Troyes recrute un espoir ukrainien
Le club ukrainien du FC Rukh Lviv a annoncé, ce samedi, la signature de son attaquant Mykola Kukharevych (19 ans), international Espoirs avec l'Ukraine, à l'ESTAC pour la saison prochaine.
Propriété du Football City Group depuis six mois, Troyes prend une dimension internationale. C'est dans ce sens que Mykola Kukharevych, rejoindra l'ESTAC (L2), qui lutte pour la montée en L1, à partir de la saison prochaine. C'est son club, le FC Rukh Lviv (D1 ukrainienne), qui l'a annoncé ce samedi sur son site, avant de communiquer sur son partenariat avec le City Group, qui suivait le joueur depuis un moment.
Kukharevych (19 ans) est un grand (1,93 m) avant-centre (2 buts en 17 matches de Championnat cette saison), international Espoirs avec l'Ukraine depuis peu (3 sélections, 3 réalisations).
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Stats formidables, 2 buts en 17 matches, pire qu'Ajorque. Mais c'est un championnat difficile.

Aymeric Magne est le nouveau président exécutif de Troyes
Alors que le club est sur le point de monter en Ligue 1, Aymeric Magne a été nommé lundi président exécutif et directeur général de Troyes par le City Football Group.
Troyes a un nouveau président exécutif et directeur général. Le City Football Group, propriétaire de l'ESTAC depuis septembre 2000, a annoncé lundi la nomination d'Aymeric Magne. Simon Cliff, qui reste président, a expliqué dans un communiqué que Magne « incarnera le visage du club au quotidien et sera le relais exécutif privilégié auprès du conseil d'administration ». « Il vient encadrer les volets administratifs et sportifs avec la mission de développer structurellement le club. »

Aymeric Magne a déclaré que « c'est un immense honneur de pouvoir rejoindre l'ESTAC, qui s'inscrit dans l'un des projets les plus sérieux, structurés et novateurs du football à travers le City Football Group, permettant d'offrir des perspectives ambitieuses pour le club. [...] je vais, dès à présent, préparer la saison prochaine avec les équipes de l'ESTAC ayant pour objectif d'inscrire de manière pérenne l'ESTAC dans l'élite ». Sans jouer, le club aubois peut valider sa montée en Ligue 1 lundi soir si Clermont ne bat pas Grenoble.
Avant de rejoindre le club troyen, Aymeric Magne a notamment participé à l'élaboration de nombreux stades en France et à l'étranger ainsi qu'à l'organisation de la Coupe du monde 2014, de l'Euro 2016 et des JO 2016. Il est également membre de la commission « Expérience Stades » de la LFP depuis janvier.
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dna a écrit:
Promu en Ligue 1 avec Troyes, l'Alsacien Damien Ott poursuit sa formidable ascension

Victorieux de Dunkerque samedi soir lors de l’avant-dernière journée de Ligue 2, Troyes et son entraîneur adjoint Damien Ott ont officiellement pris place dans l’ascenseur vers l’élite du football français. Un immense bonheur que le technicien alsacien savoure sans penser à demain. Pas encore…
Au bout du fil, une toute petite voix, rayée comme un disque qu’on a un peu trop écouté pendant la nuit. Et celle-ci a été courte samedi soir, après la victoire décisive contre Dunkerque au stade de l’Aube (2-0). Et peut-être même celle de dimanche aussi, tant le bonheur de Damien Ott a été immense au moment de fêter enfin l’accession en Ligue 1 avec son club de Troyes.

Deux ans après avoir rejoint l’Estac, pour sa première expérience d’entraîneur-adjoint au côté du novice Laurent Batlles, l’ancien coach du FC Mulhouse et des SR Colmar (55 ans) touche au but. Du moins, un but parmi d’autres. Parce qu’à l’entendre, c’est loin d’être terminé. Entretien.
Damien, pouvez-vous nous décrire la joie que vous avez ressenti samedi soir, au coup de sifflet final après votre victoire contre Dunkerque ?

