Mercredi le 3/03/2021 à 21h

equipe a écrit:
Strasbourg privé de Jean-Eudes Aholou et Ibrahima Sissoko contre Monaco
Jean-Eudes Aholou et Ibrahima Sissoko vont manquer le match de Strasbourg contre Monaco, ce mercredi (21 heures).

Alors qu'ils ont livré une belle performance dimanche sur le terrain du leader, Lille (1-1), les deux milieux de Strasbourg Jean-Eudes Aholou et Ibrahima Sissoko ne vont pas pouvoir enchaîner contre Monaco, ce mercredi (21 heures). Sissoko est en effet suspendu pour une accumulation de cartons jaunes. La mauvaise surprise concerne Aholou, puisqu'il est prêté par Monaco au Racing et qu'une clause de son contrat l'empêche de jouer contre l'ASM.

Thierry Laurey, qui était bien présent en conférence de presse ce mardi malgré son malaise dimanche, en raison de maux de ventre, va donc devoir reconstruire son milieu.

equipe a écrit:
Monaco avec Wissam Ben Yedder et Kevin Volland à Strasbourg
À Strasbourg, Monaco va tenter d'étirer sa série d'invincibilité en L1 à 13 matches avec ses deux attaquants vedettes.
Invaincu depuis 12 rencontres, Monaco se déplace à Strasbourg, ce mercredi, dans le cadre de la 28e journée de Ligue 1.

Niko Kovac a convoqué un groupe de 20 joueurs pour cette rencontre. Pour ce déplacement en Alsace, il sera privé de Gelson Martins (réathlétisation), Willem Geubbels (soins) et Pietro Pellegri (entraînement adapté).
Le groupe de Monaco
Lecomte, Mannone - Aguilar, Badiashile, Ballo-Touré, Caio Henrique, Disasi, Maripán, Matsima, Sidibé - Diatta, Diop, Fàbregas, Fofana, Golovin, Matazo, Tchouameni - Ben Yedder, Jovetic, Volland.

Il faut absolument les battre.
Sans Aholou (je croyais ces "clauses" interdites, surtout pour un prêt payant ?!), ça va être difficile mais l'absence de Sissoko ne posera aucun problème. On avait réussi à se débarrasser de Kamara (au moins comme titulaire, ce qui a fait perdre une bonne dizaine de points au club) mais là pour lui c'est l'amour fou.
Sentiment inversement proportionnel à ce qu'il montre sur le terrain.
Un peu comme Bellegarde.
J'avoue que je ne les supporte plus, au point de leur préférer Chahiri ou espérer que Siby soit titulaire.
C'est dire.

dna a écrit:
l’ivresse des sommets
Passé tout près de l’exploit dimanche chez le leader lillois (1-1), le Racing poursuit son voyage en haute altitude, ce mercredi à la Meinau (21h), contre l’AS Monaco. Une équipe actuellement injouable qu’il faudra défier avec un gros handicap, à savoir l’absence de deux joueurs clés. Infaisable ?
De la position allongée, qu’il a adoptée dimanche dans une salle de soins du stade Pierre-Mauroy, Thierry Laurey est vite repassé en mode vertical, les deux pieds bien ancrés au sol, l’esprit alerte et le verbe pugnace.

« J’ai eu un petit problème d’une heure en plein match, je vais très bien », évacue prestement l’entraîneur du Racing au sujet de ses maux de ventre qui l’ont contraint de passer le relais à son adjoint Fabien Lefèvre, alors que Ludovic Ajorque venait d’ouvrir le score avant la pause.
« On peut donc dire que j’ai gagné à Lille », se marre-t-il en indiquant qu’il n’a « rien vu de la suite, si ce n’est le soir en rentrant à la maison ».
« Même quand on fait un très grand match, on ne gagne pas forcément »

S’il ne lui a pas échappé qu’il a manqué « quelques centilitres, voire millilitres d’essence » pour tenir le résultat et empêcher l’égalisation du capitaine nordiste José Fonte, le technicien préfère mettre l’accent sur les éléments positifs.

« On a haussé le niveau d’exigence, on était très compact, on a su se projeter rapidement, on a eu plusieurs occasions contre la meilleure défense du championnat, énumère-t-il. Ce qui est important, c’est d’avoir eu la possibilité de croire que l’on pouvait gagner. Ça confirme ce que je pensais de l’équipe en ce moment. »

Le problème, c’est que les Bleus n’ont finalement pris qu’un point. Ce qui ne fait guère avancer au classement (15e , avec cinq longueurs d’avance sur le barragiste nîmois). « Cela nous rappelle qu’il ne faut pas s’enflammer non plus, abonde Laurey. Même quand on fait un très grand match, on ne gagne pas forcément. »

Le technicien, dont le plan de jeu a parfaitement fonctionné dans le Nord, va essayer de maintenir le curseur de l’engagement et de la confiance au plus haut au sein de son groupe.

