Jean-Louis Mazzéo.

Et oui Allmen, c'est bien Jean-Louis Mazzéo. Alors, à toi de jouer...
Petit rappel, si tu permets...
Février 1993... Sedan accueille Martigues... Le seconde de division 2 accueille le leader, alors en pleine bourre et qui domine nettement la division 2... A l'aller, Martigues a étrillé Sedan qui n'a pas réussi à franchir le milieu de terrain, ou presque... J'ai été chargé pour la énième fois d'aller observer l'attaque et le milieu de Sedan... A mes côtés en tribune, tout le gratin du Psg, de Metz et d'autres clubs du Sud de la France... Depuis le début de saison, Martigues est une machine à gagner qui joue bien, qui joue juste et qui aligne les victoires... C'est le favori de tous pour monter en division 1... Sedan s'accroche à cette seconde place. A Sedan, un joueur s'éclate depuis l'été. Jean-Louis Mazzéo rayonne et surclasse toute la division 2, aussi bien en milieu de terrain qu'en attaque. Ce soir-là, il ridiculise le leader en plantant facile 2 magnifiques buts... Tous les clubs de division 1 se frottent les mains et sentent la bonne affaire, sans se douter un seul instant qu'il s'est déjà mis d'accord avec Carlo Molinari... A 4-0, les joueurs s'énervent un maximum et passent pour des crétins... Et soudain, Ferblantier exécute (il n'y a pas d'autres mots !) Jean-Louis, l'ange de 1m85, d'un tacle assassin qui fait un drôle de bruit dans le stade. C'est un silence de mort dans le stade. Chacun comprend alors sur l'instant que c'est grave. Très grave. Ferblantier le débile vient d'assassiner celui qui aurait du être l'attaquant de l'équipe championne du monde en 1998 !
J'éxagère ? Pas un seul instant. Tous ceux qui ont suivis Jean-Louis durant cette saison 1992-1993 ont été subjugués par son talent offensif, sa facilité technique, son aisance balle au pied. Jamais plus, par la suite, il n'a retrouvé son niveau exceptionnel....

Un autre joueur de classe qui aurait mérité une meilleure carrière.

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Un O

Un S

un I

un T?

_ _I_I_ _ _ _ _ _ _ _O_

Lettres proposées: O,S,I,T

Un E ?

Un M

Philippe Jeannol ?

_ _I_I_ _E _ _ _ _ EO_

Lettres proposées: O,S,I,T,E,M

Un A ?

Remballe Allmen, c'est Philippe Fargeon, un ancien attaquant assez vif et efficace. Je crois me souvenir qu'il a porté (et bien !) le maillot des girondins !

Exact! Il avait fait une saison assez fabuleuse chez les Girondins vers 87 ou 88.

Le nouveau pendu était nul au Sud mais divin à l'Est.

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un S?

Un U

Un E ?

Un H?

Un A ?

_ _ A U _ E H A U S _ _ E _ H _

Lettres : S U E H A

Claude Hausknecht

Bravo Nanar, c'est bien Claude Hausknecht !

Un lorrain de Thionville qui n'a rien réussi de bon à Monaco et qui est ensuite revenu au FC Metz pour former un trio magique avec André Betta et André Coustillet dans le milieu des années 70. Claude Hausknecht avait une superbe vision du jeu et savait lancer parfaitement Curioni, Zénier, Dehon et Nico Braun. Ce trio, formé de joueurs complémentaires mais peu chers, était un régal à voir jouer...

A toi de faire...

Heureusement que le prof n'est pas encore réveillé !!!!!, sinon je n'aurais pas eu le temps

Présent au rapport, Maestro!
Je te rassure même en étant présent ici à 6 heures du mat', je ne l'aurais pas trouvé...

v'la un ch'ti

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Le traditionnel E (en espérant que le joueur soit un peu plus connu que le dernier ).

Un M

Poncho a écrit:

Le traditionnel E (en espérant que le joueur soit un peu plus connu que le dernier ).

Poncho, le football se vit avec des statistiques chiffrées certes, mais aussi avec les yeux et le sentiment que te laisse un joueur... Claude Hausknecht, s'il n'a pas laissé un souvenir impérissable sur Internet, reste un joueur magnifique pour tous ceux qui ont eu l'honneur de le voir réellement jouer. Le milieu de terrain messin des années 75 était un régal : Béta, Coustillet et Hausknecht. Ces 3 là, achetés à bas prix par Carlo Molinari, étaient complémentaires et jouaient les yeux fermés ! Un pur régal. Exactement comme Gyora Spiegel, un israélien, qui a joué au Racing et qui était aussi bon en libéro qu'en milieu ou qu'en attaque... Gyora Spiegel dont plus personne ne parle ! Et pourtant, il a joué chez nous et n'avait rien à envier à Leboeuf !

Un A