Et un cinquième en 3 matchs.

Allmen67 MrEnigme a écrit:

Et un cinquième en 3 matchs.

Imagine ce joueur au racing toute une saison ...

... sans blessure.

Allmen67 MrEnigme même avec il serait le meilleur buteur

Allmen67 MrEnigme a écrit:

Et un cinquième en 3 matchs.

Et un sixième en 4 matchs.

Dommage que ce joueur ne soit que prêté.

12 buts en 13 rencontres si j'ai bien compté.
Pas mal comme bilan.

Son absence du à ça blessure, à coutée chère aussi je pense...

Genre de joueur que l'on recrute en début de saison et pas quand le championnat et a mis parcours, mais bon encore une fois du MK tout craché

Il faudra tout mettre en œuvre pour le garder.

Marius ça m'étonnerait qu'Angers va le laissé partir, déjà qu'il monte en L1

Marco 69/73 a écrit:

Marius ça m'étonnerait qu'Angers va le laissé partir, déjà qu'il monte en L1

D'accord avec toi Marco, mais le SCO tout comme le Gaz corse ne fera que figuration la saison prochaine .

Tout dépend de leur recrutement, mais même Blayac ne fera surement pas une saison de plus en National, ou que le racing fasse un très bon recrutement, alors peut-être qu'il y aurait un tout petit espoir

En plus même si Angers ne le garde pas il aura surement d'autres offres intéressantes.

candyraton a écrit:

En plus même si Angers ne le garde pas il aura surement d'autres offres intéressantes.

Effectivement tu a raison candy

Jérémy Blayac pisté par Nîmes
Avec la moitié de saison qu’il a effectué avec le Racing (12 buts en 13 matchs), Jérémy Blayac allait forcément attiser les convoitises. D’après le Midi Libre, l’attaquant angevin est sur une liste d’une dizaine de joueurs qui intéresserait le Nîmes Olympique (L2). Affaire à suivre…
total sport

Celui-là nous filera entre les doigts. Dommage !

Nîmes qui normalement devrait être rélégué suite aux affaires de corruption mais M. Le Graet a sans doute aussi reçu son carton de pinard.

candyraton a écrit:

Nîmes qui normalement devrait être rélégué suite aux affaires de corruption mais M. Le Graet a sans doute aussi reçu son carton de pinard.

..mais non candy pas lui , il est (in)corruptible, voyons voyons !

Marius a écrit:

Celui-là nous filera entre les doigts. Dommage !

C'était quand même prévisible, peut-être en mettant du sien MK aurait peut-être pu le persuader de rester, bien que je ne croie crois pas, car joué en L2 et plus intéressant que de jouer en national

Jérémy Blayac, le meilleur buteur de la saison, rempile Blayac, phare avant
Le Racing continue d’asseoir les solides bases de son effectif. Après Seka, Oukidja ou Salmier, c’est Jérémy Blayac qui devrait s’engager pour la saison prochaine. Au regard de l’efficacité de l’ancien joueur d’Angers pendant cinq mois, voilà une bonne pioche.
Le dossier apparaissait épineux ces derniers jours. Il s’est décanté dans la journée d’hier, en plusieurs temps. Ce matin, le Racing n’est pas loin de pouvoir se réjouir de compter sur une nouvelle pierre angulaire dans son effectif pour la saison 2015-2016.

Depuis le 22 mai – et l’échec pour un point dans sa quête de montée en Ligue2 – les dirigeants strasbourgeois semblent résolus de faire partie des favoris du National qui débute le 7 août prochain. Le président, Marc Keller, a choisi de mener à bien un premier chantier : prolonger les joueurs qui avaient donné satisfaction en une saison au verdict cruel.
Résiliation puis prolongation
Après Ernest Seka, le capitaine, Yoann Salmier, son voisin en défense centrale, et Alexandre Oukidja, le gardien qui a fait du bien, le Racing devrait conserver un autre argument fort pour la saison prochaine, Jérémy Blayac.

