Châteauroux – Strasbourg télévisé !
La rencontre entre la Berrichonne de Châteauroux et le Racing Club de Strasbourg Alsace comptant pour la 11ème journée du championnat de National sera télévisée et diffusée en direct sur Ma Chaîne Sport. Par conséquent le coup d’envoi de la rencontre sera décalée de 20h00 à 20h30 le vendredi 30 octobre prochain.
Alsa'sport

Un match test contre un ancien pensionnaire de L2 et qui démontrera notre capacité à gérer notre nouveau statut de co-leader du National.

Un déplacement qui pourra rappeler de bien mauvais souvenirs de L2 comme une chute en National, en 2010 si j'ai bonne mémoire.

La saison 2009-2010 du Racing Club de Strasbourg, club de football français, voit le club s'engager dans les trois compétitions que sont la Ligue 2, la coupe de France et la Coupe de la Ligue. Dès le début de saison, le club est collé dans les bas-fonds du classement, avec, à la clé une crise en coulisses. En effet, plusieurs présidents se sont succédé à Strasbourg. En décembre, l'entraîneur, Pascal Janin, est limogé avant d'être réintégré dans ses fonctions. Côté sportif, la situation s'améliore car le racing obtient une série de 7 matchs dans défaite ce qui lui permet de sortir de la zone rouge. Cependant, il lutterra pendant une grande partie de la saison contre la relégation. À l'issue de la 38^e et dernière journée, le Racing est battu à Châteauroux (2-1) et voit donc son avenir s'écrire à l'échelon inférieur.

Wikipédia

Avant Châteauroux -

 Racing, vendredi (20h30) L’invité surprise

Le jeune latéral droit Lenny Houelche, habituel titulaire en CFA2, a fait sa première apparition avec l’équipe “une” du Racing dimanche, en Coupe de France. Portrait.

Lenny Houelche avait le sourire, dimanche, en fin d’après-midi, du côté de la Rotonde. Pour sa première apparition au sein du groupe pro strasbourgeois, le jeune défenseur latéral droit a pu fêter une qualification pour le 7e tour de la Coupe de France.
Et même si le Racing n’a pas forcément montré un visage séduisant, il a su « faire le boulot » pour passer sans encombres, comme le souligne l’invité surprise du onze de départ strasbourgeois.
Jusqu’alors, Lenny Houelche avait “seulement” fait apprécier ses qualités en CFA2, sous les ordres de Pascal Droenhlé. Mais le natif de Sarcelles a prouvé, dimanche dernier, qu’il a certainement les moyens de viser plus haut.

« J’ai toujours cru en moi »

« Je m’étais déjà entraîné de temps en temps avec la “une”, raconte celui dont les parents résident au Moule, en Guadeloupe. Mais là, j’ai fait une semaine complète avec le groupe et j’ai senti que c’était une opportunité pour moi. »
Une opportunité que le joueur a saisie avec gourmandise, sans se poser de questions. Mais sans non plus se prendre pour un autre…
« Je travaille, je travaille et je reste concentré sur mon équipe de CFA 2. Et si jamais on m’appelle plus haut, je répondrai présent », résume-t-il.
Lenny Houelche n’a que 21 ans, mais il n’est pas du genre à prendre la “grosse tête”. Au contraire, il sait bien que dans le monde du football, tout peut aller très vite, dans un sens comme dans un autre. Et qu’une carrière n’est pas forcément linéaire, comme il en a déjà fait l’expérience.
Après des débuts à Sarcelles – club où a aussi commencé un certain Ernest Seka –, Lenny Houelche est repéré par des recruteurs du Havre, lors d’un match face au Paris FC. À 13 ans, il quitte alors ses frères et sœurs pour la Normandie. « Au début, c’était dur », se remémore le Guadeloupéen.
De 13 à 19 ans, il grimpe tous les échelons au sein du centre de formation du doyen des clubs français. Las, après une dernière saison en CFA au HAC, il ne passe pas pro.
Mais pas question pour Lenny Houelche de mettre ses rêves de footballeur au placard. Au contraire, il s’accroche de plus belle. « J’ai toujours cru en moi, tout comme mes parents, qui m’ont toujours soutenu », poursuit le joueur.
Il rentre alors en région parisienne pour « se relancer à Drancy, en CFA ». Bonne pioche. Après une saison pleine dans l’équipe du “neuf-trois”, il est repéré par le staff du centre de formation du RCSA, lors d’un match amical face à la réserve alsacienne.
« J’ai ensuite fait une semaine d’essai et comme ça s’est bien passé, je suis resté », souligne ce pur latéral droit.
Un choix que l’intéressé ne regrette pas. Depuis son arrivée cet été, Lenny Houelche est devenu un cadre de la réserve. Et le défenseur, souriant et posé, compte bien poursuivre sa progression.
« Mon objectif pour cette saison est d’être régulièrement titulaire en CFA 2, de devenir un leader de cette équipe. Et ensuite, pourquoi pas, intégrer l’effectif de la “une” en fin de saison… », avance le joueur.
Ce grand admirateur de Philip Lam et Dani Alves sait que pour y arriver, il doit encore travailler physiquement. « Je pense que je peux progresser dans ce secteur », expose-t-il. Et dans tous les autres aussi, certainement.
Mais vu sa maturité sur le terrain, on se dit que ce jeune latéral a tout pour devenir grand…
DNA

