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| 27ème journée : Nice - Strasbourg | |
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Marco 69/73 Champion du Monde
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| Sujet: 27ème journée : Nice - Strasbourg Lun 25 Fév 2019 - 10:08 | |
| OGC NICE-RACING LE DIMANCHE 3 MARS À 15H00 La Ligue de Football Professionnel a fixé la programmation de la 27e journée de Ligue 1 Conforama.La rencontre entre l’OGC Nice et le Racing se déroulera le dimanche 3 mars à 15 heures à l’Allianz Riviera dans le cadre de la 27e journée de Ligue 1 Conforama. Elle sera diffusée sur BeIN SPORTS MAXSO |
| Marco 69/73 Champion du Monde
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| Sujet: Re: 27ème journée : Nice - Strasbourg Ven 1 Mar 2019 - 6:20 | |
| Avant OGC Nice – Racing, zoom sur l’ex-Colmarien Christophe Hérelle Passé à l’intersaison de Troyes à Nice, où il a immédiatement gagné ses galons de titulaire, l’ex-Colmarien Christophe Hérelle est en train de se forger un statut de solide défenseur pour sa deuxième saison en Ligue 1. Petit à petit, l’Aiglon fait son nid… De Damien Ott à Patrick Vieira. De Jude Varsovie à Dante. De Youssouf Touré à Mario Balotelli (*). Des SR Colmar à l’OGC Nice. En quatre ans, Christophe Hérelle a fait plus que de changer d’équipe, il a changé de monde.
« C’est vrai que si je remonte au temps des SRC, je ne me serais pas imaginé à Nice, sourit le défenseur central. C’est aussi grâce à eux si j’en suis là. Et je ne vais pas me reposer sur mes acquis. »
De retour au bercail
Si la carrière du Martiniquais a mis un peu de temps à décoller, elle suit depuis 2015 et ses premiers pas en L2 une progression linéaire. À raison de plus d’une trentaine de matches par saison chez les pros, il a eu l’opportunité de faire valoir les qualités qui en faisaient déjà un joueur réputé en National.
Après une saison à Créteil, puis deux à Troyes avec qui il a découvert la L1 en 2017-2018, Christophe Hérelle a donc franchi un nouveau palier dans son parcours professionnel en rejoignant cet été l’OGCN. Un club qui le suivait déjà depuis son époque cristolienne. « Cela faisait un petit moment qu’il y avait des contacts. L’an dernier, je voulais aider Troyes à se maintenir en Ligue 1 (l’ESTAC a été relégué, ndlr). Cet été, mon objectif était de continuer à jouer au haut niveau. Nice était encore là, alors j’ai foncé, explique celui qui s’est engagé pour cinq saisons sur la Côte d’Azur malgré d’autres propositions en France et à l’étranger. Quand je regarde ma petite carrière, je suis fier de ce que j’ai accompli. Et j’espère ne pas m’arrêter là. »
Dans les Alpes-Maritimes, le dépaysement n’a pas été total. Si à l’entraînement, tout allait « plus vite », ce qui a nécessité un petit temps d’adaptation, en dehors, le longiligne défenseur a rapidement retrouvé les repères dans une ville où il est… né ! Et où il a vécu jusqu’à ses huit ans, sans pour autant user ses crampons dans un club de quartier comme son grand frère Daniel.
Signer à Nice, c’était donc aussi se rapprocher de sa famille, et notamment de son père Julien. « Je suis content de passer du temps avec mes proches. Mais j’ai pris mon “appart”, se marre l’ancien pensionnaire du Stadium. Je sais que je pourrai compter sur eux dans les moments difficiles. »
Pour l’instant, il fait grand beau au-dessus de la Méditerranée. Titularisé d’entrée par son entraîneur Patrick Vieira, Christophe Hérelle a ainsi débuté les 22 matches (sur 26 en championnat) auxquels il a pris part. Devenu un rouage essentiel de l’arrière-garde azuréenne, qui oscille entre quatre et cinq éléments, il a démontré que la marche n’était pas trop haute. Encore vert au sein de l’élite hexagonale – il n’en est qu’à sa deuxième saison en L1 –, malgré ses 26 ans qui en font l’un des “vieux” d’un effectif niçois rajeuni, l’Aiglon n’hésite pas à demander conseil à ses coéquipiers expérimentés, un Dante ou un Jallet, pour s’affirmer plus au sein d’une écurie qui jouait un barrage de Ligue des champions face à Naples il y a à peine 18 mois.
Quant à son champion du monde et champion d’Europe de coach, lui aussi novice en L1, Christophe Hérelle apprécie son management, en plus de son expertise.
