Salut à tous.
Si j ai bien lu on prend la même équipe gagnante pour la saison prochaine
que du bonheur.
Le yoyo, j'adore et des transferts. :cheers: :cheers:

Vu qu'il a signé pour trois ans Jean-Marc, que licencier un coach à qui il reste une année nous coûte généralement entre un et deux millions d'euros, et que cette même somme est l'intégralité de notre budget transfert, je pense qu'on le reverra encore quelques temps notre ami Furlan ...

Et moi c'est pas pour me déplaire.

Je comprend pas pourquoi on fait signer des entraîneurs aussi longtemps. Les faits montrent pourtant qu'un entraîneur reste rarement aussi "longtemps" en place.

Les faits sont un peu stupides aussi, surtout en France. Quand on a une année foireuse, on dégage le coach, et les fois où ça fonctionne et qu'on se vante d'avoir créé un électrochoc, c'est pour mieux se planter la saison d'après.

Je prend l'exemple de Paris, parce qu'il est caractéristique mais pas le pire non-plus : on dégage Vahid et Fournier, qui étaient pas les derniers des loosers quand même (surtout qu'avec Vahid le club avait terminé 2e la saison précédente !), remplacés par Lacombe ; la sauce prend plus ou moins, puis le club replonge, dès lors on renvoie Lacombe pour prendre Le Guen, d'abord présenté comme le sauveur, puis ensuite dénigré quand on voyait que ça marchait toujours pas mieux sur la durée - sauf que lui avec ses titres de champion de France, on hésite à le virer, parce que ça le ferait pas trop. En revanche, ils ne se sont jamais posés la question là-bas, si Paris finissait jamais dans les places européennes, ce n'était pas surtout parce qu'ils n'ont que trois joueurs-et-demi (Pauleta, Rothen, Diané et Yepes) qui ont les moyens de cette ambition ?!

Et pour ceux qui sont vraiment contre Jean-Marc Furlan, ils adhèreront tout de même à la théorie de conserver le plus longtemps possible les coachs : car si nous ne pouvons pas virer JMF à la fin de la saison, c'est en partie parce que notre budget consacré à ça a été dilapidé pour les limogeages de JPP et JD, sans raisons tellement apparentes non-plus !

C'est un peu mon sujet qui fâche, en tout cas Furlan je le soutiendrai jusqu'au bout pour ça, non-pas car je lui trouve des talents cachés d'entraîneur extraordinaires, mais parce que c'est pas en dégageant à grands coups d'indemnités qu'on stabilisera le club. Les premiers concernés sont les joueurs, et ça les "petits" clubs (qui prennent de plus en plus d'ampleur d'ailleurs) comme Nancy ou Lorient l'ont très bien compris. J'espère que ça viendra chez nous aussi, un jour ...

Rémi a écrit:

Je comprend pas pourquoi on fait signer des entraîneurs aussi longtemps. Les faits montrent pourtant qu'un entraîneur reste rarement aussi "longtemps" en place.

Un mélange de ce qu'a dis Tom et de l'érection qu'ont les présidents français quand il voit MU et Arsenal jouer. Donc ils appliquent le modèle ...

Arsenal volé par les arbitres car leur entraîneur est français et même pire, alsacien !
Quant au "tandem"-trio actuel il doit donner moins d'erecs à ceux qui voient les résultats, l'image du club, de l'Alsace : les empereurs de la lose.

Le prix de la relégation

A quatre journées du verdict, le Racing - 19e à trois points de Lens, premier non relégable - croit encore dur comme fer au maintien. Mais le club se prépare aussi à un autre scénario : un retour à la case départ. Voici exposées en trois points les conséquences d'une nouvelle chute qui s'annonce aussi brutale qu'inéluctable. Au regard de la situation, mieux vaut croire au miracle.

Où trouver les 10 M d'euros pour combler le déficit ?

