Le 16/12 à 19h

Thierry Laurey agacé par le temps de récupération
 Opposé à Angers ce mercredi lors de la 15ème journée de championnat, Thierry Laurey n’a pas caché son agacement sur la disparité de récupération entre les deux formations. Les Angevins ont affronté l’AS Saint-Etienne vendredi soir et bénéficient d’une récupération de 48 heures supplémentaires par rapport au club alsacien.
Alsa'sport

Il prépare déjà le terrain si jamais ça foire.

Il a raison mais Angers (avec Bahoken !) est beaucoup plus fort.

Lacuesta, je n'aime pas les entraîneurs qui se cherche des excuses aussi minables, ce sont des professionnelles et pas des danseurs d'opéra .

Avec son ancienneté il n'a de palmarès qu'avec le RCSA mais là depuis 2 ans le niveau de jeu stagne terriblement.
Il faudra recruter cet hiver. Sinon adieu ligue 1 bonjour ligue 2.
Lui il lui faut des joueurs de niveau mondial là il est content.
Et ensuite il s'obstine avec des quiches.

dna a écrit:
Le Racing en terrain hostile
Trois jours après avoir partagé les points avec le FC Metz à la Meinau (2-2), le Racing affronte ce mercredi Angers, un des trois adversaires qu’il n’a pas réussi à battre depuis son retour en Ligue 1. Pas une mince affaire face à une équipe tranquillement posée à la 7e place.
C’est peut-être ça la “douceur angevine”. Sans signer de coups d’éclat particuliers (peut-on vraiment ranger la victoire 5-1 à Nîmes dans ce registre ?), en prenant l’eau par-ci, par-là (6-1 au Parc ou 4-1 à Montpellier) mais en écopant sans trop de soucis la plupart du temps, la bande à Stéphane Moulin mène sa barque tranquillement, un peu à l’insu de tout le monde.
« C’est un peu les rois de l’embrouille, dans le bon sens. Même contre les grosses équipes, ils arrivent à faire ce dont ils ont envie »
Une sorte de force tranquille qui a guidé le SCO Angers à la 7e place après 14 journées et dont il vaut mieux se méfier, à écouter Thierry Laurey, le coach du Racing, avant la rencontre qui oppose les deux techniciens de cette Ligue 1 en place depuis le plus longtemps sur leurs bancs respectifs (lire par ailleurs).

« C’est une équipe qui est difficile à manœuvrer, et surtout elle a le pouvoir de te faire déjouer », cible l’entraîneur strasbourgeois pas plus surpris que cela du parcours des Angevins. « Ils ont réussi un très bon début de championnat, ils ont réussi à prendre des points assez rapidement et ils se sont mis en confiance. Et puis, c’est un peu les rois de l’embrouille, dans le bon sens. On le voit même contre les grosses équipes, ils arrivent à faire ce dont ils ont envie en fait. »

Face aux stars parisiennes, le tour de passe-passe des coéquipiers de Stéphane Bahoken n’avait pas vraiment fonctionné, pas plus qu’il n’a suffi à tromper la vista montpelliéraine à la Mosson. Mais en s’imposant à Rennes (2-1, le 23 octobre), ou en résistant jusqu’à la 78e aux assauts de Lyonnais plutôt irrésistibles en ce moment (défaite 1-0 à domicile le 22 novembre), les Angevins prouvent qu’ils ont des arguments à ne pas prendre à la légère.

C’est d’autant plus vrai pour les Racingmen. Ils sont certes « beaucoup mieux physiquement et mentalement depuis cinq matches » mais leur fragile 16e place ne leur offre le droit à aucun relâchement. Surtout pour espérer mettre en difficulté « une équipe bien organisée, qui a la faculté de bien contrer et de jouer les coups offensivement ».

Or, le Racing est allé chercher ses deux succès sur la route les deux fois où il a le moins eu la possession du ballon (36,8 % à Brest, 37,7 % à Nantes).

« Beaucoup d’équipes perdent la possession une fois qu’elles ont ouvert le score. Je ne sais pas trop pourquoi, on devrait être capable de jouer de la même façon, mais on protège avant tout son but, nuance Thierry Laurey. Après, à Brest et à Nantes, même si ce n’était pas les mêmes systèmes, on avait décidé de jouer bas au début parce qu’on se méfiait de la vitesse en attaque de ces équipes-là. »

Mais de toute façon qu’importe si les Angevins “laissent” le ballon – ils sont d’ailleurs plutôt partageurs dans ce domaine (51,8 % de possession en moyenne à domicile) – ou s’ils tentent d’embrouiller les Racingmen d’une autre manière. L’urgence comptable strasbourgeoise reste la même. « On se retrouve dans cette situation où il faut qu’on prenne des points que ça soit contre Angers, Bordeaux voire Paris (les trois matches avant la trêve, NDLR). Il n’y a pas trop d’alternatives », rappelle Thierry Laurey.

