Le Forum du Racing Club de Strasbourg : Actualités, transferts, matchs à venir, la vie du RC Strasbourg au quotidien |
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Marco 69/73 Champion du Monde
Nombre de messages : 61754 Age : 77 Localisation : Dorlisheim Date d'inscription : 25/11/2012 Humeur : fatigué
| Sujet: Adrien Lebeau Jeu 9 Jan 2020 - 22:17 | |
| dna a écrit: Lebeau, Messin au cœur bleu Né à Metz, le jeune milieu Adrien Lebeau, que le FCM n’a pas conservé en 2015, estime tout devoir au Racing. Ce samedi (20h) pour la 20e journée de Ligue 1, il retrouvera le stade Saint-Symphorien et espère y aider son « club de cœur », Strasbourg, dans le derby.
Mardi à Reims, Rémi Oudin et Adrien Lebeau ont longuement devisé avant le quart de finale de Coupe de la Ligue entre leurs clubs (0-0, 4-2 t.a.b). L’attaquant rémois (annoncé à Bordeaux) et le milieu strasbourgeois ont, entre autres points communs, celui de n’avoir pas percé au FC Metz. « Mais pas à la même époque, car Rémi est plus vieux (23 ans) », explique le milieu offensif natif de la préfecture mosellane (20 ans), qui se déplacera avec le Racing samedi (20h) au stade Saint-Symphorien en ouverture du cycle retour de Ligue 1. « On se voit souvent à Metz. C’est un grand ami. On s’est un peu chambré. »
« Mon club formateur, c’est Strasbourg, pas Metz »
En Champagne, “Adri” Lebeau, passé pro au printemps 2019 pour une saison, plus deux en option, a vécu sa quatrième apparition officielle en équipe “Une”, en toute fin de temps additionnel. Trois jours plus tôt à Calais face au Portel en 32es de Coupe de France (4-1), il avait parachevé la qualification en inscrivant à la 86e – sur penalty – son premier but pour sa première titularisation. « Je ne me présente pas pour le tirer parce que lorsque tu es jeune, tu ne peux pas te permettre certaines choses. “Ben” (Corgnet) avait la balle en main et a chambré Kenny (Lala). Ils se sont dit qu’ils allaient laisser tirer le jeune. C’était un très beau geste. Je ne peux que les en remercier. Ce but me met encore plus en confiance. J’étais serein, sans pression, je savais que j’allais marquer. »
Un moment inoubliable sous les yeux de son père Christophe qui ne rate presque jamais un match. « Mes parents m’ont toujours soutenu. C’est en grande partie grâce à eux que j’en suis là. Toute ma famille sera d’ailleurs à Saint-Symphorien. » Un coup d’arrêt de deux mois
Mais pas pour supporter un FC Metz dont le minot, piqué de ballon rond depuis tout môme (« mes parents habitent à 200 m du stade de Trémery, j’y ai débuté sous fausse licence quand je n’avais pas six ans et je vais souvent y voir jouer mon meilleur ami, Michel Barilaro, en R2 »), aurait pu défendre le maillot grenat.
« J’ai joué dix ans au FC Metz, rappelle-t-il. Mais quand j’étais U16, le club m’a signifié que mes entraîneurs ne pensaient pas que j’aurai du temps de jeu en U17. Je m’en doutais. Entre-temps, j’avais fait deux essais concluants à Évian-Thonon-Gaillard et Strasbourg. J’ai choisi le Racing et je ne le regrette pas. Tout le monde me dit que Metz est mon club formateur, mais non ! C’est Strasbourg. Je lui dois tout. À Metz, je n’en veux pas au club, mais à certaines personnes de n’avoir pas cru en moi. Moi, j’étais persuadé que j’allais réussir. »
Pour la petite histoire, il a déjà marqué pour le Racing à Saint-Symphorien. C’était avec la réserve en National 3, le 28 avril 2018 face à celle du FCM (1-1). S’il en foule à nouveau la pelouse samedi, il ne sera nullement tiraillé. « Je me battrai pour mon club de cœur (Strasbourg). Je me sens Alsacien. »
Sans en faire une fixation, il sait n’avoir plus de temps à perdre. Son année pro a en effet été amputée de deux mois après sa lésion au quadriceps droit le 11 septembre à Sarre-Union où il estime avoir reçu un traitement de “faveur” .
