Real-Benzema: "Je demande pardon à nos supporters"


4-0, ça fait mal, surtout quand vous jouez au Real Madrid. Le champion d'Europe en titre a été balayé samedi soir par l'Atletico à Vicente-Calderon, à l'occasion de la 22e journée du championnat d'Espagne. "L'Atletico a fait un grand match et nous sommes tristes, a réagi le Français Karim Benzema, interrogé en zone mixte, dans des propos rapportés par Marca. Je demande pardon à nos supporters." La formation de Carlo Ancelotti est toutefois assurée de conserver la tête du classement.
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Cristiano Ronaldo: Les dessous de sa soirée à 400.000€ !
Depuis que le chanteur colombien Kevin Roldán a posté les photos de la soirée, les langues se délient à Madrid. Et la presse espagnole s’en délecte. Samedi en effet, Cristiano Ronaldo a fêté ses 30 ans, le temps d’une soirée à grands frais, prévue de longue date. Seulement peu avant que CR7 et ses partenaires ne festoient, les Merengue ont essuyé une énorme correction (4-0) administrée par le voisin et ennemi, l’Atlético Madrid.
La soirée, du coup, a fait hurler les fans du Real mais pas qu’eux car le gardien Iker Casillas et le défenseur Sergio Ramos n’auraient pas apprécié selon Marca, que Ronaldo maintienne sa fête dans ces conditions. Aucun joueur espagnol n’était d’ailleurs présent. Mais comment annuler sur le tard, un événement de cette envergure. Car c’est bien de gigantisme dont on parle, pour un coût final de 400.000 euros selon le Mundo Deportivo.
Malgré les critiques, Cristiano Ronaldo a fait la fête

Cristiano Ronaldo avait en effet privatisé un restaurant du quartier très huppé la Finca, à Madrid. Pour animer la soirée, il a fait venir le chanteur colombien Kevin Roldán et prévu un feu d’artifice. Au diner, le Portugais a offert à ses 160 convives du caviar Beluga, de la charcuterie fine, du foie-gras, du homard, des crevettes, du merlu… Le tout arrosé de champagne « Cristal » de Louis Roederer (160€ la bouteille), d’un vin blanc « Sanamaro 2012? de Rias Baixas et d’un rouge « Vega Sicilia Único » de Ribera del Duero à 235 euros la bouteille.
Chaque invité à en outre reçu une somme identique d’argent fictif qu’il pouvait utiliser pour se divertir, notamment sur des tables de jeu, poker ou blackjack. De faux billets de cinq dollars ont été distribués au centre desquels, un 30 inscrit en gros chiffres pour rappeler en même temps l’âge du joueur et ses trois trophées du Ballon d’Or, le zéro ayant la forme d’un ballon.
Sinon pour ses trente ans, Cristiano Ronaldo s’est aussi offert l’appartement, à découvrir en images ci-dessous.

Bienvenue dans l'appartement à 2M€ de Cristiano Ronaldo


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Il ose la folie des grandeurs après une telle défaite. Franchement pas conscient le gars par rapport à ses bienfaiteurs...