Citation :

on se dit que ce jeune latéral a tout pour devenir grand…

On l'a dit pour tant d'autres au Racing...

C'est un peu ce que je reproche à Dugué.

Châteauroux-RCSA : le groupe strasbourgeois
Jacky Duguépéroux a communiqué un groupe de 16 joueurs pour le déplacement du Racing à Châteauroux, ce vendredi (20h30, 11e journée de National). L’entraîneur strasbourgeois dispose d’un effectif au complet.

Le groupe :
Blondel, Oukidja ; Bahoken, Blayac, Douniama, Grimm, Lienard, Kanté, Marester, N’Dour, Ndoye, Pouye, Saad, Salmier, Seka, Tuiloma.

Les absents : Belahmeur (nez), Aguemon, Ieraci, Munch, North, Sabo, Schmittheissler, Solvet, Weissbeck (choix de l’entraîneur).

SO

Saad : « Préserver notre solidité »
Avant le déplacement du Racing à Châteauroux, ce vendredi soir (20h30) Felipe Saad évoque les clés de cette rencontre. De retour dans le groupe après avoir été ménagé en Coupe de France, le défenseur brésilien du Racing pense à préserver la solidité de l’équipe avant tout.

– Le Racing reste sur une série de quatre victoires de suite en championnat. Quel sera l’objectif du match à Châteauroux ?
– Il faut continuer à gagner et, surtout, continuer à ne pas prendre de but. Lors de nos quatre derniers matches de National, nous n’avons encaissé aucun but. C’est une série qu’il faut absolument prolonger le plus longtemps possible. Dès le début de saison, et le coach avait mis l’accent là-dessus, nous savions que la défense serait un point clé pour atteindre notre objectif. A Châteauroux, nous chercherons à gagner, mais avant tout à préserver notre solidité défensive.

– Comment l’équipe est-elle justement parvenue à trouver un tel équilibre défensif ?
– Il y a un peu de réussite et beaucoup plus de connaissance entre nous tous. Au fil des matches, les automatismes se sont mis en place. C’est tout à fait normal qu’il ait fallu un peu de temps pour trouver cet équilibre. Aujourd’hui, on sait ce que va faire l’autre et cela facilite la tâche de tous. Et puis, la concurrence très forte au sein du groupe permet de stimuler tout le monde. Plus les semaines passent, plus le groupe est compétitif.

« Sur synthétique, les sensations ne sont pas les mêmes »

– Que sais-tu de l’adversaire de vendredi ?
– C’est l’une des meilleures attaques du championnat. Ça va vite devant. C’est une équipe qui descend de L2 et qui, malgré un début de saison compliqué, reste parmi les favoris à la montée, cette saison. Le contexte sera un peu particulier dans la mesure où nous jouerons sur un terrain synthétique. Le staff a tout fait, cette semaine, pour nous placer dans les meilleures conditions. Nous nous sommes entraînés toute la semaine sur une pelouse synthétique afin de nous habituer.