« La saison passée avec la réserve, nous avions gagné 3-0 chez nous et j’avais été impliqué dans les trois buts (1 but, 2 passes). Alors, j’étais attendu. J’ai entendu certaines choses dans le vestiaire de Sarre-Union. Il y avait un “contrat” sur moi. »
Avec le recul, il se dit pourtant que ce coup d’arrêt a été « un mal pour un bien. Cette blessure m’a fait mal, car après ma première entrée en pros (à la 79e le 25 août contre Rennes en L1 à la Meinau) , j’espérais enchaîner. Mais elle m’a forgé mentalement. Je me suis dit : “c’est pas grave, tu vas revenir plus fort.” Les cadres du vestiaire, comme Benjamin Corgnet et Ludovic Ajorque dont je suis proche, m’ont beaucoup parlé et dit que ça faisait partie du métier, que j’avais tout l’avenir devant moi et ne devais pas baisser la tête. Ils m’ont conseillé de ne pas brûler les étapes. » « Je veux aller chercher mon deuxième contrat pro »
Il a suivi le conseil et s’invite désormais régulièrement dans le groupe de Thierry Laurey. « Je suis en fin de contrat. Mais je ne me prends pas la tête. Lorsqu’au printemps, le coach (de la réserve, François Keller) m’a informé que le club me proposait un an, plus deux en option, il m’a aussi dit que j’étais capable d’aller chercher ces deux années. C’est ce que je veux. Je suis dans le groupe non pas comme jeune, mais pour m’inscrire dans la concurrence et apparaître le plus souvent possible sur la pelouse. Strasbourg me tient vraiment à cœur et j’ai envie de m’y imposer. » |
| Marco 69/73 Champion du Monde
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| Sujet: Re: Adrien Lebeau Dim 31 Mai 2020 - 21:23 | |
| dna a écrit: Le Racing fait confiance à Adrien Lebeau : « Ce n’est qu’une étape »S’il est plus que jamais déterminé à s’imposer au sein d’un Racing qui lui a fait confiance en lui offrant une prolongation de contrat de deux saisons, jusqu’en 2022, le jeune milieu de terrain Adrien Lebeau garde les pieds sur terre. C’était durant la période de confinement, dans la maison familiale de Trémery, près de Nancy. Adrien Lebeau, sa sœur et ses parents avaient dignement fêté l’événement : le milieu offensif de 20 ans, qui avait signé son premier contrat professionnel d’une année au printemps 2019, venait d’apprendre que le Racing le prolongeait de deux saisons en activant l’option qui y figurait (jusqu’en 2022). « Le Champagne a coulé, oui, mais avec modération », sourit-il à l’heure d’évoquer ce grand bonheur dans la carrière d’un jeune footballeur, même dans un contexte aussi inhabituel. « Le cas Sambia avait mis un coup sur la tête de tout le monde »
Adrien, un contrat se conclut d’ordinaire dans un bureau avec les dirigeants du club. Comment cela s’est-il passé pour vous en ces temps de confinement ?J’ai été averti par mes agents puis informé par le Racing. Avec le club, nous en avions un peu parlé avant le confinement. Je n’ai donc pas été surpris. Tout m’a ensuite été confirmé par mail. C’est une belle récompense alors que votre saison a été tronquée par une indisponibilité de deux mois, puis l’arrêt prématuré de la compétition…Quand j’ai été blessé à Sarre-Union le 11 septembre, je me suis posé des questions, demandé à quel niveau j’allais pouvoir revenir. Je venais de débuter en Ligue 1 (en entrant à la 79e contre Rennes le 25 août à la Meinau, 0-2) et j’étais bien. Mais je me suis montré sérieux, j’ai respecté les consignes et relevé la tête, tant avec la réserve qu’à l’entraînement avec