Real Madrid : le vrai prix de CR7 enfin connu ?
Malgré des performances qui font débat actuellement, Cristiano Ronado demeure l’un des meilleurs joueurs de la planète. Un vrai talent pour lequel le Real Madrid n’a pas hésité à débourser 94 millions d’euros en 2009. C’est l’un des plus gros transferts de l’histoire du football.
Mais combien vaut aujourd’hui le Ballon d’Or 2014 ? L’Université Polytechnique de Valence a la réponse à cette question. Le prix de CR7 est ainsi estimé à 149 millions d’euros. Pour arriver à une telle somme, la faculté ibérique a utilisé la méthode AHP (Analytic Hierarchy Process). Ainsi, l’étude a tenu compte des objectifs sportifs, cartons jaunes et rouges ou du nombre de passes réalisées. Des critères qualitatifs comme la capacité de leadership, l’âge ou la contribution au chiffre d’affaires du club ont été pris en compte. Avec un tel prix, les courtisans devront frapper fort pour le déloger du Real Madrid.
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Real Madrid : une autre blessure mine Cristiano Ronaldo
Derrière ce visage impassible et ces muscles huilés se cache un cœur qui ne demande qu’à être aimé. C’est un peu neuneu présenté ainsi, mais telle est l’analyse que le quotidien espagnol Marca fait des récentes contre-performances de Cristiano Ronaldo. Muet depuis trois rencontres de championnat, l’ailier du Real Madrid serait non seulement victime de douleurs au genou, mais également d’un accès de mélancolie, « ce qui est sans doute pire » .
Cristiano Ronaldo traîne son spleen à l’entraînement
En cause, on le sait, la rupture de l’international portugais avec sa compagne, le mannequin russe Irina Shayk, ainsi que les critiques ayant mis en cause son professionnalisme après la diffusion de clichés le montrant en train de célébrer son trentième anniversaire un verre d’alcool à la main, quelques heures après une cuisante défaite de la formation merengue sur la pelouse de l’Atlético Madrid (4-0). Depuis, CR7 traînerait son spleen : « Son visage lors de l’entraînement hier ne reflétait pas son enthousiasme habituel avant la C1. Il a l’air inquiet » , relève encore Marca.
Rien de tel qu’un petit but (au moins) pour remonter le moral de Cristiano Ronaldo, qui aura l’occasion ce soir, face à Schalke 04 en huitième de finale aller de la Ligue des Champions, d’améliorer des statistiques déjà extraordinaires dans la plus prestigieuse des compétitions européennes (57 buts en autant de rencontres).
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Real : la malédiction du maillot rose...
Pour son huitième de finale aller de Ligue des Champions ce mercredi (20h45), le Real Madrid affrontera Schalke 04 avec son maillot rose, nous indique El Mundo Deportivo, qui souligne une petite anecdote à suivre.

Car le Real a déjà porté ce maillot à deux reprises cette saison, c'était lors d'un match amical l'été dernier face à la Roma (0-1, le 30 juillet) et en championnat contre la Real Sociedad (2-4, le 31 août). Résultat : deux défaites ! Alors forcément, les Merengue n'ont plus utilisé cette tunique rose depuis ces revers, jusqu'à ce soir puisque l'UEFA aurait empêché les Madrilènes d'utiliser leur maillot noir jugé trop proche du bleu de Schalke 04.

Reste à savoir si la malédiction va se confirmer…
Maxifoot

Oui mais il y a une malédiction plus forte depuis la saison dernière, celle qui veut que le Real remporte tous ses matchs contre des clubs allemands désormais. Il faut dire que leur élimination face au Borussia en 2013 leur a fait mal.

Pas d’appel contre la décision de stopper les travaux du nouveau Bernabeu

Le Conseil de Madrid a indiqué aujourd’hui qu’il ne compte pas faire appel contre la décision de la justice de stopper les travaux de la nouvelle enceinte de Bernabeu.

Real Madrid : Platini démonte une idée reçue sur Cristiano Ronaldo et lui !


Invité dans l’émission Luis Attaque sur RMC, Michel Platini a clarifié sa relation avec Cristiano Ronaldo.  
Alors que l’on disait le climat tendu entre le Ballon d’Or 2014 et le président de l’UEFA qui avait pris fait et cause pour le champion du Monde Manuel Neuer dans la course au trophée, l’ancien milieu de terrain des Verts a assuré du contraire : « N’écoutez pas ce que dit la presse », a commenté laconiquement l’intéressé, faisant allusion à la fausse polémique née au Mondial des clubs.
Par ailleurs, « Platoche » s’est habillement esquivé du débat Cristiano Ronaldo – Lionel Messi, qui est le plus fort : « On aime le jeu et quand on a la possibilité d’avoir deux talents comme eux, complétement différents… On a un petit, vif, agile et technique. Et on a un grand, rapide et très bon de la tête. Ce sont deux grandes stars et deux très bons joueurs. C’est difficile d’avoir une préférence. Je les trouve bons tous les deux.»
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Le Real Madrid prié de vendre Cristiano Ronaldo au plus vite !
Le transfert de Cristiano Ronaldo fait énormément parler en ce moment. Notamment courtisée par le PSG, la star portugaise pourrait être lâchée par son club, le Real Madrid dans un futur proche. Certains invitent même le club de Florentino Pérez à ne pas hésiter ! Comme le consultant Terry Gibson sur Sky Sport : « Le Real ferait mieux de prendre l’énorme somme d’argent qu’il pourrait récolter en vendant Ronaldo et de les réinvestir dans d’autres joueurs de classe mondiale. Je pense qu’ils pourraient être une meilleure équipe en faisant cela », a expliqué Gibson.
« Ils dépendent de la forme de Cristiano Ronaldo à chaque match. Et quand il n’est pas là, il est difficile pour Madrid d’avoir un plan de match. C’était mon opinion et je le maintiens, alors vous devez garder à l’esprit que je le vois comme un atout précieux pour le Real en termes de quantité d’argent que le club pourrait recevoir pour lui. Il y a beaucoup d’argent dans un transfert comme celui-ci, et cet argent pourrait être réinvesti dans de nouveaux joueurs. Ce n’était donc pas seulement une question de se débarrasser de Cristiano Ronaldo », a ajouté le consultant.
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Kroos est venu au Real pour Ancelotti
Dans un entretien accordé au site de l'UEFA, Toni Kross est revenu sur ses relations avec son entraineur, et ses ambitions avec le Real Madrid.
Arrivé avec la casquette de vainqueur de la Coupe du monde au Real Madrid, le club champion d'Europe en titre, Toni Kroos s'est très vite adapté. A 25 ans, cela ne l’a en effet pas perturbé puisqu’il a multiplié les prestations de haut vol avec l’écurie madrilène.
 “Je suis ici depuis un certain temps maintenant et mon départ est déjà du passé (…) Carlo m'a fait confiance dès le début dans une position où je n’avais pas joué tant que ça, dans l'entrejeu. J’aime jouer dans cette position. Notre relation est bonne. Nous communiquons beaucoup avant chaque match. Nous discutons de comment je dois aborder chaque match en fonction de l'adversaire auquel nous faisons face”, a confié le joueur au sujet coach italien, qui l'a très vite déplacé dans un rôle de milieu défensif.
 