dna a écrit:
La nouvelle destination d’Angers
Auteur d’un excellent début de saison, un surprenant SCO s’est faufilé en 7e position. Il espère prolonger son séjour parmi les cadors de la Ligue 1 en disposant du Racing ce mercredi.
Après Metz que le Racing n’a plus vaincu depuis 2007, voici donc Angers contre qui le club alsacien ne s’est plus imposé depuis le 23 mars 2009 (2-0 en Ligue 2, doublé de Kandia Traoré). Avec le voisin lorrain et l’OM, le SCO est en effet l’une des trois seules équipes de l’élite 2020-2021 que les joueurs de Thierry Laurey n’ont jamais vaincues depuis leur retour au firmament du foot français en 2017 (*).
Duel entre les deux entraîneurs à la plus grande longévité
En cinq confrontations, le Racing a enchaîné trois nuls avant de s’incliner deux fois : 1-2 à la Meinau le 9 février 2019 et 1-0 en Anjou le 2 novembre suivant, sur un penalty transformé par l’ex-Racingman Stéphane Bahoken, sorti un quart d’heure plus tard sur blessure.
Le 6 octobre 2018, Lebo Mothiba, double buteur, et les Bleus étaient certes passés à quelques secondes d’un gros coup au stade Raymond-Kopa où ils menaient 2-0. Mais ils avaient été repris dans le temps additionnel (2-2).

Ce mercredi, le capitaine intérimaire Adrien Thomasson et ses collègues tenteront de faire enfin tomber des Angevins qui, pour leur sixième saison d’affilée en L1, y chahutent les cadors, à une jolie 7e place après 14 journées, à égalité avec le 6e , Monaco.

“Steph” Bahoken qui, malgré quelques déboires extra-sportifs, traverse l’une des périodes les plus prolifiques de sa carrière (5 buts et 2 passes décisives en 12 apparitions, dont 10 titularisations) et ses copains viennent de récolter sept points en trois rencontres.

Ils sont invaincus en voyage depuis la raclée 6-1 reçue le 2 octobre à Paris (3 victoires, puis un nul vierge à Saint-Etienne vendredi, auxquels s’ajoute le succès initial à Dijon – 1-0).

Seul bémol : un bilan domestique plus mitigé (3V, 1N, 3D) que les Strasbourgeois espèrent altérer encore en ce milieu de semaine, eux que leurs dernières transhumances vers l’Ouest ont remis dans le droit chemin (victoires 3-0 à Brest et 4-0 à Nantes).

De ce duel par procuration entre les deux plus “anciens” entraîneurs en poste en L1, Stéphane Moulin se méfie. Celui qui bouclera en juin une décennie à la tête du SCO a décortiqué les atouts d’un groupe alsacien dirigé par Thierry Laurey depuis 2016.
« C’est une équipe à l’aise à l’extérieur, plus que chez elle. Elle a inscrit 12 buts lors de ses quatre derniers voyages (11 en réalité, NDLR) , ce n’est pas rien, et été excellente à Nantes. Elle a beaucoup changé de système : à cinq derrière, en 4-4-2 en losange contre Rennes, en 4-2-3-1 depuis deux matches avec Diallo à droite. Elle est complète, très dangereuse, avec un potentiel offensif très intéressant et beaucoup de présence dans la surface. Elle est en train de revenir. Il ne faut pas se fier au classement. En valeur, les Strasbourgeois vont remonter, c’est sûr. Ça s’annonce très serré. »

De toute évidence, Bahoken et sa clique auront à l’œil l’une des attaques les plus prolifiques hors de ses bases : 14 buts en 7 déplacements. Dans une contrée où “la dalle angevine”, alimentée par une immuable rage de vaincre, est devenue une marque de fabrique, personne n’a envie de se faire croquer par un Strasbourg à l’appétit retrouvé.
(*) Le Racing s’est néanmoins qualifié à Marseille en 8es de finale de la Coupe de la Ligue le 19 décembre 2018 (1-1, 4-2 aux tirs au but).

dna a écrit:
Jeanricner Bellegarde fait son retour
L’entraîneur du Racing Thierry Laurey a retenu 21 joueurs pour le déplacement de ce mercredi à Angers. Il réintègre son relayeur Jeanricner Bellegarde, absent ces deux derniers matches, et le jeune défenseur axial Abdoulaye Ousmane au sein d’un groupe dont disparaît le milieu offensif Adrien Lebeau.
Dans une semaine à trois matches, entre le nul de dimanche dernier contre Metz à la Meinau (2-2), le voyage de ce mercredi à Angers et la réception de Bordeaux dimanche prochain, Thierry Laurey restera-t-il fidèle à la ligne de conduite qu’il a toujours suivie depuis son arrivée à Strasbourg en 2016 ? Autrement dit, l’entraîneur strasbourgeois fera-t-il tourner son effectif pour soulager certains organismes, limiter les risques de blessures et entretenir la dynamique collective ?

