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Le conseil d'administration du Racing Club de Strasbourg, réuni ce lundi après-midi, a entériné la démission de Léonard Specht de la présidence du club. Comme il l'annonçait dans les colonnes de L'Equipe, Philippe Ginestet, l'actionnaire majoritaire du RCS, reprend le fauteuil de président, à la demande de l'ensemble des administrateurs. Il sera secondé au quotidien par Jean-Luc Herzog, qui outre ses fonctions de directeur général, a été nommé président délégué par le conseil d'administration. Enfin, Pascal Janin, le successeur de Gilbert Gress, a été confirmé dans ses fonctions d'entraîneur de l'équipe professionnelle du RCS.

Je remet ici ma réponse que j'ai donné sur un autre post.

Ginestet, président ou pas, c'est un faux débat.

On a bien vu que c'est toujours l'actionnaire majoritaire qui décide. On l'a d'ailleurs également vu à Marseille et à Paris....

A partir du moment où il reste actionnaire majoritaire, il n'a qu'a être président. Cela ne change rien.

La vrai question est doit il avoir un nouvel autre actionnaire majoritaire ?

Et la question ne se pose pas vraiment puisque personne ne veut racheter le club, celui-ci n'ayant aucun actif (club non propriétaire du stade et valeur marchande des joueurs nulle).

Donc oui Ginestet président. Mais par défaut.

L'idéal, c'est qu'un autre actionnaire arrive et prenne la place de Ginestet.

Kientz n'est plus interreser avec ses investisseur allemand et suisse

Je ne pense pas qu'ils veuillent s'investir sans lui.

sans qui Ginestet

Nan Kyenst. Mais de toutes facons jamais Ginestet de vendra ses part, il ne le veut pas et ne l'a jamais voulu contrairement à ce qu'il à dit.

le 24/08/2009 à 16h16


"L'infâme est de retour ! Bienvenu sur le Titanic !"

Racing : Ginestet reprend la main

Comme annoncé il y a quelques heures sur ce même site internet, Philippe Ginestet, actionnaire majoritaire du Racing Club de Strasbourg, va reprendre la présidence du club alsacien à la demande de l'ensemble des administrateurs. Il a par ailleurs confirmé Pascal Janin au poste d'entraîneur, comme nous l'indiquions dès samedi soir sur www.lalsace.fr.
A l'issue de l'entraînement du groupe vers midi aujourd'hui, Ginestet avait déjà annoncé aux joueurs du club strasbourgeois sa décision de reprendre la présidence du RCS.

Démissionnaire fin mai à la suite de l'échec de la montée en Ligue 1 du club, l'entrepreneur immobilier n'a cependant pas changé d'avis dans sa volonté de prendre du recul.

«Je dois tenir compte de l'évolution négative actuelle, j'assumerai la présidence jusqu'à la réorganisation de l'actionnariat. Aujourd'hui il y a des contacts informels, ça peut prendre du temps», a-t-il déclaré lors d'un point presse tenu à l'issue du conseil d'administration. Comme pressenti depuis quelques jours (voir nos précédentes éditions), Philippe Ginestet a demandé à Jean-Luc Herzog, actuel directeur général, d'être également président délégué du RCS.

Le principal bailleur de fonds succède à Léonard Specht, nommé en juin dernier. Le champion de France 1979 avec Strasbourg avait jeté l'éponge le 12 août dernier lors du conseil d'administration extraordinaire qui avait également entériné le licenciement de l'entraîneur Gilbert Gress.

Source: L'Alsace.

Une situation qui n'est pas beaucoup différente en réalité de celle que l'on connaissait précédemment où Ginestet commandait Specht comme un petit pantin ^^ sauf que cette fois-ci, il n'utilise plus de pantin ^^

Si ,c'est salut le pantin et bonjour la marionette.Et en plus tata Ginette retrouve son joué.Comme je l'avais déjà noté j'ai pronostiqué une victoire contre SEDAN mais de l'autre coté si on perd encore queques matchs quitte a revoir la meinau en feu .Raser toute la direction et commencer a zero.Car si je regarde plus loin si on fait une saison avec les zozos actuel on termine 11 iem .L'an prochain le budget baissera encore plus tata Ginette et tonton HERZOG auront encore plus d'oursins en poches.Donc autant péter tout tout de suite et reconstruire a zero.