C’était à l’image de la saison : une joie très, très collective. On était tous contents les uns pour les autres, c’était ça qui était très appréciable et émotionnellement très fort. C’est l’accomplissement de deux saisons finalement (Ndlr : avec celle arrêtée en raison de la pandémie de coronavirus l’an passé), l’aboutissement surtout d’une belle progression et de l’adhésion à un projet initié par le coach Laurent Batlles. C’est une grosse fierté en tant que collectif, c’est comme ça qu’on l’a vécu en tout cas.

Il y a eu certes une explosion de joie au coup de sifflet final, mais pas tant en raison de ce dernier match gagné. Il y avait un travail à finir, bien sûr, mais on savait qu’on allait le faire. Il y avait une telle confiance en nous, une telle maîtrise, qu’on était assez sûrs de nous, même s’il est difficile de parler de certitudes dans le football. Ce qui est ressorti, c’est le fait d’être bien ensemble et d’avoir fait quelque chose de bien ensemble. C’était une belle aventure.


Avec le recul, quels ont été les tournants dans votre saison ?

Il y en a eu plusieurs, le match à Valenciennes notamment en début de saison (1-1, 8e journée), où le coach prend une option tactique totalement incroyable et audacieuse, où malgré l’expulsion d’un de nos défenseurs (Ndlr : l’ex-Strasbourgeois Yoann Salmier, exclu dès la 4e minute), il reste à trois derrière et continue d’attaquer. Puis il y a eu le match contre Caen (1-0, 33e journée), où on est en grosse difficulté, on vient de perdre deux fois (contre Nancy et Amiens), on a des suspendus, il manque des joueurs cadres, c’est une période où on est fatigués et où on ne joue pas très bien. Et finalement, ça passe quand même pour nous sur ce match. À partir de ce moment-là, on a senti que ça allait le faire, même si on ne l’a jamais exprimé oralement, parce que ça ne se fait pas.

Il y a eu aussi un signe incroyable à ce moment-là, c’est que nos adversaires n’en ont jamais profité. Ça nous a permis de rester toujours devant (Ndlr : sur toute la phase retour). Ce n’est pas facile, mais on s’en est toujours accommodé. Le coach a toujours eu le bon discours, géré les bonnes émotions. C’est aussi pour ça qu’il y a la satisfaction du travail bien fait.
« Il ne s’agit pas d’être un médecin généraliste, mais d’être un spécialiste »

Aviez-vous déjà vécu une telle osmose au sein d’un staff technique dans votre carrière ?
Évidemment, je vais dire que j’avais également connu ça à Colmar il y a dix ans… Mais effectivement, il y a ça à Troyes et ça prouve bien qu’il est essentiel d’avoir de la cohésion, dans l’équipe bien sûr, mais aussi dans le staff technique. On a tous été unis derrière Laurent (Batlles). J’ai connu exactement l’inverse à Bourg (en tant que coach n°1 en 2018-2019 en National) et ça m’a fait vivre une saison très délicate. C’est bien que c’est l’une des clés du succès.


Sur le plan technique, tactique, de la finesse d’analyse, c’était tout de même encore un ton au-dessus de ce que vous aviez connu jusque-là ?

C’est indéniable. Il y a en Ligue 2 un niveau d’exigence, d’analyse et de pertinence que je n’avais pas encore vu. Mais si j’ai accepté ce poste d’adjoint en 2019, c’était précisément pour apprendre tout ça.

Après, il y avait aussi beaucoup de compétences à Colmar, attention. On nous a reproché à l’époque d’être des amateurs dans un monde de pros, mais on était quand même très pros justement. Mais avoir été dans ce staff-là, à Troyes en Ligue 2, m’a montré qu’il fallait être encore plus précis dans le détail. Et ça, c’est dur. Si je peux me permettre une comparaison : il ne s’agit pas d’être un médecin généraliste, mais d’être un spécialiste. Il faut être très pointu dans l’analyse plutôt que détenir de grandes vérités. Ça demande beaucoup de concentration, de préparation, de recherche. C’est passionnant.
« Il y a aussi cette volonté en moi de retravailler un jour en tant que coach principal »