« J’avais dit aux gars que face au premier du championnat, il faut élever le niveau, dit-il. Ça a été fait, et j’en suis content. Sera-t-on capable de le reproduire contre le quatrième ? C’est la question que je vais leur poser. »

Même s’ils répondent par l’affirmative, la marche s’annonce quand même bien haute. Déjà parce que l’AS Monaco de Niko Kovac marche actuellement sur l’eau – neuf victoires, dont une marquante au Parc des Princes (0-2), et un nul depuis le début de l’année – et rêve de fondre sur le trio de tête qui est à portée de fusil.

Sans Sissoko ni Aholou, la tâche se complique

Ensuite aussi parce que le Racing ne disposera pas des mêmes arguments qu’à Lille. À l’absence connue de Sissoko, suspendu en raison d’une accumulation de cartons jaunes, s’ajoute celle d’Aholou, la sentinelle de l’équipe justement prêtée à la saison par… le club de la Principauté.

« On a un accord avec Monaco et on se doit de le respecter, même si ça ne nous arrange pas avec la suspension d’Ibou, indique Laurey. C’est une des règles que l’on a acceptée quand il a signé chez nous. »

Voilà qui est contrariant quand on sait que le duo du milieu avait été une des clés de la bonne performance lilloise, d’autant plus que les solutions de rechange viables ne sont pas nombreuses et que le cœur du jeu monégasque est particulièrement dense autour de l’ex-Strasbourgeois Youssouf Fofana.

« Il va falloir trouver une clé dans le jeu et un levier sur les joueurs, avance Laurey. On y pense, on cherche encore mais on va trouver quelque chose. »

Puisqu’il est dit que la nuit porte conseil, le staff strasbourgeois a encore eu quelques heures pour peaufiner son plan de bataille, histoire de ne pas laisser des boulevards à Ben Yedder, Volland, Jovetic, Golovin et à l’armada d’internationaux qui peuplent les beaux quartiers au pied du Rocher.

« En ce moment, on est bien sans être des génies, veut croire l’entraîneur alsacien. À Lille, on a laissé passer l’orage avant de poser un peu notre jeu. On va essayer de s’en inspirer. Si on doit souffrir, on souffrira tous ensemble. On n’a de toute façon pas trop d’options et il nous faut des points. C’est une lutte incessante. »

Pour Thierry Laurey, qui dirigera son 201e match officiel au Racing – « Si j’ai atteint ce cap, c’est que j’ai dû faire quelques conneries, mais pas trop non plus », sourit-il –, et les Bleus, le défi est de taille. Mais à cette altitude, l’ivresse des sommets est grisante.
Repères
Racing : un milieu à réinventer

Nul doute que Thierry Laurey aurait aimé compter sur ses guerriers qui ont enquiquiné le Losc dimanche dans le Nord. Mais l’entraîneur des Bleus sera privé de deux éléments clés : Sissoko, suspendu, et Aholou, prêté par l’ASM et dont une clause dans le contrat stipule qu’il ne peut affronter le club de la Principauté. « On a de très bonnes relations avec Monaco, mais pas au point de les laisser gagner facilement, s’amuse Laurey. Ceci dit, il faudra tout repenser ».

L’une des options les plus pertinentes consiste à faire monter d’un cran le défenseur Djiku, qui a déjà dépanné à plusieurs reprises en sentinelle – notamment à l’aller lors de la défaite à Louis-II (3-2) –, et à le remplacer dans l’axe par Koné, qui ne joue plus que les utilités depuis son retour de blessure.

Ce remaniement permettrait de placer un costaud dans le cœur du jeu, encadré par deux joueurs plus techniques, en l’occurrence Liénard et Bellegarde.

Une autre possibilité consiste à ne rien changer en défense et à aligner Prcic, avec le handicap de ne pas faire le poids face à un milieu monégasque dense.

Quant à l’animation offensive, elle devrait être confiée au trio Thomasson, Diallo et Ajorque, ce dernier étant en pleine confiance après son superbe but inscrit à Lille.

Du côté monégasque, on ne change pas une équipe qui gagne. Kovac devrait donc garder le même onze de départ qui a gagné à Paris puis contre Brest (2-0 à chaque fois), en se laissant la possibilité de lancer de sacrés clients à tout moment, avec « cinq internationaux dont deux champions du monde (Sidibé et Fabregas) », comme le rappelle Laurey.

➤ Les absents : Sissoko (suspendu), Aholou (clause contractuelle), Sels, Mothiba (reprise), Simakan (blessé), Ousmane (choix) au Racing ;
Geubbels, G. Martins, Pellegri (reprise), Grandsir, Aït-Bennasser, Luis, Millot, Majecki (choix) à Monaco

Sissoko qui manque, n'importe quoi.
Quant à cette clause c'est illégal.
Fofana ne devrait pas jouer non plus alors. Escrocs !

Lacuesta a écrit:

Sissoko qui manque, n'importe quoi.
Quant à cette clause c'est illégal.
Fofana ne devrait pas jouer non plus alors. Escrocs !

