Poncho a écrit:

Sondage du quotidien L'Alsace

http://www.lalsace.fr/sport/2011/03/12/jafar-hilali-doit-il-quitter-le-racing-strasbourg

C'est du grand n'importe quoi ce sondage... il n'a que ca à foutre ce GODIN... il a qu'à mettre de la thunes au lieu de faire C...

marc67 a écrit:

Ouais mais si le Jafar quitte le RCS que deviendra ce club.....?
Sachant qu'il met au jour les sujets ou certains se sont remplis les poches, que ce mec a mis plus de tunes que les anciens propriétaires.

Il est peut être absent mais il investi contrairement à ceux qui étaient présent et qui on largement coulés et on fait que le club en est la maintenant....

Je retourne ma veste et je pense que Hilali peut sortir le club de cette ***** et qu'avant ca il doit faire le ménage et faire comprendre au public que depuis 20ans le RCS était un club de magouilleurs qui ne pensaient quà grossir leurs compte en banque.

Le dépôt de bilan arrangerait beaucoup de monde sauf celui qui investit pour le futur du club.
Jafar assume tous les procès causé par les anciens et de lui, mais il continue à y croire et fait son possible pour le club et tant pis pour son absence aux matchs.

C'est comme un parent qui s'absente 6 mois pour apporter le meilleur et une vie saine pour sa famille....

J'ai mis un commentaire neutre un peu comme ma reponse ici.
Je viens de voire ma boite mail et voici la réponse;
Bonjour Marco67,
>
> Votre commentaire sur "Jafar Hilali doit-il quitter le Racing Strasbourg ?" a été rejeté par un modérateur.
> Raison invoquée : ""
>
> Cordialement,
> multimedia@lalsace.fr

Je précise que la raison n'a pas été justifiée........;En gros, il y a qu'un seul chemin, celui de ceux qui on fait du RCS un club de national...
Pour ma part, je commence sérieusement à me poser des questions sur ceux qui ne veulent pas du Jafar dans les plus hautes instances de notre région ainsi que ceux du pole Alsacien......

Le « J’accuse » de Hilali

Jafar Hilali, dont les décisions ont débouché sur de nombreux procès, se pose en légaliste et entend « faire appliquer la loi. » Photo Thierry Gachon
Le président du RCS a-t-il franchi la ligne jaune en laissant entendre, dans un virulent communiqué diffusé hier, que ses prédécesseurs et les dirigeants de l’association RCS foot étaient peut-être responsables d’un abus de bien social ?
En réaction à nos informations de ces derniers jours sur le conflit qui oppose désormais le Racing à l’association support RCS foot, le président Jafar Hilali a transmis hier à son organe de communication préférentiel, le site internet de supporters cieletblanc.com, ce qu’il appelle un « droit de réponse », avant que le site du club n’en publie un peu plus tard une version amendée et expurgée. Dans un long monologue à la dénomination sans fondement - puisqu’un droit de réponse doit être adressé au média concerné et que la rédaction de « L’Alsace » n’a jamais rien reçu -, le patron du club bas-rhinois égratigne à peu près tout le monde et demande au maire de Strasbourg, Roland Ries, d’intervenir « pour que cessent (les) attaques incessantes » dont il serait l’objet, lui qui, depuis son accession aux commandes en décembre 2009, n’a cessé de multiplier les conflits (Julien Fournier, Luc Dayan, Pascal Janin, Jean-Claude Thiry, Valérie Bonjour, Catherine Cassel, Thomas Azan et même Jérémy Abadie, tous anciens salariés en procès avec le club). Pour ne citer que ceux en interne.

Sa dernière cible ? L’association support à laquelle il réclame 3,188 millions d’euros. L’homme d’affaires londonien prétend que « la convention de gestion - qui lie la section pro à l’association - exige la refacturation des salariés mis à disposition du centre de formation depuis 2001 (Ndlr : pourquoi cette date, puisqu’il parlait précédemment de 2004 ?) . » La réalité est beaucoup moins tranchée : ladite convention est sur ce point d’un flou pas très artistique. C’est précisément là que le bât blesse.

Qui parle de chantage ?

