Leonardo Jardim va entraîner le Dalian Yifang en Chine
L'ancien entraîneur de l'AS Monaco, Leonardo Jardim, va devenir l'entraîneur du Dalian Yifang, en Chine. Pour 10 millions d'euros par saison.
 Moins de trois mois après avoir été débarqué par l'AS Monaco, Leonardo Jardim va reprendre du service. L'entraîneur portugais (44 ans) va prendre les rênes du Dalian Yifang. Selon nos informations, il s'envolera vers la Chine ce jeudi soir.

Jardim va signer un contrat de deux ans, pour un salaire annuel de 10 millions d'euros. Soit plus du double de ce qu'il touchait en Principauté, où il était arrivé en 2014 et avait été champion de France et demi-finaliste de la Ligue des champions en 2017. Le technicien a déjà touché plus de 8 millions pour son licenciement de l'ASM le 11 octobre.
Le mois dernier, Jardim était proche de rebondir à Al-Nasr, en Arabie saoudite. Au Dalian Yifang, il va retrouver Yannick Carrasco, qu'il a entraîné à Monaco en 2014-2015. Le milieu international belge (25 ans) est en Chine depuis février 2018.
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Carlos Queiroz quitte la sélection iranienne
En poste depuis 2011, Carlos Queiroz a quitté son poste de sélectionneur de l'équipe d'Iran après l'élimination de son équipe en demi-finales de la Coupe d'Asie des nations.
Carlos Queiroz, le sélectionneur portugais de l'équipe d'Iran, a annoncé son départ après l'élimination face au Japon en demi-finales de la Coupe d'Asie des nations. En poste depuis 2011, le technicien de 65 ans a décidé de quitter définitivement ses fonctions de sélectionneur. L'avenir du Portugais à la tête de la Melli s'écrivait déjà en pointillé depuis la fin de la Coupe du Monde et ce malgré la reconduction de son mandat.
L'ancien adjoint de Sir Alex Ferguson à Manchester United (2002-2003 et 2004-2008) aura notamment qualifié la sélection iranienne pour deux Coupes du monde d'affilée - une première dans l'histoire du football iranien. Il n'aura cependant jamais réussi à passer la phase de groupes.
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Denis Troch : "Dans le sport de haut niveau, les émotions sont exacerbées"



Entretien avec Denis Troch, ex-entraîneur du Havre, d'Amiens et de Troyes, reconverti dans le coaching et la préparation mentale.
En avouant avoir fait un "burn-out", il y a une dizaine de jours, Adil Rami a livré une confidence rare dans le monde sportif. Pourtant, les phénomènes de burn-out, de dépression ne sont pas isolés, quel que soit la discipline.
Avant le champion du monde 2018, d'autres athlètes, comme le footballeur Andrès Iniesta, les tennismen Lucas Pouille ou Novak Djokovic, la vététiste Julie Bresset, le nageur Ian Thorpe, ont fini par craquer et ont témoigné de leur mal-être.
Décryptage avec Denis Troch, ex-joueur et entraîneur de football, désormais reconverti dans la préparation mentale et le coaching au sein de la franchise Human Progress Center.
Les phénomènes de burn-out, de déprime, sont-ils sous-estimés dans le sport ?
Ces phénomènes sont sous-estimés en règle générale, dans la vie de tous les jours, pas que dans le sport. Le sport n’est que le reflet de la société avec une accélération du processus, puisque dans le sport de haut niveau, les émotions sont exacerbées. Donc effectivement on retrouve les mêmes symptômes de burn-out, de dépression, de sur-pression, de sous-pression. Ce n’est pas fréquent mais bien sûr que ça existe. C’est très souvent tabou dans la vie de tous les jours, professionnelle comme sportive.
Derrière chaque choc émotionnel, il y a un processus qui peut être le déni, la colère, la tristesse, la peur, l’acceptation. Ces émotions et ces moments-là sont essentiels pour se reconstruire.
Est-ce que cela touche principalement les sportifs très exposés ? C'est par exemple le cas d'Adil Rami, finaliste de la Coupe d'Europe et champion du monde 2018, et sujet à de nombreuses rumeurs de séparation avec sa compagne, la très médiatique Pamela Anderson.
C'est plus complexe. On sait que chaque fois qu’il y a un choc émotionnel important, qu’il soit positif ou négatif, cela crée un mécanisme de défense : on va déconnecter de la réalité parce que l’événement est trop conséquent pour pouvoir l’assumer de façon "normale". Il y une déconnexion qui existe dans ce qu’on appelle la "courbe du deuil". Derrière chaque choc émotionnel, il y a un processus qui peut être le déni, la colère, la tristesse, la peur, l’acceptation. Ces émotions et ces moments-là sont essentiels pour se reconstruire.
Comment est-il possible de lutter contre ce phénomène ?
Comme dans l’entreprise, c’était plutôt tabou il y a quelques années. Aujourd’hui, on peut se rendre compte que certains sportifs annoncent des moments de déprime ou de burn-out dans l’excès de travail. C’est pour cette raison que la psychologie, l’approche mentale ou l’accompagnement peuvent être intéressants pour mettre des mots sur des attitudes ou des comportements qui ne sont pas forcément normaux. C’est pour cette raison qu’être accompagné est très intéressant pour le sportif. Dans le sport, on a une reconnaissance d’un travail sur l’estime de soi, la confiance en soi. C’est la préoccupation première.
Certaines personnes sortent de ces situations de mal-être en devenant addict à autre chose, il faut être très vigilant.
Est-ce qu’il est possible de prévenir la chose ?
Evidemment. Mettre des mots sur une problématique, c’est toujours mieux, trouver des outils ou des mécanismes pouvant nous aider, c’est encore mieux et de pouvoir anticiper cette situation, ce serait l’idéal pour éviter ce type de problème. Maintenant on ne peut pas tout éviter mais on peut limiter très souvent ce genre de situation à partir du moment où on pourrait initier des gens à travailler dès le plus jeune âge sur des outils très simples, accessibles à tous. Après il y a bien entendu il est nécessaire d'aller voir un professionnel.
Peut-on déceler les symptômes de ces mal-être dans la vie quotidienne ?
Oui bien sûr mais ils sont tellement différents entre les personnes, on peut en énumérer quelques-uns : l’isolement, le fait de surcompenser pour chasser une addiction. Certaines personnes sortent de ces situations de mal-être en devenant addict à autre chose, il faut être très vigilant. J’ai vu des cas de personnes en déprime ou en pré-burn out qui vont se mettre à faire du sport à tout-va alors qu’avant ils n’en faisaient pas. Ce sont des signes avant-coureurs bien précis.
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Marco Simone devient entraîneur du Ratchaburi FC, en Thaïlande
  Marco Simone se relance en devenant l'entraîneur du Ratchaburi FC, actuellement 13e du Championnat thaïlandais.
Marco Simone va tenter de relancer sa carrière d'entraîneur à l'autre bout du monde. L'Italien a signé au Ratchaburi FC. Le club thaïlandais, qui compte deux ex-pensionnaires de Ligue 1 avec Steeven Langil et Yannick Boli, est 13e du Championnat après quatre journées.
L'ancien joueur du PSG a entraîné Monaco, Lausanne, Laval, Tours et le Club africain (Tunisie), qu'il a quitté en novembre 2017. L'été dernier, il avait pris les rênes de l'équipe réserve de l'AC Milan.
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L’arbitrage féminin veut continuer à grandir



