Pour avoir la bonté divine, pour gagner des matchs.

Aulas pense à Leonardo
Libre de tout contrat, Leonardo, l'ancien entraîneur de l'Inter Milan et du Milan AC, figurerait en bonne position sur les tablettes de l'OL, qui pourrait se séparer d'Hubert Fournier.
Sans club depuis son départ du Paris Saint-Germain, Leonardo, l'ancien entraîneur de l'Inter Milan et du Milan AC, figurerait en bonne position sur les tablettes de l'Olympique Lyonnais, qui pourrait se séparer d'Hubert Fournier. Selon L'Equipe, le Brésilien serait très apprécié par Jean-Michel Aulas, le président des Gones, même si l'affaire serait des plus compliquées, notamment en raison du conflit de « Leo » avec la FFF.
Favre sur la short-list



En parallèle, les Gones exploreraient aussi la piste menant au Suisse Lucien Favre. Libre de tout engagement, l'ex-coach du FC Zurich ou encore du Borussia Mönchengladbach figurerait sur la short-list de l'actuel cinquième du championnat de France (qui est éliminé de toutes compétitions européennes).
Priorité à l'étranger
Mais aux dernières nouvelles, le natif de Saint-Barthélemy pourrait attendre la saison prochaine avant de reprendre du service. Sur le marché français, Raymond Domenech et René Girard pourrait aussi intéresser les Rhodaniens. Mais « JMA » privilégierait, pour l'instant, la venue d'un technicien étranger. Si Hubert Fournier – qui est sous contrat jusqu'en juin 2017 – est débarqué après les affiches face à Valence et contre le PSG.

orange sport

Aulas veut prendre son temps pour ne pas tromper

Jean-Michel Aulas a tenu à dédramatiser la situation de l'OL après la lourde défaite de son équipe à Paris ce dimanche soir (5-1, 18eme journée de Ligue 1). Le président lyonnais veut prendre son temps, réfléchir, et ne pas se tromper dans ses décisions futures.
C'est devenu un vrai serpent de mer depuis quelques semaines. Chaque week-end ou presque, l'Olympique Lyonnais perd, et chaque week-end ou presque, Jean-Michel Aulas doit s'expliquer sur la situation d'Hubert Fournier. Ce dimanche soir, après la lourde défaite de son équipe sur la pelouse du PSG (5-1, 18eme journée de Ligue 1), le président lyonnais a expliqué vouloir prendre son temps. « Si je ne m'interrogeais pas, je ferais une faute professionnelle moi aussi. Tout le monde sait que notre classement est inférieur à ce qu'on souhaitait en début de saison. Mais le sujet n'est pas de savoir si Hubert Fournier sera là ou pas pour le premier match au Stade des Lumières. Nous devons trouver une solution, nous avons beaucoup investi dans un nouveau stade, donc il faut réfléchir et ne pas se tromper, et puis, avec l'expérience qui nous appartient, trouver la meilleure solution pour repartir sur de bonnes bases », a déclaré Jean-Michel Aulas sur Canal+ dimanche soir.
Aulas : « Deux classes d'écart ce soir »



Assis en tribune présidentielle aux côtés d'un Nasser Al-Khelaïfi aux anges, le président de Lyon a pu constater le fossé qui s'est creusé en quelques mois entre son équipe et le triple champion de France en titre, qui compte aujourd'hui 22 points de plus au classement. « C'est vrai qu'il y avait deux classes d'écart ce soir. Cependant, on a essayé d'apporter quelque chose dans l'état d'esprit. En début de deuxième mi-temps, on s'était pris à croire qu'il y avait une possibilité de revenir. Mais l'Olympique Lyonnais, dans sa configuration actuelle, face au PSG, dans sa configuration actuelle, ne pouvait pas rivaliser », a tenté de nuancer le président des Gones, faisant référence aux absences de Valbuena, Lacazette, Umtiti ou encore Jallet.

Aulas n'occulte rien et collecte des informations
Mais classes d'écart ou pas entre son OL et le leader de la Ligue 1, Aulas n'occulte pas le fait que ses joueurs ont été humiliés ce dimanche soir. « Tous les résultats ont des significations, on est là pour tout analyser. On peut aussi analyser ce match comme ayant un écart sur le plan du résultat trop important, mais il vient à la suite d'un certain nombre d'autres défaites qui, elles, n'avaient peut-être pas lieu d'être. On n'occulte rien, on prend toutes les informations qui vont nous permettre de sortir de cette mauvaise passe. » Les deux prochains matchs, les derniers avant la trêve, contre Tours (en Coupe de la Ligue) et le Gazélec Ajaccio revêtiront une importance toute particulière.

