Les Etats-Unis sans l'ombre d'un doute

Dotés d'une adresse longtemps irréelle à trois points, les Américains ont mis la main sur la finale dès le premier quart-temps et écrasé la Serbie (129-92), dimanche à Madrid. Avec ce cinquième titre, les Etats-Unis égalent le record détenu par l'ex-Yougoslavie.
Face aux Serbes, les Français ont fait mieux que les Américains puisqu'ils avaient limité Milos Teodosic et ses équipiers à 90 points en demi-finale, contre 92 pour l'équipe de Coach K. A part ça... Team USA a montré comment faire rentrer la Serbie dans le rang, ce que n'avait pas su faire les Bleus : avoir une adresse surréaliste (10/15 à 3 points à la mi-temps !), tout écraser sur son passage grâce à des capacités athlétiques hors-norme, avoir une qualité à peu près égale du premier au douzième joueur. Oui mais ça, il n'y a que les Américains qui le peuvent, eux qui sont invaincus depuis... la demi-finale du Mondial 2006 (face à la Grèce).
Equipe

Strasbourg boucle son recrutement Tadija Dragicevic à la SIG
Avec l’arrivée de l’ailier fort serbe Tadija Dragicevic (28 ans, 2,05m, 106kg), voilà la SIG enfin au complet, une semaine seulement avant le tournoi qualificatif pour l’Euroleague à Ostende.
Le Rhenus Sport n’est pas inconnu à Tadija Dragicevic. Il l’a foulé l’an passé, le 25 octobre, en Euroleague, sous le maillot de l’Efes Istanbul, vainqueur à Strasbourg (66-76).

Le Serbe avait inscrit 7 points et pris 7 rebonds. Au retour fin novembre (victoire des Turcs 88-65), il n’avait marqué que deux points. Le club stanbouliote ne l’a ensuite pas conservé.

Début janvier, l’ailier fort a retrouvé son club de cœur, l’Étoile Rouge de Belgrade, qui l’a vu grandir. Il en fut un des éléments majeurs et même le capitaine, jusqu’en 2010. En 2008, il fut élu MVP de la Ligue Adriatique, oui, dans la foulée, drafté en 53e position par Utah, même s’il n’aura jamais joué en NBA.

Au printemps dernier, il y est devenu vice-champion de Serbie pour la 3e fois, après 2007 et 2009.

Dragicevic est d’ailleurs toujours passé très près de la consécration : vice-champion d’Allemagne avec l’Alba Berlin en 2001, vice-champion d’Ukraine avec Mariupol en 2013.

Son fait de gloire, il l’a connu en 2006 avec les U20 serbes. Il fut sacré champion d’Europe, un an après avoir déjà décroché le bronze.

La saison écoulée, en 39 matches, il a tourné à 6,1 points de moyenne et 3,4 rebonds pour 17 minutes de temps de jeu
DNA

SIG : Ce sera à Orchies
La SIG connait son adversaire pour le premier tour de la Coupe de France. Les hommes de Vincent Collet se déplaceront à Orchies (ProB) lors du premier week-end d’Octobre (date à fixer).

Les Vice-champions de France partiront largement favoris face à des Nordistes repêchés en ProB lors de l’intersaison
total sport

Basket
Euroligue (Hommes) VEF Riga - Strasbourg : 53-82
Face à une équipe limitée physiquement et sans adresse, Strasbourg n'a eu aucun mal à s'imposer largement pour jouer le deuxième tour du tournoi préliminaire qualificatif pour l'Euroligue. Traoré (15 pts) et Diot (15 pts) ont crevé l'écran.

Strasbourg attend l'ASVEL
Vainqueur tranquille du VEF Riga (82-53), ce mardi, Strasbourg s'est qualifié pour la demi-finale du tournoi de qualification de l'Euroligue. La SIG pourrait y retrouver l'ASVEL, qui doit d'abord éliminer Ostende (20h45).

