Pour toutes vos informations sur le foot allemand (hors infos qui concerne directement un club précis).

Allemagne: Les droits télés explosent à 1,4 milliards d'euros par saison
C'est quasiment autant que l'Angleterre...

Les droits de diffusion télévisée des matches de première et deuxième divisions du Championnat d'Allemagne ont été attribués pour un montant record d'au moins 1,4 milliard euros par an, a annoncé jeudi la Ligue allemande de football (DFL).
En intégrant les droits en Allemagne et les droits à l'international pour les quatre saisons allant de 2017/2018 à 2020/2021, «nous escomptons pour les prochaines années une moyenne d'au moins 1,4 milliard d'euros par saison», a déclaré le patron de la Ligue Christian Seifert, lors d'une conférence de presse à Francfort.
Ce chiffre est en forte augmentation par rapport aux 817 millions d'euros de recettes annuelles prévues pour la prochaine saison 2016/2017.
20minutes

Quatre clubs sanctionnés par la Fédération pour des débordements de supporters
La Fédération allemande de football (DFB) a condamné mardi quatre clubs, dont Schalke 04 et Darmstadt, à des amendes, en raison des dérapages de leurs supporters.
La DFB a sanctionné mardi quatre clubs de première et deuxième division allemande à des amendes, à cause du comportement de leurs supporters en tribune ces derniers mois.

L'Union Berlin (D2) doit s'acquitter de 6 000 euros, Schalke 04 de 10 000 euros. Les amendes les plus lourdes sont pour Darmstadt et Bochum (D2) qui devront payer 12 000 euros.
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Philipp Hosiner quitte Rennes pour l'Union Berlin


Philipp Hosiner a signé un contrat de trois ans avec l'Union Berlin.
Le FC Union Berlin (D2 allemande) a annoncé ce mardi le recrutement de Philipp Hosiner. L'attaquant autrichien, qui était sous contrat avec le Stade Rennais, a signé trois ans avec le club, jusqu'au 30 juin 2019. Il avait été prêté au FC Cologne la saison passée.
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Le onze des célébrités allemandes

Notre onze des célébrités allemandes

Après l'Irlande et presque l'Islande, nous continuons notre série avec le onze des célébrités des adversaires de la France. Place à l'Allemagne, pays de naissance des Goethe, Beethoven, Faust ou autres frères Grimm. Voici l'équipe des célébrités germaniques.

Le onze des célébrités allemandes

Gardien : Steffi Graf

Le numéro 1 sied parfaitement à l'ancienne joueuse de tennis : cela a été son classement mondial pendant huit saisons. Ce n’est donc pas un choix par défaut de l’avoir aligné dans le but, où son gabarit (1,75m pour 60kg) se rapproche de celui de Jorge Campos, le mythique gardien mexicain. Steffi Graff, c’est aussi un mythe : 107 titres en simple, dont 22 en Grand Chelem. Un record de l'ère Open, hommes et femmes confondus. Du lourd.

Arrière droit : Helmut Kohl

Autre poids lourd allemand, mais de la politique cette fois. En bon latéral droit, Helmuth Kohl, c’est un type à l’endurance incroyable, qui a été élu dès 1959 avant de devenir chancelier de l'Allemagne pendant 16 ans, entre 1982 et 1998. Sans fléchir. Son plus beau «trophée» : la réunification de l'Allemagne en 1989.

Libéro : Wim Wenders

Pour diriger la défense, rien de mieux qu’un réalisateur de films comme Paris, Texas ou The Million Dollar Hotel, de documentaires, tels que Buena Vista Social Club ou Le Sel de la Terre. Un gars capable de diriger des acteurs comme Mel Gibson, Dennis Hopper, Bruno Ganz ou Nastassja Kinski. Son coup d’œil a été récompensé par toutes les distinctions qui existent : une Palme d'Or, un Oscar, un Cesar, un Lion d'Or et un Ours d'Or.

Défenseure centrale : Angela Merkel

Le complément parfait de Wim Wenders : au coup d’œil du réalisateur, nous avons associé la puissance d’Angela Merkel. On ne parle pas de physique, bien évidemment. La première chancelière de la République fédérale d'Allemagne a été désignée femme la plus puissante du monde par le magazine Forbes à dix reprises depuis 2006. Costaud.

Arrière gauche : Boris Becker

Etant donné qu’on manque de gaucher, on a placé le droitier au coup de raquette soyeux et au caractère orageux sur le côté gauche de notre défense. Becker, c’est une légende vivante du tennis, membre du Hall of Fame, victorieux de six tournois du Grand Chelem et de deux Coupe Davis. Un «Gewinner», désormais un entraîneur de Novak Djokovic.