orange sport

Le casse-tête de Jean-Michel Aulas
A l'occasion de la présentation des festivités pour l'inauguration du Grand Stade, Jean-Michel Aulas est revenu sur la situation sportive de l'Olympique Lyonnais. Le président lyonnais mène une grande réflexion et tente d'établir les responsabilités de chacun.
Même pas le temps d'avoir la gueule de bois. Jean-Michel Aulas, vingt-quatre heures après avoir vu son équipe subir une nouvelle déroule au Parc des Princes, a remis son costume de patron de l'OL. Au programme du marathon du président lyonnais ce lundi, la présentation des festivités pour l'inauguration du Grand Stade, le 9 janvier contre Troyes (20eme journée de Ligue 1). Après avoir annoncé que Will I Am tiendrait un concert après le match contre l'ESTAC, JMA n'a pas échappé aux questions sur l'actualité sportive de son équipe. Et devant les journalistes, il s'est longuement expliqué, menant presque sa grande réflexion sur l'avenir de l'OL en direct. « C'est très difficile parce qu'il faut intégrer des mauvais résultats sportifs. Il faut aussi intégrer que ces résultats sportifs tombent au moment du lancement du stade, donc il faut être hyper décontracté, vendeur et positif pour un stade unique en Europe. Et puis il faut tenir compte de la réalité qui, sur le plan sportif, n'est pas celle que nous aurions souhaitée. Mais la saison n'est pas finie, et on n'est pas si loin de la deuxième place qui est l'objectif du club », tente-t-il d'abord de positiver.
Maurice, Lacombe, Fournier, tous coupables
Puis viennent les inévitables questions sur Hubert Fournier, dont la présence dans le Grand Stade contre Troyes semble de plus en plus incertaine, au regard de la nouvelle faillite de son groupe contre le PSG (5-1, 18eme journée de Ligue 1). Mais là encore, Jean-Michel Aulas pèse ses mots, réfléchit, et se dit même prêt à partager les responsabilités. Bernard Lacombe, son conseiller, Florian Maurice, le responsable du recrutement, et l'ensemble du staff technique, Aulas met tout le monde face à ses responsabilités. « A l'intérieur du club, on est très réalistes sur ce qui se passe. Il y a eu un sursaut d'orgueil à Valence qui a montré que ce n'était pas uniquement d'un côté mais plutôt un ensemble de choses. Il n'y a pas de décision de prise. Tous les maux ne viennent pas de l'entraîneur. Hubert est entouré d'un staff technique très compétent, tout le monde l'aide. Tout le monde est concerné. Le recrutement aussi, le président, Bernard Lacombe, on est tous concernés par des résultats qui ne sont pas ceux que l'on souhaitait. »
Aulas se pose en humaniste et s'oppose à l'injustice
La première partie de saison catastrophique de l'OL ne fait pas perdre l'ambition au président Aulas. Sans esquisser le moindre sourire, la mine grave et sérieuse, celui-ci n'hésite pas à lâcher qu'il « veut retrouver l'Europe la saison prochaine et jouer la Ligue des Champions dans le nouveau stade. » Avec ou sans Hubert Fournier à la tête de son équipe ? La question est à nouveau posée. Nouvelle réflexion présidentielle : « il faut savoir que quand on décide de changer d'entraîneur en cours de saison, on a plus souvent des échecs que des réussites, précise Jean-Michel Aulas. Si c'était facile de changer d'entraîneur, on l'aurait fait depuis longtemps. Il faut aussi agir avec un peu d'humanisme. Tout le monde laisse penser au président qu'il suffit de faire partir un entraîneur pour que le monde devienne rose, et quand on est responsable, humain et fidèle comme je le suis, on se rend compte qu'il y quelques fois des injustices dans ce qui est proposé. » Sauf qu'entre l'humanisme, la justice et l'avenir sportif et financier de son club, tout le monde sait qu'en cas d'urgence, Jean-Michel Aulas n'hésitera pas à trancher.
orange sport

Lyon veut Lucien Favre pour remplacer Hubert Fournier
 Justement, l'entraîneur suisse est libre, depuis sa démission de Mönchengladbach...

Lucien Favre en conférence de presse le 14 septembre 2015

Hubert Fournier viré, c’est désormais une quasi-certitude. Si Jean-Michel Aulas a expliqué, après la défaite de l’OL à Ajaccio (2-1) dimanche, vouloir attendre le 28 décembre avant d’effectuer la moindre annonce sur le sujet, le boss lyonnais pourrait jouer la montre pour tenter d’attirer Lucien Favre. Le technicien suisse, libre depuis sa démission de Mönchengladbach, serait en effet la priorité de l’OL, ]affirme L’Equipe.
Problème, l’ancien joueur de Toulouse s’imaginait plutôt patienter jusqu’à la fin de la saison pour s’installer sur le banc du Bayern Munich, finalement offert à Carlo Ancelotti, après le départ de Pep Guardiola. Si Favre refuse une éventuelle proposition lyonnaise, Jean-Michel Aulas pourrait se tourner vers l’actuel adjoint d’Hubert Fournier, Bruno Génésio, pour tenter de redresser l’équipe lors de la deuxième partie de saison. Histoire d’enrayer la mauvaise série des six derniers matchs de Ligue 1 (un seul point sur 18 possibles).

>> A lire aussi Leonardo n’a pas (encore) été contacté par Jean-Michel Aulas

20minutes

Favre se voyait à Munich... il rêve un peu là.
Il a joué à Toulouse? J'ignorais.

