Kahn était arrivé à ses limites, et si mes souvenirs sont exacts je pense même que l'on a poussé Kahn vers la sortie.
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Sans Julian Draxler ni Mesut Özil contre l'Angleterre
Julian Draxler, Mesut Özil et Mario Gomez ne participeront pas au match amical de l'Allemagne face à l'Angleterre, mercredi (20h45), a indiqué ce mardi le sélectionneur Joachim Löw.
L'Allemagne recevra mercredi l'Angleterre en match amical à l'Iduna Park de Dortmund (20h45), avant de se déplacer en Azerbaïdjan, dimanche, pour les éliminatoires de la Coupe du monde 2018. Et, pour affronter les Three Lions, Joachim Löw fera sans Julian Draxler, Mesut Özil et Mario Gomez : «Özil a quelques soucis musculaires, Draxler est touché à la cuisse et Gomez est blessé à l'adducteur, il aura besoin de quelques jours de récupération», a indiqué à la presse le sélectionneur de la Mannschaft.

Le gardien Manuel Neuer a, lui, d'ores et déjà déclaré forfait pour les deux matches et a été remplacé par le Parisien Kévin Trapp.
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Disons le début de la fin en tant que titulaire indiscutable même si ce début peut encore durer deux ou trois ans...

Marco 69/73 a écrit:

Kahn était arrivé à ses limites, et si mes souvenirs sont exacts je pense même que l'on a poussé Kahn vers la sortie.
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Il avait quand même 37 ans, tout à une fin n'est pas Buffon qui veut.

«Les joueurs exceptionnels méritent des adieux exceptionnels», salue Joachim Löw après la dernière sélection de Lukas Podolski


Près de treize ans après ses débuts en sélection, Lukas Podolski (31 ans) a porté pour la dernière fois le maillot de l'Allemagne mercredi, contre l'Angleterre (1-0). Il a marqué le seul but du match.
Joachim Löw, sélectionneur de l'Allemagne : «Je me suis réjoui pour Lukas Podolski. Les joueurs exceptionnels méritent des adieux exceptionnels. Il marque le but décisif dans un duel de prestige, c'est parfait. (le match) Les Anglais ont mis plus d'intensité en première période, ils ont été forts dans les duels. En deuxième période nous avons été plus structurés. Nos jeunes joueurs sont mieux rentrés dans le match. C'était bien pour eux, ils ont acquis de l'expérience contre un adversaire difficile.
Toni Kroos : Ce but, c'est un cadeau pour Podolksi. Sur le plan sportif, on peut retirer des choses de ce match, bien sûr. On avait une équipe très jeune, on a eu un peu de mal en première période. En deuxième période on a vu la qualité de notre équipe et nous avons bien joué.

«On n'arrive pas à 130 sélections si on n'a pas quelque chose de spécial»
Marc-André ter Stegen : Comme international, on voit des joueurs arriver, d'autres partir. Aujourd'hui, c'est un joueur fantastique de l'Allemagne qui part. (au sujet du match) J'essaie toujours de faire mon job, chaque fois que je suis sur le terrain. Aujourd'hui ça a bien marché, mais c'était un match difficile.
Thomas Müller : Le but de Podolski pour ses adieux ? Comme réalisateur, je n'aurais pas écrit un scénario comme ça, j'aurais trouvé ça un peu trop kitsch (rires) ! Mais on gagne grâce à lui. Et après le match, les gens sont restés dans le stade spécialement pour lui, d'habitude le stade se vide en 10 minutes et là les gens sont restés. On n'arrive pas à 130 sélections si on n'a pas quelque chose de spécial.»
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Benedikt Höwedes déclare forfait pour la Coupe des confédérations
Joachim Löw, qui a prévu de profiter de la Coupe des confédérations pour apporter du sang neuf en sélection, devra se passer du défenseur de Schalke en juin.
Schalke 04 a indiqué mercredi que son défenseur central Benedikt Höwedes (29 ans, 44 sél.) serait indisponible pour la Coupe des confédérations, du 17 juin au 2 juillet. Le capitaine du club de Gelsenkirchen, champion du monde en 2014 et titulaire aux côtés de Mats Hummels dimanche en Azerbaïdjan (4-1), a choisi d'attendre la fin de la saison pour subir une opération à la hanche.
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Joachim Löw en colère contre l'accumulation des matches
 «Le football joue un jeu dangereux» en multipliant les matches, a assuré le sélectionneur allemand Joachim Löw, confronté à de nombreux blessés avec la Mannschaft.
Le sélectionneur allemand Joachim Löw a justifié sa décision d'emmner un groupe rajeuni à la Coupe des confédérations en Russie (17 juin - 2 juillet) en dénonçant un calendrier international intenable pour les joueurs. «C'est un jeu dangereux, il ne faut trop tirer sur la corde, a-t-il mis en garde. En fin de saison, les joueurs partent quelques jours en congé, mais ce ne sont pas de vraies vacances, car ils ont toujours un programme d'entraînement. Et après deux semaines, il faut de nouveau qu'ils soient à fond. Sur le long terme ce n'est pas bon.»