Milieu défensif : Richard Wagner

Compositeur, directeur de théâtre, écrivain et chef d'orchestre, Richard Wagner c’est l’homme à tout - bien - faire au milieu du terrain. Il est créatif, peut diriger ses coéquipiers et les motiver comme personne d’autre avec La chevauchée des Walkyries (Ritt der Walküren en allemand).

Milieu relayeur gauche : Karl Marx

Le coauteur du Manifeste du Parti communiste, avec Friedrich Engels, c’est un type qui la joue collectif, toujours. Il apprécie particulièrement les mises au vert avec les copains, les repas en commun, ces moments de franche camaraderie. Dès qu’il voit un supporter, il se dirige immédiatement vers lui pour le saluer et passer un peu de temps avec lui. Le partage, c’est important pour Karl. Il a toutefois un défaut, comme on peut le constater sur sa heat map : il ne joue que côté gauche, très à gauche. Jamais à droite. Question de philosophie.

Milieu relayeur droit : Nina Hagen

Entre le créatif et l’homme de partage, ce milieu manquait un peu de folie. Qui peut-on trouver de mieux que Nina Hagen dans ce registre ? Rebelle, anarchiste et furieuse, la chanteuse punk est restée légendaire pour son attitude déjantée, ses tenues ou de son maquillage. Une source d’inspiration pour Madonna, Björk ou Lady Gaga.

Ailier gauche : Diane Kruger

Cette équipe est impressionnante, mais elle manque un peu de finesse, de grâce, de glamour. Nous aurions pu choisir Marlene Dietrich ou Romy Schneider, symboles passés du «glamourös» allemand, mais nous avons fait le pari de la jeunesse avec Diane Kruger, vue notamment dans Troie ou Inglourious Basterds.

Ailier droit : Claudia Schiffer

On vous remet une couche de «glamourös» avec le mannequin, icône des années 90 avec Cindy Crawford et Naomi Campbell. Elle a défilé pour les plus grands créateurs, a fait la couverture de plus de 700 magazines, sans compter ses nombreuses apparitions dans des spots publicitaires. Sa beauté a un prix : elle lui a rapporté 110 millions d’euros. Quasiment le prix de Gareth Bale.

Attaquant : Friedrich Nietzsche

C’est un des philosophes les plus brillants de l’histoire, dont l’oeuvre reste très actuelle près de 116 ans après sa mort. On peut d’ailleurs se servir d’une de ses réflexions, tirée de son œuvre Humain, trop humain, pour s’interroger sur la raison d’exister du football, et ce besoin d’attaquer pour marquer un but. «On n'attaque pas seulement pour faire du mal à quelqu'un mais peut-être aussi pour le seul plaisir de prendre conscience de sa force.» Vous avez 90 minutes.

Supersub : Klaus Kinski

L’acteur méritait de figurer dans notre onze des célébrités allemandes. Mais il était difficile, pour ne pas dire impossible, de l’enfermer dans une seule position. Nous en avons donc fait notre remplaçant, capable d’évoluer à tous les postes : en défense et au milieu quand il faut dissuader les adversaires de venir dans sa zone, ou en attaque quand il faut faire peur au gardien adverse pour qu’il laisse entrer le ballon dans son but, même sur une frappe écrasée et toute molle. L'avantage d'avoir une «gueule», comme on dit dans le métier.
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Record mondial de spectateurs pour la Bundesliga
La Bundesliga est le Championnat qui draine le plus de spectateurs au monde.
La Ligue allemande a indiqué que son Championnat attirait le plus grand nombre de spectateurs au niveau mondial, avec plus de 42 000 en moyenne par rencontre. Au cours de la saison écoulée, le chiffre s'est établi à exactement 42 421 par rencontre en moyenne, un peu en retrait toutefois par rapport au record absolu de la saison 2011-12 avec 44 293 spectateurs.

Au total, au cours de la saison écoulée, le Championnat allemand a attiré près de 13 millions de personnes dans les stades, soit un taux de remplissage de 91%. En comparaison, la moyenne de spectateur en Angleterre pour la Premier League n'a atteint que 36 452 spectateur par match lors de la dernière saison et en Espagne pour la Primera Division 28.168, selon statistiques de la DFL.

