L'OM n'a plus les moyens . Ils ont mis le paquet sur l'entraineur . A lui de prouver qu'il est bon car , comme pour Mourinho , ou Blanc , c'est facile de se croire un grand entraineur quand tu as les meilleurs joueurs .

Les chiffres du champion ?
Certes, Marseille n'a pas encore été opposé à ses principaux adversaires en Championnat. Mais le début de saison des joueurs de Marcelo Bielsa incite à l'optimisme. De là à les imaginer en champion ? Certaines statistiques plaident en leur faveur.

1 Depuis son retour dans l’élite (1996-1997), c’est la première fois que Marseille occupe la tête du classement après neuf journées.

1 bis Sur la même période, c’est aussi la première fois qu’il possède 22 points et marque 23 buts, et détient un joueur avec 9 réalisations en autant de rencontres.

5Marseille possède cinq points d’avance sur le deuxième, Bordeaux. Lyon était la dernière formation à avoir une telle marge à ce stade de la compétition. C'était en 2006-2007, devant… l'OM, et le club rhodanien s’était adjugé le Championnat.

7 L’OM reste sur sept victoires d’affilée, soit sa meilleure série depuis mars-avril 2010, saison au cours de laquelle il avait été champion.

9 Avant André-Pierre Gignac, le précédent joueur à avoir inscrit 9 buts en 9 journées était le Parisien Zlatan Ibrahimovic. C’était en 2012-2013, et le PSG avait remporté le titre.

50 % Depuis le retour de la victoire à trois points (1994-1995), la moitié des équipes ayant récolté au moins 22 points en 9 journées ont terminé champion. Il s’agit de Bordeaux (22 pts) en 1998-1999, et de Lyon (25) en 2006-2007. Metz (23) avait fini deuxième en 1997-98, Monaco (22) troisième en 2003-2004.
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Benoit Cheyrou et l'Olympique de Marseille, c'est terminé.

 Le Conseil des Prud'hommes a rendu sa décision, le milieu de terrain voit son contrat résilié. "Mon contrat avec l'Olympique de Marseille est résilié. Je suis libre de tout engagement. Je ne suis plus sous contrat avec l'OM à partir de ce jour. C'est pour cela que j'ai la volonté de communiquer sur ma situation aujourd'hui, je ne pouvais pas le faire tant que la procédure n'était pas terminée", a t-il expliqué sur le site footligue1.fr .

OM : Labrune et Dassier en garde à vue !

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Par Pierre-Damien Lacourte - Le 18/11/2014

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Les affaires judiciaires se bousculent ce mardi. Après l'interpellation de plusieurs entraîneurs et présidents de clubs dans le cadre d'une enquête portant sur de possibles matchs truqués en Ligue 2, Vincent Labrune et Jean-Claude Dassier auraient eux aussi été placés en garde à vue ce mardi mais pour une autre affaire.

D'après Le Point, le président de l'Olympique de Marseille, l'ancien président, mais aussi Philippe Perez, l'actuel directeur général du club phocéen, seraient visés dans le cadre d'une affaire financière portant sur le transfert d'André-Pierre Gignac en 2010. Les enquêteurs les soupçonnent d'avoir procédé à des rétrocommissions au bénéfice d'intermédiaires.


Pape Diouf également en garde à vue.

La 35e fortune mondiale veut racheter l’OM
Selon l’Équipe, le prince Saoudien Al-Walid Bin Talal Bin Abdelaziz Al-Saoud voudrait racheter l’Olympique de Marseille. Objectif : concurrencer le PSG… Alors info ou intox, il s’agirait d’un « habitué de l’univers du foot français ». Les dernières infos font état d’un dossier qui serait en train d’être monté autour de la 35e fortune mondiale qui possède encore l’hôtel George V à Paris ou encore des parts dans Apple et Euro Disney. Le magazine Forbès estime que l’homme posséderait 21 milliards d’euros sur son compte en banque. Il n’aurait donc pas de mal à débourser les 150 millions demandés pour le rachat de l’OM. Cette question étant fermée depuis le décès de Robert-Louis Dreyfus… selon le quotidien sportif, elle semblerait désormais ouverte. Affaire à suivre dans les prochaines heures.
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Boutobba, plus jeune joueur de l'histoire de l'OM
Entré en jeu à la 84e minute du match de clôture de la 18e journée de Ligue 1 perdu par Marseille à Monaco dimanche soir (1-0), Bilal Boutobba est devenu le plus jeune joueur de l'histoire du club phocéen. Né le 29 août 1998, le jeune milieu de terrain, qui a remplacé Mario Lemina, a foulé la pelouse de Louis II à 16 ans, 3 mois et 16 jours.
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Record d'affluence battu au Vélodrome
62408 spectateurs assistent en ce moment au match entre l'OM et Lille, au Stade Vélodrome. Il s'agit d'un nouveau record d'affluence dans l'enceinte marseillaise. Le précédent record datait du 19 octobre contre Toulouse (1-1, 61 846 spectateurs).
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OM: la piste Gameiro
France Football annonce que l'OM pense à Kevin Gameiro pour succéder à André-Pierre Gignac à la pointe de l'attaque olympienne. L'ancien Lorientais connait des difficultés en ce moment au FC Séville, après une bonne première saison en Espagne. L'OM avait déjà pensé à lui en 2010 mais Didier Deschamps avait opté pour Gignac. La question du salaire ne serait pas un problème pour l'OM puisque les émoluments d'APG sont supérieurs à ceux de l'attaquant andalou. Mais attention Marseille n'est pas tout seul à suivre le buteur sévillan. West Ham, Porto et Southampton sont dans les starting-blocs pour transférer Gameiro cet été.
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OM : Les juges fouinent dans les comptes des agents
La justice ne semble rien vouloir lâcher dans son enquête sur d’éventuelles rétrocommissions versées lors des transferts de plusieurs joueurs à l’Olympique de Marseille, on pense notamment à André-Pierre Gignac et à Souleymane Diawara. Les juges marseillais ont déjà entendu les trois derniers présidents de l’OM, sans aucune mise en examen, ils ont également reçu de vrais agents de footballeurs, et des représentants plus occultes, mais ils continuent clairement à tirer sur la bobine de fil. Et ce mardi, la Provence annonce que les deux juges qui travaillent sur ce dossier ont décidé de saisir huit comptes bancaires de différents agents et intermédiaires. But de cette manoeuvre, que les avocats des personnes concernées contestent : voir les mouvements de fonds intervenus durant les périodes concernées par l’enquête. Pour la justice, il semble évident que certains se sont servis sans scrupule lors de différentes opérations intervenues à l’Olympique de Marseille, mais il faut désormais le prouver et surtout voir comment cela s’est concrètement passé. Et c’est donc le sens de cette action.
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Deux hommes interpellés pour avoir escroqué l'OM
Selon les informations de La Provence, deux hommes ont été interpellés par la police israélienne, dans une affaire d'escroquerie impliquant l'OM. Les deux escrocs auraient en effet contacté le club olympien l'été dernier, afin de lui faire croire qu'une somme déjà réglée pour le transfert d'un joueur avait été adressée sur un compte erroné, et du coup demander au club de procéder à un nouveau transfert, dans ce cas d'une valeur de 756 000 euros. Plusieurs de leurs complices ont également été arrêtés.
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Ben voila, la c'est l'OM comme on le connait....Les faits divers. Ce club est champion dans ce domaine...