Favre a déjà joué en France
Si Lucien Favre venait à signer à l’OM, ce ne serait pas une première en France pour lui puisque Lucien Favre a déjà évolué dans l’Hexagone... en tant que joueur. Durant la saison 1983/1984, le Suisse a porté les couleurs de Toulouse. Une saison pleine puisque Lucien Favre a disputé 38 matchs toutes compétitions confondues, pour un total honorable de 7 buts.



Je ne savais pas non plus.

Bruno Génésio nommé entraîneur de l'Olympique Lyonnais (officiel)
Bruno Génésio, 49 ans, est le nouvel entraîneur de l'Olympique Lyonnais. Il succède à Hubert Fournier et prendra ses fonctions à la reprise, lundi prochain.
L'annonce était attendue pour lundi, elle a finalement été officialisée ce jeudi, en fin d'après-midi. Bruno Génésio a été nommé entraîneur de l’Olympique Lyonnais et succède à Hubert Fournier dont il était l'adjoint. Le club a rendu publique sa nomination en fin d’après-midi dans un communiqué. «Différentes hypothèses ont été étudiées (arrivées de techniciens étrangers, français, promotion interne), qui ont conduit pour être efficace le plus rapidement possible et dès le 3 janvier en Coupe de France contre Limoges, à la décision de privilégier l’unité institutionnelle en confiant jusqu’à la fin de cette saison dans un premier temps, le poste d’entraîneur à Bruno Génésio qui prendra ses fonctions dès la reprise de l’entraînement, lundi 28 décembre.» 
«La première partie de la saison 2015 / 2016 de l'Olympique Lyonnais (qui) a été nettement en-dessous des attentes du club sur le plan sportif»
L’OL a justifié ce changement d’entraîneur en pleine saison, une première depuis Guy Stephan en 1996, en mettant en avant «la première partie de la saison 2015 / 2016 de l’Olympique Lyonnais (qui) a été nettement en-dessous des attentes du club sur le plan sportif.»

Neuvième de Ligue 1 à six points de la deuxième place à la trêve, éliminé des Coupes d’Europe, l’OL avait besoin d’un nouvel élan à l'occasion de l'entrée dans son nouveau stade des Lumières prévue le 9 janvier. Pour cela, «Jean-Michel Aulas, en concertation avec le Vice-Président du Groupe, Jérôme Seydoux, a décidé de modifier l’organisation du staff de l’équipe professionnelle.»

Bruno Génésio a-t-il la stature ?
«Jean-Michel Aulas et Bruno Génésio tiendront lundi à 16 heures une conférence de presse pour préciser les contours de cette nouvelle organisation technique et expliquer ce qu’ils attendent de l’ensemble du groupe professionnel, staff et joueurs, pour cette deuxième partie de saison, tant sur le plan collectif qu’individuel», précise le communiqué où le nom d'Hubert Fournier n'est cité à aucun moment. L'ex-coach de Reims a pourtant mené Lyon à la deuxième place la saison dernière au terme d'un parcours exceptionnel.
Aulas : «La décision est prise en mon âme et conscience pour reconquérir la Ligue des champions»

Un peu plus tôt dans la journée, Jean-Michel Aulas, le président de l'OL, avait publié un tweet dans lequel il justifiait sa décision d'opter pour Génésio sans vraiment dévoiler son choix. «Je sais que vous êtes tous impatients de savoir : la décision est prise en mon âme et conscience pour reconquérir la Ligue des champions», expliquait le président rhodanien.
Equipe

OL : mais qui est Bruno Génésio ?

L'Olympique Lyonnais a tourné la page Hubert Fournier, en nommant Bruno Génésio comme entraîneur principal. Dans l'organigramme du club depuis 2006, celui qui est passé du statut de superviseur à celui d'adjoint en passant par celui de responsable du groupe Pro 2 se voit enfin offrir les rênes du groupe professionnel. Mais qui est-il vraiment ?


C’est officiel depuis ce jeudi après-midi, Bruno Génésio est le nouvel entraîneur de l’Olympique Lyonnais. Il succède à Hubert Fournier, lequel n’a pas résisté à un début de saison compliqué pour son équipe, neuvième de Ligue 1 et ayant montré un bien triste visage en Ligue des Champions. Le chantier est donc de taille pour Génésio, qui va devoir rehausser le niveau de performance globale de sa formation, mais aussi et peut-être surtout redonner une cohésion à un vestiaire divisé. Une mission pas évidente, mais qui pourrait aller comme un gant à ce pur Gone. Il faut dire que, s’il est encore méconnu du grand public, l’homme de 49 ans est imprégné de l’ADN OL, dont il a défendu les couleurs en tant que joueur une décennie durant, avant de revenir au club en 2006. Arrivé tout d’abord en qualité de superviseur des équipes adverses, l’ancien milieu de terrain revenait dans son équipe de toujours après avoir tenté de faire son trou comme entraîneur à Villefranche et Besançon.