Depuis quelques jours, le buteur était en négociation avec le club qui l’avait prêté en janvier dernier, le SCO d’Angers, promu en Ligue 1. L’affaire était loin d’être entendue mais tout le monde avait des raisons de s’entendre.
Signé avec l’un des plus gros contrats dans le club du Maine-et-Loire (à l’été 2013), Jérémy Blayac n’entrait plus dans les plans de Stéphane Moulin, le coach angevin, et les dirigeants espéraient bien économiser de conséquentes charges salariales.

Le Racing, de son côté, entendait accueillir à bras ouverts un joueur qui a marché sur l’eau à chaque sortie en bleu ou presque. L’attaquant, qui fête ses 32 ans… aujourd’hui a en effet enfilé les buts comme des perles avec 12 pions inscrits en 13 matches.

Au passage, le Racing a pu regretter l’absence du serial buteur, touché au poignet au point de faire l’impasse sur trois matches, en février et mars. Car Blayac a été aussi fort avant qu’après son pépin.

Le joueur, dans une impasse sportive à Angers, est donc assuré de trouver un club et une ville où il peut continuer de s’épanouir.
La première étape du processus a pris la forme d’une résiliation de son contrat avec le SCO. Il était question de gros sous et les négociations ont donc pris une bonne partie de la journée d’hier.

Côté strasbourgeois, les dirigeants ont attendu le feu vert de leurs homologues angevins pour pouvoir officialiser l’accord qui existait déjà avec les représentants de Blayac.

Dans la soirée d’hier, Marc Keller attendait un coup de fil d’Olivier Pickeu, le directeur sportif du SCO, lui-même pris sur de nombreux fronts dans le recrutement du promu. Le président du Racing était encore dans l’attente hier, passé 22h. Mais il ne fait guère de doute que le dossier devrait trouver une issue positive. Dans quelques mois, cette attente aura sans doute pris la forme d’une péripétie. Mais aujourd’hui son verdict devrait prendre la forme d’une bénédiction.
Dna

Ce conditionnel m'énerve mais bon on va dire que ça va se faire. Ce qui serait une excellente nouvelle...en espérant qu'il ne se blesse pas.

En lisant l'article il y a de forte ou plutôt de très forte chance qu'il signe au racing .

Je suis du genre à croire que ce qui est définitif. Même si là, c'est presque sûr, en effet.

Allmen67 MrEnigme a écrit:

Je suis du genre à croire que ce qui est définitif. Même si là, c'est presque sûr, en effet.

St Thomas

Allmen67 MrEnigme Tant que son topic est encore là , c'est l'essentiel, j'étais aussi un peu fainéant à chercher le jour ou j'ai posté l'article.

BLAYAC REMPILE AUSSI

A l’approche de la reprise de l’entraînement, lundi prochain, la bonne nouvelle attendue depuis plusieurs jours est désormais officielle : Jérémy Blayac continue l’aventure avec le Racing. L’attaquant, auteur de douze buts en treize rencontres lors des matches retour la saison dernière, s’est engagé pour deux saisons supplémentaires.

Un accord pour la résiliation de son contrat a été trouvé entre le joueur et le SCO Angers, club auquel il appartenait.

Après Jacky Duguépéroux, Ernest Seka, Yoan Salmier et Alexandre Oukidja, une pièce importante sur l’échiquier du Racing a donc a donc choisi de rester fidèle à nos couleurs.

L’effectif alsacien prend forme en attendant la venue de nouveaux joueurs accompagnant notre première recrue, Massiré Kanté, le solide milieu de terrain du Red Star.
SO
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 Blayac, un buteur en orbite
Auteur de trois buts en quatre journées de National, l’avant-centre du Racing Jérémy Blayac a attaqué 2015-2016 sur les mêmes bases élevées que lors de son prêt de janvier à juin. S’il estime qu’il y a urgence pour le RCSA avant le voyage de demain (18 h) à Sedan, il ne doute pas une seconde de son équipe.