Racing: Cousu de fil blanc

Comme prévu, l’actionnaire majoritaire Philippe Ginestet a repris hier la présidence du RCS et promu au poste de président délégué son directeur général Jean-Luc Herzog. L’épilogue d’un dernier trimestre agité comme jamais ?

L’affaire était dans l’air depuis un long moment (« L’Alsace » du lundi 10 août). Elle est désormais effective. Hier, le conseil d’administration du Racing a entériné quatre décisions attendues depuis plusieurs jours : un, la nomination de Pascal Janin, intérimaire depuis le 12 août, comme coach ; deux, la démission de Léonard Specht, présentée précisément le 12 août et retardée jusqu’à ce lundi pour permettre de désigner un successeur ; trois, le retour à la présidence du CA de Philippe Ginestet, l’actionnaire majoritaire, auquel Specht avait succédé le 6 juin ; quatre, la nomination du directeur général Jean-Luc Herzog à un poste de président délégué.

Ginestet : « Je n’ai pas changé d’idée »

Bref, à ce jeu des chaises musicales, tout le monde s’est rassis, certes un peu dans le désordre, ce qui est plus qu’une façon de parler après les trois mois d’agitation que vient de vivre le club. Seul Gilbert Gress, reçu hier matin par Herzog en entretien préalable à un licenciement, n’a pas retrouvé son fauteuil. Il en a même été éjecté (voir par ailleurs).
Après un CA vite expédié, Philippe Ginestet a présenté devant la presse les détails de la réorganisation qu’il a initiée. « Les administrateurs souhaitent me sortir de ma jeune retraite. Je n’ai pas changé d’idée, je veux toujours prendre du recul, mais je dois tenir compte de l’évolution négative du club en ce début de saison. Je vais donc retrouver la présidence. Pour prendre du recul, j’attendrai une évolution de l’actionnariat. Des contacts informels ont été pris, mais ils risquent de demander un peu de temps. J’assumerai de nouveau cette responsabilité avec beaucoup de dévouement et de passion. »

« Pascal Janin est un homme de consensus »

En fin de matinée, trois heures avant de s’adresser aux médias, l’ex et nouveau président était passé aux vestiaires pour assurer les joueurs de son soutien. « Aujourd’hui, l’organigramme est très clair. Il n’y a aucun flou dans l’organisation du club. Au terrain de parler. J’ai dit aux joueurs que leur responsabilité était de tirer le Racing vers l’avant. Certes, notre préparation n’a pas été idéale, mais il n’y a pas lieu de se réfugier derrière ça. »
Après les traditionnels remerciements à son prédécesseur Léonard Specht ( « pour son investissement, sa grande passion pour ce club, même si les choses ne se sont pas déroulées comme il le souhaitait »), P. Ginestet a appelé l’environnement à un retour au calme. Un calme qu’incarne selon lui Pascal Janin, entraîneur tout court après avoir été intérimaire pendant douze jours. « J’ai trouvé en Pascal, que Léonard avait choisi, un homme de consensus. Il est l’entraîneur du RCS, plus l’entraîneur intérimaire. La façon dont il a pris son groupe laisse espérer un retournement positif. »
Pas au point cependant de lui inspirer une exigence qu’il a parfois manifestée haut et fort en public. Après le chaos du dernier trimestre, l’homme d’affaires définit sa ligne de conduite autour de deux vertus : « Travail et humilité. Dans notre situation, nous n’avons plus le droit de parler de montée. Cette montée, nous la gardons au fond de notre esprit, c’est tout. La priorité est de retrouver le chemin de la victoire. Après, on verra. »
Elle est aussi de retrouver un semblant de tranquillité. Pour que la saga du terrain éclipse enfin celle des coulisses.

Par Stéphane Godin pour L'Alsace.

