[b]DINSHEIM 0
HÉGENHEIM 1

Mi-temps : 0-1. Stade municipal. 110 spectateurs. Arbitre : M. Gartiser assisté de MM. Hestin et Karoui.

Le but: Deliga (6e ).

Les avertissements : Boughardayan (28e ), Tison (61e ), Andres (80e ) à Dinsheim; Zehghouani (36e ), Carray (53e ) à Hégenheim.

Expulsion : Di Liberatore (62e ) à Dinsheim.

DINSHEIM : Guthleber, Streith, Andres, Bernhard, Lacroix, Tison, Baldovi, Di Liberatore, Ehrismann, Boughardayan, Ahakkam (Zimmer, Nebinger, Ah Sam).

HÉGENHEIM : Gasser, Deliga, Carray, Richard, Bouhouche, Zeghouani, Walther, Thiam, Heyer, M.Stangl, J. Stangl (Dodin, Pignanelli)
publiée le 21/10/2013 [/b]
Dinsheim mal récompensé
Dès l’entame du match, Ahhakam déborde et centre sur Ehrismann qui, dos au but, ne peut reprendre.
Hégenheim réplique par Zeghouni qui transmet au défenseur Deliga. Bien esseulé, il ne se fait pas prier pour ouvrir le score (6e ).
Dinsheim prend le jeu à son compte, domine et se crée beaucoup de situations dangereuses. Tour à tour, Bougardhayan, Ahhakam et Ehrismenn, Baldovi ou Tison échouent de peu.
Suite à un centre de Andres, Ehrismann reprend et marque. Le but est refusé pour hors-jeu au grand dam des locaux.
Hegenheim défend et contre. Heyer, aux 35e et 44e , se retrouve trop seul, mais Guthleber, le portier local, veille.
Après la pause, Dinsheim revient avec de bonnes intentions sur la pelouse. Son pressing lui permet de se procurer de nombreuses occasions, notamment par Streith (56e ), auteur d’un slalom dans la défense, par Baldovi (61e ) et Ahhakam (71e ) trop courts sur les centres de
Ehrismann qui méritaient un meilleur sort.
Expulsion sévère
Dinsheim pousse, mais se retrouve à 10 suite à l’expulsion sévère de Di Liberatore à la 62e.
Hégenheim ne profite pas de sa supériorité numérique. Dinsheim n’abdique pas, mais ne trouve pas le cadre. En face, Stangl est contré par Bernhard.
Les locaux obtiennent trois corners dans le temps additionnel. Sur l’un d’eux, Guthleber, monté aux avant-postes et seul, ne fait qu’effleurer le ballon de la tête.
Le dernier corner de Nebinger, dévié, est repris au deuxième poteau par Ehrismann, mais le ballon passe de peu à côté du poteau.
Les locaux, auteurs d’un de leurs meilleurs matches, ont manqué d’efficacité devant les buts.
DNA

Qui en coupe de France pour Dinsheim?

candyraton a écrit:

Qui en coupe de France pour Dinsheim?

Dinsheim (DH) – Haguenau (DH)

Un très gros morceaux

Coupe de France 6e tour Dimanche le 27/10/2013

DINSHEIM 3

FR HAGUENAU 1
Mi-temps : 0-1. Stade municipal. Environ 220 spectateurs. Arbitre : M. Grandpré assisté de MM. Wallior et Knaub.

Les buts : Andres (75e ), Ehrismann (88e ), Boughardayan (90e +4) pour Dinsheim; Kateb (3e , s.p) pour le FR Haguenau.

Les avertissements : Ehrismann (9e ), Lacroix (45e ), Zimmer (90e +3) à Dinsheim; Koch (66e ) au FR Haguenau.

DINSHEIM : Guthleber – Streith, Bernhard (cap) (Ahsam, 10e ), Lacroix, Andres – Zimmer, Baldovi (Huck, 68e )- Koerin, Boughardayan, Tison – Ehrismann. Entraîneur : Stéphane Cormier.

FR HAGUENAU : Ebédé – Heinrich (Tonon, 36e ), Zeidler, R. Loison (cap), Bouziane – Bey, N. Loison (Sauerbeck, 72e ), Koch – Kateb, Stoll, Zimmermann (Mastronardi, 68e ). Entraîneur : Philippe Knobloch.

6e tour SC Dinsheim (Division d’Honneur) – FR Haguenau (Division d’Honneur) Dinsheim douche Haguenau
 
Rapidement mené par Haguenau, Dinsheim est parvenu à renverser la vapeur au terme d’une seconde période de folie (3-1). Les Bruchois sont au septième tour.
 
