Hasan Salihamidzic nouveau directeur sportif du Bayern 
L'ancien milieu bosnien du Bayern Munich Hasan Salihamidzic a été nommé lundi directeur sportif du club bavarois.
Hasan Salihamidzic est de retour en Bavière. L'ancien milieu international bosnien âgé de 40 ans a été nommé lundi directeur sportif du Bayern Munich.
 
Le natif de Mostar, également passé par Hambourg, la Juventus Turin ou Wolfsburg, a joué au Bayern pendant neuf saisons (de 1998 à 2007). Il a notamment remporté une fois la Ligue des champions (2001), deux fois la Coupe d'Allemagne (2005, 2006) ou six fois la Bundesliga (1999, 2000, 2001, 2003, 2005, 2006) avec le champion d'Allemagne en titre.
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Super Coupe - Finale
Samedi 05 août 2017
Après TAB     Borussia Dortmund  2 - 2 Bayern Munich*    
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Le Bayern Munich bat le Borussia Dortmund aux tirs au but et gagne la Supercoupe 
Dans un match engagé, le Bayern Munich a eu besoin des tirs au but pour venir à bout du Borussia Dortmund et remporter la Supercoupe d'Allemagne (2-2, 4 tab 5).

Le match : 2-2 (4 tab 5)

A l'image de ses derniers matches amicaux, le Bayern Munich a été bousculé. Hormis une bonne demi-heure avant la pause, le géant bavarois semblait timoré.

Et face à une équipe comme le Borussia Dortmund, il l'a vite payé. Plus à l'aise avec le ballon, les coéquipiers d'Ousmane Dembélé ont rapidement porté le danger sur le but de Sven Ulreich. Et avant le quart d'heure de jeu, c'est Christian Pulisic qui a ouvert le score. L'Américain a profité d'une grossière erreur de Javi Martinez pour ajuster le remplaçant de Manuel Neuer (12e). Mais ce but a réveillé le champion d'Allemagne.

Et six minutes plus tard, Robert Lewandowski a trouvé le moyen d'égaliser. Il a repris un centre tendu de Joshua Kimmich, parti à la limite du hors-jeu sur le côté droit. Dans le sillage de son attaquant polonais, l'équipe de Carlo Ancelotti a eu les opportunités les plus dangereuses. Une tête de Thomas Müller a touché le poteau (35e), une autre de Corentin Tolisso n'a pas accroché le cadre (39e). Mais ce tempérament offensif n'a pas suffi pour prendre l'avantage avant la pause. Et ils auraient pu le regretter.

A domicile, le troisième du dernier championnat est monté en puissance. Ousmane Dembélé a beaucoup proposé. Le danger était essentiellement porté sur le but du Bayern. A l'image de Nuri Sahin qui a tiré à côté (3e) ou au-dessus (58e) et Gonzalo Castro, trop court de la tête (63e), le BVB a manqué d'efficacité. C'est finalement Pierre-Emerick Aubameyang qui a trouvé la faille. Bien lancé par Ousmane Dembélé, le Gabonais a piqué son ballon au-dessus de Sven Ulreich pour marquer (70e). Et chatouiller l'orgueil du champion. A quelques instants de la fin du match, les coéquipiers de Franck Ribéry ont profité d'un but contre son camp de Lukas Piszczek pour égaliser après un énorme cafouillage (88e). Les tirs aux buts ont finalement décidé de l'issue de la rencontre. Et comme souvent, le trophée a terminé dans la vitrine du Bayern Munich. Marc Bartra et Sebastian Rode ont échoué, contre le seul Joshua Kimmich.

Le fait : l'arbitrage vidéo

Robert Lewandowski a égalisé dans la confusion. Non seulement, elle a tout changé dans le match, mais elle a surtout été validée par l'arbitrage vidéo. Si pendant tout le match, la défense du Borussia Dortmund a eu des difficultés à s'aligner, il semblerait que sur cette action, Joshua Kimmich soit bien hors-jeu au départ du ballon. Le latéral droit part dans son couloir et se projette vite. La limite est infime. Trop pour la technologie ? Peut-être. Pour l'oeil humain ? C'est une certitude. L'avantage semble avoir été laissé à l'attaque, et cela, malgré la vidéo.

Le joueur : Ousmane Dembélé, très en vue

Le Français a beaucoup proposé sur son côté droit. Quelques fois, l'ancien Rennais en a trop fait, mais ses dribbles ont fait la différence sur plusieurs incursions. Le joueur de 20 ans a été à l'origine de plusieurs situations dangereuses. Avec un peu plus de réussite, son centre pour Gonzalo Castro aurait pu être décisif. Son ouverture pour Pierre-Emerick Aubameyang l'a été. Et il n'a pas tremblé au moment des tirs au but. En tant que premier tireur, il a marqué. Quand des rumeurs l'envoient à Barcelone, c'est bien le Borussia Dortmund qui a profité de son rendement.
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Bayern München » Joueurs de A à Z - Monde du foot

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Manuel Neuer (Bayern Munich) absent pour la reprise face à Leverkusen
  Manuel Neuer n'est pas prêt pour reprendre la compétition. Manuel Neuer sera absent vendredi lors de la première journée de Bundesliga, vendredi (20h30) contre le Bayer Leverkusen. Le gardien international allemand (31 ans) s'était blessé à un pied en avril dernier. Opéré, il n'est pas encore totalement opérationnel. «Il ne jouera pas demain, a annoncé son entraîneur Carlo Ancelotti, ce jeudi en conférence de presse. Nous ne voulons prendre aucun risque.» Jérôme Boateng, Thiago Alcantara, Javi Martinez et James Rodriguez sont tous aussi blessés actuellement.
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Uli Hoeness se lâche sur Ousmane Dembélé et Barcelone 
Le président du Bayern Munich, Uli Hoeness, a encore une fois prouvé qu'il ne mâchait pas ses mots pour commenter l'actualité du football. Après avoir taclé le PSG et Neymar, le dirigeant allemand s'en est pris à Ousmane Dembélé et à Barcelone.