Retour à la case départ

Philippe Ginestet est redevenu président du Racing hier, trois mois seulement après avoir quitté son fauteuil au profit de Léonard Specht. Il sera aidé dans sa tâche par Jean-Luc Herzog, nommé président délégué.

Tout est donc finalement rentré dans l'ordre. Hier après-midi, à l'issue du deuxième conseil d'administration extraordinaire convoqué en moins d'un mois, Philippe Ginestet est redevenu officiellement président du Racing Club Strasbourg.
Une décision attendue, qui avait d'ailleurs filtré dès la fin de matinée, quand Ginestet avait réuni l'équipe et le staff technique, dans les vestiaires de la Meinau, pour leur annoncer son retour à la tête du club.

« J'ai pris en compte l'évolution négative »

« Le conseil d'administration a souhaité me sortir de ma toute jeune retraite, a lancé Ginestet, je n'ai pas changé sur ma volonté de prendre du recul, mais j'ai aussi pris en compte l'évolution négative du club et j'ai assumé mes responsabilités ».
Des responsabilités que Philippe Ginestet a toutefois fois décidé de partager avec Jean-Luc Herzog, le directeur général. Ce dernier, qui garde son poste administratif, peut désormais ajouter le titre officiel de "président délégué" sur sa carte de visite.
« J'ai pris des engagements professionnels très importants, justifie Ginestet à ce sujet, cette semaine, par exemple, je ne suis pas là et je ne peux pas assister au match face à Sedan. Il fallait que je trouve une formule de travail. Jean-Luc Herzog assumera donc le poste de président délégué, c'est à dire qu'il me suppléera en mon absence ».
Dit autrement, Philippe Ginestet sera titulaire, et Jean-Luc Herzog remplaçant. « Cette nomination permet à Jean-Luc Herzog de s'exprimer en tant qu'interlocuteur officiel, c'est important pour que le club soit représenté en toutes circonstances », ajoute encore le président.
Jean-Luc Herzog, de son côté, affirme que cette promotion va « changer beaucoup de choses » en le faisant passer de la « partie immergée » (administration, fiscale et autres) à un poste où il sera « mieux reconnu et plus impliqué dans la partie sportive ». Et forcément plus exposé, serait-on tenté d'ajouter.
Reste que, fondamentalement, la décision de Philippe Ginestet de reprendre la main, même en déléguant une partie de son travail à Jean-Luc Herzog, n'a rien d'un bouleversement. Au contraire, cette décision ressemble à un retour à la case départ, après le court interlude Léonard Specht.

« Son intérim a été bref, mais Léo a été courageux d'accepter le poste »

Un « Léo » auquel Ginestet n'a d'ailleurs pas manqué de rendre hommage, comme il est de coutume dans ce genre de circonstances. « Son intérim a été bref, mais Léo a été courageux d'accepter le poste », a lancé Philippe Ginestet.
L'ex et nouveau président a aussi profité de son retour aux affaires pour parler d'un autre intérimaire, nommé Pascal Janin. « Il faut apporter de la sérénité et enlever cet adjectif "intérimaire", a insisté Philippe Ginestet, Pascal Janin est bien l'entraîneur du club. C'est un homme de consensus et sa prise en mains du groupe s'est effectuée dans des conditions difficiles, mais ça semble aller dans le bon sens ».
Là non plus, rien de bien surprenant, puisque Philippe Ginestet, après sa rencontre avec Pascal Janin samedi après-midi, avait déjà évoqué « l'état d'esprit positif » insufflé par le coach depuis le départ de Gilbert Gress (lire aussi ci-contre).

« Retrouver le chemin de la victoire »

Reste un point d'interrogation, qui concerne la durée du nouveau bail présidentiel. Philippe Ginestet l'a répété à plusieurs reprises : il a « toujours la volonté de prendre du recul ». Autrement dit, il veut vendre une partie de ses actions, lui qui est largement majoritaire au sein du RCS avec 70% des parts.
« Des contacts informels sont en cours, mais ça peut prendre du temps. J'attendrais de voir l'évolution de l'actionnariat et une éventuelle recomposition. En attendant, j'assumerai mon rôle », a encore précisé Philippe Ginestet.
Reste désormais « à retrouver le chemin de la victoire », comme le souligne encore le président, avant d'ajouter: «Désormais il n'y a plus aucun flou, l'organigramme est clair. Au terrain de parler !».
Et surtout, de donner du plaisir à un public alsacien qui préférerait que le Racing fasse parler de lui pour ses résultats et non pour ses crises à répétition.