C’est justement dans ce dernier club que Génésio a croisé la route de François Bruard, à l’époque responsable de la formation et entraîneur des U19 nationaux. Il se souvient : « Il était venu comme adjoint de Stéphane Paille, et remplissait parfaitement son job à tous les niveaux. Mais il a ensuite été obligé de prendre la succession de Stéphane Paille, et ça s’est moins bien passé. Changer de statut n’est pas si simple, et il a surtout été poussé à prendre cette place. Il m’avait dit que ça l’avait marqué, qu’il avait été blessé de devoir prendre la place de Stéphane. Il y a des similitudes avec la situation d’aujourd’hui avec l’OL, mais à Besançon il avait dû accepter cette mission surtout par obligation. Il n’a pas été aidé par cette expérience qu’il ne faut pas prendre comme une référence », précise-t-il. Les résultats étaient à l’époque effectivement décevants, et Génésio quittait même le poste d’entraîneur quelques mois seulement après avoir pris ses fonctions.

Des résultats décevants, mais un technicien apprécié

Un manque de résultats qui a marqué certains supporters lyonnais, lesquels n’ont pas hésité à faire part de leur mécontentement sur Twitter, évoquant les faits d’armes du technicien en tant qu’entraîneur principal, lui qui n’avait pas non plus brillé avec le FC Villefranche, relégué de CFA à CFA2. Autant d’expériences infructueuses, mais qui remontent aujourd’hui à près de 10 ans. Depuis, celui qui avait évolué à Nice ou à Martigues en tant que joueur a mûri, ses expériences en tant qu’adjoint sous Rémi Garde et Hubert Fournier notamment lui ayant permis d’avancer : « Il a acquis de l’expérience avec l’OL », résume Aly Cissokho, avant de poursuivre : « Il aime être proche des joueurs, il sait les mettre dans de bonnes dispositions mentales avant les matches. Dans le vestiaire, on l’appréciait. J’ai toujours eu de bons rapports avec lui », assure-t-il.

Rien d’étonnant, si l’on se fie au portrait de Génésio dressé par Laurent Courtois. Actuel entraîneur des U16 de l’OL, l’ancien joueur du Los Angeles Galaxy ne tarit ainsi pas d’éloges à l’égard d’un technicien dont il souligne la droiture : « J’ai très vite sympathisé avec l’homme, j’ai suivi sa méthode, sa manière de travailler. Ce qui me frappe chez lui, c’est qu’il n’est pas là pour vous raconter des histoires. On sent dans son discours ce qui l’anime, ce qui le motive, ce qui le dérange. Avec lui, ça va droit au but, c’est même assez étonnant dans ce milieu de voir quelqu’un d’aussi direct, qui transmet des choses aussi claires à ses interlocuteurs. Que ce soit dans son animation technique sur le terrain, ou dans une discussion à bâtons rompus en tête-à-tête, on sent quelqu’un qui a les idées claires et qui ne veut pas vous mener en bateau », indique-t-il.

L’humain au cœur de la méthode Génésio

Être proche de ceux qui l’entourent et de ses hommes, voilà l’une des marques de fabrique de Génésio, qui a de tout temps fait des relations humaines l’essence même de son travail :

 « C’est quelqu’un de chaleureux, qui aime les relations humaines, toujours proche des joueurs. Surtout, on ne l’imagine pas du tout vivre en dehors du football. J’ai rarement rencontré quelqu’un d’aussi compétent dans l’animation des séances, dans la richesse des exercices proposés, dans la présence auprès des joueurs. Il a une qualité de lecture des matches impressionnante, il connaît le football sur le bout des doigts », surenchérit Bruard, avant de préciser : « Ce qui m’a frappé chez lui, c’est qu’il aime la vie de groupe. Ce n’est pas un individualiste ». Pourtant, le poste d’entraîneur principal nécessite d’avoir les épaules suffisamment solides pour assumer les choix, et faire face à la pression.

Alors, Génésio est-il fait pour endosser le costume de technicien numéro un ? Le jeune Lucas Tousart, arrivé à l’OL cet été, y croit : « Pour moi, c’est quelqu’un qui donne de très bons conseils. C’est lui qui me conseillait, qui organisait les séances, donc on le connaît très bien. On sait ce qu’il attend des joueurs, c’est quelqu’un de bien, et un bon technicien »,

lance-t-il, suivi dans ce raisonnement par Aly Cissokho : « Il a travaillé dans la formation, il connaît la plupart des jeunes qui composent l’effectif professionnel. Il a travaillé avec Puel, Garde, et Fournier notamment, il s’est toujours adapté à ces différents caractères. Après, quand tu es coach, il faut faire les choix, trancher entre les titulaires et les remplaçants. Mais il a le potentiel pour être l’entraîneur de l’OL. Si quelqu’un peut sortir l’OL de cette spirale négative, vu qu’il connaît tout des rouages et de la philosophie du club, je pense que ça peut être lui ».
Pourtant, nombreux sont les supporters à déplorer la nomination de Génésio, regrettant son manque d’expérience et mettant en doute ses capacités. Des critiques que Laurent Courtois ne comprend pas vraiment : « J’ai bien vu qu’il y avait des mécontents, mais je me demande ce que veulent les gens. Quand on voit son cursus, ses motivations, son expérience, et ses compétences... À un moment donné, qu’est-ce qu’on veut ? 


