Lille et Troyes sont encore vivants, Strasbourg en danger 
Vainqueurs face à Metz (3-1) et Caen (3-1), Lille (19e) et Troyes (18e) reviennent provisoirement à deux longueurs du maintien. Strasbourg, qui n'a pas gagné contre Nice (1-1), est en danger.

Lille et Troyes se rebellent, pas Strasbourg

Lille et Troyes ont chacun gagné trois points terriblement importants ce samedi dans l'optique du maintien. Le Losc (19e) s'est imposé à domicile contre la lanterne rouge, Metz, après un joli match (3-1). Les hommes de Galtier ont donc pris presque autant de points en une rencontre qu'en trois mois. Nicolas Pépé a été excellent. Il a été à l'origine des buts de Luiz Araujo (13e) et de Bissouma (77e) mais a aussi marqué d'un superbe tir du gauche (45e + 2). Les Grenats, qui avaient trouvé le poteau de Maignan via Mandjeck en début de rencontre, ont sauvé l'honneur grâce au 15e but de la saison de Nolan Roux. Sur le coup, Dossevi a distribué sa 11e passe décisive. Mais deux joueurs aussi bons soient-ils ne peuvent pas sauver les Lorrains à eux seuls.
Troyes, qui n'avait plus gagné depuis neuf rencontres, conserve de l'espoir après son succès face à Caen (3-1). Le SMC a pourtant ouvert le score dès la 4e, sur une tête du revenant Ivan Santini. Mais Vercoutre s'est manqué sur un coup franc de Pelé et les locaux ont égalisé. Nivet puis Suk ont permis à l'Estac de l'emporter avant d'affronter Lyon, Montpellier et Monaco dans une fin de Championnat très compliquée. Grâce à leurs succès, Lillois et Troyens réalisent une bonne opération et reviennent provisoirement à deux points du premier non relégable, Toulouse (qui va à Rennes, dimanche).
De son côté, Strasbourg est en grand danger après une terrible série de dix matches sans succès. Lors de cette 35e journée, le RCS n'a pas pu battre Nice (1-1). Bahoken a été à l'origine de l'ouverture du score de Saadi mais également... de l'égalisation adverse puisqu'il a concédé un penalty qui a été transformé par Balotelli. Sous la pluie, l'attaquant italien a obligé Oukidja à deux belles parades en fin de rencontre. Le gardien alsacien a aussi été heureux sur un centre contré de Lees-Melou, qui a terminé sur son poteau. Privé de Plea (suspendu), l'OGCN a manqué de réussite devant malgré sept tirs cadrés. Cinquièmes avant cette 35e journée, les Aiglons pourraient tomber à la 7e place dimanche !

