Racing-Olympique Lyonnais le samedi 9 mars à 17 heures


La Ligue de Football Professionnel a dévoilé la programmation TV de 28e journée de Ligue 1 Conforama.
Le Racing recevra à la Meinau l’Olympique Lyonnais le samedi 9 mars à 17 heures à l’occasion de la 28e journée de Ligue 1 Conforama. La rencontre sera diffusée en exclusivité sur Canal+.
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Selon Nicolas Puydebois, le Racing « sur courant alternatif »
Admiratif du talent d’un Olympique lyonnais visiteur de la Meinau ce samedi (17h), l’ex-gardien de l’OL et du Racing Nicolas Puydebois, consultant pour un site spécialisé sur le club rhodanien, regrette aussi son manque de constance.
À l’autre bout du fil ce mardi matin, le ton, sympathique et enjoué, n’a pas changé. Nicolas Puydebois, 38 ans depuis le 28 février, non plus. Ou si peu.
À la fin de sa carrière en 2010, l’ancien portier de l’Olympique lyonnais, avec qui il a été sacré champion en 2003, 2004 et 2005, et du Racing (2005-2008), a retrouvé sa région natale.
« Le Racing aura une vraie carte à jouer »
Le natif de Bron, qui vit « à une trentaine de kilomètres de Lyon », suit toujours de très près son club formateur. Cet OL où il a débuté minot aux côtés d’un certain Guillaume Lacour qui deviendra son coéquipier et capitaine sur les bords du Krimmeri.
Depuis quatre ans et demi, en marge de ses autres activités (voir ci-contre) , l’ex-gardien est consultant pour le site spécialisé olympique-et-lyonnais.com. Il y distille des analyses qu’il veut les plus objectives possibles. Un rôle qui lui a valu quelque(s) chaude(s) explication(s) de texte, de visu ou par réseaux sociaux interposés, avec Jean-Michel Aulas. Le président lyonnais lui reprochait son négativisme.
« Nous sommes exigeants avec l’OL parce qu’il a un potentiel énorme et que ses individualités ont les qualités pour faire beaucoup mieux, se défend l’ancien pro. C’est ce qui agace parfois : cette équipe a le talent, physiquement et techniquement, pour aller très haut, mais elle manque mentalement d’un peu d’expérience et, parfois, de professionnalisme. Pourtant, elle a tous les atouts pour devenir une très grande équipe. La preuve : elle le montre à chaque fois qu’elle affronte un adversaire de top niveau européen. Ce n’est pas un hasard si elle a battu Manchester City (2-1 en Angleterre) et le PSG (2-1 au Parc OL). Je crois l’OL capable de concurrencer Paris sur la durée, ce qui rendrait la Ligue 1 bien plus intéressante. Mais il lui arrive trop souvent d’avoir des absences contre des équipes dites plus faibles, d’oublier l’engagement et le respect des fondamentaux du foot. Comme certains joueurs, il est sur courant alternatif. »
Voilà pourquoi celui qui a presque toujours été cantonné au rôle de doublure à Lyon et Strasbourg (il n’a disputé que 27 matches de L1 dans sa carrière, mais en a joué 68 de L2 en deux saisons – 2008-2010 – à Nîmes) voit « un piège parfait » dans le déplacement de l’OL à la Meinau ce samedi (17h).
« Sans manquer de respect au Racing, le match le plus important, pour les dirigeants et joueurs lyonnais, est celui du mercredi suivant à Barcelone en huitième de finale retour de la Ligue des Champions (aller : 0-0). L’OL aura le Barça en tête et certains risquent de jouer sur la retenue. Le coach Bruno Genesio va avoir un rôle important avant Strasbourg, notamment dans sa composition d’équipe. Il va peut-être lui falloir se priver de joueurs qui pourraient ne pas y aller à fond et en aligner d’autres qui, sans guère de chances d’être titulaires à Barcelone, voudront se montrer en championnat. »
À ses yeux, cette éventuelle nouvelle saute de concentration n’est néanmoins pas le seul élément à même de contrarier les Lyonnais en Alsace. « Pour Lyon, ce match au Racing, juste avant Barcelone, me fait peur. Strasbourg aime affronter les gros, particulièrement à la Meinau où, dans une grosse ambiance, c’est toujours compliqué pour l’adversaire. Lyon y a d’ailleurs perdu l’an passé (3-2 le 12 mai). Thierry Laurey, qui était défenseur, sait transmettre à ses joueurs l’intensité et l’agressivité nécessaires, dans le bon sens du terme. Mais il aime aussi faire jouer son équipe. Même s’il est moins bien en ce moment, le Racing fait de bonnes choses dans le jeu. Samedi, il aura une vraie carte à jouer, quand bien même Lyon doit impérativement remporter ce type de match pour entretenir son espoir de 2e place, synonyme de qualification directe en Ligue des Champions. »
Avec cinq points de retard sur le dauphin Lille qu’il recevra, c’est vrai, début mai, l’OL ne peut effectivement plus guère traîner en chemin.
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Avant Racing - Lyon: Carole a les crocs
Après un hiver gâché par les blessures, Lionel Carole a enfin retrouvé les terrains d’entraînement de la Meinau Et il espère bien reprendre rapidement le fil de sa saison dans le couloir gauche qu’il affectionne.
Lionel Carole a retrouvé le sourire en même temps que ses coéquipiers d’entraînement. Depuis le début de semaine, le latéral participe à nouveau aux séances collectives et postule pour une place dans le groupe pour la réception de Lyon.