Equipe

Villeurbanne bat Ostende (86-77).
C’est un duel franco-français qui sera au programme de la première demi-finale. Bien que chahutée par Ostende, l’Asvel a pris son billet pour le dernier carré.L’Asvel a dû s’employer
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ASVEL - Strasbourg : 74-65
L'ASVEL s'est qualifiée jeudi soir pour la finale du tournoi de qualification de l'Euroligue, en dominant Strasbourg (74-65), à Ostende.

La France était sûre de compter un représentant en finale du tournoi de qualification à l'Euroligue, qui se tient à Ostende, en Belgique. Restait à savoir laquelle des deux équipes, l'ASVEL ou Strasbourg, allait franchir cette étape. Et ce sont les Villeurbannais qui sont sortis vainqueurs de ce duel 100% français (74-65). Ils affronteront vendredi le lauréat de l'autre demi-finale, l'Unics Kazan ou l'Hapoel Jérusalem.

«A l’ASVEL, il y a du danger partout», annonçait mercredi Vincent Collet, l'entraîneur strasbourgeois. Et il n'avait pas tort, quand on voit la ligne de stats des Verts : 15 points pour Taurean Green, 13 pour David Lighty, 12 pour Ahmad Nivins, 10 pour David Andersen et Travis Bader. Les Villeurbannais ont globalement fait la course en tête (17-12 à la 8e, 37-32 à la mi-temps), même si la SIG, pénalisée par sa maladresse à longue distance (8/28), a ponctuellement réussi à recoller, voire même à passer devant.

Mais, dans le dernier quart, alors que les Alsaciens ne comptaient que trois points de retard (52-49), ils ont commencé à craquer, et l'ASVEL a lentement mais inexorablement pris l'avantage (65-58 à la 36e, 70-60 deux minutes plus tard). Une avance que Strasbourg, malgré les 14 points d'Ali Traoré, n'a pas réussi à réduire à moins de neuf points. Ce sont donc les joueurs de Pierre Vincent qui peuvent encore rêver
Equipe

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Cà devient récurent pour la SIG de manquer ses RV importants.

Lyon-Villeurbanne ne rejoint pas Limoges, champion de France en titre, en saison régulière de l'Euroligue 2014-2015. L'Asvel a perdu ce vendredi soir à Ostende, en Belgique, sur terrain neutre, la finale du tournoi préliminaire, contre L'Unics Kazan et ses joueurs habitués à la plus prestigieuse des compétitions européennes (79-88). Et comme seul le vainqueur est qualifié... C'est dur pour le club rhodanien, d'autant plus qu'il a mené de 19 points en début de troisième quart-temps !

(Orange Sports)

Eurocoupe : la SIG connaît ses adversaires
Le tirage au sort de l’Eurocoupe a été effectué ce lundi midi à Barcelone. La SIG connaît désormais ses adversaires.
L’équipe strasbourgeoise figure ainsi dans le groupe 1 de la Conférence 1 (Est). Elle affrontera en matches aller-retour les équipes de
Bamberg (Allemagne), déjà croisé la saison dernière en Euroligue,
Sarragosse (Espagne),
Reggio Emilia (Italie),
Paris-Levalllois ,
et Bonn (Allemagne).
Le premier match aura lieu les 14 ou 15 octobre.
Les quatre premiers de chaque groupe sont qualifiés pour la deuxième phase de la compétition..
DNA
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Bamberg-SIG, ça commence à devenir un petit classico franco-allemand en basket.

2014/2015
Basket-ball Pro A (1re journée) La SIG prend sa revanche sur l'ASVEL et débute idéalement sa saison (68-58)

La SIG retrouve l’Asvel, en championnat cette fois, cinq jours après sa défaite contre la “Green team” lors du tour préliminaire de l’Euroligue. Les Strasbourgeois auront-ils retenu la leçon ?
DNA
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Battu par l'Asvel la semaine dernière à Ostende en demi-finales du tour préliminaire de l'Euroligue (65-74), Strasbourg a pris sa revanche mardi en conclusion de la 1ère journée de la Pro A (68-58). Devant son public du Rhénus, la SIG a pu compter sur ses internationaux tricolores, Ali Traoré (18 points, 4 rebonds) et Antoine Diot (12 points, 6 rebonds), pour faire la différence. Du côté rhodanien, Taurean Greer a inscrit onze points, tout comme Ahmad Nivins. Jean-Charles Livio a été crédité de 9 points et 8 rebonds.

