Avranches-Racing sur Ma Chaîne Sport

Le déplacement du Racing à Avranches, vendredi 29 avril (30e journée de National), sera retransmis sur Ma Chaîne Sport. Par conséquent, le coup d’envoi a été déplacé à 21h.
Ce sera la douzième rencontre du Racing, cette saison en National, à être diffusée par la chaîne sportive.
SO

Il faudra éviter de perdre des points par rapport au 4ème qui est Amiens actuellement et qui risque peut-être bien de faire le même parcours que le Racing la saison dernière qui était alors dans la même position (4ème) et qui n'arrêtait pas de gagner.
Donc gagne pratiquement indispensable pour le Racing à Avranches.

Avranches-Racing à 20h
Un temps programmé à 21h, pour cause de retransmission TV, le déplacement du Racing se jouera, finalement, à 20h. Ma Chaîne Sport ayant choisi de diffuser une autre rencontre de la 30e journée de National.
SO

« Esprit tueur » requis
Jérémy Blayac, déçu après le résultat nul concédé vendredi dernier, espère retrouver le chemin du succès à Avranches. Mais pour cela, il faut afficher un « esprit tueur », comme le souligne l’attaquant.
Cela faisait plus d’un mois – depuis le 4 mars et la réception d’Épinal exactement – que Jérémy Blayac n’avait plus marqué. Mais vendredi dernier, face à Luçon, le longiligne attaquant a mis fin à cette disette. Un bon coup de rein, suivi d’un ballon piqué, a permis au natif de Saint-Affrique de trouver la faille.
Las, sa 8e réalisation personnelle de la saison n’a pas suffi pour offrir la victoire aux siens, rejoints au score en fin de match par les Vendéens. Et c’est bien là ce qui chagrine l’avant-centre.

« Rattraper les points perdus à Avranches »

« Franchement, je préfère ne pas marquer et qu’on gagne le match », souffle d’emblée Jérémy Blayac, encore déçu par la tournure des événements.


« Globalement, les deux derniers matches à domicile (face à Châteauroux et Luçon, ndlr) , on doit les “tuer”. Mais quand on ne met pas le deuxième but, on n’est jamais à l’abri », analyse l’attaquant. Le Racing l’a appris à ses dépens, laissant filer quatre points précieux en cours de route.
Pourtant, vendredi, les occasions se sont succédé à la Meinau. Mais la finition n’a pas été au rendez-vous, Belahmeur, Lienard, Bouanga ou Blayac lui-même ayant eu l’opportunité, à un moment ou un autre, de faire le break.
« Inconsciemment, après avoir marqué, on a reculé... Il faut qu’on maîtrise mieux nos temps forts et nos temps faibles, analyse Jérémy Blayac à ce sujet. Mais je ne pense pas qu’il faille chercher d’explications particulières à ce manque d’efficacité. Il faut simplement continuer à travailler devant le but et retrouver un peu de sérénité. » Et l’attaquant d’ajouter : « Il faut être sûr de ses qualités et ne pas perdre confiance ».
Ceci une fois posé, pour Jérémy Blayac, la meilleure façon de ne pas douter est d’oublier cette contre-performance. « Il faut évacuer la déception et passer à autre chose », avance l’attaquant.
Histoire de se préparer au mieux à affronter les hommes de Damien Ott, qui doivent encore engranger des points pour assurer leur maintien en National.
« Il va falloir rattraper les points perdus à Avranches si l’on veut s’offrir une “finale” face à Bastia (le 6 mai) ou Amiens (le 13 mai) , rappelle l’attaquant. Mais attention, ce ne sera pas un match facile. L’année dernière, on s’était cassé les dents en Normandie (*) ».
Sans oublier le match à la Meinau cette saison où le Racing s’était imposé sur le plus petit des écarts (1-0, but de Kanté), le 27 novembre dernier, face à une solide équipe normande.
Les Strasbourgeois auraient tort de penser que cette rencontre est pliée avant l’heure. S’ils ne mettent pas les ingrédients nécessaires, les coéquipiers de Seka risquent de nourrir, à nouveau, des regrets. Et Jérémy Blayac le sait mieux que personne.
« Le match référence à l’extérieur, c’est le déplacement à Colmar. On avait su se le rendre facile parce qu’on avait fait le break... À Avranches, il faudra imposer notre jeu, faire un pressing haut et avoir la possession. Il faut prouver aux adversaires qu’on est leader, qu’on ne subit pas », assène encore l’attaquant.
Le tout en faisant preuve de plus de « sérénité », toujours si l’on en croit Blayac. « Il faut être sûr de notre force, évoque ainsi l’Aveyronnais. On est premiers, on a des points d’avance, il n’y a aucune raison de paniquer ».
« Il y a un peu d’impatience à valider cette montée, mais il ne faut pas s’affoler, enchaîne-t-il dans le même esprit. On a 8 points d’avance sur le 4e (Amiens) alors qu’il reste cinq matches à jouer. Alors ne parlons pas de pression : cette saison, on a su se relever dans des moments beaucoup plus difficiles (cet hiver notamment, ndlr) ».
Sérénité et confiance, tels sont donc les deux mots d’ordre de l’attaquant à l’entame de ce sprint final de National. Un sprint final où le Racing aurait tout intérêt à placer un petit coup d’accélérateur dès vendredi...
dna