Dijon était trop affaibli

Dijon ne pouvait pas mieux faire. A Bordeaux sans neuf joueurs majeurs, le club bourguignon s'est incliné (1-3). A l'affût sur une frappe de Kamano repoussée par Reynet, Sankharé a ouvert le score. Mais il a ensuite été le grand fautif sur l'égalisation adverse, signée par l'inévitable Sliti sur penalty. Impliqué sur cinq des huit derniers buts du DFCO, le joueur prêté par Lille a été acheté définitivement par Dijon. Kamano a ensuite obtenu un penalty, qu'il a transformé pour son 7e but de la saison. Rosier, grand spécialiste des csc, a encore marqué dans son but à la 80e.
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Monaco, tenu en échec par Amiens, ne répond plus 
Alors que Lyon a disposé de Nantes (2-0), Monaco n'a pas réussi à dominer Amiens à Louis-II (0-0). Dépassés par les Lyonnais, les Monégasques (3es) sont désormais sous la pression des Marseillais.
Depuis sa débâcle au Parc des Princes (1-7), Monaco a perdu le contrôle. Après avoir été surclassés par Guingamp (1-3), les joueurs de la Principauté n'ont marqué face à Amiens (0-0), un adversaire pourtant quasi assuré de se maintenir au coup d'envoi. Ce score nul et vierge ne fait vraiment pas leurs affaires dans la course à la qualification pour la Ligue des champions, Lyon ayant pris trois points contre Nantes (2-0). À Louis-II, les hommes de Leonardo Jardim n'ont mis aucun rythme dans la partie. Un chiffre suffit à résumer leur impuissance devant leur public : 1, comme le nombre de tir cadré pour seize frappes tentées.
Il a fallu attendre la 87e minute pour voir la tête de Touré repoussée sur sa ligne par Monconduit. Avant lui, ni Boschilia (25e, 34e et 39e), ni Moutinho (29e), ni Falcao (42e), ni Lopes (62e) n'ont trouvé les cages gardées par Gurtner. En contre, sur une inspiration géniale (65e), Kakuta aurait même pu scorer si Subasic n'avait pas dévié sa volée sur son poteau. Privé de nombreux éléments (Jemerson, Benaglio, Sidibé, Traoré, Baldé, Jovetic, Ghezzal, Pellegri...), Leonardo Jardim n'a pas trouvé de solutions pour réagir. Pour ne rien arranger, Diakhaby a été expulsé, comme Gouano, dans le temps additionnel. Dépassée par l'OL, l'ASM (3e) est désormais sous la menace de l'OM, qui joue dimanche à Angers (17h00).
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Frédéric Hantz (Metz) : «La déception est énorme» 
Pour l'entraîneur de Metz Frédéric Hantz, la défaite à Lille (1-3) entérine quasiment les derniers espoirs de maintien en Ligue 1. Frédéric Hantz (entraîneur de Metz, après la défaite à Lille 1-3) : «La déception est énorme, elle sanctionne quelque chose peut-être de manière définitive. On le verra par la suite. C'est une défaite qui compte, de manière évidente. Depuis le début de la saison, Metz a manqué tous les matches qui permettaient de revenir. Ce match est un peu à l'image de tous les tournants... L'équipe n'a jamais su se sublimer sur les matches décisifs. C'est dommage mais si on en est là c'est qu'il nous manque beaucoup de choses. On est supérieur dans les stats mais les matches se jouent das les deux surfaces. On a manqué de justesse technique, de replacement, de spontanéité. Sur l'essentiel, on n'y était pas: dans la qualité technique, l'engagement physique, le replacement... Il reste trois matches et on va se projeter sur le prochain en essayant de remotiver ceux qui peuvent l'être encore.»
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35ejournée
Dimanche le 29/04/2018
Rennes2 - 1Toulouse
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Alors que Rennes a joué à 10 pendant les 20 dernières minutes, toujours les bons scores pour le Racing.

Mais qui donne confiance pour la venue du racing.
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Marco 69/73 a écrit:

Mais qui donne confiance pour la venue du racing.
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Allmen67 MrEnigme a écrit:

Marco 69/73 a écrit:

Mais qui donne confiance pour la venue du racing.
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?

Je voulais dire que même à dix Rennes a gagné ça leur donne une entière confiance pour la venue du racing.
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L'équipe type de la 35e journée de Ligue 1


Auteur d'un bon nul au Parc des Princes (2-2), Guingamp place trois de ses joueurs dans notre onze type. Et pas de jaloux entre Stéphanois et Lyonnais, bien représentés aussi.

Chauds comme la Breizh

On n'arrête plus Guingamp. Grâce à son match nul à Paris, le club breton est le plus en vue cette semaine dans notre équipe type, avec Félix Eboa Eboa, Clément Grenier et Ludovic Blas, auteur d'une belle volée. Une présence exceptionnelle ? Même pas ! Ils étaient déjà trois Costarmoricains la semaine dernière après le succès face à Monaco (3-1). Reste à faire aussi bien à Dijon dimanche prochain.