Ce mardi en conférence de presse, il n’a concrètement rien dévoilé de ses intentions, alors que son équipe, ragaillardie par sa série - inédite cette saison - de trois matches sans défaite (1-1 contre Rennes, 4-0 à Nantes et 2-2 dans le derby), partira en quête d’un résultat positif chez un SCO qu’elle n’a jamais battue depuis le retour du Racing en Ligue 1 en 2017 (3 nuls, puis 2 défaites). Pas une mince affaire sachant que la formation angevine de Stéphane Moulin, 7e après 14 journées avec 23 points - plus du double du Racing -, vient d’en engranger sept sur neuf en trois rencontres.
Trois à quatre changements ?
Thierry Laurey l’a tout de même laissé entendre : il se prépare à gérer un équilibre encore fragile. Reste à savoir dans quelles proportions. « « Il faut faire attention quand tu joues tous les trois jours. Le moindre bobo peut être dangereux pour le joueur. Mais il y a aussi une dynamique à conserver et entretenir. On a encore beaucoup de choses à améliorer (…), mais on sent que ça va beaucoup mieux. Et ce n’est pas en changeant toute l’équipe qu’on va entretenir cette dynamique. Néanmoins, il y en a une autre à maintenir, sur l’aspect cohésion. Pour ça, il faut avoir un noyau de base autour duquel tu puisses faire quelques retouches. »

En clair, le coach bas-rhinois devrait procéder à quelques changements « à la marge ». Jean-Eudes Aholou, cantonné au banc contre Metz après sa suspension à Nantes, pourrait relayer Dimitri Liénard, peut-être préservé pour Bordeaux. Même s’il a raté les deux derniers matches pour un petit pépin musculaire, Jeanricner Bellegarde ne s’est pas arrêté longtemps et a l’avantage de la fraîcheur. Il constitue une alternative à Mehdi Chahiri côté gauche. De l’autre côté de l’entrejeu, Kevin Zohi, buteur à Nantes, pourrait soulager un Habib Diallo très sollicité depuis son recrutement le 5 octobre. Une option qui permettrait de donner de la vitesse au jeu alsacien en contre.

L’arrière-garde, elle, ne devrait pas bouger, à moins que le technicien ne décide de faire souffler son latéral gauche Anthony Caci, au profit de Lionel Carole, au seul poste défensif où il dispose d’une solution d’expérience.

A noter que le gardien Bingourou Kamara, en délicatesse avec un genou depuis près d’un mois, doit passer un examen complémentaire ce mardi après-midi.
Le groupe
Kawashima, Pierre – Lala, Aaneba, Simakan, Ousmane, Djiku, Caci, Carole, Sissoko, Liénard, Bellegarde, Prcic, Siby, Aholou, Chahiri, Thomasson, Zohi, Waris, Ajorque, Diallo.

Absents : à Strasbourg, Mitrovic (suspendu), L. Koné (orteil), B. Kamara (genou), Sels, Mothiba (reprise), Saadi (mollet), Lebeau (choix).

la compo du Racing:
Kawashima - Lala, Simakan, Djiku, Carole - Sissoko, Aholou - Waris, Thomasson (c), Bellegarde - Diallo.
Remplaçants: Pierre (g.) - Caci, Aaneba, Liénard, Prcic, Siby, Chahiri, Zohi, Ajorque.

Par rapport au match de Metz (2-2) dimanche, Thierry Laurey devrait conserver un système identique en 4-2-3-1 mais opère quatre changements: Carole remplace Caci au poste de latéral gauche; devant lui dans le couloir, c'est Bellegarde qui prend le relais de Chahiri; Aholou revient au milieu à la place de Liénard et Majeed Waris est relancé à droite, ce qui permet à Diallo de retrouver la pointe de l'attaque. Ajorque, qui a débuté les 13 des 14 rencontres disputées jusque-là - il était suspendu contre Marseille - s'assoit sur le banc.

Le SCO de Stéphane Moulin évolue également en 4-2-3-1:
Bernardoni - Manceau, I. Traoré (c), R. Thomas, Doumbia - L. Coulibaly, Mangani - El-Melali, Fulgini, Pereira Lage - Bahoken.
Remplaçants: Butelle (g.), Pavlovic, A. Bamba, Capelle, Cho, Bobichon, Diony, Cabot, Thioub.

Angers est invaincu lors de ses 6 derniers matches de Ligue 1 face à Strasbourg (2 victoires, 4 nuls) – sa meilleure série d’invincibilité contre une équipe actuellement en Ligue 1. Seul Marseille est sur une plus longue série du genre contre les Alsaciens en L1 (10 rencontres).