Techniquement et en termes de management, s’il n’est pas prêt là, il ne le sera jamais », annonce-t-il. Mais le son de cloche n’est pas forcément identique chez tout le monde, et comme le résume ainsi assez laconiquement un membre du club rhodanien : « C’était déjà Bruno Génésio qui entraînait le groupe depuis quelques temps, et qui prenait la plupart des décisions ». Et si l’on se fie aux récents résultats de l’OL, pas sûr que cela soit forcément rassurant...
Foot mercato

Lyon : Une pétition contre la nomination de Genesio
Propulsé entraîneur de l'Olympique Lyonnais jeudi soir suite au limogeage d'Hubert Fournier, Bruno Genesio est loin de faire l'unanimité chez les supporters. Une pétition a même été lancée !
Bruno Genesio ne va pas débarquer en terrain conquis. Propulsé entraîneur de l'Olympique Lyonnais jeudi soir, l'ancien adjoint d'Hubert Fournier va en effet devoir faire face au mécontentement de certains supporters de l'OL, qui ont lancé une pétition pour s'opposer à cette nomination. Lundi midi, elle avait déjà recueilli près de 2 400 signatures. Elle est accompagnée d'un long texte adressé au président Jean-Michel Aulas dans lequel les supporters de l'OL expliquent les raisons de leur colère. « Pour bien des raisons que nous allons tenter de vous exposer ci-après, la promotion de Bruno Genesio nous semble être une très mauvaise idée, d'un point de vue économique et sportif et aux antipodes du projet très ambitieux que vous avez réussi à mettre en place. »
Un bilan cruel
Après avoir étudié le parcours du coach Genesio (Villefranche en CFA, Besançon en National, la CFA de l'OL puis son expérience d'adjoint de Perrin, Puel, Garde et donc Fournier), les supporters lyonnais dressent un bilan cruel. « Bruno Genesio n'est tout simplement pas un bon entraîneur, c'est factuel. Il s'est planté absolument partout où il est passé en tant qu'entraîneur principal et ne doit sa longévité en tant qu'adjoint qu'au fait d'être du cru et particulièrement apprécié de Bernard Lacombe. De plus, être lyonnais ne doit constituer qu'un bonus dans une décision pareille (…) Ce n'est ici pas du tout un manque de respect ni pour le footballeur, ni pour la personne qu'est Bruno Genesio, personne ne peut être compétent dans tous les domaines. » A lui désormais de prouver le contraire.
orange sport

17:30 Football Jean-Michel Aulas justifie le choix Génésio et vise l'Europe

.

L'OL ne compte plus sur Beauvue et lui montre la sortie

Photo Icon Sport
Publié Mardi 05 Janvier 2016 à 13:00 Dans : Lyon, Mercato.
Acheté pour 4,5 ME cet été, Claudio Beauvue semble avoir du mal à se fondre dans le collectif lyonnais, en dépit de statistiques pas si catastrophiques que cela (7 buts marqués toutes compétitions confondues), même si son niveau de jeu est loin d’être celui qu’il avait à Guingamp la saison passée.
Le Guadeloupéen pourrait rapidement faire les frais du changement d’entraineur, qui n’a pourtant rien dit en ce sens ce lundi soir, mais aussi de la concurrence en attaque, où Cornet et Kalulu ont marqué des points cette saison, sans oublier le retour de blessure de Fékir. L’OL envisageait dans un premier temps d’écouter les offres de prêt arrivées sur son bureau, afin qu’il reprenne confiance et reparte sur de bonnes bases la saison prochaine. Mais selon Le Parisien, le club rhodanien privilégierait désormais la solution d’un transfert sec pour régler définitivement ce « problème ». Une destination en France n’est pas à l'étude, mais les représenteraient du joueur songeraient à un point de chute à l’étranger. Reste à savoir si des clubs intéressés se manifesteront désormais, et si l’OL reconnaitra son échec en laissant filer l’ancien guingampais six mois après l’avoir recruté, à un prix forcément moins important.

En ce moment on fait aussi du n'importe quoi à Lyon.

Source : Lyon : Bisevac résilie et file à Rome (off.)
Follow us: @footnational on Twitter | footnational on Facebook

Qu'avait-il à Lyon pour qu'il était en manque des jeux , et qu'il aura peut-être au Lazio.