Jérémy, quel commentaire l’entame de saison mitigée du Racing vous inspire-t-elle ?
On sait qu’il y a une grosse attente autour de nous. Nous sommes candidats à la montée. Avec le groupe que le club a bâti, nous ne pouvons pas nous en cacher. Malheureusement, nous avons mal démarré à Dunkerque (défaite 4-1) et, depuis, nous n’avons pas su nous rassurer à domicile, du moins en termes de résultats (nuls 0-0 contre Orléans et 2-2 face aux Herbiers), pour revenir très vite dans une zone plus calme. C’est dommage, parce que dans le contenu, nous avons montré de belles choses. Il n’y a pas le feu au lac, mais le manque de victoires à la Meinau nous place clairement dans une situation d’urgence. Contre Orléans, nous nous sommes procuré de grosses occasions, moi le premier, et aurions pu l’emporter. Puis face aux Herbiers, on m’a refusé un but valable qui nous aurait peut-être permis de gagner. Avec quatre points de plus, nous serions leaders.

    Que vous manque-t-il ?

De peaufiner certains réglages dans notre jeu, notre bloc, de gommer les petites erreurs qui nous coûtent cher. Nous avons gaspillé beaucoup d’énergie à courir après le score. Le seul match que nous avons gagné, c’est celui où nous avons mené (2-1 à Béziers, 3e journée). Nous avons besoin d’une série de victoires pour nous rassurer.

    Malgré quelques occasions manquées, vous avez déjà inscrit trois buts. Satisfait ? :

Je suis très content de mon début de saison et de mon rendement. Si le but valable qui m’a été refusé avait été validé, j’en serais à 4 en 4 rencontres. Je suis dans la lignée de mes six premiers mois à Strasbourg. Depuis que j’ai rejoint le Racing, j’ai inscrit 15 buts en 17 matches de National (*). J’aurais tort de me plaindre.

    Frustré quand même de ces deux occases ratées contre Orléans et de la balle de match gâchée devant les Herbiers ?

Oui. Surtout de la dernière qui, pour moi, était la plus facile parce qu’elle correspond à mes qualités. Celles d’Orléans étaient plus compliquées. Mais frustré, oui, car quand on est attaquant, on recherche toujours l’exigence et l’excellence. Si j’avais converti ces occasions, ça aurait peut-être permis à l’équipe de s’imposer deux fois. Je m’en suis voulu, surtout contre les Herbiers. Mais bon, des buts, j’en marquerai d’autres. J’en raterai aussi. C’est le lot d’un attaquant.


« Comme un poisson dans l’eau au Racing »

    On imagine que vous n’avez jamais regretté d’être venu relancer votre carrière à Strasbourg ?

C’était le choix idéal. Je m’y sens comme un poisson dans l’eau. L’entraîneur et les dirigeants m’accordent une grande confiance. J’ai le sentiment d’avoir un rôle important à jouer pour l’avenir de ce club. Ça décuple mon énergie. C’est excitant. L’an dernier, j’avais l’impression d’être venu pour une mission de six mois : permettre au Racing de retrouver la Ligue 2. Nous ne sommes pas passés loin. Cette saison, la mission est la même, simplement étalée sur dix mois. Match après match, nous ne devons nous focaliser que sur un unique objectif : la montée. Dans les bons comme dans les mauvais moments, il nous faudra rester soudés. C’est à ce prix que nous irons au bout.
    Comment abordez-vous le voyage de ce samedi à Sedan et ce 3e duel consécutif avec un promu ?

Très honnêtement, je ne connais pas trop cette équipe sedanaise qui vient de monter deux fois de suite. Mais nous n’avons clairement pas le choix : il faut gagner. Nous devons absolument réussir une série, être plus rigoureux et montrer notre détermination à nous replacer dans le haut du classement. Je n’ai aucune inquiétude sur la qualité du groupe. Le jeu développé lors de nos dernières rencontres est riche de promesses et me rend optimiste. Pour le moment, nous sommes peut-être encore en train de digérer la préparation estivale et un peu encore en quête de confiance. À Béziers, nous avons maîtrisé le match, mais ça ne nous a pas empêchés de nous mettre en danger sur la fin. C’est dans ces instants-là qu’on voit que nous ne sommes pas tout à fait au point. Nous n’avons pas encore retrouvé l’équilibre qui était le nôtre en fin de saison passée. Nous devons maintenant faire pencher la balance du bon côté.