Le transfert d'Ousmane Dembélé vers Barcelone est de feuilleton de l'été en Bundesliga. Les joueurs et l'entraîneur du Borussia Dortmund ont tous eu l'opportunité de commenter cette affaire. Vendredi, c'est le président du rival bavarois, Uli Hoeness, qui a livré le fond de sa pensée sur le sujet en amont de la victoire du Bayern Munich contre Leverkusen.

«Chez nous, un joueur peut être sanctionné d'un mois de salaire et de 100 000€ d'amende pour chaque jour d'entraînement manqué», explique Hoeness sur le plateau d'Eurosport. Le dirigeant allemand, passé par la case prison en 2015, rappelle que l'international français est sous contrat avec Dortmund: «Si les contrats sont étanches, le joueur et son agent peuvent faire ce qu'ils veulent. Nous devons revenir au fait qu'un contrat est un contrat et si un joueur joue comme une ***** (sic) pendant un mois, nous n'allons pas lui dire: "Tu es censé être un joueur de classe mondiale, on te paye en conséquence et tu joues comme un amateur. Pouvons-nous baisser ton salaire?"»

«Plus aucun respect» pour le Barça
Ousmane Dembélé, «qui ne vaut pas 130 millions d'euros ou plus», n'est pas le seul à en prendre pour son grade. Barcelone, qui a annoncé que le joueur était proche de signer, n'est pas dans le cœur d'Hoeness, déçu par ce genre de manœuvres : «Si Barcelone est derrière tout ça, alors je n'ai plus aucun respect pour ce club. Pousser un joueur à casser un contrat, c'est pire que de l'amateurisme.»
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Bayern Munich : le nouveau centre de formation inauguré



Le Bayern Munich a inauguré lundi un nouveau centre de formation ultra moderne avec pour objectif de découvrir et former de nouveaux talents en Allemagne, que le géant bavarois estime être «la bonne réponse» à l'emballement du marché des transferts. «Je suis convaincu que nous pouvons apporter la bonne réponse au développement du football international, à la folie des transferts et à l'explosion des salaires», a déclaré Uli Hoeness, le président du conseil de surveillance du Bayern dans une allusion à peine voilée à la venue de Neymar au Paris Saint-Germain. La construction de cette académie, située près de l'Allianz Arena, aura duré deux ans et couté 70 millions d'euros. «Même pas la moitié d'un Neymar», a commenté le maire de Munich Dieter Reiter alors que le transfert du Brésilien est chiffré à 220 millions d'euros.

D'une superficie de 30 hectares, le site comporte un petit stade, sept terrains de football, des équipements pour l'athlétisme, la gymnastique, une cafétéria et un internat pouvant accueillir 35 stars en devenir. Le dernier local titularisé dans l'équipe une du Bayern Munich est l'international autrichien David Alaba en 2010. L'ambition de campus est donc de découvrir les nouveaux Thomas Müller ou Mats Hummels, qui joueront non seulement pour le Bayern mais aussi pour toute l'Allemagne. «Un joueur par an pour l'équipe première», selon les souhaits Karl-Heinz Rummenigge, directeur exécutif du club en quête cette saison d'un sixième titre national consécutif.
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Pas sûr que ça suffise face à la folie (doux euphémisme) des transferts désormais et c'est bien dommage.
En tous cas, bravo et merci au Bayern de maintenir un semblant de ce que le foot devrait être.

le Bayern parie sur un attaquant de 16 ans
  Joshua Zirkzee, jeune (16 ans) attaquant néerlandais, arrive du Feyenoord Rotterdam. Il jouera avec les jeunes du Bayern Munich. Transferé vendredi du Feyenoord Rotterdam au Bayern Munich, Joshua Zirkzee a déjà posé avec le maillot de sa nouvelle équipe dont il va rejoindre l'académie. Né en 2001, c'est un joueur offensif, surtout utilisé en pointe ou en soutien. Il a inscrit trois buts avec les U16 néerlandais. «Un très bon talent», commente Hermann Gerland, le patron de la formation au sein du club bavarois.
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Le Bayern Munich donne un bon de sortie à Renato Sanches 
Le Bayern Munich a clairement laissé carte blanche à son milieu de terrain portugais Renato Sanches, en disgrâce, pour trouver d'ici la fin du mercato un nouveau club, qui pourrait être Liverpool ou Chelsea. Samedi, Renato Sanches arrivé l'an dernier pour 35 millions d'euros, auréolé de son titre de champion d'Europe avec le Portugal, n'était pas dans l'effectif contre le Werder de Brême (victoire du Bayern 2-0), pour la deuxième journée de Bundesliga. «Il a demandé au coach de ne pas jouer parce qu'il a quelques offres, et le coach lui a dit oui», a expliqué samedi le nouveau directeur sportif des champions d'Allemagne Hasan Salihamidzic, avant le coup d'envoi à Brême.