“Il est l'une des raisons pour lesquelles je suis venu ici. Je pense que c’est normal de parler avec l'entraîneur avant de franchir cette étape. Il m'a donné une impression positive et m'a dit du Real Madrid qu’il serait encore plus fort avec moi dans leurs rangs. C’était évidemment une bonne conversation”, a-t-il ajouté.
Un des autres arguments qui a pu convaincre l’international Allemand tient aussi dans le fait que les Merengue aient remporté la Ligue des Champions, la compétition la plus prestigieuse d’Europe. A ce sujet, il a d’ailleurs déclaré : "Le point culminant de ma carrière à ce niveau a été de remporter cette compétition avec le Bayern, et je vais essayer de répéter ce succès avec Madrid”.
Goal

Le Real Madrid fête ses 113 ans
Le 6 mars 1902, il y a donc 113 ans jour pour jour, était fondé le Real Madrid. Un anniversaire que le club espagnol célèbre comme il se doit, surtout après une cuvée 2014 exceptionnelle qui l'a vu réussir un quadruplé avec la Coupe du Roi, le Mondial des clubs, la Supercoupe d'Europe et, bien sûr, la Ligue des champions. La dixième de son histoire - un record. Une année qui aura également vu disparaître Alfredo Di Stefano, "le meilleur joueur de tous les temps", selon l'institution merengue.
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Real Madrid : Pourquoi Ancelotti est sur la sellette…
Carlo Ancelotti a remporté la Ligue des Champions dès sa première saison au Real en 2013-2014. Mais le technicien apparaît de plus en plus fragilisé cette saison…
Le Real Madrid a perdu sa place de leader de la Liga ce week-end. Les Merengue se sont inclinés à Bilbao samedi (1-0), une semaine après avoir été accrochés à domicile par Villarreal (1-1). Le Barça n’a pas laissé passer l’occasion et les Catalans ont pris la tête du championnat. La dynamique est clairement barcelonaise à quelques jours du Clasico au Camp Nou
ANCELOTTI CRITIQUÉ EN INTERNE

Carlo Ancelotti, lui, est fragilisé. Le technicien italien a remporté la Ligue des Champions dès sa première saison au Real, en 2013-2014. Mais à Madrid, aucun écart n’est toléré. Et Ancelotti a tout intérêt à remporter un titre cette saison. D’après El Confidencial, en interne, l’ancien entraîneur du PSG serait critiqué. L’Italien serait notamment pointé du doigt pour son manque de caractère pour gérer l’effectif de stars…
PAS DE RÉPIT POUR « CARLO »