Gasset, c'est plus musclé

Si Unai Emery domine toujours notre classement des entraîneurs, ce ne sera sans doute plus le cas la semaine prochaine. Le technicien parisien devrait être dépassé par Jean-Louis Gasset (64 ans) qui, avec dix-huit notes, pourra enfin figurer parmi ses pairs. Fort d'une moyenne exceptionnelle de 6,29 depuis son arrivée, l'ancien acolyte de Laurent Blanc se hissera directement tout en haut du classement et il sera le nouveau favori pour succéder à Leonardo Jardim, primé en mai 2017.

Goals, avantage particulier

À l'image du Strasbourgeois Alexandre Oukidja (29 ans), crédité d'un 8/10 pour sa belle performance face à Nice (1-1), les gardiens jouent un rôle clé au sein de bon nombre de formations de Ligue 1. À tel point qu'on les retrouve souvent avec la meilleure moyenne au sein de leur équipe. C'est le cas à Amiens, Guingamp, Montpellier, Nice, Rennes, Saint-Étienne et Troyes. De fait, la bataille pour la succession de Cédric Carrasso, le meilleur à ce poste la saison dernière, s'annonce extrêmement serrée. À trois journées de la fin, Benjamin Lecomte (Montpellier), Stéphane Ruffier (Saint-Étienne) et Régis Gurtner (Amiens) sont les mieux placés pour prétendre à la victoire finale.
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Les compagnons d'infortune de la Ligue 1


Ils sont sept, dont le Racing, à ramer pour éviter les trois dernières places du championnat de Ligue 1. Jusqu’au 19 mai, date de la 38e journée, ils ont du pain sur la planche, trois occasions chacun de jubiler en décrochant leur sésame pour la saison 2018-2019. Ou de pleurer en ruminant leur incapacité à demeurer dans le top-20. Tour d’horizon.

Aaaaah ! Le doux confort du ventre mou. Alors que le titre est adjugé à Paris, grandissime favori sur la ligne de départ, tandis que trois équipes se disputent les deux autres places sur le podium, qualificatives pour la Ligue des champions, pendant que Saint-Étienne, Rennes et Nice s’empoignent pour les deux accessits qui mènent à la Ligue Europa, un tiers des vingt clubs de Ligue 1 est loin de ces objectifs grisants.

Pas logés à la même enseigne

Leur rêve ? Vivre un mois de mai en sifflotant. Leurs joueurs se contenteraient bien de quelques entraînements sans guère se soucier du lendemain, les yeux rivés sur la saison d’après, à programmer quelques apéros détendus sans percevoir l’ombre d’une nuance de culpabilité.
Angers, Caen, le Racing, Toulouse, Troyes, Lille et Metz sont engagés dans un mini-championnat dont seuls les quatre premiers seront assurés de sortir gagnants.
Le cinquième sera en sursis, destiné à un barrage contre un pensionnaire de Ligue 2 (*), un sort pas vraiment enviable. La saison passée, Troyes avait décroché son ticket pour l’élite en triomphant de Lorient par ce biais.
Les sept compagnons d’infortune ne sont, pour l’heure, pas logés à la même enseigne. Angers est presque sauvé quand Metz est quasiment condamné. Mais avant la 36e journée, sur les bords de la Loire, de la Moselle, de l’Ill ou de la Garonne, ils sont quelques-uns à cogiter, avec une certaine angoisse d’éviter un exercice complètement raté.

A NGERS

Le SCO ne peut pas complètement envisager sa fin de saison en fumant la pipe. Mais en Anjou, on n’a aucune raison non plus d’être au 36e dessous. La bande à Moulin a trois matches dans ses cordes au programme et n’a pas besoin d’une montagne de points pour en laisser trois derrière elle à l’heure des bilans.
En fait, elle dispose de trois balles de match pour mettre fin au – faux ? – suspense, puisqu’elle compte six points d’avance sur la 18e place, ainsi qu’un goal-average avantageux qui n’est pas loin de valoir pour un septième. Une victoire à Metz, la lanterne rouge, et son affaire serait entendue.