Plus que deux salaires à liquider pour Labrune
Le mercato s’est clôturé il y a une quinzaine de jours avec l’arrivée de Lucas Ocampos, sous forme de prêt avec option automatique en cas de qualification pour la ligue des champions à hauteur de 11 millions d’euros, et le départ en prêt de Doria vers Sao Paulo. Alors que le club phocéen mène depuis plus de deux ans une politique de baisse de sa masse salariale, faisons un point sur les salaires de l’effectif.
Plus que deux départs pour les plans de Labrune
Si l’on en croit les informations du Parisien, Vincent Labrune souhaiterait instaurer un « salary Cap » à 250 000 euros brut mensuel. Pour arriver à ses fins, il ne lui faut donc plus que liquider ceux de Gignac et Ayew. Cela tombe bien pour l’homme de confiance de MLD puisque ces deux derniers seront en fin de contrat en juin prochain…. mais sportivement, c’est un autre débat…

SALAIRE BRUT MENSUEL
Brice Samba 30 000 €
Benjamin Mendy 60 000 €
Brice Dja Djédjé 60 000 €
Mario Lemina 60 000 €
Alaixys Romao 100 000€
Giannelli Imbula 120 000€
Abdelaziz Barrada 120 000€
Michy Batshuayi 130 000€
Rod Fanni 130 000€
Florian Thauvin 150 000€
Romain Alessandrini 150 000€
Lucas Ocampos 175 000€
Nicolas Nkoulou 210 000€
Dimitri Payet 250 000€
Steve Mandanda 250 000€
André-Pierre Gignac 330 000€
André Ayew 350 000€
La Redaction FCM

Ligue 1 OM Bielsa: son contrat se termine en juin
Marcelo Bielsa a indiqué, vendredi, que son contrat avec l'OM se terminait en juin. Il n'écarte pas la possibilité d'en signer un nouveau, mais n'exclut pas un départ.

Marcelo Bielsa sera-t-il l’entraîneur de l’OM la saison prochaine? Il est impossible de répondre à cette question. «A la fin du Championnat, mon contrat se termine automatiquement», a révélé l’entraîneur de l’OM, vendredi en conférence de presse. «C’est un accord entre le club et moi. Mais ça ne veut pas dire que je serai pas l'entraîneur de l'OM la saison prochaine.»
«Tout est possible»
«S’il y a une possibilité de continuer, on devra établir un nouveau lien contractuel, car celui qui est en cours se termine», a précisé l’Argentin, qui «n'écarte pas l'hypothèse de signer à nouveau pour une saison». «Mais je ne le confirme pas non plus. Tout est possible.» Au cours de cette conférence de presse, il a également indiqué qu’il ne prenait pas de cours de français. «J’apprends tout seul. Ça marche bien», a-t-il assuré, en espagnol.
Egalement interrogé sur la rumeur concernant le poste de sélectionneur de l’Arabie Saoudite, Bielsa a estimé que «ce genre de rumeurs était habituel à ce moment de la saison». «Je n’ai rien à vous dire sur ce thème.»
Equipe

Coup de mistral

Curieusement, ça correspond au coup de moins bien de Gignac en tant que buteur.

OM: Un seul être vous manque
L’OM a perdu son collectif. Difficile de critiquer un secteur en particulier car c’est avant tout un problème de solidarité. Néanmoins, l’absence de Nicolas N’Koulou est préjudiciable, car l’international camerounais est le seul défenseur central de métier présent dans l’effectif (hormis les jeunes Aloé et Sparagna)
« N’Koulou manque forcément »
En conférence de presse mercredi, Jeremy Morel a évoqué cette absence qui ne justifie pas tout:  » Sur le terrain on sait que c’est quelqu’un d’important, forcément il manque, on essaye de le remplacer au mieux. On manque de stabilité, mais ce n’est pas un seul joueur qui va faire que l’équipe va se reprendre en main, c’est tout le groupe. » L’ancien lorientais avoue que l’entente est plus évident avec N’Koulou que Fanni: « C’est plus naturel avec Nico, il a été formé à ce poste là, c’est plus facile pour lui. » Face au TFC il faudra faire sans les deux, Fanni étant suspendu.
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Bielsa, Imbula, Nkoulou, Thauvin...un énorme chantier pour l'OM cet été ?
A la lutte pour le titre de champion de France avec l'Olympique Lyonnais et le Paris Saint-Germain, l'Olympique de Marseille rêve surtout de retrouver la Ligue des Champions la saison prochaine. Mais le club de la cité phocéenne pourrait surtout connaître une intersaison agitée.
Le premier gros défi de Vincent Labrune concerne bien évidemment Marcelo Bielsa, dont l'avenir est encore incertain. Le technicien argentin pourrait faire ses valises en fin de saison si l'OM ne se montre pas plus ambitieux sur le marché des transferts. Le destin de plusieurs cadres marseillais pourrait d'ailleurs être lié à celui de leur coach, qui intéresse notamment West Ham en Premier League. Alors que Jérémy Morel devrait prolonger l'aventure avec le club olympien, plusieurs titulaires habituels semblent bel et bien sur le départ.

