candyraton a écrit:

Maintien assuré sans doute.

Oui je pense aussi. Guillaume Gauclin dans les buts c'est quand même rassurant grâce à sa présence et la façon qu'il place et replace toute l'équipe.

Depuis ce match Illzach Modenheim 2 - 3 Schiltigheim le 20/02 , Schillik a redressé la tête, et a gagné tous ces matchs.
.

Et de quatre
Séduisant en première période, un peu moins en seconde, le Sporting s’est adjugé le derby face au Racing II dans une rencontre qui n’aura jamais atteint des sommets.

L’automne et le début de l’hiver avaient fait mal aux Schilikois. Les défaites s’enchaînaient et les cascades de blessures n’en finissaient plus d’appauvrir peu à peu l’effectif. Mais, à force de travail et de persévérance, la roue a fini par tourner et les “Verts” ont retrouvé leurs vertus.

Le doublé de Imbs

Leur succès acquis aux dépens de l’équipe réserve strasbourgeoise, sans être vraiment flamboyant, est encore là pour le prouver. José Guerra avait ainsi le sourire. « Cette quatrième victoire consécutive fait beaucoup de bien. On est allé la chercher avec les tripes et au courage. Mais parfois, il faut apprendre à gagner sans être exceptionnel. »
Une heure et demie plus tôt, ce derby avait démarré sur les chapeaux de roue. La frappe de Madihi est cependant captée par Gauclin (1ere ) et le coup franc de Maisonneuve n’inquiète pas Bina (3e ).
Juste après, la reprise de Carlier, sur ce centre de Imbs, n’est pas assez appuyée (6e ). Toutefois, au fil des minutes, le rythme de la rencontre tend à baisser, rendant les occasions un peu plus rares. Même si Gauclin éprouve des difficultés à repousser la tentative de Tuiloma (23e ). En face, Imbs s’infiltre dans la surface avant d’être repris de justesse par la jeune défense strasbourgeoise (27e ).
Presque dans la foulée, Maisonneuve adresse un bon ballon au même Imbs sur la droite. Lequel grille la politesse à ses vis-à-vis avant de trouver le chemin du but d’une limpide frappe à ras de terre (1-0, 29e ).
À ce moment-là, le match se tend et les cartons jaunes pleuvent. Tellement qu’en l’espace d’à peine trois minutes, Hearvin Djetou en récolte deux, laissant ses copains terminer le match à dix (41e ). Le Sporting n’en demandait pas tant et, sur un contre rondement mené, Imbs résiste au retour de Shiashia, puis trompe Bina de près pour le doublé (2-0, 43e ).
Le second acte verra le Racing rapidement revenir au score grâce à Sabo qui profite d’une erreur de la défense schilikoise pour battre Gauclin (2-1, 52e ).
« Le fait de se retrouver en supériorité numérique ne nous a pas rendu service, concède José Guerra. Ils ont effectué un changement tactique qui nous a posé pas mal de problèmes. »
Devant d’un seul but, les “Verts” jouent à se faire peur, mais tiendront finalement jusqu’au bout. Onwuzurumba ne parvenant pas à reprendre le centre de Shiashia (69e ), puis Tuiloma voyant sa tête être captée par Gauclin (84e ).
« On se rapproche doucement de notre objectif, continue le manager général schilikois. On va essayer de confirmer cette belle série à Pagny puis face à Thaon. »
En face, la défaite, toujours amère dans un derby, n’est en rien alarmante. Les Strasbourgeois possèdent encore un petit matelas d’avance sur la zone rouge et, en étant sérieux et rigoureux, le maintien ne devrait pas leur échapper.
dna

Coupe d’Alsace (16es de finale):
 FC Kronenbourg - SC Schiltigheim (0-3)
Tranquille, le Sporting
Faisant la différence après la pause, le Sporting Schiltigheim s’est qualifié sans trembler pour les 8es de finale de la Coupe d’Alsace.
Une rencontre alléchante se profilait hier soir au stade de Cronenbourg en 16es de finale de la Coupe d’Alsace. En pleine bourre et sur une série de dix succès consécutifs en Excellence (sans compter leur victoire, dimanche dernier, en coupe du Crédit Mutuel), les joueurs du FC Kronenbourg reçoivent des Schilikois en net regain de forme, après un début de saison compliqué en CFA 2.
Le début de match tient ses promesses. Heitz ouvre les hostilités sur coup franc (8e ’) et Paul lui répond dans la foulée d’une frappe de 30 mètres qu’Asan détourne en corner (10e ’).
Le Sporting pousse, mais ni Kerssane (14e ’) ni Ibanez ne parviennent à conclure (21e ’). Dominés, les locaux procèdent en contre sans réellement parvenir à se montrer dangereux. Osei coupe in-extremis un centre d’Ibanez (43e ’) et les deux équipes regagnent les vestiaires sur un score nul et vierge.