les pros. Cette première saison pro, même achevée brutalement, a-t-elle correspondu à vos attentes ?Quand j’ai signé il y a un an, ma volonté pour 2019-2020 était de montrer au coach qu’il pourrait compter sur moi. J’ai fait une très bonne préparation (3 passes décisives notamment) , su me mettre au niveau à l’entraînement et tout mis en œuvre pour être le plus souvent possible dans le groupe (10 fois en Ligue 1, dont 2 apparitions, 6 matches officiels au total, avec 1 but sur penalty à Calais contre Le Portel en Coupe de France le 4 janvier pour son unique titularisation). C’était une année d’apprentissage, celle où tu découvres le monde pro et réalises ton rêve. Comment avez-vous vécu l’arrêt définitif du championnat ?Comme beaucoup de joueurs, j’ai été très déçu. Ce sport, c’est notre métier, notre passion. C’est pour nous bien plus que du football. Mais je n’ai pas été surpris. Le cas de Junior Sambia (le Montpelliérain un temps placé en coma artificiel après avoir contracté le Covid-19) avait mis un coup sur la tête de tout le monde. Même si, en raison de la pandémie, l’avenir reste flou, vous êtes-vous déjà fixé des objectifs personnels pour 2020-2021 ?Je veux continuer à franchir les paliers, mais sans brûler les étapes. Le coach (Thierry Laurey) a déclaré à plusieurs reprises qu’il ne voulait pas me griller. Il sait comment faire avec moi. Je lui fais entière confiance. « Je veux juste être lancé au bon moment » À votre âge, la patience n’est pas souvent la première des vertus. Or, on ne perçoit chez vous aucune impatience ?Ce n’est pas une question de patience ou d’impatience. Je veux juste être lancé au bon moment, sans aller trop vite. En début de saison, je n’étais pas aussi prêt que je ne le suis aujourd’hui, grâce, entre autres, à l’expérience acquise dans le vestiaire, au contact des cadres. Je prends toujours exemple sur Titi (Anthony) Caci. Il lui a fallu deux ans, après ses débuts en pros, pour s’imposer. Je vais tout faire aussi pour gratter du temps de jeu. Le Racing m’a fait confiance et signer pro. Je l’ai dans le cœur. Mon objectif est de m’y imposer, mais sans précipitation. D’ailleurs, avec mes parents et ma sœur, nous avons fêté ma prolongation avec sobriété. Ils sont les premiers à me dire que ce n’est qu’une étape. |
| Marco 69/73 Champion du Monde
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| Sujet: Re: Adrien Lebeau Sam 9 Jan 2021 - 21:20 | |
| dna a écrit: ■ Lebeau prêt au prêt. Arrivé à Strasbourg comme amateur en 2015, puis stagiaire de 2017 à 2019 avant de passer pro au printemps 2019 et de prolonger un an plus tard, Adrien Lebeau, dont le bail court jusqu’en 2022, souhaite être prêté cet hiver, comme l’ont récemment signifié ses agents à la direction du Racing. Freiné depuis un an et demi par les blessures (quadriceps, cheville), le milieu offensif de 21 ans n’entre plus dans les plans d’un Thierry Laurey qui l’avait lancé en pros la saison passée.
Avant l’interruption des compétitions 2019-2020, le Lorrain était apparu six fois en match officiel, dont deux en Ligue 1 (12 minutes de jeu), pour une unique titularisation, face au Portel en 32es de Coupe de France à Calais où il avait inscrit sur penalty à la 86e le 4e but du Racing (4-1). Remplaçant à trois reprises cette saison après son retour de blessure (à Nantes, contre Metz et Bordeaux), il n’a pas du tout joué et ne figure plus dans le groupe depuis le déplacement du 23 décembre à Paris.