La domination de la Bundesliga s'explique à la fois par l'engouement énorme que suscite le football dans le pays mais aussi par la présence de grands stades dans la plupart des clubs de première division, ce qui n'est forcément le cas dans les autres pays.
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A noter quand même que le nombre stagne depuis 4 ans autour des 13 millions après la saison record 11/12. Mais c'est sûr qu'avec un taux de remplissage de 91%, c'est sûrement dans l'ordre des choses.

Avec 42 421 de moyenne ça fait quand même rêver .

une importante valse des attaquants à travers l'Europe
Le mercato estival est loin d'être fini, et les mouvements d'importance, à des prix parfois astronomiques, sont déjà nombreux. Une frénésie qui s'explique notamment par la valse des attaquants au sein des grands des différents Championnat.

Allemagne : Derrière le Bayern, ça flambe

Carlo Ancelotti a affirmé qu’avec les arrivées de Hummels (défense) et Sanches (milieu), le mercato bavarois est terminé. Pas d’attaquant donc, alors que Robert Lewandowski est intransférable. Derrière le Bayern en revanche, le Borussia Dortmund a connu un lifting important en attaque, avec les arrivées combinées de André Schürrle (30 M€), Mario Götze (26M€), Ousmane Dembélé (15M€) et Emre Mor (7 M€) !
Wolfsburg s’est fait prêter Borja Mayoral (Real Madrid) et devrait encore prendre un buteur. Schalke, qui a déjà l’expérimenté Huntelaar, a décidé d’investir sur le prometteur suisse Breel Embolo (25 M€), joueur le plus cher issu de Super League. Le Bayer Leverkusen a acheté l’international allemand Kevin Volland (20 M€) à Hoffenheim. Les mouvements de joueurs offensifs ne sont peut-être pas terminés outre-Rhin.
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Un projet d'attentat contre la Bundesliga déjoué ?
Un Syrien de 24 ans, soupçonné de liens avec Daech, a été interpellé vendredi dernier en Rhénanie-Palatinat, dans l'ouest de l'Allemagne. Selon le tabloïd Bild [article en allemand], l'homme aurait été interpellé à Mutterstadt, près de Mannheim, lors d'un banal contrôle.
La chaîne publique allemande SWR affirme de son côté que l'homme, né à Damas, est arrivé en Allemagne en début d'année. 
Le ministère de l'Intérieur de Rhénanie-du-Nord-Westphalie a toutefois démenti que l'homme soit un haut responsable de Daech, contrairement à ce qu'affirme Bild, et ajouté qu'il ne disposait à ce stade d'aucune preuve quant à une éventuelle menace.
Selon Bild et SWR, les autorités seraient sur la piste d'un projet d'attentat visant le championnat allemand de football qui doit démarrer le 26 août. «Des éléments indiquent que quelque chose se préparait pour le début de saison de la Bundesliga» a affirmé le ministère de l'Intérieur de Rhénanie-Palatinat.
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Bundesliga : Jerome Boateng élu joueur de l'année 
Jerome Boateng, le défenseur du Bayern Munich, a été élu meilleur joueur de l'année du Championnat d'Allemagne.
À 27 ans, le défenseur du Bayern Munich Jérôme Boateng, est devenu une référence à son poste. L’international a été élu meilleur joueur de l’année en Allemagne par les journalistes de son pays. Dans le classement publié dans l’hebdomadaire Kicker, Boateng arrive en tête avec 163 votes sur 674. Il devance ses coéquipiers Thomas Müller (95 voix) et Robert Lewandowski (90).

Schuster devant Tuchel et Guardiola

Dans la catégorie des entraîneurs, c'est Dirk Schuster, l'ex-coach de Darmstadt, qui va officier cette saison à Augsbourg, qui a terminé en tête du classement avec 256 voix devant Thomas Tuchel (134), l'entraîneur du Borussia Dortmund et Pep Guardiola (54), l'ancien coach du Bayern Munich.

Chez les femmes, c'est Alexandra Popp, l'attaquante de Wolfsburg, vice-championne d'Allemagne et finaliste de la Ligue des champions, qui a été élue meilleure joueuse.
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A 66 ans, Klaus Fischer fait encore des retournés acrobatiques
L'Allemand Klaus Fischer, ancien spécialiste des retournés acrobatiques, est encore plutôt adroit dans l'exercice, à 66 ans.
Klaus Fischer n’a rien perdu de sa légendaire technique de bicyclette acrobatique. L’ancienne star de Schalke 04 et de la RFA (45 sélections, 32 buts), deuxième meilleur buteur de l’histoire de la Bundesliga après Gerd Müller, s’est fait un nom grâce à ses nombreux buts inscrits sur retourné, dont celui en demi-finale de la Coupe du Monde 1982 contre la France.
L’ancien attaquant a démontré qu’il était encore en forme à 66 ans en effectuant son geste fétiche avec une impressionnante habileté sur un plateau télé allemand. On attend la réponse de Jean-Pierre Papin, un jeunot du haut de ses 52 ans, sur une chaîne française.