Damien Ott a un problème
L’ancien entraîneur de Colmar vit comme un larron en foire sa première expérience sur un banc loin d’Alsace. Avec Avranches, Damien Ott est tout près de remplir la mission qu’on lui a fixée dans la Manche. Le seul petit nuage à l’horizon s’appelle Racing.
Ce n’est pas qu’il sorte le parapluie avant les échéances à venir, même s’il a quitté l’une des villes les plus sèches de France pour l’un des départements les plus pluvieux.
Mais Damien Ott la joue modeste, en dépit des récents résultats de son équipe, qui ont offert une marge à ses protégés par rapport à la zone rouge, à cinq matches de la fin de la saison.

« Parfois ça passe, parfois, ça ne passe pas »

Tout baigne pour l’ancien emblématique entraîneur des SRC à quelques encablures du Mont-Saint-Michel. Il y a de la sérénité à Avranches, qu
i n’a pas encore assuré son maintien et semble souvent branché sur courant alternatif.
« Mais mon équipe est jeune, rappelle Damien Ott. Et dans ce cas-là, on doit faire avec un lot d’irrégularités. Le club a des moyens limités et parfois ça passe, parfois ça ne passe là. Mais on est à la lutte pour le maintien et c’est ce qui était prévu. »
Le parcours parfaitement équilibré de l’équipe normande – huit victoires, huit défaites – aurait pu laisser espérer un supplément de confort, à six semaines du baisser de rideau.
Mais il a fallu se relever après une grosse tempête. Le début d’année a été compliqué, avec une série de huit matches sans victoire. « L’équipe reste fragile et il suffit d’un ou deux blessés..., explique le coach. Et puis il y a la réalité d’un championnat tellement homogène que tout le monde peut battre tout le monde. »
Récemment, Avranches a donné la leçon à Marseille Consolat, en Provence (0-3), battu Luçon (1-0) tout en se montrant incapable de battre Épinal (0-0), avant de réaliser “l’exploit” de perdre face à Colmar au Stadium (2-1) (*).

Peut-être une once de pitié pour remercier son ancien club de l’avoir aidé à franchir un cap, puisqu’un entraîneur ne le serait véritablement qu’après avoir été limogé. Les SRC sont condamnés ou presque. Avranches est sauvé ou presque.
« La victoire des Herbiers (premier relégable, face aux SRC vendredi) ne nous arrange pas, souligne toutefois le quinquagénaire. Mais ce n’est pas l’alerte totale au club, ni une pression démesurée parce qu’on a juste trois points d’avance sur eux. Non, en ce moment, j’ai un seul vrai problème : le Racing. »
Le club strasbourgeois s’est révélé le plus constant et le plus costaud depuis le début de la saison. « Dans ce championnat, il y a Strasbourg qui est supérieur à tous les autres, qui est quasiment imbattable, qui sera en Ligue 2 la saison prochaine, considère l’ancien rival régional. On n’a pas programmé le moindre point sur ce match dans le tableau de marche. Mais je veux croire qu’on a une possibilité vendredi, en s’appuyant sur l’esprit d’équipe qu’on développe, sur la confiance qu’on a emmagasinée ces dernières semaines. »
Avranches n’avait pas été du tout loin du compte au match aller, battu d’un petit but à la Meinau.
Et Damien Ott espère naturellement jouer un vilain tour à des Strasbourgeois qui avaient perdu au stade René-Fenouillère (2-1), voilà un an. « Le National, je le connais parfaitement après six ans à ce niveau, conclut l’entraîneur. Mais là, je me retrouve à m’enrichir en manageant des joueurs et une équipe. Je vis vraiment ce que je suis venu chercher à Avranches. »
Démonstration par l’exemple vendredi ?
dna