Les 15 meilleures arbitres du Grand Est étaient réunies samedi à Strasbourg pour un stage. Si la région est leader dans le domaine, l’arbitrage féminin n’en est qu’au début de sa croissance.
Alors qu’elle accueillera la Coupe du monde cet été et que ses clubs et son équipe nationale font partie des meilleurs au monde, la France veut aussi montrer l’exemple en matière d’arbitrage. À partir de la saison prochaine, la FFF sera la seule fédération à proposer le statut semi-professionnel à ses arbitres. Une dizaine d’entre elles bénéficieront d’un système s’approchant de celui de leurs homologues masculins, avec de meilleures conditions d’entraînement, un préparateur physique supplémentaire et la mise en place des oreillettes.
Dix arbitres semi-professionnelles l’année prochaine
Mais la France a beau être en avance sur ses concurrents, la situation des “femmes en noir” est loin d’être idéale.
« On sait qu’on pourrait faire beaucoup mieux, notamment en termes de rémunération, reconnaît l’ancienne internationale Laura Georges (188 sélections), aujourd’hui secrétaire générale de la FFF en charge du plan de développement de l’arbitrage féminin. Mais il ne faut pas oublier qu’on débute. »
Au-delà de la semi-professionnalisation, qui concerne l’élite française, la volonté des instances est de faire progresser le nombre d’arbitres. Dans ce domaine, le Grand Est est premier de la classe, avec 114 licenciées, soit 16,5% d’augmentation en un an.
«C’est bien, mais ça ne suffit pas, insiste Albert Gemmrich, président de la Ligue du Grand Est et lui-même fils d’arbitre. Il faut continuer à progresser, mais en restant patients. Attention à ne pas brûler les étapes. »

L’accompagnement, le grand point noir

Pour sensibiliser les jeunes footballeuses, la Ligue organisait samedi à Hautepierre un stage mêlant les 15 meilleures arbitres du Grand Est et les U15 de six clubs bas-rhinois.
« On veut montrer aux jeunes ce que c’est que la carrière d’arbitre, souligne Stéphane Villemin, président de la Commission régionale de l’arbitrage. Il faut dire à celles qui hésitent que l’arbitrage peut être une passerelle pour aller très haut, très vite. Et pour les arbitres, cette journée permet de voir qu’elles ne sont pas toutes seules. »
L’accompagnement des débutantes est le principal point noir déploré par les responsables fédéraux. Livrées à elles-mêmes, de nombreuses jeunes abandonnent leur sifflet après seulement quelques mois.
« Sur certains matches, le climat peut être compliqué, surtout quand on commence, rappelle Laura Georges. Pour qu’elles ne soient plus seules, il faut des référents qui les accompagnent sur la durée, les aident dans leurs moments de doute. Sinon, elles ont vite fait de perdre l’envie. »
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John Arne Riise quitte déjà son poste de directeur sportif du Birkirkara FC
  John Arne Riise a démissionné de son poste de directeur sportif du Birkirkara FC, à Malte, trois mois après son arrivée.
Nommé directeur sportif du Birkirkara FC (D1 maltaise), début janvier, John Arne Riise a déjà démissionné de son poste pour « raisons personnelles ». Il s'agissait de la première fonction occupée par l'ancien international norvégien (38 ans, 110 sélections) depuis sa dernière expérience en Inde, comme joueur, en 2016.
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Ruud Krol quittera le banc du CS Sfaxien en fin de saison