WTF A 66 ans, Fischer fait encore des retournés

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Un match d'adieu pour Schweinsteiger et Podolski avec l'Allemagne


La fédération allemande a décidé d'offrir un dernier match international à Bastian Schweinsteiger et Lukas Podolski, qui ont annoncé leur retraite internationale récemment.
Bastian Schweinsteiger, qui avait annoncé sa retraite internationale après la défaite de l’Allemagne face à la France en demi-finale de l’Euro 2016, jouera un dernier match avec la Mannschaft. Ce sera le 31 août contre la Finlande à Mönchengladbach. Le futur-ex capitaine de l’Allemagne honorera alors sa 121e et dernière sélection. «Ça sera une soirée spéciale pour moi, je remercie beaucoup la fédération et les supporters, a déclaré Schweinsteiger sur le site de la DFB. Je suis très heureux de pouvoir jouer une dernière fois pour l’Allemagne.»

Lukas Podolski (129 sélection, 48 buts), qui a annoncé sa retraite lundi, aura lui aussi droit à un dernier match dont la date n'a pas encore été fixée, le joueur étant actuellement blessé à la cheville. Les deux hommes ont remporté la Coupe du Monde 2014.
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Allemagne : des joueurs se plaignent de devoir jouer sous la canicule
Plusieurs joueurs ont avoué avoir souffert de la canicule samedi après-midi lors de la première journée de Bundesliga, le milieu défensif de Dortmund Castro reprochant même à la Ligue de «ne pas avoir décalé le match en soirée».
«Les températures étaient limites. Je ne comprends pas pourquoi la DFL (Ligue allemande de football) n'a pas décalé le match en soirée. On était complètement épuisé après chaque sprint», a déclaré Gonzalo Castro. Le match contre Mayence (2-1) a débuté à 15h30, alors que la température au soleil sur la pelouse avoisinait les 45 degrés celsius.

«La météo était extrême et brutale», a renchéri André Schürrle, auteur d'un match plein, mais qui renoncera au rassemblement international cette semaine pour soigner des douleurs dorsales. L'arbitre a arrêté la partie à deux reprises pour permettre aux joueurs de boire et de se rafraîchir. «Dans mon pays», a commenté l'international suédois Oscar Wendt, «c'est plus souvent moins 35 que plus 35. C'aurait été mieux si on avait pu avoir quelques pauses boisson».
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Pas faux tout ça, je me souviens avoir joué un match un certain 31 juillet 1983 sous un cagnard pas possible.
Des gros baquets en plastique pleines d'eau avec des glaçons avaient été installés sur la ligne de touche.

Allmen67 MrEnigme a écrit:

Pas faux tout ça, je me souviens avoir joué un match un certain 31 juillet 1983 sous un cagnard pas possible.
Des gros baquets en plastique pleines d'eau avec des glaçons avaient été installés sur la ligne de touche.

 
Effectivement, et des bouteilles d'eau de la même façon avec des blocs de glace qu'il cherchait à la brasserie de Mutzig .

Allemagne
 Comment Xabi Alonso a pris sa revanche sur Rafael Benitez

Xabi Alonso s'épanouit au Bayern depuis deux ans.

 Alors que Rafael Benitez souhaitait se débarrasser de lui en 2008 à Liverpool, Xabi Alonso a réussi à retourner le coach espagnol en sa faveur.

Sous contrat avec le Bayern Munich jusqu’en 2017, Xabi Alonso (34 ans), a passé cinq saisons à Liverpool. La dernière (2008-2009), sous les ordres de Rafael Benitez, n’avait pas commencé sous les meilleurs auspices pour l’Espagnol comme il l’a confié dans un entretien au Guardian. «Rafa est venu me voir et il a été très clair. Il m’a dit : "Xabi, nous avons besoin d’argent pour signer d’autres joueurs que je veux." Pour obtenir cet argent, mon nom était en tête de la liste des joueurs transférables. Je lui ai répondu : "OK Rafa, il n’y a pas de problème. Je suis un professionnel et je comprends. " », relate le champion du monde 2010 et double champion d’Europe (2008, 2012).