Ils sont sortis du terrain exténués, les maillots – qu’ils n’avaient pu changer à la pause pour une absurde histoire de sponsors – trempés par la pluie et marqués par la boue. Exténués certes, mais ô combien heureux.
«Dans l’adversité, on a su se sublimer»
Hier après-midi, dans des conditions dantesques, les joueurs du SC Dinsheim ont réussi à écarter de la Coupe de France le redoutable FR Haguenau, leader incontesté de la DH.
Une victoire totalement folle dont ils se souviendront longtemps.
« Dans l’adversité, on a su se sublimer. Ce succès fera office de match référence », lâchait le coach Stéphane Cormier à l’issue des débats.
Dans ce duel entre pensionnaires de l’élite régionale, les choses avaient pourtant mal commencé pour les Bruchois. Très mal même.
Dès la 3e , Ehrismann perd le ballon dans ses 16 mètres, obligeant Andres à ceinturer Kateb. L’arbitre n’hésite pas, indique le point de penalty que ce dernier transforme. Face au vent, les locaux n’arrivent pas à construire du jeu.
Le FRH, lui, maîtrise son sujet et l’on se dit que pour la surprise, il faudra repasser.
Et puis, au plus fort de la tempête, alors que des seaux d’eau s’abattent sur la pelouse, Dinsheim sort enfin la tête… de l’eau. Ehrismann centre au cordeau pour Boughardayan qui se jette, Ebédé préserve sa sage inviolée au prix d’un incroyable réflexe (30e ).
En seconde période, les hommes de Cormier passent la seconde et se ruent vers l’avant. En face, Haguenau cafouille son football d’ordinaire si beau.
Le missile d’Andres
« Qu’on ne vienne pas me parler de la pluie ou du terrain. On a été incapable d’aligner trois passes et dans l’envie, on s’est fait manger », dira un Philippe Knobloch très amer.
Suite à un corner repoussé par la défense, Zimmer arme une lourde reprise de volée que Bouziane sauve sur la ligne (55e ).
Puis, sur ce service de Koerin, Ehrismann, seul au deuxième poteau, s’emmêle les pinceaux (64e ).
Submergés par la marée bruchoise, les Nordistes tiennent le coup… jusqu’au dernier quart d’heure.
À la réception d’un coup franc de Koerin repoussé par Bey, Andres ne se pose pas de question et décoche un missile qui heurte la barre d’Ebédé avant de rentrer (75e ).
La révolte dinsheimoise est en marche et plus rien, pas même la frappe de Kateb détournée par Guthleber (77e ), ne pourra l’arrêter.
Lancé côté gauche, Koerin sert Ehrismann en retrait, lequel loge le cuir sous la barre d’Ebédé (88e ). Et alors que le stade municipal verse dans l’euphorie, Ehrismann, encore lui, s’en va centrer pour Boughardayan dont le plat du pied met définitivement fin au suspense (90e +4).
Moribond en championnat, Dinsheim continue de faire des miracles en Coupe de France, où il se qualifie pour la deuxième fois en deux ans pour le septième tour.
« On vaut mieux que notre classement actuel », lance Stéphane Cormier. Ce n’est pas à Haguenau que l’on dira le contraire

DNA

Roche Novillars- Dinsheim au prochain tour.

http://rochenovillars.sportsregions.fr/

candyraton a écrit:

Roche Novillars- Dinsheim au prochain tour.

http://rochenovillars.sportsregions.fr/

Merci Candy

Novillars est une commune française, située dans le département du Doubs et la ... Novillars est un village situé le long du Doubs à 12 km au nord-est de .... École -Valentin • Miserey-Salines • Montferrand-le-Château • Roche-lez-Beaupré