Le Racing verrait d’un bon œil qu’un espoir sur lequel il compte aille s’aguerrir en Ligue 2 ou National. Mais pour l’heure, si quelques clubs ont pris des renseignements, aucun n’a formulé d’offre concrète. |
| Marco 69/73 Champion du Monde
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| Sujet: Re: Adrien Lebeau Ven 26 Mar 2021 - 6:14 | |
| dna a écrit: Adrien Lebeau (Racing) : « Pas de deuxième saison blanche ! » Passé pro en 2019, puis prolongé de deux ans en 2020, le milieu offensif strasbourgeois Adrien Lebeau n’a pas pu s’exprimer cette année. Le natif de Metz, qui devrait jouer ce vendredi (13h) en amical à Nancy, se refuse à vivre une autre saison blanche en 2021-2022. Lancé dans le grand bain de la Ligue 1 un soir de défaite à la Meinau (0-2 le 25 août 2019), Adrien Lebeau a, depuis, accumulé blessures, maladie et indisponibilités. Il pourrait presque tirer de ses douloureuses expériences un lexique médical : lésion du quadriceps droit le 11 septembre 2019 à Sarre-Union avec la réserve (deux mois et demi d’arrêt), entorse de la cheville droite mi-juillet 2020 (même durée), choc sans gravité à la tête fin septembre, entaille du genou droit début octobre (un peu plus d’un mois) et contamination au coronavirus début février (dix jours). Tous mes pépins sont derrière moi depuis un moment. Ça n’a pas toujours été facile, mais je suis fort mentalement et ça ne m’a pas abattu, bien au contraire. Ç’a renforcé ma volonté. Le 4 mai 2020, vous déclariez dans nos colonnes que votre prolongation de deux ans n’était qu’une étape. Etes-vous conscient de n’avoir pas franchi la suivante ?
J’aurais aimé pourtant. Mais j’ai zéro minute en Ligue 1. Certains considèrent peut-être que je ne suis pas prêt, pas mature. Mais je ne suis plus le petit jeune qui sort du centre. Malgré les blessures, j’estime que j’aurais mérité d’avoir du temps de jeu. Certains cadres du vestiaire me l’ont dit. Je ne demande pas à être titulaire, juste à avoir ma chance, avec des entrées de temps à autre. A Nantes, à 4-0 à la 82e, j’ai cru que je l’aurais. Mais non ! Je suis déçu de ma saison, pas tant à cause des blessures que de mon temps de jeu. « Je peux apporter ma pierre à l’édifice » Vous en auriez sans doute eu le 10 février contre Montpellier en Coupe de France (0-2), mais vous avez contracté la Covid…
Je pensais avoir du temps de jeu face à Montpellier, oui, mais je n’en suis pas sûr parce que je n’ai pas eu de discussions avec le staff. A la limite, je préfère ne pas le savoir. La Covid a été la période la plus dure, même si j’étais asymptomatique. J’ai été testé positif le lundi alors que le match avait lieu le mercredi.
En 2019-2020, vous avez pris part à six matches officiels, dont deux en L1, avec une titularisation et un but sur penalty en Coupe de France contre le Portel (4-1). Malheureusement pour vous, il n’y a jamais eu de suite…
Contre Le Portel, je pense avoir répondu présent. Il le faut quand le coach fait appel à toi. Mais après, on ne m’a pas donné la chance de m’exprimer.
Est-ce d’autant plus frustrant que le club vit une année pénible ?
C’est une saison compliquée pour le staff, le club, les joueurs. Tout le monde est dans le même bateau et on essaie d’avancer ensemble. Je suis persuadé que je peux apporter un plus à l’équipe et ma pierre à l’édifice. J’aurais aimé pouvoir le prouver. A l’entraînement, le coach a parfois dit devant les autres que j’avais été le plus efficace du groupe devant le but. Mais le week-end, je reste sur le banc. On me dit que c’est bien, de continuer à travailler et d’être patient. Mais je ne peux plus l’être. Je vais avoir 22 ans (le 8 juillet). « J’étais partant pour Pau en 2019 » Avez-vous été déçu de n’avoir pas été prêté cet hiver comme vous le souhaitiez ?