Autre stat qui peut faire frémir: la dernière fois que Ludovic Ajorque a commencé la rencontre sur le banc, ça a fini en catastrophe : 5-0 à Brest, le 2 décembre 2019 !

Restons toutefois positifs: le Racing est dans une bonne dynamique actuellement, avec trois matches sans défaite (nuls contre Rennes et Metz, victoire à Nantes), ce qui fait 5 points sur 9.

Mais les Angevins marchent encore plus fort actuellement: avec deux victoires (à Lens et contre Lorient) et un nul (à Saint-Etienne), ils ont pris 7 points dans le même laps de temps.

Ce n'est pas pour rien qu'Angers a plus du double de points (23) que le Racing (11) après 14 journées. Bref, il faudra vraiment sortir le grand jeu ce soir à Raymond-Kopa, dans un stade vide à cause du huis clos sanitaire...

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C'est parti

Perte de balle de Sissoko qui débouche sur un contre angevin. Djiku est obligé de déséquilibrer El-Melali avant que celui-ci ne se présente dans la surface.

Carton jaune pour Djiku, qui avait été pris de vitesse par El Melali, auteur d'un bel appel en profondeur, sollicitant le une-deux avec Pereira Lage. Le coup franc est à 20 mètres du but strasbourgeois.

Incroyable mais vrai: Lala fait n'importe quoi et lance... Bahoken vers le but strasbourgeois ! La couverture propre de Djiku évite le pire...

Première occasion du match. Elle est pour le SCO et Bahoken, qui tergiverse face à Kawashima, puis tente de le dribbler maladroitement. C'est raté.

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C'est un festival Lala en ce début de match: le latéral loupe tout ce qu'il entreprend...

Bahoken estime que Djiku l'a bousculé. L'arbitre ne dit rien et Strasbourg repart à l'attaque.

Aholou et Sissoko combinent, pour Strasbourg. L'action se termine par un centre du deuxième nommé, que Bellegarde ne parvient pas à couper.

Lala ne se laisse pas prendre par la vitesse d'El Melali. Les deux équipes ont du mal à se mettre en bonne position.

Lala, c'est déjà 12 ballons perdus !

Lala ne doute pas, c'est sa force: il sollicite le une-deux avec Thomasson et prend sa chance aux vingt mètres, sans accrocher le cadre.

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Autre Strasbourgeois en galère : le revenant Majeed Waris, dont la vitesse et la puissance de l'hiver dernier ne sont plus qu'un lointain souvenir.

Djiku reste au sol, après un impact avec Bahoken. Il obtient la faute. Le duel est musclé entre les deux hommes, depuis le début de la rencontre.

Main de Waris, bougé au duel par Manceau.

C'est reparti à Angers, toujours sous une pluie fine.

Stéphane Moulin a changé son ailier droit, lançant Cabot à la place d'El-Melali.

Liénard, Ajorque et Chahiri sont à l'échauffement.

Diallo touche la base du poteau de Bernardoni ! Mais l'action était interrompue par une position de hors jeu du Sénégalais.

Pour l'instant, les résultats sont en faveur du Racing, puisque Dijon (20e) et Reims (19e) sont menés à domicile, alors que Nîmes (18e) se contente du nul à domicile.

Bahoken sort, Diony rentre.

Fulgini est remplacé par Capelle.

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Waris cède sa place à Ajorque.

Chahiri remplace Bellegarde.

Liénard est lancé au relais de Simakan, qui sort blessé.

La sortie de Simakan oblige Sissoko à descendre d'un cran, comme il l'avait fait contre Rennes.

Tacle de Thomas, aux abords de sa surface. Il touche le ballon de la main, mais sans volonté manifeste de le faire, en se jetant au sol, et ce n'est pas sanctionné.

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Doumbia voit jaune pour une faute sur Diallo.

Allez, allez, on se serre les coudes! Depuis février dernier, le Racing n'a plus signé de 0-0. C'était contre Amiens à la Meinau.

Un quart d"heure à tenir, voire à marquer ce petit but qui viendrait récompenser les efforts du soir.


0-1 Diallo


Habib Diallo, d'une merveille de frappe enroulée du gauche aux 20 mètres, qui ouvre le score ! Le Sénégalais a été servi d'une tête en retrait d'Ajorque, sur un centre de Lala côté droit.

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Bon ben il suffisait de mettre un gardien dans les caisses et c'est fini.
Mais Simakan semble blessé. Comme d'hab' ici.

Pereira Lage cède sa place à Cho

Et Mangani est remplacé par Thioub

Transversale ratée de Liénard. Mais le ballon sort près du poteau de corner droit d'Angers, et Strasbourg maintient ainsi le SCO sous pression.