« Il (Patrick Vieira) parle à tout le monde de la même manière. On est tous au même niveau. On sent qu’il a connu le très haut niveau, il trouve les bons mots, il est exigeant et nous transmet sa rigueur, souligne celui qui sait ce que son entraîneur attend de lui. Il veut déjà que je sois irréprochable au niveau de l’état d’esprit, que je tire le groupe vers le haut. »
À la recherche d’un premier but en Ligue 1
Ces responsabilités ne l’effraient pas même s’il se sait encore perfectible, dans la « relance », et au niveau de son « jeu de tête offensif », lui qui n’a pas encore marqué en 56 apparitions en L 1. Suspendu lors de la manche aller remportée à la Meinau par le Racing (2-0), le 22 décembre, l’ancien Colmarien aura à cœur de se signaler à nouveau ce dimanche auprès des supporters alsaciens.
D’autant plus que l’OGC Nice, actuellement dans le dur avec trois défaites en quatre sorties, doit reprendre sa marche en avant pour atteindre ses objectifs. « On veut faire mieux que la saison dernière (8e ). On connaît l’exigence qu’il y a autour d’un club qui était encore européen la saison dernière, souligne celui qui fait partie de la quatrième défense de l’élite. On est une équipe qui joue au ballon, tout le monde prend du plaisir. Mais on doit aussi avoir les résultats qui vont avec. On ne peut plus se permettre de faux pas à domicile. »
Le Racing est prévenu. C’est un Nice revanchard qui lui fera face à l’Allianz Riviera. Avec dans le camp d’en face un Christophe Hérelle qui construit patiemment et intelligemment sa carrière de footballeur. Petit à petit, l’Aiglon fait son nid. Pour mieux prendre son envol…
(*) L’attaquant italien a rejoint l’OM au mercato d’hiver. dna |
| Marco 69/73 Champion du Monde
Nombre de messages : 61770 Age : 77 Localisation : Dorlisheim Date d'inscription : 25/11/2012 Humeur : fatigué
| Sujet: Re: 27ème journée : Nice - Strasbourg Sam 2 Mar 2019 - 9:55 | |
| Mitrovic de retour face à Nice Thierry Laurey a gardé un groupe de 18 joueurs pour le déplacement à Nice dimanche, pour la 27e journée de Ligue 1. Stefan Mitrovic, suspendu lors de la réception de Lille, fait son retour. Le capitaine serbe du Racing, Stefan Mitrovic, a purgé son match de suspension face à Lille et fait son grand retour dans le groupe strasbourgeois qui sera du déplacement à Nice. Il remplace numériquement son compère de la défense Pablo Martinez, suspendu à son tour pour une accumulation de cartons jaune.
Autre changement au sein des 18: Kevin Zohi, 19e ces dernières semaines, est cette fois dans le groupe. C'est Benjamin Corgnet qui en sort. Thierry Laurey a longuement discuté avec l'intéressé à la fin de l’entraînement de samedi après-midi. « Je veux que Benjamin joue avec la réserve pour se remettre dans le rythme. Sa blessure (entorse de la cheville) à Grenoble le 16 janvier nous a embêtés parce qu’ensuite, l’équipe tournait bien et que nous n’avons pas pu lui donner beaucoup de temps de jeu (Ndlr : l’ancien Dijonnais était tout de même titulaire à Caen le dimanche 17 février). Aujourd’hui, il a besoin de retrouver du rythme. Un passage par la case réserve est quelquefois nécessaire. Avec un jeune joueur, on n’est pas obligé d’expliquer le choix qu’on fait, mais avec un joueur de son standing, il faut prendre le temps. C’est pour ça que j’ai échangé avec lui. »
Comme à son habitude, le coach strasbourgeois s'est refusé à donner plus d'indications concernant son onze de départ. A priori, il devrait conserver la défense à cinq qui fonctionne bien. Caci pourrait du coup rejouer (pour la 3e fois consécutive) en charnière centrale avec Koné et Mitrovic. Lala pourrait reprendre son poste à droite, avec Lienard à gauche. A moins que Laurey ne reconduise Lala à gauche, avec Gonçalves à droite, comme lors de la dernière sortie des Alsaciens à domicile. Au milieu, le trio Sissoko - Prcic - Thomasson est pressenti pour débuter, au soutien de deux attaquants. Mothiba, auteur d'une bonne entrée face à Lille, pourrait débuter. Soit à côté d'Ajorque, soit avec Da Costa. La vitesse du cap-verdien pourrait en effet être un atout face à une défense niçoise solide, mais pas forcément très rapide..
Le groupe de 18
Le groupe : Sels, Kamara – Lala, Caci, Koné, Mitrovic, Ndour, Lienard, Gonçalves, Sissoko, Prcic, Fofana, Thomasson, Grandsir, Zohi, Mothiba, Da Costa, Ajorque.