Justement, avec deux ans de recul désormais, vous retrouvez-vous dans ce poste d’adjoint après avoir si longtemps été entraîneur n°1 ?
Mon sentiment est partagé, mais ce qui est certain, c’est que j’ai totalement adhéré à ce que me demandait de faire Laurent (Batlles). Je vais rester très honnête avec lui : tant qu’il me demandera de faire des choses, je les ferai pour lui. Après, il y a aussi cette volonté en moi de retravailler un jour en tant que coach principal, mais pour l’instant, je suis totalement dévoué à ce qu’il me demande de faire. Il n’y a aucune ambiguïté là-dessus : s’il me demande de continuer à travailler avec lui, je le ferai. Le jour où ça ne sera plus le cas, j’espère effectivement retrouver un poste de n°1 parce que je travaille pour ça.
Précisément, Laurent Batlles est annoncé un peu partout la saison prochaine (Montpellier, Toulouse, Bordeaux)… Le suivrez-vous quoi qu’il arrive ?

Pour l’instant, j’accepte ses propositions à lui, car je suis redevable du poste qu’il m’a offert il y a deux ans, de sa confiance. Mais à l’heure où l’on se parle, je ne sais pas du tout, on n’en a pas encore discuté. On était tellement concentré sur l’accession en Ligue 1 avec Troyes qu’on n’a pas du tout évoqué le sujet.


Mais vous lisez malgré tout ce qui se dit çà et là…

Oui, mais sur ça, j’ai zéro commentaire à faire, je n’en sais rien. Mais s’il est à ce point courtisé comme on le dit, ça valide le fait qu’il a super bien travaillé. On est tous fiers de lui.

Dans tous les cas, vous n’imaginez pas que votre projet soit ailleurs qu’en Ligue 1 ?

Oui, à Troyes ou ailleurs, c’est ça le but, bien sûr. Ce qui m’intéresse, c’est de pouvoir vivre ça. Pas les stades, les médias ou la télé, mais bien d’accompagner Laurent pour découvrir la gestion d’un effectif de Ligue 1 au quotidien, avec des joueurs qui ont des besoins et un niveau d’exigence encore supérieurs.

Pensez-vous qu’il y aura un nouveau gouffre encore entre la Ligue 2 et la Ligue 1 justement ?

C’est une bonne question. Ça s’est super bien passé à Troyes avec un groupe formidable, des joueurs formidables. Est-ce que ce sera pareil l’an prochain ? Je ne sais pas si on peut parler d’appréhension, mais ça sera certainement un nouveau monde à découvrir, une nouvelle logique, de nouvelles exigences. C’est motivant !

« Le modèle parisien est une faillite de l’esprit collectif »

Avez-vous des doutes sur le fait d’être à la hauteur ?

Non, je n’ai pas doutes, parce que j’ai cette soif d’apprendre et cette volonté de continuer à progresser. Je continue ma route. Elle est partie de Mulhouse, s’est poursuivie à Village-Neuf, à Colmar, à Avranches, à Bourg-en-Bresse… Ce n’est pas fini. Le seul truc qui me guide, c’est ma progression. Si elle continue à se faire dans les pas de Laurent (Batlles), parfait.

Avec 48 heures de recul, considérez-vous cette montée en Ligue 1 comme une consécration ?

Non, jamais de la vie ! La consécration, ce n’est pas la Ligue 1, c’est de relever des défis. Quel que soit le club, quel que soit le niveau, tu pars sur un défi. À toi de tout mettre en œuvre pour le réussir. Depuis 15-20 ans, c’est ce que j’ai toujours dit, partout où je suis passé. J’ai eu des réussites et des échecs. Mais l’important, c’est de ne jamais s’arrêter et de rebondir. La Ligue 1 n’est qu’une étape, pas une fin en soi. Il y a tellement de belles choses à faire encore… Mais je ne m’imagine pas ailleurs qu’en L1 la saison prochaine, ça oui. Même si le foot est parfois très surprenant (rires).

Maintenant vous êtes champion de France de Ligue 2, qui voyez-vous ou espérez-vous champion de France de Ligue 1 ?

Lille, sans hésitation. Le modèle parisien est une faillite de l’esprit collectif. Mais ça n’engage que moi.

Et Strasbourg, à la lutte pour le maintien ? Imaginez-vous accéder à la L1 et ne pas y croiser votre club de cœur ?