Sanches, désigné meilleur jeune joueur de l'Euro 2016 en France, n'a jamais réussi à s'imposer au Bayern et a terminé sa première saison sans un seul but ni une seule passe décisive. Il a été approché notamment par Liverpool et Chelsea, selon la presse. Ancelotti, heureux d'avoir recruté l'ex-Lyonnais Corentin Tolisso qu'il a déjà titularisé pour les deux premiers matches de championnat en milieu de terrain, a laissé entendre qu'il ne comptait pas sur Sanches cette saison : «S'il reste, je suis satisfait. S'il part, c'est ok, aucun problème», a-t-il dit vendredi.
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Robert Lewandowski recadré après ses critiques sur le recrutement du Bayern
 Karl-Heinz Rummenigge n'a pas apprécié les critiques de Robert Lewandowski sur le recrutement du Bayern Munich cet été et le lui a fait savoir. Après avoir publiquement critiqué les dépenses jugées trop faibles, selon lui, du Bayern Munich cet été lors du marché des transferts, Robert Lewandowski a été recadré par ses dirigeants. «Il semble que Robert ait été irrité par les transactions effectuées par Paris, a fait valoir Karl-Heinz Rummenigge, le président du club bavarois, ce lundi dans Bild. Mais il est sous contrat comme footballeur chez nous et gagne pour cela beaucoup d'argent, je déplore ses déclarations.»

«Je suis un partisan de la démocratie et de la liberté d'expression, mais les gens cherchent en ce moment à trop faire les malins au lieu de se concentrer sur le football», a ajouté le patron du champion d'Allemagne, qui réalise son pire début de saison depuis 2010-2011. Samedi, il a perdu à Hoffenheim (0-2) et occupe la sixième place de Bundesliga après trois matches.
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La crise à Munich ? Rififi au Bayern
Joueurs et dirigeants en colère, entraîneur contesté et début de saison poussif : un parfum de crise flotte déjà autour du Bayern Munich à la veille de son entrée en Ligue des champions.
Hier,  le patron du club le plus titré d’Allemagne, Karl-Heinz Rummenigge, a recadré deux de ses stars, l’avant-centre polonais Robert Lewandowski et l’international allemand Thomas Müller pour avoir critiqué, dans le premier cas, la direction du Bayern et, dans le deuxième, l’entraîneur Carlo Ancelotti.
La saison vient à peine de débuter et déjà le club paraît renouer avec ses vieilles habitudes qui lui ont valu le surnom de “FC Hollywood” pour ses batailles d’egos récurrentes depuis les années 90.
« Dorénavant, ceux qui critiquent publiquement l’entraîneur, le club ou les autres joueurs vont avoir affaire à moi personnellement », a tonné Karl-Heinz Rummenigge dans le quotidien Bild.

Trop économe ?

La raison de son courroux ? En premier lieu une sortie très inhabituelle de l’attaquant polonais dans l’hebdomadaire Der Spiegel publié ce week-end.
Robert Lewandowski a ouvertement critiqué le recrutement, selon lui trop économe du Bayern cet été en comparaison des sommes astronomiques dépensées notamment par le PSG en France.
« Le Bayern n’a jamais payé plus de quarante millions pour un joueur. Dans le football international, c’est depuis longtemps une somme moyenne, et non plus une grosse somme », a déploré l’attaquant polonais.
Outre Rummenigge, le président du conseil de surveillance du Bayern Uli Hoeness est sorti de ses gonds, estimant que Lewandowski ferait mieux de s’occuper « de sa performance ».
Fin août, Thomas Müller, mécontent d’être laissé sur le banc des remplaçants, avait déjà créé des remous en regrettant que ses qualités ne soient « manifestement pas appréciées à 100 % » par l’entraîneur.
Réponse de Karl-Heinz Rummenigge : « Même les joueurs emblématiques n’ont pas de garantie de jouer ».
Les règlements de comptes sur la place publique sont l’illustration d’un malaise croissant au Bayern, qui fait son entrée en Ligue des Champions à domicile contre Anderlecht ce soir.

« Un pas en arrière »

Carlo Ancelotti, au style contesté, fait désormais l’objet de critiques publiques. Sous la houlette de l’Italien, « le club a fait au moins un pas en arrière », a asséné ce week-end Paul Breitner, légende du football allemand et qui fut il y a encore peu représentant à l’international du Bayern.
Une autre légende du club munichois, Lothar Matthäus, s’en est aussi pris aux choix d’Ancelotti après la défaite à Hoffenheim et le plus mauvais début de saison du Bayern depuis 2010-2011.
L’entraîneur « n’a pas été bien inspiré dans sa composition d’équipe », a déploré l’ancien milieu de terrain, en s’étonnant que les deux ailiers vedettes du club, Franck Ribéry et Arjen Robben, aient été laissés sur le banc au départ. Ce sont des « joueurs-clés du Bayern », a-t-il déploré. Un succès contre Anderlecht permettra-t-il de détendre l’atmosphère ?
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Le Bayern sous pression
La situation est explosive au Bayern, entre coups de gueules des stars et résultats en dents de scie, à la veille de recevoir le modeste Mayence pour la 4e journée de Bundesliga.
La Fête de la bière approche à Munich mais la pression n’est pas que dans les chopes ! Après un mois de compétition, le champion en titre n’est pas au niveau de ses ambitions après une défaite 2-0 à Hoffenheim le week-end dernier.
Et en Ligue des Champions, le 3-0 mardi contre un faible Anderlecht n’a pas fait illusion : miné par ses querelles internes, le Rekordmeister a égaré son âme et sa puissance de feu. Ennuyeux, au moment d’aborder un tunnel de cinq matches en 16 jours, dont le déplacement au Parc contre le PSG en Ligue des champions le 27 septembre.