Selon les informations de Téléfoot, Imbula, Nkoulou et Thauvin pourraient changer d'air en cas d'offres intéressantes cet été. Cette information ne devrait pas rassurer les supporters olympiens, inquiets devant le manque d'ambition de leurs dirigeants. Il faut également rappeler que Steve Mandanda, André-Pierre Gignac et André Ayew n'ont pas fermé la porte à un départ. Si le gardien marseillais a de vraies chances de rester, l'attaquant français et le milieu offensif ghanéen semblent proches de la sortie.
Les deux joueurs arrivent en effet en fin de contrat en juin prochain et plusieurs clubs étrangers sont d'ores et déjà intéressés. Gignac a quelques touches en Serie A et André Ayew a séduit des clubs de Premier League, attirés par la bonne affaire. Après Newcastle et Liverpool, Tottenham se serait renseigné au sujet des intentions salariales du milieu de terrain selon les informations du Daily Star. Le père du joueur, Abedi Pelé, avait pourtant récemment confié que son fils continuait de privilégier une prolongation avec l'OM. La balle est toujours dans le camp de Vincent Labrune..
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OM : Règlement de compte entre Bielsa et un joueur !
Le jeune défenseur brésilien de l’OM, prêté à Sao Paulo, a décidé de réglé ses comptes avec son ancien entraîneur, Marcelo Bielsa.
Recruté pour 8 millions d’euros par l’OM, Doria n’a pas disputé la moindre minute de jeu avec Marcelo Bielsa. Vexé de ne pas avoir eu les joueurs demandés à son Président Vincent Labrune, l’entraîneur de l’OM a clairement affiché son mécontentement de voir Doria dans ses rangs, un joueur qu’il ne connaissait pas. Un talent pourtant prometteur que Bielsa n’a pas du tout utilisé lors de six mois de leur collaboration. Aujourd’hui au Brésil, Doria est sorti de son silence pour régler quelques comptes avec l’entraîneur de l’OM.
Doria s’en prend ouvertement à Bielsa
Dans une interview accordée à ESPN, Doria a fait quelques révélations fracassantes : « Je l’ai vu maltraiter ses adjoints. Des choses sans importances mais il vaut mieux que je n’en parle pas (…) Un jour, il m’a demandé de venir une heure plus tôt le lendemain à l’entrainement pour regarder des vidéos et analyser mon erreur. Je lui ai dit qu’il avait tort car c’est mon coéquipier qui avait commis une erreur. Je suis resté avec l’équipe B. C’était un choix et j’ai dû l’accepter. Mais je me sentais prêt et bien préparé pour tenir ma place en défense ».
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OM-OL va entrer dans l'histoire de Marseille
Le match de dimanche prochain entre l’Olympique de Marseille et l’Olympique Lyonnais suscite un très gros engouement dans la cité phocéenne, puisque 61.000 tickets ont déjà été vendus, un peu moins que le record actuel du Vélodrome nouvelle version qui est de 62.408 spectateurs pour l’affiche OM-Lille le 21 décembre dernier. Selon La Provence, les dirigeants de l’Olympique de Marseille tablent désormais sur plus plus de 63.000 spectateurs, dont 33.353 abonnés et un millier de supporters de l’OL, ce qui sera le record absolu pour le stade marseillais. Les places pour cette rencontre OM-OL étaient vendues entre 32 euros et 102 euros, et il est à noter que les derniers tickets en vente ce mercredi sont souvent les fameuses places avec une visibilité réduite. Quoi qu'il en soit, l'OM demande à ses supporters de ne pas arriver trop tard au Vélodrome dimanche soir compte tenu de cette affluence record.
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OM-PSG à guichets fermés
A 10 jours du choc au sommet comptant pour la 31e journée de Ligue 1, la rencontre entre l'OM et le PSG se jouera à guichets fermés au Stade Vélodrome. Il n'y a plus de place à la vente pour le grand public, indique le club phocéen mercredi soir. Seuls des tickets VIP en loges partagées sont encore disponibles.
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Victor Zvunka : « On s’est fait un peu truander
Tout au long de la semaine, ShowFoot vous amène pas à pas vers le « Classique » du championnat français en faisant parler des personnalités qui ont marqué l’histoire phocéenne par époque. Passé à l’OM de 1973 à 1981, c’est Victor Zvunka qui ouvre le bal.
Coach Zvunka, vous faites partie des joueurs marseillais qui ont connu les premiers duels OM-Paris. D’où vient cette rivalité ?

Victor Zvunka :
« C’est surtout la Province contre la Capitale. Après, Paris s’est mis tout doucement dans le rythme et est devenu un concurrent des Marseillais. Après c’est devenu une rivalité car les clubs avaient les moyens tous les deux et c’était la bagarre entre Paris et Marseille. »
Y avait-il autant d’engouement autour de ce match à votre époque ?
V.Z. : « C’était des matchs difficiles. Quand on a commencé à faire les premiers matchs au départ, c’était un peu la Province qui venait à Paris. Dans ces cas-là, tu essayais de produire le meilleur match possible. Tu voulais faire le meilleur résultat, te mettre en valeur parce-que tu venais dans la capitale. Et Paris n’était pas aussi performant que ce qu’ils ont fait ces dernières années. »

Et chez les supporters ?
V.Z. : « Là oui mais pas de la même façon que maintenant. Les Parisiens n’étaient pas trop appréciés car c’était la Province et la Capitale, mais ça s’arrêtait là. Ce n’était pas vraiment une haine dans les tribunes, pas des matchs où il y avait la police pour tout surveiller quand on allait au Parc. »

C’était LE match que vous cochiez d’un marqueur rouge ?