Alors que la Juventus Turin et Arsenal s’étaient montrés intéressés, Xabi Alonso a finalement poursuivi avec les Reds, les différentes parties ne parvenant pas à s’accorder. «J’étais prêt à partir car l’entraîneur souhaitait que je m'en aille, poursuit le natif de San Sebastian. Mais cela ne s’est pas produit, et l’année suivante, les choses ont été différentes. Je voulais partir et je lui ai dit : "Bien Rafa, il y a un an, tu m’as demandé de partir et je l’ai accepté. Désormais, c’est moi qui désire partir…" Au final, il y a eu un accord, mais cela n’a pas été facile car il souhaitait que je reste.» Alonso s’est alors engagé avec le Real Madrid avec lequel il a été champion d’Espagne en 2012.

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Beckenbauer opéré à cœur ouvert

Le «Kaiser» se trouve actuellement dans un hôpital du Sud de l'Allemagne.

La légende du football Franz Beckebauer a subi une opération à cœur ouvert ce samedi, révèle le Bild sur son site internet.
Il ne s'agit pas d'une intervention d'urgence mais d'une opération prévue de longue date selon le quotidien allemand.
Le «Kaiser», 70 ans, se trouve actuellement dans un hôpital au sud de l'Allemagne; il devra s'y reposer pendant dix jours.
Beckenbauer fait face à des poursuites de la justice suisse pour gestion déloyale, escroquerie et blanchiment d'argent dans le cadre d'une enquête en cours sur l'attribution du Mondial 2006 à l'Allemagne.
(Le Matin)

Le club du BSC Francfort a suspendu un de ses joueurs à la suite d'un message à caractère antisémite qu'il a posté sur facebook contre un autre club local: le Makkabi Francfort.


Voici ce qu'il a écrit:

Au ....


Désolé mais pour le bien du forum, je suis obligé de censurer. 

Une banderole à l'effigie de Ben Laden fait scandale


Les ultras du Hansa Rostock ont brandi un drap sur lequel était peint le portrait de Ben Laden. L'affaire fait le tour de la planète.
Une banderole déployée vendredi par les fans du Hansa Rostock à Aalen (ville située à une qurantaine de kilomètres à l'est de Stuttgart), fait scandale en Allemagne - et bientôt partout le monde: à l'occasion du match de 3e Bundesliga qui opposait les deux clubs, les ultras ont en effet déployé un drap à l'effigie d'Oussama Ben Laden.
Choqué, le président du Hansa Rostock a immédiatement réagi, alors que le monde entier s'apprêtait à commémorer les quinze ans des attentats du 11 septembre à New York: «C'est un acte tout à fait stupide et de mauvais goût.»
Le club devrait être sanctionné, et les ultras qui auront été reconnus seront sans aucun doute bannis.
Reste la question: quel est le rapport entre les «fans» du Hansa et Oussama Ben Laden? Plusieurs sources rappellent que la ville de Rostock a été durement frappée par les forces américaines lors de la Seconde Guerre Mondiale. Afficher le visage de Ben Laden serait donc une manière de faire comprendre aux Américains qu'ils ne sont pas considérés comme des amis dans leur ville.
Le Matin

Bundesliga : Retour en chiffres sur la 3e journée
La 3e journée de Bundesliga s'est achevée dimanche, l'occasion de revenir en chiffres sur les faits marquants du week-end.
3 : Le nombre de passes décisives délivrées par Franck Ribéry lors de la victoire du Bayern Munich face à Ingolstadt (3-1). C'est la cinquième fois que le Français réalise cette prouesse avec le club bavarois. Il fallait remonter il y a quatre ans en arrière, en octobre 2012, pour retrouver trace d'une telle performance de la part de l'ancien Marseillais

6 : Après avoir passé six buts au Legia Varsovie dans la semaine en Ligue des Champions, Dortmund a remis ça, samedi, face à Darmstadt. C'est la première fois depuis 50 ans que le BVB inscrit autant de buts lors de deux matchs consécutifs.

0 : Avec aucun point au compteur et pas le moindre but inscrit après trois journées, Schalke 04 a battu un triste record vieux de 11 ans. Malgré une parenthèse heureuse avec la victoire à Nice (1-0) en Europa League dans la semaine, le temps presse pour les hommes de Markus Weinzirel qui recevront Cologne mercredi. Maigre motif de consolation pour les coéquipiers de Benjamin Stambouli, ils n'occupent pas la dernière place du classement, puisque le Werder Brême a réussi à faire pire avec trois défaites également et pas moins de 12 buts encaissés en trois rencontres...