Le coup de sang de Ribéry

En quelques jours, Robert Lewandowski a attaqué ses dirigeants dans la presse sur leur politique de recrutement, Thomas Müller a reproché à son entraîneur Carlo Ancelotti de ne pas voir ses qualités, Arjen Robben a incendié ses coéquipiers après le match de Ligue des champions et Franck Ribéry a jeté son maillot de rage après son remplacement, avant de s’en prendre verbalement au directeur sportif Hasan Salihamidzic ! Devant ce spectacle, le grand patron du club Karl-Heinz Rummenigge a tapé du poing sur la table lundi : « Dorénavant, ceux qui critiquent publiquement l’entraîneur, le club ou les autres joueurs vont avoir affaire à moi personnellement ».
Bref, la réception de Mayence devient du coup un test décisif, la petite équipe de la Hesse étant la dernière à s’être imposée en championnat à l’Allianz Arena, en mars 2016, et l’une des rares à y avoir arraché un nul la saison dernière.
Pendant ce temps, Dortmund défendra sa première place, demain à domicile, contre Cologne.
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Arrigo Sacchi pense que le Bayern Munich devrait se séparer de Carlo Ancelotti
  Mentor de Carlo Ancelotti, Arrigo Sacchi a estimé lundi que le Bayern Munich aurait intérêt à changer d'entraîneur. Arrigo Sacchi, l'entraîneur culte italien et mentor de Carlo Ancelotti, estime qu'il est temps pour le Bayern Munich de songer à remplacer son entraîneur. «J'ai l'impression que des changements feraient du bien au Bayern, a estimé l'ex-coach de 71 ans dans une interview diffusée lundi par Sport1 sur son site internet. Je regarde tous les matchs du Bayern et j'ai l'impression que l'équipe a perdu son enthousiasme [...] On vieillit, on perd la passion et la volonté absolue, c'est la vie.»

Sacchi était l'entraîneur du Milan AC en 1989 et 1990 lorsque le club italien a remporté deux fois consécutivement ce qui était alors la Coupe d'Europe des clubs champions, avec Carlo Ancelotti comme joueur. Ancelotti, arrivé à l'été 2016 à Munich auréolé de ses trois Ligues des champions gagnées comme entraîneur avec le Milan AC et le Real Madrid, n'a réussi la saison passée à gagner que la Bundesliga.

Cette année, après un début de saison poussif, il est déjà sous le feu de la critique, qui lui reproche pêle-mêle de ne pas réussir à motiver ses stars, de les cantonner dans un système tactique qui ne laisse aucune place à Thomas Müller, et d'avoir perdu l'autorité sur son vestiaire. Les dirigeants du Bayern ne cachent pas que leur but est de remporter la Ligue des champions, ce qu'ils n'ont plus réussi depuis 2013. Le Bayern a battu Anderlecht 3-0 pour son premier match de poule et se déplace le 27 septembre à Paris pour le sommet du groupe C contre le PSG.
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Manuel Neuer absent jusqu'en janvier 2018
 Le Bayern Munich a annoncé mardi dans un communiqué que son gardien de but international allemand Manuel Neuer (31 ans) sera absent jusqu'en janvier 2018. Coup dur pour Manuel Neuer. Le Bayern Munich a annoncé mardi dans un communiqué que son gardien de but international allemand de 31 ans sera absent jusqu'en janvier 2018. Alors qu'il était de retour depuis août après une fracture du pied gauche, le portier de la Nationalmannschaft a été à nouveau victime d'une blessure similaire à l'entraînement lundi et manquera donc notamment les deux rencontres de son club face au PSG en phase de poules de la Ligue des champions.
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Giovane Elber (Bayern Munich) : «Les contrats n'ont plus de valeur» 
Giovane Elbert, ambassadeur du Bayern de Munich, reproche à Dembélé de ne pas avoir respecté ni son contrat, ni ses fans, en partant jouer à Barcelone.
L'ancien attaquant du Bayern Munich et de Lyon, Giovanne Elber, regrette le temps où le football était surtout un plaisir. «Si un joueur veut quitter son club, un contrat n'a plus de valeur, Dembélé l'a montré à Dortmund : "Pas d'entraînement, je veux partir" ce n'est pas bien. Ce n'est pas correct envers les fans non plus. Les joueurs perdent l'amour qu'ils devraient montrer sur le terrain.»
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Le Bayern à la fête de la bière... avec la gueule de bois 16:16 | mis à jour 17:12 FOOTBALL - INSOLITE Le Bayern à la fête de la bière... avec la gueule de bois

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Tom Starke sort de sa retraite après la blessure de Manuel Neuer 
Alors qu'il avait pris sa retraite cet été, Tom Starke (36 ans) est revenu dans l'effectif du Bayern Munich suite à la blessure de Manuel Neuer. Avec la blessure de Manuel Neuer, qui ne reviendra pas avant 2018, le Bayern Munich a dû revoir sa hiérarchie des gardiens. Sven Ulreich est passé numéro 1, avec derrière lui Christian Fruchtl. Mais pour compléter son effectif avec un troisième choix, le club bavarois a sorti de sa retraite l'expérimenté Tom Starke (36 ans). Celui-ci s'occupait des gardiens des équipes de jeunes du Bayern après avoir raccroché à la fin de la saison dernière. «Tom est très professionnel et il retournera à l'académie quand Manu reviendra», a précisé Carlo Ancelotti.