(*) Il en a marqué 12 en 13 rencontres la saison passée de janvier à mai, malgré une fracture du cubitus gauche.
Alsace

Derby : Blayac veut lever le coude
Forfait lors du précédent derby de National à la Meinau à cause d’une fracture du cubitus gauche (3-1 pour le Racing le 13 février), le buteur strasbourgeois Jérémy Blayac espère, demain (20h30) face aux SR Colmar, pouvoir arroser la première victoire à domicile de son club cette saison. Entretien cet après-midi à la sortie de la séance de veille de match.

Blessé lors du dernier derby le 13 février 2015, Jérémy Blayac (à gauche) devrait recevoir demain en pointe le renfort de Dimitri Lienard, de retour de suspension.

Jérémy Blayac, lors du précédent derby à la Meinau, vous étiez en civil avec le cubitus gauche dans le plâtre. On imagine que vous attendez avec impatience celui de ce vendredi, dans un stade plein ?
C’est forcément un match excitant à jouer, un match particulier pour toute l’Alsace. Un derby, ça doit se gagner, surtout à domicile. Nous sommes déterminés à nous imposer pour poursuivre notre belle série (Ndlr : six matches sans défaite). Personnellement, je suis d’autant plus content de le jouer que celui de la saison passée correspond à une mauvaise période pour moi. Mais au-delà du contexte, de cet aspect derby qui compte beaucoup pour les supporters, l’important pour nous, ce sont avant tout les trois points pour, je l’espère, monter sur le podium à la fin de cette 8e journée. Notre objectif est d’être devant. Et pour être devant, il faut gagner.

Les trois nuls et les six points lâchés à domicile depuis le début de saison sont-ils une source de motivation supplémentaire ?

Avec le groupe, nous avons à cœur d’enfin gagner chez nous. Pour l’instant, nous avons fait de très bons matches à la Meinau et n’avons pas été payés sur le résultat. Mais le contenu a été très bon. Après avoir accroché une victoire à l’extérieur (1-0 à Epinal), nous voulons en enchaîner une deuxième, puis faire une série pour nous hisser tout en haut du classement. A nous de mettre tout ce qu’il faut pour remporter ce derby. La ferveur qu’il y a autour doit nous y aider.

Comment voyez-vous ce match ?
Honnêtement, je ne connais pas trop Colmar. Mais vu leurs derniers résultats, les Colmariens ont peut-être besoin de se rassurer. Je ne serais pas surpris qu’ils viennent ici comme toutes les autres équipes, en essayant de défendre bas et de nous contrer. Il faudra mettre beaucoup de pression, de pressing, d’engagement et de rythme. Mettre Colmar sur le reculoir. Et, en même temps, il faudra faire attention aux détails pour ne pas lui offrir d’occasions.

A titre personnel, vous avez vécu pas mal de choses durant votre carrière. Mais attendez-vous ce derby avec une fièvre particulière ?
Le Racing est un club à fort engouement. C’est super intéressant d’y jouer. Pour ce derby du National, il y aura plus de 25.000 personnes. A part Lens, peu de clubs de Ligue 2 peuvent en dire autant. C’est l’une des raisons qui m’ont conduit à rester ici cet été. Ce public peut nous donner beaucoup d’émotions et nous pouvons les lui rendre par nos résultats. Nous sommes focalisés sur la montée en L2. Nous avons démarré timidement cette saison. Mais nous sommes invaincus depuis la 1re journée, depuis l’accident à Dunkerque le 7 août (4-1). Maintenant, l’objectif est d’enchaîner des victoires, a fortiori à domicile et dans ce contexte-là. Un succès dans le derby pourrait donner beaucoup de confiance au groupe. Si nous parvenons à emballer la rencontre, le public sera un énorme plus, comme il l’est à chaque match à domicile, et ça devrait bien se passer.
Alsace

