Notre dernier espoir Kientz mais sans trop d'espoir.
Le monde de l'argent, le monde tout court, court à sa perte car tout est à vendre y compris l'âme de toute une région.
Merci, les financiers pour le monde dément que vous nous léguez et allez rôtir dans votre paradis fiscal infernal.

Il est tant de se prendre une bonne vieille comète dans la gueule, l'homme est arrivé au bout de ce qu'il pouvait faire de bien .. on mérite pas meilleur fin que les dinosaures .. au moins eux ils assumaient de se bouffer les uns, les autres ^^.

Tu n'as pas tord RotUnWiss. Pour sauver le Rasinge, il s'agirait d'installer un vélociraptor dans les locaux de la Meinau afin d'éliminer physiquement les fossoyeurs du club.

Un velociraptor pour les éliminer .. ok ça marche , mais alors tu m'en laisse au moins un pour que je teste la technique de pendaison évoqué dans un autre topic, je suis curieux de voir si ça tient ou pas

C'était des reptiles, ils n'en avaient pas!!!

Oui et je ne pense pas qu'ils se laisseraient faire Mais tu peux toujours t'y risquer.

MDR, chui explosé de rire .. au moins ils nous font marrer et dire des conneries Fontenla and co'

Nom d'un caramel RUW, je crois que la personne que t'as mis en avatar il a compris depuis le début que le racing n 'était plus rien

Celui en avatar ou celui en signature ?

Je pense que c'est plutôt la personne de sa signature
Ho ça doit lui faire mal au coeur toute cette mascarade.......

ça tu peux en être sur, notre ami 'Schilles" en a gros sur le coeur , quand on voit cette mascarade !!!!!!!!, depuis les années 50 je n'ai jamais vu celà.........

«Le club est en danger», Roland Ries saisit la Ligue



Le Racing «est en danger» a déclaré jeudi le maire de Strasbourg Roland Ries qui demande au président de la Ligue Fréderic Thiriez de prendre «toute mesure utile».

La cession des parts de Philippe Ginestet à des actionnaires inconnus, «apparemment peu investis dans le football et certainement très éloignés du souci de valoriser le club et Strasbourg» a abouti «à une situation de désordre extrême», déclare le maire dans un communiqué cosigné par le président de la communauté urbaine (CUS) Jaques Bigot. Dans cette situation «préjudiciable au club, à la ville et à l'Alsace», les signataires annoncent avoir saisi jeudi le président de la LNF afin que la Ligue nationale «prenne toute mesure utile pour clarifier la situation du club».

Ils appellent par ailleurs les actionnaires minoritaires actuels du Racing à se regrouper pour former, avec d'autres partenaires potentiels, une proposition de rachat des actions détenues par M. Fontenla, «afin de sortir rapidement de la situation actuelle».

L'actionnaire principal du RC Strasbourg (19e de la L2), le groupe Carousel Finance représenté par M. Alain Fontenla, a annoncé jeudi matin vouloir abandonner la reprise du club alsacien et remettre ses actions en vente.

M. Fontenla a explique cette décision par les critiques, «de façon parfois diffamatoire» qui ont été émises après le rachat des actions du club alsacien à M. Philippe Ginestet.

Pressenti pour entraîner les Alsaciens, Jean-Pierre Papin qui avait fait monter le club en L1 en 2007, avait donné son accord de principe mais l'avait lié au résultat du passage du club mardi devant la Direction nationale de contrôle de gestion (DNCG). «S'il est décidé que le club ne peut pas recruter, alors le poste ne m'intéresse pas», avait-il fait savoir.

La DNCG a exigé mardi du nouvel actionnaire qu'il «bloque 3 millions d'euros jusqu'en juin 2010».

«Ils m'ont clairement fait comprendre que je n'étais pas le bienvenu au sein de la "grande famille du football"», déplore M. Fontenla qui avait pourtant annoncé qu'il répondrait favorablement à la demande.

Oho, v'là le père spirituel d'Arnaud MAIRE qui s'en mêle !

Oh leich dü, si le "Herr Maire" s'en mêle c'est qu'on est vraiment à l'article de la mort... il ne manque plus que le "Herr Pfarer" et on y sera alors dans la "kescht en tannebaam" !

Peter a écrit:

Leur excuse du mauvais accueil, c'est vraiment pitoyable... Le Racing ce n'est pas un jouet qu'on jette quand il nous plaît pas. Derrière il y a des êtres humains qui subissent les conséquences de leurs actes égoïstes

Et Roman Loban avait eu le temps de venir nous voir ? Il dit qu'il y a eu un mauvais accueil, mais moi je ne savais même pas qu'il était venu..