Aulas s'en prend aux dirigeants du PSG et à Bedimo
Après avoir comparé cet OL-OM au Clasico espagnol, Jean-Michel Aulas s'est exprimé sur la demande du PSG de repousser le huitième de finale de Coupe de France ou encore sur le manque d'investissement d'Henri Bedimo.
Jean-Michel Aulas était encore en forme dimanche soir pour le premier gros choc dans le Parc OL avec la réception de Marseille. Invité sur le plateau de l'OL TV, le président lyonnais n'a pas tardé à dégainer à l'issue du match nul entre les deux formations (1-1, 22eme journée de L1). « Il faut retenir le spectacle. C'était un choc de la dimension d'un Barça-Real, a estimé le dirigeant rhodanien. On ne prend pas les trois points qu'on méritait mais il y a beaucoup de choses positives. Cela ne fait qu'un point pris alors qu'on méritait d'en prendre six (ndlr : à l'issue du derby perdu à Saint-Etienne). Cela va renforcer le caractère et cela montre qu'on a fait le bon choix avec Bruno (Genesio). On voit notamment que les joueurs ont envie de sortir ensemble. On a retrouvé la dynamique qu'on avait perdue. Bruno, avec une équipe quasiment identique, est arrivé à améliorer le jeu. »
Les dirigeants du PSG manquent d'« humanisme »
Le président de l'OL a ensuite été interrogé sur la demande de report du huitième de finale de Coupe de France effectuée par le PSG. Et s'il n'est pas fermé sur un éventuel report, Aulas aimerait toujours inverser la partie et recevoir les Parisiens. « Je suis content que vous me posiez la question. Il ne faut pas nous prendre pour des blaireaux, s'est-il légèrement emporté. J'ai entendu dire que les dirigeants parisiens souhaitent prendre des points pour tous les clubs français en faisant des bonnes performances face à Chelsea. Ils ont dit : "A Paris, on est ouvert sur la France", ce qui est un comble (il sourit). Nous on leur propose de jouer après Chelsea. La pelouse est aussi belle qu'à Paris et l'aéroport est à quinze minutes… Je sais que l'entraîneur (Laurent Blanc) est intéressé. Mais L'humanisme dont on a fait preuve ce soir, il faut en faire preuve aussi dans les très grands clubs. »
Bedimo en prend pour son grade
Enfin, le cas Henri Bedimo a été évoqué. Alors qu'il ne fait pas partie de la liste des blessés, le latéral gauche camerounais n'était pas dans le groupe pour cette rencontre. De quoi alimenter des rumeurs de départ. « On était un peu trop nombreux. Il y a un certain nombre de joueurs qui jouent bien le jeu quand ils entrent. On est dans un état d'esprit à la lyonnaise. Si certains qui sont en fin de contrat n'ont pas envie de faire don de leur corps aux autres, la porte est ouverte. S'ils peuvent être prêtés, pourquoi pas, on a ouvert les portes, à la demande de Bruno (Genesio). Peut-être que Lindsay (Rose) ira à Lorient, puisqu'on est tombé d'accord avec eux. Il le mérite. Henri (Bedimo), il était blessé donc on ne l'a pas vu. Apparemment, il se soigne beaucoup. S'il va mieux, peut-être qu'il ira jouer ailleurs… »
orange sport

Aulas s'en prend toujours à quelqu'un rien de bien nouveau tout çà.

La grosse colère d'Aulas
Heureux de la performance de l'OL, tombeur mercredi soir de Bordeaux (3-0), Jean-Michel Aulas, le président lyonnais, a en revanche beaucoup moins apprécié une question d'un journaliste en zone mixte. C'est le moins que l'on puisse dire...
Certes, cela ne vaut pas la dernière sortie de Loulou Nicollin, le président de Montpellier, qui a copieusement insulté un journaliste du Midi-Libre, mais Jean-Michel Aulas a montré des signes de fébrilité mercredi soir.
Pourtant, tout avait bien commencé pour le président lyonnais, visiblement très satisfait par la combativité de ses joueurs, vainqueurs de Bordeaux (3-0, 24eme journée de L1), quelques minutes plus tôt. « C'est une victoire essentielle qui fait du bien et vient concrétiser plein d'espoirs, débutait alors le boss de l'OL en zone mixte devant les caméras des journalistes. Il y a eu plein d'efforts de faits. Vous savez, quand on arrive dans un contexte comme celui-ci, il faut arriver à bien se concentrer et à rester comme on l'a été depuis le début du mois de janvier, très collectif sur la plupart des actions, et on arrive à un résultat.
Bordeaux venait avec sa victoire contre Rennes 4-0 donc il y avait beaucoup d'atouts à nous opposer. On a vu une belle équipe de Lyon qui s'est imposée non pas avec facilité mais avec détermination et ça, c'est la meilleure nouvelle de la journée. »
Aulas tacle les journalistes
Jusque-là, du grand classique pour un Jean-Michel Aulas toujours aussi à l'aise devant les médias. Sauf que cela s'est rapidement gâté avec la deuxième question posée. Elle concernait la banderole déployée par les supporters lyonnais (« On a un grand stade, à quand une grande équipe ? »). Le sang de « JMA » n'a alors fait qu'un tour. « Ça, c'est directement proportionnel aux journalistes vous voyez, et à la qualité des questions qu'on me pose, a-t-il sèchement répondu. Voilà Merci. » Après seulement 54 secondes d'intervention, le président lyonnais s'est ensuite retourné en hurlant que les journalistes ne mettent en avant que les choses négatives. Avant de retweeter des propos d'un de ses « followers » dans la soirée : « Les journalistes ne parlent pas du stade qui encourage les joueurs, ni du fond, ni du jeu. Juste la banderole ». Une banderole qui a visiblement eu du mal à passer au sein de l'état-major lyonnais…
orange sport

Pour Jean-Michel Aulas, la nouvelle déconvenue des Lyonnais, battus à Lille (1-0), serait une nouvelle fois due à l’arbitre…

Pourtant, si l’on comprend bien les messages subliminaux laissés par Jean-Michel Aulas, c’est à cause de l’arbitre que Lyon s’est incliné au Stade Pierre-Mauroy. C’est en tout cas ce qu’il doit falloir retenir de sa très brève déclaration. "Je n’ai rien à vous dire. Voyez avec l’arbitre".


