Et pourtant quand tu regardes ses stats depuis son départ elles ne sont pas terribles

j l'avais vu plusieurs fois à l'oeuvre quand il était encore au racing, j'ai toujours apprécié son talent et un peu étonné qu'il n'ait pas réussi à percer plus.

C'est d'ailleurs à Strasbourg qu'il a le mieux réussi

Ca peut aller, il a été titulaire toute la saison il y a deux ans et à disputer au total une moitié de saison l'année dernière. Et cette année, il semble bien parti en atteste son titre d'aiglon du mois :!bien!:

Je parlais plus de son quota en but assez pauvre tout de même , mais je lui souhaite de continuer sur sa lancée actuelle

Mouloungui sur le départ ?

Eric Mouloungui a expliqué ce jeudi à Nice Matin qu'il n'était pas certain de poursuivre l'aventure avec l'OGCN la saison prochaine. «J'ai eu des propositions, je suis à un an de la fin de mon contrat. Donc on verra», a-t-il indiqué. Arrivé en 2008, l'attaquant gabonais n'a pas connu le succès escompté avec les Aiglons. «C'est vrai que quand je suis arrivé au club, mon plan de carrière était de faire deux ou trois ans et de partir pour progresser. Mais à 27 ans, j'ai des choses à prouver et à voir. On va voir ce qui se présente», a-t-il expliqué. En cas de départ de Mouloungui les Aiglons perdraient leur meilleur buteur de la saison dernière, avec huit réalisations.


L'Equipe

Nice: Rivère veut garder Mouloungui


Jean-Pierre Rivère, le président de l'OGC Nice fête ses six mois à la tête du club. Pour l'occasion, Nice-Matin lui a posé quelques questions, notamment sur le cas d'Eric Mouloungui, en fin de contrat cet été. "Je
suis son premier supporter depuis mon arrivée au club. Je trouve que
c'est un gâchis de ne pas avoir prolongé ce joueur par le passé. Il peut
effectivement être maladroit mais il est également capable de faire des
matches que peu d'attaquants en France sont capables de faire. Je ne
sais pas ce qui va se passer avec Eric. C'est très compliqué. Ce serait
dommageable de perdre ce joueur", a déploré Rivère.

Déjà 27 ans Mouloungui. Je me souviens de lui encore quand il n'était qu'un jeune espoir de 18 ans au Racing

Il a gravi les échelons à son rythme, et en définitive a le mérite d'être un des seuls anciens Racingmen qui se sont faits une place en Ligue 1 après que le club l'ait quittée. Gameiro, Cohade et donc Mouloungui. Au bout du compte ça ne fait pas beaucoup

Ben, disons que s'il y en avait eu davantage on en serait pas là où l'on en est.

K4is3rt0m a écrit:

Il a gravi les échelons à son rythme, et en définitive a le mérite d'être un des seuls anciens Racingmen qui se sont faits une place en Ligue 1 après que le club l'ait quittée. Gameiro, Cohade et donc Mouloungui. Au bout du compte ça ne fait pas beaucoup

Il y a pleins d'autres joueurs qui ont poursuivi leur carrière en L1. Ehret, Kandia Traoré ou Dja Djé Djé en sont des exemples comme bien d'autres.

Oui, mais je parlais plutôt de notre dernière saison en Ligue 1 (celle où on était supposé terminer au moins à la onzième place) Je me suis sans doute assez mal exprimé.

Si on remonte plus loin ou même en L2 pour certains, il y en a plusieurs effectivement qui ont pas trop mal réussi, et pas seulement en France d'ailleurs.

Désormais dans les Emirats Arabes Unis.
Voir ICI

Al-Wahda: Mouloungui prêté en Pologne



Une vieille connaissance du championnat de France s'en va
découvrir le championnat polonais... Eric Mouloungui, passé notamment
par le RC Strasbourg et l'OGC Nice, quitte les Emirats et Al-Wahda pour
être prêté en Pologne. L'international gabonais rejoint le Slask
Wroclaw, actuel cinquième du championnat à quatre longueurs du leader,
le Legia Varsovie.