CAEN

Les Normands ont pris une certaine habitude à évoluer parmi l’élite – ils ont quitté la L2  en 2014. Mais ils ne respirent pas la sérénité ces temps-ci. Les actionnaires du Stade Malherbe se livrent à une bataille en coulisses, ce qui n’est jamais une félicité pour le domaine sportif, posez la question aux joueurs du Racing de la fin de l’ère Ginestet.
Comme les Strasbourgeois, les Caennais ont perdu l’habitude de gagner, apparentant la visite du Racing, début mars, à une bénédiction (2-0). Depuis, en sept matches, ils n’ont récolté que deux points. Et leur fin de saison s’annonce (très) compliquée avec la réception de Monaco et le déplacement à Nice. La seule source d’optimisme réside peut-être dans le dernier match à leur programme.
Ronny Rodelin, Julien Féret et les autres s’étaient maintenus, la saison passée, à la faveur d’un nul face au PSG et recevront le champion de France pour conclure leur saison.

TOULOUSE

Sur le papier, le “TéFéCé” n’est pas loin de bénéficier du calendrier le plus avantageux. Mais du papier, les supporters en font parfois des boulettes pour exprimer leur mécontentement. Les Violets accueillent deux fois. Pour la première, c’est à un combat au couteau qu’ils doivent se préparer avec la venue de Lille, juste deux points derrière eux, dimanche.
Sinon, en dépit des récents résultats, les ambassadeurs de la Ville Rose ont pu afficher récemment un visage qui ne fleurait pas l’angoisse, victorieux d’un match crucial face à Angers (2-0), solide à Caen (0-0) et pas loin de revenir de Rennes avec un petit quelque chose (2-1). Une impression à confirmer.

TROYES

Comme les Caennais, les Aubois ont quelques raisons d’observer ce qui les attend en se grattant la tête. Des déplacements à Lyon et à Montpellier les attendent, tandis que la réception de Monaco, qui aura sans doute une qualification pour la C1 à assurer, n’a rien d’une sinécure.
L’idée de s’accrocher bec et ongles à la 18e place a une certaine pertinence. L’exercice leur avait réussi la saison passée. De même, Benjamin Nivet et ses copains étaient destinés à lutter jusqu’au bout et le succès décroché face à Caen (3-1), le week-end dernier, tend à prouver que l’Estac n’a pas renoncé.

LILLE

Le nouveau président, Gérard Lopez, en place depuis janvier 2017, avait prévenu : On allait voir ce qu’on allait voir avec “El Loco” Bielsa sur le banc et des jeunes joueurs en provenance des quatre coins du monde, pétris de talent, le top-5 dans le viseur.
On a depuis vu un changement d’entraîneur sans beaucoup d’incidence sur une tendance négative, une équipe en perdition, une relégation en Ligue 2 décrétée par la Direction Nationale du Contrôle de Gestion en janvier pour des comptes dans le rouge et des pseudo-supporters qui tentent de rosser leurs propres joueurs.
En gros, le Losc est dans une crise durable et seule la victoire face à Metz, samedi dernier, laisse espérer un sort moins funeste que celui du Racing en 2011. Pour se rassurer, les Lillois peuvent jeter un œil sur leur programme, pas tout à fait dantesque. Mais les jeunes protégés de Christophe Galtier, l’entraîneur expérimenté qu’on a connu moins paumé, seraient inspirés d’éviter les boîtes de nuit avant leur rencontre. Lorsque deux d’entre eux y avaient été aperçus deux jours avant le déplacement à Marseille, ils en avaient pris cinq au Vélodrome.