Je ne suis pas d'accord avec toi , Monaco a mis cette clause dans le contrat, le racing ne l'a pas fait tant pis pour eux
Pour Sissoko je me demande aussi ou il va manquer .

Au niveau international ça doit être interdit c'est totalement illégal. Mais ici c'est la mafia. Que le RCSA compte sur Sissoko ou plutôt l'entraineur prouve qu'il n'y a pas ici de niveau technique minimal pour signer. Brest va mieux sans lui.

Les compos . Le Racing affichera un visage assez défensif ce qui n'est guère surprenant face à la force de frappe monégasque.

RACING: Kawashima - Guilbert, Koné, Mitrovis, Caci, Carole - Djiku, Liénard - Thomasson - Diallo, Ajorque.

MONACO: Lecomte - Sidibé, Maripan, Basiashile - Aguilar, Tcouaméni, Fofana, Caïo Henrique - Volland, Ben Yedder, Golovin.

C'est un sérieux client qui débarque à la Meinau ce soir. Monaco est tout simplement inarrêtable en 2021. Seul Brest a enraillé la mécanique princière en 2021 en cherchant le nul à Louis-II. L'ASM a sinon remporté ses neuf autres matches et tourne à deux buts par match. Ca s'annonce donc très compliqué pour les Strasbourgeois, d'autant plus que l'ASM doit gagner pour rester dans le groupe de 4 (avec Lille, le PSG et Lyon) aux avant-postes.

Le match aller avait débouché sur un scénario assez rocambolesque. Mené 2-0, le Racing avait réduit la marque avant de voir l'ASM reprendre le large. Revenus à 3-2, les Strasbourgeois avaient poussé à 11... contre 9 durant une bonne partie de la seconde période sans malheureusement parvenir à égaliser.

Avec seulement trois victoires à domicile cette saison, le Racing est bien loin de ses standards de la saison dernière (sept à pareille période). Il est évident que ses supporters lui manque et cela se ressent dans la performance. Et cette fois-ci, couvre-feu oblige, personne n'état là pour faire une haie d'honneur aux hommes de Thierry Laurey à leur arrivée su stade. Espérons que ce sera pour le prochain match du Racing à domicile, le 21 mars, contre Lens, pour célébrer la grosse performance des Bleus ce soir...


C'est parti à la Meinau.


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Deux centres déjà côté monégasque. Le premier de Wissam Ben Yedder et repoussé par Lamine Koné, le second de Ruben Aguilar finit derrière le but.

Les Strasbourgeois ne voient pas le ballon. Quand ils arrivent à le toucher, comme ici avec Frédéric Guilbert, ça finit en touche.

Récupération haute d'Alexander Djiku qui trouve Ludovic Ajorque à droite. L'attaquant recherche Habib Diallo dans la surface, mais Djibril Sidibé prend le dessus.

Alexander Djiku se relève péniblement après un contact avec Alexandre Golovine. L'ancien Caennais se tient la cheville droite.

Premier corner strasbourgeois, côté gauche pour Dimitri Liénard. Il ne lève pas assez son ballon qui est renvoyé au premier poteau.

Première frappe pour le Racing, par Lamine Koné aux 20 mètres, plein axe. C'est légèrement dévié par Youssouf Fofana et ça finit à gauche du but.

Après un corner, Adrien Thomasson remet dans la surface et Alexander Djiku reprend de volée, obligeant Benjamin Lecomte à réaliser une belle parade. Mais le numéro 24 strasbourgeois est signalé hors-jeu.

Les hommes de Thierry Laurey sont mieux depuis quelques minutes et occupent le camp monégasque.

Encore un gros arrêt de Benjamin Lecomte, qui remporte son face-à-face avec Adrien Thomasson. Mais Habib Diallo, qui a servi le frappeur, était hors-jeu.

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Dimitri Liénard est rappelé à l'ordre par l'arbitre après une faute d'antijeu sur Aurélien Tchouaméni.

Alexandre Golovine frappe un coup franc à 25 mètres sur la droite. Benoît Badiashile, au second poteau, remise. S'en suit un cafouillage mais personne ne reprend, et Eiji Kawashima peut se saisir du ballon.

Le centre en retrait de Thomasson est repris par Liénard qui ne trouve pas le cadre.

Les Alsaciens hésitent de moins en moins à se projeter mais attention à ne pas trop se découvrir. Les Monégasques se projettent vite vers l'avant dès la récupération du ballon.

Djibril Sidibé est pressé par Adrien Thomasson et Ludovic Ajorque proche de sa surface. Il s'en sort en obtenant un coup franc.

Sur cette faute sifflée, Ludovic Ajorque montre son mécontentement par un geste d'humeur qui lui vaut un carton jaune.

Strasbourg pousse. Nouveau corner, côté droit pour Dimitri Liénard. C'est encore repoussé au premier poteau, par Aurélien Tchouaméni cette fois-ci.