J’avais déjà demandé à l’être en 2019-2020 à Pau (alors en National, aujourd’hui en Ligue 2). Mon agent s’était mis d’accord avec le coach Bruno Irles et j’étais partant. Mais le Racing m’avait demandé de faire la préparation estivale et d’attendre. Pourtant, ça m’aurait fait le plus grand bien. Cet hiver, j’aurais aussi aimé partir en prêt. Là non plus, ça ne s’est pas fait, peut-être à cause de mon manque de temps de jeu, mes blessures, d’un contexte rendu difficile par l’épidémie aussi. Si j’étais parfois entré en jeu, comme à Nantes, ça m’aurait fait du bien, mais ça aurait aussi apporté quelque chose au Racing dans l’hypothèse d’un prêt.
Votre avenir à Strasbourg vous semble-t-il bouché ?
Il me reste un an de contrat. Je pense qu’on aura des discussions avec les dirigeants en fin de saison ou après la préparation estivale. Il est important de mettre les choses au clair sur mon avenir, pour moi et pour le club. Si j’entre dans les plans du Racing, tant mieux. Ce serait un énorme plaisir pour moi, car c’est mon club de cœur. J’y suis attaché, à la ville aussi. C’est le club qui m’a fait signer pro. Je m’y sens très bien et j’ai envie de m’y imposer pour montrer aux gens qui m’ont fait confiance que je la mérite. « J’ai assez vu ce que c’était d’être sur le banc » Si on comprend bien, vous espérez toujours vous imposer dans votre club formateur ?
C’est ma priorité de jouer pour ce club, les supporters, les éducateurs du centre de formation. J’aimerais qu’on puisse dire : « C’est un joueur formé chez nous qui s’impose chez nous. » Mais après, si je n’entre pas dans les plans, partir sera dans l’intérêt du club et dans le mien. J’ai besoin de jouer. J’ai assez vu ce que c’était d’être sur le banc. Refaire une saison blanche, c’est hors de question.
Vous devriez jouer ce vendredi à Nancy. Est-ce l’occasion de montrer que vous êtes toujours là ?
Oui, car c’est toujours important de jouer. Et non parce que je crois le montrer à l’entraînement et qu’on ne va pas me juger sur ce match. En tout cas, j’ai envie de jouer. Après, il restera huit matches. J’espère vraiment qu’on se maintiendra le plus vite possible et, pourquoi pas, gratter du temps de jeu. En attendant, je me tais et je travaille. |
| Marco 69/73 Champion du Monde
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| Sujet: Re: Adrien Lebeau Sam 29 Juil 2023 - 6:40 | |
| Alsa'sports a écrit :Adrien Lebeau de retour en Ligue 1 ? L’ancien du joueur du Racing Club de Strasbourg, club avec lequel il a disputé 2 matchs en pro et 50 matchs avec la réserve était à l’essai avec le Stade Brestois. Un essai concluant puisque le joueur âgé de 24 ans devrait s’y engager pour une durée d’une saison, avec potentiellement une option de prolongation d’un an.
Libre de tout contrat après son aventure avec les Allemands du Waldhof Mannheim, Lebeau a fait forte impression au staff breton au travers des différents matchs amicaux (Avranches, Concarneau, Rennes). Durant ces rencontres, le français habitué à un poste plus offensif a évolué au poste de latéral droit, si ce repositionnement se confirme, Adrien Lebeau pourrait être le remplacent numérique de Noah Fadiga, joueur qui avait quitté le Stade Brestois suite à des soucis cardiaques et ainsi entrer en concurrence avec un autre ancien Strasbourgeois en la personne de Kenny Lala. |
| Lacuesta Joueur de national
Nombre de messages : 3302 Date d'inscription : 07/10/2017
| Sujet: Re: Adrien Lebeau Dim 30 Juil 2023 - 6:10 | |
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| Sujet: Re: Adrien Lebeau | |
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