ASSE

Ca y est l'ASSE est relègable ce soir

RotUnWiss a écrit:

L'un des 2 présidents est bien aimé dans la région, mais les supporters des Verts le trouve trop souvent absent.

Peut-être à l'est de Sainté, il est "bien aimé" des supporters, mais pas à l'ouest

Bernard Caïazzo a l'air de vouloir faire le ménage puisqu'après Perrin c'est au tour du Directeur Général et du Directeur Sportif de perdre leurs fonctions.
Article ICI.

El Dinaisse a écrit:

Leur seule chance cette année c'est d'avoir trois équipes encore plus mauvaises.

Tu as tout compris! heureusement que Le Mans, Boulogne et Grenoble ont été pire que nous sinon... L'intersaison s'annonce animée, beaucoup de departs en perspective (Dabo, Matuidi, Payet, Perrin, Bergessio, Mirallas... etc...), mais c'est ce qu'il faut pour repartir sur de bonnes bases, ces joueurs là n'ont plus rien a foutre du club pour la plupart... Marchal a déjà signé pour 3 ans, c'est déjà une bonne recrue... Il faudra prendre des gars comme lui avec de l'experience et du serieux pour eviter de vivre une nouvelle saison comme les 2 précédentes...

Dans ce cas, tu n'as pas trop à t'inquiéter pour ton club l'année prochaine avec la montée d'Avignon et de Brest en première division.

C'est ce qu'on dit en rigolant mais bon... Attention quand meme! Faudra voir le recrutement de ces équipes! Et puis cette saison déjà qui aurait dit que ces 2 clubs monteraient... Tout le monde voyait Nantes se ballader et au final ils finissent a 2 points du national eux aussi...

L’AS Saint-Etienne poursuit ses recherches pour recruter un arrière gauche de métier. Dans cette optique, les Verts seraient notamment très intéressés par Clemente Rodriguez (28 ans, Estudiantes de La Plata), dont le contrat est arrivé à expiration. L’international argentin, qui a aussi porté les couleurs du Spartak Moscou et de l’Espanyol Barcelone, serait l’une des pistes privilégiées par les Stéphanois, qui se seraient déjà positionnés concrètement pour le récupérer (ndlr : Boca Juniors se serait aussi positionné pour récupérer l’un de ses anciens sociétaires).

On devrait en savoir davantage après la Coupe du Monde en Afrique du Sud, Clemente Rodriguez figurant dans la liste des 23 joueurs retenus par le sélectionneur argentin Diego Maradona. Alors que les noms de Jean-Alain Fanchone (Strasbourg), Ivan Strinic (Hajduk Split) et Ludovic Baal (Le Mans) ont aussi été évoqués ces derniers mois (sans suite), Carlos Bocanegra (31 ans, Rennes), Yassin Mikari (27 ans, Sochaux) et surtout Jérémy Morel (26 ans, Lorient) figureraient également sur les tablettes des dirigeants stéphanois, qui souhaiteraient assurer leurs arrières, Clemente Rodriguez étant aussi courtisé par certaines équipes étrangères, dont la Lazio Rome.

Le Lorientais serait très apprécié par le staff stéphanois. On évoque une transaction de l’ordre de deux millions d’euros pour un contrat pluriannuel (et un salaire estimé à 80 000 euros). Avec le départ de Mouhamadou Dabo au FC Séville, le club de Jérémie Janot, Sylvain Marchal, Loïc Perrin, Blaise Matuidi, Dimitri Payet ou encore Emmanuel Rivière a besoin de sang neuf. Les prochaines semaines s’annoncent chargées pour le club stéphanois qui n’est décidément pas au bout de ses peines.

Curieux de voir ce topic si bas dans la rubrique alors que les verts sont leaders.
Que pensez-vous de ce club et de ses résultats actuels, durable ou un feu de paille et qu'est-ce qui peut expliquer ce retour en forme si rapide alors que depuis quelques saisons ce club marquait fortement le pas?
C'est à vous...

Allmen67 MrEnigme a écrit:

un feu de paille et (Payet)

Pas mal le jeu de mot inintentionnel (je sais pas si ce mot se dit d'ailleurs ^^).

Pour ma part, il est vrai que je suis assez surpris et je pense que cela ne va pas durer longtemps. Mais appréciant ce club et ses supporters, je souhaite qu'ils restent à cette place le plus longtemps possible. :!bien!:

Je suis si peu la L1 qu'en effet c'était un jeu de mot totalement "involontaire".

En ce début de saison, ils ont un jeu très spectaculaire .. basé sur l'envie .. tout en vitesse et en percution .. puis ils ont une réussite folle qui ne les quitte pas (pour l'instant) .. mais ça c'est comme un shooteur longue distance en basket, il fini toujours par râter le cercle.

