement quitté Lyon ce mercredi, pour signer un contrat de cinq ans avec Arsenal.
Le secret n'en était plus un, et l'officialisation est tombée ce mercredi. Comme nous vous l'annoncions, Alexandre Lacazette va poursuivre sa carrière avec Arsenal. Le buteur de 26 ans a passé sa visite médicale avec les Gunners mardi, avant de signer un contrat de cinq ans. Le montant du transfert a été conclu à hauteur de 60 millions d'euros, dont 7 de bonus, ce qui en fait la recrue la plus chère de l'histoire du club londonien et la vente la plus importante de l'OL.

C'est un nouveau défi dans la carrière d'Alexandre Lacazette, formé à Lyon, où il était passé professionnel en 2010. L'international français a inscrit un total de 135 buts avec l'OL, dont 106 en Ligue 1. Il est devenu la plus grosse vente du club rhodanien, qui a aussi perdu Corentin Tolisso (Bayern Munich), Rachid Ghezzal (non-renouvellement de contrat) et Maxime Gonalons (AS Rome) cet été.

11 millions d'euros de salaire annuel ?

Selon la presse anglaise, il devient le joueur le mieux payé de l'effectif avec un salaire de 230 000 euros hebdomadaire, ce qui porte ses émoluments à 11 millions d'euros par an.

Arsenal n'était pas le premier choix de Lacazette qui souhaitait initialement rejoindre l'Atlético de Madrid. Le club espagnol étant interdit de recrutement, l'attaquant, qui voulait quitter Lyon pour franchir un cap, a dû opter pour une autre destination. Alexandre Lacazette devient le 30e Français a porté le maillot d'Arsenal.
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http://www.msn.com/fr-fr/sport/football/mercato-cest-officiel-lacazette-d%C3%A9barque-%C3%A0-arsenal-pour-un-montant-record/ar-BBDOc80?li=AA59KC&ocid=spartandhp

Mertesacker à la formation
  Per Mertesacker deviendra directeur du centre de formation d'Arsenal dans un an. Per Mertsacker (32 ans) va disputer sa dernière saison comme joueur à Arsenal en 2017-2018. Par la suite, le défenseur allemand deviendra le directeur du centre de formation.
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Arsenal : Lucas Pérez veut partir
  Lucas Pérez a demandé à quitter Arsenal et aimerait retourner au Deportivo La Corogne. Lucas Pérez, qui n'a débuté que trois matches avec Arsenal la saison dernière, s'était déjà dit ouvert à un retour au Deportivo La Corogne cet été. Celui qui espère encore participer à la Coupe du Monde 2018 avec l'Espagne a cette fois demandé au négociateur en chef d'Arsenal, Dick Law, de partir.

«Je veux partir, jouer et être heureux, a-t-il dit à Law selon le quotidien espagnol La Voz de Galicia. L'année dernière, je n'ai eu presque aucune opportunité [...]. Et cette saison les choses ne vont pas changer. Je veux me batter pour aller en équipe nationale. Je veux joueur au foot mais pour ça, je dois partir. Et je pense que le meilleur endroit pour moi, c'est le Depor.»

La signature d'Alexandre Lacazette cet été complique un peu plus la situation de Pérez, arrivé contre 20M€ à Arsenal l'été dernier. Même si Wenger a déclaré vouloir le garder, la décision du club de donner le numéro neuf au Français a blessé l'Espagnol. «Ils [Arsenal] ne se comportent pas bien avec moi, a-t-il déclaré à Law, toujours selon La Voz de Galicia. Prendre mon numéro de maillot et le donner à un coéquipier, c'est la goutte d'eau qui fait déborder le vase.»
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Arsène Wenger poursuivi par la FA pour son attitude envers Mike Dean
 Arsène Wenger est poursuivi par la FA pour son attitude et ses mots envers Mike Dean, lors du match à West Bromwich Albion.
Furieux envers Mike Dean pour avoir accordé un penalty très sévère à WBA, Arsène Wenger s'en était pris à l'arbitre après la rencontre et s'était ensuite épanché sur ce sujet en conférence de presse. Le manager d'Arsenal est désormais poursuivi par la FA pour son comportement. Il risque plusieurs matches de suspension.
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Le jeune Grec Mavropanos va être recruté par Arsenal
 Révélé par le PAS Giannina, Konstantinos Mavropanos va être recruté par Arsenal, qui le prêtera dans la foulée.
Défenseur de l'équipe de Grèce Espoirs, Konstantinos Mavropanos quitte le PAS Giannina qui l'a révélé. Le joueur de 20 ans, suivi par Dortmund, va être recruté par Arsenal pour une somme comprise entre 2,1 et 2,5M€. Les Gunners devraient le prêter dans la foulée, probablement au Werder Brême.
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Mesut Özil a prolongé 
Le milieu allemand Mesut Özil a prolongé mercredi son bail avec Arsenal. Le milieu offensif d'Arsenal Mesut Özil, qui arrivait en fin de contrat en juin, a prolongé son bail avec le club londonien jusqu'en 2021. Selon les médias anglais, le champion du monde allemand touchera 350 000 livres par semaine (1,7 million d'euros par mois), ce qui en ferait le joueur le mieux payé des Gunners et l'un des mieux payés de Premier League.