Coup franc proche de l'angle gauche de la surface pour le Racing. Dimitri Liénard le frappe du gauche. Guillermo Maripan repousse de la tête. Aux 20 mètres, Lionel Carole tente une reprise de volée. Le ballon monte et redescend peu après la barre.


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Alexander Djiku et Frédéric Guilbert combinent sur le côté droit. Les deux joueurs se retrouvent après avoir évolué ensemble sous le maillot du SM Caen entre 2017 et 2019.

Djiku est à nouveau en mode patron et multiplie les interceptions dans l'entrejeu. Le défenseur, qui évolue un cran plus haut ce soir, surveille comme le lait sur le feu Golovine qu'il prend au marquage individuel.

Diallo, bien lancé par Guilbert, perd son face-à-face devant Lecomte mais le Sénégalais était de toute façon hors-jeu.

Mi-temps


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C'est reparti

Belle montée de Guilbert à droite. Il met dans la surface à ras de terre pour Ajorque qui talonne en retrait pour Thomasson. Sa frappe en première intention du droit est forte et cadrée, mais Maripan est sur la trajectoire et dévie en corner.

Carton jaune pour Adrien Thomasson, en retard sur Youssouf Fofana.

Youssouf Fofana peine à se relever après ce coup. Les soigneurs interviennent. Ça va aller pour le milieu monégasque.

Kevin Volland est remplacé par Cesc Fabregas.

Youssouf Fofana est remplacé par Stevan Jovetic.

Et Ruben Aguilar est remplacé par Sofiane Diop.

En Ligue 1, Monaco a marqué au moins 2 buts lors de chacun de ses matches en 2021.

Diallo tout près de conclure. Sur une ouverture de Guilbert, Ajorque prolonge de a tête mais le Sénégalais est trop court dans les six mètres.

Ajorque se heurte à Lecomte !

Centre de la droite de Guilbert. Badiashile repousse de la tête sur Ajorque qui reprend de volée aux 18 mètres. Lecomte est masqué et repousse au dernier moment sur sa droite. Sur le second ballon, Liénard tente sa chance des 20 mètres. C'est au-dessus.

Stevan Jovetic se joue de Stefan Mitrovic côté droit mais écrase un peu son centre. C'est dégagé par Anthony Caci.

Guillermon Maripan perd le ballon devant sa surface et Habid Diallo pense pouvoir en profiter. Mais il se heurte à un incroyable retour défense d'Aurélien Tchouaméni qui lui enlève le ballon du bout du pied.

Le ballon arrive dans la surface de Monaco par la gauche sur un centre d'Anthony Caci. Pressé par Ludovic Ajorque, Caio Henrique s'emmêle les pinceaux au second poteau et est proche du CSC. Benjamin Lecomte dégage sur sa ligne.

Nouveau changement à Monaco: Diatta remplace Golovin bien muselé par Djiku.

Les offensives strasbourgeoises se multiplient. Les Monégasques n'arrivent plus à enchaîner les passes.

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Alexander Djiku est au sol avec les soigneurs. Cela ressemble à une blessure musculaire.

Alexander Djiku est aussitôt remplacé par Jean-Ricner Bellegarde.

Cesc Fabregas ne trouve pas d'angle de passe aux 25 mètres et finit par se faire chiper le ballon par Jean-Ricner Bellegarde.

Aurélien Tchouaméni ouvre vers Stevan Jovetic sur la gauche. Frédéric Guilbert est bien placé est coupe la trajectoire du ballon de la tête.

Cafouillage à l'entrée de la surface monégasque après une longue touche. Jean-Ricner Bellegarde finit par tenter sa chance mais est contré par l'amas de jambes devant lui.

Dernier changement côté monégasque : Caio Henrique est remplacé par Fodé Ballo-Touré.

Fodé Ballo-Touré s'écroule dans la surface après un contact avec Frédéric Guilbert et réclame le penalty. Il ne l'obtient pas et est même réprimandé par l'arbitre.

But 1-0 Gilbert

Guilbert ouvre le score !
Frédéric Guilbert monte seul depuis le milieu du terrain, pas attaqué. Aux 20 mètres, légèrement excentré à gauche, il frappe de gauche à ras de terre. C'est croisé et hors de porté de Benjamin Lecomte, dans le petit filet intérieur.

terminé


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Belle victoire mais Djiku est blessé. Ceci dit, Koné a fait le travail. L'attaque et le milieu monégasque ont été totalement étouffés surtout en 2e mi-temps. Superbe but de Guilbert !
Malheureusement au prochain match, Sissoko va revenir.

dna a écrit:
Le Racing s'offre un exploit contre Monaco
Le Racing a fait plier Monaco, ce mercredi soir, en fin de match. Une victoire tout à fait logique au vu des occasions alsaciennes. Volontaire, appliquée, l'équipe de Thierry Laurey a manœuvré une ASM qui était pourtant dans une forme resplendissante en 2021. Ce succès, très important dans la course au maintien, lui permet de remonter à la 14e place (33 points).
Jouer Monaco, en ce moment, ce n’est pas un cadeau. Mais pour le Racing, qui sortait d’une prestation convaincante sur la pelouse du leader lillois (1-1), peut-être était-ce malgré tout le bon moment de se coltiner l’équipe de la Principauté, irrésistible en 2021 (9V, 1N).

