Dimanche le 22/08 à 15h 

Enfin un match a la porté du racing 3-1

Hat-trick de Liénard.

Lacuesta a écrit:

Hat-trick de Liénard.

dna a écrit:
Quel dernier sera le premier ?
Le duel Strasbourg – Troyes de la 3e journée mettra aux prises les deux seuls clubs battus à deux reprises, mais animés d’une même volonté de s’offrir un premier succès ce dimanche (15h) à la Meinau. Le promu aubois espère y prendre a minima un point.
Sur le papier, le calendrier des Strasbourgeois en août semblait accessible, avec trois réceptions (Angers, Troyes et Brest) pour un seul déplacement (Paris). Mais après les revers face aux Angevins (0-2) et au Parc des Princes (4-2), les venues des Troyens et des Brestois ces deux prochains dimanches (15h) à la Meinau n’en revêtent que plus d’importance.
Troyes veut faire mentir l’histoire
Championne de Ligue 2 pour la deuxième fois après 2015, l’ESTAC vient de connaître sa quatrième promotion en dix ans. Les trois fois précédentes (2012, 2015, 2017), elle est redescendue immédiatement et entend éviter que l’histoire ne se répète.

« Nous resterons un peu tranquilles entre nous samedi »
Dominé par le Paris SG (1-2), puis chez l’autre promu Clermont (2-0) alors qu’il a évolué à 10 contre 11 dès la 33e’ après l’expulsion d’Issa Kaboré, suspendu à la Meinau, le club aubois espère récupérer Youssouf Koné.

Le latéral gauche prêté par Lyon avait ressenti une tension aux ischio-jambiers et déclaré forfait en Auvergne. Il a repris l’entraînement ce jeudi, mais reste incertain.
Double ration de huis clos
Pour la première fois de la saison et, sans doute, de l’histoire du club bas-rhinois – hors contexte particulier lié aux confinements successifs –, deux entraînements consécutifs, ces vendredi (16h) et samedi (même heure), se dérouleront à huis clos.

Preuve que ce 3e match contre Troyes recèle un enjeu déjà capital ? « Oui, il est important, mais les deux huis clos ne sont pas liés à ça. La séance de vendredi aura lieu sur la pelouse de la Meinau, d’où le huis clos. Et c’est vrai, nous resterons un peu tranquilles entre nous samedi. De toute façon, vous avez déjà tout vu », sourit l’entraîneur Julien Stéphan.

Malgré la suspension d’Alexander Djiku qui n’a écopé que du match automatique après son expulsion à Paris samedi dernier, le coach pourrait maintenir la défense à cinq, avec trois centraux, expérimentée au Parc. Dans ce cas, il confierait à Anthony Caci, remplaçant là-bas, un rôle d’axial gauche aux côtés de Lucas Perrin et Ibrahima Sissoko.
Dix à quinze jours pour Aholou
Victime d’une élongation du psoas droit à Paris, Jean-Eudes Aholou, sorti dès la 42e’ , sera absent de dix à quinze jours. Le milieu défensif ne rejouera en principe qu’après la trêve internationale.

Bellegarde de retour
Malade mercredi, Jeanricner Bellegarde est réapparu sur le terrain le lendemain, mais en marge du groupe. L’ancien Lensois ne figurait donc pas dans l’équipe organisée en 5-3-2 sur laquelle s’est appuyé Julien Stéphan : Sels – Fila, Perrin, Sissoko, Caci, Liénard – Thomasson, Prcic, Chahiri – Gameiro, Ajorque.

Après Prcic face au Paris SG, Chahiri, peut-être en partance pour Caen, semble susceptible d’intégrer le onze de départ.
22 à 24000 spectateurs attendus
Pour ce deuxième match à domicile, l’affluence devrait sensiblement être la même que contre Angers le 8 août (23 250 spectateurs). 22 à 24 000 personnes sont attendues dimanche à la Meinau.

Pour retrouver son niveau de fréquentation d’avant-pandémie et les guichets fermés qui étaient pratiquement devenus la règle, le Racing va devoir patienter.