Surtout, le propriétaire du Racing se hasarde sur un terrain extrêmement glissant. Il émet l’hypothèse selon laquelle cette non-refacturation depuis 2001 pourrait constituer « un abus de bien social. » Ce qui, selon lui, engagerait la responsabilité des administrateurs de l’association et des dirigeants de la section pro depuis cette époque, mais aussi du commissaire aux comptes Jean-Brice de Turckheim qu’il accuse implicitement d’avoir fermé les yeux. Cette mise en cause publique confine aux frontières d’une diffamation à laquelle le site cieletblanc.com pourrait être associé, en qualité de relais, en cas de plainte déposée par J.-B. De Turckheim.

J. Hilali dénonce par ailleurs le « chantage au numéro d’affiliation (1) » qui « vient de naître, comme chaque année. » Comme chaque année ? Depuis la création de l’association en 1997 (2), jamais ce chantage – à supposer qu’il y en ait un - ne s’était exercé avant l’arrivée de Hilali, Fontenla et consorts.

Dans une envolée en forme d’aveu, le nouveau président dissimule d’ailleurs bien mal ses intentions véritables : pomper la trésorerie (888000 euros) de l’association. « Nous connaissons la trésorerie de l’association et trouverons un accord avec elle », lance-t-il. Qui parlait de chantage ?




(1) Numéro que détient l’association support et sans lequel la section foot ne peut s’inscrire en championnat.

(2) Cette création est intervenue lors de la privatisation du Racing. La multinationale américaine IMG/Mc Cormack a racheté les parts de la Ville, actionnaire majoritaire de la Société d’Economie Mixte. Législativement, l’omnisport, alors détenteur du numéro d’affiliation, avait dû le céder à l’association RCS foot nouvellement créée.

L'Alsace

Un vrai jeu de poker menteur.

Moi j'arrête de lire, c'est trop long et ça me soûle, je supporte un club je ne suis pas une série TV.
Mais pourquoi il a le badje SRC Hilali? (oui je me permet de looker le photo quand même...

esteracing a écrit:

Mais pourquoi il a le badje SRC Hilali? (oui je me permet de looker le photo quand même...)

La photo a dû être prise lors de la rencontre entre le SRC et le RCS.

Oui photo prise lors du derby Colmar Strasbourg

- Pourquoi avoir vendu a Mac Cormack et non a R.Weller???,première erreur !!
- Ensuite arrive P. Ginestet , qui soit dit en passant a quand même mis de l'argent sur la table.
- Clash Ginestet-Keller.
- Arrive J.M. Furlan... avec le triste reccord de 11 défaites de suite !!!,et "boum", en ligue 2.
- En fin de saison a Montpellier, si Traoré marque a 3 minutes du temps reglementaire le club se retrouve en ligue 1 !!!!.
- Arrive le tandem Gress-Janin , dans une équipe au fond du trou...reclash avec Ginestet au bout de 2 matchs...et "Schilles" viré !!!!, remplacé par un coach qui pour ma part a le niveau pour entrainer "Ober lauterbach" et non une équipe pro.
- Arrivée des spécialistes de Londres , que personne ne connait , et eux au lieu de s'occuper du club , se mettent tout le monde a dos avec leurs histoires juridiques !!!!!!(c'est peut-être le seul reproche qu'on puisse faire a Hilali) , un point positif quand même , l'arrivée de L. Fournier !!
- Et pour le reste , en cas de non montée en L2 , c'est le dépot de bilan !! , triste et regrètable , mais c'est ainsi .

Article des DNA ce matin , l'agitation continue au Racing !!
http://www.dna.fr/fr/football/info/4766019-Football-National-L-agitation-au-Racing-Hilali-le-chaud-et-le-froid

En fait Hilali n'a fait que de donner un coup de pied dans la fourmilière qu'est le racing depuis des lustres.

Le problème, c'est qu'en plus de remuer le merdier qu'est le RAcing depuis plusieurs années, il apporte sa propre contribution à l'ouvrage en rajoutant des problèmes...

Encore du remue-ménage
Le directeur sportif du Racing, Jean-Luc Witzel, en place depuis l’été 2010, est convoqué mercredi pour un entretien préalable à son licenciement. Le club strasbourgeois demeure plongé dans une inlassable tourmente.


Il y avait quelques raisons de s’intéresser au sportif, de focaliser ses attentions sur la série de trois victoires ou de dix matches sans défaite qui marque les semaines du Racing depuis janvier. Et puis non.

