Léonard SPECHT



Président du Racing Club de Strasbourg

Voilà le topic de notre nouveau président...

Présentation

Léonard Specht est un ancien footballeur français né le 16 avril 1954 à Mommenheim. Défenseur central et international, c'est aux Girondins de Bordeaux qu'il a construit son plus beau palmarès. Il entraînera ensuite le RC Strasbourg de 1989 à 1991, puis se consacrera à ses stages de football pour les jeunes.
C'est donc aujourd'hui le 6 juin 2009 qu'il est élu président du RC Strasbourg en remplacement de Philippe Ginestet.

Carrière de joueur

1972-1982 : RC Strasbourg
1982-1987 : Girondins de Bordeaux
1987-1989 : RC Strasbourg

Palmarès

Demi-finaliste de la Coupe des clubs champions en 1985.
Demi-finaliste de la Coupe des Coupes en 1987.
Champion de France de D1 en 1979, 1984, 1985 et 1987.
Champion de France de D2 en 1977.
Vainqueur de la Coupe de France en 1986 et 1987.
18 sélections en Équipe de France de football (1 but).

Première grande décision de notre nouveau Président est incontestablement la nomination du nouvel entraineur du racing: Gilbert GRESS
En espérant ne pas avoir une énième déception au bout.

S'il ne réussit pas, le club est fichu. Ou du moins, il n'y aura plus grand chose à espérer à moins qu'un milliardaire ne débarque et encore.

Oui, Gress et Specht on intérêt à être à la hauteur. Nous ne savons pas encore avec quelle équipe l'ont débarquera pour la saison à venir. Mais pour le moment, tout repose dans les mains de Specht et Gress.
Je pense que l'on a un bon président qui durera je l'espère.

Interview de Léonard Specht avant le départ de cette nouvelle saison.

Interview que je vous invite à lire. Specht est égal à lui même,simple et calme.
L'objectif reste la montée,avec un nouvel état d'esprit qui me fait bien plaisir


A quelques jours de la reprise officielle, ce samedi (19 h) à Istres, dans quel état d'esprit se trouve le président du Racing ?

Depuis que j'ai pris cette fonction, voilà presque deux mois (au relais de Philippe Ginestet, démissionnaire, ndlr), je me rends compte que je n'ai plus une minute à moi.

Dans les années 1980, quand je jouais encore à Bordeaux, le président Claude Bez avait cette image pour évoquer son investissement : il était capable d'ouvrir dans son esprit la case Girondins, de ne penser qu'à ça en laissant toutes les autres fermées. Puis il ouvrait celle du boulot et plus rien d'autre n'existait.
Pour moi, la case Racing est ouverte en permanence. Ce n'est pas évident, car un président doit être capable de prendre du recul, ou plutôt de la hauteur par rapport aux événements quotidiens.

On ne vous a pourtant guère entendu durant cette période cruciale d'avant-saison, où il s'agit de reconstruire une équipe...

J'ai laissé parler les autres, en attendant mon tour (il sourit). En premier lieu, je tiens déjà à remercier tous les gens qui, à travers leurs courriers, m'ont apporté leur soutien. Pouvoir se reposer sur cette sincérité est très important pour moi.
Ensuite, ce n'est pas parce que je ne m'exprime pas que le club n'avance pas. On m'a demandé de trouver un entraîneur. Je l'ai trouvé. Gilbert Gress est le plus à même de redonner de l'ambition, un fond de jeu à ce groupe.
C'est un gagneur. Avec lui, ses adjoints, Jean-Luc Herzog (le directeur général) et la cellule recrutement, on travaille presque jour et nuit pour constituer l'équipe la plus forte possible.


Justement, de vives inquiétudes entourent le potentiel du Racing aujourd'hui. Partagez-vous les craintes des supporteurs ?

On est tous conscients que ça va être difficile. On ne se remet pas comme ça d'une relégation puis d'un échec dans la course à la remontée. De 20M €, le budget a pris un coup pour passer à 15 cette saison. Il faut le digérer. Mais toutes les décisions concernant l'effectif ont été prises à l'unanimité, avec intelligence, en se basant sur des critères tactiques et financiers.
Je ne peux pas laisser dire que cette équipe ne vaut rien. Je lutte contre la sinistrose ambiante, parce qu'il n'y a pas lieu de paniquer. L'équipe sera compétitive.