Lundi, le Bayern Munich a annoncé que le gardien avait été inscrit sur la liste pour la Ligue des champions. Après la date limite d'inscription le 1er septembre, les clubs ont le droit de procéder à des ajustements uniquement pour les gardiens. Il est donc potentiellement éligible pour défier le PSG mercredi au Parc des Princes
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Uli Hoeness (président du Bayern Munich) : «Notre heure viendra»



Dans une interview publiée lundi matin par le magazine Kicker, le président du Bayern Munich Uli Hoeness a critiqué «ceux qui dépensent avec fracas» et a défendu le modèle économique de son club à deux jours du déplacement des Bavarois sur la pelouse du PSG (20h45).
Face à l'inflation des dépenses dans le football, le président du Bayern Munich Uli Hoeness défend son modèle économique raisonnable et assure que «l'heure du Bayern viendra», lorsque les investisseurs étrangers se lasseront de dépenser des fortunes sans gagner.

«Il va arriver un moment où tous ceux qui dépensent avec fracas autant d'argent, ne pourront plus se payer une baguette, parce que le succès sportif ne se programme pas comme se l'imaginent les pourvoyeurs de fonds», prédit Hoeness, dans une interview au magazine Kicker publiée à deux jours du choc sportif et culturel contre le PSG au Parc des Princes.

Chaque année, «une seule équipe peut gagner la Ligue des champions», rappelle-t-il : «Les payeurs vont dire: "nous avons mis tellement d'argent et nous n'avons rien gagné. Ras-le-bol !" Et là, notre heure viendra.» Le Bayern Munich, cinq fois vainqueur de la Ligue des champions et toujours dans le top 4 des clubs européens, est au cœur d'un débat très vif en ce début de saison.

Les uns pensent qu'il fait une erreur en n'engageant pas des dépenses comparables à celles des clubs anglais, espagnols ou parisien («J'ai dit très clairement qu'un joueur à 100 millions d'euros est inacceptable pour le Bayern», dit Hoeness). D'autres au contraire ne jurent que par le modèle de développement «sage» qui a fait ses preuves depuis des décennies.

«Nous avons aussi une chance de gagner la Ligue des champions cette saison»

La double confrontation contre le PSG en Ligue des champions a évidemment attisé la polémique, les deux clubs représentant désormais deux philosophies opposées. Le président du Bayern avait notamment fustigé le transfert de Neymar qu'il perçoit comme «un signe de faiblesse» ou celui au FC Barcelone d'Ousmane Dembélé «qui ne vaut pas 130 millions d'euros».

«On nous reproche de passer à côté du marché et de préparer notre déclin en refusant d'acheter des joueurs très chers, répond Hoeness, mais on devrait plutôt nous tresser des lauriers, parce que nous réussissons grâce à notre propre travail et avec nos propres forces.»

L'an dernier, le Bayern a été éliminé en quarts de finale de la C1 par le Real Madrid, futur vainqueur, mais en ayant joué une partie des deux rencontres à 10, après des exclusions. Pour cette année, Hoeness croit toujours en ses chances : «Si nous utilisons tout notre potentiel et si les joueurs sont en bonne santé dans la phase décisive, là nous avons des chances. Nous avons aussi une chance de gagner la Ligue des champions cette saison, que ce soit bien clair.»

Le Bayern continue à être dirigé par ses anciens joueurs (Rummenigge et Hoeness), même si les sponsors principaux, Adidas, Allianz et Audi sont également des actionnaires du club.
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Le partenariat du Bayern Munich avec l'aéroport de Doha lui rapporte 7 millions d'euros par an 
Le Bayern Munich, qui affronte le PSG ce mercredi soir (20h45) en Ligue des champions, a signé cet été un partenariat avec l'aéroport de Doha qui lui rapporte 7 millions d'euros par an. Ce qui n'est pas du goût de tous ses supporters.
À la mi-août, le Bayern Munich a signé un contrat de six ans avec l'aéroport de Doha, au Qatar. Ce dernier s'affiche donc sur la manche du maillot des partenaires de Franck Ribéry. Selon nos informations, l'équipe allemande perçoit environ 7 millions d'euros annuels pour ce deal. Lors des matches du Bayern à l'Allianz Arena, des publicités pour l'aéroport Hamad, propriété de Qatar Airways, s'affichent même depuis janvier 2016. En contrepartie, ce nouvel accord prévoit l'ouverture d'une boutique du Bayern au sein de l'aéroport. Si le club bavarois peut se féliciter de la manne financière récupérée, ce partenariat n'est pas du goût de tous ses supporters. Dès qu'ils le peuvent, nombre d'entre eux affichent leur hostilité avec des banderoles : «Ouvrez les yeux lorsque vous choisissez un nouveau sponsor » ou encore «Capital = Morale ?» «Argent = Droits de l'homme ?»
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Carlo Ancelotti menacé ?
  Selon le site internet du quotidien Sport Bild, les dirigeants du Bayern Munich ont convoqué pour jeudi après-midi une réunion de crise où doit être évoqué l'avenir de l'entraîneur Carlo Ancelotti. Willy Sagnol pourrait être son remplaçant en cas de licenciement. Les dirigeants du Bayern Munich ont convoqué pour jeudi après-midi une réunion de crise où doit être évoqué l'avenir de l'entraîneur Carlo Ancelotti à la tête de l'équipe, affirme le quotidien Sport Bild sur son site internet.
«Une séparation n'est plus à exclure, le coach du Bayern vacille», écrit Sport Bild, au lendemain de la défaite du champion d'Allemagne 3-0 à Paris en Ligue des champions.
Le journal allemand précise également qu'en cas de licenciement, Willy Sagnol pourrait remplacer l'Italien.
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[size=30]Officiel : Le Bayern Munich licencie Ancelotti ![/size]