«La charge de travail des joueurs est incroyablement lourde», constate le coach qui a mené l'Allemagne au titre mondial en 2014: «Est-ce qu'un joueur peut de nos jours rester au plus haut niveau international après 12, 13 saisons, comme c'était le cas il y a 15 ou 20 ans ? Est-ce que les joueurs qui ont aujourd'hui 20 ans peuvent être meilleurs lorsqu'ils en auront 30, ou est-ce qu'ils vont régresser vers 27-28 ans en raison des charges de travail ?»

«Il serait bon de réduire» le nombre de matches

«Le nombre d'équipes va augmenter en Coupe du monde des clubs, il va augmenter en Coupe du monde, il a déjà augmenté à l'Euro. Je pense que lorsqu'on a un bon produit et qu'on veut encore le rendre plus attractif, il serait peut-être bon de réduire», note par ailleurs Joachim Löw.

Cette évolution, selon lui, va à l'encontre du spectacle et de l'intérêt des compétitions: «Si trois équipes peuvent sortir d'un groupe de quatre, ce n'est plus gratifiant. Si on peut se qualifier avec trois matches nuls, ça devient dangereux» parce que, dit-il, les petites équipes ne vont plus jouer au football et vont se contenter de défendre. «A la longue, cela va influer sur la qualité du jeu, cela va modifier le jeu. Le jeu vit de l'offensive, de l'action, pas de la capacité à faire Fort Chabrol avec dix joueurs», assure le sélectionneur, en poste depuis août 2006.
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Joachim Löw (sélectionneur de l'Allemagne) : «Une bonne mise en place»
  Joachim Löw, le sélectionneur allemand, assure avoir apprécié le match livré par son équipe face au Danemark (1-1), ce mardi, en amical.
Joachim Löw (sélectionneur de l'Allemagne après le nul contre le Danemark): «Il y a eu plus de bon que de mauvais aujourd'hui. C'était une bonne mise en place. On n'avait eu qu'un entraînement... De ça, j'ai été tout à fait satisfait. L'engagement a été avant tout très bon, et à partir de cet acquis-là, on peut encore travailler ces prochains jours.»

Julian Draxler (milieu, Allemagne): «Hormis le but qu'on prend de notre seule faute, on a eu en première période de bonnes occasions. On n'a pas mal fait les choses et en fin de compte on a mérité le match nul. C'est un grand honneur d'avoir pu être capitaine. Je sais aussi que certains étaient absents. Je prends la Coupe des confédérations comme une occasion de me montrer aussi comme meneur de jeu.»

Kevin Trapp (gardien, Allemagne): «C'est quelque chose de spécial d'évoluer sous ce maillot. On a toujours pour objectif de jouer. Je suis avant tout heureux d'avoir honoré ma première sélection.»