« Une relégation implique quasiment une division par deux de notre budget », indique Jean-Luc Herzog, le directeur général du Racing. Initialement annoncé en début de saison à 28M€, mais revu à la hausse cet automne à 32M€, le budget en Ligue 2 serait, selon la version haute, équivalent aux 18M€ dont le club disposait en 2006/2007, lors du dernier séjour à l'étage inférieur. Cette diminution drastique s'explique en grande partie en raison « de la baisse des droits télévisuels, dont le club est fortement dépendant », justifie le « DG » (lire encadré). Une répercussion « directe et instantanée » qui toucherait le Racing dès le 1er juillet. L'ardoise serait lourde. Très lourde. C'est que le budget de l'exercice en cours avait été calculé sur la base d'une onzième place. Si le RCS venait à rester « scotché » à la dix-neuvième, le manque à gagner se chiffrerait à quelque 8M€ rien qu'en droits télés. Voilà deux ans, l'équipe du président Ginestet était parvenue à adoucir la « douloureuse » grâce à la vente de joueurs cotés. Les départs des Diané (PSG), Sidi Keita (Lens), Alex Farnerud et Boka (VfB Stuttgart) ou encore Haggui (Leverkusen) avaient permis de récolter quelque 18M€. Ce qui avait suffi à « maintenir le train de vie d'un club de Ligue 1 » à l'étage inférieur, comme le soulignait à l'époque Philippe Ginestet. Cette fois, les transferts pourraient rapporter entre 3 et 4M€, tout au plus. Où trouver alors l'argent manquant ? « Nous ne sommes pas du tout dans la même configuration qu'il y a deux ans, assure Jean-Luc Herzog. Notre budget est beaucoup plus proche de l'équilibre en termes de compte d'exploitation, parce que nous avons entamé voilà deux ans un processus de réduction générale des dépenses. Je ne dis pas que la période sera facile, mais cela permettra d'atténuer le coup. » Il n'empêche. Équilibrer la balance entre recettes et dépenses sans galvauder les chances de remontée immédiate relève du casse-tête. D'autant qu'en L 2, les produits - droits télés, billetterie, merchandising - n'excèdent pas les 13M€, au mieux. Comme les actionnaires, déjà sollicités en début d'année pour une avance sur compte courant - 3M€, dont 2 à la charge de Ginestet - ne sont pas enclins à remettre la main à la poche, tout porte à croire que le Racing devra sérieusement réduire la voilure. A moins, bien sûr, que le président n'« assume ses responsabilités », comme le souhaite ardemment l'un des actionnaires, et mette sur la table les 10M€ pour combler le déficit prévu. Ou que Ginestet trouve un homme providentiel prêt à débourser pareille somme. Parmi les actionnaires, seul Robert Lohr pourrait en avoir l'envergure financière. Rien ne laisse toutefois penser que le capitaine d'industrie alsacien ait envie de prendre le relais. En attendant, Jean-Luc Herzog préfère « envisager le scénario du maintien, qui est encore tout à fait possible. » Celui de la descente risque en effet de plomber durablement les ambitions strasbourgeoises.

Avec quelle équipe en Ligue 2 ?

Jean-Marc Furlan le regrettait à son arrivée. La situation ne devrait guère changer. A la faveur des divers changements d'entraîneur, l'effectif strasbourgeois est devenu pléthorique. Malgré le quintette de joueurs en fin de contrat (Puydebois, Gurtner, Ducrocq, Johansen et Camadini), ils seraient trente à la reprise de l'entraînement. Le sort de trois joueurs prêtés - Kantari, qui s'est imposé à Brest, Rangelov, dont le rendement à Cottbus pourrait valoir un transfert définitif, et Gargorov, qui sera définitivement au mois de juin au CSKA Sofia - permettrait de l'alléger. Le Racing a quelques possibilités d'ajustement. La charte du foot français autorise les clubs relégués « à diminuer collectivement la rémunération de leurs joueurs de 20 %. » Par ailleurs, les dirigeants peuvent proposer une baisse individuelle, jusqu'à 30 % pour les salaires inférieurs à 33 000 euros, et jusqu'à 50 % au-delà. S'il refuse, le joueur est libéré de son contrat. Ce processus constitue un moyen de moduler la masse salariale. Le Racing pourrait y recourir pour organiser le départ de quelques gros salaires (Abdessadki, Gmamdia ?). Il reste que l'éventuelle « purge » devra se poursuivre pour contribuer à résorber le déficit. Les joueurs représentant une valeur marchande ne sont pas légion. Éric Mouloungui, même si les offres ne se sont pas bousculées l'été dernier, conserve une certaine cote. Il y a également les deux internationaux espoirs, Kevin Gameiro et Habib Bellaïd. Et, à un degré moindre, Cohade et Paisley. Au final, avant de recruter, le Racing ne pourrait plus s'appuyer que sur un groupe fort juvénile - Bah, Othon, Weber, Schneiderlin, Gasmi, etc. -, encadré de rares joueurs cadres ou d'autres, plus nombreux, qui reviennent de prêt. Et à qui Furlan ne faisait guère confiance l'été dernier.

Jean-Marc Furlan serait-il encore l'homme de la situation ?