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Publié Jeudi 28 Septembre 2017 à 15:56Dans : Bundesliga, Foot Europeen.

Marius a écrit:

[size=30]Officiel : Le Bayern Munich licencie Ancelotti ![/size]


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Publié Jeudi 28 Septembre 2017 à 15:56Dans : Bundesliga, Foot Europeen.

C’était la défaite, ou plutôt l’humiliation de trop. Battu par le Paris Saint-Germain (3-0) mercredi en Ligue des Champions, le Bayern Munich a pris une décision radicale.
Comme pressenti ces dernières heures, le club bavarois a officiellement licencié l’entraîneur Carlo Ancelotti. Il faut dire que le président Karl-Heinz Rummenigge, qui a beaucoup critiqué la politique parisienne cet été, avait presque scellé le sort de l’Italien dans sa réaction d’après-match. « Je pense qu’il est important de changer les choses après cette défaite », avait lâché le dirigeant.
A la suite d’une réunion de crise ce jeudi, les décideurs du Bayern, actuel 3e de Bundesliga, ont donc choisi de sacrifier Ancelotti, qui aura donc été victime de son ancien club... A noter que l'adjoint français Willy Sagnol assurera l’intérim en attendant la nomination du prochain coach.

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Carlo Ancelotti démis de ses fonctions
Au lendemain de la défaite du Bayern Munich à Paris (0-3) en Ligue des champions, le club bavarois a décidé de se séparer de son entraîneur, Carlo Ancelotti. Willy Sagnol va le remplacer au moins lors du match de dimanche contre le Hertha Berlin.
Carlo Ancelotti n'est plus l'entraîneur du Bayern Munich, comme annoncé un peu plus tôt, ce jeudi, par les médias allemands. La défaite de mercredi soir face au PSG (0-3) en Ligue des champions a été fatale à l'entraîneur italien. «À la suite d'une analyse interne après la défaite 3-0 dans le match de groupe de la Ligue des Champions sur le terrain du Paris Saint-Germain, le FC Bayern München se sépare de Carlo Ancelotti», écrit le club dans un communiqué. Après le revers parisien, Karl-Heinze Rummenigge, le patron du club, avait annoncé qu'il fallait «tirer des conséquences» de cette défaite. «Il est important que nous inversions vite la courbe et que nous nous présentions de nouveau comme le Bayern Munich», avait ajouté Rummenigge. C'est donc Ancelotti qui a payé pour cette gifle.
Sagnol assure l'intérim

Fragilisé après le début de saison moyen de son équipe, notamment au niveau du jeu, le technicien italien n'a pas résisté à la défaite face au PSG. Un peu plus tôt dans la journée, la presse allemande avait fait état d'une réunion de crise au Bayern pour évoquer l'avenir de l'entraîneur. «Les performances de notre équipe depuis le début de la saison n'ont pas répondu aux attentes. Le jeu à Paris a clairement montré que nous devions tirer des conséquences. Hasan Salihamid?i? et  moi avons eu une discussion ouverte et sérieuse aujourd'hui avec Carlo et l'ai informé de notre décision», a déclaré Karl-Heinz Rummenigge, le patron du club bavarois.

Comme annoncé par Sport Bild, c'est Willy Sagnol, son adjoint, qui assurera l'intérim à partir de dimanche et la rencontre face au Hertha Berlin.

Ancelotti avait succédé à Pep Guardiola lors de la saison 2016-2017. Avec le technicien italien à sa tête, le Bayern avait remporté le titre mais échoué en quart de finale de la Ligue des champions, éliminé par le futur vainqueur, le Real Madrid (1-2, 2-4 a.p.).
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Il fallait si attendre
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les raisons du départ de Carlo Ancelotti
  Des départs de Lahm et Alonso à un mercato frileux en passant par la blessure de Manuel Neuer ou des décisions de coaching bizarres, plusieurs raisons expliquent le début de saison raté du Bayern qui a débouché sur le départ, jeudi, de Carlo Ancelotti.
Un effectif orphelin de Lahm et Alonso
Cet été, Xabi Alonso et Philipp Lahm ont quitté le club. On ne remplace pas 231 matches de Ligue des champions facilement. Le Bayern possède certes Joshua Kimmich depuis plusieurs années et il a désormais le niveau et l'expérience pour remplacer l'ancien capitaine bavarois.