Kronenbourg craque

en cinq minutes

Les Schilickois accélèrent en début de deuxième mi-temps. Lancé en profondeur, Huber profite d’une glissade d’Assan pour ouvrir le score d’un tir placé (47e ’). Bien décalé par Maisonneuve, l’attaquant des verts manque de peu le doublé mais ce n’est que parti remise (50e ’). Il permet à son équipe de faire le break, deux minutes plus tard, sur une superbe frappe de l’entrée de la surface (52e ’).
Impitoyables, les verts plient définitivement l’affaire par l’intermédiaire de Paul qui bénéficie d’un nouveau caviar de Maisonneuve, à l’origine des trois buts de son équipe (58e ’).
José Guerra peut apprécier un match «maîtrisé» au cours duquel son équipe est «montée en puissance». Le Sporting poursuit sa route en coupe d’Alsace bien que «l’objectif principal reste le maintien en CFA2»
dna

Pagny sur Moselle

0 - 5

Schiltigheim 18' But 22' But 27' But 61' But 88' But

CLASSEMENT CFA2 GROUPE F

[th]Rgs[/th][th]Equipes[/th][th]Pts[/th][th]Jou[/th]

1	Reims B	58	18
2	Metz B	47	18
3	Raon L Etape	46	17
4	Nancy B	46	18
5	Sarreguemines	46	18
6	Pagny sur Moselle	45	18
7	Schiltigheim	44	18
8	Illzach Modenheim	41	18
9	Strasbourg B	41	17
10	Haguenau	39	17
11	Forbach	36	17
12	Biesheim	34	18
13	Epernay	33	17
14	Thaon	27	17

Marius a écrit:

Pagny sur Moselle

0 - 5

Schiltigheim 18' But 22' But 27' But 61' But 88' But

z'ont bouffé quoi?

Cinquième succès de rang pour le SC Schiltigheim
En démonstration !
Dans ce duel d’équipes en très grande forme, le SC Schiltigheim a déroulé son football.
Schiltigheim et Pagny avaient l’objectif commun de poursuivre sur leur lancée : quatre victoires pour les Bas-Rhinois, cinq pour les Meurthe-et-Mosellans.
Ce sont ces derniers qui commencent la rencontre tambour battant, Gauclin devant s’interposer par deux fois dans les cinq premières minutes.
Il est d’abord présent sur une frappe de Sissokho (3e ), puis il sort aux devants de Segbe, qui se présente face à lui dans la foulée. D’ailleurs, le même Segbe abandonnera ses coéquipiers quelques minutes pour se faire soigner avant de céder sa place.
Les joueurs du capitaine Moog se réveillent vite et inquiètent une première fois Pagny, Cappa captant le cuir sur une tentative de Huber (14e ).
Puis Metzler, sur une belle et longue passe, trouve Chakrouni côté droit. Ce dernier s’infiltre et enchaîne par un tir croisé : le ballon termine sa course dans la cage de Pagny (18e , 0-1).

Les doublés de Chakrouni et de Huber

Les Schilikois doublent immédiatement la mise. Sur une longue ouverture, Carlier file côté gauche et remet en retrait dans la surface. Huber, du plat du pied, ne laisse pas passer sa chance (0-2, 23e ).
Paul aggrave le score quelques minutes plus tard depuis l’entrée de la surface (0-3, 28e ).
La deuxième période repart sur les mêmes bases que la première. Les joueurs de Romuald Giamberini se montrent dangereux, mais n’arrivent pas à tromper la vigilance de Gauclin.
Les joueurs de José Guerra accentuent encore leur domination. Si Carlier voit Cappa sortir la balle sur son tir, Chakrouni, bien placé au deuxième poteau, la pousse dans le but et inscrit un doublé (0-4, 62e ).
Dans les dernières minutes, Schiltigheim corse un peu plus l’addition. Carlier remise sur Huber qui met le ballon dans le soupirail du but lorrain (0-5, 86e ).
dna

Gros plan sur Wissam Chakrouni (SC Schiltigheim) De cœur et d’équerre
Lors de la dernière journée, Wissam Chakrouni a été l’un des artisans du succès du SC Schiltigheim à Pagny-sur-Moselle, inscrivant deux des cinq buts (0-5). Si son club est sur une série de cinq victoires consécutives, son milieu de terrain, autant défensif qu’offensif, se rêve exemplaire.
Longtemps, très longtemps même, on était convaincu que la couleur de son maillot serait unique. D’un jaune qui tend vers l’or, comme lui. Il était parti pour devenir un deuxième Patrice Heiligenstein, « passé du statut de modèle à ami », et faire sa carrière dans un seul club. Et ce serait aussi l’ASP Vauban.