Age Hareide (sélectionneur du Danemark): «Je suis satisfait de notre prestation. Nous avons résisté de manière solide et joué en contre. En particulier en première mi-temps, notre jeu pour les prendre à revers était très bon.»
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La chasse aux héritiers
Grand A mais équipe B pour l’Allemagne. La nation championne du monde dispute sans aucun cadre la coupe des Confédérations, le sélectionneur Joachim Löw souhaitant faire comme en 2005 lorsque Bastian Schweinsteiger et Lukas Podolski s’étaient révélés, des essais en vue du Mondial-2018.
Au Mondial-2006 en Allemagne, « Schweini » et « Poldi » étaient « super-heureux, dans cette pression de la Coupe du monde, d’avoir affronté l’Argentine ou le Brésil lors de la Coupe des Confédérations. Ça les avait incroyablement aidés », s’est souvenu Löw. De la même manière, le sélectionneur compte sur le tournoi russe de 2017 pour parfaire son futur groupe dans l’optique de la défense du titre suprême. État des lieux des 21 joueurs convoqués.

Trois champions du monde

Marc-André ter Stegen, Bernd Leno et Kevin Trapp se battent pour être la première doublure de Manuel Neuer, l’intouchable n°1. Si Leno va débuter face à l’Australie, comme l’a annoncé Löw, Ter Stegen, qui évolue au FC Barcelone, semble avoir une longueur d’avance.
En défense, Matthias Ginter est l’un des trois champions du monde du groupe, mais il n’avait quasiment pas joué au Brésil et est malheureux à Dortmund. Au contraire, Jonas Hector, l’arrière gauche, est serein, originaire de Cologne comme « Poldi ». Décrété inapte par l’entraîneur de jeunes du Bayern Mehmet Scholl, il a depuis écarté toute concurrence en sélection. Benjamin Henrichs est le cadet du groupe (20 ans). Il était attaquant dans sa prime jeunesse. S’il est surveillé par de grands clubs, le joueur du Bayer Leverkusen semble encore un peu vert.
En défense, on retrouve également Joshua Kimmich, dont l’éclosion a poussé « Schweini » hors du Bayern, où il a eu les faveurs de Pep Guardiola. Il a aussi pris à « Basti » sa place en sélection dans l’entrejeu, avant d’être replacé arrière droit. Champion du monde, Shkodran Mustafi avait parfois suppléé Mats Hummels au Brésil. « Musti » est déjà « incroyablement mûr pour son âge » (25 ans), dixit d’un joueur qui a une belle cote, le manager de la sélection Oliver Bierhoff.
Marvin Plattenhardt, le joueur du Herta Berlin, pêcheur invétéré comme les glorieux anciens Horst Hrubesch ou Miroslav Klose, incarne une alternative pour Hector côté gauche. Antonio Rüdiger compte une douzaine de sélections avec la Mannschaft. Il a commencé à jouer au foot à 10 ans parce qu’il était trop gros, et est devenu longiligne. Le joueur de l’AS Rome, âgé de 24 ans, a été blessé et donc absent lors de l’Euro-2016. Enfin, Niklas Süle vient de signer au Bayern au terme d’une intéressante saison à Hoffenheim et incarne une forme d’avenir du haut de ses 21 ans.
Au milieu, Julian Brandt doit faire face à une féroce concurrence au poste d’ailier gauche (Reus, Schürrle, Sané, Bellarabi…) et doit hausser son niveau d’efficacité. Emre Can peaufine depuis trois ans son profil « box to box » à Liverpool. Kerem Demirbay, d’origine turque, devrait profiter du tournoi russe pour augmenter son compteur en sélection. Il a connu sa première en juin, face au Danemark.
Julian Draxler est parti en vacances à Ibiza avant le tournoi, mais le troisième champion du monde sera capitaine. Leon Goretzka, talentueux à Schalke, doit prouver que ses pépins physiques constituent de vieux souvenirs. Enfin, Sebastian Rudy, recruté par le Bayern, s’efforcera de prouver l’utilité de sa polyvalence.