Ancelotti est attendu au tournant en cette fin de saison. Le Real et son entraîneur vont devoir réagir. Le choc au Camp Nou le 22 mars est très attendu. Surtout que le Real a déjà été laminé chez son voisin, l’Atlético (4-0), il y a quelques semaines. Ancelotti n’a plus vraiment le droit à l’erreur. D’après le média espagnol, Florentino Pérez réfléchirait déjà à installer Zidane sur le banc du Real Madrid la saison prochaine… Ancelotti est prévenu.
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Real Madrid : une bataille Nike-Adidas pour Odegaard

Après avoir rejoint le Real Madrid cet hiver, Martin Odegaard (16 ans) fait aujourd'hui le bonheur de Zinedine Zidane, l'entraîneur de la Castilla. Le jeune prodige norvégien devrait désormais faire l'objet d'une énorme bataille financière.
Le milieu de terrain madrilène attire déjà les plus gros sponsors. Selon Marca, Nike et Adidas aimeraient lui faire signer rapidement un contrat d'exclusivité. Le quotidien espagnol affirme ce mercredi que le Norvégien pourrait ainsi toucher plus d'un million d'euro par an très prochainement. Affaire à suivre...
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Les rumeurs d’un transfert de Gareth Bale paraissaient il y a quelques semaines encore assez fantaisistes. Le président du Real Madrid Florentino Perez voit en effet en l’international gallois le futur « franchise player » de l’équipe au cas où Cristiano Ronaldo, 30 ans, venait à montrer quelques signes de déclin. Les prestations médiocres de Bale, qui reste sur neuf matches sans marquer, pourraient toutefois accélérer son départ.
Une autre raison pourrait conduire l’ancien joueur de Tottenham à regagner la Premier League. D’après le Daily Mirror, Bale souhaiterait en effet que sa fille de deux ans grandisse et suive son éducation en Angleterre. Et se donnerait dans cette optique 18 mois pour retrouver un club de l’autre côté de la Manche. Une information qui demande évidemment confirmation mais qui devrait faire saliver les fans de Manchester United.
Les Red Devils rêveraient en effet de s’attacher les services du joueur de 25 ans et pourrait lâcher plus de 80 millions d’euros dans l’affaire.

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Cristiano Ronaldo insulte le public de Bernabeu
Cristiano Ronaldo évolue dans une ambiance plutôt hostile au Real Madrid. Preuve avec une injure lâchée qui fait déjà polémique.
Evidemment, ce sont d’abord les quotidiens catalans, toujours à l’affût d’une anecdote croustillante, qui se sont jetés sur l’affaire. La chaîne Cuatro révèle que Cristiano Ronaldo, au terme d’une action ratée par le Real qui a provoqué les sifflets de Bernabeu, aurait défié le public en lâchant « Fodase ! » qui signifie « Allez vous faire f… ! »

Le genre d’épisode qui montre à quel point Cristiano Ronaldo est tendu actuellement, comme on a pu le constater au terme de la rencontre de Ligue des champions contre Schalke. La pression sera donc à son maximum pour le Clasico contre le Barça, dimanche prochain.

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Par contre je viens de lire par ailleurs que Klopp est physiquement au bout du rouleau et qu'il désire prendre au moins une année sabatique.

candyraton a écrit:

Par contre je viens de lire par ailleurs que Klopp est physiquement au bout du rouleau et qu'il désire prendre au moins une année sabatique.

J'ai lu la même chose moi aussi, par contre hier Klopp lui même a assuré l'inverse. Va savoir!

Real Madrid : Carlo Ancelotti sacrifié pour laisser le champ libre à Zinédine Zidane ?
Le départ de Carlo Ancelotti n’a jamais semblé aussi proche et au Real Madrid, l’idée serait loin de déplaire. Au contraire, cela faciliterait l’intégration de Zinédine Zidane.
Alors qu’il ne lui reste qu’une année de contrat, Carlo Ancelotti pourrait très bien ne pas l’honorer. Si sa première saison à la tête des Merengue a été particulièrement appréciée grâce à la Decima remportée, cette année semble beaucoup plus compliquée et l’entraîneur italien jouerait sa tête dès mercredi prochain face à l’Atlético Madrid.
PÉREZ VEUT ABSOLUMENT ZIDANE