V.Z. : (Il coupe sec) « Non ! Non, non, non ! C’était plus Marseille-Saint-Étienne. Mais par le fait des médias, c’était le match de l’année car tu allais à Paris et tu savais qui y allait avoir les journalistes de Marseille certes, mais aussi de Paris qui venaient commenter. »
Y avait-il une manière différente de s’entraîner ?

V.Z. : « Non ! De mon époque ce n’était pas pareil. Ça a commencé à la fin des années 80 où il y avait Fernandez, Lemoult, Baratelli, Susic. Là, ça devenait une belle équipe et ça commençait à devenir des matchs un peu chaud. »
Justement, quels souvenirs retenez-vous de ces « Classiques » ?

V.Z. : « Je dirais des bons même si on n’a pas gagné souvent à Paris. Je me rappelle d’un match de Coupe d’Europe, on avait perdu et dans la foulée, on allait jouer à Paris. On perd le mercredi en Allemagne de l’Est il me semble. On part directement à Paris pour se mettre au vert et on avait gagné 3-2 à l’arrivée. Ça s’était un beau souvenir et pour le mauvais, c’était en Quart de finale de la coupe où avec Paulo César et Jairzinho ça s’est mal passé. On s’est fait un peu « truander », rentrer dedans. Un match compliqué où on avait fait match nul à l’aller (2-2). Il y a eu aussi un problème de billetterie avec Hechter où ils étaient remontés comme des pendules et on avait perdu 4 ou 5-1. Ça c’est un mauvais souvenir ! »
Avec votre vécu, vous devez avoir au moins une anecdote qui vous a marqué
V.Z. : « Celle qui m’a marqué est celle où on va avec Paulo César et Jairzinho. Il y a un but litigieux vers la fin de match et après, il y a bagarre, bousculade et tout. L’arbitre dit qu’il a été bousculé par Jairzinho alors que ce n’est pas vrai. Il n’y avait naturellement pas de vidéo à l’époque, c’était juste des paroles. Malheureusement pour nous, il a été suspendu et ça était un peu plus compliqué car ça nous aurait permis de garder pendant longtemps Jairzinho et Paulo César à Marseille où on aurait été encore plus performant. »
« Je vois une victoire de Marseille 2-1″

Concernant le match de dimanche, serez-vous présent au stade Vélodrome ?
V.Z. : « Sûrement. À chaque fois que je peux, on est à chaque fois invité et c’est toujours un plaisir d’y aller personnellement. En tant qu’ancien marseillais, on n’oublie jamais quand tu passes à Marseille. Tu y retournes toujours avec une grande joie, surtout qu’ils savent très bien nous recevoir. Il y a une table qui s’appelle « La Table des Légendes » où à chaque match, des « anciens » sont invités et vu que j’habite dans le coin, on est des privilégiés, « chouchoutés » pour toutes les rencontres. »
Quel est votre pronostic sur ce match ?

V.Z. : « Pour moi, il y aura des buts. Ce sont deux équipes qui jouent et qui sont capables de faire la différence sur des individualités. Je pense que Marseille peut battre le PSG. Je vois une victoire 2-1.
ShowFOOT
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Bernard Casoni : « On se sent puissant quand on gagne face au PSG »
Après Victor Zvunka, c’est au tour de Bernard Casoni d’évoquer ses souvenirs des rencontres OM-PSG. Ancien marseillais de 1990 à 1996, champion de France et vainqueur de la Ligue des Champions en 1993, l’ancien milieu de terrain est plus que bien placé pour parler des ces « Clasico » tendus.

Bernard Casoni, si on vous dit OM-PSG, qu’est-ce que ça évoque ?

Bernard Casoni :
« C’était une suprématie. C’était Tapie contre Canal. À l’époque, L’un voulait prendre la place de l’autre. On se battait pour le haut du tableau. Ce n’est pas comme ces dernières années où une équipe était moins bien que l’autre. Paris avait plus d’argument à faire valoir. »
Comme se déroulait un OM-PSG à votre époque ?

Bernard Casoni :
« Tout le monde en parlait déjà bien avant. C’était le Big match, garder la suprématie. Bernard Tapie savait présenter tout ça. C’était tout un contexte, il fallait garder ses émotions et on jouait sans complexe. Chose qu’on faisait bien. »
Éric Di Méco disait qu’il y a des matches qui se gagnait dans le tunnel rien qu’au regard. C’était la même chose face à Paris ?

Bernard Casoni :
« En face, il y avait du répondant. Après la différence est qu’on avait l’impact physique qu’eux n’avaient pas encore. On était supérieur dans ce domaine là et les uns contre uns. »
Comment se gagnait ce type de match ?

Bernard Casoni :
« Il ne faut surtout pas jouer le match avant, rester concentré. Ne pas être pris par l’émotion et par l’enjeu. »
Justement, vous devez avoir de nombreuses anecdotes sur ce « Classique » ?

Bernard Casoni :
« Je me souviens du match aller qu’on fait au Parc (Bernard Casoni en était le capitaine, ND.L.R.). C’était un match assez heurté qu’on avait gagné 1-0 grâce à Boksic et les fameux tâcles de Di Méco. Il y a eu aussi le match de Coupe de France qu’on gagne 2-0 au Parc et trois jours après, on perd à Brest. Mais globalement, ça s’est toujours bien passé. »
Est-ce que la manière de s’entraîner était différente la semaine du match ?

Bernard Casoni :
« Non c’est des conneries tout ça ! On ne changeait pas notre façon. Pourquoi changer? Pour quelles raisons ? Si notre méthode marche, il n’y a pas de danger. On avait des certitudes. C’était un match psychologique qui prenait de l’ampleur mais on a toujours su bien gérer ça. »
Il y avait de la pression sur ce match, notamment des supporters ?