Basket-ball Mondial féminin-2014 : France – Canada (63-59)
   Elles n’ont pas triché 
Les Bleues auraient pu volontairement perdre leur match, hier soir contre le Canada, pour fuir un duel potentiel face aux États-Unis, vendredi en quart de finale. Elles ont finalement respecté l’éthique sportive, en empochant une belle victoire, synonyme d’opposition face au Brésil, aujourd’hui (18h) en barrage.
On l’a dit: pour éviter une confrontation inégale contre le grand favori américain, vendredi lors d’un éventuel quart de finale, la France avait presque intérêt à s’incliner, hier soir, face au Canada. Les Bleues avaient néanmoins promis de ne pas s’engager dans cette voie peu glorieuse et de jouer la partie à fond, fidèles à leur logique de progression dans ce Mondial féminin 2014. « Pour ma part, j’aurais détesté qu’un entraîneur me demande de perdre un match. Il faut savoir respecter l’éthique sportive », souligne Valérie Garnier, la coach des Bleues.
« On se met parfois en danger toutes seules »
Les joueuses tricolores ont entendu le message. Elles l’ont prouvé dès les premières minutes, en se livrant sans retenue sur le parquet de l’Ankara Arena. Le hic, c’est que les Canadiennes avaient elles aussi une furieuse envie de gagner cette rencontre, ne serait-ce que pour garder le rythme avant le début des matches couperets, aujourd’hui.

Les nombreux supporters turcs qui avaient décidé de ne pas quitter leur siège, après la victoire de leur équipe nationale un peu plus tôt face au Mozambique (64-54), ont donc assisté à un duel serré et haletant (8-11, 7e ; 22-20, 16e ). Les Bleues ont, elles, réglé quelques-uns des problèmes identifiés par Valérie Garnier. Face à une formation canadienne physique, il n’est pas inintéressant de constater, par exemple, que les Tricolores ont mieux contrôlé le rebond qu’à l’accoutumée.

Mais les “Braqueuses” ont aussi confirmé l’une de leurs criantes lacunes du moment : les pertes de balles (11 à la pause, 23 au final).

Heureusement, lorsqu’elles ne perdent pas le ballon, les Françaises en font plutôt bon usage. Hier, chaque joueuse a, de nouveau, apporté son écot. Et Valérie Garnier a pu pianoter sur son banc sans craindre une éventuelle baisse de régime. Personne ne tire le groupe vers le bas, et c’est plutôt une bonne nouvelle, compte tenu de l’enchaînement des matches.

Portées par leur collectif, donc, les Bleues ont creusé un premier écart significatif au retour des vestiaires (42-32, 25e ). Mais elles ont vite dilapidé cette belle avance, en offrant une fois de plus des munitions aux Canadiennes, qui n’en demandaient pas tant (44-43, 29e ). « On se met parfois en danger toutes seules », regrette l’entraîneure tricolore.

En dépit de cette grosse carence en matière de gestion, l’équipe de France a au moins eu le mérite de ne pas lâcher sa proie et de conserver constamment un petit avantage (53-48, 34e ), en seconde mi-temps. Et même lorsque le Canada a égalisé une ultime fois (53-53, 37e ), la bande à Céline Dumerc n’a pas cédé à la panique. Un panier de la jeune intérieure Marielle Amant, à 26 secondes du gong (59-53), est finalement venu entériner la victoire française, totalement méritée dans l’ensemble.
« Beaucoup de nations sont très proches »

« Cela ne veut pas dire que nous avons été incroyablement supérieures, relativise Valérie Garnier. Dans ce tournoi, beaucoup de nations sont très proches les unes des autres. »

On devrait en avoir une nouvelle illustration aujourd’hui. Deuxièmes de leur poule derrière la Turquie, les Bleues affronteront le Brésil, troisième du groupe A, à 18h en match de barrage. L’enjeu de cette opposition a priori équilibrée ne manquera pas de piment : le vainqueur aura le redoutable privilège de défier les Etats-Unis, vendredi à Istanbul, en quart de finale de ce Mondial.