Depuis son arrivée à la tête du Racing, en décembre 2005, le président Philippe Ginestet a procédé à deux limogeages d'entraîneur. Si la pratique n'aura peut-être pas évité deux descentes, elle a au moins eu le mérite d'assurer une remontée immédiate. Il reste qu'elle se révèle particulièrement lourde pour les finances du club. L'éviction de Jacky Duguépéroux puis de Jean-Pierre Papin a coûté 2M€. Si Furlan devait connaître le même sort, avec deux années de contrat à payer, le changement grèverait assurément le budget. D'ailleurs, le numéro un du club n'a jamais évoqué jusqu'ici l'idée de griller le principal fusible du Racing une troisième fois. Du côté du technicien, on n'envisage pas non plus devancer l'appel du large programmé en juin 2010. « Pour l'heure, je suis pleinement dans l'espoir du maintien et je suis convaincu que l'on peut décrocher les deux victoires et le nul indispensables, garantit Furlan, qui, en tant qu'entraîneur général, se doit néanmoins d'anticiper. Mais pour parler de l'avenir, je m'inscris dans la perspective du contrat de trois ans que j'ai signé l'été dernier. » Autrement dit, il n'est pas question de démissionner. L'idée de coacher en L 2 une équipe tournée vers la remontée ne le refroidit pas outre-mesure non plus. Il a réussi à monter dans l'ascenseur avec Troyes, lors de la saison 2004-2005. « L'important, c'est d'être en symbiose avec les joueurs, les dirigeants et l'environnement, poursuit Furlan sur le sujet. S'il y a trop d'hostilité par rapport à une de ces composantes, cela devient compliqué. » Le contenu du projet sportif relève donc de la plus haute importance. Placé sous la proche autorité du président Ginestet, l'organigramme strasbourgeois est constitué autour d'un hydre à deux têtes, l'une consacré au sportif, l'autre au reste et notamment aux finances, avec le directeur général, Jean-Luc Herzog. Il apparaît évident que des divergences de vue sur l'avenir du club entre les deux secteurs ne seraient pas loin de poser un problème insoluble. Et la présence de Furlan sur le banc strasbourgeois la saison prochaine deviendrait plus hypothétique.

« Chers » droits télés

Si le Racing descendait, c'est un sacré pactole qui s'envolerait. Celui des droits télévisuels. Dans ses prévisions budgétaires, le club avait misé sur une 11e place. Celle-ci avait rapporté plus de 22M€ à Saint-Étienne l'an dernier. Mais si l'équipe terminait la saison à la 19e place, il faudrait se contenter d'un peu moins de 14M€. Soit la bagatelle de 8M€ de différence. Une paille comparée au manque à gagner pour un club qui évolue en Ligue 2. Le Racing est bien placé pour le savoir, lui qui avait récupéré 5,397M€ à la faveur de la troisième place décrochée par les hommes de Papin. Cette baisse est toutefois compensée par la "prime" aux relégués, qui se chiffre à 2M€ uniquement la première saison. Mieux vaut ne pas traîner à l'échelon inférieur...



Les D.N.A de ce matin !

Très bon article, mais ou on peut trouver quelques choses étrange quand même ...

Citation :

Cette fois, les transferts pourraient rapporter entre 3 et 4M€, tout au plus.

Ca c'est ce que nous rapportera Bellaid. En fait, il devrait rapporter au moins 5M€ (Kaboul, parti d'Auxerre l'an dernier et qui n'est pas forcément supérieur a Bellaid, a couté 12M€ a Tottenham). N'oublions pas qu'on a déjà refusé une offre a hauteur de 7M€ pour ce joueur, je vois mal sa valeur être divisé par 3 en 4 mois.

Après, Paisley vaut 1M€ a peu près. Cohade, s'il part, en vaudra sans doute autant. Mouloungui devrait valoir 2M€ (il en valait quand même 3 l'an dernier ...). L'article parle aussi de Gameiro (500 000€ minimum).

Personnellement, le coté financier m'inquiète pas plus que ça ... on peut vendre, le centre de formation sort pas mal de joueurs correct en ce moment.

Entièrement d'accord avec Spisko, Bellaïd et Moulou c'est pas du flan quand même ! Ils parlent également du départ définitif de Gargorov et d'un éventuel transfert de Rangelov. En partant du principe que Bellaïd nous rapporterait 5 M et Mouloungui 2 M, nous en arrivons déjà à 8 350 000 Euros.