Bernard Casoni :
« Tous les matches ! Quand vous êtes premiers, vous devez le rester. Paris rajoutait ce piment et ça nous galvanisait. Pour les supporters, c’était le match à ne pas louper. »
Bernard Tapie venait en remettre une couche ?

Bernard Casoni :
« Oui. Il amenait ce plus dans l’importance du match, il arrivait à nous transcender et savait ce qu’il pouvait apporter. Il appuyait sur les bons boutons. »
Est-ce que c’était LE match que vous cochiez d’un gros marqueur rouge sur le calendrier ?

Bernard Casoni :
« Sincèrement pour nous, non ! Pour les supporters oui ! On avait la Coupe d’Europe à côté. Mais ça nous empêchait pas de dormir. »
Quelles sensations ça procure quand on joue face au rival parisien ?

Bernard Casoni :
« De bonnes sensations. Surtout quand tu gagnes, on se sent puissant. Personnellement, j’en n’ai pas beaucoup perdu. Sauf un en Coupe quand on était en D2. »
Qu’est-ce qui vous plaisait le plus dans ces matches-là ?

Bernard Casoni :
 « On avait la concentration au maximum. Ça se joue comme en Coupe d’Europe. Il faut être plus performant, élever ton niveau de jeu au maximum. C’était un match de haut niveau avec de l’impact. »
Surtout que vous avez eu la face joueur et la face entraîneur avec l’OM …

Bernard Casoni :
« Oui je me souviens parfaitement du match en 99. On perd 0-1 et il y a les deux Leroy qui se font expulser (Jérôme pour l’OM et Laurent pour Paris, N.D.L.R.). Ça avait été un combat tactique. Ils avaient fait le choix de sortir un attaquant pour un milieu et moi j’avais décidé de ne rien changer. À la fin, on gagne 4-1. On est resté plus attentif et eux ont plus subi. »
Pour finir, quel est votre pronostic pour dimanche ?

Bernard Casoni :
« Je pense que Marseille va poser des problèmes à cette équipe du PSG. S’il continue à presser, à être efficace devant le but et repartir comme en début de saison, Marseille peut l’emporter. Je pronostiquerais bien une victoire 2-1 pour l’OM.
ShowFOOT.fr !

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l'OM prêt à mettre 5 millions sur un Caennais ?
Selon les informations de L'Équipe, l'OM pourrait mettre cinq ou six millions d'euros sur la table pour s'attacher les services de N'Golo Kanté, le joueur du SM Caen, en cas de qualification pour la prochaine Ligue des Champions.

Âgé de vingt-quatre ans, ce dernier évolue au poste de milieu de terrain. Il a inscrit 2 buts et délivré 2 passes décisives en 29 apparitions en Ligue 1 cette saison. Il serait également sur les tablettes de l'AS Monaco, de Mönchengladbach, du Bayer Leverkusen, Arsenal, Southampton et Newcastle. Le club phocéen est annoncé légèrement favori sur ce dossier.

footmarseille.com

Sébastien Perez : « Cette pression me transcendait »
Après Victor Zvunka et Bernard Casoni, ShowFoot continue son tour d’horizon des anciennes gloires de l’OM qui ont participé au Clasico OM-PSG. Et c’est Sébastien Perez, aujourd’hui directeur sportif de Dijon, qui se confie sur ces matchs si particuliers.

Sébastien Perez, si on vous évoque OM-PSG qu’est-ce qui vous reviens ?

Sébastien Perez :

« Ce sont des moments d’émotions, des sensations intenses; des matchs chauds et des ambiances incroyables. D’autant que j’ai eu la chance d’avoir eu que des bons résultats face à Paris. Je dois être l’un des rares d’ailleurs (rires). »

Ce sont des matchs à part selon vous ?
S.P. :
 « Forcément. Il y a un engouement, une envie de chaque côté car on voulait gagner. Ce sont des matches de haute intensité où il y avait énormément d’engouement. »

Y avait-il plus de pression étant donné que c’était le PSG ?
S.P. :
 « La pression, il y en a toujours eu à l’OM comme à Paris mais il faut bien s’en servir. Personnellement, ça me transcendait car je connaissais déjà un peu ça là où j’étais passé avant comme à Saint-Étienne, Bastia, Galatasaray. »

On en vient à ce match 99 quand vous recevez Paris au Vélodrome. Vous étiez quasiment dos au mur avant ce match et il y avait un besoin de gagner …
S.P. :
 « On avait besoin de points. On avait envie de changer ça et de faire plaisir aux supporters marseillais. »
Justement, comment avez-vous vécu ce match ?

S.P. :
« On avait mal commencé car on prend un but assez rapidement. Il y a eu cette expulsion des deux Leroy (Jérôme pour l’OM et Laurent pour Paris, N.D.L.R.) et ça a réveillé le stade et nous en même temps. Et la preuve est là puisqu’on gagne 4-1 à la fin du match. »

C’est d’ailleurs le tournant du match cette expulsion. Vous vous êtes concertés entre joueurs pour savoir comment il fallait jouer à 10 contre 10?
S.P. :
 « Ça va très vite. j’arrive dans les premiers pour séparer les deux joueurs. Mais on n’a pas changé notre façon de faire et on a continué à leur mettre la pression. Grâce à ça, on égalise très vite. »
Comme vous avez dit, vous revenez à un partout grâce à votre but de la tête. Qu’est-ce que ça procure quand on marque, surtout face au rival parisien ?
S.P. :
 « Déjà quand on marque au Vélodrome c’est impressionnant et encore plus dans le Clasico. Quand tu es dans dans ton match, tu ne fais pas attention, tu vois qu’il y a de la ferveur dans des matches comme ça. Mais c’est une fois que tu as revu les images que tu te dis que c’étaient des bons souvenirs. »

Quand vous rentrez au vestiaire à 1-1, qu’est-ce que vous vous dites entre vous ?
S.P. :
« De garder cette envie et de continuer à aller de l’avant. Continuer à mettre de la pression, mettre de la folie et enflammer le public. »

Au final, vous gagnez 4-1 …
S.P. :
 « Ça rajoute plus de saveur. Il y a une communion avec les supporters et à ce moment-là, on en avait besoin. Ça nous a fait un bien énorme. En plus, 4-1 ça marque bien. »
Un OM-PSG peut être le tournant de la saison ?