« Finalement, je me devais de jouer pour le Sporting »

« C’était à même pas deux cents mètres de l’appartement familial, raconte Wissam Chakrouni, très vite devenu fou de football. J’ai ça dans le sang. Quand je regarde ma carrière, j’ai parfois le regret de ne pas avoir pu jouer plus haut que le CFA. Mais je garde toujours le même plaisir à pratiquer ce sport. C’est ce qui passe avant tout. »
Alors, de cinq à vingt-neuf ans, il a été Strasbourgeois, un Strasbourgeois du quartier de cette Esplanade façonnée par le grand Monsieur Stahl, également mécène des Pierrots de Vauban.
Et quand le vent avait tourné, Wissam Chakrouni avait simplement rempli sa valise, pour la défaire dans la ville où il est né un jour d’août 1983.
« Finalement, je me devais de jouer pour le Sporting, sourit ce trentenaire aux jambes aussi endurantes que son sourire. Et mon fils va bientôt naître à Schiltigheim, dans la même maternité. »
Il souffle qu’il avait mis un peu de temps à se faire à son nouveau vestiaire. « Même si j’avais été très bien accueilli, j’ai mis trois bons mois. Je changeais de couleur, je changeais de gens, je ne voyais plus presque tous les jours un homme comme Gilbert Arenz. » Sans oublier son père Bouchaib, toujours son premier supporter, mais toujours dirigeant à Vauban.
« Quant à ma maman, Malika, si elle doit choisir entre les deux, elle préfère venir me voir jouer, sourit Wissam Chakrouni. Et puis, comme depuis quinze ans, c’est elle qui me prépare à manger les jours de match : steak, pâtes, purée. Toujours le même plat, cinq heures avant le coup d’envoi. »
Depuis l’été 2012, il a donc changé de pelouse, de copains de jeu et de papier peint.
« J’ai trois maisons désormais, celle que j’occupe avec Sabrina, la maison jaune de Vauban et la verte de Schiltigheim. C’est ma fierté d’avoir pu évoluer dans ces deux très grands clubs alsaciens, les plus grands derrière le Racing. Et puis, j’ai eu trois grands messieurs comme profs de football : Pascal Droenhlé, Laurent Maennel et José Guerra. »
Aujourd’hui, il estime qu’il doit transmettre quelques valeurs à ses jeunes coéquipiers, « être un fil conducteur » pour eux, comme ont pu l’être Patrice Heiligenstein (Monsieur Vauban) ou le Schilikois Cédric Hoffmann pour lui.
« On leur rappelle le respect à avoir, on leur répète aussi que leur réussite tient en trois mots : travail, travail et travail. Et, avant de remettre en cause les choix d’un coach, un joueur doit d’abord savoir continuellement se remettre en question. C’est lui qui rate une passe, qui manque un tir. »
Son âge et son expérience aidant, il a été l’un de ceux qui a sorti de sa torpeur le vestiaire schilikois peut-être « trop tranquille », mais surtout refroidi par une saison noire.
Il y avait d’abord eu un terrible accident de voiture, il y avait ensuite eu ces deux vilaines blessures, deux fractures ouvertes pour deux de ses coéquipiers. « On est comme Romain (Bertoli) et Jimmy (Metz). On se répare, on consolide nos liens », dit avec amusement Wissam Chakrouni.
Lui veut continuer à être footballeur, lui veut encore évoluer dans cette vie qu’il mène avec « la très compréhensive » Sabrina. « Quand on a acheté notre appartement, elle a trouvé étonnant que j’insiste pour avoir un jacuzzi. Mais c’est idéal pour la récupération. »
Il parle aussi de son patron aux transports Jost, « Monsieur Humbert », qui lui abrège ses journées les veilles de matches importants, malgré les responsabilités qu’il a. « On me fait confiance, je gère les clients comme nos chauffeurs. »

Il défend qu’une seule couleur, celle de l’étoffe de son maillot

Après une saison dernière gâchée par une sale blessure, d’abord mal soignée parce que mal diagnostiquée, lors d’une mauvaise rencontre face à Reipertswiller – « là où on m’avait pronostiqué une simple entorse, j’en avais une triple avec une petite fracture du tibia droit » –, Wissam Chakrouni est plus que jamais d’attaque.
Il recherche le seul plaisir, dans un monde souvent triste, jusqu’à en « devoir devenir raciste avec les cons ». Lui ne veut défendre qu’une seule couleur. Celle de l’étoffe de son maillot, puisqu’elle absorbe toutes les couleurs de peau. Il est un mélange de droiture et de générosité, comme les modèles qui l’ont façonné. Fait de cœur et d’équerre…
dna