Arrivé à ce stade, il semble en effet plausible de vendre soit Cohade soit Paisley, le départ de l'un des deux suffisant selon moi à atteindre les 10 M requis. Il n'en demeure que ça me ferait vraiment mal d'en voir partir un, et encore davantage les deux Je compte sur les dirigeants pour trouver une solution car je ne vois pas vraiment d'alternative, si ce n'est un départ de Gameiro, ce que je ne souhaite pas dans l'absolue, mais qui surtout ne suffirait pas à compenser. Si Paisley et/ou Cohade partent, je me résoudrai à trouver cela normal ... Un départ de Mathlouthi nous porterait quant à lui à 9 350 000 Euros. Et un de Tum en primer à 10 000 000 tout rond. Mais là je vais arrêter de rêver, surtout qu'on aura plus d'attaquants à ce tarif-là

Seconde étape : Abdessadki va débarrasser le plancher ; Rodrigo, Renteria, Alvaro vont retourner dans leurs clubs respectifs. Faudra penser aussi à licencier Schneider, Carlier, Perbet et Yachir aussi, s'ils ne servent toujours à rien ; ça coutera toujours moins cher que de les payer à ne rien foutre, surtout s'il s'agit de résiliation à l'amiable. Le seul achat en attaque serait Jacob Mulenga, mais ce n'est que mon avis ; 600 000 €, on peut éventuellement se le permettre. Ekobo devra se trouver un club aussi éventuellement. Et enfin, je pense qu'on ne pourra pas faire resigner Pagalou de toute façon.

Je vous ai gardé cependant une nouvelle inattendue pour la fin. Elle concerne Gmamdia. Tenez-vous bien : en deux matchs, avec son club de Roumanie, il a inscrit trois buts

Voila, tu as très bien détaillé la situation Tom ^^

Juste un petit bémol, concernant Ekobo, vu que Bellaid va sans doute partir (dans l'hypothèse ou on descend), si Paisley nous quitte aussi, il sera utile en défense. Je le vois pas être titulaire, mais plutôt jouer le rôle que joue Ducrocq en L1.
Au passage, Ducrocq doit être vert Il quitte Le Havre pour jouer enfin en L1 ... Le Havre monte et le club qu'il a rejoint va peut-être descendre >_<

Un peu comme Hoarau qui quitte Le Havre qui monte cette saison pour Paris

Ekobo je l'ai vu jouer il n'y a pas très longtemps quand Chateauroux à affronter Sedan en championnat.

D'après mes souvenirs il avait fait match correct défensivement mais dans la relance il avait été très moyen , mais bon dans le rôle de remplaçant ( bouche trou ) l'an prochain , sa peut le faire.

En entendant tous ces noms, j'ai l'impression de retourner quelques 18 mois en arrière.
Pas vous?

Un peu oui.
Mais avec un nouveau cycle de jeune ...

Ginestet a dit qu'il conserverait Furlan même en cas de descente.
Furlan a lui aussi dit qu'a priori il resterait.

Ca devrait au moins nous éviter une éventuelle indemnité à payer.
Par les temps qui courent et qui vont courir (celles des vaches maigres sur le plan financier), c'est déjà pas mal.

Et surtout un peu de stabilité.
Furlan, avec des moyens correct, peut nous faire beaucoup bien, j'en suis convaincu.

Content de revoir JMF la saison prochaine quoiqu'il arrive

K4is3rt0m a écrit:

Content de revoir JMF la saison prochaine quoiqu'il arrive

Je suppose que tu as changé d'avis aujourd'hui


Non plus sérieusement le tandem Ginestet /Furlan ne fonctionne plus ya de l'eau dans le gaz...
Article DNA

Citation :

Au sein du club, quelques voix réclament à mots couverts la démission de celui que le président Ginestet intronisait en « bâtisseur, sorte de manager général à l'anglaise, chargé de la politique sportive globale, notamment en relation avec la formation. »
Ces prérogatives élargies, attribuées en juin 2007, sont aujourd'hui grandement rognées.Furlan avait vu son champ d'action limité par la relégation. Les mauvais résultats de ces dernières semaines ont visiblement accentué le processus.
L'ancien entraîneur de Troyes n'a plus les coudées franches. Le président garde ainsi la haute main sur le fonctionnement du club. Furlan doit aussi composer avec Jean-Luc Herzog, le directeur général, qui se charge de toutes les questions d'argent. Le droit de regard du manager sur la répartition des recettes, notamment en termes de recrutement, est limité. En découlent quelques situations ubuesques qui nuisent fatalement à la bonne marche de l'équipe.