Des cas en attaque

En attaque, Lars Stindl, porte-parole régulier des ultras, détonne dans le petit monde du ballon rond. Il revendique des horaires de matches adaptés aux familles et s’entend « avec tout le monde »… sauf avec ses statistiques, faiblardes à Mönchengladbach. Il sera en concurrence avec une sorte de dinosaure, Sandro Wagner (29 ans), que la modestie n’étouffe pas, lui qui se considère comme « le meilleur attaquant allemand ».
Timo Werner a fait sensation ette saison, meilleur buteur allemand de Bundesliga avec Leipzig (21 buts). On trouvera pour compléter l’armada offensive en Russie, Amin Younes, tricoteur de ballon à l’Ajax Amsterdam, intéressant comme joker.
dna

Championnat UEFA -21 ans

Demi-finales

27/06/17

Angleterre U-21

2 - 2    T

Allemagne U-21

Finale

30/06/17

Allemagne U-21

1 - 0

Espagne U-21

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L'Allemagne remporte le Championnat d'Europe des moins de 21 ans
 L'Allemagne a remporté pour la deuxième fois de son histoire le Championnat d'Europe des moins de 21 ans, ce vendredi, en battant en finale l'Espagne (1-0), à Cracovie (Pologne).

Le match : 1-0

Sacrée en 1986, 1998, 2011 et 2013 et impressionnante tout au long du tournoi, l'Espagne s'avançait en favorite pour décrocher son cinquième Championnat d'Europe des moins de 21 ans. Mais la sélection d'Albert Celades est tombée face à plus forte qu'elle, ou du moins plus réaliste. L'Allemagne, parfaitement organisée, a décroché le deuxième titre de son histoire dans la compétition après celui de 2009. A l'époque, les vainqueurs s'appelaient, Höwedes, Boateng, Khedira, Özil ou Hummels. Ils étaient devenus champions du monde cinq ans plus tard.
En 2022, rien ne dit que les Gnabry, Meyer, Arnold, Toljan et cie connaissent le même destin. Mais la sélection de Stefan Kuntz a laissé une excellente image en Pologne. Face à l'Espagne, les jeunes allemands ont joué comme s'ils avaient déjà enchaîné les finales. Après cinq minutes difficiles sous la pression espagnole, ils ont peu à peu pris le contrôle de la rencontre. Il faut dire que l'Espagne et ses erreurs de relance nombreuses a été assez conciliante.

Les Allemands, privés de leur buteur Davie Selke, blessé, ont profité des largesses adverses pour arroser le but d'Arrizabalaga. Weiser (6e) l'a mis à contribution, avant que Meyer ne trouve le poteau de la tête (7e). L'Espagne, moins piquante qu'à l'accoutumée, a réagi timidement, avec une tête de Bellerin (12e). Mais l'Allemagne a réussi à anesthésier les offensives ibériques, pour trouver l'ouverture avant la pause. Après un gros travail de Toljan (voir par-ailleurs), Weiser a placé une tête puissante au premier poteau devant Vallejo, pour ouvrir le score (40e). Plus présente après la pause, avec notamment une lourde frappe de Saul Niguez détournée par Pellersbeck (58e), l'Espagne a tenté de revenir. Mais l'Allemagne a su se replier méthodiquement, pour repousser du mieux possible le danger, multiple. A l'expérience pourrait-on dire.

Le joueur : Toljan, la pile

On lui avait promis le supplice, face à la rapidité et la maestria technique des Espagnols. Mais le latéral droit allemand Jeremy Toljan n'a pas semblé gêné plus que cela. Comme durant tout le tournoi, le joueur d'Hoffenheim a été brillant en finale, avec une énergie incroyable sur son côté. Toujours sur le dos de son adversaire direct, insatiable dans les contre-attaques, Toljan a confirmé tout le bien que l'on pense de lui outre-Rhin. Il a été à l'origine du but de Weiser, en dépossant Ceballos, avant de délivrer un centre précis. Avec trois passes décisives, il a ainsi terminé meilleur passeur de la compétition.