Impensable. Je rêve de ça. Allez Racing !

La biographie de Damien Ott

● Né le : 12 septembre 1965 à Bâle (55 ans). Marié, père de trois enfants.

● Profession : Professeur d’EPS (en disponibilité depuis 2014), entraîneur de football.

● Carrière d’entraîneur : FC Mulhouse (2000-2003), Village-Neuf (2003-2005), FCM (CFA 2 puis CFA, 2005-2008), SR Colmar (CFA puis National, 2008-2015), US Avranches (Nat., 2015-2018), Bourg-en-Bresse (Nat., 2018-2019), Estac Troyes (entraîneur-adjoint, Ligue 2, depuis 2019).

● Palmarès d’entraîneur : vice-champion de CFA 2 et montée en CFA avec le FCM (2005), montée en National avec les SRC (2010), champion de France de Ligue 2 en tant qu’adjoint avec Troyes (2021).

Bravo à lui.

Tu as raison.

Oui ça me rappelle que Laurey a refusé Clauss dans le temps, quelqu'un qui a du flair à n'en pas douter.
Je pensais que le club était avant tout alsacien. Erreur.

Florian Tardieu veut « goûter à la L1 avec Troyes »
Courtisé après une belle saison à Troyes, le milieu Florian Tardieu veut « goûter à la L1 » avec le club aubois.
À Troyes, c'est le patron sur le terrain. Florian Tardieu a été l'un des grands artisans de la montée en L1 et il a été nommé pour le titre de meilleur joueur de la saison (finalement attribué au Toulousain Amine Adli). Présent dans l'équipe type de l'année, le joueur de 29 ans a atteint une forme de plénitude au sein d'une Estac très joueuse. « Notre nouveau système en 3-5-2 très offensif m'a vraiment plu, raconte celui qui a été impliqué sur dix buts cette saison. J'étais la première rampe de lancement, je touchais beaucoup de ballons, je me suis régalé. Nous avions très souvent la possession, avec un jeu risqué et des mouvements incessants. »
« On espère tous que Laurent Batlles va rester ! »
Un succès qui porte la patte de Laurent Batlles : « Je m'entends très bien avec lui. Dès le début de saison, il m'a fait sentir qu'il comptait beaucoup sur moi sur le terrain mais aussi en dehors. On parle tout le temps ensemble. »
Si le technicien de 45 ans n'a pas remporté le titre d'entraîneur de l'année, il est présenté comme l'un des coaches d'avenir en France. « Cela ne m'étonne pas, avoue Florian Tardieu. Je vois son travail au quotidien... C'est quelqu'un de passionné, qui adore le foot. Il est très proche des joueurs, il échange beaucoup avec nous que cela soit dans les bons ou les mauvais moments. Je rappelle qu'il a failli monter en L1 dès sa première saison sur le banc, mais tout a été stoppé par la crise sanitaire. Ce n'était pas de la chance, car aujourd'hui, il est promu. On espère tous qu'il va rester ! » Courtisé, Laurent Batlles est notamment dans le viseur de Montpellier, alors qu'il lui reste deux ans de contrat.
Florian Tardieu aussi est lié à Troyes jusqu'en juin 2023. Il n'imagine d'ailleurs pas un départ, alors qu'il est suivi par plusieurs clubs de L1 : « Je profite de mes vacances. Je serai présent à la reprise le 25 juin. Je me suis très bien ici et j'ai envie de goûter à la L1 avec l'Estac. » Surtout si Laurent Batlles prolonge l'aventure dans l'Aube...
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Laurent Batlles , pourquoi pas lui comme entraineur au racing .

Montpellier en a fait sa priorité.

equipe a écrit:
Adil Rami rejoint Troyes
Libre de tout contrat, le défenseur Adil Rami s'est engagé avec Troyes pour une saison (plus une en option).
Libre depuis son départ du Boavista Porto, où il s'est montré au niveau, Adil Rami, l'ancien joueur de l'OM (2017-2019) revient en France. Comme annoncé par RMC Sport, où il officiait comme consultant, le défenseur central de 35 ans rejoint Troyes.
Après avoir passé avec succès sa visite médicale, le champion du monde 2018 (36 sélections) a signé un contrat d'un an (plus une année en option).