Cinq minutes de rab !t

But 0-2


Aorque double la mise !!!!! Lancé par Dizllo, il se pré"sente seul devant Bernardoni, qu'il trompe d'une frappe croisée.

Siby et Zohi sont rentrés à la place de Diallo et Thomasson

C'est Fini


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dna a écrit:
Le Racing a fait sauter le verrou angevin
Le Racing a décroché ce mercredi soir à Angers sa troisième victoire de la saison à l’extérieur. Un succès (0-2) qui permet aux hommes de Thierry Laurey d’enchaîner un quatrième match sans défaite et de grignoter leur retard au classement.
Avant de se rendre à Angers ce mercredi, le Racing avait pris l’habitude de marquer au moins une fois lors de ses cinq déplacements précédents. A Brest, une semaine avant de se rendre en Champagne, comme à Nantes le 6 décembre, les hommes de Thierry Laurey avaient viré avec deux buts d’avance à la pause, pour s’imposer respectivement trois et quatre à zéro.

A la Mosson, le 22 novembre, ils avaient certes fait mieux en trouvant trois fois le chemin des filets montpelliérains, mais leur rendement défensif était tellement déficient que c’était un petit miracle s’ils avaient atteint la mi-temps sur un score “explosif” de 3-3 avant de s’incliner d’un but (4-3).
Ce mercredi, face à une équipe angevine particulièrement bien en place dans sa moitié de terrain, les Strasbourgeois ont de grandes difficultés en première période pour approcher la cage de Bernardoni.

« Sur la première mi-temps, ce n’était pas tout à fait ça »

Le mérite en revient principalement aux hommes de Stéphane Moulin, mais les joueurs du Racing n’ont pas vraiment fait tout ce qu’il fallait pour se mettre dans les meilleures dispositions.

Les hommes de Thierry Laurey ont en effet multiplié les pertes de balle, souvent sur des relances assez simples dans leur camp, parfois en tentant d’aller vers l’avant. On pense notamment à la passe de Diallo qui n’arrivera pas dans les pieds de Waris côté droit alors qu’il y avait, enfin, un bon coup à jouer (24e).

Sans être exceptionnels dans le jeu, les Angevins ont dicté le rythme de la partie sans pour autant profiter des quelques bévues adverses, comme sur la passe en retrait de Lala qui a bien failli se transformer en offrande pour Bahoken (15e).

«On a eu chaud une ou deux fois»

« Sur la première mi-temps, ce n’était pas tout à fait ça. On aurait aimé maîtriser d’avantage mais on a donné beaucoup trop de ballons faciles et on a eu chaud une ou deux fois, reconnaîtra d’ailleurs Thierry Laurey. Sur la deuxième, ça correspondait plus à ce qu’on voulait. »

Dans le souci de faire tourner l’effectif, ce dernier avait décidé de relancer des garçons qu’on avait plus vu sur le banc que sur la pelouse ces derniers temps.

Si Carole a été particulièrement solide dans le couloir gauche de la défense au relais de Caci, le retour de Waris a été plus quelconque. L’attaquant ghanéen n’a pas réussi et proposé grand-chose, si bien que son remplacement est devenu irrémédiable.

Intervenu dans le même temps que celui de Bellegarde – intéressant pour son retour sans avoir 90 minutes dans les jambes, il est sorti au profit de Chahiri –, le remplacement de Waris par Ajorque a été suivi d’effet.

Le grand Réunionnais est passé à la pointe de l’attaque, Diallo s’excentrant sur la droite comme lors des deux dernières rencontres, et le Racing en a rapidement profité.

Un centre de Lala, une remise de la tête d’Ajorque, une frappe enroulée de Diallo… l’enchaînement éclair a ruiné d’un coup les efforts angevins pour contrôler ce match-là (0-1, 77e).

On n’oubliera pas aussi que sans une superbe parade de Kawashima sur une tête de Thomas (64e), le sort de cette partie aurait sans doute été différent.

Son duo d’attaque reconstitué (lire par ailleurs), le Racing ne va pas rater l’occasion de faire main basse définitivement sur la rencontre.
Trois points de marge sur la zone rouge

Sur un contre, qui n’est pas sans rappeler celui qui avait scellé le score à Brest, Diallo va lancer Ajorque vers le bonheur (0-2, 90e+1), le banc strasbourgeois laissant alors exploser sa joie dans les tribunes désertes du stade Raymond-Kopa où il avait pris place.

A l’aise dès qu’il met le cap à l’ouest, le Racing de Thierry Laurey, qui n’avait encore jamais battu le SCO d’Angers depuis son retour en Ligue 1, casse un de ses trois derniers plafonds de verre, seuls Marseille et Metz n’ayant pas encore été accrochés à son tableau de chasse.

Avec trois points d’avance sur le barragiste, il remonte ainsi à la quinzième place, juste derrière Saint-Etienne qui mène le peloton de sept équipes fermant la marche du championnat.

