philou06450 a écrit:

...le FCM n'y arrivera pas...
Perso mon favori pour la montée......c'est......c'est......Raon !!!

L'Union Sportive raonnaise est un vieux club français, fondé en 1921.
Il se caractérise par son Stade Paul Gasser, dont la capacité est de 4 000 places dont 1 200 assises depuis sa modernisation en 2005.

Habitué à quelques beaux parcours en Coupe de France depuis 1996, où ils atteignent pour la première fois les 1/16e (élimination face à un certain RCS), Raon connaît également depuis cette période quelques saisons en National. Ce fut le cas en 1998 avec Didier Ollé-Nicolle, ainsi qu'entre 2004 et 2007 avec Richard Déziré.

De manière générale, le club reste surtout un habitué du CFA, qu'il maîtrise parfaitement au point d'y être rarement menacé, voire de pouvoir espérer cette saison de participer encore activement à la montée malgré un début de saison quelconque.

C'est à Paul Gasser lors d'un match de préparation d'avant-saison contre Grenoble (0-0) que j'ai découvert à quel point Quentin Othon était ... petit. Au milieu des grosses machines grenobloises, c'était juste avant la saison où Grenoble s'était bien débrouillé en L1 (la première sur les deux), il passait pour un benjamin au milieu d'un match de seniors.

Je ne pense pas que Raon ait les moyens pour jouer à l'étage supérieur.

Moi non plus ( Raon) , comme Colmar en L2

Avec 5 de leurs 6 prochains matchs à domicile, Raon pourrait très bien s'imposer dans les prochaines semaines comme le plus sérieux candidat pour la montée... Mais chose étonnante, il a fallu attendre le week-end dernier pour les voir s'imposer à domicile pour la première fois de la saison

Raon doit être alors la meilleure équipe à l'extérieur, non?
Félicitations quand même pour leur parcours remarquable en CDF. Pas sûr que l'on revoit prochainement le Racing aussi loin...

Exact, Raon est bien la meilleure équipe à l'extérieur, et de très loin. Les Vosgiens ont récolté huit victoires, deux nuls et seulement trois défaites hors de leur base. La deuxième meilleure équipe à l'extérieur est Jura Sud, avec quatre victoire, sept nuls et deux défaites. "Malheureusement" pour eux, ils ne jouent plus que quatre fois à l'extérieur avant la fin de la saison.

Philou et David l'avait senti venir. Mais le plus terrible, c'est le premier match de la saison du Racing, contre Raon, vu avec mon oncle. Il trouvait que ces deux équipes ayant l'air entièrement en rodage mais bonnes techniquement, elles auraient vraiment les moyens de finir devant au classement une fois qu'elles seraient prêtes. Quand je lui ai dit que seul Raon avait vraiment bouleversé son effectif et que le Racing jouait un peu toujours comme ça, il avait dit du coup que ce serait simplement Raon qui finirait devant A la première journée ça semblait complètement aléatoire, surtout que les Vosgiens avaient perdu ; hélas 28 journées plus tard c'est ce qui s'est produit

6500 habitants environs, autant que de supporters habituels du racing.

candyraton a écrit:

6500 habitants environs, autant que de supporters habituels du racing.

Faut le faire si Raon monte en National et le pauvre Racing qui devra patienter encore une ou quelques années

Le Racing a plus d'investisseurs et de dirigeants que Raon a d'habitants

Sans surprise, Raon se ballade contre Sarre-Union, 3-0 pour l'instant !

Raon qui monte mais ce club a t-il les reins assez solide...?
Mais bon fallait faire mieux que eux...

marc67 a écrit:

Raon qui monte mais ce club a t-il les reins assez solide...?
Mais bon fallait faire mieux que eux...

Bravo à eux ..

marc67 a écrit:

Raon qui monte mais ce club a t-il les reins assez solide...?
Mais bon fallait faire mieux que eux...

Peut etre que Raon va se maintenir en National mais le probleme n'est la là ! pauvre Racing que de se faire dépasser par le petit club de Raon je trouve cela assez honteux pour Strasbourg et les fameux freres Keller

Ce soir Raon perd 3 joueurs sortis sur blessure...C'est moche mais le malheur des un fait le bonheur des autres...

Et encore un départ à Raon. L'excellent milieu de terrain Mounir HAMZAOUI a refusé Epinal et a préféré le soleil de Cannes !

Il paraît que c'est Johansen qui va le remplacer en nombre et en qualité

Que se club crève et que son coach porte enfin son nom!!!!

Où en est Raon?

Quelques paroles de supporters...

Autrement dit ça ne respire pas la joie de vivre chez eux. Ils risquent d'être en danger ce soir à Sarre-Union, qui semble être devenu plus difficile à bouger à domicile (même si ce n'est pas non plus un foudre de guerre).

Pas tant que ça finalement puisque Raon l'a remporté facilement à Sarre-Union (0-3).