Ce serait bien trop simple. Un nouvel incendie s’était déclaré, il y a une dizaine de jours, lorsque le président de la SASP, Jafar Hilali, a réclamé une enveloppe conséquente (un peu moins de 300 000 euros) à l’association.

Le désamour a dégénéré en divorce
L’affaire se révèle suffisamment sensible pour contraindre la municipalité à chercher à organiser une paix entre les deux entités. Roland Ries, le maire de Strasbourg, était ainsi dans les travées de la Meinau lors de la victoire face à Beauvais (1-0) avant-hier. Et ce n’était pas pour sillonner un quartier dont l’élu cantonal était renouvelable.

Mais le conflit entre les sections professionnelle et amateur du Racing s’est doublé d’un autre feu. Alors que des tiraillements étaient apparus depuis le début de l’année, entre le président Hilali et son directeur sportif, Jean-Luc Witzel, le désamour a dégénéré en divorce.

Mis à pied lundi dernier, celui qui avait fait ses premiers pas au Racing en tant que recruteur, début 2010, est convoqué à un entretien préalable à un licenciement, après-demain.

Il sera a priori reçu par le directeur général, Christophe Cornélie. Jafar Hilali a pris cette décision alors que de premières tensions étaient apparues lors du mercato hivernal.

Les réussites de l’été avec les départs obtenus, à force de négocier, de Bah, Gueye, Othon, Fanchone et quelques autres, s’effaçaient peu à peu.

Parmi les griefs retenus, les initiatives prises par l’intéressé d’engager le club sur certains dossiers, au-delà de ses prérogatives, apparaissent en bonne place.

« Il a fait beaucoup d’écritures sans en avoir le droit », a-t-on pu lâcher dans le camp des accusateurs.

Quand on veut tuer son chien, on a tendance à l’accuser de la rage. Il y a également la réalité d’un club au quotidien, dont le directeur sportif a pu incarner souvent, seul, la direction.

Toujours est-il que mercredi, Jean-Luc Witzel secondé par Eric Moerckel, représentant du personnel, entendra ce qui lui est rapproché.

Les difficultés à transférer des joueurs au mois de janvier n’apparaîtront certainement pas dans la liste, alors qu’elles ont constitué la source de contrariétés, à Londres.

Encore un dossier amené à se régler aux prud’hommes
Le départ de Loïc Damour, espéré vers la Premier League mais jamais concrétisé, s’apparente au point de rupture entre le président, qui espérait de précieux subsides du transfert, et son directeur sportif.

Au final, il faut s’attendre à un nouveau dossier amené à se régler aux prud’hommes concernant le Racing.

A priori, il n’est pas dans les intentions présidentielles de remplacer Jean-Luc Witzel dans l’organigramme.

François Namur

Et pendant ce temps là sir Jafar 1er décide que Belvito serait une recrue valable qui apportera le plus pour permettre au racing de monter .....je me marre une seconde fois profondément

Belvito? une Belchèvre à l'actif de notre président, diplômé es prud'hommes.

Racing

Hilali passe en force
le 24/03/2011 à 00:00

Le président du club strasbourgeois, qui réclame de l’association support RCS un versement immédiat de 287 000 euros, a cessé depuis début janvier de financer le centre de formation. Une manière de récupérer ce qu’il estime être son dû avant même toute négociation.
« Au train où vont les choses, ça me paraît très mal parti. » Patrick Spielmann, le président de l’association support RCS foot qui gère le centre de formation, en est chaque jour un peu plus convaincu. À chaque nouvel épisode plus tragique que comique, la perspective d’un rapprochement avec la direction londonienne de la section professionnelle s’éloigne.

Depuis une quinzaine de jours (« L’Alsace » du 12 mars), le président du football pro, Jafar Hilali, réclame 3,188 millions d’euros à l’association. Le prix, selon lui, d’une refacturation des salaires d’employés du centre supportés par la SASP (1) de 2004 à 2010. La semaine passée, l’homme d’affaires londonien lui a adressé une mise en demeure la sommant de lui verser immédiatement 287 000 euros au titre des salaires 2010-2011.

Le conseil d’administration de l’asso, qui en avait accepté le principe le 7 mars (« L’Alsace » du 8), a révisé sa position après la fameuse mise en demeure. Après avoir dénoncé la convention qui lie l’association RCS à la SASP, il souhaite en soumettre une version corrigée et, surtout, détaillée à Hilali avant la mi-avril. Mais loin de désarmer, celui-ci persiste.