(Orange Sports)

Comme quoi tous nos anciens joueurs n'ont pas une carrière à la Kévin Gameiro.
En même temps, il a du se rendre compte que le championnat des Emirats n'avait rien à voir avec le championnat de L1.
Mais de là à aller jouer en Pologne, j'ai du mal à comprendre : il perd certainement sur le plan financier et n'y gagnera pas forcément au niveau du jeu...

Eric Mouloungui : « Mon cœur balance »
Eric Mouloungui fait partie de ces quelques joueurs, comme José Cobos ou Marco Molitor par exemple, à avoir porté à la fois le maillot du Racing (entre 2002 et 2008) et de Nice (entre 2008 et 2012). Ce sont même les deux seuls clubs français où l’attaquant gabonais de 33 ans a évolué si on fait exception de deux prêts d’un an à l’AS Vauban et à Gueugnon pendant sa période alsacienne. Il donnera ce dimanche le coup d’envoi de la rencontre.
Qu’est ce qui différencie Strasbourg de Nice ?
Le climat forcément. En Alsace, j’ai eu très, très froid. Quand j’ai débarqué à Strasbourg, j’arrivais directement du Gabon et j’ai vraiment énormément souffert. Ensuite, je dirais que la mentalité n’a rien à voir. Le Strasbourgeois est calme, pondéré, réfléchi là où le Niçois est chaud et sanguin.
Y a-t-il cependant un point commun entre les deux clubs ?
La ferveur populaire. C’est l’Est et le Sud mais dans les deux endroits, à la Meinau et au Ray (il n’a jamais connu l’Allianz Riviera), j’ai ressenti la même ambiance exceptionnelle et le même amour que le supporter porte à son club. J’ai beaucoup apprécié cette manière qu’ont les deux publics de transcender leur équipe.
Quels sont vos souvenirs ?
A Strasbourg, c’est d’avoir participé à la remontée du club en Ligue 1 en 2006-2007. C’était sous la houlette de Jean-Pierre Papin, je jouais en pointe avec Kevin Gameiro et j’avais marqué 11 buts. A Nice, c’est d’avoir maintenu le club en Ligue 1 à une époque où le Gym ne ressemblait que de très loin à celui d’aujourd’hui.
Des rencontres marquantes ?
Kevin Gameiro justement. Je l’ai vu arriver tout jeune à Strasbourg et j’ai vite vu ses qualités. Je le surnommais JPP et je suis longtemps resté en contact avec lui quand il jouait en France. On s’est un peu perdu de vue. Il y a aussi Corentin Martins qui m’a beaucoup marqué. A Nice, Cédric Kanté que j’avais connu au Racing et qui était un grand professionnel. Et puis Loïc Rémy pour ses qualités d’attaquant et David Ospina, un grand gardien.
Vous connaissez encore des gens au Racing ?
Bien sûr. Marc Keller tout d’abord. C’est lui qui m’a fait venir à Strasbourg. Il était alors manager général et il a contribué à mon transfert depuis mon club gabonais de l’AS Mangasport avec Philippe Thys qui était recruteur. C’est au Racing que j’ai appris le foot pro puis c’est à Nice que j’ai confirmé.

Vous suivez toujours les deux clubs ?
Oui. De très près. Je réside à Nice et j’ai davantage l’occasion de voir les matchs du Gym. Mais j’observe le Racing et j’y vais de temps en temps même si c’est plus rare. La dernière fois que je me suis rendu à la Meinau, c’était pour le match de la montée de National en Ligue 2. J’avais encore trouvé l’atmosphère exceptionnelle.

Un pronostic pour cette rencontre entre vos deux clubs ?
Ah non. Pas de ça. Surtout pas. Je ne peux pas et je je veux pas choisir. Entre Strasbourg et Nice, mon cœur balance.
SO