Pathétique Aulas !!!

Lyon est devenu un club comme beaucoup d'autres en ce championnat, sans envergure juste avec l'ambition de M. Aulas au manque cruel de moyens pour faire plus. Evidemment le responsable est forcément ailleurs....

Il est aussi difficile de trouver des actionnaires, et je pense qu'Aulas ne veulent plus injecter trop d'argent.

Anthony Lopes miné par la saison de l'OL
Dans un entretien publié par Le Parisien ce samedi, Anthony Lopes apparait très marqué par la mauvaise saison de l'Olympique Lyonnais. Pour autant, le gardien lyonnais n'entend pas lâcher et quitter le navire.
« Il ne faut pas se cacher. On espérait autre chose qu'une cinquième place après 27 journées. On voulait concurrencer le PSG, aller plus loin en Ligue des Champions… » Dans un entretien publié par Le Parisien ce samedi, Anthony Lopes oscille entre frustration, dépit et détermination. Considéré comme l'un des meilleurs gardiens du championnat, l'international portugais vit une deuxième saison de titulaire en Ligue 1 compliquée. Après avoir lutté pour le titre la saison dernière, les hommes de Bruno Genesio en sont réduits à batailler pour terminer sur le podium en mai prochain. « Il faut juste être honnête, on s'est cassé la figure, on n'a pas bien géré certaines situations. On essaye de se redresser… », souffle le gardien lyonnais.
« On ne pourra pas oublier ce qu'on a fait en début de saison »
Ce dimanche soir, au Parc OL, le club rhodanien accueillera le PSG avec une équipe décimée. Et une nouvelle défaite pourrait voir les Lyonnais relégués à quatre points de la troisième place, synonyme de qualification pour les barrages de la Ligue des Champions. L'objectif des coéquipiers d'Alexandre Lacazette, bien que leur président continuent de déclarer publiquement croire à la deuxième place. « La troisième place pourrait sauver la saison si on se qualifie lors des barrages pour la Ligue des Champions la saison prochaine. Et encore, peut-être pas la sauver, mais disons moins l'entacher. On ne pourra pas oublier ce qu'on a fait en début de saison », nuance Anthony Lopes dans les colonnes du Parisien.
Lopes exclut un départ l'été prochain
Sous contrat jusqu'en 2020 avec l'OL, après avoir une signé une prolongation l'été dernier, le gardien de 25 ans se sait observer en Europe. Mais le natif de Givors assure ne pas avoir l'intention de quitter son club formateur, même en cas de non-qualification européenne en fin de saison. « J'ai signé un contrat longue durée avec l'OL. Je m'inscris dans la durée avec ce club. J'ai vraiment la tête à l'Olympique Lyonnais et pas ailleurs. Je suis un pur Gone. » Un facteur identitaire dont auront bien  besoin les Lyonnais pour vivre une fin de saison enfin heureuse.
orange sport

Je ne suis pas Lyonnais, surtout à cause de leur président,mais je les remercie pour cette victoire contre Paris Chapeau.
Lyon  2 - 1   PSG


.

Victoire méritée surtout que Thiago Motta aurait du être expulsé pendant le match;

candyraton a écrit:

Victoire méritée surtout que Thiago Motta aurait du être expulsé pendant le match;

Normal candy c'est Paris ,On ne prête qu'aux riches .

Lyon est sûr de ses forces
Une dynamique forte, une atmosphère apaisée, un banc de haut niveau : l'OL, vainqueur de Montpellier (2-0), vendredi, est un prétendant à la deuxième place qui a de l'allure.
Derrière, c'est mieux
À Lyon, tous les changements sont venus en même temps. L’état d’esprit, l’organisation, la confiance des attaquants. Et la défense : ce qui a vraiment bouleversé la vie de l’OL est d’avoir trouvé une charnière régulière et performante avec le duo Yanga Mbiwa - Umtiti. Depuis janvier, c’est l’une des meilleures charnières vues à Lyon depuis la retraite de Cris.