Diallo - Ajorque dans la cour des "grands"
Un but et une passe décisive chacun : Habib Diallo (1,85m), titulaire, et Ludovic Ajorque (1,97m), entré à la 66e , ont été les détonateurs d’une victoire que les Bleus ont su construire avec prudence d’abord, patience ensuite, efficacité enfin.
On l’avait très peu vu jusque-là, jusqu’à ce que son compère Ludovic Ajorque entre en jeu à la 66e. Un centre de Kenny Lala, une remise en retrait du Réunionnais et Habib Diallo est d’un coup apparu dans la lumière des projecteurs en ne laissant aucune chance à Paul Bernardoni (77e ).
Sans l’ombre d’une hésitation, l’international sénégalais a enroulé une frappe du gauche parfaite pour sa cinquième réalisation en sept titularisations (et neuf apparitions).
Puis dans le temps additionnel (90e +1), il a remercié son comparse en lui servant, grâce à sa 3e passe décisive, un caviar dont le grand avant-centre s’est goinfré sans modération.
‘’Ludo’’ Ajorque, qui avait connu un peu de retard à l’allumage en début de saison, marche désormais sensiblement au même rythme que son nouveau camarade de jeu, avec 6 buts et 3 passes décisives.
C’est la quatrième fois qu’ils marquent dans un même match
Le duo, associé depuis le recrutement de l’ancien Messin le 5 octobre pour 10 millions d’euros – un record à Strasbourg – et cinq ans, compile à lui seul la moitié des buts du Racing (11 sur 22).
« Mais ça n’a pas toujours aussi bien combiné et on est justement en train d’améliorer les choses. Il y a encore pas mal de travail, tempère leur entraîneur Thierry Laurey qui a souhaité les associer sous le maillot alsacien. La complémentarité entre les deux, je la vois surtout par leur profil. Habib, c’est vraiment un joueur capable d’être dans la surface pour marquer. Ou alors, comme ce soir (hier) , sur un ballon de récupération : la seule chose qui l’intéresse alors, c’est de frapper pour marquer. Ludo, c’est plus un joueur qui participe au jeu. Il a plus un profil d’organisateur. On s’en sert beaucoup comme appui. Habib, lui, est davantage dans la surface de réparation. »
Pourtant, depuis le passage à un système en 4-2-3-1, le Lion de la Teranga est exilé sur le flanc droit, avec, toutefois, pour mission d’épauler son binôme dès que l’occasion se présente.
« Habib joue dans le couloir, mais n’en a pas la position, sauf dans le replacement comme on le lui demande, développe son coach. Son jeu est de venir devant le but. Même si on a cherché à aménager leur position ces derniers temps de façon à les avoir toujours tous les deux sur le terrain, l’objectif reste le même pour nous. »
Ce mercredi, Ludovic Ajorque a toutefois débuté la partie sur le banc pour la première fois depuis le triste déplacement à Brest le 3 décembre 2019 (déroute 5-0). Il a attendu plus d’une heure avant d’en sortir. Mais les "flingueurs" du Racing n’ont pas mis longtemps à forcer la serrure angevine.
Mine de rien, c’est déjà la quatrième fois, après Brest, Montpellier et Nantes, que les duettistes marquent un but chacun dans le même match. Et dire que leur entraîneur suggère que leur association reste à parfaire…
dna

dna a écrit:
Des Strasbourgeois solides, puis piquants
Les Strasbourgeois ont parfaitement manœuvré hier à Angers, en verrouillant intelligemment l’accès à leur but, avant de piquer par deux fois sur des actions rondement menées et bonifiées par le duo Diallo-Ajorque.
S’il n’a pas modifié son schéma tactique, Thierry Laurey a, comme prévu, changé les hommes à Angers : Carole, Aholou, Waris et Bellegarde à la place de Caci, Liénard, Ajorque et Chahiri.

Le rendement du Racing n’en a pas été altéré, même si l’entrée du Réunionnais a été le catalyseur de sa 4e victoire et son 4e ‘’clean-sheet’’.

KAWASHIMA (6)

Pour sa 5e titularisation d’affilée, le Japonais n’a rien eu à faire en première période, sinon capter dans un fauteuil un tir écrasé des 20 m d’El Melali (36e ). Mais son arrêt de la 64e sur une tête à bout portant de Romain Thomas est déterminant. Il est le premier étage de la fusée qui va amener les Bleus au succès.
LALA (5)

Il avait confié n’être pas satisfait de lui après le derby contre Metz. Pas sûr qu’il l’ait été de son entame à Angers. Son moment d’égarement sur une passe en retrait dans la course de Bahoken aurait pu coûter cher au Racing si l’ex-Strasbourgeois ne s’était pas emmêlé les pinceaux au moment de défier Kawashima (16e ). Il a aussi multiplié les pertes de balle dans la première demi-heure (12) avant de se remettre d’équerre. Il a ainsi le mérite d’ajuster le centre qui amène l’ouverture du score.
SIMAKAN (5)