Un travail à finir
Sur une série de trois nuls mais avec une marge confortable, le Racing aborde un déplacement où il est favori, mais où les pièges ne manquent pas.
En avril, le Racing n’a pas perdu le fil mais a subi quelques contrariétés, sans toujours le mériter. Avec trois nuls de rang, dont deux à domicile, c’est un peu à qui ira le moins vite en restant en haut. Les Strasbourgeois ont pris le rythme d’un escargot, très à la mode chez les meilleurs du National, mais continuent de voguer confortablement installée à la première place.
Il y a seulement Amiens, qui remue un peu dans le rétroviseur. Mais pour le reste, la bande à Duguépéroux, sur une autre série remarquable d’une seule défaite en 2016 et 13 matches, garde une bonne tête de vainqueur et de promu en puissance.

« Ce serait un comble de trembler dans notre situation »

Il reste à entériner une tendance de fond que Seka et ses copains n’ont eu de cesse d’entretenir depuis le début de saison, sauf au mois de décembre, juste avant la trêve, quand trois défaites de rang avaient introduit l’ombre d’un (petit) doute.
Les Strasbourgeois ont depuis relevé la tête et n’ont plus jamais baissé les yeux, sauf à Fréjus-St-Raphaël, lors d’un curieux week-end sans. Ils traînent seulement, comme un flambeur son découvert, quelques lacunes devant le but adverse.
Face à Châteauroux et Luçon, le Racing a gâché deux occasions de se mettre à l’abri. En dépit du temps envisagé ce week-end, il n’apparaît pas particulièrement exposé ce soir. Le voyage à Avranches, qui n’a gagné qu’à quatre reprises en 14 matches sur ses terres, ne suscite pas plus d’angoisse qu’une virée à Châteauroux, à Bastia ou que l’accueil de Belfort.


En gros, les protégés de Dugué ont une vraie occasion de se rapprocher du Graal-L2 et expriment une sincère envie. « On va là-bas pour chercher la victoire, garantit Denis Bouanga. Tout le monde dans l’équipe a un objectif: décrocher la montée le plus vite possible. »
Avec trois points ramenés de la Manche, le Racing serait tout près du compte, les deux rencontres qui suivront à la Meinau n’étant pas loin de correspondre à des balles de match.
L’entraîneur du Racing se refusait à se projeter au-delà du 30e rendez-vous. « C’est peut-être l’adversaire le moins bien classé dans notre fin de saison mais Avranches a battu Luçon, Marseille Consolat et Châteauroux sur ses cinq derniers matches », souligne Jacky Duguépéroux adepte du parapluie, mais pas allergique aux lunettes de soleil non plus. « Et on se rappelle ce qui était arrivé la saison dernière (défaite 1-0). Mais ce serait un comble de trembler dans notre situation, on peut y aller en toute confiance. À nous d’être à la hauteur de nos trois derniers déplacements. »
À Colmar, Boulogne et Marseille Consolat, le Racing a effectivement engrangé sept des neuf points mis en jeu. Dans la curieuse grisaille toute relative, l’incontestable leader a toujours su avancer.
En rentrant propre et sec de son périple pluvieux du jour, il sera en mesure de convoquer le ciel bleu et un soleil riant très vite. En bref, d’avancer ses vacances d’été. Cela fait envie.
dna

On gagne ce soir et pour ainsi dire c'est dans la poche.

Composition du RCSA:

 Oukidja - Marester, Seka (cap), Saad), Ndour - Grimm, Ndoye - Bouanga, Belahmeur, Bahoken - Blayac.

sur le banc:

Tuiloma, Lienard, Douniama, Salmier, Blondel

C'est parti


 

Pénalty pour le Racing.