S.P. : « Forcément, c’est un moment important où dans des matches comme ça, il y a de l’enjeu et de l’impact. Cette saison au match aller, ça avait tourné en la faveur de Paris (victoire 2-0, N.D.L.R.). Ça tout le temps donné de bons matches et j’espère qu’il en sera de même pour ce dimanche avec du spectacle ?

Vous serez présent au match ?
S.P. : « Bien sûr »
Quel est votre pronostic ?

S.P. :
 « Je vois bien une victoire de l’OM. Peu importe l’écart. Que ce soit 1-0 ou un autre score, du moment qu’à l’arrivée il y a du spectacle. »

ShowFOOT
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Gaël Givet : « C’est le match de l’année »
Passé à l’OM entre 2007 et 2009, Gaël Givet n’a connu qu’un seul Classique pour une victoire. Aujourd’hui capitaine d’Arles-Avignon, l’Arlésien de naissance évoque ses souvenirs et son ressenti sur le match de dimanche soir.

Gaël Givet a porté les couleurs « ciels et blanches » entre 2007 et 2009
Gaël Givet, à titre personnel un OM-PSG ça doit vous parler ?
Gaël Givet : « Bien sûr. Il y a une grosse attente au niveau du public, des supporters. C’est le match de l’année, qu’il faut gagner absolument. J’en ai joué un et je le gagnais 2-1. »

Justement, ça fait quoi d’être l’un des marseillais invaincus face à Paris ?
G.G. :
 « En même temps, j’en ai joué qu’un (rires) mais bon, t’es content c’est clair. Marseille-Paris, c’est quelque chose d’important. J’ai eu la chance de jouer un de ces matches-là. »

Ça rajoute de la saveur quand on est natif de la région (Givet est d’Arles, N.D.L.R.) ?
G.G. :
 « Ouais bien sûr. Depuis tout petit, j’ai toujours été supporter de l’OM. Et depuis tout petit, c’était déjà le gros match. Celui qui m’avait marqué c’est celui de 1993. Trois jours après la victoire en Ligue des Champions, Basile Boli met cette tête à l’entrée de la surface de réparation. C’est ces images-là qui me restent, c’est aussi des Di Méco qui mettaient des tacles à la carotide. Maintenant, c’est différent. »
Vous qui avez connu cette pression, la semaine était-elle différente, notamment sur les entraînements ?
G.G. :
« Non, non. C’est vrai que pour les supporters et l’environnement c’est un match spécial mais il ne faut pas se mettre plus de pression que ça. Bien sûr que c’est un match important mais comme je vous dis, il ne faut pas se mettre trop de pression. C’est ayant trop de pression que ça peut péter les plombs, des cartons rouges ou des bêtises comme ça (sic). Il faut le gérer comme un autre mais il y a encore plus de pression vu que les deux équipes sont au coude à coude. Quand j’ai joué, je crois qu’on était un peu devant. Ce n’était le Paris d’aujourd’hui. C’est d’autant plus intéressant car il y a quelque chose au bout et pas que la rivalité Paris-Marseille. »
Quels regards portez-vous sur ce « Clasico » ?
G.G. :
« J’aimerais vraiment que l’OM gagne pour l’intérêt du championnat car j’ai l’impression que si Paris gagne à Marseille, je pense que le championnat risque d’être plié. Donc ça serait sympa que Marseille gagne, que les trois équipes se retrouvent à égalité pour les sept derniers matches. Après le truc, c’est que Paris reste concerné sur les quatre compétitions donc ça va être un match très intéressant et j’espère qu’il y aura beaucoup de qualité. Quand je vois Paris en championnat, c’est l’équipe qui m’énerve le plus et quand je les vois en Ligue des Champions contre Chelsea, les mecs ont fait rêver. »

Marseille a les armes pour battre le PSG ?
G.G. :
« Bien sûr qu’ils ont les armes. Ils ont les armes devant, après derrière je ne sais pas comment ça va s’organiser. Au milieu, ils ont Ayew en forme, Batshuayi, Gignac. Sur des matches comme ça, même un mec comme Thauvin peut se révéler et faire la différence. Mais c’est sûr et certain qu’ils ont les armes. »
« Marseille a les armes pour battre le PSG »

Vous comptez vous rendre au Vélodrome ?
G.G. :
 « Non, je prends un peu de recul par rapport au football. J’aime bien regarder des matches et je regarderai celui de dimanche. Mais je me détache un peu. »
Quel est le pronostic de « Cap’tain Givet » ?

G.G. :
« J’aimerais bien un petit 2-1 pour l’OM … »
Comme Coach Zvunka …

G.G. :
« Ah ouais ?! Beh vous voyez. C’est peut-être l’âge qui fait ça même si je n’ai pas encore soixante ans (rires)

Showfoot

  Cet ancien joueur de l’OM qui a vendu une médaille pour de la cocaïne...
Champion du monde avec le Brésil en 1970 et ancien joueur de l’OM, Paulo César a révélé qu’il avait revendu sa médaille d’or contre de la cocaïne. Un geste qui démontre sa terrible descente aux enfers…
À désormais 65 ans, Paulo César a décidé de tout déballer. L’ancien joueur de l’OM, de Botafogo, Flamengo, Fluminense, Gremio ou encore des Corinthians, a révélé au grand jour son addiction aux drogues et à l’alcool. Au cours d’un reportage accordé à la chaîne Globonews, l’ex-Phocéen a affirmé avoir vendu sa médaille de champion du monde décrochée avec le Brésil en 1970 au Mexique contre de la cocaïne.
« JE N’AURAIS JAMAIS DÛ VENDRE UNE MÉDAILLE SI PRÉCIEUSE »