En Allemagne, on l'imagine déjà comme le remplaçant sur le long terme de Philipp Lahm avec la Mannschaft, alors que Joshua Kimmich devrait plutôt s'installer au milieu en sélection. Bild annonce qu'Antonio Conte le veut absolument à Chelsea, et que Naples le surveille de près également. Avec une compétition aussi réussie, Julian Nagelsmann va avoir du mal à le garder.
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Löw : «Ce qui compte, c'est le Mondial»
  Au lendemain de la victoire de l'Allemagne au Championnat d'Europe U21 et à le veille d'une finale de Coupe des Confédérations face au Chili dimanche (20h00), le sélectionneur de la Mannschaft Joachim Löw ne connaît qu'un juge de paix : la Coupe du Monde.
Pour Joachim Löw, les bons résultats actuels des différentes sélections allemandes ne doivent pas éloigner la Mannschaft de son objectif : la Coupe du monde. «C'est sûr que le pays est gagné par une certaine euphorie, qui n'existait pas vraiment il y a un mois. C'est une bonne base mais la Coupe du monde est le tournoi le plus important. Comme je le dis souvent, il faut se calibrer sur les Messi, les Ronaldo, les Toni Kroos, etc... Le Mondial est le tournoi le plus difficile. Les autres tournois sont importants pour la progression des joueurs, pour la confiance aussi. Cela favorise aussi la concurrence dans le groupe. La qualité d'une équipe se voit sur le banc de touche. C'est bien que nous ayons cela. Mais il reste douze mois. Donc le Championnat d'Europe U21 et la Coupe des Confédérations aujourd'hui ont peu de signification» a notamment expliqué le sélectionneur allemand en conférence de presse.
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Pour Löw, «l'Allemagne reste la meilleure équipe du monde»


Le sélectionneur n'est pas peu fier de la performance de son équipe, composée presque en totalité de jeunes joueurs inexpérimentés à ce niveau...
L'Allemagne championne du monde «reste la meilleure équipe du monde», s'est félicité son sélectionneur Joachim Löw après la victoire en Coupe des Confédérations face au Chili, «quelque chose d'historique et d'unique», car réussi par une jeune équipe.

Quelle est votre première réaction?

Je suis bien sûr super fier de cette équipe, qui n'est ensemble que depuis trois semaines et demie. Chaque jour, à chaque entraînement, on sentait cette incroyable faim de victoire que l'équipe a montrée. C'est pourquoi, à mon avis, nous avons totalement mérité notre titre.

Vous avez aussi eu besoin d'un peu de chance...

L'équipe a dû tenir. Les Chiliens ne sont pas des enfants de choeur! Bravo aux joueurs pour s'être jetés sur chaque ballon, sur chaque tir, c'est comme ça que ça doit être dans une finale. Je pense que c'était un match magique pour nous et nos joueurs. Notre volonté de gagner était très impressionnante.

Que représente cette Coupe des Confédérations?

Arturo Vidal a dit avant la finale: nous voulons gagner le titre, comme ça nous serons les meilleurs du monde. L'Allemagne reste la meilleure équipe du monde, voilà ce que ça représente. Le fait que ce soit cette jeune équipe qu'il y soit parvenue représente quelque chose d'historique et d'unique pour l'Allemagne, quelque chose de très particulier. Les joueurs se sont battus les uns pour les autres sur le terrain pour décrocher ce trophée.

Et vous, personnellement?

Je suis très content de remporter cette coupe. J'ai pris énormément de plaisir pendant trois semaines. Les joueurs avaient soif d'apprendre, étaient incroyablement attentifs et constamment dans le coup. Ca me fait plaisir que les joueurs prennent ce qu'on leur propose et qu'ils s'en souviennent aussi quand ça marche moins bien. Pour moi, en tant qu'entraîneur, c'était une joie et la validation de notre travail.

L'Euro Espoirs vendredi et la Coupe des Confédérations dimanche: voyez-vous le football allemand rester au sommet de longues années?

Nous devons faire nos preuves encore et toujours, surtout l'année prochaine. Nous avons certes des joueurs qui ont emmagasiné beaucoup de confiance dans ces deux tournois, mais pour ces joueurs le travail ne fait que commencer, les tournois importants sont à venir. Se hisser au sommet et à un niveau de classe mondiale représente un autre défi. La base est bonne mais nous devrons lutter dur à la Coupe du monde.

La pression pour le Mondial 2018 augmente-t-elle?

L'Allemagne fait de toute façons toujours partie des favoris, quelle que soit la compétition que nous abordons, ce ne sera donc pas la première fois. La Coupe des Confédérations et l'Euro Espoirs ne sont pas des garanties d'être champions du monde. Dans une Coupe du monde, il y a toujours cinq ou six candidats, et il faut faire attention à tout, il faut livrer des performances presque surhumaines.

Quel regard portez-vous sur votre capitaine Julian Draxler, élu Ballon d'Or?