Des blabla... Du pipeau... Roman Loban n'est jamais venu à Strasbourg, ni à la Meinau.

J'y comprends plus rien et je me demande bien si quelqu'un veut encore de notre cher RACING!!!!!! Ne pas se faire d'illusion pour ce soir (petit rappelle :Fauvergue et Bellaid suspendu ; pour le remplacer Ledy(qui a pas encore le niveau .dsl. Et Sikimic qui n'a plus joué en championnat depuis....longtemps très longtemps

Le compte à rebours est lancé......

Moins de quinze jours après avoir racheté les parts de Philippe Ginestet, le nouveau propriétaire Alain Fontenla a annoncé hier matin vouloir revendre le club. L’avenir du RCS est aussi incertain en coulisses que sur le terrain, où il accueille Guingamp à 20 h 30 à la Meinau.

Le communiqué d’Alain Fontenla publié en avant-première hier sur le site de « L’Alsace » a fait l’effet d’une bombe. Le nouveau propriétaire du Racing y annonce son intention de revendre immédiatement le club. Pour justifier un départ qui s’apparente à une fuite, l’homme d’affaires français installé à Londres utilise un ressort bien connu : la thèse du complot (voir ci-contre). Sans se démonter, il « invite cordialement les actionnaires minoritaires qui ont manifesté leur hostilité à prendre leurs responsabilités et à me faire parvenir une proposition de reprise avant le 24 décembre. » Une manière commode et presque inconvenante de s’exonérer de ses responsabilités.

Or, ces responsabilités sont immenses. Julien Fournier, PDG berné par ce qui se révèle n’être qu’un trouble miroir aux alouettes, veut encore croire que celui par qui le scandale est arrivé les assumera : « M. Fontenla est vendeur. Mais jusqu’à ce qu’il vende, il doit honorer des responsabilités qu’il connaissait. Je n’ose imaginer qu’il ne joue pas son rôle d’actionnaire. »

Avec un aplomb que ne justifient nullement les événements récents, l’avocat genevois Ralph Isenegger, plaque tournante d’un projet de reprise bancal, va d’ailleurs jusqu’à certifier que le météorique Fontenla assumera ses responsabilités.« Si effectivement, aucun repreneur ne se déclare avant le 24 décembre, M. Fontenla versera les 3 millions que lui réclame la DNCG. Vous constaterez alors que tout le monde a eu tort de mettre en doute sa surface financière. »
Sitterlé veut fédérer les Alsaciens
Oui, mais voilà : en Alsace, le peuple est comme Sœur Anne. Il attend de voir. Car les promesses — on le sait — n’engagent que ceux qui les croient. Aux yeux d’un Philippe Ginestet qui estime avoir été autant abusé que Fournier, elles n’ont que trop duré. « À partir du moment où on m’a présenté toutes les garanties financières – j’ai d’ailleurs perçu mon dû dans sa totalité – et où Julien Fournier, dont tout le monde connaît la compétence, m’a dit avoir reçu toutes les autres, je n’avais pas de raison de douter. À l’époque, Robert Louis-Dreyfus et son armada de conseillers très avisés se sont fait berner par Jack Kachkar à l’OM. Ça prouve que tout est possible. Que M. Fontenla ne puisse assumer ses obligations est peut-être une bonne nouvelle. À condition que la revente soit rapide. La balle est désormais dans le camp des investisseurs locaux qui se sont déclarés. »

De son côté, J. Fournier dénonce le système Fontenla qu’il a refusé de cautionner. « Je lui ai dit que s’il pensait que j’allais laisser certains agir à leur guise sur des transferts de joueurs, il s’était trompé de personne », accuse-t-il, en visant – certes sans le nommer – Ralph Isenegger.