METZ

Si les Grenats ne sont pas morts dans la lutte pour le maintien, ils ne sont plus très vivants non plus. Le FC Metz ne s’est jamais vraiment relevé d’un début de saison cauchemardesque, ponctué d’une victoire, un nul et 14 défaites sur ses 16 premières sorties de Ligue 1.
Depuis, son bilan est tout à fait présentable – six victoires, six nuls, sept défaites – mais il est le fruit d’un mode survie. Et la dernière défaite concédée à Lille a semblé constituer l’ultime chance de recoller au bon wagon. Avec six points de retard sur la 18e place, un goal-average pas franchement folichon, le pensionnaire de Saint-Symphorien doit songer à un parcours sans faute tout en comptant sur des faux pas en rafale devant. Autant dire qu’il a un pied et déjà quelques orteils à l’échelon inférieur.
* Cette année, la Ligue de Football Professionnel a décidé de “relooker” le système de barrage. Ainsi, le cinquième rendra visite au quatrième, le 15 mai. Le vainqueur de ce match rendra visite au troisième, le 18 mai. Le vainqueur de cette dernière confrontation affrontera, en match aller-retour, les 23 et 27 mai, le 18e de Ligue 1.
dna

36ejournée
 Vendredi 4 Mai 2018

Amiens SC 49' Konate 82' Konate

2 - 2

Paris SG 25' Cavani 64' Nkunku

Dimanche le 6/05/2018

	Saint-Etienne 28' Cabella sp	1 - 3	Bordeaux 30' Sankharé 36' Koundé 42' Sankharé 90+4' Malcom
	Lyon 28' Traore 35' Traore 90' Cornet	3 - 0	Troyes

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36ejournée
Dimanche le 6/05/2018

	Nantes 42' Sala rate son penalty	0 - 2	Montpellier 51' Dolly 62' Mbenza
	Metz 19' Mollet	1 - 1	Angers 90+4' Pavlovic 90+4' Tait
	Caen 40' Santini 77' Genevois exclu	1 - 2	Monaco 12' Sylla 90+1' Sylla
	Rennes 12' Bourigeaud sp 60' Hunou	2 - 1	Strasbourg 67' Lienard
	Toulouse 9' Jean 45' Jullien	2 - 3	Lille 5' Pepe 80' Bissouma 83' Pepe
	Dijon 34' Kwon 63' Yambere 90+2' Sliti	3 - 1	Guingamp 57' Eboa Eboa

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Le but de la victoire de Monaco dans le ta. pourrait faire mal à Caen. Il faut tenir compte des Caennais pour la lutte contre la 18ème place.

Pour ça il faut aussi que le Racing gagne.
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A Nantes peut-être qui pourrait laisser filer la fin de saison mais gagner à Nantes,, ce n'est plus arrivé, je crois, depuis des décennies. Faudrait voir. Encore une bête noire...

Edit: si  j'ai bien regardé, la dernière victoire en championnat  du Racing à Nantes remonte au ... 12 juin 1971.

https://racingstub.com/club/20/season/1970/20/games

Marco 69/73 a écrit:

36ejournée
Dimanche le 6/05/2018

	Nantes 42' Sala rate son penalty	0 - 2	Montpellier 51' Dolly 62' Mbenza
	Metz 19' Mollet	1 - 2	Angers 90+4' Pavlovic 90+4' Tait
	Caen 40' Santini 77' Genevois exclu	1 - 2	Monaco 12' Sylla 90+1' Sylla
	Rennes 12' Bourigeaud sp 60' Hunou	2 - 1	Strasbourg 67' Lienard
	Toulouse 9' Jean 45' Jullien	2 - 3	Lille 5' Pepe 80' Bissouma 83' Pepe
	Dijon 34' Kwon 63' Yambere 90+2' Sliti	3 - 1	Guingamp 57' Eboa Eboa

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Petit rectificatif pour le résultat de la rencontre Metz-Angers.