Julian a grandi dans sa tâche. Il a vraiment pris des responsabilités et a été un très, très bon capitaine. Il s'est occupé des jeunes joueurs sur le terrain et en dehors, a beaucoup communiqué et a pensé au bien de l'équipe. Ce fut une très bonne performance, pas seulement sur le plan sportif, mais aussi sur tous les autres. On a senti à quel point il menait l'équipe, à quel point il avait un esprit de vainqueur et comment il n'hésitait pas à faire de longues courses. Je suis très satisfait, c'était un plaisir d'être avec lui.
>> A lire aussi: L'Allemagne a souffert mais remporte le trophée au bout du suspense... Revivez la finale en direct


20minutes

Même avec une équipe B, l'Allemagne remporte la Coupe des Conf'...

Allmen67 MrEnigme a écrit:

Même avec une équipe B, l'Allemagne remporte la Coupe des Conf'...

....hé oui contrairement à la prestigieuse équipe de France !

Aucune équipe jusqu'à maintenant n'a réussi à gagner la Confédération et la coupe du monde, je suis curieux si c'est effectivement aussi le cas en 2018.
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Dans ce genre de confrontation de fin de saison et finalement peu médiatisée (une coupe des conf', c'est vraiment la compétition de foot la moins populaire), une véritable envie de se montrer surtout quand on fait partie des toutes meilleures nations de foot du monde a pu donner le coup de rein supplémentaire aux allemands pour tirer leur épingle du jeu.
Il y avait des nations qui n'avaient aucune chance car trop faibles (Russie/Nouvelle-Zélande/Australie), des nations qui tout en ayant des talents ont pris cette compétition par-dessus la jambe car composées de joueurs à la saison bien remplie comme le Cameroun ou le Portugal. Seul le Chili avait ses chances face à de jeunes allemands mais le réalisme habituel teuton a joué contre eux.

Je pense que c'est aussi pour cela qu'il a emmené une équipe B dans l'idée que s'ils sont éliminés ça ne fera pas trop de bruit , maintenant en ayant gagné cette finale il peut compter sur certains joueurs pour le futur.
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Thomas Müller : «Un réservoir de joueurs incroyables 
Thomas Müller a fait part de son admiration après la victoire de la jeune équipe allemande lors de la Coupe des Confédérations. Avec une équipe largement remaniée, composée essentiellement de jeunes joueurs, l'Allemagne a réalisé un véritable tour de force en remportant la Coupe des confédérations.

Thomas Müller, habituel titulaire de la Mannschaft, s'est dit impressionné par ses compatriotes. «J'ai vraiment pris du plaisir à les regarder jouer. Ce sont tous des bons gars. Ils se sont rendus en Russie et sont arrivés à former une équipe. Cela montre que nous avons un réservoir de joueurs incroyables».

Le joueur du Bayern a cependant ressenti «un petit pincement au coeur» car il aurait aimé «joué une demie ou une finale». Face à cette situation qu'il qualifie d'«extraordinaire», il attend désormais «avec impatience les éliminatoires de la Coupe du monde.»
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Une décennie Werner ?
L’attaquant Timo Werner, 21 ans seulement, représente l’avenir de la Mannschaft.
« S’il continue comme ça, il va dominer l’attaque allemande pour les dix prochaines années ». Mario Gomez, pourtant lui-même candidat au poste d’avant-centre de la Mannschaft, n’en finit pas de s’extasier sur les qualités de Timo Werner, nouveau buteur attitré de la sélection, à 21 ans.
Lundi soir, le “gamin” de Leipzig a frappé deux fois contre la Norvège (6-0) en qualifications du Mondial, portant à six buts son total international, en huit sélections seulement.
Gerd Müller, Jürgen Klinsmann et autre Miroslav Klose vont-ils trembler pour leurs records ? Werner s’annonce comme le futur grand avant-centre que le pays attend depuis quelques années. Mais, paradoxalement, il est pris en grippe par une partie du public ultra en championnat.
Son péché ? Un “plongeon” dans la surface contre Schalke en décembre en championnat pour tromper l’arbitre et obtenir un penalty. Il s’en est excusé mais doit encore subir les sifflets à chacune de ses sorties.
Cette rancune, à vrai dire, serait moins tenace si Werner n’était pas l’avant-centre du RB Leipzig, le club propriété de la marque Red Bull, voué aux gémonies par tout ce que l’Allemagne compte de “traditionalistes”, jaloux de la réussite des nouveaux venus.