Pendant ce temps, la résistance s’organise chez les repreneurs potentiels. Candidat malheureux il y a quinze jours (nos éditions des 3 et 4 décembre), l’Alsacien Frédéric Sitterlé, patron de la holding parisienne « The Skreenhouse factory », s’est rapproché des autres régionaux intéressés. « J’ai, depuis New York (Ndlr : où il est en déplacement) eu les autres porteurs de propositions alternatives à Fontenla. Je m’organise pour fédérer ces offres — parfois divergentes – et apporter ainsi une réponse régionale positive, constructive et consensuelle, dans l’intérêt du club. Aucune de ces offres ne remplit individuellement les conditions nécessaires à une reprise. Mais ensemble, nous pouvons apporter des réponses satisfaisantes et donner l’espoir de créer un projet sérieux qui s’inscrive dans la durée, avec un ancrage économique, culturel et sportif local fort. Le calendrier ne peut pas être celui imposé par Fontenla. Ce n’est pas sérieux. Ce sera donc un calendrier décidé par nous et dans des conditions acceptables par tous. »

S’il réussit dans son entreprise, le pire (dépôt de bilan, puis liquidation judiciaire), tant redouté par les salariés du RCS, peut peut-être encore être évité (L'Alsace)

Sitterlé and co' .. dernier espoir du Racing pour éviter le dépot de bilan.

Comme Sitterlé le dit, individuellement les offres régionales ne remplissent pas les conditions nécessaires à une reprise .. mais si tous le monde va dans le même sens .. l'union fait la forçe comme on dit et peut-être que les alsaco' pourront sauver notre club de la liquidation judiciaire.

Je trouve que le personnage sur la photo est bien pensif, c'est peut-être un extra terrestre qui a vu venir la chose !!!!!!

Il doit se dire .. " Oh non pitié, pourvu que la Mairie ne soit pas une fois de + obligé de s'investir dans le Racing ! "

DNA

Grand-guignolesque

C'est une équipe au fond du trou, dépourvue depuis hier d'actionnaire majoritaire, dont le président est sur le départ alors que l'entraîneur a été remercié avant d'être rattrapé par le bout de la manche, qui s'apprête à défier tout à l'heure (20 h 30) l'En Avant Guingamp. Au Racing, décidément, le pire est toujours à venir.

Jusque-là, tout va mal. Très mal. Au Racing, inlassablement, chaque jour apporte son lot de désillusions et de consternation. Si bien que la réalité a fini par dépasser l'affliction.
On pensait pourtant avoir tout vu lors de l'ère américano-surréaliste de McCormack. Laissé exsangue par le passage dévastateur des Proisy, Le Roy et consorts - de 1997 à 2003 -, le club strasbourgeois avait un peu recouvré la santé sous le regard protecteur de Gindorf.

Un violent tourbillon a plongé la Meinau dans le chaos

La rechute, incarnée par les échecs sportifs de Philippe Ginestet, n'a ensuite cessé d'inquiéter les amoureux du club. Mais un fol espoir de rémission a pris corps voilà deux semaines, jour pour jour, quand le président, décrié et moralement usé, a décidé de passer la main à « un grand financier » censé sortir le Racing de l'ornière.
Las, rien, mais alors strictement rien, ne s'est déroulé comme prévu. En une petite quinzaine, un violent tourbillon venu d'Angleterre, sinon de Suisse, a emporté les rares certitudes et plongé la Meinau dans le chaos.
Dans le sillage de Julien Fournier, président salarié très vite dépassé par les événements (lire ci-dessous), une légion de nouvelles têtes a participé à la cacophonie ambiante.
Roman Loban, golden boy estonien de 27 ans, rachète le club mais disparaît aussitôt de la circulation sans passer par la case Meinau. Un sentiment de malaise affleure. Alain Fontenla, entouré de son conseiller Ralph Isenegger et de Christophe Cornelie, se présente comme l'actionnaire majoritaire. L'homme, d'apparence joviale, n'entend rien, mais alors absolument rien, au football. On se gausse dans les chaumières.
Suit le crispant épisode de la vraie-fausse arrivée de Jean-Pierre Papin. Pascal Janin est débarqué dès jeudi, mais l'ex-Ballon d'Or hésite, à juste titre. Quoi de plus logique, dès lors, que de réintégrer le coach évincé et, fatalement, très embarrassé ?
L'affaire vire à la pantalonnade quand Fontenla ne parvient pas à montrer « patte blanche » devant la DNCG, mardi. Trois millions d'euros manquent à l'appel. Une paille que le repreneur n'avait visiblement pas prévu d'injecter sans ciller... Ce n'est plus un faisceau de doutes qui converge vers la Meinau, mais un projecteur surpuissant.
Le comble du ridicule n'est pourtant pas encore atteint. Il faut attendre hier matin pour dépasser les bornes de l'entendement. La société EuroRacing qui gère le club doit se réunir en assemblée générale pour entériner la passation de pouvoir entre Ginestet et Fontenla.
Problème, ni le nouveau patron, ni aucun de ses représentants, ne pointe à l'horizon. Abracadabra : la troupe s'est volatilisée, sans laisser d'adresse. Julien Fournier est abasourdi, les autres actionnaires restent pantois.
Comme tout le monde, Julien Fournier découvre vers midi, à travers un communiqué effarant, que Fontenla et ses hommes ont mis les bouts pour de bon. La faute en incombe à la presse, bien évidemment, mais aussi à quelques actionnaires minoritaires qui « n'ont eu de cesse de (les) critiquer totalement gratuitement, voire de façon parfois diffamatoire ». Même la DNCG en prend pour son grade.
Ralph Isenegger assure que le futur ex-patron du Racing - celui-ci se « retire pour votre plus grand plaisir (sic) » - est « un garçon extrêmement sensible, proche de la dépression, qui a été confronté à un milieu impitoyable. » Pauvre de lui.
Personne n'aura eu le temps de le regretter. Pas même Ginestet, qui a le sentiment de « s'être fait berner, comme Julien Fournier, face à des promesses non tenues ». Le président sortant se réjouirait presque de ce départ : « A partir du moment où il ne peut pas assurer ses obligations, c'est une bonne nouvelle. A condition qu'il passe la main rapidement. »