« Je n'avais pas de contrôle émotionnel. Jamais je n'aurais dû négocier et vendre une médaille si précieuse. C'est une perte énorme! Je ne l'ai jamais dit à personne, mais maintenant je vais me confier. (…) Le plus important pour moi, c'était la cocaïne. La médaille l'était moins », a ainsi conclu Paulo César, comme l’a relayé L’Equipe. Au cours de cet entretien, l’ancien joueur de l’OM révèle que sa pénible dépendance à la drogue avait débuté en France…
UNE CONSOMMATION QUI DÉBUTE À MARSEILLE…

Une consommation qui aurait notamment commencé à Marseille, lui qui a honoré les couleurs phocéennes lors de la saison 1974-1975. Une forte dépendance de Paulo César qui lui aurait notamment valu le prix de trois appartements à Rio de Janeiro selon lui. Aujourd’hui, il se dit sobre grâce à son médecin qui a su lui faire retrouver le droit chemin. Le champion du monde suit d’ailleurs toujours l’actualité de la Ligue 1, lui qui est toujours consultant pour divers médias. Pour rappel, Paulo César avait inscrit la bagatelle de 18 buts en 37 matchs sous le maillot phocéen.
Live foot

Bielsa fait un sacré cadeau à une sacrée supportrice

Marcelo Bielsa a fait un beau cadeau à une supportrice argentine des Newell’s Old Boys, le club où El Loco est resté une légende. Ayant été prévenu par son interprète, lui-même informé par des journalistes, que cette jeune femme était présente ce lundi au centre d’entraînement de l’Olympique de Marseille, Bielsa a demandé que la supportrice lui soit présentée dans les locaux phocéens. Et Marcia, c’est le prénom de la veinarde a donc pu rencontrer son idole et l’a évidemment fait savoir.
« Je viens de réaliser mon rêve. J'en tremble encore. J'ai pu voir Bielsa quelques instants et j'en suis vraiment bouleversée. J’avais les larmes aux yeux quand il est arrivé. Il m'a pris dans les bras. Je n'arrêtais pas de lui dire "merci, merci", mais c'est lui qui m'a remercié d'être venu le voir de si loin. C'est vraiment une personne simple et humble. Je lui ai donné un fanion de Rosario et lui m'a signé un maillot que j'avais amené. Il m'a aussi offert une veste de l'OM avec ses initiales. On a fait une photo ensemble. Je ne pouvais pas rêver mieux », a confié, sur RMC, la jeune supportrice argentine qui se souviendra longtemps de ce lundi 20 avril. Les supporters de l’OM, présents pour assister à la chance, n’ont pas eu cette chance, mais l’aventure ajoutera quand même à la légende de l’entraîneur argentin.
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OM : autopsie d’une dégringolade
Sémillant leader à la trêve, Marseille ne met plus un pied devant l’autre et pourrait terminer la saison sans qualification européenne. Comment en est-on arrivé là ? Décryptage.
Séduisant champion d’automne, l’Olympique de Marseille n’a pas confirmé sur la durée. Pire, alors que, bon an mal an, elle pouvait encore rêver du titre de championne, la formation de Marcelo Bielsa a explosé en vol au pire moment en concédant quatre défaites consécutives. Des revers qui ont mis le feu à la Canebière et quasiment éteint les espoirs de Ligue des champions phocéens. Retour sur cette inexorable descente aux enfers, au moment où l’OM, en déplacement à Metz vendredi soir, n’a désormais plus, comme unique objectif, que de sauver ce qui peut encore l’être.
Usure physique et mentale
Marquage tout terrain imposant des efforts constants, entraînements répétitifs, séances vidéo à rallonge, l’exigence de la méthode Bielsa, largement relayée à son arrivée, n’avait donc rien d’une légende. «J’ai connu des entraîneurs comme ça, Félix Magath par exemple. En Allemagne, dans tous les clubs qu’il a faits, il a eu des résultats immédiats. Mais au bout d’un moment, lorsqu’on considère les joueurs comme des machines, on se heurte à l’homme et ça devient difficile. Il a une méthode très particulière, qui amène toujours des résultats immédiats mais qui ne durent jamais», avait stigmatisé Willy Sagnol dès le mois de septembre, alors que l’OM tournait à plein régime. Malheureusement pour les supporters marseillais, l’entraîneur bordelais ne s’était pas trompé.
Flamboyante lors de la première partie de saison, l’équipe phocéenne traîne sa peine depuis la reprise (16e de Ligue 1 sur la phase retour). Les jambes coupées et l'esprit embué. «Ça fait 34 journées qu'on travaille de la même façon. C'est normal qu'on soit lassé parce qu'on fait la même chose», glissait Giannelli Imbula avant la déroute face à Lorient (3-5). Tant qu'il y avait une grosse carotte au bout, les corps et les têtes se sont accrochés. Tant bien que mal. Permettant à l'OM d'offrir, par moments, un visage semblable à celui de 2014 (6-1 contre Toulouse ; 4-0 contre Lens). Mais, devant l'enchaînement de scénarios contraires (absence de longue durée de Nkoulou et quelques décisions arbitrales défavorables), la corde a fini par craquer.
Et les limites de cet effectif, à la fois quantitatives et qualitatives, ont éclaté au grand jour. «La défaite contre Paris (2-3) et le match de Bordeaux (1-0), avec ce qui s’est passé (penalty oublié pour une faute sur Alessandrini, NDLR), ça nous a mis un coup au moral, ça nous a fait plus mal que l’on pensait», a avoué Dimitri Payet mercredi. Un mal que la vague de départs annoncés (Ayew, Fanni, Nkoulou, Gignac...) a participé à aggraver. A quoi bon «s'arracher» pour bien finir quand on sait que son avenir ne s'écrit plus à Marseille...
Bielsa, la fin de l'état grâce
De héros à zéro. Dans un championnat de France réputé frileux, le jeu tout feu tout flamme de Marcelo Bielsa a surpris. Ses choix tactiques ont détonné. Mais à mesure que son équipe se délitait, les adversaires se sont adaptés. Et, en l'absence de plan B, tout est devenu plus compliqué. Isolé, le technicien argentin, dont l'avenir incertain a sans doute aussi influé sur le moral des troupes, n'a même pas tenté de nier ses difficultés face à la presse : «Les joueurs prennent toujours leurs distances avec l’entraîneur quand les résultats ne sont pas là. Je ne fais pas exception à la règle.» «Mais, pour éviter tout malentendu, je précise que je n'ai rien à reprocher à personne, a-t-il ajouté. Les joueurs ont toujours tout donné. En tant que leader, je me dois d'éviter que ceux qui sont sous ma conduite plient face à l'adversité et l'équipe a dû en affronter énormément. Or, je n'ai pas réussi à maintenir sa forme face à cette adversité. Je suis responsable, pas les joueurs.» Tous figurent néanmoins encore dans le même bateau. A qui il reste quatre journées pour ne pas sombrer un peu plus...
Figaro