Blayac rate le pénalty.

On le fait exprés, pénalty du racing à côté...
J'allais juste dire que je voyais vraiment mal le racing partir avec 3 points ce soir. Cela dit, le racing a de bonnes intentions, c'est plutôt pas mal. Mais putain, rater un péno, on le fait exprés.

ça commence bien

Blayac

Incroyable !!

Les événements se succèdent. Servi par Bouanga, Bahoken, seul face à Beuve, a piqué son ballon au-dessus du gardien avranchinais, mais sa tentative est passée quelques centimètres à côté du poteau droit.

Encore une occase et ..plouff à côté.

12 minutes et 3 occasions vendangées à la racing. On va jouer à se faire peur jusqu'au bout.

A ce rythme on aura des regrets..

Y a pas une ligue des champions des occasions vendangées?

On revient sur un penalty que personne n'a vraiment compris. Sur un centre en retrait de Bouanga côté gauche, Blayac avait trop ouvert son pied droit et frappé hors cadre alors qu'il était seul à l'entrée des 16 m. Le ballon a-t-il touché le bras d'Alexandre Hérauville? Difficile à dire d'où nous sommes placés. Mais si main il y a eu, elle n'était de toute façon pas intentionnelle. Malheureusement pour le Racing, Jérémy Blayac n'a pas su saisir cette opportunité.

Encore un incroyable raté pour les Strasbourgeois!!!! Lancé en profondeur dans le dos d'une défense normande mal alignée, Bouanga a éliminé Beuve, mais a presque perdu l'équilibre sur son crochet. Il a tout de même réussi à se rétablir, mais, excentré à gauche, n'a pas pu redresser sa frappe du gauche.

Le festival d'occasions strasbourgeoises se poursuit. Cette fois, c'est Belahmeur qui a déclenché une frappe du gauche de 20 bons mètres, sans pouvoir tromper un Beuve vigilant.

Il faut espérer que le RCSA n'en vienne pas à regretter toutes ces occasions manquées. Avec juste un peu de réalisme, il pourrait déjà mener 2 ou 3-0.

belle frappe flottante de Bonnet, sur laquelle Oukidja doit s'y reprendre à deux fois

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Luçon mène face à Belfort. Amiens est mené à Bastia, prochain adversaire du racing. Mais on y est pas encore : faut faire le boulot ce soir.

Premier avertissement au Racing: il est distribué au capitaine Ernest Seka pour une main volontaire, alors qu'il avait été dépassé par la course du ballon.

Avranches sort peu à peu de sa coquille. Sur un coup franc travaillé par le pied droit de Beziouen dans la boîte, une pléiade de joueurs n'a pu se saisir du ballon, au contraire d'un Oukidja qui ne s'est pas laissé surprendre par le petit rebond juste devant lui.



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Comme contre Luçon on a vendangé bon nombre d'occases et finalement on s'est contenté d'un petit point. Là si çà continue on risque de se faire prendre en contre.

Colmar a retrouvé du peps 2-0 face à Sedan et un tir sur la barre.

Après une période d'accalmie, le Racing vient de se procurer une nouvelle occasion sur un corner un peu court de Bouanga côté droit. Au premier poteau, Felipe Saad a dévié le ballon d'une aile de pigeon qui a fini sa course dans la niche de Beuve.


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Mi-temps 0-0

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Les Strasbourgeois peuvent regretter leurs trois occasions très nettes du premier quart d'heure et notamment le penalty raté par Jérémy Blayac dès la 8e minute

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Un changement au Racing: Abdelhak Belahmeur est remplacé par Dimitri Lienard qui s'échauffait depuis un petit moment en fin de première période.

Encore une occase vendangée par les Bas-Rhinois! Sur une échappée de Dimitri Lienard, les Strasbourgeois ont eu un deux contre un à négocier, mais de façon incompréhensible, Bahoken est parti trop vite et s'est mis en position de hors-jeu. Son partenaire n'a du coup pas pu lui donner le ballon, a dû tergiverser et s'est finalement fait reprendre.

La réponse d'Avranches n'a pas tardé. Elle a pris la forme d'un tir lointain du droit de Jordan Blondel qui a contraint Oukidja à s'y reprendre à deux fois pour maîtriser le ballon.


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