Ruud Krol a annoncé qu'il quitterait son poste d'entraîneur du CS Sfaxien au terme de la saison en cours.
Ruud Krol quittera son poste d'entraîneur du CS Sfaxien à la fin de la présente saison. L'annonce en a été faite par le technicien néerlandais lui-même, jeudi après la victoire sur le Club Africain pour le compte de la 18eme journée de LP1. En poste depuis l'été dernier, l'ancien coéquipier de Johan Cruyff avait fait part de sa décision aux dirigeants du CSS depuis plusieurs semaines. Âgé de 70 ans, l'ex-sélectionneur national entend finir au mieux l'exercice en cours, sur le plan national (Championnat et Coupe de Tunisie) et continental (Coupe de la Confédération).
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Jesse Marsch sera le prochain entraîneur du Red Bull Salzbourg



L'Américain Jesse Marsch (45 ans) a été nommé entraîneur du Red Bull Salzbourg, ce lundi. Sa mission de trois ans débutera la saison prochaine.
Le Red Bull Salzbourg a annoncé la nomination de Jesse Marsch comme nouvel entraîneur, ce lundi. Le technicien américain (45 ans), qui avait dirigé les New York Red Bulls (MLS) récemment (2015-2018), prendra ses fonctions au terme de la saison actuelle. Il a signé un contrat de trois ans et succédera à l'Allemand Marco Rose, qui s'est engagé en faveur du Borussia Mönchengladbach. En tête du Championnat autrichien, Salzbourg, racheté en 2005 par le groupe Red Bull, est bien parti pour remporter un treizième titre national.
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L'Italien Edoardo Reja, nouveau sélectionneur de l'Albanie 
Le technicien italien Edoardo Reja prend en main la sélection de l'Albanie, succédant à son compatriote, Christian Panucci.
La Fédération albanaise a annoncé mercredi la nomination de l'Italien Edoardo Reja à la tête de la sélection. Il succède à son compatriote, Christian Panucci, démis de ses fonctions le 23 mars après la défaite à domicile des Albanais contre la Turquie (0-2), en qualifications à l'Euro 2020.
Reja, 73 ans, qui a entraîné une vingtaine de clubs, dont Naples, l'Atalanta Bergame et la Lazio Rome, prend en main une sélection pour la première fois de sa carrière.
L'Albanie, 3e du groupe H dominé par la France, sera le dernier adversaire des Bleus en qualifications, le 17 novembre.
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Lubo Penev quitte déjà son poste d'entraîneur du CSKA Sofia
  À peine trois mois après son arrivée, Lubo Penev a décidé de quitter son poste d'entraîneur du CSKA Sofia.
Lubo Penev n'est plus l'entraîneur du CSKA Sofia. L'ancien attaquant international bulgare (52 ans, 62 sélections, 13 buts), nommé début février à la tête du club le plus titré du pays, a décidé de quitter ses fonctions, prétextant un manque de soutien de ses dirigeants. « Il y a trois mois, j'ai accepté de reprendre le CSKA à un moment très difficile. J'avais le désir et la volonté de faire de mon mieux pour obtenir ce que le CSKA mérite, un titre de champion et une victoire en Coupe. Mais la direction ne m'a pas soutenu », a-t-il expliqué sur Facebook pour justifier sa décision.
L'ancien sélectionneur bulgare (2011-2014), qui avait déjà dirigé le CSKA par deux fois (2009-2010 et 2015), a regretté cette « opposition calme mais féroce au sein du club » à laquelle il a été confronté et qui l'a poussé à s'en aller. Il s'est dit « très peiné », tandis que ses dirigeants se sont montrés « surpris ». « Il nous met dans une situation compliquée », a ajouté Plamen Markov, le directeur général du club. C'est Dobromir Mitov qui reprendra l'équipe jusqu'en fin de saison. À cinq journées du terme, le CSKA Sofia occupe la deuxième place du classement, à cinq points du Ludogorets Razgrad.
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Petar Houbtchev prochain entraîneur du Levski Sofia 
Le Levski Sofia a annoncé l'arrivée de l'ex-sélectionneur bulgare Petar Houbtchev au poste d'entraîneur. Actuel troisième du Championnat bulgare après avoir déjà utilisé quatre (!) entraîneurs différents cette saison, le Levski Sofia prépare son avenir avec Petar Houbtchev. Le club bulgare a annoncé ce mercEn mars, Houbtchev (55 ans) avait quitté le poste de sélectionneur de la Bulgarie, qu'il occupait depuis septembre 2016, après les deux premiers matches qualificatifs de la Bulgarie pour l'Euro 2020, deux matches nuls contre le Monténégro (1-1, le 22 mars) et au Kosovo (1-1, le 25). Le Levski Sofia n'a plus été champion de Bulgarie depuis 2009
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L'entraîneur du Steaua Bucarest, Mihai Teja, démis de ses fonctions
  Mihai Teja, l'entraîneur du Steaua Bucarest, a été démis de ses fonctions d'entraîneur. Il n'est pas parvenu à mener son club au titre, qui lui échappe depuis maintenant quatre ans.
Faute d'avoir remporté le Championnat de Roumanie cette saison, l'entraîneur du Steaua Bucarest, Mihai Teja, a été démis de ses fonctions ce mardi. L'ex-joueur, formé au club, était en poste depuis décembre. Le propriétaire du Steaua Bucarest, George Becali, avait déclaré que Mihai Teja partirait s'il ne parvenait pas à mener le club au titre qui lui échappe depuis quatre saisons.
Ces trois dernières saisons, le Steaua Bucarest a toujours fini à la deuxième place du Championnat, derrière le CFR Cluj (2019, 2018) et le FC Viitorul Constanta (2017). Le club a néanmoins le meilleur palmarès du pays avec 26 titres de champion et 22 coupes nationales remportées.
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Bulgarie : l'ancien international Krasimir Balakov nommé sélectionneur