Qu'est-ce qui vous le garantit ?

Le ton a changé, mais aussi l'ambition. A écouter les joueurs, ils veulent tous monter ! Eh bien tant mieux.

L'autre jour, Stéphane Cassard m'a appelé pour m'expliquer qu'il fallait à tout prix recruter, sans quoi on n'y arriverait pas. Je lui ai répondu : "Écoute, je suis content que tu t'en soucies, mais on y travaille d'arrache-pied. Maintenant, j'aurais bien voulu te voir aussi déterminé derrière tes défenseurs la saison dernière et voilà deux ans pour les bouger quand ça n'allait pas." Cassard, comme les autres, est ambitieux.
Je suis sûr que le message de Gilbert, qui a horreur de perdre, est passé.

L'exode massif des joueurs, difficilement compensé par les arrivées au compte-gouttes, n'a-t-il pas affaibli le niveau général ?

Depuis le début, les choses sont claires. Sur la dizaine de joueurs qui nous ont quittés, on ne voulait conserver que Renaud Cohade. Il a préféré s'engager à Valenciennes et retrouver la L 1, et on respecte son choix. Je peux vous dire que d'autres, comme Traoré (le Sochalien qui a rallié Caen), nous ont relancés pour rester au Racing. On n'a pas donné suite, parce que leur profil ne nous convenait pas.
Les priorités du recrutement ont aussi été définies d'entrée. Il fallait un latéral droit : Stéphane Pichot est arrivé. Il fallait un milieu : on a recruté Rodrigo, même si ça a un peu traîné.
On comptait sur Paisley, qui est finalement parti : on l'a remplacé par Sikimic, et je ne pense pas que l'on y perde au change.
C'est vrai, il nous manque encore deux attaquants, dont l'avant-centre...


Où en êtes-vous concernant ce dossier sensible ?

Toute la France veut un attaquant. Personne n'en trouve ! Sur le fax du club, une centaine de propositions nous sont déjà parvenues, des sérieuses, des farfelues.
On aimerait tous que ça aille plus vite, mais il s'agit de ne pas s'engager à la légère. Aujourd'hui, on suit quelques pistes, comme celles qui mènent à ce petit Lyonnais très doué (Yannis Tafer), à un joueur d'Osasuna (le Portugais Dady) et à un Slovène (Klemen Lavric).
Je ne sais pas qui viendra, mais on fera l'effort nécessaire pour avoir un bon attaquant et un ailier droit. En ce qui concerne ce dernier poste, peut-être l'avons-nous déjà, avec Franck Dja Djedje. Mais comme il est tout le temps blessé, on ne peut pas le savoir...

Pensez-vous toujours que le Racing puisse jouer la montée ?

On y arrivera. Il faut travailler, encore et toujours, pour donner une bonne image du club. A Strasbourg, le potentiel est énorme. Il suffit d'une petite étincelle pour que l'engouement se propage. J'espère que l'on fera le plein contre Châteauroux.
Il y a déjà 5 500 abonnés, toutes les loges sont louées et de nombreux indicateurs sont au vert.
J'en veux pour preuve la confiance de nos partenaires. Au lendemain de la défaite contre Montpellier (2-1 lors de la dernière journée de la saison écoulée), ils ont confirmé leur engagement. C'est extraordinaire.

De manière générale, il faut que l'on puisse s'appuyer sur toute la région. Prenez le centre de formation : il fait partie des douze premiers en France. Même si le budget global diminue depuis trois ans, on n'a pas touché à celui du centre. Au contraire, on investit. 22 % des pros cette saison en sont issus. Et quand j'entends qu'il n'y a pas de gamins d'ici, je m'inscris en faux : 70 % des pensionnaires viennent des clubs de la région. Il faut que les Alsaciens aient confiance en nous.

Cette confiance ne passera que par les résultats sportifs...

J'en suis conscient. En cette période, la priorité va naturellement au terrain.
Même si nous pouvons nous appuyer sur des signes de développement forts, comme la rénovation de la Meinau ou le projet de construction d'un centre d'entraînement, un peu à l'image du Haillan (à Bordeaux), seuls comptent aujourd'hui les résultats.