Toujours blessée au mollet gauche, Endy Miyem n’est pas entrée en jeu, hier soir. Absente depuis le début du Mondial, l’intérieure titulaire des Bleues manquera très certainement à l’appel, aujourd’hui face au Brésil.
DNA


Mondial : les Françaises battent le Brésil, vont en quarts de finale
L’équipe de France de basket-ball s’est qualifiée ce mercredi pour les quarts de finale du championnat du monde en Turquie, en battant en barrage le Brésil (61-48).

Au prochain tour, vendredi, elles défieront les Américaines
Alsace

Mondial : les Françaises battent le Brésil, vont en quarts de finale
L’équipe de France de basket-ball s’est qualifiée ce mercredi pour les quarts de finale du championnat du monde en Turquie, en battant en barrage le Brésil (61-48).

Au prochain tour, vendredi, elles défieront les Américaines
Alsace

Mondial féminin 2014 Quart de finale : France – États-Unis (72-94) Les Bleues à la broyeuse
L’équipe de France n’a jamais existé, hier soir en quart de finale du Mondial, face aux tentaculaires Américaines. Les Bleues retrouveront le Canada, aujourd’hui (15h15) en match de classement. Elles peuvent encore accrocher la cinquième place.
Cinq minutes. C’est le temps qu’auront tenu les Bleues, hier soir, avant de finir à la broyeuse. À la veille d’affronter les États-Unis, elles y croyaient, pourtant. Du moins, c’est ce qu’elles disaient. Mais la réalité du terrain – et du rapport de forces – les a rattrapées à une vitesse vertigineuse.

Le contingent de supporters français, légèrement étoffé pour ce quart de finale à Istanbul (une trentaine de personnes), n’a même pas eu la possibilité de vibrer un tout petit peu. En dépit d’une résistance éphémère (13-10, 5e ), les Tricolores ont subi de plein fouet la tornade américaine.
« Ces filles-là ont une aptitude à marquer que l’on n’a pas »
Les joueuses d’outre-Atlantique ont très vite appuyé là où ça fait mal : à l’intérieur. Haut perchée, au-dessus des Lilliputiennes tricolores, Brittney Griner (2,03m) a assouvi, une fois de plus, son appétit d’ogre. Avec ses dreadlocks, ses tatouages et ses lunettes de protection, le pivot de Phoenix (WNBA) inspire la crainte sans même bouger un cil.

Associée à la New-Yorkaise Tina Charles, à peine moins impressionnante, Griner a littéralement saccagé la raquette tricolore (32-14, 12e ; 46-21, 16e ).

« Ces filles-là ont une aptitude à marquer que l’on n’a pas, analyse Valérie Garnier, l’entraîneure française. Quand on voit qu’elles culminent à 80 % de réussite aux shoots à la mi-temps, on comprend pourquoi ça s’est avéré compliqué pour nous. »

Comble de malchance, les Bleues ont perdu en route Endy Miyem, dont le mollet gauche a de nouveau cédé, dès la 9e minute de jeu. L’intérieure arborait un large sourire, mercredi soir, après avoir remis les pieds sur le parquet face au Brésil. La voilà sur le flanc, au terme d’un Mondial dans lequel elle ne sera jamais vraiment entrée.

Côté tricolore, Émilie Gomis a été la seule à s’en sortir avec les honneurs, en ce vendredi de pénitence. Auteure de trois paniers primés, l’ailière n’a pas gaspillé, contrairement à ses coéquipières, qui ont toutes arrosé les unes après les autres.

Cette bouillie de basket n’a pas offensé les quelque 3 000 spectateurs turcs recensés hier soir, dans la somptueuse Fenerbahçe Ulker Arena.