Absents : Martinez, Aaneba (suspendus), Carole, Simakan (reprise), Martin (cheville), Grimm (cuisse), Saadi (genou), Zemzemi (début de pubalgie), Kawashima (g), Corgnet, Tchamba (choix). dna |
| Marco 69/73 Champion du Monde
Nombre de messages : 61770 Age : 77 Localisation : Dorlisheim Date d'inscription : 25/11/2012 Humeur : fatigué
| Sujet: Re: 27ème journée : Nice - Strasbourg Sam 2 Mar 2019 - 22:04 | |
| en quête d’azur Après deux défaites et deux matches nuls, le Racing tentera de reprendre sa marche en avant ce dimanche après-midi. Une mission qui s’annonce délicate face à une équipe de Nice intraitable à domicile. Alors que le beau temps a disparu depuis quelques jours en Alsace, laissant place à un ciel gris et triste, le Racing espère s’offrir un petit coin de ciel bleu sur La Côte d’Azur.
Un petit coin de ciel bleu qui se nomme victoire, ce doux plaisir qui fuit le onze strasbourgeois depuis la 22e journée et ce succès, à la Meinau, face à Bordeaux (1-0) le 26 janvier. Engranger trois points supplémentaires serait en effet fort bienvenu. Cela permettrait au Racing de rester devant son adversaire du jour au classement général. Et surtout, d’atteindre cette fameuse barre des 40 points, a priori synonyme de maintien en Ligue 1.
« On n’a pas toute la réussite voulue, mais il n’y a pas le feu au lac »
« On joue tous les matches pour les gagner et bien sûr on aimerait regoûter à la victoire, soulignait de son côté Thierry Laurey à la veille de cette 27e journée de Ligue 1. Mais on sait qu’en ce moment, on est dans une période moins faste. Avant cela, on avait gagné quatre matches d’affilée. Là, on est plus dans le dur en termes de résultats. »
Mais si le coach se veut prudent, pas question non plus de « paniquer » outre mesure avant ce déplacement au stade de la Riviera.
« On n’a pas toute la réussite voulue, avançait encore l’entraîneur ciel et blanc. En janvier, on avait une occasion, on mettait un but. En février, on en a trois et on ne marque pas. Mais il n’y a pas le feu au lac non plus. »
Bien au contraire. Car même s’il avance plus en mode tortue que lièvre ces dernières semaines, le Racing est toujours largement dans les clous, comptablement parlant.
Et la toute récente sortie à domicile, ponctuée d’un match nul plus qu’encourageant face à une belle équipe lilloise (1-1), a donné quelques certitudes au onze strasbourgeois avant d’aller défier l’OGC Nice. Sans oublier le regain de confiance qui va avec…
Mais les Alsaciens savent aussi que s’ils ne mettent pas les ingrédients nécessaires sur le terrain, en termes d’intensité et de combativité, ils vont vite déchanter.
La faute à un adversaire niçois ultra-réaliste, surtout dans son antre. Les chiffres parlent d’ailleurs d’eux-mêmes : les “Aiglons” ne se sont plus inclinés à la maison depuis le mois d’octobre dernier. Et encore, c’était sur le plus petit des scores (0-1) et face à l’Olympique de Marseille. « Ils optimisent le moindre but qu’ils marquent »
« Nice est une équipe très efficace et, surtout, d’un pragmatisme assez incroyable, prévenait à raison “coach Laurey” hier. Ils ont marqué 19 buts seulement et sont ex aequo avec nous au classement général (le Racing en a marqué 41, ndlr). Au goal-average, on est à + 11 et eux sont à - 8. Cela veut dire que les Niçois optimisent le moindre but qu’ils marquent. Et défensivement, ils sont capables de tenir un siège. On l’a notamment vu face à Lyon. »
Bref, le Racing aura du pain sur la planche pour trouver la faille. « En ce moment, on est plutôt efficace défensivement, mais il faudra aussi être capable de contourner le bloc niçois. Ça ne va pas être une partie de plaisir », exposait Thierry Laurey.