Pour gêner le collectif de la Côte d’Azur, Thierry Laurey avait sorti un inhabituel 5-2-1-2 avec une majorité de joueurs à vocation défensive, dont Alexander Djiku, repositionné au milieu pour s’occuper du créatif Golovine. Ce qui n’a pas empêché les Alsaciens, après cinq premières minutes difficiles, de progressivement sortir de leur coquille. Au point de dominer le quatrième du championnat.
A l'issue du premier quart d’heure, bien lancé par Liénard, Diallo – signalé abusivement en position de hors-jeu – a bien failli se muer en passeur décisif pour Thomasson mais Lecomte était à la parade (17e). Ce sont ensuite Liénard (21e), Carole (30e) et Guilbert (36e) qui prenaient leur chance à l’entrée ou dans la surface monégasque sans accrocher le cadre.

Après 45 minutes de bonne facture, le Racing avait donc fait plus que de regarder dans les yeux des Monégasques somme toute assez inoffensifs, exception faite de cette volée de Ben Yedder bien détournée par Kawashima juste avant la mi-temps (45e).
Guilbert délivre les siens

Au retour des vestiaires, on attendait un sursaut de l’ASM, mais ce sont les Bleus qui poursuivaient sur leur lancée. Sur la première action, Thomasson était en bonne position pour profiter d’une jolie combinaison entre Guilbert et Ajorque mais Maripan sauvait les siens en se jetant sur la frappe du Savoyard (46e). Lecomte était ensuite mis à contribution par Ajorque alors que Liénard ne réglait pas la mire dans la foulée (63e).

Ça faisait beaucoup d’occasions ratées pour espérer un gros coup. Et même quand les joueurs du Rocher se mettaient eux-mêmes en difficulté à la suite d’un cafouillage dans la surface, Lecomte était à la parade sur sa ligne (71e). L’exploit était possible, ce soir, envisageable même, mais il semblait devoir manquer encore un petit quelque chose, comme à Lille trois jours plus tôt, pour réussir un gros coup.

Alors qu'on ne l'attendait plus, Guilbert délivrait enfin les siens au bout d'une percée dans le camp monégasque (1-0, 90e+1). Un but libérateur, à plus d'un titre, qui permet non seulement au Racing de s'offrir son premier cador de la saison en championnat, mais surtout de remonter au 14e rang avec 33 points au compteur. Quelle belle soirée!

dna a écrit:
Guilbert, le héros
Dans un schéma à trois centraux épaulés par deux latéraux offensifs, le Racing a non seulement muselé une attaque princière qui avait inscrit au moins deux buts lors de ses onze derniers matches, mais aussi fait tomber une ASM invaincue depuis 12 journées grâce à sa recrue hivernale (1-0).
Avec une défense à cinq qu’il n’avait plus utilisée depuis fin décembre, le Racing a contenu l’attaque mitraillette de Monaco. Mais il n’a pas fait que défendre et Frédéric Guilbert, déjà auteur de deux passes décisives en trois matches depuis son arrivée fin janvier, a grillé sa dernière goutte d’essence pour lui offrir la victoire à la 91e.
KAWASHIMA (5)

Ça peut paraître bizarre de l’écrire ainsi quand on connaît la puissance de feu monégasque : le Japonais n’a presque rien eu à faire.
Mais comme souvent, il a fait l’arrêt qu’il fallait, en fermant parfaitement son angle sur un coup de canon – de volée – expédié par l’artificier Ben Yedder, certes excentré (45e ).
Guilbert était partout
GUILBERT (8)

La subtilité de sa patte droite, la précision de ses centres, son sérieux défensif et son implication offensive, comme sur ce tir à ras de terre, du gauche, de peu à côté (36e ), font du bien au Racing depuis son arrivée fin janvier. C’est simple : on a vu le latéral droit prêté par Aston Villa partout. Il a logiquement manqué de gaz en fin de match, sauf sur ce dernier rush où il passe en revue la défense de l’ASM pour inscrire son premier but en Bleu, celui d’une victoire capitale.

KONE (6)

Le colosse ivoirien n’avait plus été titularisé en L1 depuis le voyage à Montpellier le 22 novembre, excepté en 32es de Coupe de France contre… les Montpelliérains à la Meinau le 10 février (0-2). Remis de sa fissure à un orteil, il n’avait rejoué que 18 minutes en championnat et avait de toute évidence envie de prouver qu’il vaut mieux que ce statut de remplaçant. Il n’a rien lâché. Un retour gagnant.