L'heure de la mobilisation alsacienne sonne à nouveau

Dans le rang des autres actionnaires, l'heure de la mobilisation sonne à nouveau. Alors que l'historique André Bord «adjure les élus strasbourgeois de provoquer une réunion» entre les forces vives locales, Alain Fontenla laisse à ses détracteurs « jusqu'au 24 décembre » pour formuler une proposition de reprise.
« Fédérer les Alsaciens autour d'un projet commun n'est pas évident, le plus dur commence », conclut Dominique Pignatelli. Et dire qu'il y a un match ce soir...

Sébastien Keller

Je connais le nouveau repreneur... Il s'agit de l'UNJF, l'Union Nationale des Journaux Français !
En cette année 2009, le Racing a tant fait parler de lui que l'UNJF lui doit bien ça... Aucun autre club professionnel de France et de Navarre n'a réussi à produire autant d'articles de presse que nous autres ! Il me semble donc logique que cet organismes devienne notre nouveau repreneur !

Hélas, Fontenla n'est pas encore " out ", il a accordé un ITW telephonique à l'Alsace ce matin ..

http://www.lalsace.fr/fr/article/2485441,207/Alain-Fontenla-Je-suis-l-actionnaire-majoritaire-c-est-toujours-moi-qui-decide.html

Extrait :

L'investisseur français basé à Londres nous a ainsi fait savoir qu'au cours de la journée d'hier, "plusieurs offres de partenariat" lui avaient été formulées "par des grands noms du monde du football", ainsi que plusieurs offres de reprise proprement dite, françaises et étrangères.

"Je n'ai pas complètement renoncé", a ajouté A. Fontenla, laissant entendre que les offres de partenariat qui lui étaient parvenues l'avaient remis en confiance.

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On peut aussi y lire qu'il a les boules envers les prises de positions de Fournier .. ça a pas du lui plaire que Fournier ne marche pas dans ses combines et dévoile le plan de Fontenla and co' ..

Fontenla prétend avoir l'argent nécessaire pour la DNCG ? Alors, qu'il le verse et basta ! Le problème, c'est que la DNCG enquête sur la provenance des fonds... On n'est pas à Londres où on accepte n'importe quoi, surtout s'il s'agit d'un chèque bancaire provenant de la banque suisse HSBC ! Les chèques HSBC, excusez-moi mais ça pue ! Et si Fontenla peut sortir environ 5 millions pour la DNCG (à titre personnel), qu'il nous explique donc d'où vient cet argent... Ginestet ayant une fortune de 200 millions d'euros, lui, il refuse...

Normal qu'il ait les boules, il s'est fait descendre par Fournier. Maintenant je ne crois pas qu'il veuille sincèrement rester après ce qui c'est dit. D'ailleurs on pourra noter qu'il ne dément pas les propos de Fournier.
C'est trop tard pour lui ,par contre il peut vendre le club au plus offrant et peut-être pas au plus compétent .....

La preuve il avait dit qu'il serait présent ce soir ...manque de bol il a raté son avion

manou54 a écrit:

Ginestet ayant une fortune de 200 millions d'euros, lui, il refuse...

Ce n'est pas le même.