Une déception après 18 mois de restrictions dues au Covid ? « Non, car le stade est quand même presque plein », rétorque le président Marc Keller qui explique cet engouement mesuré par la conjonction de deux paramètres.

« D’abord, les directives sanitaires et l’organisation qui en découle rendent plus compliquée la venue du public. Ensuite, les gens ne sont pas tous rentrés de vacances. Les chiffres seront plus significatifs en septembre ou octobre. »

dna a écrit:
Racing : place à l’action !
Battu lors des deux premières journées de Ligue 1, le Racing espère lancer sa saison pour de bon, ce dimanche (15 h) à la Meinau face au promu troyen. Le vent de révolte que les Strasbourgeois ont fait parcourir samedi au Parc des Princes, alors que tout semblait perdu, doit les porter vers ce succès.
Bing, bang, boum : l’écran géant du Parc des Princes indique seulement 27 minutes de jeu et la soirée du Racing s’annonce déjà longue, pénible et douloureuse. Les Strasbourgeois sont dans leurs petits souliers. « À 3-0 avant la demi-heure de jeu, on aurait pu s’effondrer », indique Adrien Thomasson, qui a vécu du banc cette entame cauchemardesque avant de venir au relais de Jean-Eudes Aholou, blessé (42e ).

« Certaines équipes auraient pu sombrer », abonde son entraîneur Julien Stéphan. « Ça n’a pas été notre cas, bien au contraire. On a su faire plus que douter cette équipe parisienne, malgré beaucoup d’éléments contraires sur le match. »
« Même si on a perdu, ce match nous a fait du bien aux têtes »
Livré à lui-même sur le triplé du début de match, le gardien Matz Sels sonne la révolte en remportant deux duels devant Mbappé (48e , 62e ). Entre-temps, Thomasson avait déjà déposé le ballon de l’espoir sur la tête de Gameiro (3-1, 53e ). Puis c’est un autre cadre, en l’occurrence Liénard, qui trouve le grand “Ludo” Ajorque pour la tête de la renaissance (3-2, 64e ).

« On a vu que l’on était mentalement présent, chose que l’on aurait peut-être moins faite l’an dernier », assure Thomasson. « On a retrouvé des enchaînements que l’on avait vus en préparation, notamment contre Fribourg (succès 2-1 une semaine avant l’ouverture du championnat) et que l’on avait un peu perdus. Je vois dans cette réaction beaucoup de signes positifs. Même si on a perdu, ce match nous a fait du bien aux têtes ».

« Les gars ont montré beaucoup de bonnes choses dans l’utilisation du ballon en deuxième mi-temps, dans la capacité à prendre le contrôle du jeu, à se créer des occasions, à marquer de jolis buts », énumère Julien Stéphan. « On a réussi à se lâcher complètement. »

Mais eu égard à la fragilité de la défense toujours en chantier - six buts encaissés en deux matches - et d’un effectif un poil court pour la venue de Troyes, l’entraîneur se garde bien de tenir pour acquis la capacité de ses hommes à afficher un visage conquérant de bout en bout.

« Ça a montré aux joueurs qu’ils étaient capables de le faire »
« C’est l’histoire de ce match », nuance-t-il. « Est-ce que Paris s’est un peu relâché ? Est-ce que nous avons été complètement libérés en considérant que c’était quasiment perdu ? Je ne sais pas, mais ça a montré aux joueurs qu’ils étaient capables de le faire avec ces ressources-là. Il faut s’appuyer là-dessus et être encore plus consistants sur 90 minutes, pas que le temps d’une mi-temps. »

En clair, ce dimanche contre un ESTAC joueur mais pas plus récompensé que lui - revers contre Paris (1-2) et à Clermont (2-0) -, le Racing devra être plus dans l’action que la réaction.