Je me pose une question à propos de la situation administrative de Lille rétrogradé d'office par la LFP il y a quelques temps. Si quelqu'un a du neuf à ce sujet ou si j'ai loupé un épisode...
Qu'adviendra-t-il des résultats des barrages 18ème L1/3ème L2?

Je comprends par il ont deux buteurs (Metz-Angers) et 1-1, pour Lille sur aucun forum il y a quelque chose de Lille sur cette affaire.

Un problème informatique sans doute puisque les deux buts angevins sont indiqués à la même minute (90+4). Une erreur évidemment puisque le premier but angevin a été inscrit à 90+2. Un second but inscrit à la même minute ne doit pas être compté (informatiquement parlant).

37ejournée

Vendredi le 11/05/2018

Guingamp 42' Grenier 52' Grenier sp 70' Briand sp

3 - 3

Marseille 2' Germain de la tete 14' Thauvin de la tete 66' Mandanda 81' Thauvin

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La dernière journée

Victoire de Toulouse et défaite de Caen égale Toulouse sauvé et Caen barragiste, un scénario encore possible que j'avais entrevu il y a deux journées.

38e journée : podium, Europe et maintien en ligne de mire
Ce samedi soir, trois luttes à trois équipes vont encore animer la dernière journée de Ligue 1 cru 2017-2018.
Le podium pour les uns, la Ligue Europa pour les autres et éviter la 19e place pour les derniers. Si le champion (Paris Saint-Germain) et la lanterne rouge (Metz) sont désormais connus, d'ultimes enjeux vont encore ponctuer le 38e épisode de cette saison de Ligue 1.

Podium : Monaco tient la corde, l'OM dos au mur
Les trois points pris par les Monégasques contre Saint-Etienne la semaine dernière dans le temps additionnel valent très cher dans cette course à la 2e place.  Avec la défaite de Lyon et le match nul de l'OM, les hommes de Leonardo Jardim se sont mis en position favorable avant la dernière échéance.
Avec 77 pts, soit deux d'avance sur Lyon et trois sur Marseille, les joueurs du Rocher n'ont besoin que d'un nul à Troyes pour assurer leur place sur le podium, la 2e comme la 3e marche leur garantissant la phase de poules de Ligue des Champions grâce à la victoire en Ligue Europa de l'Atletico Madrid mercredi
Une finale qu'a perdu l'OM, qui pourrait également voir la perspective de retrouver la grande Coupe d'Europe s'envoler. En quatrième position à l'heure actuelle, les Olympiens reçoivent Amiens avec l'obligation de gagner pour monter sur le podium.
La deuxième place paraît illusoire mais mathématiquement possible (il faudra une défaite monégasque et un nul ou ou pire de l'OL) alors que la troisième sera acquise en cas de succès au Vélodrome et de contre-performance lyonnaise.
Surtout que Lyon hérite d'un gros morceau pour ce dernier acte. Alors que l'OM affronte Amiens, qui n'a plus rien à jouer, et Monaco Troyes, qui lutte pour sa survie, les Gones accueillent Nice, en passe de se qualifier pour l'Europe (voir ci-dessous).
La défaite concédée samedi dernier face à Strasbourg dans les arrêts de jeu a mis un coup sur la tête aux hommes de Bruno Genesio, qui doivent s'imposer pour s'éviter toute mauvaise surprise.
Ligue Europa : Bordeaux et Saint-Etienne veulent y croire
Mais Nice ne l'entend pas de cette oreille. Si Rennes (5e) est déjà certain de disputer la Ligue Europa, ce n'est pas (encore) le cas des Aiglons. Avec 3 pts de retard sur les Bretons, ils peuvent encore terminer à leur place mais veulent surtout sécuriser leur 6e rang, même s'il rajoute un tour préliminaire de plus pour d'octroyer le droit de disputer la phase de poules de la Coupe d'Europe.
Nice vient donc à Lyon avec le couteau entre les dents, tout en sachant qu'un nul ne suffira peut-être pas à conserver son rang.
Car derrière, Bordeaux et Saint-Etienne y croient encore. Les Girondins, forts de leur succès dans le derby de la Garonne, ont encore une chance assez inespérée d'être Européens pour le prochain exercice. A deux points des Niçois et avec un goal-average quasi identique (+1 Bordeaux, +2 Nice), une large victoire à Metz conjuguée à un résultat favorable à Lyon pourraient faire les affaires des Bordelais.
Les Verts sont également à deux longueurs de la 5e place, mais la défaite à Monaco a quelque peu plombé leur ambition, déjà lestée d'une différence de bus catastrophique (-8). Malgré tout, une défaite niçoise et un mauvais résultat bordelais, et une victoire stéphanoise face au LOSC, désormais libéré de toute menace de descente sportive, n'est pas inenvisageable...
Maintien : Objectif nul pour Caen, Toulouse pas si mal lôti
En bas du classement, la situation est moins alambiquée avec le maintien assuré par Lille et Strasbourg samedi dernier. Avec un match nul, Caen (17e) est certain de rester en Ligue 1 la saison prochaine. Le seul bémol, c'est que les Normands reçoivent le PSG... L'an passé, au Parc, lors de la 38e journée, déjà, ils avaient arraché un nul au courage qui leur avait permis de glaner leur maintien. Mais difficile de voir une seconde contre-performance de suite parisienne, après une prestation insipide de leur part contre Rennes.
Troyes et Toulouse comptent donc sur cette programmation pour se sauver. Pour les Aubois, il faudra au mieux en passer par un barrage pour voir la Ligue en août prochain. A 4 pts de Caen, Troyes finira au mieux 18e. Mais pour cela, il faut impérativement une victoire contre Monaco (2e), ce qui rend la tâche compliquée aux hommes de Jean-Louis Garcia.
Les Toulousains s'en frottent donc les mains. Ils reçoivent Guingamp (11e) et peuvent donc légitimement croire en leurs chances de s'en sortir. A 3 pts du maintien et avec un goal-average qui les avantage (-17 contre -24 pour Caen), le Téfécé va donc espérer une victoire du PSG en Normandie, qui pourrait bien faire son bonheur... 
dna