Alors forcément, le natif de Montreuil ne boude pas son plaisir. « Je crois que j’ai fait plus d’IRM cette saison que dans toute ma carrière, en rigole même le défenseur passé par Troyes ou Galatasaray. Ça fait énormément plaisir de retrouver les terrains, car j’en ai beaucoup ch… ces derniers temps pour revenir au plus vite ».
« Ici, c’est extraordinaire, on sent une vraie passion »

Il faut dire que le latéral n’a pas été épargné par les blessures depuis le début de cette saison 2018/2019. La première alerte date de novembre. Alors qu’il s’échauffe sur la pelouse lilloise, Lionel Carole ressent une douleur à la cuisse. Un mois d’arrêt plus tard, il reprend le chemin des terrains. Pas longtemps : le défenseur rechute face au PSG à la Meinau, début décembre, et en est à nouveau quitte pour deux mois d’arrêt.

Lionel Carole pense voir le bout du tunnel en janvier. Après avoir repris à Grenoble, en 32e de finale de Coupe, il entre en jeu à Monaco, lors de la 21e journée de Ligue 1 puis enchaîne avec la Coupe de France à Paris (en 16e ). Las, il ne revient pas sur la pelouse pour la deuxième mi-temps au Parc des Princes, touché une énième fois à la cuisse.

« C’était compliqué à vivre, car j’ai rarement été blessé dans ma carrière, souligne le joueur d’origine antillaise. Mais bon, c’est le foot, c’est comme ça et désormais les galères sont derrière moi ».

Durant cette longue période d’indisponibilité, Lionel Carole a tout de même vu avec plaisir son équipe réaliser de belles choses. « À Paris, quand je me suis reblessé, ça m’a mis un gros coup au moral. Mais heureusement, l’équipe s’est qualifiée pour la finale de la Coupe de la Ligue juste après ». De quoi mettre du baume au cœur à Lionel Carole, qui évoque aussi « une source de motivation » pour revenir au plus vite sur les terrains et ne pas manquer ce rendez-vous à Lille, face à Guingamp.

Et plus généralement, le latéral a savouré le joli début d’hiver de ses troupes. « En janvier, ce n’était que du bonheur, raconte-t-il. C’était un total régal ».

Surtout depuis les tribunes de la Meinau. « J’ai connu des belles ambiances, notamment en Turquie, mais ici, c’est extraordinaire, on sent une vraie passion, relate-t-il Des fois ça pousse tellement que tu ne peux plus parler à tes coéquipiers sur le terrain ! Il y a au moins quinze ou seize équipes de L 1 qui nous envient de jouer ici. Avoir un stade plein tout le temps, ça fait une grosse différence ».

Alors forcément, même s’il « manque encore de rythme », Carole a hâte de renouer le fil d’une saison entrecoupée par des pépins de santé. Surtout qu’il se sent à l’aise dans le système à cinq défenseurs mis en place par Thierry Laurey.

« J’ai rarement joué à cinq, j’ai été formé dans une défense à quatre et plus jeune j’avais du mal à jouer avec trois centraux, souligne-t-il pourtant. Mais ce système colle parfaitement à l’effectif que l’on a et je pense qu’on l’a mis en place avec beaucoup d’intelligence de jeu et de qualité ».

Intelligence de jeu et qualité, voilà d’ailleurs deux ingrédients qu’il faudra forcément mettre sur le pré pour bousculer une équipe lyonnaise solidement accrochée à sa 3e  place, samedi, à la Meinau.

Mais cette échéance n’inquiète pas vraiment Lionel Carole. « Le groupe est homogène et vit bien et je pense qu’on le retransmet sur le terrain, conclut le latéral. On veut vraiment faire une bonne saison et elle est loin d’être finie ». Pour lui, elle recommence.