Acclamé, enfin !

Mais, lundi, à Stuttgart, il a été acclamé, enfin ! Trois jours après avoir été grossièrement insulté par de pseudo-supporters allemands à Prague lors du match contre la République tchèque (2-1).
Le jeune homme ne boude pas son plaisir. « Je ne m’attendais pas à ce que ça se passe aussi bien, merci aux fans, cela signifie beaucoup pour moi, je suis très heureux d’avoir été accueilli comme ça ».
« Quand son nom a été scandé, j’en avais la chair de poule, avoue Gomez. Et on a vu ce que ça donne lorsqu’il est soutenu, il est encore meilleur que lorsqu’on le conspue ».
Voici donc ce joueur solide sur ses jambes (en dépit de ses 75 kg pour 1,81m), qui n’a pas son pareil pour les appels de balle en profondeur, désormais installé à la pointe de l’attaque.
Il remplit le vide laissé par la retraite de Klose en 2014 (meilleur buteur allemand de tous les temps avec 71 buts).
Les articles sur lui ont remplacé les sempiternelles analyses sur l’absence de véritable finisseur allemand.
Thomas Müller, attaquant allemand en manque de réussite, avait bien résumé la situation : le football allemand, longtemps obsédé par l’école espagnole – possession, passes courtes, petits espaces – s’est réveillé brutalement en réalisant « qu’il faut aussi avoir un attaquant qui joue dans la surface adverse ».

Wunderkind

« Mais évidemment on ne peut pas avoir ce type de joueur simplement sur commande », ajoutait le “faux 9” du Bayern Munich, alors que Werner venait d’être transféré de Stuttgart à Leipzig, quasiment dans l’anonymat.
Mais, depuis, l’Allemagne a assisté à l’ascension vertigineuse de son “wunderkind” (enfant prodige).
Dès sa première saison de Bundesliga l’an dernier, il termine meilleur buteur allemand avec 21 buts, derrière les stars étrangères Pierre-Emerick Aubameyang (Dortmund), Robert Lewandowski (Munich) et Anthony Modeste (Cologne).
Après ses débuts internationaux en mars contre l’Angleterre en amical, il réussit un triplé dès son deuxième match en juin contre San Marin (7-0).
Puis, embarqué par Joachim Löw dans le commando composé pour la Coupe des confédérations en juin/juillet, il explose véritablement pendant le tournoi, qu’il termine meilleur buteur ex-aequo avec trois buts.
D’ici au Mondial de Russie, Werner possède un avantage sur Gomez et d’autres candidats éventuels au poste : il est le seul véritable buteur allemand engagé en Ligue des champions, avec Leipzig (dans le groupe de Monaco), avec qui il va pouvoir progresser encore face aux meilleures défenses du continent.
dna

5 buts sur 6 en deux matchs seulement (sur les 8 qu'il a joués). Contre des petits seconds couteaux.
Pas non plus de quoi être émerveillé, il faudra voir ce qu'il vaut contre des nations plus huppées.

L'Allemagne risque de manquer de véritables attaquants lors des phases finales.

N'importe contre qui il a marqué, dans le fond ça donne confiance , en plus je pense qu'il est conscient qu'il n'a pas marqué contre les cadors Européens ou Mondial, quand je vois le cinéma que la France fait de certains joueurs qui coutent des millions d'euros, qui au fond ne les valent pas, ça me dégoute.
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j'en suis conscient que la Mannschaft que nous avons connue

n'est pas à comparer à celle d'aujourd'hui, par contre chapeau à Löw pour avoir osé allez à la coupe de confédérations avec une équipe bis et gagner cette fameuse coupe, naturellement ça prendra du temps mais je suis sûr que l'Allemagne aura à nouveau une équipe qui fera peur a certains Pays, d'ailleurs je leur souhaite.
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C'est quand même assez surprenant cette incapacité à former de nombreux attaquants de qualité actuellement chez les teutons. En France, on a tendance à en avoir trop.