Corentin Tolisso, lui, vient seulement d'arriver et ne peut pas déjà remplir le vide laissé par l'Espagnol. Ces deux tauliers savaient parfaitement quand resserrer les rangs. Avec eux, le Bayern n'aurait sûrement jamais perdu deux points contre Wolfsburg, après avoir mené 2-0 jusqu'à l'heure de jeu.

Certains cadres encore présents, comme Ribéry, Robben ou encore Müller, ont peu à peu perdu confiance en l'Italien et ne lui servaient plus de relais.
La blessure de Manuel Neuer
Considéré comme l'un des meilleurs joueurs à son poste, Manuel Neuer a cruellement manqué à son équipe depuis qu'il s'est blessé. Victime d'une fracture au pied gauche, Neuer ne sera pas de retour avant janvier 2018 et les performances d'Ulreich, son remplaçant, n'ont pas aidé l'équipe à montrer un meilleur visage.
 
Auteur d'une faute de main lors du match nul contre Wolfsburg (2-2), il n'a pas su se montrer décisif contre Paris. Le Bayern a préféré faire appel à Tom Starke plutôt que de recruter un vrai joker après la blessure de son gardien vedette. Les dirigeants auraient certainement dû chercher à investir sur un gardien de très haut niveau.
Des décisions bizarres
Contre le PSG, les défenseurs Hummels et Boateng étaient respectivement sur le banc et hors de la feuille de match. Des choix qui ont posé question. Si le premier revenait tout juste de blessure (adducteurs), le deuxième a été plutôt efficace cette saison et son sens de l'anticipation aurait été précieux.

«Mais Süle a été plutôt bon», a timidement tenté Carlo Ancelotti après la rencontre. Spectatrice sur les trois buts français, la recrue arrivée de Hoffenheim a pour tout le monde été le maillon le plus faible de son équipe. Très expérimentés, Robben et Ribéry ont aussi été laissés sur le banc comme lors de l'autre défaite de la saison à Hoffenheim (0-2).
À leur place, Müller et surtout James Rodriguez (remplacé à la pause) n'ont pas pesé sur Paris. L'ailier français a quitté le Parc des Princes furieux, préférant ne rien dire plutôt que lâcher des mots lourds de sens. Très influent, comme le Néerlandais, son avis sur le départ de l'Italien a sûrement pesé.
Un recrutement frileux
«Jusqu'à aujourd'hui, le Bayern n'a jamais payé plus de 40 millions d'euros pour un joueur. Dans le football international, c'est depuis longtemps une somme moyenne et non plus une grosse somme.»Le constat est signé Lewandowski et si le Polonais a depuis été sévèrement recadré par son président Rummenigge, il n'en soulève pas moins un problème qui fâche.

Le modèle que le club bavarois vante à l'envi ne lui permet plus de recruter des joueurs d'un niveau comparable à ceux qui lui ont permis d'être une des équipes les plus respectées en Europe ces dernières années.

Si les champions d'Allemagne en titre ont battu leur record de dépense en recrutant Tolisso (41,5 millions d'euros + 6 de bonus), ils sont loin du montant déboursé, par exemple, par Manchester United pour attirer Romelu Lukaku (84,7 millions d'euros), sans même parler de la somme du transfert de Neymar (222 millions d'euros).
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Willy Sagnol devra hausser son niveau au Bayern Munich 
Nommé à la tête du Bayern Munich suite au départ de Carlo Ancelotti, Willy Sagnol sera sous pression. Le jeune technicien français va devoir montrer qu'il vaut plus que ce qu'il a montré avec les jeunes de l'équipe de France et Bordeaux.
Un parcours tronqué avec les Bleuets
Nommé manager des équipes de France de jeunes fin 2011, Willy Sagnol a occupé le rôle de sélectionneur de U20. Avec Sidibé, Kurzawa, Ntep, Ferri, N.Mendy, Imbula ou encore Ghezzal, il ne termine que troisième du tournoi de Toulon 2013.

Logiquement, il continue avec cette génération et prend en charge la sélection Espoirs. Il remplira parfaitement son objectif qui était de la qualifier pour l'Euro 2015 de la catégorie, du moins tant qu'il est en poste. Areola, Laporte, Kondogbia, Sanson, Umtiti, Digne, Thauvin, Martial, Benzia, Zouma ont été intégrés et lui permettent de réaliser son objectif (six succès en six matches). De quoi aiguiser l'appétit de Bordeaux, qui lui offre les rênes de l'équipe première. Entretemps, les Espoirs, alors dirigés par Pierre Mankowski, échouent à se qualifier par l'Euro, battus en play-offs par la Suède.
A Bordeaux, une saison au top puis la chute
Dans l'impossibilité de convaincre Zinedine Zidane de prendre la suite de Francis Gillot, les Girondins se tournent vers Sagnol. Sans Coupe d'Europe pour manger les énergies, les Bordelais réalisent une saison 2014-2015 intéressante pour les débuts de l'ancien défenseur du Bayern sur un banc de club. Défaite seulement deux fois à domicile, emmenée par le prolifique Diego Rolan, son équipe termine 6e de la L1. La suite sera beaucoup moins brillante.