– Cela change quoi d’évoluer sur du synthétique ?
– Les appuis sont différents, les rebonds ne sont pas les mêmes. Les sensations que l’on a n’ont rien à voir avec un terrain normal. La chance que nous avons c’est que nous avons joué sur une pelouse synthétique le week-end dernier, en Coupe de France. On a donc pu encore mieux se préparer à ce qui nous attend à Châteauroux. Il faudra certainement garder le ballon au sol plus qu’à l’accoutumée.

SO

Allez Racing !

voici la composition du RCSA:
Oukidja – Marester, Seka (cap), Saad, Ndour – Ndoye, Grimm – Douniama, Lienard, Pouye – Blayac.

sont sur le banc:
 Blondel, Aguemon, Salmier, Kanté, Tuiloma



1995 jours après !



Alsa'Sport

Heureusement les attaquants de Châteaux sont maladroits


Encore un contre supersonique de la Berri sur une offensive du RCSA!!!! Tait a remonté tout le terrain ou presque pour décaler Tounkara sur la droite. Mais l'attaquant berrichon, un peu trop désaxé, a expédié un missile du droit dans les nuages.

Felipe Saad avait annoncé hier en conférence de presse que pour s'en sortir sur un terrain synthétique face à une équipe de contre, le Racing devrait s'appliquer à poser le ballon au sol. Pour le moment, il n'y parvient pas du tout. Son jeu est approximatif, à l'image de ces deux interventions risquées du Brésilien sur lesquelles il a toutefois eu le bon goût de rattraper ses erreurs.

On ne va pas vous mentir: depuis un bon quart d'heure, le match a sombré dans la monotonie. Heureusement que les Ultra Boys 90, qui fêtent leurs 25 ans lors de ce match, chantent sans discontinuer pour éviter au stade Gaston-Petit de glisser doucement, mais sûrement dans la torpeur.

BUUUUUUUUUT Blayac

BUTTTTTTTTTTTTTTTTTTTT  0-1 Blayac


Le Racing avait failli se faire prendre en contre en première période. Mais c'est lui qui a finalement piégé en contre les Castelroussins. Et comme d'habitude, son ''serial'' buteur a jailli pour son 5e but de la saison.


Kanté entre sur Douniama



A l'instant, les deux premiers changements de la rencontre: à Strasbourg, Jacky Duguépéroux choisit de muscler son entrejeu en lançant un 3e récupérateur, Massiré Kanté, à la place de Ladislas Douniama; à Châteauroux, Nnomo, l'auteur de l'énorme raté de la 13e minute cède sa place à Garita.

Petite info en passant: la rencontre est suivie par 8182 spectateurs. Du moins officiellement, car le stade Gaston-Petit sonne tout de même un peu le creux.

C'est fini :

0-1 pour le Racing

C'est gagné !! Que c'est bon de chercher 3 points ici à Châteauroux. Les mauvais souvenirs de 2009/2010 s'envolent! Une victoire qui fait vraiment plaisir (la 5ème d'affilée). On est la meilleure équipe à l'extérieur.

Le Racing signe sa 5e victoire d'affilée sans prendre de but (la 3e sur le plus petit des scores au coeur de cette série faste). Il reste solidement installé sur le podium et pointe désormais tout seul au 2e rang, après le nul d'Orléans à Colmar. Les Bleus sont même sur les talons du leader Belfort, tenu en échec à Boulogne (0-0).

Le jeu des hommes de Jacky Duguépéroux n'invite pas forcément à verser dans l'euphorie. Mais leur froid réalisme, à la fois offensif et défensif, suffit pour l'heure à tenir les temps de passage que leur impose leur objectif de montée en Ligue 2.