Vu la première moitié de saison catastrophique de Yanga Mbiwa, le pari de Genesio de l’installer en janvier paraissait dangereux. Mais il est redevenu un défenseur de haut niveau et ses sorties de balle sont de plus en plus propres. La contagion de Samuel Umtiti, le patron de la défense, opère, ainsi que l’action de Claudio Caçapa, désormais dans le staff. Et sur les côtés, il y a du monde : à Montpellier, on a revu Jallet et Bedimo, les titulaires de la saison dernière, qui sont peut-être derrière Rafael et Morel, en ce moment, dans l’esprit de leur entraîneur.
La déclaration de Jean-Michel Aulas sur Bruno Genesio, vendredi soir, sur beIN, peut à la fois s’interpréter comme un soutien ponctuel, une communication d’entreprise en plein sprint, ou comme un engagement : «Bruno a réussi. Il fait un travail formidable. Il est facile à manager pour un président. C’est lui la pierre angulaire de ce renouveau lyonnais. J’ai envie qu’il soit avec nous (la saison prochaine), il démontre des qualités incroyables. Il a pris la dimension du numéro 1.»
Cette déclaration ne change pas fondamentalement la donne telle qu’on l’imaginait : s’il est sur le podium, Bruno Genesio restera l’entraîneur de l’OL, sinon sa position sera menacée. Mais le président, clairement, conforte le message de son entraîneur et sa portée dans le vestiaire.
Un banc en or
Le sprint final de la Ligue 1 est générateur d’un sentiment d’urgence et de tensions. Le décalage existe entre les objectifs individuels et la dynamique collective. Au-delà du cas particulier de Fekir, à Montpellier, Valbuena, ­Grenier et Tolisso étaient remplaçants. Et Jallet aurait pu l’être sans le forfait de Rafael. Genesio a forcément subi une pression énorme, même indirecte, pour aligner Valbuena, mais il s’en est tenu à Maxwel Cornet, finalement auteur d’un doublé.
L’ancien Marseillais était très marqué, après le match, par sa condition de remplaçant, qui diminue encore ses chances de disputer l’Euro. Clément Grenier traverse le même moment noir car il apparaît désormais comme le cinquième milieu. Tolisso, lui, est dans une phase de digestion de sa jeune carrière et reste très utilisé. Tous connaissent l’histoire du foot : en cinq journées, ils ont encore le temps d’être importants. Mais vendredi prochain, face à Nice, la composition de l’équipe sera un enjeu considérable en interne. ­Surtout si Genesio se résout à ne pas changer une équipe qui gagne.
equipe

Clément Grenier, le milieu de terrain de l'OL, va être placé sur le marché des transferts lors du Mercato d'été. Une information dévoilée par son président dans des propos relayés par L'Equipe.

En attendant d'en savoir davantage sur les cas de Nabil Fekir, Samuel Umtiti ou encore Alexandre Lacazette, Jean-Michel Aulas a livré des informations au sujet de l'avenir de Clément Grenier (25 ans). Malgré un contrat qui court jusqu'en juin 2018, le milieu de terrain international français a des chances de changer d'air l'été prochain et les Gones n'ont pas prévu de retenir le natif d'Annonay. « Est-ce que sur les 500M€ investis (en transferts) par le PSG, ça permet de gagner la Coupe d'Europe ? Non, a expliqué mardi le président lyonnais Jean-Michel Aulas lors d'une conférence tenue à HEC. Est-ce que ça permet de jouer une demi-finale ? Non. Lyon a joué quatre quarts de finale au cours des dix dernières années et une demi-finale. Donc il ne faut pas désespérer et il faut imaginer que ce à quoi on croit fortement va se perpétuer et réussir. Il faut alimenter les ressources qui elles-mêmes permettront demain de garder... Bon Grenier, je ne suis pas sûr parce qu'on va le placer sur la liste des transferts. Pas pour gagner de l'argent mais parce que ça correspond pour lui à la capacité à retrouver une dynamique : en ce moment, il n'est pas trop bien. » Apparu à quatorze reprises cette saison en Ligue 1, Clément Grenier est donc fixé sur son cas. Reste désormais à trouver des clubs susceptibles de miser sur un élément qui n'est effectivement pas dans la meilleure période de sa carrière.

Orange Sports

J'ai comme l'impression qu'il y aura pas de changement à Lyon.

Bruno Genesio est «amer de terminer de cette manière»
Bruno Genesio, l'entraîneur de l'OL, était déçu du non-match de ses joueurs contre le Stade de Reims samedi (1-4).
Bruno Genesio, entraîneur de Lyon, après la défaite (1-4) contre Reims : «On a été dominés dans les duels, on a oublié certains fondamentaux et on a été punis. On a laissé beaucoup de force lors du bon match réalisé face à Monaco le week-end dernier (6-1). J'ai laissé une certaine décompression toute la semaine qui a conduit à faire un match de piètre qualité ce soir. Je suis amer de terminer de cette manière. On prend quatre buts et on développe un jeu de faible niveau. C'était un non-match pour nous ce soir.»
equipe

Transfert: Maciej Rybus à l'OL (officiel)


Lyon a officialisé ce mardi l'arrivée du Polonais Maciej Rybus.
Comme annoncé depuis plusieurs jours, Maciej Rybus (26 ans) sera un joueur de l'OL la saison prochaine. Le club lyonnais a officialisé son arrivée ce mardi, précisant qu'une conférence de presse serait organisée à 16h00 à cette occasion, en présence de Jean-Michel Aulas et Bruno Genesio. La durée de son contrat n'a pas été précisée mais il devrait être de 3 ans. Rybus était arrivé lundi à Lyon. L'international polonais était en fin de contrat avec le Terek Grozny (D1 russe). Son arrivée permettra au club rhodanien de compenser le départ d’Henri Bedimo, en fin de contrat et qui s’est engagé avec l’OM.
equipe

Il était dans la pré-liste des sélectionnables à l'Euro, je ne sais pas s'il est dans l'Euro.