Publié le mardi 14 mai 2019 à 16:07 Krasimir Balakov, ancien international bulgare, devient le nouveau sélectionneur de l'équipe nationale. Il a signé un contrat jusqu'en novembre 2021 et aura la tâche de qualifier son pays pour l'Euro 2020.
L'ancien international bulgare Krasimir Balakov devient le nouveau sélectionneur de la Bulgarie, a annoncé la Fédération de Bulgarie de football, ce mardi. « Il est l'un des plus grands footballeurs de notre temps, un homme qui croit en l'équipe nationale bulgare », a déclaré Borislav Mikhailov, le président de la Fédération.
Krasimir Balakov, ancien meneur de jeu du Sporting Lisbonne et du VfB Stuttgart, et joueur clé de l'équipe bulgare qui échoua face à l'Italie en demi-finales de la Coupe du monde 1994, a signé un contrat jusqu'à fin 2021. À 53 ans, il succède à son ancien coéquipier Petar Hubchev, qui a quitté son poste après les deux premiers matches qualificatifs de la Bulgarie pour l'Euro 2020, deux matches nuls contre le Monténégro et le Kosovo, en mars.
« Devenir l'entraîneur de l'équipe nationale est un privilège et une grande responsabilité. Je n'ai pas longtemps hésité », a déclaré le nouveau sélectionneur. Krasimir Balakov, ancien international au 92 capes, aura la lourde tâche de qualifier son pays pour l'Euro 2020, dans un groupe avec l'Angleterre et la République tchèque, équipe contre laquelle il débutera le 7 juin.
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Malgré l'arrivée de Sylvinho sur le banc de l'OL, les entraîneurs brésiliens restent rares en France
  Sylvinho va entrer dans le cercle très fermé des Brésiliens entraînant un club français. Ils se comptent même sur les doigts de la main...
Il y a quatre ans, Leonardo faisait ce constat, implacable : « Citez-moi un entraîneur brésilien, aujourd'hui, qui exerce en Europe ? Il n'y en a pas. Vous avez des Argentins, Simeone à l'Atlético Madrid, Pochettino à Tottenham (les deux toujours en poste), Bielsa à Marseille (désormais à Leeds, D2 ANG) ; un Chilien, Pellegrini à Manchester City (maintenant à West Ham) ; un Uruguayen comme Poyet qui a dirigé Sunderland (puis Bordeaux)... Tous les Sud-Américains sont là, sauf les Brésiliens. »

Le discours de l'actuel directeur sportif de l'AC Milan pourrait être le même aujourd'hui. En attendant l'arrivée de Sylvinho sur le banc de l'OL la saison prochaine, aucun entraîneur brésilien n'exerce dans un Championnat européen, que ce soit l'un des cinq grands (Angleterre, Espagne, Italie, Allemagne et France) ou dans les autres principales Ligues (Portugal, Russie, Pays-Bas, Turquie, Ukraine, Belgique, Écosse et Suisse).

Seulement trois Brésiliens avant Sylvinho en France

En France, les entraîneurs brésiliens n'ont jamais eu la cote. Avant l'arrivée de Ricardo sur le banc du PSG en 1996, à seulement 31 ans, un seul de ses compatriotes avait dirigé une équipe française. Il faut remonter à janvier 1962 pour retrouver un certain Otto Gloria. Il n'était resté en poste que quatre mois, le temps de faire remonter l'OM en première division. Avant et après ce passage en France, Otto Gloria avait aussi entraîné d'autres grands clubs européens, comme Benfica, le FC Porto, le Sporting et l'Atlético de Madrid.

Libéré par le PSG en 1998, Ricardo reviendra en France sept ans plus tard. Il enchaînera deux expériences : Bordeaux (2005-2007) et Monaco (2007-2009). Le 5 septembre 2018, il est revenu aux Girondins mais, n'ayant pas le diplôme d'entraîneur, il était manager général. Il a été remercié le 26 février. Abel Braga, lui, n'est resté en poste que quatre mois à l'OM, entre juillet et novembre 2000. Il est alors licencié sur un bilan de cinq victoires, trois nuls et huit défaites.
Et ailleurs en Europe ?

Comme c'est le cas en France, l'entraîneur brésilien n'a pas beaucoup de succès dans les autres pays européens. Seuls quatre ont dirigé des grands clubs européens : Luiz Felipe Scolari à Chelsea pendant sept mois en 2008-2009, Vanderlei Luxemburgo au Real Madrid pendant un an, entre le 30 décembre 2004 et le 5 décembre 2005, Carlos Alberto Parreira à Valence (1995-1996) et Leonardo, qui a enchaîné AC Milan (2009-2010) et Inter Milan (2010-2011). Seul l'ancien directeur sportif du PSG a remporté un trophée, la Coupe d'Italie avec l'Inter.