Une élimination en quart de finale face au grand rival de l’Atlético et l’avenir de Carlo Ancelotti serait scellé comme le révèle RMC. Un licenciement était même évoqué pour mercredi prochain, mais Zinédine Zidane veut quoiqu’il arrive terminer sa saison avec la Castilla. Et si l’arrivée de l’ancien numéro 10 des Bleus ne fait pas l’unanimité, Florentino Pérez ne jure que par lui et fera tout pour le mettre dans les meilleures conditions.
ZIDANE, LE SUCCESSEUR DÉSIGNÉ
En effet, Zinédine Zidane ne souhaite pas prendre le poste de Carlo Ancelotti et ne veut en aucun cas briguer le siège de l’entraineur italien avec lequel il entretient d’excellentes relations. Et Florentino Pérez en a conscience. C’est pour cela qu’il souhaiterait terminer la saison avec Carlo Ancelotti avant de placer Zinédine Zidane dans des conditions optimales pour prendre sa succession.
live foot

Zidane n'a pas encore l'expérience qu'il faudrait, voyons.
Enfin, qu'ils fassent ce qu'ils veulent.

Le Real Madrid vaut 2,8 milliards d'euros selon Forbes, le PSG 558 millions
Le magazine économique américain Forbes a publié ce mercredi le classement des vingt clubs de football les plus chers du monde. Estimé à 2,873 milliards d'euros, le Real Madrid arrive en première position. Le club madrilène devance le FC Barcelone (2,782 milliards), Manchester United (2,729 milliards), le Bayern Munich (2,069 milliards) et Manchester City (1,215 milliards).

Il n'y a qu'un seul club français dans ce classement, dominé par les Anglais (8/20): le PSG. Il est douzième avec une valeur estimée à 558 millions d'euros. Le club parisien est entouré par le Borussia Dortmund (616 millions) et Tottenham (528 millions).
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Real Madrid: Jesé en échange de Reus ?
En janvier dernier, El Confidencial avançait que le transfert de Marco Reus vers le Real Madrid était déjà acté pour l'été à venir. Mais selon Bild, les négociations sont encore en cours entre les parties concernées. En effet, si l'attaquant international allemand doit bien débarquer chez les Merengues durant l'intersaison, la Maison Blanche aurait dans l'idée de proposer aux Borussen les services de Jesé en échange, afin de faire baisser le prix de l'indemnité de transfert du chouchou du Signal Iduna Park.
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Real Madrid, Ancelotti élu entraineur du mois
La Ligue Espagnole a désigné le madrilène Carlo Ancelotti comme l’entraineur du mois d’avril.

Un peu comme c’est le cas en Angleterre, la Ligue Espangole procède désormais chaque mois à l’élection du meilleur entraineur. Pour celui d’avril, c’est Carlo Ancelotti qui a été choisi. Le Real a réalisé un sans-faute durant cette période avec six succès en autant de matches et c’est donc en toute logique qu’il a été choisi. A noter que malgré cette belle série, les Merengue accusent toujours deux points de retard sur le Barça au classement alors qu’il reste trois journées à disputer.
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Transferts
«Bale ne partira pas cet été» selon son agent

L'agent de Gareth Bale, Jonathan Barnett, a confirmé ce vendredi que son joueur ne quitterait pas la Maison Blanche cet été. «Le Real Madrid est la meilleure équipe du monde. Pourquoi partirait-il ? Il y aura toujours un intérêt pour lui, mais cet été, il ne partira pas» a-t-il déclaré à la chaîne Britannique Sky Sports.

Le joueur Gallois a été très critiqué après sa prestation à Turin (défaite 2-1), notamment par Roy Keane. Son agent avait alors pris sa défense.

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Ces entraîneurs broyés par le Real Madrid
Le prochain entraîneur du Real Madrid, qui devrait être Rafael Benitez, doit savoir qu'il s'aventure en territoire hostile. Pour y durer, il faut en permanence gagner des titres et produire du beau jeu. De Hiddink à Pellegrini, en passant par Capello, de nombreux coaches y ont connu des passages compliqués.

Fabio Capello lors de son second passage au Real Madrid en 2007
1. Guus Hiddink (1998-1999) : dévoré par son vestiaire
Il voulait «plus de cojones et moins de Ferrari». Finalement, tout ce qu’il aura obtenu, c’est son licenciement. Nommé à l'été 1998 à la place de Camacho parti précipitamment entraîner la Roja, Guus Hiddink, qui vient alors d’atteindre les demi-finales de Coupe du monde avec les Pays-Bas, découvre un vestiaire désagrégé, peuplé de clans et de vedettes qui n’en font qu’à leur tête. Les Panucci, Seedorf, Mijatovic and co se battent à l’entraînement, refusent de parler à la presse et la jouent perso sur le terrain. Et les cadres (Hierro, Sanchis, Redondo) passent une bonne partie de la saison à l’infirmerie.