Dimanche 03 novembre 2013 - 16H30
Illzach A.S.I.M. 2 .0 - 1 Dinsheim

Super victoire , très bon pour le moral


Dinsheim sur sa lancée

ASIM II : Paulos, Litim, Arjdal, Konate, Del Frari, Grandis, Audoux, Matusik, Gaye, Banholzer, Venuti (Imhoff, Martin, Lela). Entraîneur : Vincent Milliet.
DINSHEIM : Guthleber, Streith, Tison, Ahsan, Lacroix, Baldovi, Koerin, Zimmer, Ehrismann, Boughardayan, Huck (Comtesse, De Sousa, Nebinger). Entraîneur : Stéphane Cormier.
Alors que Dinsheim restait sur sa superbe victoire en Coupe de France face à Haguenau, les Bas-Rhinois ont également profité d’un superbe contre de Ehrismann en fin de rencontre pour remporter les quatre points de la victoire.
Il est vrai que les joueurs de Vincent Milliet ont été victimes de leur fougue en fin de rencontre…
Pourtant, la première action est à mettre à l’actif de Audoux. Son déboulé sur le flanc droit suivi d’un centre en retrait ne permet pas à Gaye de conclure (10e ). Mais Dinsheim et son imposante cohorte de supporters ne s’en laissent pas conter obtenant coup sur coup trois corners.
À la 20e , Banholzer se retrouve seul face à Guthleber, le portier visiteur, mais ce dernier aura un réflexe déterminant.
Les doublures illzachoises vont tout mettre en œuvre pour prendre l’avantage. À l’image de Venuti et Banholzer lancés par Grandis qui ne parviennent pas à surprendre le cerbère bas-rhinois décidément dans un grand jour.
Dès la reprise, les locaux révisent leurs gammes, mais ce sont les visiteurs qui seront les premiers en action par Ehrismann qui contraint Paulos à se détendre.
Et c’est au tour de Dinsheim de mettre la pression sur son adversaire.
Passé l’orage, les visiteurs se reprennent sous l’impulsion de Grandis qui sert Venuti mais le tir de ce dernier file de peu à côté (55e ).
Deux minutes plus tard, Audoux obtient un corner. La lutte est âpre des deux côtés et les deux formations cherchent le K.-O.
Ehrismann décisif

Ehrismann marquera même un but que le référé refuse fort justement pour hors-jeu (63e ). En face, Litim obtient un corner. L’intensité de la rencontre est à son paroxysme et les occasions se succèdent de part et d’autre.

Durant les dix dernières minutes, Imhoff et les siens font le forcing, mais un seul contre permettra à Ehrismann de prendre son vis-à-vis de vitesse pour offrir la victoire à Dinsheim (86e ).

DNA

DINSHEIM 2 - 2 MULHOUSE 2
journée 10 Dinsheim prêt pour la Coupe de France Nul pas nul
Dinsheim, rassuré par ses belles dernières prestations, attendait la réserve mulhousienne de pied ferme.
D’entrée, Mulhouse propose un jeu très élaboré avec des joueurs très techniques, vifs et rapides.

Dès la 5e , un corner de Gettling est repris de la tête par Gausselan pour l’ouverture du score.

Dinsheim réagit par Tison et Zimmer, suite à un service de Ah Sam, mais leurs tirs ne sont pas cadrés.

Puis, à la 14e , Ehrismann lance Comtesse. Dassaul le fauche à l’entrée de la surface. L’arbitre sort le rouge.

Neuf minutes plus loin, après une superbe action des locaux, Boughardayan sert Comtesse qui décale pour Ehrismann. Ce dernier fait trembler les filets pour l’égalisation (1-1).

Dinsheim va même prendre l’avantage quand, sur ce corner tiré par Bougardhayan, le ballon est dévié au premier poteau par Andres (2-1, 25e ).

Le FCM II se montre ensuite dangereux par Dieng (36e ) et par l’excellent et omniprésent Gettling (37e ). À la 43e , Gutheber dévie le tir de Naatoue en corner.

Après la pause, Boughardayan transmet à Ehrismann, bien placé. Sa reprise fracasse le poteau au grand soulagement du gardien Fioux (54e ). C’est le tournant du match.

À la 57e , Andres veut protéger la sortie en 6m du ballon. Gettling s’en empare et surprend Guthleber pour le 2-2

Les Mulhousiens, bien que réduits à dix, se montrent dangereux par Charef et Decoursière. Dinsheim réplique par Huck et Koerin.

Les joueurs du cru, qui ont déjà la tête au 7e tour de la Coupe de France de dimanche, se contentent alors du partage des points, équitable.

Mais ils sont à féliciter pour leur prestation devant une superbe équipe de Mulhouse qui en fera souffrir bien d’autres.
Dinsheim 2
FC Mulhouse II 2

Mi-temps : 2-1. Stade municipal. 120 spectateurs. Arbitre : M. Djedid assisté de MM. Coulmont et Celebi

Les buts : Ehrismann (23e ), Andres (25e ) pour Dinsheim ; Gausselan (5e ), Gettling (57e ) pour le FC Mulhouse II.

Les avertissements : Guthleber (31e ), Andres (40e ), Lacroix (85e ) à Dinsheim ; Dieng (31e ) au FC Mulhouse II.

Expulsion : Dassaul (14e ) au FC Mulhouse II.

DINSHEIM : Guthleber, Streith, Andres, Ah Sam, Lacroix (cap), Tison, Huck, Zimmer, Ehrismann, Boughardayan, Comtesse (Baldovi, Koerin, Nebinger). Entraineur : Stéphane Cormier.