MITROVIC (6)

La dernière fois que le Racing avait évolué avec une défense axiale à trois têtes, le 23 décembre à Paris, le capitaine avait beaucoup souffert. En très net regain de forme depuis son retour dans le onze de départ, le Serbe a poursuivi sur sa lancée, comme sur son duel gagné avec Ben Yedder (68e ), et soigné son match.
CAROLE (7)

C’était la surprise du ‘’chef’’ Laurey: de mémoire, on n’avait jamais vu Lionel Carole aligné comme axial gauche dans une charnière centrale à trois gonds. Ça ne l’a pas empêché d’apporter son écot offensif, comme sur cette demi-volée de l’extérieur du gauche retombée juste derrière la transversale de Lecomte (30e ). Il a rendu une copie sans tache.
CACI (7)

Le couteau suisse strasbourgeois s’est retrouvé dans un rôle hybride de piston du flanc gauche, avec une mission prioritaire claire : contenir un Aguilar qui, à l’aller, s’était régalé des boulevards laissés devant lui. Il l’a tellement menée à bien qu’on n’a pas vu le joueur qui avait touché le plus de ballons à Louis II (88).
DJIKU (7)

Le défenseur central n’avait plus évolué comme milieu défensif depuis la venue de Marseille le 6 novembre. Affecté, entre autres, à la surveillance du Russe Golovin, il n’a pas lâché d’une semelle l’homme le plus décisif en L1 (toutes les 39 minutes avant cette 28e journée).
Aussi à l’aise que lors de ses précédentes sorties dans l’axe défensif, il a cédé sa place à Jeanricner BELLEGARDE (78e ), après s’être froissé l’adducteur droit.

LIENARD (5)

‘’Dim’’ avait la ‘’dalle’’. Il a souvent mordu dans le ballon, parfois dans les mollets des Monégasques, quitte à avoir du mal à canaliser son trop-plein d’énergie, au point d’être averti à la 19e.
Heureusement pour lui, il s’est vite auto-discipliné. Dommage qu’il n’ait pas attrapé le cadre sur sa reprise après le tir d’Ajorque repoussé par Lecomte (63e ).
THOMASSON (6)

Un tir de près repoussé par Lecomte (17e ), puis un autre contré par Maripan (46e ) : le meneur de jeu strasbourg a manqué de réussite à la finition. Mais c’est à peu près tout, car pour le reste, il n’a pas ménagé sa peine, parfois avec un peu trop de conviction, comme sur sa faute sur son ex-partenaire Youssouf Fofana à la 53e qui lui a valu un avertissement.

AJORQUE (6)

Depuis qu’il est de nouveau associé à Diallo en pointe, le Réunionnais dézone encore plus pour aller chercher la chique. On l’a beaucoup vu arpenter le couloir droit pour combiner avec Guilbert. Mais il a aussi sillonné la surface, notamment pour y servir une merveille de talonnade à Thomasson d’entrée de 2e période (46e ).
Averti à la 27e pour contestation, il a failli marquer son 12e but, mais a buté sur un impeccable Lecomte (63e ).

DIALLO (4)

Injustement signalé hors-jeu sur sa passe en retrait pour Thomasson (17e ), le Sénégalais s’est néanmoins souvent laissé prendre au piège. Sevré d’occasions et remplacé par Mahamé SIBY (90e + 2), il a enchaîné un 9e match sans marquer, égalant sa pire série lors de ses débuts en L1, d’août à octobre 2016.

Espérons que Sissoko ne revienne pas, il a déjà réussi à se passer de Bellegarde, c'est comme arrêter de fumer apparemment, une addiction ça se soigne.
Ceci dit il n'avait pas été mauvais à Lille.
Quant à Diallo il joue trop sur l'aile pour marquer.

Lacuesta a écrit:

Quant à Diallo il joue trop sur l'aile pour marquer.

C'est peu-être aussi la que l'entraineur le fait joué .

Oui mais vu la maladresse d'Ajorque en avant-centre ce serait mieux qu'il inverse car il n'a plus la lucidité pour marquer en venant du côté.

dna a écrit:
Les promesses d’un printemps
Incapable de prendre le moindre point contre les cadors du championnat, le Racing en a raflé quatre en deux matches, entre Lille (1-1) dimanche et Monaco (1-0) ce mercredi. De quoi sortir définitivement de cet hiver sans fin et de prendre date pour un printemps plus gai en Ligue 1.
Avant le déplacement à Lille, dimanche dernier, on avait à peine eu le temps d’évoquer le sujet qu’il s’en était agacé tout seul. « Je sais, cette saison, on n’a pas battu un gros », déplorait Thierry Laurey, dont l’équipe avait subi l’implacable loi des membres du quatuor de tête de la L1 en cinq affrontements à sens unique, avec 16 buts encaissés et 4 marqués.