L'annonce de la prolongation du meneur de jeu de 29 ans, arrivé en 2013 en provenance du Real Madrid, intervient le même jour que l'officialisation de l'arrivée du l'attaquant gabonais Aubameyang, transféré du Borussia Dortmund pour 68 millions d'euros.
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La fin du règne Wenger ?
Arsène Wenger n’a plus que la Ligue Europa pour sauver sa pire saison à la tête d’Arsenal. Une élimination contre l’AC Milan et c’est même le poste de l’Alsacien qui est menacé.
Rien ne va plus du côté de l’Emirates Stadium. Huit défaites lors des treize derniers matches, une piètre sixième place en championnat à treize longueurs des places qualificatives pour la Ligue des champions la saison prochaine.
Quant à l’écart avec le leader Manchester City, il grimpe actuellement à un faramineux total de 33 points. Et le week-en dernier, Arsenal a été battu à Brighton (2-1) au son des fans londoniens demandant le départ de Wenger.
Des supporters qui ont enfoncé le clou en début de semaine : 88 % exige un départ de l’Alsacien à la fin de la saison.

Wenger isolé ?

Après près de 22 ans à la tête des Gunners , Wenger doit partir, et pas en juin 2019 comme l’y autorise son contrat. Fans et médias britanniques s’entendent : le Français, qui a mené Arsenal à trois titres de champions d’Angleterre, sept Coupe d’Angleterre et une finale de Ligue des champions, est en train de gâcher sa sortie et son formidable héritage.
Les recrues hivernales Aubameyang et Mkhitaryan sont plus au ou moins transparentes. Et la prolongation d’Özil pour un salaire astronomique n’a toujours pas relancé l’Allemand. Pire peut-être, Wenger a perdu son autorité, selon The Sun. Il est de plus en plus isolé et ses consignes ne passent plus, affirme le tabloïd.

« Rester unis »

Au sein du vestiaire, ce n’est pas terrible non plus. The Times révèle qu’Özil, Aubameyang et Mkhitaryan se sont mis leurs coéquipiers à dos, en raison de leur manque d’engagement sur le terrain. Mais, signe d’espoir selon le quotidien, les joueurs ont tenu une réunion sans Wenger, pour tenter d’évacuer les problèmes.
« Nous devons rester unis, nous battre ensemble », avait réclamé Laurent Koscielny après le revers à Brighton. Reste à savoir si la voix du capitaine porte plus que celle de Wenger.
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Arsenal : Patrick Vieira candidat au poste d'entraîneur ? 
Le technicien français Patrick Vieira, qui dirige actuellement le New York City FC, serait intéressé pour coacher Arsenal la saison prochaine.
Selon les médias britanniques, Patrick Vieira serait bien placé pour devenir le futur entraîneur d'Arsenal, en cas de départ d'Arsène Wenger. Le technicien français a déjà eu des expériences d'adjoint et de manager chez les jeunes à Manchester City. Il entraîne le New York City FC depuis 2016. Ses résultats - NY est actuellement en tête de la conférence Est en MLS - ne passent visiblement pas inaperçus.

Vieira est une légende dans l'histoire d'Arsenal, lui qui a cumulé plus de 400 apparitions sous les couleurs des Gunners.
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Wenger arrête

Il vaut mieux pour lui de partir de cette manière, car sinon on l'aurait quand même éjecté.
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Arsène Wenger à Arsenal en stats 
Après vingt-deux ans passés sur le banc d'Arsenal, Arsène Wenger quittera son poste à la fin de la saison. L'épopée des «Invincibles», ses titres, son histoire européenne contrariée en Ligue des champions : voici sa carrière en stats.