Certes non. Mais si le Racing veut garder une place au chaud dans le top-10 de Ligue 1, il faudra forcément piéger ces insaisissables “Aiglons”. dna |
| Marius Vainqueur de la Ligue des Champions
Nombre de messages : 15338 Age : 76 Localisation : Weitbruch Date d'inscription : 07/11/2008 Humeur : pensif
Informations Club préféré: Racing Barcelone Losc Profession: retraite | Sujet: Re: 27ème journée : Nice - Strasbourg Dim 3 Mar 2019 - 9:00 | |
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| Marco 69/73 Champion du Monde
Nombre de messages : 61770 Age : 77 Localisation : Dorlisheim Date d'inscription : 25/11/2012 Humeur : fatigué
| Sujet: Re: 27ème journée : Nice - Strasbourg Dim 3 Mar 2019 - 11:33 | |
| Nice redresse la tête en dominant Strasbourg Après deux défaites en Championnat, Nice a corrigé le tir ce dimanche devant son public contre Strasbourg (1-0). Youcef Atal a inscrit l'unique but de la partie en première période. Les Aiglons se hissent provisoirement à la 7e place. Le match : 1-0 Avant le match, Thierry Laurey, l'entraîneur alsacien craignait beaucoup le « pragmatisme » niçois. Et malgré un 4-3-3 assez expérimental où le milieu Makengo occupait la pointe de l'attaque, les Aiglons ont fait honneur à ce qualificatif d'entrée en convertissant, par le bondissant Atal, parfaitement servi par un centre de Saint-Maximin, leur première occasion (1-0, 20e). Makengo a en revanche manqué la deuxième en butant sur Sels (28e), qui sera ensuite vigilant sur deux centres dangereux de Saint-Maximin (29e, 42e). Voyant son équipe incapable de se montrer menaçante en première période, Laurey a transformé vers la fin de celle-ci son 3-4-1-2 en un 4-4-2 avec un milieu en losange. Mais c'est Nice - passé de son côté du 4-1-4-1 au 5-4-1 (3-4-3 avec le ballon) dès la reprise pour répondre tactiquement - qui se créait la première occasion de la seconde période, par Saint-Maximin (tête au-dessus sur un centre d'Atal, 49e). Danilo a ensuite manqué une énorme balle de break sur un caviar de Saint-Maximin (69e), puis a été expulsé, comme l'Alsacien Grandsir, entré en jeu (89e), après une altercation qui a provoqué une échauffourée. Le Racing a certes poussé à la fin et eu quelques possibilités, par Mitrovic sur corner (81e) et par l'entrant Zohi sur deux frappes (82e, 85e). Mais c'était bien trop timide et trop tardif. Ce revers confirme la méforme de Strasbourg, qui n'a pris que deux points sur ses cinq derniers matches de L1. Le joueur : Atal, retour gagnant De retour d'une blessure aux ischio-jambiers subie il y a un mois à Lille (0-4, le 1er février), l'international algérien avait les crocs ! D'abord positionné en milieu droit d'un 4-1-4-1, il a su jaillir avec beaucoup d'à-propos et de malice pour marquer son troisième but de la saison, décisif comme les deux autres inscrits à Nîmes (1-0, le 10 novembre) et... contre Nîmes (2-0, le 26 janvier). En plus, Atal s'est bien adapté au passage à trois défenseurs centraux en seconde mi-temps, qui l'a obligé à redescendre d'un cran, et a été menaçant sur presque toutes ses accélérations, parfois impressionnantes, comme la dernière (90e+3). Précieux et déterminant. 2 Soit la moyenne de points que rapporte un but marqué par les Niçois cette saison : 40 unités récoltées pour 20 buts inscrits, la rentabilité des Aiglons est exceptionnelle ! equipe |
| Marco 69/73 Champion du Monde
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| Sujet: Re: 27ème journée : Nice - Strasbourg Dim 3 Mar 2019 - 12:29 | |
| Samuel Grandsir a l'habitude d'être expulsé après ses entrées en jeu Entré en fin de seconde période contre Nice et exclu au bout de 4 minutes et 59 secondes, Samuel Grandsir avait déjà reçu un carton rouge en ayant débuté un match sur le banc cette saison. Samuel Grandsir a pris une mauvaise habitude. Le joueur prêté par Monaco a pris un carton rouge 4 minutes et 59 secondes après être entré en jeu contre Nice. Il est le 2e remplaçant le plus rapide à récolter un carton rouge en Ligue 1 cette saison derrière... lui-même, avec Monaco contre Strasbourg le 20 octobre dernier. Ce dimanche à Nice, l'attaquant a été prié de rejoindre les vestiaires à cause d'une échauffourée avec Danilo. Le 20 octobre dernier avec Monaco à Strasbourg cette fois, son pied haut sur Goncalves lui avait aussi valu un carton rouge direct, moins de 2 minutes après son entrée en jeu. Exclu avec Troyes en L2, 4 minutes après son entrée Le 29 juillet 2016, alors en Ligue 2 avec Troyes, il n'était resté que quatre minutes sur la pelouse face à Sochaux (1-3). La raison de son expulsion était aussi similaire : un pied levé trop haut.