Un ancien coach de Benfica à l'OM ?
«J’ai un très bon feeling avec Marseille. Je connais d’ailleurs pas mal de gens du club. Je connais très bien l’équipe et les joueurs. Effectivement, ça peut être très intéressant pour moi. Mais, une nouvelle fois, il faut respecter l’entraîneur qui est en place», a déclaré Quique Sanchez Flores sur RMC, au sujet de l’OM. A 50 ans, le coach espagnol est notamment passé par Valence, Benfica et l’Atlético Madrid.
Figaro

Ils feraient mieux de conserver enfin un peu de stabilité au niveau de l'entraîneur !
Maintenant qu'ils en un qui a quand même réussi à placer le club à la première place pendant une moitié de saison avec un effectif peu fourni et pas si talentueux que ça.

Clash de fin pour Thauvin ?
Écarté du groupe par Marcelo Bielsa pour le déplacement à Metz hier soir, Florian Thauvin vit une saison cauchemardesque. Son avenir semble aujourd’hui s'écrire ailleurs qu'à Marseille.
Après une première saison moyenne qui pouvait s’expliquer en partie par une préparation ratée suite à son bras de fer avec le LOSC pour rejoindre l’OM, Florian Thauvin ne s’attendait certainement pas à vivre une deuxième année encore plus difficile. Il faut dire que le club phocéen et les supporters attendaient beaucoup de celui qui avait été peut-être un peu trop vite vendu comme « le nouveau Ribéry » par Vincent Labrune.
Pris en grippe par les supporters et une partie du vestiaire
L’arrivée de Marcelo Bielsa aurait pu lui permettre de franchir un cap pour enfin exploser au plus haut niveau, d’autant que le coach argentin n’a cessé de lui témoigner une confiance indéfectible tout au long de la saison, quitte à se mettre mettre une partie de groupe à dos.  « Je crois beaucoup en Thauvin, c’est l’un des joueurs qui m’a le plus impressionné dans ma carrière, parmi ceux que j’ai entraîné. Je sais qu’il n’est pas dans une très bonne période, mais j’ai confiance (…) Avec le temps il deviendra l’un des meilleurs,  joueurs de France, et donc l’un des meilleurs joueurs du monde » ,  nous expliquait l’ancien sélectionneur de l’Argentine.
Mais le jeune olympien n’aura jamais rendu cette confiance à son coach. Certainement frustré de ne pas pourvoir donner le meilleur de lui-même dans un système de jeu, où il laisse énormément d’énergie à défendre, Thauvin a fini par totalement déjouer, agaçant ainsi ses partenaires et le public en se montrant totalement inefficace offensivement et trop individualiste.

« Il a progressé dans tous les domaines, athlétiquement, tactiquement, nous confiait toutefois récemment son ancien formateur, Olivier Saragaglia ( actuel entraineur du GF38). Techniquement par contre je ne retrouve pas le Thauvin de Bastia. Bielsa demande aussi beaucoup d’efforts défensifs à ses joueurs. Il laisse beaucoup de jus à défendre, il est moins efficace que la saison dernière. »
Le clash de trop
Furieux de la réaction de son protégé lors de son remplacement à Bordeaux, l’entraîneur marseillais l’a sèchement recadré devant tous ses coéquipiers quelques jours plus tard.

« Quand on voit Thauvin s’agacer la semaine dernière quand il sort alors que Bielsa l’a toujours protégé, on touche du doigt l’ingratitude. À fond derrière le coach quand ça marche, moins quand ça ne va plus, » commentait Daniel Riolo.
Le coach argentin avait déjà du recadré Thauvin à la mi-temp du match contre Metz au vélodrome en décembre dernier. Cette fois, il a décidé de l’exclure du groupe retenu pour le déplacement à Metz.

« Il n’y a aucun problème avec Thauvin. Pourquoi je ne l’ai pas retenu? Parce que j’ai choisi d’autres joueurs à sa place, pas parce que j’ai eu un problème particulier avec lui », a commenté Bielsa hier soir. Fidèle à ses principes, le coach argentin ne critiquera jamais publiquement un de ses joueurs.

Toutefois, au vu de la performance de Romain Alessandrini hier soir, Il parait peu probable que l’ancien bastiais retrouve une place de titulaire d’ici la fin de saison.
Un départ inéluctable cet été.

 

Thauvin dispose aujourd’hui de peu de soutien à Marseille. Même Vincent Labrune, qui avait tout fait pour le recruter semble décidé à le vendre lors du prochain mercato estival. Sans ligue des champion la saison prochaine, l’OM devra vendre plusieurs joueurs et Thauvin reste l’un des seuls olympiens à disposer d’une certaine côte à l’étranger. A en croire les dernières informations en provenance d’Angleterre, Tottenham serait disposé à mettre 20 millions d’euros pour s’attacher les services de l’orléanais. Si une telle offre parvient du coté de centre RLD, elle sera impossible à refuser, quitte à voir exploser le jeune international espoir loin de Marseille, comme le prédisait tous les techniciens qui l’ont entrainé.
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