Grandsir s’en tire bien: Expulsé à Nice en fin de match pour s’être écharpé avec Danilo, Samuel Grandsir sera disponible pour la finale de la coupe de la Ligue. En effet, l’ailier strasbourgeois a écopé de trois matches de suspension, dont un avec sursis. Il sera donc absent face à Lyon, samedi, et à Nîmes, le week-end d’après. Mais le joueur prêté par Monaco sera autorisé à défier Guingamp, à Lille, le 30 mars.
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Lyon sans Jérémy Morel ni Fernando Marçal à Strasbourg
 Lyon se rendra samedi (17 heures) à Strasbourg sans Jérémy Morel ni Fernando Marçal, pas encore prêts.
Lyon sera privé de Jérémy Morel et Fernando Marçal, samedi (17 heures) pour son déplacement à Strasbourg. Le premier est en phase de réathlétisation après une intervention chirurgicale au niveau des abdominaux. Victime d'une lésion musculaire, le second n'est toujours pas remis. Ce sont les deux seuls absents dans le groupe de l'OL.
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Strasbourg : retour de Pablo Martinez contre l'OL, Lionel Carole en réserve
 Pablo Martinez est de retour dans le groupe de Strasbourg pour la réception de l'OL, samedi (17 heures). Lionel Carole reprendra avec la réserve.
Exclu dès son entrée en jeu après une altercation avec Danilo Barbosa à Nice (0-1), l'attaquant Samuel Grandsir a écopé de trois matches de suspension dont un avec sursis. Le joueur prêté par Monaco en janvier est donc absent du groupe de Strasbourg pour la réception de Lyon, ce samedi (17 heures). Dans l'axe de la défense, Thierry Laurey récupère Pablo Martinez qui a purgé son match de suspension à Nice.
Toujours en défense, après plusieurs semaines d'absence, Lionel Carole a repris lundi avec ses coéquipiers, mais évoluera avec la réserve, tout comme Bingourou Kamara et Ismaël Aaneba. Moataz Zemzemi, Jonas Martin, Jérémy Grimm et Idriss Saadi sont toujours à l'infirmerie.
Le groupe de Strasbourg
Sels, Kawashima - Ndour, Martinez, Koné, Mitrovic, Caci, Lala - Corgnet, Lienard, Prcic, Gonçalves, Sissoko, Fofana, Thomasson - Mothiba, Zohi, Ajorque, Da Costa.
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Fofana d'entrée ?
Le milieu récupérateur, souvent en première ligne pour les missions spéciales, pourrait être titularisé dans le onze strasbourgeois pour contrarier les plans lyonnais lors du 28e match de Ligue 1 du Racing.
Le Racing se coltine un sacré client ce week-end, avec la venue de Lyon à la Meinau qui fera une nouvelle fois le plein. La bande à Genesio, qui aura peut-être un peu la tête à son match retour au Nou Camp, en C1, face au Barça, reste sur une énorme victoire face à Toulouse (5-1) et est affamée de points dans sa course au podium de L1 dont il occupe la troisième place.

Pour les Strasbourgeois, Lyon, à la Meinau, correspond à un bien beau souvenir, celui de la victoire (3-2) synonyme de maintien au mois de mai 2018. Mais de l'eau a coulé sous les ponts du Rhône et de l'Ill depuis. Et le Racing, qui tousse un peu au niveau comptable - deux points récoltés sur les cinq derniers matches -, devra s'employer pour renverser la tendance après la courte défaite à Nice (1-0).
Pour ce faire, Thierry Laurey peut faire jouer une certaine émulation. Pablo Martinez revient de suspension, Lionel Carole n'est plus blessé alors que la défense a souvent changé ces derniers temps. Néanmoins, Carole absent depuis près de deux mois, a été invité à retrouver le rythme avec la réserve qui joue à Vauban, tout comme Bingourou Kamara, l'habituelle  doublure de Matz Sels.

L'entraîneur a un peu le choix pour construire son équipe même s'il perd Samuel Grandsir, expulsé lors de la défaite à Nice et donc suspendu. L'idée d'entretenir l'émulation n'est pas à exclure avec la titularisation d'un duo d'attaque Ludovic Ajorque-Nuno Da Costa ou la titularisation de Youssouf Fofana dans l'entrejeu, Ibrahima Sissoko étant susceptible de souffler sur le banc.
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 S’il dompte Lyon ce samedi après-midi (17h) à la Meinau comme il a su le faire le 12 mai 2018 (3-2), le Racing atteindra la barre symbolique des 40 points, synonyme de maintien quasiment officiel.

L’histoire serait presque aussi belle, même si le contexte diffère sensiblement. Le 12 mai 2018, dans une Meinau en fusion, le Racing, promu en Ligue 1 l’été précédent, arrache à la 94e’ contre l’Olympique lyonnais son premier succès depuis trois mois (3-2).
Il s’extrait ainsi d’un interminable tunnel de 11 matches sans victoire (5 nuls, 6 défaites). En s’offrant la crinière d’un Lyon qui l’avait dévoré les treize fois précédentes en Ligue 1, il sauve sa peau lors du 37e et pénultième épisode de la saison.

Dix mois plus tard, les Bleus peuvent caresser l’espoir d’atteindre, s’ils matent de nouveau un OL 3e , la barre symbolique des 40 points. Et de valider officieusement un maintien déjà virtuel à dix journées et deux mois et demi du baisser de rideau. L’histoire ressemblerait à un joli clin d’œil.