Dommage pour le RCS qui aurait pu tenter de monter une équipe de stars. Mais le club préfère Sissoko.

Lacuesta,le racing a une star Gameiro et Lienard 

equipe a écrit:
Gerson Rodrigues (Troyes), premier Luxembourgeois à marquer en Ligue 1 depuis 25 ans
Buteur à Metz avec Troyes (2-0), ce dimanche, l'attaquant Gerson Rodrigues, prêté par le Dynamo Kiev, est le premier Luxembourgeois à marquer un but en Ligue 1 depuis Jeff Strasser avec Metz face à Bastia en 1996.
Prêté à Troyes par le Dynamo Kiev, l'attaquant luxembourgeois de 26 ans Gerson Rodrigues, titularisé en dernière minute à Metz après la blessure de Renaud Ripart à l'échauffement, a signé ses débuts en Ligue 1 de belle manière, en ouvrant le score d'une volée du plat du pied droit sur un centre de Xavier Chavalerin.
Cela faisait près de 25 ans qu'un joueur luxembourgeois n'avait plus marqué en Ligue 1. Rodrigues succède à Jeff Strasser, dernier joueur du Duché à avoir fait trembler les filets dans l'élite avec... Metz contre Bastia (2-1), le 16 novembre 1996

equipe a écrit : Laurent Batlles n'est plus l'entraîneur de Troyes
Laurent Batlles n'est plus l'entraîneur de Troyes. Erick Mombaerts, directeur technique de l'ESTAC, est pressenti pour lui succéder.
Laurent Batlles (46 ans) a effectué, ce jeudi matin, une dernière fois le trajet le séparant de Troyes à Saint-Étienne, où sa famille est restée vivre. Le temps de signer les papiers officialisant son divorce à l'amiable avec l'ESTAC, où il lui restait pourtant dix-huit mois de contrat.
Arrivé dans l'Aube le 14 juin 2019, Batlles y a réussi des débuts très remarqués en tant qu'entraîneur numéro 1. Après une quatrième place de Ligue 2 tronquée en raison de l'arrêt prématuré des Championnats en France pour cause de pandémie de coronavirus, il est parvenu à faire remonter l'ESTAC, la saison suivante. Sacré champion de France de Ligue 2 le 8 mai 2021, Batlles avait déjà failli quitter le promu aubois pour Montpellier, l'été dernier. Laurent Nicollin, président du MHSC, lui avait finalement préféré le technicien de Brest, Olivier Dall'Oglio.
Mombaerts en intérim
Batlles était donc resté à Troyes. Mais ses différends avec les dirigeants, notamment en ce qui concerne le recrutement, n'ont pas été aplanis pour autant. Au point de conduire à leur séparation ce jeudi matin. Batlles quitte le promu troyen en le laissant à la 17e place de Ligue 1 à l'issue de la phase aller. Erick Mombaerts, jusque-là directeur technique de l'ESTAC, va assurer l'intérim. La reprise est maintenue au 2 janvier.

Marco 69/73 a écrit:

Lacuesta,le racing a une star Gameiro et Lienard 

Liénard est là pour l'ambiance. Comme remplaçant.
Sinon pour en revenir au sujet, Battles est un bon entraîneur.

Bruno Irles, l'entraîneur de Troyes, mis à pied
Le club de Troyes a annoncé, ce mardi midi, la mise à pied de son entraîneur, Bruno Irles. L'intérim sera assuré par Claude Robin, l'un de ses adjoints.
Le club de l'Estac a communiqué, ce mardi midi, « la mise à pied à titre conservatoire, à compter de ce jour », de son entraîneur, Bruno Irles. L'intérim de l'équipe première, 13e de Ligue 1 après 14 journées mais qui reste sur 6 matches de Ligue 1 sans victoire, sera assuré, « cette semaine et jusqu'à nouvel ordre », par Claude Robin, l'un de ses adjoints.
Bruno Irles avait remplacé Laurent Batlles sur le banc troyen début janvier 2022. Il était parvenu à maintenir l'Estac dans l'élite, avec une quinzième place finale en mai dernier.
equipe

Chez eux ça ne traîne pas au moins.