Parreira a aussi entraîné en Turquie, où il a remporté le Championnat en 1996 avec Fenerbahçe. Zico a fait pareil en 2007, doublant avec la Supercoupe de Turquie. Il a également exercé en Russie, au CSKA Moscou, qu'il a mené au titre en 2009. Deux autres Brésiliens ont entraîné Fenerbahçe : Didi entre 1972 et 1975 (champion en 1974 et 1975) et Sebastiao Lazaroni, qui avait pris la succession de Carlos Alberto Parreira en 1996-1997. Sans connaître le même succès (troisième du Championnat). Il a aussi entraîné la Fiorentina pendant deux saisons (1990-1992). Paulo Autuori, qui s'est occupé du Ludogorets Razgrad la saison passée, a entraîné au Portugal dans les années 80 et 90 (Vitoria Guimaraes, Nacional, Maritimo et Benfica).
Baltemar Brito, le plus titré

Antonio Carlos Zago a, lui, exercé comme adjoint, à la Roma (2013) et au Chakhtior Donetsk (2013-2015). Finalement, le technicien brésilien le plus titré est Baltemar Brito, adjoint de José Mourinho à Porto, Chelsea et à l'Inter. Entre 2001 et 2010, il a remporté, entre autres, deux Ligues des champions, une Ligue Europa et six Championnats (deux Primeira Liga, deux Premier League et deux Serie A).

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Suède : Henrik Larsson nommé entraîneur d'Helsingborgs
L'ancien attaquant est depuis dimanche le nouvel entraîneur d'Helsingborgs, le club où il s'est révélé dans les années 90.
Henrik Larsson a terminé sa carrière de joueur il y a dix ans à Helsingborgs, le club suédois où il s'est révélé en début de carrière (1992-1993 puis retour en 2006). L'ancien attaquant international suédois, désormais âgé de 47 ans, a été nommé entraîneur dimanche. C'est son deuxième passage sur le banc du club suédois, dont il a été le coach entre le 1er janvier 2015 et le 23 novembre 2016.
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Meke Mwase nommé sélectionneur du Malawi
Le Malawi change de sélectionneur. L'ancien international Meke Mwase a été nommé ce lundi à la tête des Flammes.
La Fédération du Malawi (FAM) a révélé le nom de son nouveau sélectionneur national, ce lundi. Il s'agit de l'ancien international Meke Mwase (46 ans), qui succède au Belge Ronny Van Geneugden, dont le contrat n'a pas été renouvelé au mois d'avril après l'échec des Flammes en qualifications à la Coupe d'Afrique des nations. Depuis, Mwase, ancien coach des U23 et U20, assurait l'intérim. Il s'est engagé pour un an. Le Malawi occupe actuellement la 126e place au classement FIFA.
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Victor Zvunka nommé entraîneur du Croissant Sportif Chebbien (D1 tunisienne)
Le Croissant Sportif Chebbien, promu en D1 tunisienne, a nommé ce vendredi Victor Zvunka comme entraîneur.
Victor Zvunka a été nommé entraîneur du Croissant Sportif Chebbien, promu en D1 tunisienne, ce vendredi. L'entraîneur français (67 ans) travaillait déjà en Tunisie cette saison, à la tête du Club Africain, qui a fini à la cinquième place en Championnat. L'ancien coach de Châteauroux et Guingamp notamment s'est engagé pour un an.
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Hervé Renard et l'Afrique : une belle histoire d'amour

Lundi, Hervé Renard a annoncé qu'il a allait devenir sélectionneur de l'Arabie Saoudite. Un nouvel horizon dans la carrière de l'entraîneur français, qui s'est forgé une belle réputation sur le continent africain. Retour sur ses cinq expériences en Afrique.
2008 - 2010 : un premier pied en Zambie
Après trois expériences en club (Draguignan, Cambridge et Cherbourg), Hervé Renard prend la tête de la sélection zambienne le 7 mai 2008. Une première réussie, puisqu'il parvient à emmener son équipe en quarts de finale de la CAN pour la première fois de son histoire en 2010. Les Chipolopolos ("Boulets de cuivre") s'inclinent à ce stade de la compétition face au Nigéria aux tirs au but. Renard décide alors de se retirer de la sélection en avril 2010.
2010 : l'imbroglio angolais
Dans la foulée, le Savoyard s'engage avec l'Angola pour deux ans. Mais l'expérience tourne court : il n'est pas payé et peine à obtenir un contrat de travail. Il démissionne en octobre 2010, six mois seulement après sa nomination et en n'ayant dirigé que cinq petits matches (2 victoires, 3 défaites).
2011 - 2013 : un retour couronné de succès en Zambie
Après une petite année à l'USM Alger, retour à la case départ pour Hervé Renard, qui retrouve la sélection zambienne. Et la mayonnaise reprend au-delà de toutes les attentes : la Zambie remporte pour la première fois de son histoire la CAN, en 2012. Premiers de leur groupe, les Zambiens éliminent le Soudan en quarts (3-0), le Ghana en demies (1-0), avant de venir à bout de la Côte d'Ivoire en finale (0-0, 8-7 tab). Il quitte sa sélection en octobre 2013 pour tenter sa chance en Ligue 1, au FC Sochaux-Montbéliard.

2014 - 2015 : une deuxième CAN, avec la Côte d'Ivoire
Mais l'expérience sochalienne tourne au vinaigre. Les Jaunes et Noirs descendent en Ligue 2 à l'issue de la saison 2013-2014. Hervé Renard rejoint alors la sélection ivoirienne, avec laquelle il va réussir un exploit sans précédent : remporter deux éditions de la CAN avec deux sélections différentes. En février 2015, les Éléphants s'imposent en finale face au Ghana, une nouvelle fois aux tirs au but (0-0, 9-8 tab). Après plusieurs années de malédiction, la Côte d'Ivoire remporte enfin sa deuxième CAN après 1992.