«Lyon ne vient pas pour visiter la ville»

Le 12 mai dernier, les hommes de Thierry Laurey avaient le couteau sous la gorge. Cette fois, ils l’auront entre les dents. Avant leur finale de Coupe de la Ligue le 30 mars à Lille contre Guingamp, ils aspirent en effet à faire le plein de confiance et à stopper la passe délicate – 3 défaites, 2 nuls – qu’ils traversent après un exceptionnel mois de janvier, pimenté, entre autres, par un succès au Parc OL en quarts de finale de cette même Coupe de la Ligue (2-1).

Le hic, c’est que Lyon poursuit peu ou prou le même dessein avant son 8e retour de Ligue des Champions à Barcelone mercredi (0-0 à l’aller). Pourtant, de confiance, les hommes de Bruno Genesio ne manquent pas. Ils ont remporté cinq de leurs sept dernières rencontres de L1 et viennent d’inscrire huit buts en deux matches: 3-1 contre Caen en quarts de finale de Coupe de France et 5-1 face à Toulouse en championnat.

« Ce qui est sûr, c’est que moi, je n’ai pas besoin de dire à mes joueurs qu’ils ont une chance de jouer à Barcelone s’ils sont bons ce samedi. Je gagne du temps», plaisante Thierry Laurey en écho aux propos de Bruno Genesio qui a étroitement lié les voyages en Alsace et en Catalogne. «Lyon ne va pas venir pour visiter la ville. Les Lyonnais ont en tête la 2e place ( Lille les devance de cinq points, NDLR ) et savent aussi que ça peut revenir de derrière.»
«Si on tourne ce samedi soir à 38 points, ça m’ira très bien»

Ils ont également à l’esprit leurs deux revers face aux Bleus depuis le retour du Racing en L1, certes contrebalancés par deux succès domestiques en championnat: 4-0 en 2017-2018 et 2-0 en 2018-2019.

Thierry Laurey s’en souvient aussi, mais, lucide, ne fanfaronne pas: «Je n’oublie pas que nous étions menés 2-1 à cinq minutes de la fin l’an dernier à la Meinau et que ça s’était joué à très peu de choses. Peut-être que si ça n’avait pas tourné en notre faveur, je ne serais pas là pour parler de Lyon (…).»

C’est bien là toute la différence entre le duel de ce samedi et celui du 12 mai 2018: sauf surprise toujours possible, le coach bas-rhinois, qui a prolongé jusqu’en 2020, sera encore là l’an prochain pour évoquer l’OL.

Mais pour l’heure, seul le présent l’intéresse. «On a mangé notre pain blanc en janvier et il a changé de couleur en février. Mais il n’y a rien d’infamant, ni de dramatique à perdre 2-1 à Saint-Etienne et 1-0 à Nice, où Lyon a aussi chuté 1-0 après avoir dominé. On ne peut pas se satisfaire de cinq matches sans victoire. On aimerait en retrouver le goût. Mais si on tourne ce samedi soir à 38 points comme l’an dernier après Lyon, ça m’ira très bien, parce que ça voudra dire qu’on a fait un gros match.»

Un bon nul signifierait surtout que le Racing garde deux mois d’avance sur son tableau de marche 2017-2018 et peut désormais envisager sa finale en toute quiétude.

Jonas Martin fait une croix sur la finale. Victime d’une fissure osseuse de la cheville gauche à Monaco le 19 janvier, puis opéré le 23, le milieu strasbourgeois Jonas Martin a confirmé qu’il ne disputerait pas la finale de la Coupe de la Ligue le 30 mars à Lille contre Guingamp. «Je ne reviendrai pas avant avril», a-t-il soupiré, dépité.

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Voici sans tarder la composition des équipes:
Pour le Racing; Sels; Caci, Martinez, Mitrovic (cap.), Koné, Lala; Thomasson, Prcic, Fofana; Da Costa, Ajorque.
Pour Lyon: Lopes; Tete, Denayer, Marcelo, Mendy; Tousart, Cheikh, Aouar; Terrier, Cornet, Dembele.

BUT  0-1
Cela ne pouvait pas plus mal commencer! Moussa Dembélé ouvre la marque suite à une grosse erreur de Lamine Koné!

0-1 à la mi-temps

Penalty pour Lyon

Penalty pour Lyon!

0-2

Moussa Dembélé transforme le penalty imparablement. A contre pied et pleine lucarne.

A 0-2, forcément, cela devient extrêmement compliqué. A ce stade, on ne voit pas d'où pourrait venir le coup de folie engendrant un changement total de physionomie.

Deux débuts de mi-temps catastrophiques et hélas deux fois le pauvre Lamine Koné dans le coup.

BUT Thomasson

Allez il faut y croire

BUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUT 1-2

 Ludovic Ajorque ! Il redonne espoir au Racing!