Bon et bien, il ne leur reste plus qu'à aligner deux séries de 12 matchs d'invincibilité comme la saison dernière

http://www.foot-national.com/foot-raon-l-etape-7-recrues-arrivent-off-58947.html

Bruno Paterno à Raon-l'Etape
Bruno Paterno, entraîneur de Sarre-Union (CFA) pendant deux ans, sera sur le banc de Raon-l'Etape (CFA 2) la saison prochaine.
Bruno Paterno n'avait pas été prolongé à Sarre-Union (CFA) après deux excellentes saisons à la tête du club de l'Alsace-Bossue. Le technicien alsacien va rebondir du côté de Raon-l'Etape, relégué en CFA 2, où il a signé un contrat d'un an assorti d'une option pour une année supplémentaire.
Dna

Bruno Paterno avant Raon-l’Étape - SRC, samedi (18h) La parenthèse colmarienne

Entraîneur de Raon-l’Étape (CFA2) depuis cet été, Bruno Paterno a su rebondir après un passage brillant de deux saisons à Sarre-Union, couronné par une aventure en Coupe. Samedi, il retrouvera les SR Colmar, le dernier de ses clubs comme joueur.

Il a toujours des manières polies, des mots qu’il polit également joliment. « Être éducateur, c’est savoir rassurer ses joueurs tout en doutant soi-même. Il ne faut pas transmettre sa nervosité », commence par souffler Bruno Paterno.

« Il a fallu s’apprivoiser réciproquement »

Après avoir mené Sarre-Union à la cinquième place du CFA, après l’avoir promené jusqu’à Boulogne-sur-Mer en 32es de finale la Coupe de France (5-4), il avait dû rebondir ailleurs. Pas très loin puisque Raon-l’Étape a eu la bonne inspiration d’être séduit.
« Je me sens bien dans ce club même si les premiers mois ont été difficiles. Il a fallu s’apprivoiser réciproquement. Les joueurs ont dû se faire à moi et moi à eux », grogne celui qui, sous des manières parfois brusques, privilégie la douceur de transmission de la balle sur une pelouse. « Mais je n’ai pas que des qualités », sourit ainsi Bruno Paterno.
Il y a eu ce début de saison totalement raté : trois revers lors des quatre premières journées de CFA 2, alors que son club «vise la montée en CFA à très moyen terme ». Il évoque à peine les blessures, les suspensions et autres soucis qui ont noirci les mois d’août et septembre.
«Au lieu de l’affolement, on a préféré l’écoute. Il n’y a pas eu de précipitation, juste de la réflexion. Et un temps d’adaptation. »
Désormais, le club dont il s’occupe reste sur neuf succès consécutifs toutes compétitions confondues, «cinq en championnat, quatre en Coupe de France», mais Bruno Paterno refuse les louanges qu’on lui tresse vite. «C’est vrai que mes joueurs s’amusent beaucoup. Mais derrière, il y a du travail, de la rigueur.»

Depuis son bureau du stade Paul-Gasser, cerné par les Vosges, le technicien parle vite de Didier Ollé-Nicolle et de la Coupe de France.
«Les deux font partie de l’histoire du club vosgien. Et on me parle souvent de l’un et de l’autre. Les murs de mon bureau sont même recouverts des affiches des grands matches disputés dans cette compétition. Il y a une vraie culture Coupe ici. Tout le monde rêve bien sûr d’une belle aventure.»
Il est allé repérer les Colmariens, c’était lors de leur victoire à Sedan (1-2).
«Je vais être très conventionnel en rapportant que j’ai vu une belle équipe, techniquement comme athlétiquement. C’est très complet », sourit-il en réservant la suite de ses observations à ses joueurs.
On le fait parler de Sarre-Union forcément, de cette belle aventure de deux saisons, ponctuée par un 32e historique.
« Il n’a pas été facile de tourner la page, j’ai rencontré là-bas beaucoup de belles personnes avec lesquelles j’ai gardé le contact. Après le match de mon club, c’est le premier résultat que je cherche.»
Et il reparle à nouveau de la Coupe de France, une compétition autant maudite qu’appréciée chez lui.
«Quand j’entraînais Vauban en DH, on avait affronté les SR Colmar en 2012. On a eu la balle du 2-1 après 89 minutes de jeu, ils ont marqué sur le contre. »

Fin de carrière de joueur contre les Portugais Colmar

Cette saison, face à un autre de ses anciens clubs (Épinal), il a eu le dernier mot en prolongation (2-0).
Presque naturellement, il évoque sa parenthèse de joueur aux SR Colmar. Sa dernière saison de joueur plutôt, quand Claude Spreng l’avait recruté.
«Je dois à la Coupe de France la fin de ma carrière. On affrontait les Portugais de Colmar au 4e tour en octobre 1994, puis j’ai subi une fracture de la malléole. Malgré des opérations, puis des infiltrations, je n’ai jamais pu rejouer. »
Désormais, Bruno Paterno s’amuse au football depuis son banc de touche, fait tourner proprement le ballon pour permettre à ses protégés de jouer des tours.
dna

Dimanche le 3/01/2016

Raon L Etape ' (CFA2 Groupe F) 56' Clauss

1 - 1 3 tab 4

Saint-Etienne ' (Ligue 1) 21' Maupay

Quand je pense que l'avant-dernier tireur de Raon avait la qualification au bout de ses chaussures , et il tire à côté.

.

Comportement scandaleux de Ruffier à la fin de la séance de TAB en insultant le dernier tireur.
Pour qui il se prend celui-là franchement !

J'aurais tellement souhaité qu'il se qualifie, j'ai regardé les dernières 20 minutes, je souhaite que le prochain match de St-Étienne sera le dernier.

Sale type, ce Ruffier quand même.
Il restera un petit bonhomme.