Anticipant l’éventuel refus de l’association de payer les 287 000 euros, il a cessé de financer le centre depuis janvier, comme nous le laissions entendre dans notre édition de mardi. Le 17 décembre, l’assemblée générale de l’association avait pourtant voté un budget intégrant une participation de la SASP de 720 000 euros TTC en 2010-2011, en baisse de 33 % par rapport à 2009-2010 (1,07 million). Chaque mois, le foot pro doit ainsi alimenter les caisses du centre à hauteur de 59 800 euros.

Spielmann : « Il va nous devoir de l’argent »
Dans l’impossibilité d’obtenir des éléments comptables précis ces derniers temps (2), Patrick Spielmann s’est procuré mardi des extraits bancaires. « Nous sommes en train d’étudier tout ça. Je n’en ai pas encore la certitude absolue, mais d’après nos premiers constats, la SASP ne nous paie plus rien depuis janvier. »

À raison de 59 800 euros mensuels (TTC), Jafar Hilali et les autres ont ainsi « omis » de remplir leurs obligations depuis un trimestre. Alors que la fracture entre les deux entités ne cesse de grandir et que le club file tout droit dans une impasse, Hilali, aux abois financièrement et visiblement disposé à entraîner avec lui tout un club par le fond, récupère de façon déguisée les 287 000 euros qu’il n’a pour l’heure - en l’absence de toute décision de justice ou de tout accord de l’asso - aucune légitimité à encaisser. Une manière de passer en force qui est devenue sa marque de fabrique. « Je dois encore vérifier dans le détail, mais à ce jour, il aurait dû nous verser 179 400 euros depuis le 1 er janvier. Ça n’a pas été fait », pointe P. Spielmann. « S’il ne paie plus jusqu’en juin, il devra au centre 358 800 euros. Ça signifie que même si nous devions lui payer les 287 000 euros, il nous devrait encore de l’argent. »

Depuis déjà deux semaines, le président du Racing prétexte, pour justifier son entrée en guerre contre l’association, une promesse que lui auraient faite Spielmann et Alain Fontanel, l’adjoint aux finances de Strasbourg, de lui reverser l’intégralité du rachat des bâtiments du centre par la Ville (3). « Il a raison. Je lui ai même aussi promis des esclaves », ironisait A. Fontanel l’autre dimanche. « C’est faux et archi faux », s’insurge Spielmann qui trouve la « plaisanterie » de Hilali plutôt saumâtre. « La construction du centre a été financée par notre association avec l’aide d’une banque et des collectivités. Nous avons tenu notre engagement en restituant à Hilali le prêt de 550 000 euros qu’IMG/Mc Cormack - et non les Londoniens - avait consenti via la SASP en 2000 lors de la réalisation des bâtiments. »

Entre ces 550 000 euros remboursés par l’association mi-janvier (4), les 350 000 économisés sur l’aide financière au centre (entre 2009-2010 et 2010-2011) et les 358 800 non-versés de janvier à juin 2011, la direction londonienne du Racing aura épargné 1,26 million d’euros sur le dos de la formation. Force est de constater que Jafar Hilali estime que ce n’est pas encore suffisant.

L’ombre du néant
À quelques heures d’un match crucial dans le Var, les conflits en coulisses ont pris une tournure très inquiétante au Racing. Entre le président du club, Jafar Hilali, et celui de l’association support, Patrick Spielmann, les échanges ont pris une tournure destructrice.


Entre la Société Anonyme Sportive Professionnelle (SASP) et l’Association, le Racing n’en finit pas d’observer ses torchons brûlés. L’incompréhension s’est muée en haine. La « guerre ouverte », dont Jafar Hilali a pu parler dans ses colonnes, livrée contre Patrick Spielmann, est bel et bien déclarée.

De chaque côté, on se réclame des sommes conséquentes. On s’affirme dans son bon droit. Dans tous les cas, le club-phare strasbourgeois ressemble ces temps-ci à un ring de boxe.