2016 - 2019 : une expérience marocaine mitigée
Après l'interlude raté à Lille en 2015 (six mois seulement), Renard rejoint la sélection marocaine en février 2016. Lors de la CAN 2017, il parvient à hisser les Lions de l'Atlas en quarts de finale, stade de la compétition que le pays n'avait plus atteint depuis 2004. Le Savoyard emmène également son équipe à la Coupe du monde 2018 mais le Maroc ne franchit pas le 1er tour (1 nul, 2 défaites).
Mais son expérience au Maroc ne va pas très bien se terminer. Alors que sa sélection fait partie des favoris pour remporter la CAN 2019, les Lions de l'Atlas sont éliminés, à la surprise générale, par le Bénin en huitièmes de finale. Hervé Renard Renard endosse alors la responsabilité de la défaite et quitte ses fonctions le 21 juillet dernier.
dna

La sélectionneuse américaine quitte les championnes du monde



Vainqueur des deux dernières Coupe du monde, dont celle en France en juillet, Jill Ellis a décidé de quitter ses fonctions à la tête de la sélection américaine de football féminin.

Un deuxième Mondial et puis s’en va : la sélectionneuse de l’équipe des États-Unis de football Jill Ellis, qui a mené la Team USA vers un deuxième titre de championnes du monde consécutif, va passer la main en octobre, a annoncé mardi sa fédération, l’US Soccer.
«Lorsque j’ai accepté le poste d’entraîneur principal, c’était l’échéance que j’avais envisagée», indique Ellis dans un communiqué publié sur le site de la fédération moins d’un mois après la victoire 2-0 des Américaines sur les Pays-Bas en finale de la Coupe du monde féminine de football, le 7 juillet en France.

"Entraîner cette équipe, l’honneur d’une vie"

«C’est le bon moment pour aller de l’avant», juge la seule sélectionneuse à avoir remporté deux Mondiaux féminins, estimant que la Team USA est «bien placée pour rester au sommet du football féminin».
Après plus de cinq ans à la tête de l’équipe féminine américaine et deux titres suprêmes conquis, au Canada (2015) et en France (2019), Jill Ellis, 52 ans, quittera ses fonctions à l’issue du dernier match amical de la tournée victorieuse de ses joueuses au pays, début octobre, pour devenir dans la foulée ambassadrice de l’US Soccer pendant au moins un an.

Après son départ, le management de Team USA sera modifié

Mais elle est d’ores et déjà la sélectionneuse à avoir diriger le plus de rencontres de l’équipe féminine américaine, avec un bilan sensationnel de 102 victoires en 127 matches. «Entraîner cette équipe et travailler avec ces femmes incroyables a été l’honneur d’une vie», assure la 8e coach de l’histoire de la Team USA, expliquant simplement que c’était le «bon moment» pour partir.
La nomination du premier "manager général" de l’histoire de l’équipe nationale féminine des États-Unis «doit intervenir bientôt», a annoncé la fédération précisant que «la quête d’un entraîneur principal (pour remplacer Ellis) commencera ensuite».
La ligue pro américaine mise sur l’effet Coupe du monde
Après le nouveau sacre mondial de Team USA, le football professionnel féminin aux Etats-Unis veut capitaliser sur l’effet Coupe du monde et sortir du relatif anonymat dans lequel il évolue depuis sa création, il y a six ans.
Dans les stades, l'effet Mondial s'est déjà fait sentir. A Portland, Seattle et Chicago, des records d'affluence ont été battus. Le 24 juillet, la rencontre Portland-Houston a réuni 22 329 spectateurs. Parmi eux, beaucoup étaient de novices. «Après la Coupe du monde, tout le monde est enthousiaste», confiait l'un d'eux.

Record d'audience à la TV

Les télés s'y mettent aussi. En pleine Coupe du monde, le réseau câblé ESPN avait annoncé qu’il retransmettrait 14 matches de la NWSL cette saison. Lors de la diffusion du match Chicago-North Carolina, le 21 juillet, la NWSL a réuni 149 000 téléspectateurs en moyenne, sa meilleure audience depuis 2016.
Autre signe encourageant, le brasseur Budweiser a officialisé, le jour de la finale de la Coupe du monde, un partenariat pluriannuel avec la ligue féminine et dit vouloir soutenir le football féminin en continu.
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Alain Giresse n'est plus sélectionneur de la Tunisie
La Fédération tunisienne a annoncé mercredi avoir mis fin au contrat d'Alain Giresse.
Nommé en décembre 2018, Alain Giresse a été démis de ses fonctions de sélectionneur de la Tunisie. Dans un court communiqué publié mercredi sur sa page Facebook, la Fédération tunisienne a annoncé avoir mis fin « à l'amiable » au contrat de l'entraîneur français, qui s'était engagé pour dix-huit mois.