FC MULHOUSE II : Fioux, Constant, Ellemaud, Dassaul, Gausselan, Reichstadt (cap), Dieng, Saihi, Naatoue, Gettling, Ndiaye (Charef, Saou, Decoursière). Entraîneur : Hakim Aibeche
DNA

  publiée le 17/11/2013 à 05:00   
Dinsheim Football - Dinsheim 300 supporters en Franche-Comté

Ils seront 300 , bariolés et revêtus d’un bonnet et écharpe aux couleurs du club, à se déplacer, ce matin, dès 7 h 30, dans six bus. Direction, Novillars, dans le Doubs, pour soutenir leur équipe en Coupe de France.


C’est l’effervescence depuis quinze jours, depuis que le tirage du 7e tour leur a servi un nouveau club franc-comtois, comme Saint-Vit il y a deux saisons. Un tour qui se renouvelle, et que du côté du club on aimerait passer pour aller se tester à un 8e tour avec, pourquoi pas, des adversaires alléchants comme un club de L2 ?
Pour l’heure, tous les regards sont vers Novillars, un club à 10 km de Besançon, où se rendront pas moins de six bus, soit 300 personnes qui ne veulent pas rater cet événement.
Alors, le réveil matinal et le départ à 8 h du club house pour trois heures de trajet, qu’effectuent aussi beaucoup en voiture privée, ne dérangent personne.
Confiants, mais réalistes
Les joueurs, eux, partiront en bus privé, à 7 h 30 après un petit-déjeuner au club house, histoire de resserrer encore un peu plus les liens.
« On va passer la matinée ensemble, les joueurs partent seuls pour être vite dans le match », indique Stéphane Cormier, également confiant, mais réaliste quant à la difficulté de la tâche, tout comme le directeur sportif du sporting, Roland Allgeyer. « Depuis Vauban et Haguenau, on a retrouvé de la sérénité et de la confiance. Avec le retour de Zimmer et Matthieu (ndlr : Ehrismann) qui a marqué à nouveau un but, on est plus confiant mais on sait aussi que tout match est différent… », note Roland Allgeyer. Car en effet, en face, Novillars, pas très bien classé, qui est passé de justesse aux tours précédents, sera également motivé d’aller humer l’air d’un tour supplémentaire.
Du côté de Dinsheim, on estime les chances à 50/50, mais le rêve de revenir avec une qualification en poche, histoire d’écrire une page supplémentaire et d’oublier Saint-Vit est bien ancré dans la tête des joueurs. « Pas question de parler de 8e et encore moins d’un 1/32e chez nous », freine encore le coach Cormier.
«Le 12e homme» sera là !
Une chose est sûre, les 300 supporters vont jouer leur rôle, celui du 12e homme.
Ils ont répété leurs chants hier soir encore, au club house, où les supputations allaient bon train. « Il faut jouer ce match sur le terrain, pas dans les têtes » ; estiment encore certains joueurs d’un groupe où il manquera Bernhard, Schwoob au but, Lerose, Ahakkam et Comtesse, incertains.

DNA

Cà a payé, victoire et qualification de Dinsheim 1-2

publiée le 18/11/2013 à 05:00   

 Dinsheim l’a fait !


Un but en fin de première période et un second en début de deuxième ont permis à Dinsheim de se qualifier pour le 8e tour et ainsi de poursuivre son rêve. Récit !
Cette fois, Dinsheim n’a pas raté son voyage en Franche-Comté. Il y a deux ans, la formation bas-rhinoise tombait face à Saint-Vit mais cette élimination n’est désormais plus qu’un mauvais souvenir.
La délégation alsacienne s’est déplacée en masse puisque 300 supporters alsaciens ont fait le déplacement.
Dans sa causerie d’avant match, Stéphane Cormier incitait ses joueurs à vivre leur rêve et à n’avoir aucun regret. Pourtant, en début de match, rien ne se passe comme prévu.
Une qualification historique
« On n’est pas bien rentré dans le match » analyse Stéphane Cormier, conscient des déchets techniques affichés par son équipe. Pourtant c’est Dinsheim, par Koerin, qui se procure la première occasion de la rencontre (1ere ). Cinq minutes plus tard, Ehrismann se présente seul devant le gardien adverse mais son tir finit dans les pieds du portier local (6e ).
Dès lors, Novillars joue plus vite en contre. Le club franc-comtois rate l’immanquable sur un centre en retrait de Salahaoui dévissé par Condé (15e ). À la 23e , un corner de Cailler est repoussé par la défense de Dinsheim. Salhaoui a suivi et remet sur Trarback, dont la reprise termine au fond des filets (1-0, 23e ). Novillars vient de concrétiser, Dinsheim vient de fléchir. « On s’est heureusement bien repris en fin de mi-temps » témoigne le coach bas-rhinois.
Effectivement, s’en suivent dix minutes où Dinsheim se réveille. Ehrismann, bien lancé par Tison, ne parvient pas à glisser le ballon sous le gardien Joly. Si les deux premières occasions n’ont pas été converties par Dinsheim, la troisième le sera. Koerin, bien lancé par Tison, déborde Pelletier et profite d’une sortie hasardeuse de Joly pour trouver le petit filet opposé et égaliser (1-1, 43e ).
« L’égalisation est arrivée au bon moment » confie Stéphane Cormier. La deuxième mi-temps vient à peine de démarrer quand Streith trouve Ehrismann. Ce dernier ne rate pas l’occasion de donner l’avantage à son équipe en logeant le ballon sous la transversale (2-1, 46e ).
Novillars est abattu et mettra un quart d’heure à réagir. Pour Dinsheim, costaud en défense avec Lacroix aux commandes, sans oublier les sorties aériennes d’un très bon Guthleber, la seconde période est de meilleur calibre. Koerin, par deux fois, et Ehrismann, sont à deux doigts d’aggraver la marque. Dinsheim tiendra son maigre avantage jusqu’au bout. La qualification est en poche, Dinsheim est au 8è tour. Les 300 supporters qui ont fait le déplacement peuvent laisser éclater leur joie. La joie des joueurs était également à la hauteur de leur performance,
DNA