En décembre 1998, Guus Hiddink parvenait toutefois à remporter la Coupe Intercontinentale avec le Real
En février, après la huitième défaite en Liga, le président Lorenzo Sanz décide de licencier Hiddink. «Il est plus économique de destituer un entraîneur que la moitié d'une équipe, explique-t-il. Il nous faut un entraîneur qui sache diriger un vestiaire difficile.» C’est «le Gallois de fer» John Toshack qui est choisi pour remplacer le Hollandais à l’époque moustachu, déçu de ne pas avoir su maîtriser «un vestiaire de divas occupées à se battre pour imposer leur influence». Hiddink partira, dans la foulée, essuyer un autre échec avec le Bétis Séville.
2. Carlos Queiroz (2003-2004): l'échec des Galactiques
Zidane, Figo, Raul, Ronaldo, Beckham…  En 2003-2004, l’effectif le plus prestigieux de l’histoire du Real Madrid ne remporte aucun titre majeur. Nommé en début de saison en remplacement d’un Vicente del Bosque jugé pas assez glamour, le Portugais Carlos Queiroz est le premier échec de l’ère Florentino Pérez. La nomination de l’ancien adjoint de Ferguson à United, au parcours jusque-là confidentiel, avait surpris le monde du foot. Un an plus tard, il s’interrogeait encore sur la pertinence de ce choix.

Carlos Queiroz n'est resté qu'une saison sur le banc du Real Madrid
Si les résultats ont été bons pendant les deux tiers de la saison, la fin a été catastrophique. Elimination (contre Monaco) en quarts de la Ligue des champions, finale de Coupe du Roi perdue contre Saragosse et cinq défaites consécutives en Liga pour ne terminer qu’à la quatrième place.

Cette année-là, le Real avait choisi d’empiler des stars devant, d’aligner des Pavon et Mejia derrière et de mettre des jeunes sans expérience sur le banc. Ce fut un fiasco: le départ non remplacé de Makelele à Chelsea dans les derniers jours du mercato a coûté très cher. Et Queiroz, viré à l’issue de la saison, n’est jamais parvenu à construire un collectif. «C’est quand même l’un des rares clubs au monde où l’entraîneur ne choisit pas les joueurs qu’il désire», déclara-t-il. A l’été 2004, Queiroz retourne assister Ferguson à United tandis que le Real recrute le défenseur Walter Samuel pour 27 millions d’euros.
3. Vanderlei Luxemburgo (2005): les espoirs déçus
«Cette saison, vous verrez du beau football.» Si Vanderlei Luxemburgo avait tenu sa promesse, son passage au Real Madrid aurait été plus long. En janvier 2005, le club, englué depuis longtemps dans la crise, tente un coup de poker: il nomme un entraîneur brésilien qui n’a jamais travaillé en Europe mais vient de réaliser un miracle avec Santos, passé en quelques mois de 17e au classement à champion le plus prolifique de l’histoire du pays.

Vanderlei Luxemburgo était peu connu en Europe lorsqu'il a signé au Rea
Les premiers mois se déroulent merveilleusement bien: sept victoires consécutives, le retour de la discipline, un Zidane qui déclare «n’avoir jamais aussi bien travaillé»… Ferme et sûr de lui, Luxemburgo convainc. Quand la saison suivante démarre, les espoirs sont immenses. Mais rapidement déçus: construit autour de Galactiques vieillissants et de recrues qui peinent à s’intégrer (Gravesen, Robinho, Julio Baptista), le Real joue mal et souffre de la concurrence avec le Barça de Ronaldinho qui l’écrase 3-0 en octobre. En décembre, Luxemburgo, persuadé que le meilleur restait à venir, est viré.
4. Manuel Pellegrini (2009-2010): le mariage qui n'a jamais pris
A l’été 2009, face aux refus de ses priorités Wenger et Ancelotti, Florentino Perez se rabat sur le Chilien Mauricio Pellegrini qui vient de réussir une saison exceptionnelle avec Villarreal (2e de Liga, demi-finaliste de Ligue des champions). L’entraîneur prévoit de bâtir son Real autour de Robben et Sneijder. Ils seront, contre son avis, vendus par son président qui lui offre, en échange, une pléiade de recrues, pour 250 millions d’euros au total: Cristiano Ronaldo, Kaka, Karim Benzema, Xabi Alonso…