676 : Le but inscrit par Dario Lezcano pour Ingolstadt sur la pelouse de l'Allianz Arena a mis fin à une série de 676 minutes sans encaisser de but pour Manuel Neuer. Le dernier but concédé par gardien allemand en Bundesliga était déjà l'oeuvre d'un joueur de cette formation d'Ingolstadt lors de la 33e journée de la saison passée.

17 : A 17 ans, Christian Pulisic est le deuxième joueur aussi jeune à parvenir à inscrire trois buts en championnat allemand. L'Américain était déjà devenu l'an passé le plus jeune joueur non-allemand à marquer un but en Bundesliga. Connu pour lancer des jeunes talents saison après saison, Dortmund semble être le club idéal pour qu'il poursuive son apprentissage du haut-niveau.
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http://sports.orange.fr/football/allemagne/article/les-stades-de-bundesliga-font-le-plein-CNT000000uEhG1.html

Klopp n'a pas oublié les dirigeants d'Hambourg

Jürgen Klopp est revenu sur une anecdote au moment de rencontrer les dirigeants d'Hambourg en 2008.
En 2008, Jürgen Klopp cherche un nouveau challenge dans sa carrière après avoir passé sept ans à Mayence. L'entraîneur allemand rencontre alors les dirigeants d'Hambourg, à la recherche d'un technicien. L'actuel entraîneur de Liverpool se fait recaler pour des motifs en lien avec son look. Sa barbe, son pantalon troué et son accoutumance pour le tabac ne sont pas du goût des dirigeants du HSV qui préfèrent ne pas donner suite à l'entretien. Une attitude que n'est pas prêt d'oublier l'ancien coach de Dortmund : "Que les dirigeants d'Hambourg ne perdent pas leur temps si un jour ils désirent me recontacter. Je ne décrocherai plus jamais." Voilà qui a le mérite d'être clair.
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Bundesliga : les «clubs en plastique» dans l'oeil du cyclone
Matches boycottés, bus des joueurs bloqués, tête de taureau tranchée ! La haine des supporters allemands des «clubs de tradition» pour les équipes montées de toutes pièces par des entreprises s’affiche semaine après semaine en Bundesliga
Si Red Bull donne des ailes à ceux qui en boivent selon le slogan publicitaire, il est aussi fournisseur officiel de haine et de rancœur au sein de l'Allemagne du football.
L’hostilité envers les «clubs en plastique», comme on surnomme les nouveaux venus en Bundesliga, a pris un tour plus agressif cette saison, avec la montée en première division du RB Leipzig, entièrement financé, contrôlé et dirigé par la firme Red Bull.
Fin septembre, des ultras du FC Cologne ont bloqué le bus des joueurs à l’approche du stade, obligeant à repousser le coup d’envoi de quinze minutes. La veille, des banderoles artisanales avaient fleuri dans tous les quartiers de la paisible ville rhénane, variations sémantiques autour d’un seul thème : «Nous haïssons RB».

Une tête de taureau découpée à Dresde

Quelques jours plus tôt, c’est le noyau dur des fans de Dortmund qui avait refusé de faire le déplacement à Leipzig «pour ne pas mettre d’argent dans la poche de Red Bull».
Et personne n’a oublié l’incident de Dresde, en août, lorsque des supporters ont apporté au stade une tête de boeuf tranchée sanguinolente, censée symboliser le sort réservé au taureau rouge de la marque de boissons autrichienne.

’Football ad absurdum’

«Le Red Bull Leipzig conduit tout le système du football ad absurdum», dénonce le réalisateur de film Jan-Henrik Gruszecki, supporteur inconditionnel de Dortmund. «Les clubs de tradition comme Dortmund, Schalke, Cologne ou le Bayern Munich veulent et doivent aussi gagner de l’argent, mais pour jouer au football. Chez Red Bull, on joue au football pour vendre un produit et une marque. C’est la différence de base», insiste-t-il.
Si Leipzig cristallise la rancoeur, au moins trois autres formations de l’élite sont également dans le collimateur : Ingolstadt, le club de la ville du constructeur automobile Audi, Wolfsburg, surnommé «Volkswagen FC», et Hoffenheim, jouet de Dietmar Hopp, patron de l’entreprise informatique SAP et l’un des hommes les plus riches d’Allemagne.

Des affluences à revoir chez ces nouveaux riches

Tous trois sont dans le peloton de queue des chiffres d’entrées au stade, tirant vers le bas la moyenne de spectateurs d’une Bundesliga qui s’enorgueillit d’avoir les meilleures affluences d’Europe depuis des décennies.
«La particularité de la culture du foot en Allemagne, c’est que les clubs ont été fondés comme des associations, dans laquelle les supporters ont un pouvoir de contrôle et de décision», explique Jonas Gabler, chercheur spécialisé dans la culture des supporters de football.
Et les clubs travaillent main dans la main avec des associations de supporters très structurées : «Les souhaits et les intérêts des fans sont pris très au sérieux», souligne-t-il.