Cela ressemble à une politique de la terre brûlée
Le président de la SASP n’a pas pris de pincettes dans le courrier adressé mercredi à son homologue de l’association. « Je vous annonce qu’au lieu d’une nouvelle réunion, vous devriez payer immédiatement tout l’argent que vous devez à la SASP, que vous devriez prévenir les parents des joueurs du centre que nous ne signerons plus aucun contrat avec leur enfant avec ou sans montée en L2, qu’en cas de maintien en National, nous refuserons de garder le statut pro, que nous allons contacter la ligue pour refuser que notre équipe en CFA2 puisse accéder à la CFA […].»

Cela ressemble bigrement à une politique de la terre brûlée. « Il faut bien comprendre que j’ai fait le deuil de mon investissement […], conclut Hilali. Je tenais enfin à vous dire que c’est le dernier appel que je vous fais. »

Parallèlement - encore que -, Jafar Hilali devait être présent en Alsace, aujourd’hui. Pour des raisons personnelles, il ne sera pas à Colmar alors que l’affaire qui l’oppose au commissaire aux comptes, Brice de Turckheim, dont le président remet en doute le travail, devait connaître un nouvel épisode.

Autant dire que l’ambiance parmi les dirigeants du Racing reste détestable et l’avenir du Racing s’annonce franchement incertain. Dans ce cadre, la bande à Fournier prend les allures d’arbre qui cache une forêt qui brûle. Toujours en lice pour la montée, à trois points du podium mais avec un match de moins à disputer, elle reste relativement digne dans ses résultats au regard de l’environnement. Une forme de tension a pu être palpable, hier, à l’entraînement. Le directeur général, Christophe Cornélie a jeté un bref coup d’œil à une séance. A l’écart de son groupe, Laurent Fournier est apparu contrarié. Renseignements pris, c’est le retard de certains de ses joueurs qui ont provoqué sa mauvaise humeur.

« Il nous reste un mois et demi à vivre ensemble »
« Il y en a qui se permette d’arriver à 9 h 33, 9 h 34, ils sont sans doute trop bons », a lâché ironiquement le coach. En fait, l’entraîneur du Racing se refuse à relâcher la pression sur ses joueurs alors que dix matches seulement restent au programme.

« Il nous reste un mois et demi à vivre ensemble, poursuit Laurent Fournier. Si on arrive à monter, ce sera un exploit. Là, on entre dans une période où il va y avoir des sollicitations. Mais il faut faire les efforts. Parce que si le club ne monte pas, si le club dépose le bilan, ils seront quelques joueurs sur le carreau. Pour beaucoup d’entre eux, leur avenir se joue aujourd’hui. » L’entraîneur ne veut pas que ses protégés gâchent la possibilité de consacrer leur saison.

Pour continuer à rêver d’échelon supérieur, il s’agit de bien négocier le voyage dans le Var. Le départ est prévu ce matin. Un dernier entraînement est programmé cet après-midi, à Fréjus. Le staff technique cogite encore sur la meilleure façon d’aborder le rendez-vous.

Dix-sept éléments* doivent rallier le sud. L’hésitation concerne le milieu de terrain où deux ou trois récupérateurs seront alignés, sachant que Jocelyn Ahoueya est le seul absent (sélection).

François Namur

Lettre Hilali s’en va-t-en guerre

Dans l’application de sa politique du pire, Jafar Hilali a probablement atteint le point de non-retour hier en expédiant à une vingtaine de destinataires une copie du courrier hallucinant qu’il avait adressé la nuit précédente à Patrick Spielmann, le président de l’association support, « suite aux propos irrespectueux incessants (de ce dernier) dans la presse. »

« L’Alsace » vous le livre ici in extenso, sans commentaires (Ndlr : mais avec correction des fautes de français), puisqu’il se suffit à lui-même.

« M. le Président, concernant les garanties que vous exigez de la SASP, je suis contraint de vous dire que vous n’aurez rien de nous tant que vous ne mettrez pas un terme à votre chantage avec le numéro d’affiliation. Je vous annonce qu’au lieu de vouloir une nouvelle réunion :

- Vous devriez payer immédiatement tout l’argent que vous devez à la SASP.

- Vous devriez prévenir les parents des joueurs du centre que nous ne signerons plus aucun contrat avec leur enfant, avec ou sans la montée en ligue 2.

- Qu’en cas de maintien en National, nous refuserons de garder le statut pro.

- Que nous allons contacter la Ligue pour refuser que notre équipe en CFA2 puisse accéder au CFA.