Ils étaient encore tout à leur joie, après la qualification de leur sélection pour les demi-finales de cette Coupe du monde, dans une salle en furie. Et puis, de toute façon, si les fans étaient restés, c’était pour voir à l’œuvre les Américaines, plus rapides, plus physiques, plus adroites. Trop fortes, tout simplement (68-42, 28e ).
« La cinquième place est un réel objectif »
Certains matches devraient durer trois quart-temps. Le dernier, hier, n’a servi à rien, si ce n’est à atténuer (un peu) la note. En somme, les « Braqueuses » n’ont jamais eu l’opportunité de justifier leur surnom.

Elles devront se remobiliser, ce week-end, pour les rencontres de classement. Aujourd’hui (15h15), elles retrouveront le Canada, qu’elles ont battu mardi en phase de poule (63-59). C’est leur chance, après la rouste qu’elles viennent de recevoir : les Bleues peuvent encore laisser une bonne impression.

« La cinquième place est un réel objectif, confie Valérie Garnier. Sortir d’une compétition en gagnant, c’est toujours mieux. »

Alors que débute la Fête du Sacrifice, ici en Turquie, le mot d’ordre est tout trouvé
DNA

Canada - France : 55-40
L'équipe de France a été nettement battue par le Canada (55-40), samedi à Istanbul en match de classement du Mondial. Dimanche, pour la septième place, les Bleues affronteront la Serbie.
Au lendemain de son élimination en quarts de finale du Championnat du monde par les Etats-Unis (94-72), l’équipe de France est passée samedi complètement à côté de son match de classement contre le Canada (55-40). Quatre jours après avoir difficilement battu ce même adversaire en phase de groupes, les Bleues ont pris l’eau d’entrée de jeu. Maladroites au shoot, sans rythme, elles ont tout de suite couru derrière le score. A la fin du premier quart-temps, les joueuses entraînées par Valérie Garnier étaient déjà menées de sept unités (15-8). Ça a empiré dans le deuxième quart. Porté par un méchant 17-0, le Canada a compté jusqu’à vingt-deux points d’avance (30-8, 36-14) face à une équipe de France dépassée (treize pertes de balle).

Il y a eu du mieux au retour des vestiaires. Dans le troisième quart-temps, les Bleues ont inscrit autant de points (seize) qu’en première période, emmenées par Diandra Tchatouang (12 points) et Sandrine Gruda (10 pts), leurs deux meilleures marqueuses de l’après-midi. Inversement, le Canada s’est retrouvé limité en attaque, ne marquant que dix unités. Mais, après trente minutes de jeu, l’écart restait conséquent (47-35). Et surtout l’équipe de France n’a pas su poursuivre sur sa lancée. Les Canadiennes se sont encore échappées au tableau d’affichage (51-32) puis ont géré en fin de partie. Pour le gain de la cinquième place, elles joueront dimanche contre la Chine. La France, elle, tâchera de sauver, l’honneur face à la Serbie.
Pour la première fois depuis vingt ans, la France s'est inclinée face au Canada.
Equipe
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http://sports.orange.fr/basket/pro-a/limoges-et-strasbourg-s-installent-en-tete-newsweb-sports_CNT0000004lCCC.html

BASKET-BALL Pro A (2e journée) : la SIG s’impose avec autorité à Orléans (60-82)
Le récital alsacien
Et de deux pour la SIG, impériale hier soir à Orléans. Dans le Loiret, les Strasbourgeois ont proposé une démonstration de basket total et parfaitement négocié le premier de leurs quatre déplacements.
Derrick Nix avait visiblement à cœur de faire un gros match contre Strasbourg. Dans une interview accordée à la presse locale, le jeune pivot américain de l’OLB avait évoqué son mal du pays et sa difficulté à se faire à la vie française. Quant à Orléans, la ville, c’est simple : il n’aime pas.