Si Troyes se maintient, ça ferait longtemps qu'aucun promu ne descend. Mais ils auront du mal, l'équipe joue la peur au ventre comme à Montpellier où ils ratent un but de 1-2 tout fait (alors que le RCSA lui était toujours trèèès détendu, peut-être trop !).

Ce sera dur pour eux (Troyes) je ne pense pas que Monaco va perdre chez eux.
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Ah oui en plus contre l'ex-champion, il leur faut les trois points !

Allez l'OL !

38e journée et dernière journée

Samedi le 19/05/2018

	Metz	0 - 4	Bordeaux 10' Braithwaite 16' Malcom 43' Kamano 78' De Preville
	Marseille 10' Sanson 17' Mitroglou	2 - 1	Amiens SC 30' Konate 53' Monconduit exclu
	Nantes 31' Dubois	1 - 0	Strasbourg
	Toulouse 58' Gradel 62' Sanogo	2 - 1	Guingamp 67' Grenier coup-franc direct
	Rennes 13' Hunou	1 - 1	Montpellier 16' Mbenza
	Saint-Etienne 7' Bamba 14' Hamouma 39' Hamouma 62' Hamouma 65' Malcuit csc pour son retour à Saint-Étienne	5 - 0	Lille
	Lyon 49' Depay 66' Depay coup-franc direct à terre 86' Depay triplé	3 - 2	Nice 17' Plea 88' Plea
	Troyes	0 - 3	Monaco 21' Rony Lopes 72' Rony Lopes 90' Mboula
	Dijon 22' Sliti 75' Tavares	2 - 1	Angers 53' Tait
	Caen	0 - 0	Paris SG

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