- Que nous avons contacté le service juridique de la Ligue qui ne souhaite pas intervenir dans le problème de refacturation et que nous avons donc décidé de vous assigner en référé (avec les conséquences que tous les administrateurs devront assumer si la plainte est ensuite portée au pénal).

Cher Président Spielmann, s’il vous reste une once de lucidité, soyez conscient que je m’efforcerai d’aller jusqu’au bout de ces procédures. Il faut bien comprendre que j’ai fait le deuil de mon investissement dans ce club. Dorénavant, nous voulons des actes et le virement de ce que vous nous devez avant d’aller plus loin. Je tenais enfin à vous dire que c’est le dernier appel que je vous fais. Je ne laisserai plus personne jouer avec mes intérêts. Salutations, Jafar Hilali. »

DALLAS, UNIVERS IMPITOYABLE




...et pendant ce temps le club est entrain de crever à petit feu.

Il est déjà mort , la dessus y a plus de doute possible.
Ce matin je peux le dire la colère est remplacée par un sentiment de profond dégout.

La mort du club c'est pas vraiment une surprise,d'autres présidents-mâchins ont aussi leur part de responsabilité mais ce truc de jafar oeuvre à sa mise à mort.

Hilali a écrit:

Il faut bien comprendre que j’ai fait le deuil de mon investissement dans ce club. »

RCS

Pour moi c'est pas une surprise jusqu'au dernier moment il a essayé de limiter les dégâts en pure perte, le voilà pris à son propre piège mais il essaye d'en faire endosser la responsabilité par d'autres.

Jouafar Kadali notre cher président, fait quand même bien les choses... Il va rester à la tête du club tant qu'il ne l'aura pas coulé complètement. Je me demande ce qu'on a fait pour avoir un tel abruti à la tête du club.

Cet incompétent est arrivé à la tête du club en pensant qu'il parviendrait à faire fructifier son avoir et maintenant qu'il se rend compte qu'il va tout perdre, il veut couler le club avant de partir...

J'espère qu'il aura le bon goût de ne plus mettre les pieds à la Meinau (bon ce n'est pas beaucoup lui demander, vu qu'il y est allé qu'une fois...).

Jouafar Kadali ???? , je crois qu'il faut faire pisser notre ami Paul, je suis sûr qu'il a des traces suspectes dans l'urine !!!!

C'est plutôt l'autre abruti de président qui doit avoir des traces suspectes mais pas dans son urine .Pour lui c'est bien plus haut qu'il faudrait faire quelques analyses , mais même la science n'y pourrait pas grand chose pour cet idiot de première.

nanar a écrit:

Jouafar Kadali ???? , je crois qu'il faut faire pisser notre ami Paul, je suis sûr qu'il a des traces suspectes dans l'urine !!!!

Ben plus ça avance et plus Jafar Hilali montre des ressemblances avec Mouamar Kadafi (même si j'avais reproché à un membre il y a quelques semaines d'avoir fait la comparaison... )donc je me suis contenté de mixer tout ça

Faut simplement arrêter de croire les on dit. Si il a fait cette lettre, il doit y avoir d'autres sujets sensibles que le versement de cette somme.
Je suis curieux de voir si le Jafar balance toutes les magouilles et pots de vin qu'il y a eu depuis plus de 15 ans....

A par lui, personne ne voulait reprendre ce club. Je le trouve très courageux.
Comme il l'écris, c'est son fric et ne doit rien a personne.

C'est comme vos patrons. Oups non, la majorité ici son des fonctionnaires, lycéens et étudiants.

Si il laisse tomber et donc il perdra sa mise, se club n'existera plus. A cause de quelques connards qui même en national voulait encore s'en mettre plein les poches....

C'est pas mon avis, Hilali est avant tout un financier et homme d'affaire tout ce qu'il voulait c'est faire une bonne affaire et empocher un beau pécule, malheureusement le racing ne vaut plus rien depuis des années, quand tu achètes un véhicule destiné à la casse faut être un spécialiste pour le remettre en état, or Hilali ne connaît rien au foot, pour preuve ses atermoiements perpétuels concernant la présidence puis son projet de grand stade, qui prouvent bien que c'est d'abord un affairiste qui n'aime pas qu'on lui mette des bâtons des les roues. Quitte à abandonner le navire je le saborde et on coule ensemble. Pour moi plus vite il dégage mieux ce sera pour le monde du ballon rond en Alsace quitte à repartir à zéro.