C'est la moitié du village qui s'est déplacée là. Non?! 
Je plaisante, la population doit au moins avoisinée les 1000 ou 1500 habitants, je suppose.

http://fr.wikipedia.org/wiki/Dinsheim-sur-Bruche

Super   

par J.S., publiée le 19/11/2013
DINSHEIM-sur-Bruche Coupe de France - DINSHEIM Une journée mémorable



Le président Mahon a choisi un vélo décoré pour arriver au stade.
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Le SC Dinsheim a écrit dimanche une magnifique page de son histoire. D’abord avec la qualification du club à son premier 8e tour de coupe de France. Mais aussi avec l’exceptionnel engouement populaire qui a vu 300 supporters aller pousser les bleus en Franche-Comté.
L’effervescence qui a habité depuis deux semaines le SCD s’est terminée en apothéose, dimanche à Novillars. « On voulait revenir en faisant la fête dans le bus, cette fois » disaient les joueurs, allusion à leur défaite au même stade de l’épreuve contre un autre club doubiste, Saint-Vit, il y a deux ans. Des joueurs qui n’auront pas arrêté de chanter de tout le retour 
Mais la longue journée avait commencé aux aurores par un petit-déjeuner au club house. « Il y a deux ans, le bus des joueurs était parti la veille pour loger à l’hôtel », se rappelle Roland Allgeyer, le directeur sportif. Cette fois, tout a démarré à 7 h pour le départ, une demi-heure plus tard. Même si la décontraction se lisait encore à ce moment, elle a laissé place au fil des heures à la concentration.
Avec six bus, 300 supporters, un vélo et… un âne !
Peu après le départ de l’équipe, cinq bus et 300 supporters — dont une vingtaine de Stillois venus en amis et voisins — tous grimés aux couleurs du club, prenaient à leur tour le départ, direction de Novillars. « C’est le débarquement chez nous », souriront quelques heures plus tard certains Doubistes, en voyant déferler cette marée bleue et blanche.
Le déjeuner sportif pris dans un restaurant qu’envahiront aussi les supporters une heure plus tard, une petite promenade de digestion, et voilà qu’était arrivé le moment de se rendre au stade.
Peu avant la rencontre, les chants des supporters ébranlaient déjà la quiétude de la petite bourgade de Novillars. Le président du SCD Pascal Mahon n’était pas en reste pour faire le spectacle, assurant les 200 derniers mètres vers le stade sur un vélo orné d’écharpes, peluches et pom pom. Le Sporting, dont le logo est un âne, avait même ramené Walther, un équidé en chair et en os, affublé lui aussi des écharpes réglementaires !
Après avoir pris un coup sur la tête à l’ouverture du score adverse, le Sporting allait raviver la flamme de l’espoir par Koerin, avant qu’Ehrismann ne libère totalement le peuple bleu et blanc. Les chants On est chez nous ou encore On va gagner pouvaient dès lors résonner jusqu’au coup de sifflet final.
« Une immense joie »
C’est fait ! Dinsheim a sa qualification en poche. Dans le public alsacien, ce ne sont que larmes de joie et embrassades. De nombreux supporters s’en vont dire « merci » à leurs favoris. Le président Mahon est en pleurs dans les bras de Roland Allgeyer et de l’entraîneur Stéphane Cormier. « C’est un grand moment de communion que nous vivons dans le club » dira-t-il une fois l’émotion un peu retombée. À ses joueurs : « Vous procurez une immense joie à tout le monde, au club, aux supporters. Je suis fier de vous ».
Tout ce beau monde, après avoir été félicité et reçu par le club hôte, a regagné vers 21 h l’Alsace dans un climat d’euphorie. Ce n’est que tard dans la soirée que le calme est revenu au club house. Mais le petit village est prêt à vivre encore de très beau moment, à domicile ou à l’extérieur, à l’occasion du 8e tour. Contre qui ? Verdict demain à 11 h !
DNA

24/11/2013
Match transféré
Le match de DH entre Dinsheim et Haguenau, initialement prévu cet après-midi à 14 h 30, se jouera en fait ce dimanche à 15 h à Still.