C'est un comique ce Fontenla quand même .. même les avions ne veulent pas de lui

Il ne dément pas les propos de Fournier car ce dernier a dit vrai .. et le fait que Fournier soit contre sa façon de fonctionner a beaucoup agaçé Fontenla .. c'est pourquoi il a dit haut et fort que le boss c'est lui, il fait ce qu'il veut et que ceux qui ne sont pas d'accord en tirent les conséquences.

S'il vire Fournier et plaçe président un de ses proches .. un gars du genre Isenegger, il aura les mains libre pour lançer le " projet " qu'il a pour le Racing.

J'ai l'impression que Fontenla est un gars qui a enormement de caractère ( dans le mauvais sens " sale caractère " ), qu'il n'a pas supporté les critiques ( Fournier, les minoritaires, les supporters etc .. ) et nos doutes, alors que ces derniers étaient tout à fait fondé .. et qu'il a grande envie de faire comme bon lui semble .. n'ayant rien à foutre de ses opposants et je dirais même qu'il est bien le genre a jubilé de savoir qu'il nous met les nerfs.

Bref un bon petit dictateur

C'est fou quand même l'arrogance des propriétaires d'argent ou présumés tels.

Intéressant l'article sur la vente du Racing (entre Ginestet et Fontenla)

Vente - Un club à 1,6 million

Le chiffre n’avait encore jamais été révélé si nettement. Il est désormais officiel. Philippe Ginestet, qui avait injecté 5,353 millions dans le Racing (entre achats des parts et compte courant), n’a perçu que 1,6 million de la part d’Alain Fontenla. Il a abandonné tout le reste en compte courant, mais pourra toutefois récupérer un million supplémentaire lorsque le club remontera en Ligue 1, s’il y remonte… « Philippe Ginestet m’a littéralement bradé le club, il faut le savoir », confirmait Alain Fontenla hier matin sans autre précision. Pour le moment, P. Ginestet a donc perdu au RCS environ 3,75 millions. « Ce qui est sûr, c’est qu’en dehors d’une agitation médiatique regrettable, le club n’a pas subi de préjudice financier, puisque seul Julien Fournier possède la procuration pour signer les mouvements de fonds », met en lumière l’ancien propriétaire.

S’il doit partir, Alain Fontenla souhaite, lui, ne pas perdre un centime. Les acheteurs potentiels connaissent donc le montant à débourser. Sachant qu’ils devront aussi sortir les 3 millions demandés par la DNCG et couvrir le déficit résiduel en fin de saison s’il n’est pas amorti par les ventes de joueurs.

Si les offres de reprise parvenues à Alain Fontenla restent pour l’heure virtuelles – puisqu’il n’en dévoile pas l’origine – deux projets au moins semblent prendre tournure. Le premier est mené par l’Alsacien – natif de Blodelsheim – Frédéric Sitterlé, actuellement en voyage à New York. Ces deniers jours, le patron de la holding « The Skreenhouse factory » (nos précédentes éditions) s’est rapproché de Jacky Kientz, l’ancien président du RCS (1990-1992), porteur d’un dossier de reprise l’été dernier. « C’est exact », ne nie pas ce dernier. « Pour l’instant, nous n’avons pas pris contact avec Fontenla. Nous voulons d’abord réunir un tour de table solide. Nous sommes déjà quatre ou cinq. Il faut affiner. Dominique Pignatelli, déjà actionnaire minoritaire d’EuroRacing (12 %), nous soutient, même s’il ne remettra pas d’argent dans le rachat. Aujourd’hui, il faut en finir avec ce capharnaüm. Les politiques vont s’en mêler. Il y a suffisamment de bonnes volontés pour faire quelque chose pour le club. »

Déjà sur le coup voici quelques semaines, deux hommes d’affaires turc ( « l’une des plus grosses fortunes de Turquie », affirme notre source) et anglais seraient disposés à refaire une offre. « Ils sont prêts à injecter 10 millions, entre le rachat, la remise à flot des finances et le recrutement », poursuit cette même source.

Suite au prochain épisode.

Très interessant, Ginette voulait vraiment vendre le bébé .. ça me rappel mon grand-père quand il en avait marre d'être sédentarisé, il avait vendu son magnifique chalet pour des clopinettes pour reprendre la vie en caravane la semaine suivante

Apparement il y a des turcs sur le coup maintenant ^^ .. perso j'aimerais mieux que le projet de Sitterlé et Kientz puisse aboutir, j'ai rien contre les turcs .. dailleurs j'aime beaucoup leur équipe nationale .. mais là j'en ai marre .. j'ai vu défiler trop de noms de pays ces derniers jours