Car les Bleus l’ont constaté lors des deux premières journées : courir derrière le score est énergivore et peut ne rien rapporter, si ce ne sont des regrets. Au moment de pénétrer sur la pelouse de la Meinau, ce dimanche, capitaine Liénard et les siens devront s’en souvenir. Ils ont « remporté » la deuxième mi-temps au Parc. Porté par cet élan positif, le Racing voudra cette fois gagner tout un match.

Le RCSA aura du mal avec Aholou et Sahi blessés + Djiku suspendu. Et toujours aucune recrue.

Personnellement je ne pense pas ,je reste sur mon 3-1

Racing: décollage attendu
Avec six buts encaissés et deux défaites à la clé, le Racing a manqué sa reprise en Ligue 1 et se retrouve face à quelques interrogations qu’il s’agira de lever ce dimanche (15h) contre le promu troyen. Pour éviter de se mettre déjà dans le dur et gamberger, mieux vaut gagner.
En ce mois d’août qui s’étire de manière paresseuse vers sa fin – toujours triste pour ceux qui guettent avec anxiété la rentrée –, quelques techniciens de Ligue 1 se creusent intensément les méninges en tournant dans leur vestiaire comme des fauves en cage.

À Strasbourg, Julien Stéphan partage ainsi la même problématique que ses collègues, le Lillois Jocelyn Gourvennec, le Lyonnais Peter Bosz, ou encore le Montpelliérain Olivier Dall’Oglio. Au-delà des ambitions respectives de chaque club, les similitudes entre ces hommes sont nombreuses : arrivés à la tête de leur équipe voilà deux mois, ils ont tous connu des débuts difficiles.

Si leur titre de champion s’est construit la saison passée sur une rigueur défensive irréprochable, les Dogues du Nord ont déjà encaissé sept buts en deux matches. L’OL, lui, en a pris trois le week-end dernier à Angers, soit le handicap que s’infligent les Héraultais depuis la reprise.

Au Racing, on évolue sur les mêmes standards. Certes, on pourra invoquer l’accident de parcours lors de l’ouverture manquée à la Meinau contre Angers (0-2) et présenter une excuse valable : encaisser quatre buts contre Paris (4-2) – ce qui est aussi arrivé à Brest vendredi – pourrait bien constituer le tarif de base cette année, sachant que ni Messi, ni Neymar n’a encore disputé la moindre minute aux côtés de Mbappé…

Ceci étant posé, le problème du Racing reste entier. La défense alsacienne, délestée de six éléments cet été (*), est un chantier à ciel ouvert. Et les deux renforts d’expérience attendus dans le secteur – avant le 31 août et la clôture du mercato – se font attendre.

De fait, Julien Stéphan continue de bricoler avec les moyens du bord – Sissoko dans l’axe, Liénard en latéral gauche, Fila qui découvre la Ligue 1, etc. – et au gré des circonstances, sachant que ce dimanche, l’équation se complique avec la suspension de Djiku et la blessure d’Aholou (lire ci-contre).

« Si on arrive à marquer un but de plus que l’adversaire, il n’y a pas de souci »
S’il reconnaît que son groupe est « à flux tendu en ce moment », le coach ne se cherche pas d’excuses superflues. « On fonctionne avec l’existant », insiste le Breton qui se focalise sur ceux qui suent à l’entraînement, sans perdre d’énergie avec les recrues potentielles ou les absents.

Quand on évoque les faiblesses structurelles sur la base arrière – en comptant les six matches de préparation, le Racing a toujours au moins encaissé un but –, Julien Stéphan s’en sort par une pirouette. « Tout le monde sait que l’on cherche à se renforcer dans ce secteur, puisque 80 % des défenseurs sont partis, dit-il. Mais si on arrive à marquer un but de plus que l’adversaire, il n’y a pas de souci. Là où ça pose un problème, c’est si on ne marque pas suffisamment ou si des faits de jeu nous sont contraires, comme à Paris. »

Dans la tempête du Parc des Princes, le Racing a au moins su relever la tête et débloquer son compteur sur le front offensif, avec les têtes victorieuses de Gameiro et Ajorque. « C’est bien que nos deux attaquants aient pu scorer, apprécie le technicien des Bleus. Habib (Diallo) n’était pas loin non plus contre Angers. On a des garçons capables de marquer des buts, il faut s’appuyer là-dessus. »

En face, le champion sortant de Ligue 2, devenu un des neuf clubs satellites de la multinationale Manchester City, n’aura « rien à perdre » et viendra « pour essayer de faire un résultat », selon son entraîneur Laurent Batlles.