Sur les réseaux sociaux, l’intérieur passé par Riga a parlé d’un malentendu, d’une mauvaise retranscription de ses propos. Et le nounours du Loiret entendait apporter un démenti formel sur le terrain. Il s’y est employé, mais cela n’a pas suffi. Hier soir, la SIG n’était pas loin d’être injouable et elle a dominé les débats de la tête et des épaules (114 à… 52 à l’évaluation).
« Un basket léché »

Pour cueillir leur deuxième succès de la saison en championnat (60-82), les Alsaciens ont pu une nouvelle fois compter sur un Ali Traoré, comment dire, géant. Le pivot strasbourgeois, lui, s’est bien acclimaté, n’est tourmenté par aucune question existentielle et il le prouve sortie après sortie (17 points, 5 rebonds, 20 d’évaluation hier).

Le magicien des raquettes a de nouveau régalé avec quelques tours de génie et même des passes (-passes) dans le dos.

« C’était un match charnière, parce qu’on a un calendrier un peu délirant et qu’on voulait vraiment lancer notre saison à l’extérieur, confie « Bomayé ». Notre coach veut que l’on joue un basket léché et c’est ce que l’on essaie de faire. »

Le poste cinq n’était cependant pas tout seul. La SIG a trouvé d’autres hommes forts pour châtier son hôte, à l’instar d’un Tadija Dragicevic saignant (18 points, 8 rebonds, 22 d’évaluation). « On a beaucoup de rotations, relève Vincent Collet. (Matt) Howard, l’un de nos meilleurs joueurs jusque-là, a pris un coup sur la première action et n’a pas rejoué, par précaution. Et à l’arrivée, ça se voit à peine puisque Tadija a été très bon. »

Hier soir, les vice-champions de France, sur la base d’un passing-game parfaitement huilé, ont récité un basket qui a frôlé la perfection durant une bonne demi-heure. « On a été très sérieux pendant une grande partie du match, opine Vincent Collet. Les joueurs ont tout donné, étaient appliqués dans ce que l’on voulait faire. »

Privé en dernière minute de Brian Greene dans la peinture, l’OLB allait forcément s’en remettre un peu plus encore à ses shooteurs, dont elle est déjà fortement tributaire en temps normal. La SIG ne leur a quasiment laissé aucune ouverture. « Au niveau de l’adresse, on a été ridicule, et moi le premier », déplore Marc-Antoine Pellin, crédité d’un vilain 0 sur 8 aux tirs.
Un avenir radieux

« Face à une équipe du calibre de Strasbourg, on se trouvait dans une situation d’infériorité qu’on ne peut pas nier, indique, pour sa part, le coach orléanais François Peronnet. Cela étant, à un moment, il faut que l’on ait une efficacité individuelle supérieure pour rivaliser. On se procure plus de shoots que notre adversaire (56 contre 53, ndlr), mais on en met moins. C’est une limite importante. »

Derrick Nix, hier, a quitté le Palais des Sports la tête basse et le moral sans doute un peu plus dans les chaussettes. Ali Traoré, lui, peut envisager un avenir radieux avec ses partenaires, s’il leur prend, à tous, la bonne idée de réitérer ce genre de performance régulièrement. Les pivots ne sont pas tous sur les dents.
DNA
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Serbie - France : 74-88
C'est terminé ! Les Françaises s'imposent 88-74 face à la Serbie. Une victoire qui permet aux Bleues de décrocher la septième place du Mondial et de renouer avec le succès après deux défaites successives
Equipe

Les USA restent sur le toit du monde
Championnats du Monde (Femmes) FINALE : Espagne - Etats-Unis : 64-77

C'est terminé à Istanbul ! Les Américaines conservent leur titre après une finale maitrisée face à de valeureuses mais trop brouillonnes Espagnoles. C'est donc un doublé en Coupe du monde pour les États-Unis après le titre masculin au mois de septembre.
Equipe

Droits TV : 19 milliards pour la NBA ?
Ce lundi, la célèbre Ligue de basket nord-Américaine devrait officialiser un nouvel accord mirobolant avec ses diffuseurs pour les droits TV: 19 milliards d'euros (24 milliards de dollars) sur 9 ans !
Jackpot en vue pour la NBA ! La célèbre Ligue de basket nord-Américaine devrait en effet officialiser ce lundi à 16h (heure française) un nouvel accord avec ses diffuseurs (ESPN, ABC et TNT) de 2,1 milliards d’euros (2,7 milliards de dollars) par an. C’est en tout cas le montant révélé par le Wall Street Journal et le New York Times.
 