Verni dans le Berry

Le but de Blayac

Verni dans le Berry
Le Racing a remporté une victoire étriquée, mais précieuse, hier soir, à Châteauroux, grâce à une réalisation signée Jérémy Blayac. Ce matin, les Alsaciens sont revenus à un point du leader, Belfort.
Le Racing était en quête d’un cinquième succès consécutif, hier soir, dans le Berry. Et c’est mission accomplie pour des Alsaciens efficaces, à défauts d’être séduisants, qui n’ont eu besoin que d’un but - de l’inévitable Blayac - pour rentrer avec trois points dans la besace. Trois points qui permettent au Racing de dépasser Orléans et d’être désormais à un point du leader belfortain.
«Ça a été difficile comme on s’y attendait, soulignait Jacky Duguépéroux à l’issue de la rencontre. Mais on a eu la chance de marquer tout en confirmant notre solidité défensive ».
Les Castelroussins, en quête de points (et d’une première victoire à domicile), entrent mieux dans la rencontre qu’un Racing emprunté. Dans une configuration très offensive, la Berrichon ne se procure une première occasion dès la 7e , via Tounkara. Douniama a l’occasion de refroidir l’ambiance de Gaston-Petit deux minutes plus tard. Mais l’attaquant de poche manque d’un rien le cadre, après avoir reçu une offrande suite à mésentente entre Roche et sa défense.

«On a eu du mal à se mettre en route»

Dans cette première mi-temps, ce sont les Berrichons qui font l’essentiel du jeu. À la 13e , Nnomo rate l’immanquable, seul face à Oukidja, après un bon centre de Tounkara. Dix minutes plus tard, les locaux font aussi étalage de leur vitesse en contre, comme lors de ce rush de Tait, mal conclu par Tounkara.
Ndoye tente de réveiller les siens. Le Sénégalais vient gratter une balle à l’entrée de la surface adverse et offre un bon centre à Blayac, qui voit sa volée filer au-dessus (28e ). Dans la minute qui suit, la frappe lointaine du même Ndoye oblige Roche a concédé un corner.
On se dit alors que le Racing va enfin accélérer, mais non. Les Strasbourgeois ont toujours autant de mal à poser le ballon et s’approcher des buts adverses. Heureusement, en face, Châteauroux exploite mal ses occasions sur contre et les deux équipes rentrent au vestiaire sans avoir fait trembler les filets.
«On a été en difficultés en première mi-temps, reconnaissait Dugué. Ils ont fait un bon pressing et ont eu des opportunités». « On a eu du mal à se mettre en route », avançait, de son côté, Jérémy Grimm.
Le visage du Racing change après la pause. De timoré, il se fait plus téméraire et le résultat ne se fait pas attendre. Blayac, servi par Grimm, oblige Roche à une incroyable parade, alors que tout le monde voyait sa tête au fond (48e ).
Mais quatre minutes plus tard, le gardien castelroussin ne peut rien face au même Blayac. Lancé par Ndoye, l’attaquant trouve la faille d’une pichenette après avoir devancé la sortie du portier, inscrivant là son 5e but de la saison (52e , 0-1).
Une réalisation qui suffit à faire le bonheur des hommes de Dugué, qui se replient dans leur camp après leur forfait accompli. La Berrichonne a beau tenter de revenir, le Racing ferme la porte. Grimm, Ndoye, Lienard et les défenseurs tiennent la baraque.
Suffisant pour offrir une cinquième victoire de rang à des Alsaciens qui ne sont plus, ce matin, qu’à un petit point de Belfort, leader de National.

DNA


Pour ceux qui ne sont pas Abonné .

On en vient tout doucement à croire à la ligue 2...et dire qu'il ya pas si longtemps, ligue, c'était le purgatoire... les temps changent.

Rpsm65 a écrit:

On en vient tout doucement à croire à la ligue 2...et dire qu'il ya pas si longtemps, ligue, c'était le purgatoire... les temps changent.

Il reste encore un sacré bout de chemin a parcourir pour y parvenir, mais on y croit tout doucement ..

On a la chance d'affronter des équipes qui doutent, c'était bien le cas hier soir. Face à une équipe en confiance, on se serait pris un ou deux buts en première mi-temps.
Mais bon, c'est le propre des équipes qui ont des chances réelles de monter que de profiter de la méforme des équipes adverses en particulier à l'extérieur. J'ai bien aimé N'doye.
Blayac, buteur-type d'une équipe qui devrait monter, devient coleader du classement des buteurs du National.

Souhaitons que cette chance ne les abandonne pas .

Il y aura des matchs qui ne passeront pas, c'est sûr mais ça arrivera à de nombreuses autres équipes.
Avec trois équipes qui montent, il serait très surprenant que le Racing n'y soit pas avec cette manière de jouer "froide et chirurgicale" comme je l'ai entendu dire hier soir sur MCS..

C'est sûr , mais que ça arrive le plus tard possible.