Dimanche 24 novembre 2013 - 15H00
-Dinsheim 0 - 4 Haguenau Fcsr 

Ouille ouille Marco c'est sévère 0-4.

L'autre Sporting celui de Schilick s'est imposé à Belfort Sud 0-6 

Salut Marius
C'est sur 0 - 4 ça fait désordre ,  Haguenau veut monter cette Année , mais quand même , je vais voir si je rencontre un ou l'autre qui y était a Still

La revanche du match de CDF.

François Namur, publiée le 25/11/2013 à 05:00
Haguenau trop puissant
Brillant, le leader a pris sa revanche d’une élimination en Coupe de France pour faire exploser Dinsheim et s’envoler en tête de la DH.
 
Franchement, au regard de son rythme effréné, on ne voit pas bien ce qui pourrait arriver de fâcheux au leader haguenovien cette saison. La bande à Philippe Knobloch mène l’élite alsacienne d’une main de maître.

Les blessures et les suspensions n’y changent rien. Dylan Bey et ses coéquipiers affichent un appétit d’ogre, une technique virevoltante et un impact de golgoth. La concurrence n’a d’autre alternative que de se coucher.

Dinsheim, comme quatre des cinq adversaires précédents – seul le Soleil Bischheim a contraint le FRH au nul depuis deux mois –, a bien dû admettre l’incontestable supériorité. « On a tenu tant qu’on est resté à 0-0, a admis Stéphane Cormier, l’entraîneur des vaincus. Mais ensuite, on a explosé, surtout physiquement et les joueurs ont lâché. »
Le temps de la démonstration
Ces derniers avaient quelques circonstances atténuantes avec l’inclinaison à se ménager par crainte de la blessure ou d’un rouge qui pourrait les priver d’un rendez-vous historique avec le 8e tour de Coupe de France. Les circonstances ont pu être favorables au leader.

« Le match a peut-être été difficile à préparer pour Dinsheim, dans un coin de la tête, ils avaient peut-être la Coupe de France, a souligné Philippe Knobloch. Mais de notre côté, on a eu la volonté de bien jouer, de mettre du rythme et on a réussi un très bon match. »

Du début à la fin, le visiteur a eu la main et le score nul et vierge de la première période a dépendu d’un petit miracle ou d’un Guthleber impeccable, notamment pour repousser le penalty obtenu par Zimmermann et tenté par Kateb (15e ).

Stoll s’est également vu refuser un but pour un hors-jeu d’un rien (27e ) et Heinrich a tiré au-dessus devant le but vide quand Nebinger a intercepté une ouverture sur laquelle Guthleber croyait devoir intervenir (42e ).

Confirmant la théorie du ketchup chère à Cristiano Ronaldo, qui se plaît à affirmer que c’est souvent le premier qui est le plus dur à marquer, l’ouverture du score a ouvert le temps de la démonstration. Elle a été réussie par Stoll, de la tête, au 2e poteau sur un corner de Kateb (64e ). Les vagues haguenoviennes ont déferlé. Sur un dégagement d’Ahsam contré par Stoll, Zimmermann a dribblé le gardien puis ajusté dans un angle fermé (66e ). Les remplaçants ont apporté leur écot à un succès de plus en plus large, par Mastronardi à la conclusion d’un contre (81e ), par Walter à la réception d’un centre de Koch. Vaincu à la surprise générale par Dinsheim en Coupe de France, Haguenau n’a pas tendu l’autre joue.
DNA

1 Haguenau Fcsr 41
2 Mulhouse F.C. 2 37
3 Reipertswiller 30
4 Hegenheim 29
5 Strasbourg Rcsa 2 29
6 Bischheim Soleil 29
7 Sarre Union 2 27
8 Oberlauterbach 26
9 Geispolsheim 25
10 Schiltigheim Sc 2 24
11 Strg Pierrots Vauban 24
12 Illzach A.S.I.M. 2 23
13 Dinsheim 22
14 Steinseltz 19


Le maintien pour Dinsheim sera pas facile

Strg Pierrots Vauban 2 - 2    Dinsheim

Très bon résultat  , pour Dinsheim

Marco, tu as vu le SC Dinsheim sur FR 3 ce soir ??