Lyon élimina le Real de Pellegrini en huitièmes de finale de C1 en 2010
Pellegrini et le Real, c’est l’histoire d’un mariage qui ne prendra jamais. Malgré un excellent Championnat (96 points et 102 buts marqués) terminé à la deuxième place derrière l’extraordinaire Barça de Guardiola, le Chilien est licencié au début de l’été. Il paie sa saison sans titre et deux éliminations brutales: face aux amateurs d’Alcorcon en Coupe du Roi et contre Lyon en huitièmes de C1. «Un mois après mon arrivée, vu mes différends avec le président, je savais qu’on allait me virer du Real», déclara le futur champion d’Angleterre avec City.
5. Schuster, Capello, Ancelotti et les vainqueurs virés
l y a ces quatre entraîneurs, coupables de n’avoir rien gagné, et ceux qui ont perdu leur place malgré les titres conquis. Avant Carlo Ancelotti, vainqueur de la « Decima » puis viré un an plus tard, d’autres ont connu le même destin. Champion à l’issue de sa première saison avec les Merengue (2007-2008), Bernd Schuster sera licencié quelques mois plus tard. Jeu en lambeau, vestiaire agacé (Raul ne lui adressait plus la parole), relations tendues avec ses dirigeants… L’Allemand a constaté que le vent tournait très vite au Real Madrid.

Bernd Schuster a été champion d'Espagne avec le Real
En 2007, Fabio Capello, lui, avait carrément été remercié à l’issue d’une saison où il avait conquis le titre! «Il faut trouver un jeu qui enthousiasme plus», lui avait reproché ses dirigeants. Le prochain coach du Real saura que la victoire est une condition indispensable mais pas suffisante pour durer à Madrid.
Equipe

Le président madrilène et son ancien coach n'étaient pas d'accord sur le traitement réservé à l'attaquant gallois...
Real Madrid: Florentino Perez a viré Ancelotti... car il a remplacé Bale

Carlo Ancelotti et Florentino Perez lors du repas de Noël du Real Madrid, le 10 décembre 2014.
On peut gagner quatre titres en une année sur le banc du Real Madrid, dont la fameuse « decima », la dixième Ligue des champions tant attendue par le club, et se faire virer parce qu’on a remplacé un joueur - qui le méritait bien en plus. Ce dimanche, As révèle les raisons qui ont poussé Florentino Perez à se séparer de Carlo Ancelotti, le 25 mai dernier. Elles concernent principalement Gareth Bale.
« Il l’a remplacé, je lui ai reproché et Carlo ne l’a pas compris »

Selon les informations du quotidien madrilène, le président du Real a d’abord justifié sa décision auprès des actionnaires en évoquant une « perte de confiance ». Amené à s’expliquer plus en détail, il a alors dit que cela remontait à la défaite à Valence (2-1), le 4 janvier dernier. « Il l’a remplacé [Bale], je lui ai reproché et Carlo ne l’a pas compris. Dès lors, il a perdu ma confiance ».
Le Gallois a beau être un « joueur stratégique pour le Real », - comme l’a aussi dit Perez lors de cette réunion - car acheté près de 100 millions d’euros à Tottenham en 2013, il faut tout de même rappeler qu’il a réalisé une deuxième partie de saison plus que médiocre. On a hâte de voir ce que va donner la relation entre l’omnipotent président des Merengue et son nouvel entraîneur, Rafa Benitez, pas vraiment connu pour accorder des passe-droits à ses joueurs s’ils ne se montrent pas à la hauteur.
20minutes

Le gardien du Real rejoint le FC Porto Les adieux de Casillas
Iker Casillas, l’emblématique gardien de l’équipe d’Espagne poussé au départ par le Real Madrid au bout de 25 ans, a fait hier des adieux solitaires à son club de toujours avant de rejoindre le FC Porto.


Après avoir gagné 19 titres avec le Real, dont trois en Ligue des champions, Casillas rejoint le FC Porto.