Sous les ordres du Zinédine Zidane de l’Aube – camarade de promotion et copain de Julien Stéphan –, l’ESTAC a aussi perdu ses deux premiers matches mais s’annonce « difficile à manœuvrer », aux dires de son homologue alsacien.

« Il est important de faire tourner le compteur, mais ça ne sert à rien de se mettre plus de pression qu’il n’en faut », conclut le coach du Racing, qui donne rendez-vous « dans une quinzaine de journées pour faire un premier bilan ».

Mais avec la double réception de Troyes, puis Brest dimanche prochain dans une Meinau pas loin d’afficher complet, mieux vaut ne pas se rater. Car seul le succès permet d’avancer et de se rassurer. Une vérité intangible, que l’on soit de Lille, Lyon, Montpellier ou du Racing.

(*) Simakan, Mitrovic, Koné, Carole et Guilbert comptaient parmi les titulaires réguliers, plus Aaneba qui n’entrait pas dans les plans de Laurey.
dna

dna a écrit:
le même schéma contre Troyes
Dans le duel des deux derniers, battus lors des deux premières journées, le club strasbourgeois, privé de Djiku, Aholou, Sahi et Mothiba, devrait reconduire ce dimanche (15h) à la Meinau face au promu aubois le système de jeu à cinq défenseurs inauguré samedi dernier à Paris.
« Nous sommes à flux tendu », convenait Julien Stéphan vendredi après-midi en conférence de presse. Dans l’attente d’au moins deux recrues – trois plutôt -, le Racing l’était déjà.

Avec la suspension d’Alexander Djiku, expulsé samedi dernier à Paris (défaite 4-2), et les blessures de Jean-Eudes Aholou, sorti à la 42e au Parc des Princes pour une élongation au psoas droit et à l’arrêt dix à quinze jours, et Moïse Sahi, qui a rechuté mercredi pour environ un mois et demi sur la lésion aux ischio-jambiers gauche qu’il avait contractée le 24 juillet en amical à Francfort, le club bas-rhinois l’est encore davantage. Sans parler de Lebo Mothiba, éloigné des terrains depuis son opération du genou il y a un an et dont le retour à la compétition n’est toujours pas programmé…

L’entraîneur strasbourgeois a donc, encore plus que depuis le début de saison, dû puiser dans le vivier du centre de formation pour compléter un groupe dont sortent – on l’a dit – Djiku en défense centrale et Aholou dans l’entrejeu. Mais il s’est contenté de réintégrer le jeune milieu offensif Aymeric Ahmed, présent sur la feuille de match et resté sur le banc il y a quinze jours face à Angers (défaite 0-2), et n’a convoqué que 19 joueurs pour affronter ce dimanche (15h) à la Meinau Troyes, le champion de Ligue 2 et promu, seul autre club battu à deux reprises en ce début de saison 2021-2022 (1-2 contre Paris et 2-0 à Clermont à 10 contre 11 pendant une heure).

Chahiri ou Bellegarde au milieu ?
Malgré l’absence de son pilier défensif, l’entraîneur bas-rhinois devrait reconduire le schéma en 5-3-2 inauguré dans l’antre du PSG. Remplaçant au Parc, Anthony Caci viendra compléter côté gauche le trio axial également composé de Lucas Perrin et Ibrahima Sissoko, Karol Fila et Dimitri Liénard conservant la surveillance des flancs et leur rôle de piston.