Règle contournée

«Cette interaction des fans avec leurs clubs est un élément essentiel de la culture du foot», témoigne cet expert, qui ajoute : «Maintenant, les supporters ont l’impression que cette tradition est dévoyée par les clubs créés par des entreprises. Les supporters ont aussi une nostalgie du bon vieux temps. Ils ne veulent pas prendre ce chemin-là.»
Les lois du foot professionnel allemand sont d’ailleurs faites pour éviter en principe toute prise de contrôle par un actionnaire tout-puissant.
Une règle interdit notamment à quiconque de posséder plus de 50% des parts d’un club. Règle allègrement contournée à Leipzig, accusent ses détracteurs, puisque la firme autrichienne a bien 49% des voix au conseil d’administration, mais que les 51% restants sont tous détenus par... des employés de Red Bull, à titre personnel.

Qu'en pensent les dirigeants du foot allemand ?

Les reproches sont toujours les mêmes : ces «clubs en plastique» n’ont pas de public fidèle, et usurpent la place en première division de clubs moins fortunés, mais plus ancrés dans le paysage allemand, comme Nuremberg, qui a échoué à deux points de Leipzig pour la montée directe en première division la saison dernière.
Et leur modèle économique est trop instable, car dépendant de la volonté d’un bailleur de fonds unique, qui peut se retirer du jour au lendemain.
Curieusement, alors que les incidents ou les provocations sont incessants, on n’entend guère les autorités du football allemand sur le sujet. Car «beaucoup de dirigeants, à titre personnel, refusent ce modèle économique. Et beaucoup préfèrent ne pas s’opposer à la majorité des fans sur ce sujet, alors ils restent prudents», observe Jonas Gabler.
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En même temps, cette "puissance" de ces clubs en plastique est un défaut car jamais ils n'auront l'assise financière assez forte pour créer des clubs réellement capables de jouer les premiers rôles car il faudrait être sûr de jouer tout de suite et durablement dans la cour des grands. Recherche de profits immédiats oblige.

Et que dire chez nous avec l'arrivée de plus en plus nombreuses des étrangers, après le Qatar voilà les chinois, les supporters adverses vont-ils se teindre en jaune lors des matchs? Moi j'appelle çà le chauvinisme allemand rien d'autre.

Bundesliga : 5 choses à retenir de la 7ème journée
Nouveau record pour Dortmund, des penalties manqués en pagaille, un promu en verve : Voici cinq éléments à retenir de la 7ème journée de la Bundesliga qui s'est disputée le week-end dernier.
Nouveau record pour le Borussia Dortmund
Accroché par le Hertha Berlin à domicile (1-1), vendredi, le Borussia Dortmund a néanmoins aligné un 25ème match de rang sans défaite en championnat. C'est le nouveau record du club.

Huszti rejoint Effenberg
Szabolcs Huszti est un phénomène dans son genre. Samedi, il a marqué et égalisé à 1-1 face au Bayern Munich (2-2 au final) avant de se faire expulser à la 64ème minute. C'est la troisième fois de sa carrière que le milieu hongrois de l'Eintracht Francfort marque et se fait exclure au cours d'un même match. Seul l'ancien Bavarois Stefan Effenberg l'a fait autant de fois.

Record de penalties manqués
Cinq penalties ont été manqués lors de cette 7ème journée. C'est un record en Bundesliga sur une journée de championnat.

Leipzig, promu en verve
Leipzig (3ème du classement) affiche 15 points après sept sorties. C'est ainsi le meilleur début de saison d'un club promu en Bundesliga depuis Oberhausen en 1969.

Mor, expulsé précoce
Expulsé à la 84ème minute contre le Hertha Berlin (1-1), Emre Mor est devenu le joueur de Dortmund le plus jeune à voir rouge. Le Borussia n'avait plus eu d'élément exclu depuis 93 matches.
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http://sports.orange.fr/football/mercato/allemagne/article/allemagne-fin-de-carriere-pour-miroslav-klose-qui-rejoint-joachim-low-CNT000000wpXWr.html

Non, Borussia Dortmund-Bayern Munich n'est pas le Klassiker du Championnat allemand
 L'expression Klassiker définit le choc Bayern Munich-Borussia Dortmund de ce samedi (18h30), par analogie avec le Clasico espagnol. Or, si le Bayern est depuis plus de quarante ans l'ogre de la Bundesliga, il a connu des rivaux différents à travers les décennies.