Sa communication hasardeuse (affaire du «joueur africain», humour salace envers un arbitre, attaque de sa direction dans les médias) a commencé par saper son aura auprès des influenceurs du Haillan (adjoints, éducateurs, kinés...) et son autorité sur ses joueurs. Malgré ses blâmes, son effectif a commencé à faire parler de lui de la pire des façons (altercations Rolan-Maurice-Belay et Prior-Sané, soucis de poids de Touré, insultes de Pallois à un arbitre). Son groupe s'est éparpillé, mis à mal par les suspensions, les blessures (Carrasso, Sertic, Plasil, Maurice-Belay) et le faible apport des recrues voulues par Sagnol (Bernardoni, Gajic, Pablo, Arambarri, Debuchy). Peu spectaculaire, catastrophique défensivement, perdu par les atermoiements tactiques du coach (4-5-1, 4-4-2, 3-4-3) Bordeaux s'est enfoncé au classement. Dans une impasse, Willy Sagnol a finalement été débarqué le 14 mars 2016, après un 0-4 lors du derby contre Toulouse. C'est Ulrich Ramé qui a sauvé le club de la relégation.
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Les cinq stars du Bayern qui ont eu la peau d’Ancelotti
Viré de son poste d'entraîneur du Bayern Munich, Carlo Ancelotti a payé très cher la défaite du club allemand face au PSG (0-3). Le média Sport1 a d'ailleurs dévoilé les dessous de cette éviction.
La nouvelle en a surpris plus d’un. À l’heure où plusieurs clubs européens changent d’entraîneur comme de chemise, le Bayern Munich s’était très rarement illustré dans ce domaine. Et pourtant, même pas 24 heures après la débâcle des Bavarois à Paris (0-3, 2e journée de la Ligue des Champions), Carlo Ancelotti a été prié de faire ses valises. Un choix que le président Karl-Heinz Rummenigge avait expliqué quelques instants seulement après le limogeage de son entraîneur.

« Le match contre Paris a clairement montré que nous devions tirer des conséquences. Hasan Salihamidzic et moi avons eu une discussion ouverte et sérieuse avec Carlo et je l’ai informé de notre décision. J’aimerais remercier Carlo pour la coopération et je regrette le développement qu’elle a prise. Carlo est mon ami et le restera, mais nous devions prendre une décision professionnelle pour le bien du Bayern. » Mais aujourd’hui, d’autres éléments ont été révélés au grand jour pour expliquer le départ précipité de l’Italien.
5 cadres ne voulaient plus d’Ancelotti

Le média allemand Sport1 indique en effet que cinq joueurs majeurs du vestiaire avaient clairement pris position contre Ancelotti. Une version confirmée par Bild. Cinq éléments qui seraient Mats Hummels, Jérôme Boateng, Arjen Robben, Franck Ribéry Thomas Müller. Le désaccord était tel que le jour du match, au moment de prendre connaissance du onze aligné pour défier le PSG, plusieurs membres du vestiaire auraient tenté de faire revenir Carletto sur ses choix, très surpris de la composition où ne figuraient pas plusieurs atouts majeurs tels que Hummels, Boateng, Ribéry ou Robben.

Une ambiance délétère confirmée par l’autre dirigeant historique du Bayern Munich Uli Hoeness. « Ancelotti avait cinq joueurs contre lui. C’est quelque chose qui ne pouvait pas durer. En tant que coach, vous ne pouvez pas vous permettre d’avoir comme opposants des joueurs importants. Je dis toujours : l’ennemi que vous avez dans votre lit est le plus dangereux. Donc nous avons dû agir ». Reste maintenant à régler au plus vite la succession d’Ancelotti.
foot mercato

N'importe quel entraîneur avec l'effectif actuel du Bayern se serait pris trois buts au PSG.

Citation :

Mats Hummels, Jérôme Boateng, Arjen Robben, Franck Ribéry Thomas Müller

Curieux 5 joueurs sur le reculoir depuis quelques temps. Bizarre...

Allmen67 MrEnigme a écrit:

N'importe quel entraîneur avec l'effectif actuel du Bayern se serait pris trois buts au PSG.

Ce limogeage ne vient pas seulement de ce match perdu à Paris, comme je l'ai déjà mentionné j'ai vu tous les matchs du Bayern cette saison et mon impression sur l'équipe, c'est qu'ils sont moins forts qu'avant, certains matchs ont été gagnés avec beaucoup de chance et Wolfsburg a été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase .
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Thomas Tuchel sera le nouvel entraîneur du Bayern Munich selon Bild
  Le quotidien allemand Bild annonce que Thomas Tuchel va prochainement être nommé entraîneur du Bayern Munich. Dans les tuyaux depuis le limogeage de Carlo Ancelotti, l'arrivée de Thomas Tuchel sur le banc du Bayern Munich se précise. Selon le quotidien sportif allemand Bild, l'ancien entraîneur du Borussia Dortmund a trouvé un accord avec le club bavarois. Une photo de lui en train de prendre l'avion vers Munich a même été diffusée. Bild précise toutefois que Willy Sagnol assurera bien l'intérim contre le Hertha Berlin dimanche en Bundesliga.
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Le meilleur choix pour permettre au Bayern ... de ne pas être champion et laisser la voix libre à Dortmund et aux équipes adverses en LDC.
N'oublions pas que c'est l'entraîneur qui a fait reculer le Borussia.

Je voyais moi aussi autre chose qu'un Tuchel ou un Nagelsmann dont il était aussi question, je me demande s'ils ne font cela pour attendre la fin de contrat de Kloop.
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