Au bord des larmes, mais politiquement correct devant micros et caméras, il n’a eu qu’éloges et remerciements pour le Real, dont aucun dirigeant n’était présent à ses côtés. « J’avais neuf ans quand j’ai revêtu le maillot blanc, et alors j’ai réalisé un rêve », a rappelé celui qui s’en va à 34 ans, ému au point d’avoir mis plus d’une minute à commencer à lire sa déclaration, après avoir gagné 19 titres avec le Real, dont trois Ligues des champions et cinq championnats d’Espagne.
Le Real, qui a annoncé son départ samedi dans un communiqué laconique, n’a précisé ni le montant du transfert ni la durée du contrat. Selon les médias espagnols, Casillas est parti pour un contrat de deux saisons, avec une troisième en option, et pour un salaire brut de 10 millions d’euros pour la durée du contrat.

Un départ pour laisser la place à De Gea ?

Selon les médias, le Real Madrid essaie de recruter le jeune gardien de Manchester United, David de Gea, 24 ans, 1,92 m, pour rajeunir le club.
S’il l’avait pu, Casillas serait sans doute resté au Real, où il avait répété ces derniers mois son désir de finir sa carrière. Et où il disposait d’un contrat en or s’achevant en 2017.

Il avait pourtant été relégué sur le banc lors de la saison 2012-2013, en conflit avec l’entraîneur d’alors, José Mourinho, et accusé d’être une « taupe » divulguant à la presse les secrets du vestiaire. Placé en concurrence avec la recrue Diego Lopez (parti depuis à l’AC Milan), conspué par une partie du stade Santiago-Bernabeu, coupable de bourdes inhabituelles, il a vécu une descente aux enfers qui a culminé au Mondial-2014 au Brésil : fiasco contre les Pays-Bas (5-1) et élimination au premier tour. Mais il avait su revenir, jouant 32 matches de championnat d’Espagne la saison dernière et s’illustrant en Ligue des champions. Dimanche, Casillas n’a « balancé » à aucun moment contre les dirigeants madrilènes qui ne voulaient plus de lui. Au contraire.
« Après 25 ans passés à défendre le blason du plus grand club du monde, arrive un jour difficile, celui-ci, le jour de dire adieu à une institution qui à l’évidence m’a tout donné », a-t-il déclaré, en refoulant difficilement ses larmes.

« Je continuerai à crier 'Hala Madrid'»

Le Real Madrid « m’a formé comme personne, m’a aidé à grandir, m’inculquant les valeurs qu’il défend : le respect, la camaraderie, l’engagement, et surtout l’humilité. Je ne pourrai jamais vous oublier, et soyez sûrs que partout où j’irai je continuerai à crier « Hala Madrid ! », a-t-il conclu à propos de son ancien club, seul devant micros et caméras.
Il lui fallait quand même expliquer son départ. À l’entendre hier, c’est parce qu’il a été gagné par « l’envie » manifestée par le club portugais.
« La décision de m’en aller au Porto est due à deux motifs fondamentaux, a-t-il expliqué. Le premier, l’envie témoignée par le président, (Jorge Nuno Pinto da Costa), le directeur sportif Antero (Henrique) et l’entraîneur Julen Lopetegui, et surtout tout le reste de l’équipe ».
« Le second, les marques d’affection reçues au fur et à mesure que les gens apprenaient que mon avenir était au Portugal. Ils m’ont rallié, et j’en ai été très heureux, très satisfait », a-t-il ajouté.
« Je ferai tout mon possible pour ne pas les décevoir, et je lutterai au maximum pour gagner le plus grand nombre de titres possible dans ma nouvelle équipe », a-t-il enfin lancé.
DNA

Ce dimanche, lors de la rencontre amicale entre Valerenga et le Real Madrid (0-0), Martin Odegaard faisait partie du onze titulaire de Rafa Benitez. Le jeune norvégien de 16 ans s’est montré très content après le match en zone mixte, tout en signalant qu’il pouvait montrer beaucoup plus.

Citation :

« Je pense que je peux montrer encore plus que ce qu’on a pu voir jusqu’à maintenant.

J’ai beaucoup appris de chaque entraînements et des joueurs au cours des matches. Je m’entraîne bien, je me sens bien. Je n’ai pas d’objectifs spécifiques pour cette saison. Ce que je souhaite c’est améliorer mon football, tout simplement.

Nous devons déjà terminer la pré-saison dans un premier temps puis nous verrons. Je suis très heureux au Real Madrid, c’est ce que je peux dire pour le moment.

C’est toujours difficile mais j’ai seulement 16 ans. Je fais comme je peux, il me reste encore plusieurs années pour me développer en tant que footballeur. Je n’ai pas à être pressé mais à jouer sans stress. »

Ce joueur a reçu trop vite le melon .