BUUUUUUUUUT 2-2 Ajorque

Sur la réduction du score, Anthony Caci centre de la gauche et trouve Adrien Thomasson seul au point de penalty. Celui-ci reprend de la tête mais le ballon est dévié par une autre tête, celle de Ludovic Ajorque, ce qui trompe Anthony Lopez.
Puis l'OL perd la balle à 30m de ses buts. Adrien Thomasson sert immédiatement Ajorque qui, de la gauche de la surface déclenche une praline qui nettoie la lucarne opposée de Lopez. Le tout en moins de deux minutes, célébration du premier but comprise. Irréel! mais tellement vrai!

Vite vite il faut faire rentrer Lienard

Revenu de nulle part, le Racing obtient finalement un très gros point. Comme en mai dernier, mais avec la victoire au bout alors, il a marqué deux fois coup sur coup pour rétablir une situation bien mal emmanchée. Face à Lyon, il sera donc toujours question de miracle. Encore faut-il le forcer, ce miracle.

Le Racing arrache le nul contre Lyon (2-2) : boulettes puis tripes
Plombé par deux bourdes et mené 2-0 en début de deuxième mi-temps, le Racing s’est arraché ce samedi soir à la Meinau pour décrocher le nul contre Lyon grâce à un doublé de Ludovic Ajorque (2-2).
« On s’est dit après le deuxième but qu’on s’était un peu plombé tout seul. Mais il restait quarante minutes et on savait qu’on avait le temps de revenir. »

Comme toute la Meinau ou presque, l’entraîneur du Racing Thierry Laurey a tout de même cru que la cause était entendue hier lorsque Moussa Dembélé a transformé à la 52e , d’une magistrale frappe croisée du droit dans la lucarne, le penalty qui donnait deux buts d’avance à l’Olympique lyonnais. Le deuxième doublé consécutif de l’ancien avant-centre du Celtic Glasgow, après celui de dimanche dernier contre Toulouse, semblait enterrer les derniers espoirs des Strasbourgeois.
« Ça valide le sérieux et le professionnalisme des garçons »

Car lorsque, comme eux, on ambitionne de partir à la pêche aux gros, il est toujours fâcheux de ne pas serrer les mailles de son filet. Malheureusement pour eux, le Racing et le malheureux Lamine Koné ont fait ce samedi deux cadeaux au cador lyonnais qui n’en attendait pas tant.

Une Meinau une nouvelle fois à guichets fermés n’a pas encore eu le temps de s’échauffer les cordes vocales que l’Ivoirien commet une boulette que n’aurait pas reniée le latéral allemand du PSG Thilo Kehrer, coupable de la même précoce approximation mercredi contre Manchester United.

L’Ivoirien saucissonne sa passe en retrait pour Matz Sels. L’ancien Racingman Martin Terrier, buteur à l’aller (2-0 le 24 août), a senti le coup, mais bute sur l’international belge. La reprise excentrée de Cornet revient alors sur Dembélé qui, de près, ouvre le score (3e ).

Pour un OL dont Bruno Genesio a profondément remodelé le visage, laissant Fekir, Traoré, Depay et Ndombele sur le banc, le scénario est idéal. « Pour être honnête, on a été ballotté sur l’ensemble de la rencontre parce que certains contres lyonnais en deuxième période auraient pu terminer au fond. Ça aurait pu faire trois à zéro, admet Thierry Laurey. Mais on a eu le mérite de s’accrocher et d’être efficaces quand il a fallu l’être. »

Costauds mentalement aussi. Il faut en effet avoir des tripes lorsque la deuxième période démarre aussi mal que la première, sur une nouvelle erreur d’un Lamine Koné qui a dû passer une bien mauvaise nuit.

Surpris par un petit pont d’Aouar, le défenseur l’accroche avec le bras. La faute n’est pas énorme, mais réelle. Le penalty est au fond des filets et les Bleus, un peu au fond du trou.

Le match semble à peu près aussi plié que le 12 mai 2018 quand Lyon menait 2-1 à la 88e à la Meinau, avant de s’incliner 3-2. C’est alors qu’une altercation entre Mendy et Da Costa (58e ) va réveiller le stade.

Thierry Laurey, lui, n’a jamais cessé d’y croire. « En première mi-temps, on avait sensiblement la même possession qu’eux. Ça nous laissait de l’espoir. Mais il fallait mieux utiliser le ballon, aller au bout de nos intentions, avoir un peu plus d’ambition. Malheureusement, l’entame de la deuxième période a été aussi difficile. »

D’autres ne se seraient jamais relevés de ce 0-2. Mais pas ce Strasbourg 2018-2019 qui n’a plus à faire la preuve de sa capacité à se transcender dans les grandes occasions. En 103 secondes tout pile, il va refaire surface grâce à la paire Thomasson-Ajorque, tout simplement énorme.