Le duo Kévin Gameiro – Ludovic Ajorque, tous deux buteurs à Paris, sera de nouveau associé en pointe. Au sein d’une triplette de l’entrejeu animée par le relanceur Sanjin Prcic et le créateur Adrien Thomasson, entré à la place d’Aholou au Parc, une place reste en balance.

Malade mercredi et encore ménagé jeudi, Jeanricner Bellegarde, dont le technicien bas-rhinois avait annoncé dès vendredi qu’il serait apte, pourrait s’effacer au profit de Mehdi Chahiri, testé à gauche du trident cette semaine à l’entraînement. C’est cependant loin d’être une certitude, l’ancien Lensois ayant eu jusqu’ici la préférence du coach.

Alsa'sports a écrit:
Le onze probable face à Troyes !
Le Racing Club de Strasbourg reçoit à 15h Troyes pour le compte de la 3ème journée de Ligue 1 Uber Eats. Après deux défaites en autant de rencontres disputées, les hommes de Julien Stéphan sont dans l’obligation de prendre des points face à un adversaire également à 0 points.Le technicien strasbourgeois va devoir faire sans Djiku (suspendu), Aholou et Sahi (tous les deux blessés). L’entraîneur alsacien devrait repartir sur le même système (5-3-2 ou 3-5-2) qu’à Paris le week-end dernier avec probablement Chahiri à la place de Bellegarde.
Le 11 probable :

Sels – Fila, Perrin, Sissoko, Caci – Lienard, Prcic, Chahiri, Thomasson – Ajorque, Gameiro.

Chahiri et Sissoko il prend des risques.

Qui veut tu qu'il prenne d'autre.

le Racing accueille le promu Troyes de Laurent Battles et de son entraîneur-adjoint, le Haut-Rhinois Damien Ott.

Julien Stephan a choisi d'aligner le onze suivant:
Sels; Lienard,(cap.), Cacic, Sissoko, Perrin, Filla; Bellegarde, Prcic, Thomasson; Gameiro, Ajorque.

La principale incertitude se situait au milieu du terrain où Chahiri et Bellegarde étaient en balance. Le second a décroché la timballe. Julien Stephan a donc opté pour une version un tantinet plus défensive.

Le Racing évoluera donc bien avec trois défensuers centraux (Caci, Sissoko, Perrin), et Lienard et Fila dans les couloirs.

L'ESTAC présente l'équipe annoncée, avec là aussi une défense à cinq, à savoir:
Gallon; Biancone, El Hajjam, Giraudon (cap), Salmier, Ripart; Tardieu Kouamé; Chambost, M. Bladé; Touzghar.

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La rencontre sera arbitrée par Jérôme Brisard assisté d'Alexis Auger et de Benjalin Pages. Anthony Ustaritz, un nom qui fleure bon le Pays Basques, est l'arbitre remplaçant. Et à la vidéo, on trouve Antony Gautier et Bartolomeu Varela.

C'est parti à la Meinau

La grosse parade de Mats Sels!

Le 2e exploit de Sels!

But 0-1 de Touzghar

Lancé dans la profondeur, plein axe, par Kouamé, l'attaquent de l'ESTAC prend de vitesse Sissoko et du droit trompe Sels. Le promu ouvre le score

Il aura suffi d'une simple passe en profondeur de Kouamé pour permettre au buteur de prendre Sissoko de vitesse. Ne restait plus qu'à battre Sels, le buteur troyen, lui, remportant son duel.

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Dans la surface de Troyes, Thomasson s'écroule. L'arbitre stoppe le jeu pour discuter avec le VAR. Finalement, la décision est rapidement prise et le jeu a repris. Pas de penalty pour les joueurs de Julien Stéphan.

Sels à ressortir le grand jeu avec un arrêt réflexe encore miraculeux.

Jaune pour Biancone
Carton jaune pour Biancone, coupable d'une faute à retardement sur Liénard, côté gauche.

Jaune pour Fila
Carton jaune pour Fila, auteur d'un tacle très en retard sur Ripart près du rond central.