Une place unique dans l'histoire d'Arsenal

A 68 ans, Arsène Wenger a dit stop. Le Français en avait 46 quand il a pris les rênes d'Arsenal après des expériences en France (Nancy et Monaco) et deux années au Japon. Entre temps, vingt-deux années se sont écoulées. Wenger, qui ira jusqu'au bout de la saison actuelle, est l'homme qui a passé le plus de temps sur le banc d'Arsenal. George Allison, entraîneur entre 1934 et 1947, détenait le record de longévité avant le règne de l'Alsacien qui le dépasse désormais de près de dix ans.

Il est aussi, logiquement, l'entraîneur le plus titré du club avec dix-sept trophées remportés. Parmi eux, tous n'ont pas la même valeur puisqu'il compte trois titres de champion d'Angleterre (1998, 2002, 2004), sept Coupes d'Angleterre (1998, 2002, 2003, 2005, 2014, 2015, 2017) et sept Community Shield (1998, 1999, 2002, 2004, 2014, 2015, 2017).
1228
Wenger a dirigé 1228 rencontres depuis son arrivée à Arsenal. Il a remporté 704 matches (soit 57,3% de victoires), perdu 245 et a fait 279 fois match nul.

Derrière Ferguson (sauf en Premier League)

Parmi ses contemporains en Angleterre, le Français n'est devancé que par Alex Ferguson en termes de longévité sur un banc. Le légendaire entraîneur de Manchester United est, lui, resté vingt-sept ans en fonction chez les Red Devils. En Championnat d'Angleterre, il a dirigé 1035 matches contre 823 pour le Français. Avec le reste de la saison actuelle, l'ancien défenseur (il a notamment joué à Strasbourg) va atteindre les 828 matches. A distance respectable de l'Ecossais. Mais il est l'homme qui a vécu le plus de matches de Premier League (nom du Championnat anglais depuis 1992).

Dix années au sommet

Les premières années de Wenger à Arsenal ont aussi été les plus fructueuses. Sur ses dix-sept titres, onze ont été remportés lors de sa première décennie au pouvoir. Depuis, il s'est contenté de six titres et n'a plus jamais terminé en tête de la Premier League. Son ratio de victoires, pourtant, est resté constant avec 57,6% de matches gagnés sur la première période évoquée contre 57,1% lors de la seconde. Mais le club a moins gagné les matches qui comptent et a désormais du mal à suivre le rythme sur la scène nationale (sixième de l'exercice actuel).
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 Ce chiffre incarne la période triomphante de Wenger. En 2004, son équipe est sacrée sans perdre la moindre rencontre en Championnat. Un exploit qui débouche sur un surnom, les «Invincibles». Les joueurs étendent leur série à 49 matches sans défaite en Championnat. Historique.

Thierry Henry, le symbole

Le premier manager non britannique de l'histoire d'Arsenal s'est souvent appuyé sur une belle colonie de joueurs français. Mais aucun n'a plus marqué l'histoire du club que Thierry Henry. Avec 228 buts, le champion du monde 1998 est toujours le meilleur artificier des Gunners. Il a passé un peu plus de huit ans à Londres entre 1999 et 2007 et une pige à l'hiver 2012 alors qu'il évoluait avec les New York Red Bulls en MLS. Avec lui, Wenger a conquis deux de ses trois titres de champion d'Angleterre.

En Premier League, le Français a atteint un total de 175 buts. Le duo qu'il formait avec Wenger est toujours le plus prolifique de l'histoire de la compétition. L'ancien attaquant, actuellement entraîneur adjoint de la Belgique, fait partie des hommes qui pourraient prendre la succession sur le banc.
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Cinq joueurs ont au moins marqué 100 buts pour Arsenal sous le mandat de Wenger : Thierry Henry mais aussi Robin van Persie (132), Theo Walcott (108), Olivier Giroud (105) et Dennis Bergkamp (102).