Ces derniers temps, il est aussi question d'une entrée dans le capital d'investisseurs alsaciens, réunis autour de Jacky Kientz . Qu'en est-il exactement ?

L'actionnariat est amené à évoluer. Philippe Ginestet (encore actionnaire majoritaire, à hauteur de 70 % de la holding qui détient 80 % des parts du RCS) ne veut pas être le seul à garantir les finances de la société. C'est quand même grâce à lui que le club a obtenu le feu vert de la DNCG pour la saison 2009-2010.
Maintenant, c'est une bonne chose que des investisseurs locaux aient envie de revenir au club, d'autant que peu de monde s'est manifesté ces dernières années.

J'ai entendu parler de Jacky Kientz et de beaucoup d'autres gens. Comme sur le plan sportif, il ne s'agit pas de faire n'importe quoi. Il y a eu trop de dissensions et de querelles de personnes au Racing ces dernières années.


Quelles sont vos relations avec Philippe Ginestet, que d'aucuns soupçonnent encore de tirer les ficelles du club en sous-main ?

Il n'intervient pas dans la gestion quotidienne, du moins pas à mon niveau. Le travail se fait en commun, entre Gilbert, le directeur général et moi-même.
Mes rapports avec Philippe sont les mêmes que ceux avec tout actionnaire majoritaire dans n'importe quelle société. Il est en droit d'attendre des comptes. On les lui rendra en mai prochain.

Avez-vous désormais hâte que la saison commence ?

Oui, bien sûr, même si on a toujours l'impression que la reprise intervient trop tôt, sans que l'on soit prêt. Il faut partir comme ça. Le Racing est aujourd'hui un vaste chantier, à tous les étages, mais il dispose d'un potentiel énorme. Si on gagne, ça sera tous ensemble. Si on perd, on assumera.

(Source DNA)

On a du soucis à se faire. Je ressens l'appel de Cassard comme une alarme qui dit attention, on va droit dans le mur!! Peut de joueurs auraient fait la même chose.

Complètement d'accord avec le post au dessus, par rapport à la déclaration de Cassard il y a quelques temps.
Et ça confirme un peu ce que je pense de Specht.. Il a pas du tout la carrure pour ce poste. Au début, son calme m'a paru assez bien. Je me disais que le calme est lié à la sérénité et donc la lucidité. Mais finalement, même après deux défaites et un début de crise Racingesque, il reste toujours aussi calme et c'est frustrant.

Il répète souvent qu'il est surpris du temps que ce poste demande. Je me disais: Haha il a un peu d'humour.
Mais au final, c'est plus une phrase qui montre qu'il est dépassé. Et je suis content qu'il ne soit qu'un Président temporaire

C'est certain il n'est pas du tout fait pour ce poste.C'est juste un paratonerre .Il est entre le marteau et l'enclume.LOLL

Ben n'importe qui ne serait pas très à l'aise dans sa position, celà ne vient pas du bonhomme, mais de sa position délicate vis à vis de Lohr et Ginestet.

Encore une fois vous jugez trop vite, laissons lui un peu de temps tout de même, toutes ces critiques commencent sérieusement à m'agacer !!!!!!

Ma critique est surtout suite a ce qu'il a dit .On joue le maintient et on est au premier match .La il est plus que grave deja que nos chouchoux n'ont pas le moral c'est pas avec cette phrase qu'il les motives.

Ben pour moi il fait preuve de clairvoyance sur ce coup là, car sur la prestation d'hier soir je ne vois pas d'autre objectif (pour l'instant).

Attend ce n'était pas bon mais de la a dire on joue le maintien faut arréter.

Non mais c'est vrai, je suis d'accord avec MONTZUCK. L'an dernier, on a fait un frômage au sujet de Furlan en début de saison, quand il a dit que la montée serait difficile à réaliser. Cette année on joue soi-disant de nouveau la montée (c'est pas nous qui l'avons dit, ce sont les dirigeants !), et on parle de maintien au bout d'une journée de championnat. Sur le papier, l'effectif vaut quand même un peu plus

Après je n'ai rien du tout contre Specht, je le trouve très calme, donc on va le laisser bosser tranquillement ... Pareil que pour le coach : un Président ne se juge pas sur son attitude pendant un mois et sur une réflexion - certes malvenue - faite suite à un match calamiteux.