Jaune pour Perrin
Carton jaune pour Perrin. L'ancien marseillais retient Touzghar dans le rond central et l'arbitre n'hésite pas et sort un carton, le troisième dans cette première période.

C'est la pause... et à cet instant, le Racing est seul lanterne rouge de Ligue 1 avec son zéro pointé.

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C'est reparti

Tardieu est blessé ! Le jeu est arrêté à la Meinau puisque le numéro 10 de l'ESTAC reste au sol. Les soigneurs interviennent auprès du milieu de terrain.

But refusé pour Strasbourg
Le but de Sissoko est refusé ! Au terme d'une superbe action collective, le milieu de terrain trouve la lucarne de Gallon. La Meinau exulte mais c'est une joie de courte durée car le but est refusé pour une position de hors-jeu d'Ajorque.

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La honte totale. Ils perdraient contre la réserve C d'Achenheim. Aucune tactique, aucun jeu collectif, en 3 matches mêmes pas foutus d'éviter le hors-jeu, ne savent pas tirer, RIEN, le néant !!!

Sur le côté droit, Caci centre. Ajorque, au duel, avec Giraudon s'écroule dans la surface. Jérôme Brisard désigne un renvoi aux six mètres. L'intervention a été vérifiée auprès de la VAR.

Fila est remplacé par Waris.

Prcic est remplacé par Diallo.

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Renaud Ripart est remplacé par Karim Azamoum.

Lumeka et Domingues entrent en jeu à la place de Touzghar et de Chambost.

Jaune pour Waris
Carton jaune pour Waris, auteur d'une simulation dans la surface troyenne. L'attaquant ghanéen ne bronche pas.

But 1-1 But de Thomasson !

Lancé dans la profondeur, Diallo est devancé par Gallon. Le portier troyen intervient encore une fois mais ne repousse pas assez le ballon qui revient sur Thomasson qui n'a plus qu'a marquer dans le but vide. Strasbourg égalise. 1-1 !

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Troyes effectuehadli les derniers changements: Kukharevitch pour Baldé, Chadli pour El Hajjam.

Il y aura huit minutes en plus dans cette rencontre !

A la limite de sa surface, Liénard commet une faute sur Lumeka. C'est la balle de match pour l'ESTAC.

C'est terminer

1-1


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La honte. Ils vont pouvoir battre qui ? Saverne ?

Lacuesta , ça c'était un match d'entrainement ,contre Brest il y aura surement 5 -0.

dna a écrit:
Un point, c’est mieux que rien
Encore chahuté et contraint de courir derrière le score, le Racing n’est – pour la première fois en trois journées – pas resté à quai. Certes, prendre un point contre le promu troyen à la Meinau (1-1) n’est pas en soi une performance. Mais pour une équipe en reconstruction, c’est mieux que rien.
Et soudain, Julien Stéphan a harangué, poing levé, la tribune présidentielle en hurlant sa joie. Toute la Meinau s’est embrasée par conduction. Même le ciel s’est mis au diapason, quelques rayons de soleil déchirant les gros nuages chargés de cette pluie anglaise tombée de manière drue quelques minutes plus tôt.

Sur la pelouse encore toute détrempée, Adrien Thomasson, en troisième mèche derrière Habib Diallo et Kévin Gameiro, est enfin parvenu à allumer ce pétard qui faisait pschitt pour tromper la vigilance de Gauthier Gallon (1-1, 77e ).

Pour sa venue à la Meinau, le gardien aubois avait visiblement réussi à emprunter le maillot de Neuer et les gants de Donnarumma. Jusqu’à l’égalisation, l’ex-Nîmois et Orléanais avait en tout cas repoussé d’une main ferme les trois occasions nettes des Bleus – Gameiro (11e ), Ajorque (22e ) et Perrin (30e ) – et s’était montré suffisamment dissuasif sur les nombreuses situations dangereuses à l’approche de son but.

Et quand il avait été battu une première fois par “Ibou” Sissoko d’une frappe enragée dans sa lucarne, le corps arbitral et son assistance vidéo montée à distance sur essieu de camionnette étaient venus à son secours en invalidant le but pour une position de hors-jeu du passeur Ajorque (55e ).