On l’a peu vu en début de rencontre, mais il a commencé à monter en puissance avant le repos. Son élan a cependant été stoppé net lorsqu’il a été touché en haut de la cuisse gauche et quitté le terrain dès la 69e , remplacé par Dimitri Lienard.
DJIKU (6)

Son avertissement dès la 11e pour avoir accroché El Melali l’a vite mis dans une position inconfortable pour défendre sur un Bahoken auquel il a livré un duel de costauds. Avec un peu de vice parfois, il a quand même muselé le Camerounais. Solide, malgré quelques imprécisions à la relance.

CAROLE (7)

De retour dans le onze de départ où il n’était plus apparu depuis le revers à Reims le 1er novembre, il a parfaitement fermé son couloir gauche où Manceau, El Melali ou Pereira Lage ont tenté de créer le surnombre. Appliqué, décisif aussi avec un sauvetage devant Fulgini qui avait slalomé dans la défense alsacienne (28e ), il a livré un match de haute tenue.

SISSOKO (6)

On peut lui reprocher quelques approximations dans les transmissions, mais le grand Ibou a fait le job. Il n’a pas hésité à aller au charbon, notamment quand, comme contre Rennes, il a reculé en défense centrale où il s’est montré intraitable après la sortie de Simakan.

AHOLOU (5)

Après sa suspension à Nantes et son passage sur le banc contre Metz, ''JEA'' revenait lui aussi dans le onze. L’ancien Monégasque a ratissé pas mal de ballons et s’est contenté de jouer simple, sans prendre de risque excessif. C’est exactement ce qui lui était demandé. Pas flamboyant, mais très présent.
WARIS (4)

Il avait disparu des radars depuis sa 3e titularisation à Monaco le 27 septembre où, touché, il était sorti à la pause. Ressorti du placard en cette pluvieuse soirée angevine, il a essayé de jouer les accélérateurs de particules, mais avec pas mal de déchet. Il a fini par céder sa place à Ludovic Ajorque (66e ), passeur décisif pour Diallo sur une impeccable remise (76e ), puis buteur sur un caviar du Sénégalais (90e ), avant d’être averti (90e +4).
THOMASSON (5)

Buteur contre Rennes et Metz, le stratège bas-rhinois n’a pas touché énormément de ballons exploitables, mais s’est évertué à les bonifier, au travers, entre autres, de une-deux soignés avec ses partenaires. Moins influent après le repos, il a cédé sa place à Mahamé Siby dans le temps additionnel (90e +2).
BELLEGARDE (6)

Lui qui avait passé son tour depuis deux matches à cause d’une gêne musculaire a retrouvé le flanc gauche où il s’était illustré ces derniers temps. ''Jeanjean'' a couru comme un lapin aux quatre coins du terrain, même s’il s’est fait reprendre de justesse par Coulibaly dès la 1re. Il a logiquement baissé en régime en 2e période et a tout aussi logiquement été relayé par Mehdi Chahiri (66e ).
DIALLO (7)

L’ancien Messin a longtemps peiné à prendre la lumière. Mais lorsqu’il l’a prise, il a ébloui le match de toute sa classe, d’un intérieur du gauche parfait sous la barre de Bernardoni (77e ), puis d’une offrande à son compère Ajorque sur le but du K.-O (90e ). Il s’est effacé au profit de Kevin Zohi à la 90e +2.

Un but venu d'ailleurs.

Lacuesta a écrit:

Il a raison mais Angers (avec Bahoken !) est beaucoup plus fort.

 
Cette fois ci non.

Oui je me suis trompé et pourtant ils avaient deux jours de récupération en plus. Le tournant a sans doute été la sortie de Fulgini sur blessure, sur un terrain lourd et le remplacement de Bahoken (après quelques ratés) par Diony qui n'eut plus de ballons, juste après un bel arrêt de Kawashima.
L'arrivée d'Ajorque fut déterminante.

dna a écrit:
Les conquêtes de l’Ouest
Revenu avec les trois points de la victoire d’un déplacement dans l’Ouest de la France pour la troisième fois cette saison avec son succès mercredi à Angers (0-2), le Racing a étiré sa série d’invincibilité à quatre matches. Une dynamique à entretenir dès dimanche contre Bordeaux.
Au sortir d’une rocambolesque défaite 4-3 à Montpellier le 22 novembre, Thierry Laurey avait lâché un désabusé « si à chaque fois il faut en marquer cinq pour l’emporter, ça va être assez compliqué ». Il est certain que quand on est capable d’en “planter” trois chez l’adversaire, il y a de quoi être frustré de revenir tout de même à vide.