Grandsir n'a disputé que 40 minutes en 4 matchs avec Strasbourg cette saison. equipe |
| Marco 69/73 Champion du Monde
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| Sujet: Re: 27ème journée : Nice - Strasbourg Dim 3 Mar 2019 - 21:35 | |
| Zoom - L’attaquant cap-verdien pas en verve offensivement Da Costa n’a pas pu doubler Auteur d’un doublé la saison passée au stade de la Riviera, l’attaquant cap-verdien Nuno Da Costa, plutôt en jambes alors qu’il joue peu ces derniers temps, a longtemps été cantonné à des tâches défensives. On l’avait senti venir. Irrésistible en janvier (5 buts et 2 passes décisives en 5 matches de Ligue 1), Ludovic Ajorque avait un peu pioché en février. D’ailleurs, samedi en conférence de presse, l’ancien Clermontois avait admis qu’il devait « marquer davantage, comme à Clermont ».
Il faut dire que dans un rôle pas simple, le grand Ludo avait laissé pas mal de gomme. Thierry Laurey a choisi de le faire souffler à Nice pour y relancer celui qui, la saison passée, y avait été le grand artisan du succès strasbourgeois (2-1). Nuno Da Costa avait signé son premier doublé en L1 sur la Côte d’Azur. Le seul à ce jour.
Cette année, l’attaquant a raté très peu de matches. Celui d’hier était son 24e en 27 journées, mais pour ‘’seulement’’ 14 titularisations. Depuis le nul face au PSG le 5 décembre, il n’avait figuré qu’une fois dans le onze de départ, le 13 février à Saint-Etienne où il avait inscrit son 5e but, égalant son record de 2017-2018, sans empêcher le revers des Bleus à Geoffroy-Guichard (2-1). « Les Niçois nous ont mis en échec »
Comme dans le Chaudron, l’international cap-verdien, par ailleurs quadruple passeur décisif, faisait équipe en pointe avec son pote de l’époque valenciennoise, Lebo Mothiba.
Mais sur ce match, sa relation technique a été bien meilleure avec Adrien Thomasson. « Avec Lebo, on s’est retrouvés assez loin l’un de l’autre. En première mi-temps, on a dû faire beaucoup d’efforts défensifs parce que les Niçois nous ont posé beaucoup de problèmes, plaide-t-il. Et en deuxième, on a payé tous ces efforts. »
De fait, la vitesse conjuguée des deux Africains, privilégiée par Thierry Laurey pour faire mal à la défense niçoise, n’a que rarement pu s’exprimer. L’enfant d’Aubagne reconnaît que le Gym a su contrecarrer les desseins alsaciens : « Quand on se retrouve, comme en première mi-temps, à courir après le ballon et le score, ça change les plans collectifs. On voulait essayer de contrer. Malheureusement, on n’a pas eu beaucoup de ballons pour le faire. On a bien combiné sur certaines situations, mais sans réussir à aller au bout. Généralement, on se procure beaucoup d’occasions. Là, les Niçois nous ont mis en échec. »
Résultat : un 5e match sans victoire. Une série inédite pour le Racing en 2018-2019 au sujet de laquelle l’attaquant, qui ne s’est montré menaçant que sur une tentative acrobatique sans danger pour Benitez (41e ), puis un tir puissant, mais dévissé (67e ), se veut philosophe. « Dans le foot, il y a des périodes comme ça. On était bien en janvier. Aujourd’hui, on manque de justesse dans nos derniers choix. Mais notre équipe a du caractère et on va essayer de le montrer samedi contre Lyon à la Meinau. »
Dans cinq jours, la mission des Bleus sera encore plus ardue. Il leur faudra étouffer les velléités de la deuxième attaque de Ligue 1, celle d’un OL qui, ce dimanche, en a passé cinq à Toulouse (5-1). dna |
| Marco 69/73 Champion du Monde
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| Sujet: Re: 27ème journée : Nice - Strasbourg Dim 3 Mar 2019 - 21:36 | |
| Le Racing pris au piège Rapidement menés au score, les Strasbourgeois se sont logiquement inclinés (1-0) sur le terrain d’une équipe niçoise plus solide derrière et plus efficace devant. Oublier février – deux défaites et autant de nuls – et retrouver l’allant du mois de janvier : tel était l’objectif strasbourgeois en ce premier match du mois de mars. Après un déplacement compliqué à Saint-Étienne (2-1) et une prestation solide à Caen (0-0), le Racing voulait repartir de l’avant sur le terrain de Nice, hier après-midi.
Approximations, mauvais choix
Une mission compliquée, face à une équipe invaincue sur sa pelouse depuis le mois d’octobre. Et une mission devenue impossible, passée la vingtième minute, quand Youcef Atal a ouvert le score en faveur des Aiglons.