Mais ça, c’était avant la virée chez le leader nordiste et la réception de l’armada monégasque, le tout à trois jours d’intervalle et avec quelques handicaps - les absences des milieux Sissoko et Aholou pour le second volet - pour pimenter l’ensemble.
Anxiogène sur le papier, cet enchaînement a finalement servi de révélateur avec quatre points pris sur six possibles. « On peut battre tout le monde », s’enthousiasme Frédéric Guilbert, le héros de la séquence avec une passe décisive et un but libérateur (lire ci-dessus). « Il ne faut pas s’enflammer car on revient de loin », nuance son entraîneur. « Il a fallu faire beaucoup d’efforts pour retrouver ce niveau-là. Mais aussi bizarre que cela puisse paraître, c’est celui que l’on pensait avoir dès le début de la saison. Malheureusement, on a mis pas mal de temps à trouver le bon rendement. »

Les explications à ce net regain de forme sont multiples. Il y a déjà l’état des troupes, nettement en meilleure condition qu’en début de saison, quand le Covid avait plombé la préparation estivale. « On est bien physiquement en ce début d’année », insiste Laurey. « Cela ne nous a pas empêchés de perdre des matches, mais on perturbe pas mal les équipes. Là, on arrive à arracher la victoire dans les derniers instants. On va de l’avant jusqu’au bout. On prend des risques, on se procure pas mal d’occasions. »

Les Bleus ont donc plus de “caisse”. Mais ils courent aussi avec des idées claires depuis quelque temps. Cette partie-là est plus du ressort du staff technique. Au cœur de l’automne, il semblait un peu naviguer à vue, contraint de renoncer à ses idéaux pour succomber à une tentation sécuritaire guère payante, comme en atteste la dernière sortie de route en 2020 au Parc des Princes (4-0). Encore un peu frileux en fin de match à Dijon (1-1) ou contre Brest (2-2), les choix de Laurey ont fini par devenir plus radicaux et avisés.

La bascule s’opère à Metz (1-2), là où le Racing perdait toujours, mais avait décidé cette fois de « ne pas subir », selon son coach. Bien que menés au score, Thomasson et les siens renversent la vapeur « en jouant au football », comme le soulignait Dimitri Liénard.
« À aucun moment, je ne me suis senti en danger »

Après le match un brin attentiste contre une équipe d’Angers solide sur ses bases (0-0), les Bleus vont surprendre leur monde là où personne ne les attendait. Le mérite en revient pour beaucoup à Thierry Laurey, qui parvient à battre à leur propre jeu les maîtres tacticiens que sont le Lillois Christophe Galtier et le Monégasque Niko Kovac. À travers des schémas de jeu spécifiques, celui dont le contrat expire en juin contient les nombreuses forces et exploite les rares faiblesses adverses. « Ce soir (mercredi), j’ai vu des garçons jouer les uns autour des autres, ou les uns avec les autres », apprécie-t-il. « On a été sûrs de nous. Nos bases défensives nous ont permis de nous sentir forts et tenter des choses offensivement. À aucun moment, je ne me suis senti en danger. »

Le technicien illustre son propos par l’action de la 46e , débordement de Guilbert côté droit, talonnade d’Ajorque et frappe de Thomasson contrée in extremis. « Quand tu vois ça en tant qu’entraîneur, tu es content. C’est jouissif parce que tu te dis : “Waouh, en face, c’est Monaco ! ” »

Malgré la coupure de dix jours en raison de l’élimination prématurée en Coupe de France contre Montpellier en 32e de finale, Laurey espère que son équipe ne perdra pas son nouvel élan d’ici au prochain rendez-vous à Rennes. « On ne peut pas programmer où l’on va prendre des points », dit-il. « Parfois ça sourit contre des gros, parfois ça ne sourit pas contre des petits. On vient de jouer les yeux dans les yeux avec Lille et Monaco, des équipes qui nous sont supérieures. Cela prouve que sur un match, tout peut être remis en cause quand on veut bien s’y mettre tous ensemble. »

Voilà peut-être le principal enseignement du moment : le Racing est redevenu une équipe structurée et inspirée aux portes du printemps. Mieux vaut tard que jamais.

Pour l'instant Djiku est blessé. Mais excellent match contre le 4e.

dna a écrit:
Racing : “dix de der” pour finir en beauté
Au sortir d’un week-end de repos forcé, en raison de son élimination prématurée en Coupe de France, le Racing va s’engager dans la dernière ligne droite de sa saison de Ligue 1, avec l’objectif de se maintenir et de terminer le plus haut possible. Il lui reste dix matches pour finir en beauté.
Belote, rebelote et “dix de der”. Après avoir accroché le leader lillois (1-1) puis battu à la Meinau l’outsider monégasque (1-0), le Racing est en passe de remporter la partie à l’attaque des dix dernières journées de championnat.