Le contrat global, qui s’étale sur neuf ans, serait donc de 19 milliards d’euros (24 milliards de dollars) soit le triple du contrat actuel qui est de 742 millions d’euros (930 millions de dollars) par saison.

Salary cap de 50 à 72 millions
Cette explosion des droits TV de la NBA devrait impacter directement les salaires des joueurs. En effet, comme souligné par le site Basket USA, le salary cap devrait être revu à la hausse, passant de 50 à 72 millions d’euros (63 à 90 millions de dollars). Le contrat maximum d’un joueur pourrait ainsi passer de 96 millions d’euros sur cinq ans (120 millions de dollars) à 144 millions sur cinq ans (180 millions de dollars). Ce serait d’ailleurs la raison qui aurait poussé LeBron James à signer un contrat court, sur deux saisons seulement, avec les Cavaliers cet été. Business is business !
Equipe

Coupe de France (16e de finale) : la SIG n’a pas fait de quartiers à Orchies (44-76)
Une simple formalité
Il n’y a pas eu de miracle, hier soir, pour Orchies. La SIG a poursuivi sa croisade victorieuse et éliminé, sans trembler, le pensionnaire de Pro B en 16e de finale de la Coupe de France.
DNA

Troisième budget de Pro A pour la SIG
Après deux journées de championnat de Pro A, un classement plus qu’anecdotique ressort. En coulisses, certaines statistiques sortent également comme le budget et la masse salariale de la division. La SIG se positionne derrière l’ogre  ASVEL et le champion de France limoges. (Crédit photo : Lequipe) Plus d’informations via ce lien ICI
Le classement des budgets de Pro A :




Le classement de la masse salariale des clubs de Pro A :



Total sport 
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Limoges a fait fort cette saison, espérons qu'ils ne vont pas se casser les dents une fois de plus.

La Sig n'a fait qu'une bouchée de Pau ce samedi lors de la troisième journée de Pro A (58-86). Les Alsaciens ont réussi un départ canon pour refroidir l'Elan Béarnais dans sa salle et rester invaincus. Les partenaires d'Antoine Diot (16 points) ont shooté à 10/19 à trois points.
(Orange sports)

Basket-ball SIG Collet courtisé par l’Olympiakos
L’Olympiakos a approché Vincent Collet ce week-end pour remplacer Georgios Bartzokas. Les dirigeants de la SIG ont déclaré leur entraîneur intransférable.
Vainqueur de l’Euroligue en 2013, quart de finaliste de la dernière édition, l’Olympiakos Le Pirée a fait une offre à la SIG ce week-end pour s’attirer les services de Vincent Collet. Le club grec vient en effet de se séparer de son entraîneur, Georgios Bartzokas, au lendemain d’une défaite en quart de finale de la Coupe de Grèce contre le Panathinaikos.
« Ma réponse a été claire, ferme et définitive : c’est non » (Martial Bellon)

Martial Bellon, le président strasbourgeois, a opposé une fin de non-recevoir à la proposition hellène. « Ma réponse a été claire, ferme et définitive : c’est non. Vincent n’est pas transférable, sauf à payer une indemnité très très très élevée. »

Le contrat de Vincent Collet, par ailleurs sélectionneur de l’équipe de France, court jusqu’en juin prochain. Depuis son arrivée en Alsace, en 2011, la SIG a été deux fois finaliste du championnat de France.