Sur un centre de Caci, la tête du premier est d’abord détournée par le second hors de portée de Lopes (69e ). Puis l’ancien Nantais décale son avant-centre qui, d’un missile du gauche, fusille le portier international portugais (70e ).

Ce deuxième doublé du Réunionnais – après celui à Monaco le 19 janvier – permet aux Strasbourgeois d’atteindre la barre des 38 points, celle-là même qui leur avait permis de se sauver le 12 mai 2018 après leur succès sur Lyon.

« Trente-huit points à la vingt-huitième journée, c’est plus que correct, se plaît à souligner leur coach qui se garde bien de s’emballer. On ne se gargarise pas avec ça […], mais ça valide un peu le sérieux et le professionnalisme des garçons. »

Cette saison, Stefan Mitrovic et ses partenaires ont donc accroché les trois premiers du championnat dans leur chaudron meinovien : le PSG (1-1), Lille (1-1) et Lyon (2-2). Même si le nul d’hier leur vaut d’enchaîner un sixième match sans victoire, ce triptyque de haute volée dit tout de la qualité de leur saison.
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Un duo renversant
Adrien Thomasson et Ludovic Ajorque ont été les deux grands artisans de la remontée strasbourgeoise. Mais la plupart de leurs coéquipiers a été à la hauteur en un match haut en couleur.
Il y a évidemment eu un naufrage individuel, celui de Lamine Koné, sur la pelouse de la Meinau. Mais tout un collectif a réussi à effacer un doublé de bourdes pour faire tomber dans l’escarcelle alsacienne un 38e point qui fait du bien.

➤ SELS (7). Le Belge a longtemps préservé des chances qui ont semblé infimes. Auteur d’une splendide intervention, main opposée, sur une tentative de Diop, en direction de sa lucarne (19e ), il a le brin de réussite qu’il faut sur une sortie assez mal maîtrisée devant Dembélé sur un centre de Dubois (27e ), puis repousse une autre tentative de Mendy dans un angle fermé (40e ), est encore à la parade sur une frappe de Cornet (41e ). Il ne peut rien faire sur le penalty, parfaitement exécuté par Dembélé mais laisse son équipe avec seulement deux buts de retard à l’heure de jeu, presque dans un fauteuil au regard de la suite.
Le capitaine a veillé au grain

➤ LALA (5). Avec Ferland Mendy dans son couloir et Martin Terrier dans les parages, le latéral droit avait fort à faire et l’a plutôt bien fait. Assez intéressant dans ses montées avant la pause, il a été plus discret quand il a notamment été repositionné au milieu du terrain.

➤ KONÉ (3). Évidemment, débuter une rencontre sur les mêmes bases que Kehrer avec le PSG face à Manchester United trois jours auparavant, cela n’aide pas. L’Ivoirien a été l’auteur de deux boulettes qui auraient pu tuer le Racing puisqu’il ne maîtrise pas sa passe en retrait sur l’ouverture du score puis est coupable d’une faute sur Aouar dans la surface à l’origine du penalty du 0-2. À un peu moins mal fini qu’il n’a commencé.

➤ MITROVIC (7). Le capitaine a bien veillé au grain, de sa position reculée. Il a coupé quelques ballons chauds et amené son… grain de sel dans la surface adverse où il a pu enquiquiner la défense lyonnaise dans les airs. Convaincant.

➤ MARTINEZ (6). – Il n’a pas eu que des ballons aisés à négocier et s’en est plutôt bien sorti. Auteur d’un tir cadré pour tenter de rallumer la lumière (57e ), le Méridional a inspiré de l’assurance et de la solidité face à des attaquants lyonnais qui ont, parfois, pu impressionner.

➤ CACI (6). Le latéral gauche a pris son couloir avec envie, devant, derrière, toujours volontaire. Il y a eu quelques ratés dans ses centres mais sa débauche d’énergie a été une constante source d’inquiétude pour les Lyonnais.

➤ FOFANA (5). Le milieu a correctement joué son rôle de piston (voir ci-dessous).

➤ PRCIC (6). Franchement inspiré sur ses premiers changements d’aile, le Bosnien a régulé plutôt avec justesse le trafic, donnant le rythme qu’il fallait aux initiatives alsaciennes, trouvant des solutions vers l’avant plus régulièrement que d’habitude. Auteur d’une frappe vicieuse et détournée (31e ), le régulateur du milieu de terrain a un peu faibli après la pause mais a participé à l’effort collectif.