« En première mi-temps, on a été approximatif, regrettait Thierry Laurey. Ensuite, on était plus porté vers l’avant, on a mis plus de cœur, mais ça n’a pas été suffisant face à une équipe qui a très bien défendu. »
Les dix premières minutes ressemblent à un round d’observation. Mais passé le quart d’heure de jeu, les Niçois accentuent leur pression. Les hommes de Patrick Vieira, organisés autour d’un milieu à cinq, se font plus dominateurs. Hormis cette accélération de Mothiba côté droit, sur laquelle Hérelle est “limite limite” (18e ), le Racing peine à s’approcher du but adverse.
« Ok, on ne méritait peut-être pas de mener au score, car on a fait beaucoup de mauvais choix et d’erreurs techniques lors de cette première mi-temps, pestait Laurey à ce sujet. Mais on aurait pu être devant. S’il y a penalty, il y a penalty. À vitesse réelle, ça me semble clair. Au ralenti encore plus. Et il y avait encore zéro à zéro ».
Une parité qui ne vaut plus deux minutes plus tard. Saint-Maximin déboule côté gauche, déborde Lala et centre au deuxième poteau. Lienard se fait mystifier par le très remuant Atal, qui trompe Sels (1-0, 20e ). On attend une réaction, mais elle ne vient pas. En tout cas, pas durant ces 45 premières minutes.
Au contraire, les Niçois continuent à pousser. Makengo frappe trop mollement (28e ), Sels sort du bout des doigts un centre de Saint-Maximin (29e ), Lienard contre un tir lointain de Cyprien (42e )… On est plus près du break que de l’égalisation quand M. Wattelier renvoie les équipes aux vestiaires.
Thierry Laurey procède à quelques ajustements tactiques à la pause. Lienard remonte d’un cran côté gauche, tandis que Thomasson se glisse au soutien du duo Mothiba-Da Costa.
La première opportunité est pour Saint-Maximin, qui ne cadre pas son coup de boule (49e ), mais les Alsaciens montrent enfin le bout de leurs crampons. Via Thomasson et cette frappe enroulée pas cadrée (54e ), puis Caci, qui fait le crochet de trop après avoir pénétré dans la surface (57e ). Cinq minutes plus tard, une longue ouverture de Prcic trouve Da Costa, qui donne en retrait pour Thomasson. Ce dernier est malheureusement trop court pour piquer son ballon devant Benitez. Bref, le Racing est plus fringant, mais il n’a toujours pas cadré un tir. « Il va falloir être plus rigoureux »
Et à force de pencher vers l’avant, les Strasbourgeois laissent des espaces à l’arrière. Espaces dont Danilo ne profite heureusement pas en dévissant face à Sels, sur un centre “caviar” de Saint-Maximin (69e ).
Dans une fin de match débridée, Laurey lance Ajorque, puis Zohi, pour tenter de forcer le verrou. Mais le Racing manque de précision dans le dernier geste et d’un zest de réussite, comme sur cette tête de Mitrovic sauvée sur la ligne par Burner (80e ) ou cette frappe de Zohi qui file hors cadre (85e ). Et la fin de match tourne même au bouillon – ou plutôt, à la salade niçoise – pour Grandsir et Danilo, expulsés après un début de bagarre générale. Les six minutes d’arrêt de jeu n’y changent rien : le Racing s’incline pour la troisième fois en cinq rencontres.
« On a cherché à jouer, mais on a manqué de spontanéité, de simplicité, estimait Thierry Laurey en guise de conclusion. Il va falloir être plus rigoureux, même si la vie ne s’arrête pas ce soir. »
Sûr que la situation est loin d’être catastrophique pour les Alsaciens. Mais ce matin, ce sont bien les Niçois qui ont atteint la barre des 40 points, synonyme de maintien. Pour les Strasbourgeois, qui n’ont plus gagné en championnat depuis le 26 janvier et la venue de Bordeaux (1-0), il faudra encore patienter… dna |
| Marco 69/73 Champion du Monde
Nombre de messages : 61770 Age : 77 Localisation : Dorlisheim Date d'inscription : 25/11/2012 Humeur : fatigué
| Sujet: Re: 27ème journée : Nice - Strasbourg Dim 3 Mar 2019 - 21:38 | |
| Ailes brûlées Pris de vitesse par les insaisissables Saint-Maximin et Atal en première mi-temps, les Bleus se sont brûlé les ailes, même si leur deuxième période, bien meilleure, aurait pu leur permettre de rapporter un nul. Saint-Maximin – Atal, Atal – Saint-Maximin : les Strasbourgeois ont sans doute passé une dernière nuit difficile, hantés par le cauchemar que leur a longtemps fait vivre, hier, l’intenable attelage du Gym. Lala, Koné et Lienard dans le dur ❏ SELS (6). Il ne pouvait rien sur le but d’Atal. Mais entre une double intervention sur une reprise de Makengo, puis un centre dangereux de Saint-Maximin (29e ), et trois nouvelles sorties devant l’ancien Monégasque (43e , 46e , 69e ), le Belge, ménagé dans la semaine pour une douleur à l’épaule, a été égal à lui-même : très sûr. Si le Racing a pu y croire jusqu’au bout, il y est pour beaucoup. ❏ LALA (4). Il avait pour mission de museler Saint-Maximin. Il en a au contraire subi l’impact, notamment sur le but vainqueur lorsque le virevoltant Azuréen a résisté à sa charge avant d’adresser un centre décisif à son comparse Atal (20e ). Seul l’Angevin Jeff-Reine Adelaïde lui avait fait autant de misères à l’aller en Anjou. À l’image du Racing, il a tout de même relevé la tête au retour des vestiaires. ❏ KONÉ (4). Lui aussi a souvent vu débouler Saint-Maximin dans sa zone et lui aussi a souffert pour arrêter la fusée du Gym. Il a parfois compensé par son sens du placement, mais le solide Ivoirien a connu des jours meilleurs. ❏ MITROVIC (5). Le capitaine a écopé et essayé de colmater les brèches, comme sur cet excellent tacle devant Saint-Maximin (48e ). Mais l’ailier niçois l’a quand même laissé sur place dans les 16 m, comme Caci d’ailleurs, sur un double contact (69e ). Sa tête, avec le ballon sorti sur la ligne par Burner (70e ), aurait pu permettre aux siens d’arracher le nul. ❏ CACI (5). Auteur d’une sortie décidée devant Danilo (15e ), “Titi” Caci, repositionné axial gauche pour pallier la suspension de Pablo Martinez, a glissé au poste de latéral gauche après le repos, dans un schéma à quatre défenseurs testé dans les ultimes instants du premier acte. Ses quelques incursions n’ont débouché sur rien de très concret. ❏ LIENARD (3). Comme Lala, il pouvait s’attendre à en baver des ronds de chapeau face à Youcef Atal, de retour après sa blessure à Lille le 1er février. Il l’a malheureusement pour lui vite vérifié à ses dépens en laissant à l’international algérien une trop grande liberté sur le seul but du match (20e ). Thierry Laurey l’a fait remonter d’un cran après la pause, sans résultat tangible, avant de le sortir dès la 68e pour lancer Ludovic AJORQUE. ❏ SISSOKO (4). Désarçonné d’entrée par un crochet de Saint-Maximin (12e ), l’ex-Brestois a peiné à s’exprimer au sein d’une équipe longtemps sevrée de ballons. Ses rares prises d’initiatives dans l’axe ont été vouées à l’échec. ❏ PRCIC (5). Dans son rôle habituel de plaque tournante, il a essayé de mettre de l’ordre. Une mission délicate dont il ne s’est que partiellement acquitté, mais qui, reconnaissons-le, n’était pas simple. Son implication offensive est néanmoins allée crescendo. ❏ THOMASSON (6). Ses combinaisons avec Nuno Da Costa resteront l’une des rares satisfactions du match. Trois remises du Cap-Verdien lui ont permis de déclencher une frappe contrée par Dante (13e ), d’en enrouler une autre assez largement au-dessus (55e ) et de s’infiltrer au cœur de la surface avant de buter sur Benitez (62e ). Vraiment intéressant par la variété de son jeu. ❏ MOTHIBA (3). Associé d’entrée à Da Costa pour la première fois depuis le revers à Saint-Etienne, le Sud-Africain a peiné à se mettre dans le sens du jeu. Il a beaucoup tourné sur lui-même et, donc, en rond. Légèrement touché à pleine vitesse par Hérelle dans la surface de réparation, il aurait pu bénéficier d’un penalty dès la 18e. Ça aurait un peu rehaussé sa prestation, plutôt à oublier. Logiquement remplacé à la 77e par Kevin ZOHI , à créditer d’une entrée percutante et de deux frappes trop enlevées (81e , 85e ). ❏ DA COSTA (6). Avec Adrien Thomasson, l’attaquant cap-verdien a pratiquement été à l’origine ou la conclusion de tous les bons mouvements alsaciens (voir par ailleurs). Son remplaçant de la 84e , Samuel GRANDSIR , n’a passé que 5 minutes sur le terrain, avant d’être expulsé, comme le Niçois Danilo, avec qui il avait déclenché une échauffourée. L’ex-Monégasque sera suspendu samedi contre Lyon. dna |
| Marco 69/73 Champion du Monde
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| Sujet: Re: 27ème journée : Nice - Strasbourg Lun 4 Mar 2019 - 21:46 | |
| Après la défaite du Racing à Nice (1-0), un second souffle attendu Après un mois de février compliqué, le Racing espérait se relancer sur le terrain de l’OGC Nice. C’est globalement raté. Et même s’il n’y a pas péril en la demeure, les Strasbourgeois vont devoir resserrer les rangs pour la réception de Lyon, samedi. «En ce moment c’est un peu plus compliqué. Et là, en plus, on a commis l’erreur de trop ». En une phrase, Thierry Laurey, l’entraîneur du Racing, a parfaitement résumé la prestation de ses troupes, dimanche, sur le terrain de l’OGC Nice (1-0), dans le cadre de la 27e journée de Ligue 1.