Salut Marius
OUIIIIIIIIII  J'avais ma soeur comme invité , et le beau-Frère  m'avais dit que la semaine dernière il y avait FR3 qui a filmé a Dinsheim , maintenant s'il se qualifie il y aura TF1

publiée le 01/12/2013  

division d’honneur Vauban – Dinsheim (2-2) Le drôle de match d’avant

À une semaine du 8e tour de Coupe de France, Vauban et Dinsheim n’ont pas su se départager, hier, à Strasbourg. Les Pierrots peuvent avoir des regrets, les hommes de Cormier aussi.
C’était le match d’avant pour Dinsheim, qui a rendez-vous avec son histoire, dimanche prochain, en un 8e tour de Coupe de France, complètement inédit. C’était aussi le match d’après, pour Vauban, éliminé de l’épreuve par son adversaire du jour. Au final, il n’y a pas eu de vaincu. Il n’y a pas eu de vainqueur, non plus.
Stéphane Cormier, le coach visiteur, obligé de composer avec les absences, a perdu un homme en route, Kevin Streith, expulsé. Hervé Sturm, le coach d’en face, l’entraîneur du miracle Schirrhein, faisait aussi grise mine.
Ses Pierrots avaient pris le match à l’envers, encaissant un but au bout de… cinq secondes de jeu, sur le coup d’envoi. Et ils n’ont pas su se remettre complètement d’équerre, contraints au nul face à un adversaire direct dans la lutte pour le maintien. « Je suis déçu au niveau du jeu, après ce match bizarre, soulignait-il après coup. On ne pouvait pas attendre beaucoup plus aujourd’hui. »
Le match n’a pas été à un paradoxe près. Le sauveur des Pierrots a été un défenseur central, Vincent Angelino. « Et j’ai fait deux grosses bêtises (ndlr : notamment sur l’ouverture du score) », a indiqué l’intéressé.
Le capitaine des Pierrots a d’abord égalisé au terme d’un coup de billard, de la tête (12e ). Il a ensuite profité d’un bon service de Hohmann pour réégaliser dans un fauteuil (54e ). Avant, c’est Ehrismann qui avait mis à profit une percée de Boughardayan dans une défense absente pour mettre Dinsheim devant.
On a beaucoup joué à l’envers, on a parfois fait n’importe quoi, hier, au stade Émile-Stahl. C’est comme si tous les acteurs du jeu avaient d’autres soucis en tête. Le long de la main courante, le coach de St-Amand-les-Eaux, qui défiera Dinsheim le week-end prochain, aura assurément eu du mal à se faire une idée de son adversaire
DNA

 
lundi 02 décembre 2013 

Actualité : Coupe de France
Pas de promenade de santé

Dinsheim/Bruche jouera le premier 8^e tour de Coupe de France de son histoire dimanche (13h45) à Saint-Amand les eaux, club nordiste de DH. Un déplacement tout sauf simple face aux récents tombeurs du Havre lors du 7^e tour (photo).
Saint-Amand-les-Eaux, petite ville du Hainaut, ses 17 000 habitants, son statut de station thermale réputée à une dizaine de kilomètres de Valenciennes. Tout cela ressemble à une destination de vacances idéale. Mais pas forcément à un lieu de villégiature footballistique, ni à une promenade de santé prévue. Pour s'en rendre compte, il suffit de se rendre sur le site internet du club : 486 licenciés, des équipes féminines en Ligue, des U19 encore en lice en coupe Gambardella (ils joueront samedi au Touquet), des commissions bien structurées.

« Le club évolue en Division d'Honneur depuis six ans, mais c'est vrai que nous avons pris un tournant depuis trois ans sous l'impulsion du nouveau président, Nicolas Fayol », explique Giuseppe Raimondi, secrétaire général du club. Clairement, Saint-Amand aimerait bien voir, à court ou moyen terme, la couleur des pelouses du CFA2. Malgré un match nul dimanche face à St-Omer, le second du classement (2-2), St-Amand est toujours dans le coup, scotché à la 4^e place. Depuis cette saison, le destin de l'équipe fanion a été confié à un homme d'expérience : Otis N'Goma, ancien entraîneur de Cambrai en CFA2 mais surtout ex-sélectionneur adjoint des Léopards de la République démocratique du Congo, où il a officié avec Robert Nouzaret. L'homme à la brève carrière professionnelle s'est aussi fait une spécialité de la Coupe de France. Avec Cambrai, il avait déjà fait tomber Reims et poussé Marseille à la prolongation, avant de récidiver avec St-Amand, au 7^e tour, face au Havre.
Autant dire que les Nordistes font de ce match face à Dinsheim un passage obligé vers des ambitions affichées. Le stade de près de 1500 places, avec tribune couverte, devrait être plein comme un œuf et Saint-Amand ne propose que 200 places au club bruchois qui sera loin d'être à la maison. Pas non plus de quoi terroriser Stéphane Cormier, l'entraîneur de Dinsheim qui a fait le voyage ce dimanche. « Ce n'est pas une ambiance exceptionnelle, mais c'est une bonne équipe, qui dispose surtout d'un fort potentiel offensif », souligne Cormier qui sait aussi que les Amandinois, après avoir sorti Le Havre, auront bien plus à perdre dans ce match qui se jouera, selon lui « à 50-50 ».
LAFA