« Un hors-jeu à la Icardi », grincera plus tard le défenseur Perrin, en référence au premier but du PSG contre le Racing une semaine plus tôt au Parc des Princes. L’attaquant argentin était placé peu ou prou sur la même ligne litigieuse où les drapeaux des assistants se lèvent. Ou pas, en ce qui le concerne…

« On a des décisions qui ne sont pas en notre faveur ces temps-ci, mais je vais m’arrêter là, parce que je n’ai pas envie de passer pour une pleureuse », dit Julien Stéphan.

Le technicien préfère s’enflammer pour cette égalisation de Thomasson, parce qu’il vit « les matches avec passion ». Surtout, il assiste à la première vraie éclaircie après deux matches qui ont mal tourné, à Paris donc (4-2), et une semaine plus tôt contre Angers (0-2).

« Je pensais que l’on avait encore la force pour aller marquer le deuxième »
« Les joueurs, on les pousse, on les encourage, on les stimule, explique-t-il. Vu les efforts incroyables qu’ils ont produits sans être récompensés, j’étais content pour eux et soulagé parce que je les vois tous les jours travailler comme des acharnés. Je n’oublie pas que cette équipe est en reconstruction et que les gars ont vécu une dernière saison très difficile sur le plan mental. Et là, ils ont été costauds en deuxième mi-temps avec tant d’énergie et de qualité. Je pensais que l’on avait encore la force pour aller marquer le deuxième… »

Passé l’heure de jeu, alors que l’ESTAC se roulait en boule façon hérisson pour défendre son but d’avance inscrit par un Touzghar sur le départ vers Tenerife (1-0, 19e ), le Racing était passé en mode « ultra-offensif » – avec l’apport de Waris et Diallo pour épauler Ajorque et Gameiro –, histoire de forcer le destin.

« Contrairement à la première, notre seconde mi-temps a été complètement maîtrisée, avec une intensité folle », décrit Stéphan.

Dans une fin de match échevelée et à rallonge – huit minutes d’arrêts de jeu –, tout est encore possible. Le meilleur, à l’image de cette tête trop enlevée de Diallo (80e ), comme le pire, puisque les Troyens ont bénéficié de quelques largesses à l’arrière pour débouler sans même avoir à forcer devant le but de Sels.

Il faut alors se souvenir que sans la vigilance de son gardien belge, décisif devant Baldé (3e ) et Touzghar (7e ), et encore très inspiré en deux occasions quand sa défense était prise de panique (34e ), l’issue de l’après-midi aurait été assurément moins rassurante.

Car tous ceux qui ont suivi, de près ou de loin, les premiers matches du Racing ont bien compris que le bât blesse en défense.

« On concède trop de situations, il faut régler ça, même si on le contrebalance avec de l’ambition offensive et de la qualité dans le jeu », positive Julien Stéphan.

En attendant, le Racing n’a pris qu’un point sur les neuf mis en jeu depuis l’ouverture du championnat. Il est toujours dernier, en compagnie de son adversaire du jour et des princes déchus de Monaco.

Dimanche (15h), c’est Brest qui débarque à la Meinau. Cette fois, il faudra être consistant plus qu’une mi-temps.

Des besoins de base à satisfaire
Dans un match ouvert et spectaculaire, le Racing a souffert sur ses bases arrière, à l’image d’un Ibrahima Sissoko qui manque de repères en défense centrale où il dépanne. Son égalisation ne saurait occulter le besoin impérieux de recruter au moins un axial de métier.
Il n’est nul besoin de sortir de polytechnique pour comprendre que lorsqu’un gardien se révèle être le meilleur joueur de son équipe, cette dernière a, à coup sûr, frôlé la catastrophe. Ce dimanche à la Meinau, le Racing a livré un match plaisant et comme il faut toujours être deux pour qu’une partie le soit, on associera à cet hommage des Troyens qui ont d’abord entretenu leur réputation d’équipe joueuse, avant de défendre bec et ongles leur premier point.