Je suis d'accord que en France on a tendance a avoir ces dernières années trop d'attaquants de qualités .. malheureusement feu de paille !

Joachim Löw juge les résultats des clubs allemands en Coupe d'Europe «alarmants»
  Le sélectionneur allemand Joachim Löw trouve «un peu alarmants» les récents résultats des clubs allemands en compétition européenne, alors que les six représentants de Bundesliga en Ligue des champions et en Ligue Europa ont tous perdu la semaine dernière. «C'est un peu alarmant, il faut s'inquiéter», a déclaré Joachim Löw  ce mercredi en conférence de presse, à la veille du match des éliminatoires du Mondial 2018 de son équipe à Belfast, contre l'Irlande du Nord. «Il est un peu trop tôt pour dire si c'est une tendance, et pour tirer des conclusions. Le Bayern et Dortmund ont tout de même des chances de bien faire», a-t-il ajouté pour modérer son propos.
La retentissante défaite du Bayern Munich 3-0 à Paris en C1 a en effet été l'arbre qui a caché la forêt: Leipzig (2-0 à Besiktas) et Dortmund (1-3 contre le Real) se sont inclinés dans la compétition reine, de même que Hoffenheim (2-1 à Ludogorets), Berlin (1-0 à Östersund) et Cologne (0-1 contre Belgrade) en Ligue Europa. La saison dernière, aucune équipe allemande n'avait atteint les demi-finales de l'une des deux coupes européennes, pour la première fois depuis la saison 2004-2005. «Il y a des raisons (à ce déclin) mais ce n'est pas le jour et le lieu pour en parler», a poursuivi le sélectionneur des champions du monde.
«Il est erroné de croire que parce que nous avons des talents, nous allons tout gagner dans l'avenir»
«Il est faux de prétendre que la Bundesliga est le meilleur championnat du monde», a-t-il cependant mis en garde. «Ceux qui disent que les meilleurs talents du monde sont en Allemagne ont tort : en France, en Espagne, en Angleterre, il y a aussi d'extraordinaires jeunes joueurs qui jouent au plus haut niveau.»

«Il est erroné de croire que parce que nous avons des talents, nous allons tout gagner dans l'avenir, a-t-il encore martelé. Je n'ai pas attendu les résultats de la semaine dernière pour penser à ce que nous pourrions améliorer en Allemagne, y compris dans les catégories de jeunes.»
equipe

Il est vrai que les allemands ont toujours été capables de revenir du diable vauvert.
Voir en 2002, tout le monde les voyait mal, très mal et hop, ils finissent quand même finalistes de la Coupe du monde.

Cette fois-ci je n'y crois pas, car je trouve vraiment l'équipe assez juste, elle a du mal à gagner contre de petites équipes..
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Ah bon !

https://www.lequipe.fr/Football/FootballResultatGroupe6694.html

Je regarde tous les matchs des Allemand, et j'en suis persuadé qu'il n'irons  pas en demi-final , encore hier soir il mon déçu.
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Allemagne : en panne au PSG, Kevin Trapp est sous pression avant le Mondial 
Andreas Köpke, l'entraîneur des gardiens de l'Allemagne, prévient dans un entretien à Kicker : si Kevin Trapp ne joue pas davantage avec le PSG, «sa situation va devenir problématique».
Désormais gardien remplacant au PSG, Kevin Trapp est pourtant toujours convoqué en sélection. Mais si son statut n'évolue pas en club, il ne devrait pas faire partie des Allemands qui participeront à la Coupe du monde.
 
«Si Kevin est toujours appelé , c'est parce qu'il a été performant contre le Danemark (1-1, le 6 juin) et qu'il a franchi un palier, a expliqué Andreas Köpke, l'entraîneur des gardiens de l'Allemagne dans Kicker. Mais il est évident que sa situation va devenir problématique si elle n'évolue pas.» 
 
Conseillerait-il à Trapp de changer de club cet hiver ? «C'est à lui de trancher, répond Köpke. Mais s'il ne devait plus du tout jouer au PSG, ce serait difficile de continuer à faire appel à ses services.»
equipe