En panne de sens
Après un match très moyen, le SC Schiltigheim a été accroché par le dernier de la classe, s’en sortant même assez bien.
« On ne méritait pas mieux. Après une première période catastrophique, on était un peu mieux, mais pas assez pour mériter plus. Je suis déçu. » Nicolas Demuth et José Guerra, associés sur le banc de touche, parlaient à l’unisson après la fin de la rencontre.
« Quand on ne peut pas gagner un match, il faut savoir ne pas le perdre. »
Disons-le aussi d’entrée, les occasions de s’enthousiasmer ont été éparses, hier en fin d’après-midi au stade de l’Aar.

Gauclin, passeur et sauveur

Certes, les Schilikois auraient pu empocher la totalité de la mise en deuxième période. Mais Imbs ne cadrera pas (54e ), mais Carlier, pourtant volontaire, verra sa splendide reprise de volée être contrée (59e ). Quant à Huber, il manquera singulièrement de détermination sur ce “caviar” d’Imbs (70e ). Et le coup franc enroulé de Paul s’enroulera au-dessus de la lucarne droite (73e ).
Et, disons-le aussi nettement, un deuxième but schilikois n’aurait pas récompensé les efforts des Vosgiens.
Eux aussi auraient pu faire la différence sur ce penalty obtenu pour une faute (après un choc classique entre gardien et attaquant) de Gauclin sur Aznar d’abord. Mais le gardien schilikois, excellent hier et toujours aussi rassurant, se détendra bien pour stopper la frappe de Fournier (65e ).
Comme il s’était déjà bien couché sur un tir de Comara (53e ) auparavant, comme ses mains seront impeccables sur ces tentatives de Caromel (84e ) et de Fournier (86e ) par après.
Il aura aussi eu un peu de réussite quand, sur ce centre du même Fournier, Aznar ratera ce qu’il est de coutume de baptiser immanquable (79e ). Et tout le monde en restera là, sur un match nul frustrant pour tous…
Bon, on va quand même parler de cette première période, où on n’avait pas vu grand-chose, sauf les deux buts.
Donc, on avait juste aperçu Comara pivoter et frapper au but pour l’ouverture du score après ce centre de Fousse (0-1, 2e ).
On avait vu ce dernier, décidément insaisissable jusqu’à sa sortie sur blessure (choc au visage à la 33e ), affoler les défenseurs adverses, Metzler sauvant le coup sur un autre de ses centres (14e ).
Et puis, face à des Vosgiens très bien disposés et habiles en contre, on avait vu des Schilikois plutôt empruntés, hésitants dans leurs choix. Manquant singulièrement de liant.
Le ballon était même devenu très voyageur, s’éloignant de la cage ou s’envolant sans trop de grâce, sur trois tirs d’Imbs (35e ), Huber (36e ) et Paul (37e ).
Heureusement, ce long dégagement de Gauclin avait rimé avec soulagement. À sa réception, si le tir d’Huber échoue sur Rodriguez, Imbs récupère la balle pour l’envoyer au fond des filets (45e +4).
La deuxième place s’est définitivement éloignée pour les Schilikois. Il ne leur reste plus que la Coupe d’Alsace pour étancher leur soif d’aventure.
dna

Marco 69/73 a écrit:

20eme journée
Samedi le 9/04/2016

Sarreguemines

2 - 0

Schiltigheim

Aïe !!

20eme journée
 

1		Reims B	66	20	14	4	2	52	20	32
2		Raon L Etape	56	20	11	3	6	49	31	18
3		Nancy B	54	20	10	4	6	35	27	8
4		Metz B	52	20	9	5	6	45	41	4
5		Sarreguemines	51	20	9	4	7	30	28	2
6		Schiltigheim	47	20	7	6	7	27	26	1
7		Illzach Modenheim	47	20	8	3	9	30	36	-6
8		Haguenau	47	20	6	9	5	27	25	2
9		Pagny sur Moselle	47	20	7	6	7	23	30	-7
10		Strasbourg B	44	20	7	3	10	35	38	-3
11		Forbach	40	20	4	8	8	27	40	-13
12		Epernay	40	20	5	5	10	22	30	-8
13		Biesheim	38	20	3	9	8	29	40	-11
14		Thaon	34	20	3	5	12	17	36	-19

Encore quelques points et le Sporting sera sauvé.