Quand ils avaient tardé à trouver le chemin des filets adverses en déplacement la saison passée (*), les Racingmen ne connaissent pas cette année ce problème loin de la Meinau. Au même stade du championnat, c’est même leur point fort, seules les stars parisiennes faisant mieux dans le domaine
« Il faudra faire très attention à ne pas tout gâcher »

« On sait qu’on a la capacité de marquer des buts à l’extérieur. Il est évident que si on n’en encaisse pas ou peu, on a plus de chances de gagner une rencontre », a glissé mercredi un Thierry Laurey à qui il n’a pu échapper que son équipe n’a pas encaissé le moindre but lors de ses trois succès en déplacement (3-0 à Brest, 4-0 à Nantes et donc 2-0 à Angers).

L’efficacité strasbourgeoise n’est pas nécessairement liée à l’effet “huis clos” – qui voudrait que les équipes qui se déplacent sont plus avantagées par l’absence de public –, puisque les Strasbourgeois se sont imposés à Brest devant 4 361 spectateurs et inclinés à Reims et Montpellier dans des stades aussi vides qu’à Nantes et Angers.

Être privés de leurs supporters semble par contre leur être plus préjudiciable. Quand ils ont pris neuf points sur la route, ils n’en ont récolté que cinq à la Meinau. Une raison de plus pour ne pas se reposer sur les lauriers tressés lors de l’actuelle série de quatre matches sans défaite avant de recevoir Bordeaux dimanche (15h). La dynamique est meilleure – ce qui n’est pas très compliqué vu l’entame de championnat –, il s’agit de continuer à l’entretenir.

« C’est une bonne chose, on est content de ce qu’on a fait mais on sait aussi que dimanche, ce sera un gros défi contre Bordeaux qui est très à l’aise à l’extérieur, se méfie Thierry Laurey. Il faudra faire très attention à ne pas tout gâcher. »

Pour cela, il faudra éviter de reproduire la faible prestation durant la première demi-heure mercredi à Angers, même si le SCO n’a heureusement pas profité du « déchet technique » de Strasbourgeois qui ont su retrouver un niveau plus convenable après cette entame délicate.

« En fin de première mi-temps, on avait réussi à faire de bonnes choses dans la conservation. La deuxième mi-temps m’a vraiment plu parce qu’on a cherché à garder le ballon, à les aspirer, à faire tourner, à ressortir de leur pressing à chaque fois, apprécie un Thierry Laurey qui sent, à l’attitude de son banc (lire la phrase ci-contre) , un groupe entier concerné.
Rien de méchant pour Simakan

Si Lionel Carole a plus profité du temps de jeu qui lui était offert pour se mettre en évidence (lire ci-dessous) qu’un Majeed Waris pas aidé, il est vrai, par la qualité assez pauvre du début de match, le coach du Racing estime que « tout le monde a apporté son écot » à cette quatrième victoire de la saison.

Les entrants, et principalement Ludovic Ajorque, ont fait pencher la balance du bon côté. Titulaire à la récupération aux côtés d’Aholou, Ibrahima Sissoko a été – comme contre Rennes à dix contre onze – à la hauteur pour faire le job en défense centrale quand Mohamed Simakan est sorti (69e ). Rien de méchant a priori pour le défenseur de 20 ans qui avait disputé l’intégralité des 14 matches précédents.
« Il avait eu quelques douleurs au niveau de la cuisse dans la semaine, mais j’ai pris la responsabilité de le faire jouer. Après, l’état du terrain n’a rien arrangé, ça a réveillé un peu ses douleurs, c’est pour ça qu’on a préféré le sortir, explique son coach. On va voir dans les jours qui viennent pour le remettre d’aplomb. »
« Ça permet d’avoir d’autres objectifs à fixer aux joueurs »

En attendant, le Racing s’est offert « un peu d’oxygène » avec la troisième de ses conquêtes de l’Ouest cette saison. « On n’était pas sûr de nous en venant ici, ce n’est jamais facile de gagner à Angers, rappelle Thierry Laurey, qui succède à Gilbert Gress au palmarès des entraîneurs strasbourgeois vainqueurs dans l’antre du SCO. Ça nous permet d’avoir d’autres objectifs à fixer aux joueurs et de prendre un peu d’avance sur les équipes qui sont derrière nous. Mais on sait aussi que tant qu’on n’aura pas sorti la tête de l’eau de manière assez conséquente, on risque de replonger. »

Pour l’éviter, le Racing doit maintenant exploiter le fruit des richesses qu’il parvient à glaner sur la route. C’est un peu le but des conquêtes…

(*) Ils avaient inscrit leurs quatre premiers buts en une soirée lors de la 14e journée à Amiens (victoire 4-0 le 23 novembre 2019), après avoir fait chou blanc lors de leurs six déplacements précédents.