Les Strasbourgeois débutent, après-demain, leur campagne en Eurocoupe, par un déplacement à Bonn, en Allemagne.
DNA
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Marco 69/73 a écrit:

Troisième budget de Pro A pour la SIG
Après deux journées de championnat de Pro A, un classement plus qu’anecdotique ressort. En coulisses, certaines statistiques sortent également comme le budget et la masse salariale de la division. La SIG se positionne derrière l’ogre  ASVEL et le champion de France limoges. (Crédit photo : Lequipe) Plus d’informations via ce lien ICI
Le classement des budgets de Pro A :




Le classement de la masse salariale des clubs de Pro A :



Total sport 
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Soit un rapport à peine supérieur à 2 contre 1 entre le mieux nanti et le moins bien. C'est nettement plus resserré que dans la L1 de foot.

Après l'Asvel, qui l'a emporté la veille à Artland (64-70), les quatre autres clubs français engagés en Eurocoupe étaient sur le pont mercredi soir. Et un seul s'est incliné: le Paris-Levallois, battu 77-76 à Saragosse malgré les 17 points de Blake Schilb. Dans ce même groupe A, Strasbourg, dans le sillage de Louis Campbell (18 points et 5 passes), l'a emporté 86-83 sur le parquet de Bonn. Emmenée par Zach Moss (18 points), Dijon, qui évolue dans le groupe B aux côtés de l'Asvel, s'est imposé 72-63 contre Ostende alors que le Nancy (Groupe C) de Darius Adams (22 points) a battu Nymburk 78-76.

(Orange Sports)

4ème succès de rang pour la SIG en championnat, dernière victime, Dijon 63-56

Basket-ball Eurocoupe (2e journée) Claquette d'Howard au buzzer et la SIG bat Saragosse après prolongation (88-86)

Invaincue, toutes compétitions confondues, la SIG vise un septième succès de rang pour ses débuts européens au Rhenus. Saragosse, son adversaire du soir, traverse, pour sa part, des heures sombres.

DNA
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Déjà vainqueur de son premier match sur le buzzer face à Bamberg, Strasbourg a réitéré l'exploit en s'imposant face à Saragosse, mercredi lors de la deuxième journée d'Eurocoupe, après prolongations (88-86, ap). Un succès qui s'est dessiné une nouvelle fois au buzzer, après une claquette décisive de Matt Howard, suite à un shoot manqué par Ali Traoré. Avec cette deuxième victoire de rang, la Sig prend seule la tête du groupe A. De son côté, dans le groupe B, l'Asvel s'est inclinée d'un souffle face à Dijon (77-78). Si Edwin Jackson a inscrit 14 points et pris 5 rebonds, les Rhodaniens ont dû céder sous les coups de boutoir des Dijonnais, portés par Steven Gray (15 points). Au classement, la JDA est en tête en compagnie de Gran Canaria. Enfin, dans le groupe C, Nancy est allé s'incliné à Rome (84-79), malgré la belle performance de Sergey Gladyr, 20 points au final

(Orange Sports)

(5e journée): la SIG s’impose au Havre (59-72)
Huit à la suite
Et de huit pour la SIG. Hier soir, sur le parquet d’une équipe havraise qui avait pourtant surpris Limoges en début de semaine, les Strasbourgeois ont préservé leur invincibilité et prolongé leur superbe série actuelle.
DNA

Invaincu en Pro A après cinq matches, Strasbourg est également imbattable sur la scène continentale. Après avoir battu Bonn et Saragosse au buzzer, la SIG s'est imposée sur le parquet de Reggio Emilia (66-59), mardi soir lors de la troisième journée d'Eurocoupe. Un succès que les joueurs de Vincent Collet, solides leaders du groupe A, doivent notamment à Ali Traoré (16 points, 3 rebonds) et Axel Toupane (13 points, 3 rebonds).

(Orange Sports)

(6e journée)
Première défaite en ProA pour la SIG, qui s'incline devant Limoges
(56-65)

Le champion de France limougeaud a été le premier à dompter la SIG, hier lors de la sixième journée de Pro A. Le retour sur terre est abrupt pour les Alsaciens, irrésistibles depuis plus d’un mois.

DNA
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