Franchement je n'ai plus peur pour Schillk.

Moi non plus, mais il vaut mieux prévenir que guérir .

Le Sporting reçoit encore :

16/04  Reims
30/04  Forbach
14/05  Raon l'Etape
04/06  Metz

Va à Nancy et Haguenau



Pas si simple que çà !!

En regardant le tableau de leur rencontre c'est vrai qu'il y aura encore des matchs sérieux, mais même je leur fais confiance.

Schiltigheim  -  Reims 2   1-1

CLASSEMENT CFA2 GROUPE F

[th]Rgs[/th][th]Equipes[/th][th]Pts[/th][th]Jou[/th]

1	Reims B	68	21
2	Raon L Etape	60	21
3	Metz B	56	21
4	Nancy B	54	20
5	Sarreguemines	51	20
6	Schiltigheim	49	21
7	Illzach Modenheim	49	21
8	Haguenau	49	21
9	Pagny sur Moselle	49	21
10	Strasbourg B	44	20
11	Epernay	42	21
12	Forbach	40	20
13	Biesheim	39	21
14	Thaon	35	21

Bon match des schillikois qui auraient même pu l'emporter sur la fin.

Pour eux c'est bon ,le maintien et assuré .

22eme journee

Schiltigheim

0 - 0

Forbach

.

Marco 69/73 a écrit:

22eme journee

Schiltigheim

0 - 0

Forbach

.

J'aurai préféré une victoire, mais le maintien se précise.

Coup d’arrêt pour Schiltigheim
Alors que la fin de la saison approche à grands pas, le SC Schiltigheim (8e ) recevait, samedi, l’équipe de Forbach (11e ), afin de conforter sa position dans le classement, voire de chiper la 7e place à Illzach Modenheim. Après trois matches sans victoire, les Schilikois espéraient donc relancer leur bonne dynamique sur cette phase retour.
Le match débute doucement pour les locaux, qui se retrouvent vite acculés dans leur camp par une pression haute exercée par Forbach. Cela ne les empêche pourtant pas, dix minutes plus loin, de se procurer les premières grosses occasions. D’abord par l’intermédiaire de Carlier, sur un centre millimétré de Imbs (11e ). Celui-ci s’illustre à nouveau, une minute plus tard, sur un tir du gauche, qui frôle le poteau droit de Monthe. Puis, à la fin de la première mi-temps (40e ) avec une belle frappe lointaine, qui a contraint le gardien à sortir une magnifique parade.

Schiltigheim rate de nombreuses occasions

C’est à une équipe schilikoise empruntée et fébrile qu’on a eu droit dans cette première période. Il faut dire que la pluie torrentielle qui s’abat sur la pelouse du stade de l’Aar est loin d’être propice au jeu propre.

Si la deuxième période part sur de meilleures bases, elle n’est pas pour autant trépidante. Joseph Di Maria manque de donner l’avantage à son équipe sur une énorme occasion, en reprenant un centre seul devant la cage adverse (48e ). Les espaces semblent s’être libérés entre les lignes et les actions sont plus fluides de part et d’autre : Imbs tente - et rate - encore de loin (59e ), Chakroumi se retrouve seul devant Monthe après avoir dribblé deux joueurs mais manque son tir (64e ), et Gauclin sauve son équipe en effectuant une sortie brillante devant Osmani, à la limite du hors-jeu (68e ).

Forbach défend bien

Le dernier quart d’heure est émaillé d’approximations, notamment dans les transmissions des Schilikois qui ne parviennent pas à faire fructifier leur domination dans la possession.
Tenus en échec par une vaillante équipe de Forbach, le SC Schiltigheim peut nourrir quelques regrets tant les occasions n’ont pas manqué. Même s’ils n’ont plus réellement d’objectifs en cette fin de saison, alors qu’ils ont assuré le maintien et qu’ils ne peuvent plus prétendre au podium, les Alsaciens souhaitent « bien finir », selon l’entraîneur Nicolas Demuth. Déçu, il salue quand même la prestation de Forbach « qui a formidablement bien défendu » avant de reconnaître que « le résultat est logique est mérité ».
dna
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Dommage que la victoire nous file entre les doigts, le maintien est assuré, là est bien l'essentiel !

Un moment donner ils ont eu quand même chaud aux fesses.

Marco 69/73 a écrit:

Un moment donner ils ont eu quand même chaud aux fesses.

Ils ont fait une cure de et c'était reparti .

Quand je vois tes deux smileys je pense à Jean-Marie , je ne me demande ce qu'il est devenu.