Efficacité clinique
Comme il y a quinze jours face à Boulogne, le Racing n’a pas réalisé un grand match dans le Berry. Mais les Bleus, toujours aussi efficaces malgré un jeu minimaliste, continuent d’engranger des points. Et c’est bien là l’essentiel.

Les Strasbourgeois avaient le sourire, hier matin, en gare de Châteauroux. En s’imposant vendredi soir à Gaston-Petit sur le plus petit des scores (0-1), les Alsaciens ont en effet réalisé la bonne opération du week-end.
Belfort, le leader, n’ayant pas gagné, pas plus qu’Orléans, les hommes de “Dugué” sont revenus à un petit point seulement de la tête de National.
« On prend des points, on engrange de la confiance. C’est positif », exposait Jérémy Blayac après ce cinquième succès de rang.
Face à une équipe castelroussine qui vaut certainement mieux que son actuelle place de relégable, le Racing a en effet fait le job. À savoir poursuivre sa série victorieuse et prendre trois points précieux. Pour y arriver, les Strasbourgeois se sont une nouvelle fois appuyés sur une défense de fer. Cela fait désormais cinq matches qu’Alexandre Oukidja n’est plus allé chercher de ballon dans ses filets, et cette imperméabilité est le grand motif de satisfaction des Bleus.
« On a été costaud défensivement, analysait Jérémy Grimm à l’issue des débats. En ce moment, on ne prend pas de but, il faut continuer comme ça. Tout le monde fait les efforts défensifs, des attaquants jusqu’aux défenseurs et il faut garder cet état d’esprit ».

« On est costaud »

Car comme le rappelait aussi Jacky Duguépéroux vendredi soir, « quelle que soit la division, c’est souvent la meilleure défense qui monte ».
Et comme le Racing peut aussi compter sur des attaquants ultra réalistes devant les buts adverses – deux occasions, un but vendredi –, il se montre actuellement d’une efficacité clinique.
 
Mais Jacky Duguépéroux et ses joueurs ne fanfaronnaient pas pour autant après ce succès. Car le gain des trois points n’a pas été synonyme de grand match côté alsacien.
Cédric Daury, le coach de Châteauroux, avait qualifié l’équipe strasbourgeoise de « bulldozer du National » avant la rencontre. Mais en première période, elle a été bien loin de mériter ce qualificatif.
« On a été en grande difficulté, on leur a donné des ballons de contre et ils ont eu des opportunités », reconnaissait volontiers “Dugué”, qui a d’ailleurs recadré ses joueurs dans les vestiaires. « Ils ont bien pressé et on avait du mal à ressortir des ballons propres », soulignait aussi Jérémy Blayac.
Le Racing est d’ailleurs passé tout près de la correctionnelle durant une première demi-heure tout à l’avantage des hommes de Daury, qui ont – heureusement – fait preuve d’une extrême maladresse devant le but alsacien.
Et s’il a rapidement trouvé la faille en deuxième période, le Racing, comme face à Boulogne, n’a pas montré grand-chose en termes de qualité de jeu.
« Depuis quelques mois, on est costaud, mais moins bon dans le jeu, reconnaissait volontiers Jérémy Blayac. Je pense qu’on peut s’améliorer dans la maîtrise technique, pour réussir à mieux garder le ballon. Devant, on manque encore un peu de repères avec Oumar (Pouye) et Ladislas (Douniama) et on a une belle marge de progression ».
« Le match n’était pas emballant ? Ma priorité c’est de gagner, de ne pas prendre de but et de marquer notre territoire », tranchait pour sa part Jacky Duguépéroux. Et cette mission-là, le Racing l’a parfaitement remplie…
DNA

Citation :

« quelle que soit la division, c’est souvent la meilleure défense qui monte ».

Oh que oui !!!!

Le problème au racing jusqu'à maintenant ça a tenu, mais ce n'est pas la garantie tout risque.

En National, les garanties sont rares. L'essentiel est de réaliser et de maintenir les bonnes séries.

Force et confiance semblent s'installer dans cette équipe. C'est la première fois que c'est le cas depuis longtemps. Il faudra maintenant faire perdurer ça.

Et pour le faire perdurer il n'y à que les victoires, ou ne pas perdre.