Un Strasbourgeois dans le match :
Jérémy Blayac Une tête bien faite
Jérémy Blayac n’a pas raté son premier derby alsacien. L’attaquant strasbourgeois a délivré les siens dans le dernier quart d’heure, de la tête, au terme d’un match plein.
C’était le grand absent à la Meinau, l’an passé, lors de la victoire strasbourgeoise (3-1). Blessé au poignet quelques semaines avant la rencontre, dans un choc à l’entraînement avec Brian Amofa, Jérémy Blayac avait dû suivre cette rencontre depuis les tribunes.
Mais hier soir, l’attaquant strasbourgeois était là et bien là au rendez-vous. Et il s’est montré décisif, comme souvent.
À l’instar de ses coéquipiers, le natif de Sainte-Affrique – qui a déjà marqué trois buts cette saison – est entré timidement dans la rencontre. À la 3e minute, il touche son premier ballon, au duel avec Jordan Gasser, l’ancien Schilikois.

Traitement de faveur…

Ce sera tout durant les dix premières minutes de ce derby, où le jeu se cantonne au milieu de terrain.
Comme les autres acteurs de cette rencontre alsaco-alsacienne, Jérémy Blayac prend clairement ses marques.
Mais l’expérimenté joueur, passé par Boulogne, Tours ou Angers, se met rapidement dans le sens de la marche.
Dos au but, il se montre précieux (comme toujours) dans un rôle de pivot. Malgré une garde très rapprochée (Sapina, Soubervie ou Jaques), il arrive intelligemment à lancer Douniama côté droit (11e ). Las, cela ne donne rien.
À la 16e , il tente sa chance d’une talonnade à l’entrée de la surface pour se défaire du marquage de Jaques, mais Mensah est attentif et devance l’attaquant, parti au pressing.
Trois minutes plus tard, Blayac est là où on l’attend, à savoir au point de penalty après un contre alsacien. Cette fois l’homme du Sud-Ouest est un poil trop court, de la tête, sur un centre de Ndour.
Quand son équipe en est réduite à défendre, Jérémy Blayac ne laisse pas sa part aux chiens.
Comme à la 24e minute, quand il redescend loin, très loin, dans le couloir droit pour gratter un ballon en mode récupérateur. Idem à la 43e quand il mord dans les chevilles de Gherardi pour lancer Lienard ou quand il dégage de la tête un ballon chaud, dans sa surface, après un coup franc colmarien (37e ).
Dans une fin de première mi-temps tristounette, l’attaquant strasbourgeois s’agace un peu. Le traitement de faveur, offert par Sapina et Soubervie, n’y est certainement pas pour rien.
Mais l’arbitre ne siffle rien à la 26e , quand il s’écroule entre les deux Colmariens. Pas plus qu’il ne sifflera à la 31e , quand Sapina le poussera franchement dans le dos. Blayac a beau lever les bras au ciel, M. Delpech estime que ce rugueux duel se joue à la loyale.
Le début de deuxième mi-temps permet à l’avant-centre de faire étalage de son excellent jeu de tête, encore et toujours.
Il pique bien son ballon à la 53e , sur un corner de Lienard, mais ça file juste à côté des buts de Mensah.

… Et remède de choc

Une minute plus tard, rebelote, cette fois dans son camp, quand il dégage le cuir du haut du crâne sur un corner colmarien.
C’est d’ailleurs de la tête que Blayac va délivrer les siens, au terme d’une action qu’il a lancée lui-même… de la tête justement. Après un relais avec Douniama, il voit Mensah trop avancé et troue les filets d’une tête lobée parfaite.
À bout de forces, l’attaquant finira la rencontre sur les rotules. Mais qu’importe, hier soir, Blayac a une nouvelle fois prouvé qu’il était bien le monsieur plus du Racing.
Dna