➤ THOMASSON (8). Il ne paye pas de mine sur un terrain, n’est pas celui qui court le plus vite ni saute le plus haut. Mais l’ancien Nantais, inlassable dévoreur d’espace, est souvent au bon endroit, au bon moment pour réussir le geste juste. Face à Lyon, il n’a pas ménagé ses efforts, comme toujours, a croqué dans les intervalles apparus entre les lignes rhodaniennes pour offrir des solutions, initier les mouvements et offrir le caviar. Sur le premier but, sa tête se transforme en… passe décisive puisque le ballon est dévié par Ajorque. Plutôt que de marquer son sixième but, il délivre sa septième offrande de la saison.
Thomasson en bonne compagnie

Mais son service en profondeur, moins de deux minutes après, a constitué une inspiration parfaite et l’envoie avec légitimité parmi les meilleurs passeurs de la Ligue 1 où il rejoint son compère Kenny Lala, en compagnie d’Angel Di Maria et Nicolas Pépé. On connaît compagnie moins glorieuse. A terminé perclus de crampes, contraint de céder sa place à Anthony GONÇALVES (88e ).

➤ DA COSTA (5). Le Cap Verdien a virevolté, toujours joué en première intention, n’a eu de cesse de tenter de déséquilibrer l’organisation visiteuse et a été l’auteur d’un splendide retourné, juste avant la pause. Son déchet, assez naturel au regard de son jeu tout en spontanéité, n’a pas nui à son utilité. Il s’est effacé après un esclandre avec Ferland Mendy pour faire place à Lebo MOTHIBA (61e ).

➤ AJORQUE (8). Le grand attaquant strasbourgeois a mis dix minutes à se mettre en action puis a souvent joué juste, dans le bon tempo, avec une activité débordante pour réussir son deuxième doublé de la saison en à peine plus de 100 secondes. Son premier but a été heureuse sur une déviation de la tête, le deuxième a été splendide, d’un puissant tir croisé. Le Réunionnais n’en finit pas de se mettre à la hauteur d’un monde qu’il découvre et où il épate le plus souvent. Brillant avant d’être remplacé par Kevin ZOHI après avoir ramené le Racing à égalité (72e ).
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Matz Sels (gardien du Racing)  : "J’ai eu beaucoup de travail, surtout en première mi-temps"
➤ MATZ SELS (gardien du Racing)  : « J’ai eu beaucoup de travail, surtout en première mi-temps, c’est dommage qu’on n’arrive pas à tenir le 1-0 plus longtemps. Au vu du scénario du match, on ne peut être que content de ce match nul. À 2-0, tout le monde pensait que le match était fini, mais avec les supporters qui poussent, on aurait même pu gagner. Après, quand tu donnes un but au bout de trois minutes, tu sais que ça va être difficile. »
➤ YOUSSOUF FOFANA (milieu du Racing)  : « On a mal débuté, mais on a su faire la part des choses, on a poussé et on a su se remettre dans le match. Je pense même qu’on aurait pu obtenir la victoire. Cela fait longtemps que l’on n’a pas gagné, mais on a su relever la tête. Ce qui est positif, c’est qu’on est quand même revenu au score contre Lyon. »
➤ SANJIN PRCIC (milieu du Racing)  : « La force de caractère de l’équipe a encore parlé. En étant mené 2-0 face à Lyon, peu d’équipes arrivent à revenir. Mais nous, on n’a pas lâché, on y a cru. Le premier but nous a fait du bien, ensuite, on a joué plus haut et ça nous a permis de marquer le deuxième. À 2-0, on n’avait plus rien à perdre, il fallait lâcher les chevaux. »
➤ LUCAS TOUSART (milieu de Lyon)  : « Il ne faut pas chercher mille excuses, on les remet dans le match. Jusque-là, ils n’avaient rien montré. C’est un coup d’arrêt, on retombe dans nos travers. Ces points de perdu vont coûter cher pour la deuxième place. »
➤ BRUNO GENESIO (entraîneur de Lyon)  : « On a eu un moment d’absence pendant dix minutes, alors que durant une heure, on avait tout bien fait et plutôt bien maîtrisé notre match. On menait 2-0 et on aurait pu mener 3-0, mais malheureusement, on est une fois encore retombés dans nos travers en ne maîtrisant pas nos nerfs dans un premier temps, puis en compliquant notre jeu, soit par excès de confiance et d’individualisme, soit par un grand manque de maturité. On doit faire preuve de davantage de maturité et d’intelligence, sans redonner des armes à l’adversaire comme on l’a fait. C’est vraiment très dommage de gâcher ce match par des fautes largement évitables, notamment ces pertes de balle sur les buts strasbourgeois. Cette année, on a perdu beaucoup de points à cause de ça. Ce soir, on voulait s’imposer pour avancer en championnat vers notre objectif et faire le plein de confiance (avant le 8e  de finale retour de Ligue des Champions mercredi à Barcelone, NDLR). On s’était donné les moyens de prendre les trois points […]. Mais on a tout gâché en dix, douze minutes. »
dna