L’Association sportive de Saint-Étienne (ASSE ou AS Saint-Étienne) est un club de football français fondé en 1919, basé à Saint-Étienne.
Club professionnel depuis 1933, l'AS Saint-Étienne est le club le plus couronné de France avec dix titres de champion. Le club connaît son apogée dans les années 1960 et 1970, quand il remporte neuf titres en quatorze saisons. En 1976, les Verts de Robert Herbin atteignent la finale de la coupe d'Europe des clubs champions, provoquant une ferveur nationale peu commune. Ils sont finalement battus par le Bayern Munich, sur un terrain devenu connu pour ses « poteaux carrés ».
Depuis qu'il est professionnel, le club est résident du stade Geoffroy-Guichard, le huitième plus grand en France. En 2010, Sainté entame sa 58ème saison en Ligue 1, ce qui en fait le troisième club français dans ce domaine. Le club est dirigé par Bernard Caïazzo et Roland Romeyer depuis 2006. Christophe Galtier en est l'entraineur principal depuis le 15 décembre 2009.



Leurs stade , le stade Geoffroy-Guichard, surnommé « le Chaudron », est un stade sportif français situé à Saint-Étienne, construit en 1930.
C'est notamment le stade où se jouent les matchs de football de l'AS Saint-Étienne. Doté d'une capacité de 35 616 places, il s'agit du septième plus grand stade français.

Petites histoires de derbies



99, c'est le nombre de derbies disputés entre Saint-Etienne et Lyon et presque autant d'histoires croustillantes. Joutes verbales, provocations dans les tribunes et sur le terrain, voilà pourquoi ce derby n'est définitivement pas un match comme les autres. 62 kilomètres seulement et pourtant tout sépare Lyon de Saint-Etienne. Deux villes, deux histoires, deux clubs ennemis. Deux cousins qui se chamaillent depuis des décennies. Chaque saison apporte son lot de petites histoires qui nourrit celle du derby. La rivalité entre les deux clubs rhônalpins débute réellement dans les années 70, lorsque Saint-Etienne écrase l'Hexagone et prend un malin plaisir à rosser son voisin. Roger Rocher, président des vertes années de l'ASSE, s'en donnait à coeur joie pour inverser sur le pré le rapport de force entre les deux villes : "En matière de football, Lyon a toujours été la banlieue de Saint-Étienne" ou bien encore "Saint-Étienne est la locomotive et Lyon les wagons."

Le roi de la provocation ? Raymond D.

Symbole de cette période faste pour le club du Forez, le derby à Gerland de 1969, premier match du championnat de France diffusé par l'ORTF. L'ASSE vient de battre le Bayern en C1 (3-0). Dans la presse, les Gones se voient déjà triompher de leur voisin qu'ils estiment épuisés après leur brillante démonstration face aux Allemands. Le match est à sens unique pour les Verts (3-0). En sortant de la pelouse, Hervé Revelli et Jean-Michel Larqué lancent aux Gones : " On refait le match?" Au jeu de la provocation, le derby va trouver son maître en la personne de Raymond Domenech. Déjà, le rugueux défenseur de l'OL maîtrise le sens de la formule : "À l'envers comme à l'endroit, le maillot vert me donne des boutons", "Je rêve de pelouses peintes en rouge et bleu... D'ailleurs j'ai pavé la mienne pour éviter de me lever chaque matin avec du vert sous les yeux."
Domenech n'était pas un tendre sur la pelouse. Salif Keita, le phénomène malien de l'ASSE, n'aimait pas les derbies et les confrontations avec le futur sélectionneur de l'équipe de France: "Lors des derbies, je mettais deux protège-tibias à chaque jambe, un devant et un derrière." Symbole de ces matches à haute intensité physique, les sept joueurs blessés lors du seul derby d'octobre 1971. Pour avoir porté les deux maillots, Bernard Lacombe, Lyonnais pure souche, connait mieux que quiconque l'importance de ce genre de rencontre. Il la résume en une anecdote : "Pour mon dernier derby sous le maillot de Lyon, en janvier 1978, je rate un pénalty à Geoffroy-Guichard, et l'OL perd. J'ai été malade pendant 3 jours."
Mais un derby, c'est aussi l'affrontement de deux peuples. Les supporters ne se sont pas toujours contentés des banderoles agressives qui fleurissent désormais. En 1967, l'ASSE est éliminée de la Coupe de France par son voisin (1-0), Jean Snella, alors coach des Verts, accuse l'OL de s'être montré frileux et d'avoir "joué la carotte". Un mois plus tard, les supporters lyonnais jettent 25 kilos de carottes sur la pelouse de Geoffroy-Guichard. Saint-Etienne s’impose comme souvent dans ces années là (2-1)