La Ligue des champions, marche jamais franchie

Cette année, et pour la première fois depuis vingt ans, Arsenal était absent de la Ligue des champions. La compétition européenne restera l'éternel écueil de Wenger à la tête des Gunners. Il l'a pourtant beaucoup jouée mais elle s'est toujours refusée à lui. A son actif, quatre quarts de finale mais surtout une finale en 2006 perdue contre Barcelone alors que son équipe, réduite à 10, a résisté ce qu'elle pouvait après l'ouverture du score (2-1, score final). Il a aussi fait une finale de la Coupe de l'UEFA (2000), perdue elle aussi. La saison en cours est la dernière chance pour lui de décrocher un titre continental. Le club est toujours en course en Ligue Europa où il est qualifié pour les demi-finales.
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Pourquoi Ozil a embrassé un pain contre l'Atlético ?
Mesut Ozil a été la cible de lancement de morceaux de pain lors de la rencontre contre l'Atlético Madrid. L'Allemand, de confession musulmane, a eu un geste de classe.
La soirée de jeudi soir entre l'Atlético Madrid et Arsenal a été marquée par les réalisations 100% françaises d'Alexandre Lacazette et d'Antoine Griezmann. Mais aussi pour des scènes un peu moins glorieuses comme l'attitude des supporters madrilènes vis-à-vis de Mesut Ozil. A chaque corner tiré par l'Allemand, des morceaux de pain ont été envoyé en direction du joueur. Mais, plutôt que réagir négativement, l'ancien Madrilène a préféré croquer la baguette, l'a embrassée et l'a mise à hauteur de son front avant de la balancer en dehors du terrain. Un geste qui fait référence à la religion d'Ozil. Musulman, la religion islamique condamne le gaspillage de nourriture et Ozil a donc choisi de bénir ce pain en hommage à ceux qui n'ont pas à manger.
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Arsène Wenger (Arsenal) : «Un nouveau départ pour moi»


 Arsène Wenger a dirigé son dernier match à la tête d'Arsenal à l'Emirates, ce dimanche, contre Burnley (5-0). Le technicien a apprécié l'hommage que lui a réservé le public du stade londonien.
«Comment vous sentez-vous après ce dernier match à l'Emirates Stadium?
C'est un jour très triste, car je suis venu faire des photos quand ce n'était qu'un tas d'ordures (l'Emirates Stadium a été construit sur le site industriel d'une décharge, NDLR). J'ai travaillé sur tous les aspects de ce stade, de la salle des conférences de presse à tous les autres zones. Donc, c'est en partie grâce à moi que les gens qui me succèderont pourront travailler dans de bonnes conditions.

Qu'est-ce que vous auriez envie de dire à votre successeur?
Je ne vais pas parler du prochain manager. Je ne veux pas mettre de pression sur le club. Je pense qu'il va hériter d'une équipe qui est bien meilleure que ce que l'on peut croire. On peut voir que l'esprit collectif de cette équipe est spécial.

Pouvez-vous décrire vos sentiments?
Heureusement, on apprend dans ce métier à se déconnecter de ses sentiments, on se concentre uniquement sur les problèmes que l'on doit régler. Après autant de temps dans ce métier, il faut que j'apprenne à me reconnecter avec mes sentiments. (...) C'est une histoire qui prend fin. (...) J'ai eu la chance d'avoir le confort de travailler pendant si longtemps dans un club de cette stature. C'est un nouveau départ pour moi.
«Parfois le meilleur moyen de rendre les gens heureux est de partir»
Que pensez-vous de l'hommage des supporters aujourd'hui?
Cela montre qu'ils me respectent encore, qu'ils apprécient mon engagement total, avec une intégrité totale. C'est un beau compliment.

Allez-vous revenir pour regarder les matches en tribune nord, celle des fans?
Cela dépend de ce que je vais faire après, si j'ai le temps. Mais si vous m'offrez le billet... Le côté positif, c'est ce que je pourrais crier après le prochain entraîneur. (rires)

Pouvez-vous évoquer vos meilleurs souvenirs?
Il y en a trop. Il faut que je prenne de la distance. J'ai dû jouer 840 matches de Premier League, il faut que je pense à tout ça.

Pourquoi partez-vous?
Parfois le meilleur moyen de rendre les gens heureux est de partir. Mon ambition a toujours été de gagner avec du style, pour que les supporters vivent une belle expérience quand ils viennent au stade. Un entraîneur prend toujours du plaisir quand son équipe joue ensemble comme aujourd'hui. On est toujours content de faire l'unanimité de temps en temps.»
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Direction la Premier League et Arsenal pour Unai Emery 
L'ancien technicien parisien Unai Emery devrait s'engager avec Arsenal dans la semaine. Unai Emery n'a pas mis longtemps à rebondir. L'ancien technicien parisien, qui a officialisé son départ du PSG au terme de la saison depuis le 27 avril, va découvrir la Premier League et devenir le prochain entraîneur des Gunners d'Arsenal. Selon une information initiale de la BBC, que nous sommes en mesure de vous confirmer.