Les petits pas en avant du Racing
Sans succès en Ligue 1 depuis six matches, le Racing entretient sa confiance contre les gros, comme Lille et Lyon, tenus en échec à la Meinau. De quoi avancer sans stress vers sa finale de Coupe de la Ligue contre En Avant Guingamp le 30 mars à Lille.
Deux mois séparent la qualification du Racing en demi-finale de la Coupe de la Ligue contre Bordeaux le 30 janvier à la Meinau (3-2) et sa finale du 30 mars à Lille face à Guingamp. Les Bleus les traverseront-ils sans la moindre victoire ?
Alors que leur série d’insuccès, prolongée à six matches – trois nuls, trois défaites, trois points sur 18 – samedi à domicile contre Lyon (2-2), court toujours, il ne leur reste qu’une occasion de reprendre leur marche en avant... avant En Avant. Samedi à Nîmes, ils auront les crocs face aux Crocos.
« On a retrouvé un peu plus de peps »
« Ce serait bien de gagner là-bas, d’y prendre les trois points pour attaquer la finale du bon pied, lâchait d’ailleurs avant-hier le double buteur du soir Ludovic Ajorque, conforté dans sa réflexion par le défenseur Pablo Martinez : « Oui, ce serait bien de gagner avant la finale, même si, dans le jeu, on répond présent en ce moment […]. Je trouve que ce qu’on fait est cohérent. Mais pour le moment, on a la tête à Nîmes. »
Cette finale, les Racingmen auront quinze jours pour la préparer, trêve internationale oblige. Ne pas retrouver le goût de la victoire leur serait-il vraiment préjudiciable alors qu’ils ont une nouvelle fois montré leur force de caractère et leur capacité à rebondir contre Lyon ? Pas nécessairement, selon leur entraîneur Thierry Laurey : « On est dans une passe un peu plus délicate, mais on a joué à Saint-Étienne (2-1) et à Nice (1-0). On a aussi reçu Lille (1-1) et Lyon (2-2). C’est quand même du lourd ! Je ne pense pas que ça ( ndlr : la période d’insuccès ) puisse influer sur le match de coupe, parce que ce sera un “one shot”. Je suis content de notre réaction face à l’OL. On avance. On a retrouvé un peu plus de peps. Bien sûr qu’on aimerait gagner avant la finale. C’est important, mais au vu des adversaires qu’on vient de rencontrer, on savait que malheureusement, ce serait peut-être un peu plus dur. On n’a pas à se mettre le feu tout seul. S’il n’y a pas de victoire avant la finale, il y en aura après. »
Les chiffres récents ne disent effectivement pas grand-chose de la qualité du jeu rarement effilochée, ni de la force de réaction de Stefan Mitrovic et ses camarades, notamment lors de leurs deux dernières prestations à la Meinau.
Comme le PSG avant eux (1-1 le 5 décembre), les deux autres membres du trio de tête, Lille et Lyon, n’ont pas réussi à s’y imposer, après avoir pourtant tous deux mené.

« La performance me plaît autant que le résultat »

« On a déjà perdu chez nous ( contre Nantes, Nîmes et Angers ). Ça arrive. Mais aucun des trois premiers n’y a gagné, rappelle le coach du Racing. Je suis content qu’on soit parvenu à revenir contre Lyon, que les garçons n’aient pas baissé les bras […]. Être mené 2-0 et arracher un point, c’est plutôt intéressant pour le mental et le bilan comptable. On a fait un match qui tient la route. La performance me plaît autant que le résultat. On aimerait regagner avant Guingamp, c’est évident, mais je n’ai qu’à me louer de l’état d’esprit des garçons. On a un groupe soudé qui fait le boulot, les efforts. »
Comme celui face au LOSC, le duel contre l’OL a été enlevé, dynamique et même encore plus débridé. « Ça tient aussi aux caractéristiques de l’équipe que nous avons alignée, la jeunesse surtout, explique Gérald Baticle, capitaine du Racing vainqueur de la Coupe de la Ligue 1997 et adjoint de Bruno Genesio à Lyon. Nos jeunes ont une vraie capacité à se projeter vers l’avant, mais manquent de maturité dans la gestion d’un match. On doit faire mieux dans ce domaine. On aurait même pu perdre à la fin. »
De la première à la dernière seconde, le ballon n’a jamais cessé de naviguer d’un camp à l’autre. Ce mouvement perpétuel, parfois un brin désordonné, a souvent coupé les deux équipes en deux. De fait, le 2-2 apparaît comme un résultat logique, plus encourageant au final pour les Racingmen que pour des Lyonnais attendus de pied ferme mercredi à Barcelone en 8es de finale retour de Ligue des Champions (aller : 0-0).
dna

Marius a écrit:

BUUUUUUUUUT 2-2 Ajorque

... et après l'égalisation de Ajorque mon ordi a disjoncté ! Plus  de télé ni téléphone ni internet jusqu'à cet après midi  !! C'est la faute à Ludovic 

Tu as quel opérateur Marius, chez les personnes qui ont orange se plaignent.

Justement j'ai orange, je pense que je vais voir ailleurs .