« On n’a pas respecté notre plan de jeu » En effet, le Racing est actuellement « dans le dur », comme le coach strasbourgeois l’a déjà dit à quelques reprises ces dernières semaines.
Et en effet aussi, une seule erreur a suffi à plomber les Strasbourgeois et à faire en sorte qu’ils rentrent bredouilles en Alsace.
« On a été en difficulté sur la première mi-temps, on n’a pas fait ce qu’on voulait faire, on n’a pas respecté notre plan de jeu », regrettait Thierry Laurey.
Le « plan » du coach ciel et blanc prévoyait notamment de bloquer les couloirs niçois, pour empêcher les deux flèches sudistes – Allan Saint-Maximin et Youcef Atal – de créer le déséquilibre au sein de la défense alsacienne.
Mais cela n’a pas fonctionné. Kenny Lala a eu toutes les peines du monde à bloquer Saint-Maximin et Dimitri Lienard – qui a dépanné à gauche de la défense – a pris un courant d’air après l’autre face à Atal. Et le milieu de terrain alsacien a eu tout autant de mal à colmater les brèches et à aider ses deux latéraux. « Atal et Saint-Maximin ont fait la différence, reconnaissait d’ailleurs Thierry Laurey. Ils nous ont posé de gros problèmes ».
Des problèmes que le Racing n’a pas réussi à régler, pas plus qu’il n’a été en mesure de bouger une défense niçoise emmenée par le Brésilien Dante en grande forme.
Malgré les changements tactiques opérés juste avant la pause, avec un passage à une défense à quatre – avec un décalage de Caci côté gauche et un positionnement plus haut de Lienard – le danger est systématiquement venu des ailes niçoises.
Et si le deuxième acte a été plus équilibré dans le jeu, le Racing n’a pas semblé en mesure de forcer son destin pour revenir au score. La faute à un manque de tranchant offensif…
« On a été solide, mais offensivement, on a eu du mal à enclencher les passes, les mouvements, soulignait encore Thierry Laurey. Et pourtant, on avait des attaquants sur le terrain. Mais en deuxième mi-temps, on a fait preuve de précipitation. On a eu la volonté de revenir au score, mais on n’a pas fait les bons gestes. Nous avons fait beaucoup de mauvais choix et d’erreurs techniques. »
Hormis face à Lille, lors de la dernière sortie des Bleus à domicile (1-1), ce mal est récurrent ces derniers temps. Le Racing, habituellement séduisant devant, n’a guère été plus inspiré à Nice qu’il ne l’avait été à Saint-Étienne (2-1) ou à Caen (0-0). Pour le résumer plus simplement, après un mois de janvier « extraordinaire » (dixit Dimitri Lienard), le Racing mange actuellement son pain noir.
Mais pas question pour autant de céder à la sinistrose. Ce matin, le Racing est 9e de L1 et peut toujours envisager une fin de saison plus sereine que l’an passé. Et Thierry Laurey a quelques raisons d’espérer des jours meilleurs. « Déjà, on n’aura plus de suspendus, ça va aider (*) et on va bientôt retrouver des joueurs (**) », positive l’entraîneur alsacien, qui espère aussi que ses troupes retrouvent « du dynamisme, de l’allant » tout en se montrant « techniquement plus juste ».
Pour y arriver, point de secret : le Racing va devoir serrer les dents à l’entraînement et resserrer les rangs en match. Et il aurait tout intérêt à le faire rapidement. Car après avoir affronté le dauphin du PSG lors de sa dernière sortie à la Meinau, le Racing s’attaque samedi à un autre gros morceau, en l’occurrence l’Olympique Lyonnais.
S’il ne veut pas entamer un peu plus son capital confiance, le Racing aurait tout intérêt à gratter ne serait-ce qu’un petit point dans son antre…
(*) Stefan Mitrovic a manqué Lille, Pablo Martinez n’était pas à Nice. Or, le coach n’a que trois centraux de métier au sein de l’effectif. (**) Le latéral gauche Lionel Carole reprend notamment avec le groupe cette semaine. dna |
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