Alors que l'adjoint de Guardiola à City Mikel Arteta était pressenti pour prendre la suite d'Arsène Wenger, Emery l'a devancé. Même s'il ne maîtrise pas complètement la langue anglaise. L'annonce de son arrivée devrait intervenir dans la semaine.
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Stephan Lichtsteiner à Arsenal, c'est officiel
À 34 ans, le latéral international suisse va découvrir la Premier League avec Arsenal. Il était en fin de contrat avec la Juventus.
Libre de tout contrat après sept ans à la Juventus, le latéral international suisse Stephan Lichtsteiner (34 ans, 98 sél.) s'est engagé avec Arsenal mardi. Il a signé un an (plus un an en option). Il est la première recrue du nouvel entraîneur des Gunners, Unai Emery, qui devrait bientôt accueillir un autre défenseur, Sokratis Papastathopulous (Dortmund).
Emery se réjouit de pouvoir compter sur «l'énorme expérience et le leadership» du capitaine de la sélection suisse, sept fois champion d'Italie (2012-2018) et deux fois finaliste de la Ligue des champions (2015, 2017) avec les Bianconeri. Lichtsteiner fera connaissance avec ses nouveaux coéquipiers après la Coupe du monde en Russie, sa troisième avec la Nati.
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Frederik Ljungberg, ancien joueur, prend la tête des U23
Frederick Ljunberg fait un nouveau retour à Arsenal. D'abord coach, puis entraîneur des U15 entre 2016 et 2017, il sera cette fois à la tête des U23.
Frederik Ljungberg revient dans son club. Attaquant de talent entre 1998 et 2007, il devient coach des U23 du club, après un passage de 2016 à 2017 à la tête des U15. Il sera sous l'autorité de Per Mertesacker, également ancien joueur et nommé directeur du centre de formation des Gunners.
Entre temps, il avait suivi Andries Jonker, cette fois au centre de formation de Wolfsburg, en tant que directeur adjoint. «Il comprend les valeurs du club et combien il est important de donner aux jeunes joueurs l'opportunité de grandir. Quand Freddie est parti pour Wolfsburg, c'était avec la bénédiction du club, avec un retour à Arsenal en tête un jour. Tout le monde sait combien Freddie aime Arsenal et nous espérons qu'il poursuivra sa carrière avec nous », a déclaré Per Mertesacker sur le site officiel du club.
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Xhaka prolonge à Arsenal
Les Gunners ont officialisé la prolongation de contrat du milieu de terrain suisse.
Après deux saisons pleines à Arsenal, Granit Xhaka a prolongé son contrat avec le club londonien. Arrivé en provenance du Borussia Mönchengladbach à l'été 2016, il a disputé 94 matchs en deux saisons avec les Gunners. L'international suisse est apparu dans l'intégralité des 38 matchs de Premier League disputés par Arsenal la saison passée.
Les modalités du nouveau contrat n'ont pas encore été dévoilées.
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Petr Cech a refusé une offre de Naples
  Petr Cech a annoncé ce samedi qu'il avait refusé une offre de Naples et qu'il souhaitait rester à Arsenal.
Le gardien de but d'Arsenal Petr Cech a avoué samedi qu'il avait refusé une offre de Naples en dépit du récent recrutement par le club londonien du portier allemand Bernd Leno, en provenance du Bayer Leverkusen.
«Mon contrat à Arsenal court encore une année. La seule chose à laquelle je me prépare, c'est la lutte pour le poste de numéro un dans les buts», a déclaré le Tchèque de 36 ans.
«Nous sommes maintenant trois grands concurrents» à Arsenal, a-t-il reconnu en allusion à l'arrivée de Leno (26 ans, 230 matches en sept saisons de Bundesliga, 6 sélections) et à l'international colombien David Ospina, 29 ans, participant actuellement à la Coupe du monde en Russie.
Naples «a été intéressé», a-t-il reconnu sans révéler davantage de détails sur l'offre du club vice-champion d'Italie. «Mon avenir est à Arsenal, je ne réfléchis pas sur un changement du club», a aussi affirmé Cech, qui avait pris sa retraite internationale en juillet 2016, après 14 ans et 124 sélections.
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Sokratis s'engage avec Arsenal
  Arsenal a officialisé l'arrivée du défenseur grec Sokratis Papastathopoulos.
Pressentie depuis plusieurs semaines, l'arrivée de Sokratis à Arsenal a été officialisée ce lundi par le club anglais. Après cinq saisons à Dortmund, l'international grec (79 sélections, 3 buts) va découvrir la Premier League avec les Gunners. L'indemnité de transfert et la durée du contrat n'ont pas été dévoilées. Sokratis Papastathopoulos est la troisième recrue estivale d'Arsenal après le latéral suisse Stefan Lichtsteiner et le gardien allemand Bernd Leno.
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