Merci cela prouve que je ne raconte pas que des conneries.En plus en étant encore plus vicieux dans leur tactique interne .C'est de dire on joue la montée et on fait venir GRESS cela fait des abonnés .Et au premier match on leur dit ben non on a un effectif de ***** on joue le maintien.

L'équipe a écrit:

Specht vise le maintien

Marqué par les deux premiers matches officiels disputés cette saison par le RC Strasbourg, le président du club Léonard Specht a mis en sourdine l'objectif de remontée qu'il s'était assigné en début de saison. «Après Istres (1-6) et Châteauroux (1-2), les ambitions de Strasbourg sont de ne pas descendre», a-t-il déclaré vendredi à la Meineau, cité par les Dernières Nouvelles d'Alsace.

Concernant les récentes déclarations de Specht, je trouve que c'est très très surprenant. Jusqu'à preuve du contraire, le RCS est un des favoris du championnat et doit viser la monter.

Je ne vois pas pourquoi le président commence à nous parler du maintien avec 2 rencontres catastrophiques. Il faut pas non plus trop chauffer les supporters. On doit relever la barre, pas commencer à viser la barre des 35 ou 40 points nécessaires au maintien.

Si les dirigeants sont un minimum ambitieux, il vont recruter encore ( au moins un défenseur, selon les souhaits de Gress ). Si vraiment on recrute personne, alors que Specht a lui même dit que maintenant on visait le maintien, alors ça fait vraiment peur un tel manque d'ambition.
Pourtant c'était une critique de Gress sur le Racing d'Aujourd'hui.. J'espère qu'ils feront quelque chose

Specht voulait surtout dire qu'avec ces deux prestations catastrophiques, seule la question du maintien était envisageable objectivement. Celà ne veut pas dire qu'il ne songe pas à une amélioration possible dans les prochains temps qui permettrait d'envisager des objectifs plus élevés.
Maintenant, est-ce qu'une amélioration est envisageable, ça chacun est libre de penser ce qu'il veut.

HE HO on le pense fort mais on le dit pas.Tu ne diras jamais a un élève que c'est un ane et qu'il est nul a *****.Tu dis il a la capacité de mieux faire.loll
Cela me rappel mes bulletins SPORTS ETUDES foot.
Les profs peuvent donner une leçon a tonton SPECHT

Specht a aussi son poids de responsabilité dans le brouillard qui tombe sur la Meinau en ce moment ... c'était son rôle de faire le tampon entre le sportif et l'actionnariat, au moins dans la forme. C'était son rôle aussi de choisir un entraineur avec qui son supérieur hiérarchique puisse s'entendre un minimum ... l'idée de mettre un entraineur en place alors que rien qu'à l'évocation de son nom Ginestet semble avoir la nausée, ça me semble pas être un éclair de génie ...

Tout simplement dépassé par les événements .Je le pense trop honnête, surtout dans un club comme Strasbourg où certaine "vipère" traîne toujours!!!!

Pas de sa faute s'il faut trouver un coach qui soit toujours en accord avec Ginestet, un coach toutou qui n'a pas le droit de dire ce qu'il pense

Je comprend mieux pourquoi on a gardé JMF 2 saisons

Et si on se servait un peu de son cerveau pour changer ? Le juste milieu ça existe non ? Un coach qui soit pas un lèche-botte sans être un fouteur de m*rde.

Oui et de temps en temps tu rentres a reculant dans son bureau .C'est certain ce n'est pas la tasse de thé a GRESS.

Impossible, tu sais bien qu'on a 1 cerveau pour tous le forum .. le tient mon Spisko

:lol!:

Je parle pas du forum mais du club

MDR, ah ben en tout c'est la preuve que mon cerveau est sur le mode-off aujourd'hui

Chui trop véner' .. j'ai qu'une envie .. taper Ginestet

Moi j'ai pas envie de taper sur qui que ce soit, mas plutôt de tout raser pour repartir de zéro. Personne s'entend, tout le monde pense savoir ce qui est bon pour le Racing et essaye de l'imposer.
Nouvel entraineur, nouveau président/actionnaire, etc ... tout changer, jusqu'au jardinier et à la secrétaire de la boutique