Sous ses ordres, la Tunisie a atteint les demi-finales de la CAN, où elle a été éliminée par le Sénégal (0-1 a.p.). La FTF n'a pas précisé les raisons de cette décision ni le nom du nouveau sélectionneur des Aigles de Carthage.
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Marinette Pichon devient entraîneure au Canada
L'ancienne attaquante internationale française est devenue entraîneure d'une équipe québécoise. Depuis le 1er août, la meilleure buteuse de l'histoire des Bleues (81 buts) travaille au sein de l'Association régionale de soccer (ARS) du Lac-St-Louis. Elle a simplement répondu à une offre d'emploi sur le site de l'Association régionale de soccer (ARS) du Lac-St-Louis. « Je me suis dit qu'il devait y avoir une erreur, mais non, raconte Georges Tissot, le directeur général d'ARS. J'ai pris mon téléphone, et j'ai tout de suite appris deux choses avec Marinette : son grand professionnalisme [...] et sa passion. »

« Toujours cette volonté de disséquer »
Marinette Pichon, la meilleure buteuse de l'histoire de l'équipe de France féminine (81 buts en 112 sélections), a donc décidé de traverser l'Atlantique et de poser ses valises au Québec avec sa famille pour tenter une nouvelle aventure comme elle le raconte à Radio Canada. « Je me suis rendu compte que je regardais toujours les terrains avec une certaine envie, explique celle qui a tenu le rôle de consultante pour la chaîne L'Équipe cette année. J'ai toujours cette volonté de disséquer, de conseiller et d'accompagner. J'ai eu envie de me donner un nouveau défi. »
En poste depuis le 1er août, Marinette Pichon est en charge du sport-études et mènera aussi l'équipe du Lac-St-Louis aux Jeux du Québec de 2020, à Laval.
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Tunisie : Mondher Kebaier nouveau sélectionneur
Pour remplacer Alain Giresse, la Fédération tunisienne a nommé l'ancien entraîneur de l'Espérance Sportive de Tunis au poste de sélectionneur.
Mondher Kebaier a été nommé comme nouveau sélectionneur de la Tunisie en remplacement du Français Alain Giresse, a annoncé mardi la Fédération tunisienne de football (FTF). Âgé de 49 ans, Kebaier va connaître sa première expérience à la tête d'une sélection.

Il a, par le passé, exclusivement entraîné des clubs locaux, dont le Club africain et l'Espérance Sportive de Tunis. Kebaier a paraphé un contrat de trois ans.
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Robert Pirès : « Thierry Henry mérite une seconde chance »
Ancien coéquipier de Thierry Henry à Arsenal et en équipe de France, Robert Pirès estime que l'ancien attaquant mérite une deuxième chance - « peut-être en Premier League »- malgré son échec à Monaco.
Ambassadeur d'Arsenal, Robert Pirès (45 ans) n'envisage pas encore de devenir entraîneur. « C'est un boulot fantastique mais c'est tellement difficile, tous les jours avec les joueurs, les supporters, les médias, le propriétaire... Pour le moment, je suis ambassadeur et, croyez-moi, c'est plus tranquille. Pour moi, c'est parfait », a confié l'ancien milieu de terrain à Reuters.
« Il attend un nouveau défi »
En revanche, Pirès est persuadé que son ancien coéquipier à Arsenal et en équipe de France Thierry Henry est fait pour ce métier. « J'ai vu Thierry il y a quelques semaines lors du match contre Tottenham à l'Emirates (2-2) et il attend, a expliqué Pirès. Il attend quelque chose, un nouveau défi. Quelqu'un a dit "oui, mais c'était une erreur d'aller à Monaco''. J'ai dit non. Quand tu commences comme cela, comme Thierry, si tu as seulement trois mois, c'est vraiment difficile de faire ses preuves. Particulièrement à ce moment. Monaco était très mal, c'était très difficile, ils avaient beaucoup de blessés. »
Selon Pirès, Henry est « prêt » à replonger. « Il m'a dit qu'il avait vécu une bonne expérience à Monaco, a ajouté le champion du monde 1998. Malheureusement, elle n'a duré que trois mois. Mais il est prêt. Il est prêt pour un nouveau travail et il attend quelque chose. Je pense qu'il mérite d'avoir une seconde chance, peut-être en Premier League. »
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Trois entraîneurs virés après neuf journées de Ligue 1, un record
Après le départ d'Alain Casanova à Toulouse, et les licenciements de Ghislain Printant et Sylvinho, respectivement à Saint-Étienne et Lyon, trois entraîneurs ont été démis de leur fonction cette saison en Ligue 1.


Pour la deuxième année d'affilée, trois clubs de Ligue 1 se sont séparés de leur entraîneur après neuf journées. Il s'agit d'un record depuis la saison 1998-1999 et les évictions de Denis Troch (Troyes), Alain Giresse (Paris-SG) et Henryk Kasperczak (Bastia). Après le limogeage de Ghislain Printant à Saint-Étienne, la semaine dernière, celui de Sylvinho a suivi à Lyon au lendemain du derby perdu (0-1) dans le Forez. Ce jeudi, c'est un départ d'un « commun accord » que Toulouse a acté avec Alain Casanova.

Ces décisions n'ont pas été prises dans des clubs réellement en danger, au vu du grand nombre de points qu'il reste à distribuer mais surtout au vu du classement, extrêmement serré. Elles concernent avant tout des clubs dont les résultats ne sont pas en adéquation avec leurs ambitions, ou qui ont rencontré des problèmes internes, comme l'an passé à la même époque, avec Miguel Cardoso (Nantes), Gustavo Poyet (Bordeaux) et Leonardo Jardim (Monaco).