Mais les Strasbourgeois ont été à deux doigts de se retrouver menés 2-0 dès la 7e minute. Ceux, en fait, de leur portier Matz Sels, décisif sur une volée de Baldé (3e ), puis une reprise de Touzghar (7e ). Avant le repos, le Diable Rouge belge devra encore jaillir deux fois de sa boîte pour repousser coup sur coup des volées de Biancone (34e ) et Touzghar (35e ).

Des soucis de coordination
Ses quatre parades déterminantes lui vaudront d’ailleurs une ovation méritée du public à son retour après la pause. « Matz fait surtout deux arrêts sur les dix premières minutes, mais en face, Gallon gagne le face-à-face avec Kévin (Gameiro) aussi, nuance l’entraîneur bas-rhinois Julien Stéphan. Il faut parler de toutes les situations des deux côtés. Sur l’ensemble du match, il y en a eu beaucoup plus pour nous que pour eux. »

Ça se discute, sachant que si les Bleus ont frappé plus souvent (14 tirs à 10), l’ESTAC a davantage cadré (6 contre 4). Et ça ne change rien au fait que ce Racing 2021-2022 souffre d’un déséquilibre flagrant.

Certes, il serait aisé de stigmatiser un Ibrahima Sissoko dont l’attitude n’est pas en cause. En ce début de saison, le milieu récupérateur dépanne dans l’axe d’une défense déshabillée à la trêve par les départs de Mohamed Simakan, Stefan Mitrovic et Lamine Koné. Mais il le fait avec ses moyens et – il faut bien le dire – ses lacunes.

Il s’était fait jongler par Mohamed-Ali Cho sur le second but angevin le 8 août à la Meinau (0-2). Le 14 à Paris, il avait été survolé par Mauro Icardi, parti à l’extrême limite du hors-jeu, voire au-delà, sur l’ouverture du score du PSG (4-2 au final). Cette fois, l’ex-international espoirs n’a pas senti la course croisée de Yoann Touzghar dans son dos (19e ).

Son entraîneur plaide toutefois sa cause. « J’estime qu’il a un gros potentiel athlétique à ce poste, une bonne lecture du jeu aussi, même s’il manque de repères. Il est capable d’impulser, de ressortir les ballons, à l’image de ce qu’il a fait lorsqu’il est allé au bout et a mis un but magnifique (refusé pour un hors-jeu d’Ajorque). Après, comme tous les joueurs repositionnés et inexpérimentés, il peut avoir quelques difficultés dans le jugement, comme sur le but où Touzghar fait un bon appel dans son dos. Mais il y a de ma part la volonté de le développer à ce poste. »
« On concède trop de situations »
Au-delà du cas Sissoko, la prestation du Racing face au promu aubois a mis en lumière sa dichotomie, entre son aspiration à créer le danger et sa friabilité défensive. Son nouveau coach confie « avoir bien conscience » des carences d’une équipe qui, entre ses cinq matches amicaux et les trois de Ligue 1, a toujours encaissé au moins un but.

« Il va falloir gagner en constance et en solidité. Même si on veut marquer des buts, il faut en concéder moins. On en a pris sept en trois matches. Quand on repositionne beaucoup de joueurs sur la ligne défensive, il peut inévitablement y avoir des soucis de coordination, de synchronisation. »

En quête depuis des semaines d’un défenseur axial et d’un latéral gauche, ses dirigeants disposent de moins de dix jours, d’ici à la fin du mercato le 31 août, pour rééquilibrer un effectif qui penche vers l’avant et vacille sur ses bases arrière.
dna

Sissoko 1 Sels 6 Ajorque 2, Bellegarde, Gameiro et Liénard 3, Thomasson 4.
Adversaire trop faible qui a garé le bus dès qu'il a marqué donc notes à revoir à la baisse.
Pour le recrutement il n'a qu'à faire jouer Elimbi et Chahiri, les jeunes quoi.