De la pluie de carottes aux faux passeports

Mais depuis plusieurs années déjà, alors que l'OL est devenu le poids lourd du football français dans les années 2000, c'est Lyon qui fait la loi face à son voisin. Une date symbolise cette inversion du rapport de force. Le 15 décembre 1990, Geoffroy-Guichard assiste au plus beau hold-up de l'histoire des derbies. Saint-Etienne domine outrageusement les débats. 80e minute, le Lyonnais Bouafia déborde sur le côté gauche, aucun coéquipier ne le suit de peur de se découvrir. Il se débarrasse de la balle qui percute le tibia de Sylvain Kastendeuch : "csc", l'OL s'impose 0-1. Sur le terrain, les Rhodaniens sont imperturbables. Dans les journaux, le jeu des petites phrases provocatrices n'est qu'un lointain souvenir.
"Nous sommes obligés d'avoir un discours aseptisé, de faire de la langue de bois, tu ne peux plus allumer. Alors, je reste soft même si c'est dur car nous avons un devoir d'exemplarité et la multiplication des médias entraîne une multiplication des interprétations que nous craignons", résume un Jérémie Janot, qui n'avait tout de même pas hésité lors d'un derby à arborer le numéro 10 pour rappeler aux supporters de l'OL le nombre de titres conquis par son club. L'affrontement ne s'étale donc plus dans la presse mais, en 2000, il a, une dernière fois, dépassé le rectangle vert. Avant la rencontre, Jean-Michel Aulas pose des réserves sur la validité du passeport portugais de l'attaquant stéphanois Alex. Informé par l'agent d'Edmilson de la possible falsification du passeport du Brésilien, le président lyonnais menace de porter réclamation si le joueur est aligné sur la feuille de match. S'en suit l'affaire des faux passeports et la descente aux enfers des Verts. Ils en sont revenus. Sauf d'un : celui de ne jamais battre le grand rival. L'ASSE traque une victoire dans le derby depuis 1994.

Sujet fusionné avec le topic ASSE (St Etienne)

Le Lyon est mort ce soir.



A l'occasion du 100e derby face à Lyon, Saint-Etienne, en état de grâce, a réussi un très joli coup en s'imposant (1-0) à Gerland. Un succès du collectif stéphanois et de son goleador Payet. Les Lyonnais peuvent nourrir quelques regrets et leur moral est désormais au plus bas.
Il a fallu attendre un match sous très haute pression pour enfin voir Lyon sortir ses griffes et le 100e derby de l'histoire contre Saint-Etienne était donc l'occasion idéale. Excepté le premier quart d'heure, plutôt à l'avantage du leader de Ligue 1, le match a largement tourné en faveur des Lyonnais, relégables au coup d'envoi. Les joueurs de l'OL ont tenu à satisfaire leur public. Ils ont monopolisé le ballon et multiplié les tirs au but, notamment sur les très nombreux coups-francs et corners concédés par les Verts. Mais la recrue Yoann Gourcuff, plutôt à l'aise pour son premier derby sous le maillot de l'OL, doit encore peaufiner sa technique. Ses coups de pied arrêtés sont trop souvent à côté de la cible. Il s'entend pourtant de mieux en mieux avec Bafétimbi Gomis, fer de lance de l'attaque rhodanienne, mais sans que cela ne se concrétise. Pourtant, les Lyonnais n'ont pas lésiné sur les occasions, avec plus de vingt tirs au but dans la rencontre, de Bastos, Pjanic ou encore de Briand, en manque de repères.

Payet, l'homme du match
Saint-Etienne est sur un nuage. Déjà, la première place au classement semblait inespérée, mais une victoire chez l'ennemi héréditaire, dans de telles conditions, tient quasiment du miracle. Et cette saison, l'ange vert se nomme Dimitri Payet. Deux fois, l'attaquant sauve les siens en renvoyant le ballon sur la ligne de but (25e, 82e). Entre temps, il se fend d'un coup franc magistral aux 25m dans la lucarne, hors de porté d'Hugo Lloris (75e). Mention spéciale aussi au combatif Laurent Battles, intraitable en milieu de terrain, qui s'est sacrifié en prenant en pleine tête un coup franc à bout portant de Bastos.
La tension s'est fait de plus en plus présente au cours du match, les mauvais gestes ont commencé à fuser et M. Gautier a parfois eu du mal à tenir tout son monde. Mais avec seulement six cartons, plus un rouge en fin de match pour Vercoutre sur le banc, cela reste correct. Viril mais correct.

Une si longue attente
Le résultat ressemble à un hold-up, mais avec un bloc défensif très solide, des milieux tenaces et des attaquants aux aguets, la victoire des Stéphanois est méritée. Après l'ouverture du score, l'OL a sombré, laissant tous les doutes refaire surface. Et Saint-Etienne a tenu bon, Rivière manquant même de peu le but du KO en toute fin de match. L'image de Claude Puel, seul, le visage fernmé dans le couloir de Gerland en disait long, et son avenir dans le Rhône est plus que jamais incertain. L'OL, septuple champion de France, est 19e. A côté, les Stéphanois sous la houlette Jérémie Janot, laissaient éclater leur joie et les bouteilles de champagne. Elles attendaient d'être débouchées depuis 17 ans et la dernière victoire des Verts en terre Lyonnaise. Comme l'a dit Payet à la fin du match : «On est en train d'écrire notre histoire à nous.»
C.T. - Francefoot

L'ASSE qui met Lyon à onze longueurs ce soir ! Je sens que Puel va sauter ...

Cadeau pour les supporters stéphanois