D'autres techniciens, plus exposés encore, pourraient suivre la même voie. À commencer par ceux dont les clubs pointent actuellement le classement, comme Vincent Hognon (Metz, 20e) et Stéphane Jobard (Dijon, 19e). À moins que des surprises interviennent entre-temps, à Rennes (Julien Stéphan), Monaco (Leonardo Jardim) voire Marseille (André Villas-Boas).

Tunisie : Albert Cartier nouvel entraîneur de l'Étoile du Sahel
Sans poste depuis son départ du GFC Ajaccio en octobre 2018, Albert Cartier a été nommé entraîneur de l'Étoile du Sahel.
À la recherche d'un nouveau challenge depuis son départ du GFC Ajaccio en octobre 2018, Albert Cartier a été nommé entraîneur de l'Étoile du Sahel, ce lundi, selon divers médias tunisiens, dont Mosaïque FM. Le technicien de 58 ans, passé par le FC Metz et Sochaux, aura notamment pour mission de guider l'ESS le plus loin possible en Ligue des champions de la CAF.
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Jürgen Klinsmann va devenir le nouveau sélectionneur de l'Équateur
L'ancien sélectionneur des États-Unis (55 ans), sans poste depuis trois ans, va s'engager jusqu'en 2022.
Sans poste depuis son limogeage en tant que sélectionneur des États-Unis il y a trois ans, Jürgen Klinsmann (55 ans) va devenir le nouveau sélectionneur de l'Équateur (65e au classement FIFA). Un mois et demi après avoir refusé le poste de président du directoire du VfB Stuttgart, le technicien allemand est tombé d'accord avec les dirigeants équatoriens sur un contrat jusqu'en juin 2022.
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MLS : Thierry Henry est le nouvel entraîneur de l'Impact de Montréal
Thierry Henry (42 ans) a été nommé entraîneur de l'Impact de Montréal ce jeudi. Il s'est engagé pour deux saisons, plus une en option, avec le club canadien.
Thierry Henry est de retour en MLS. L'ancien joueur des New York Red Bulls a été nommé entraîneur de l'Impact de Montréal ce jeudi. L'ancien coach de l'AS Monaco (octobre 2018 - janvier 2019) s'est engagé pour deux saisons, plus une en option. « Thierry Henry partage notre vision de vouloir élever cette organisation en nous aidant à atteindre nos objectifs sur le terrain, mais aussi à l'extérieur, a commenté Kevin Gilmore, président de l'Impact, dans un communiqué. Il est un compétiteur et un leader qui s'est illustré au plus haut niveau tout au long de sa carrière. Il amène ses aptitudes avec lui à Montréal, un endroit où il veut être. »
La reprise de l'entraînement est programmée pour la mi-janvier.

Iran : Marc Wilmots quitte son poste de sélectionneur
Marc Wilmots a démissionné de son poste de sélectionneur de l'Iran.
Nommé le 14 mai sélectionneur de l'Iran, Marc Wilmots a démissionné de son poste. Le technicien belge a confirmé l'information sur son compte Twitter, en déplorant d'un « non-respect des obligations contractuelles par la Fédération iranienne de football. » Avant de prendre en main l'Iran, Wilmots (50 ans) avait dirigé les équipes nationales de la Belgique (2012-2016) et de la Côte d'Ivoire (2017).
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Dusan Bajevic a été nommé sélectionneur de la Bosnie-Herzégovine.

Dusan Bajevic est le nouveau sélectionneur de la Bosnie-Herzégovine, qui cherchait un technicien pour remplacer Robert Prosinecki. Âgé de 71 ans, Bajevic n'a plus occupé une fonction majeure depuis sept ans ! Il a signé pour quelques mois, la Bosnie étant opposée à l'Irlande du Nord le 26 mars, en barrage de qualification pour l'Euro. Une option a été adossée à son contrat, en cas de participation à la compétition continentale qui se tiendra l'été prochain.
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Venezuela : démission du sélectionneur Rafael Dudamel


En poste depuis presque quatre ans, et à trois mois du début des qualifications pour la Coupe du monde 2022, Rafael Dudamel a démissionné de son poste de sélectionneur de l'équipe du Venezuela.
Rafael Dudamel, 46 ans, a démissionné de son poste de sélectionneur du Venezuela, qu'il occupait depuis le 1er avril 2016, à trois mois du début des qualifications sud-américaines pour la Coupe du monde 2022, a appris l'AFP de sources proches du dossier.

L'ancien gardien de but annoncera publiquement sa démission, ce jeudi, dans une lettre ouverte où il exposera les raisons de sa décision, alors que, sous son mandat, la « Vinotinto » a beaucoup progressé, jusqu'à atteindre les quarts de finale de la dernière Copa America, où elle s'était inclinée face à l'Argentine (0-2, le 28 juin 2019).
Selon la presse brésilienne, il pourrait rejoindre l'Atletico Mineiro, en quête d'un entraîneur depuis le départ de Vagner Mancini.
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Jon Dahl Tomasson nouvel entraîneur de Malmö
L'ancien buteur danois Jon Dahl Tomasson a été nommé entraîneur de Malmö (Suède), ce dimanche.
Légende du football danois (52 buts en 112 sélections), Jon Dahl Tomasson a été nommé entraîneur du club suédois de Malmö, ce dimanche. Il s'agit de sa première expérience en tant que coach numéro un à la tête d'un club de cette envergure. L'ancien attaquant de l'AC Milan était depuis 2016 le bras droit d'Age Hareide, sélectionneur du Danemark, qui s'est qualifié pour la Coupe du monde 2018 et l'Euro 2020.
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