Années 1970 : Bayern Munich-Borussia Mönchengladbach

En 1969, le Bayern Munich, pas encore un grand club, remporte le titre pour la deuxième fois de son histoire, après 1932. Son «ennemi» de l'époque est le Borussia Mönchengladbach. Au milieu de cette rivalité naissante, un homme : le mythique Udo Lattek. Après avoir glané trois Bundesliga avec le grand Bayern (1972, 1973, 1974) «Udo» passe de l'autre côté et devient champion avec Gladbach (1976, 1977).

Pendant cette période, les duels entre les deux mastodontes sont l'occasion de voir jouer les plus grandes stars du foot allemand : Franz Beckenbauer, Gerd Müller et Sepp Maier côté Bayern Munich, Jupp Heynckes, Rainer Bonhof et Berti Vogts côté Gladbach. En 1973-1974, les Bavarois sont champions pour un point devant leurs rivaux. Le Borussia écrase Munich 5-0 lors du dernier match de la saison, avec notamment un doublé de Jupp Heynckes, mais le petit but d'avance qui avait permis au Bayern de remporter l'aller 4-3 restera déterminant.

Années 1980 : Bayern Munich-Hambourg

Dans les années 1980, Hambourg n'était pas le club qui, comme aujourd'hui, flirte tous les ans avec la relégation. Au contraire, il y a connu ses heures de gloire en étant trois fois champion en 1979, 1982 et 1983. Lors du deuxième titre, un derby Nord-Sud, comme on l'appelle alors, reste dans les mémoires comme le match de la saison : à la 29e journée, alors que le Bayern croit encore au titre, Hambourg l'emporte 4-3 à Munich grâce à un doublé de Horst Hrubesch dans les dix dernières minutes. Les hommes d'Ernst Happel terminent avec cinq points d'avance sur le Bayern.

Années 1990 : Bayern Munich-Kaiserslautern

Cette décennie est le premier âge d'or du Borussia Dortmund, champion en 1995 et 1996 (et vainqueur de la Ligue des champions 1997). Mais le Bayern est aussi sérieusement chahuté par un club aujourd'hui en deuxième division, le FC Kaiserslautern.

Lors de la saison 1993-1994, les deux clubs s'affrontent dans un mano a mano mémorable. Kaiserslautern termine la saison en trombe avec six victoires consécutives, dont un écrasant 4-0 face au Bayern, mais échoue à un point du «Rekordmeister». Relégué en 1996, le club emmené par Otto Rehhagel remonte dès l'année suivante et réussit l'exploit unique d'être sacré champion en tant que promu. Avec, dans ses rangs, Michael Ballack, alors âgé de 20 ans, Kaiserslautern finit deux points devant le Bayern, en ayant battu les Bavarois 1-0 à Munich dès la première journée.

Années 2000 : Bayern Munich-Bayer Leverkusen puis Bayern Munich-Werder Brême

Entre 1999 et 2002, Leverkusen termine trois fois à la deuxième place. En 2000, le club de Rhénanie aborde la dernière journée contre Unterhaching avec trois points d'avance sur le Bayern. Mais une surprenante défaite 2-0 contre le promu (avec un c.s.c. de Ballack) donne le titre aux Munichois à la différence de buts. La défaite du Bayer en finale de Ligue des champions en 2002 (contre le Real Madrid de Zinédine Zidane) parachève sa réputation de «Neverkusen», sorte de Poulidor du foot allemand.

Entre la belle époque de Leverkusen et le retour au premier plan de Dortmund en 2010, le Bayern remporte cinq titres et n'en laisse que trois à la concurrence : le Werder en 2004, Stuttgart en 2007 et Wolfsburg en 2009. Si les deux derniers ont fait figure d'ovnis, le Werder de Thomas Schaaf a été le plus sérieux des challengers du géant munichois pendant cette période. Le titre de 2004 a d'ailleurs été acquis à deux journées de la fin, lors d'une victoire 3-1 sur la pelouse des Bavarois. Le Français Johan Micoud marque ce jour-là d'un magnifique lob sur Oliver Kahn, imité par Ailton et Klasnic.

Titres de champion d'Allemagne depuis la saison 1968-1969

Bayern Munich   25
Borussia DortmunD   5
B. Mönchengladbach  5
Hambourg SV  3
Werder Brême  3
Vfb Stuttgart  3
Kaiserslautern  2
FC Cologne  1
Wolfsburg  1

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