A quand l'implosion...peut-être le week-end prochain avec un mauvais résultat en Corse

Poncho, le fouineur d'anciens sujets.
Nous sommes sans doute en train d'assister à la Passion de Furlan (référence à la Passion du Christ bien sûr, son chemin de croix).

J'espère que Furlan partira mais alrs il faut pas un clanpin derrière ! Faut voir ce qu'il y a comme entraineur. Maintenant je pense que Furlan restera assez longtemps encore , ça devrait coûter trop d'argent au club de le virer ...

Par contre Ginestet je l'aime bien malgrés le fait qu'il ne gueule pas assez souvent et qu'il n'est pas très proche des joueurs. En tout cas il donne cette impression.

Dès que j'ai su Furlan à la tête du racing il y a 2 ans j'ai été
héberlué: on vient de monter grâce a un super entraineur (JPP) et on
prend un coach qui vient de faire déscendre Troyes...

Maintenant faut qu'il soit capable de réparer son érreur (elle n'est pas qu'à lui)(l'erreur), et qui
nous fasse remonter. Si il n'en est pas capable alors bye bye.
JPP REVIENT!!

Poncho a écrit:

K4is3rt0m a écrit:

Content de revoir JMF la saison prochaine quoiqu'il arrive

Je suppose que tu as changé d'avis aujourd'hui


Non plus sérieusement le tandem Ginestet /Furlan ne fonctionne plus ya de l'eau dans le gaz...
Article DNA

Je ne serai pas mécontent qu'il parte parce que son message ne passe vraiment plus, et qu'entre temps, c'est vrai qu'il a progressé dans le degré d'incohérence de son discours et de ses décisions. Ceci dit, si on le limoge, ce qui nous coûterait déjà une fortune, il faut lui trouver un successeur plus efficace.

Personnellement, je constate toujours que sans un coach incisif, les joueurs cadres pour leur majorité n'exercent pas leur métier d'eux-mêmes, conscients qu'ils sont bien protégés dans leur bulle. On leur collerait un coach aux méthodes tordues, ça marcherait peut-être, mais c'est quand même triste de devoir en arriver là pour que des pros exercent leur métier de pros (sans toutefois se rendre compte de la chance qu'ils ont).

On va pas ouvrir un autre topic à ce sujet là, mais il est clair que le tandem Furlan /Ginestet a quelques ratés. L'article des DNA ce matin me laisse penser que Furlan ne restera pas au Racing la saison prochaine (même en cas d'accession en L1).
Furlan le répète depuis quelques temps sa "mission est de réparer son erreur et de remettre le Racing en L1.... (c'est quand même la moindre des choses).
En aucun cas il évoque son avenir ou projet avec le RCS,il est donc clair qu'il a peu de chance de rester....on évoque pour le remplacer la paire COBOS/ROHR!

VOilà l'article en question....je mets le lien l'article étant assez imposant:

http://www.dna.fr/sport/football/20090525_DNA008200.html

C'est ce qui s'appele pratiquer la langue de bois !!!!!,il faut pratiquement utiliser un décodeur pour comprendre son baratin !!!!!. Mais s'il a vraiment envie de partir ,et bien je lui souhaite bonne chance .(nul n'est irremplaçable !)

Et moi je trouve ça très moyen de la part d'un journal de balancer des rumeurs au sujet du coach et de son remplacement quelques jours avant un match capital. Je n'irai pas plus loin, cet article se passe vraiment de tout commentaire : j'en retiens quelques phrases tirées d'un long discours de Furlan sur alsatic TV, sorties de leur contexte et enrobées avec des commentaires qui n'engagent que les journalistes qui en sont les auteurs. Je trouve qu'ils mettent un peu beaucoup l'accent sur les "mauvaises" relations Président-Coach - qui curieusement ont toujours été dénoncées par les principaux concernés - et ne parlent jamais des déclarations de Furlan concernant son envie de rester au club la saison prochaine, déclarations qui ont pourtant eu lieu à la télé.

Le pouvoir de la presse ..un autre débat. Mais c'est vrai que c'est peut-être pas le moment pour rêgler ses comptes!!

C'est clair ... après, il partira peut-être effectivement quoi qu'il arrive, mais je n'aime pas trop la façon c'est inséré et le moment ... En ce qui me concerne, j'ai toujours trouvé Furlan honnête à l'entendre sur de longs discours où il peut s'exprimer pleinement. Prises à part, ses phrases sont en effet parfois contradictoires. Mais depuis ses déclarations sur alsatic tv et la façon dont elles sont parfois rapportées dans la presse, je me méfie de ce que celle-ci dit ...