publiée le 06/12/2013

Football Coupe de France, 8e tour : St-Amand-les-Eaux – Dinsheim, demain (13h45) Le président qui voit grand

Sous la houlette de son président, Pascal Mahon, le SC Dinsheim peut regarder dans la bonne direction : droit devant, toujours plus haut. PHOTO DNA – Jean-Francois Badias
Dinsheim n’en finit pas de grandir. Depuis douze ans, Pascal Mahon, son président, l’a aidé à gravir les marches.
Il habite en face du stade. Et le club qu’il préside lui mange allègrement du temps. Entre ses affaires et le SC Dinsheim, Pascal Mahon n’a pas choisi. Ou plutôt si : il a choisi les deux.
Passionné de football dans ses jeunes années, à Molsheim, où pendant vingt ans, avec ses quatre frangins, il a chaussé les crampons, l’assureur n’a pas lâché l’affaire une fois la main courante franchie.
Dans la vallée de la Bruche, il y avait une place à prendre, entre Mutzig qui s’essoufflait et Molsheim qui ne décolle pas. C’est donc la structure où ses gamins de 15 et de 21 ans poussent le ballon qui a fait l’objet de ses attentions. Le Sporting Club n’a pas à le regretter.
« Je marche à l’affectif »
L’homme de 51 ans fédère, s’implique, prend de la hauteur ou met les mains dans le cambouis. Et une armée de bénévoles le suit, un club vit. « Quand je suis arrivé, le club était en D2 et puis tu montes crescendo et puis tu te prends au jeu », sourit-il dans le club-house où ça fourmille, deux jours avant le grand voyage pour un inédit huitième tour. Cinq montées ont correspondu à autant de bonheur. Il ne s’agit pas de ménager sa peine alors que le village de 1500 habitants est un porte-étendard surprenant.
« Dans l’engagement, je marche à l’affectif, souligne-t-il, des trémolos dans la voix en songeant au joli chemin accompli. Mais d’un autre côté, c’est un club de village. Ici, il y a des racines, il y a les parents des gamins qui donnent un coup de main, il y a des gens qui suivent. » Lui assume être devant, trop heureux de ne pas avoir à se dépatouiller « à Strasbourg, où il y avait des villages dans la ville avant, des quartiers qui vivaient autour de son club de foot. Aujourd’hui, ce n’est plus trop ça ».
Il a eu un aperçu du fonctionnement des clubs urbains, en étant partenaire de la SIG. « Je suis fils d’ouvrier, rappelle-t-il pour évoquer les sources de sa démarche présidentielle. Je veux pouvoir compter sur des joueurs simples. Ici, il y en a beaucoup qui ont avant tout des valeurs auxquelles je suis attaché. »
Sa première décision en tant que président est emblématique. Il a embauché Bernadette, aux fourneaux du club-house, et, depuis, Pascal Mahon sait sur qui il peut s’appuyer. La cuisinière est toujours là. Moult étapes ont donc été franchies depuis. Voilà Dinsheim aux portes d’un 32e de finale. Le 8e tour n’est finalement pas une finalité. « On progresse, apprécie le président. Le 7e tour, à Novillars, on a su gérer. On n’était plus des novices puisqu’on en avait disputé un il y a deux ans (ndlr : perdu à St-Vit). Et cela ne se limite pas au sportif. Quand je vois l’engouement populaire, les gens qui nous suivent… » Il y aura effectivement plus de deux cents supporters, dimanche, dans le Nord-Pas-de-Calais. Les suiveurs sont de plus en plus nombreux.
La boule de neige peut devenir une avalanche. « On repousse sans cesse les limites, conclut Pascal Mahon. D’autres clubs sont derrière nous, comme Still qui a pu nous prêter ses installations pour nous entraîner. Ici, on s’entraide. »
Là-bas, le club de Pascal Mahon n’en finit pas d’épater. Et ce n’est pas sans fierté que le président contribue à faire briller « son village de m….. » qu’il aime tant
DNA