Mal emmanchée, cette quatrième saison de Ligue 1 depuis la remontée devrait se terminer par un maintien tranquille, sauf effondrement soudain qu’il ne faudrait jamais totalement exclure tant les grands équilibres dans une équipe restent infiniment fragiles.
Pour avoir souffert durant des mois, le Racing semble toutefois vacciné contre tout relâchement. Et la dynamique actuelle (lire chiffre) incite plus à l’optimisme qu’à l’inquiétude. « Avec cet état d’esprit, on peut faire de belles choses, bien plus qu’un maintien », disait ainsi le dernier venu Frédéric Guilbert, héros du succès contre l’AS Monaco mercredi dernier.
Au moment de reprendre le chemin de l’entraînement, ce mardi, pour préparer le déplacement dominical à Rennes, les Bleus peuvent être confiants. Nous avons listé pour eux quelques raisons objectives de croire en un printemps radieux.

Parce que le Racing est lancé

S’il parvient à maintenir la cadence élevée adoptée en 2021, le Racing finirait la saison aux alentours des 50 points, ce qui lui assurerait une place aux portes ou sur le seuil du top-10.

Depuis la remontée, en 2017/2018, la troupe de Thierry Laurey est toujours parvenue à améliorer son rang final d’une saison à l’autre (*). Cela est-il envisageable après avoir touché le fond un triste soir de novembre et de défaite contre Marseille (19e avec 6 points, à égalité avec la lanterne rouge dijonnaise) ?

Pourquoi pas, répondent des joueurs dont le regard est plus porté vers le haut du classement que sur la zone de relégation, désormais distante de huit points (l’écart sur Nantes, actuel barragiste).

« Dans ce groupe, personne ne regarde derrière, assurait Laurey au soir du succès contre Monaco. Moi, il m’arrive de jeter un œil dans le rétro. Eux, non, ils ont confiance. Il faut quand même faire attention, parce que ça peut jouer des tours. Mais je suis content de cette mentalité et de cet investissement. »

Parce que la mentalité est irréprochable

Maintenant que les voyants sont repassés au vert, il est toujours facile d’écrire que le groupe vit bien. Cette affirmation n’a rien d’un poncif quand on parle du Racing. C’est même une vérité intangible, que l’entraîneur résume par la formule suivante : « Les garçons jouent tous les uns autour des autres, ou les uns avec les autres ».

Voilà pourquoi Frédéric Guilbert est « allé au bout du bout » pour inscrire le but du succès contre les Monégasques mercredi dernier. Voilà pourquoi les Bleus ont fait corps un soir de novembre pour préserver le point du nul contre Rennes (1-1) alors que leur coach était assis sur un siège éjectable.

Parce que Laurey a retrouvé son flair

Longtemps, ses choix paraissaient au mieux frileux, au pire malencontreux. Sur le terrain, même ses joueurs paraissaient parfois perdus, à ne pas comprendre le schéma ni la consigne. Mais depuis le début de l’année, le technicien qui a passé le cap des 200 matches officiels avec le Racing a retrouvé son flair.

Les succès à Metz (2-1) et contre Monaco ainsi que le nul à Lille ont rappelé que Laurey sait y faire, quand il s’agit d’élaborer un “coup” tactique et de faire déjouer son adversaire.

Peu importe le système, l’équipe a trouvé une assise défensive autour de l’épatant gardien n°3 Kawashima et du roc Djiku, que l’on ne reverra hélas plus ce mois-ci (lésion à l’adducteur droit), et d’une animation offensive grâce à un Thomasson retrouvé.

Et peu importe même les hommes, puisque quand des titulaires sont absents, à l’image d’Aholou et de Sissoko contre Monaco, Laurey trouve la parade sans altérer l’efficacité de la machine.

Parce que le duo d’attaquants est royal

L’un a retrouvé le chemin des filets à Lille, l’autre ronge son frein depuis désormais neuf matches : Ajorque et Diallo, respectivement auteurs de 11 et 7 buts, ont potentiellement les qualités pour dynamiter n’importe quelle défense.

Si le grand Réunionnais a déjà dépassé son record en Ligue 1 (9 buts), son compère sénégalais espère rattraper le temps perdu. Ça peut faire du grabuge.

Parce que le calendrier est abordable

Si la venue du PSG constitue le point d’orgue en termes de difficultés sur les dix dernières journées, le calendrier des Alsaciens est globalement abordable. Les Bleus affronteront notamment quatre équipes qui sont derrière eux (Bordeaux, Nîmes, Nantes et Lorient) et autant d’autres en forme précaire (Rennes, Marseille et Nice). De quoi voir plus haut...

(*) 15e avec 38 points (2017/2018), 11e avec 49 points (2018/2019) et 10e la saison dernière, le classement étant calculé au quotient après son arrêt à la 28e journée en raison de la pandémie
Le chiffre
1,72
La moyenne de points pris en 2021 par le Racing, soit 19 en 11 matches (5 victoires, 4 nuls, 2 défaites). Sur la première partie de saison, cette moyenne était seulement de 0,94, soit 16 points en 17 matches (4 victoires, 2 nuls, 11 défaites).

11 défaites oui pas mal. C'est surtout que la plupart des joueurs ont le même profil c'est à dire physique. Donc ça ne tient pas sur une saison.