Par Barbara Schuster pour D.N.A.

« Un point manquant »

Pour son retour à la tête du club, Philippe Ginestet est revenu sur l'échec de la remontée, en fin de saison passée et sur les objectifs de la saison 2009/2010.

« A Strasbourg, il y a toujours un emballement, mais il faut relativiser les choses et éviter d'être toujours soit dans l'euphorie, soit dans le catastrophisme.
Ces derniers temps nous avons souvent été très critiqués et c'est sûrement mérité. Mais je tenais à rappeler que le football tient souvent à peu de choses.
La saison passée, il nous a manqué un point. Ce point manquant représente beaucoup mais tout n'est pas non plus à jeter. Encore une fois, il ne faut pas faire preuve de catastrophisme. Mais, il faut être réaliste : aujourd'hui, on n'a plus le droit de parler de montée, mais seulement de travail et d'humilité. Après ces quatre premiers matchs, il faut de l'abnégation. La priorité est de retrouver le chemin de la victoire et on verra ensuite pour les objectifs ».

D.N.A.

On va peut-être me balancer des pierres, mais moi Ginestet j'arrive pas à le trouver horrible comme Président..
Il a, certes fait des erreurs, mais c'est un homme intelligent qui aime le Racing

Je pense pareil que toi. Puis même si beaucoup de ses décisions sont discutables , c'est quand même le mec de l'histoire qui a le plus injécté d'argent au RCS et qui a voulu (je dis voulu ... ) faire devenir le racing un grand club (cf l'Eurostadium) !

Voilà, et je trouve débile que certains disent qu'il a aucune ambition, qu'il a pas un centime pour nous, que c'est le pire de notre histoire.
Enfin bref, ça fait 3 mois qu'on dit qu'il faut soutenir notre club à fond, y a les joueurs mais aussi les dirigeants

Oh oui certainement un des pires...
Soutenir le club ne veut pas dire soutenir les dirigeants, je pense d'ailleurs que Ginestet aura droit à sa petite banderole ce vendredi.

Ginestet "intelligent sur sa façon de gérer ce club", ben son bilan dit le contraire!! Après bien sur qu'il ne le fait pas exprès, mais il me semble totalement incompétent.Bref il va falloir faire avec...

Moi je pense que la crise n'est paz fini, si le club continu à etre dirigé aussi mal on ira pas bien loin et tout va à nouveau etre remis en cause.
Son bilan n'est pas bon et il s'obstine.
Maintenant à nous les supporters de ne pas ce laisser faire mais de soutenir les joueurs et l'entraineur.

Moi je ne répond pas sinon je prend un carton rouge.Mais je pense que les 3 ou 4 personnes qui sont de mon cotés n'en pense pas moin.

non seulement son bilan n'est pas bon, il est catastrophique et lui qui parla d'humilité alors qu'il n'en a pas la moindre goutte sinon il se serait retiré. Il a mené le club au gouffre dans lequel il se trouve, je rappelle quand même qu'un président pas si lointain, Weller, a aussi injecté son argent mais avec beaucoup plus de doigté et de succès. Le racing mérite mieux, il a un potentiel spectateurs que beaucoup de clubs lui envient mais hélas pas les dirigeants qu'il faudrait

A rrétes de critiquer tout le temps notre président qui a tout de méme fait pour notre Racing le logo et la couleur bleue.Il est bon ce mec . :$

MONTZUCK a écrit:

Moi je ne répond pas sinon je prend un carton rouge.Mais je pense que les 3 ou 4 personnes qui sont de mon cotés n'en pense pas moin.

Regarde donc un peu le sondage, il y en a 16 autres sur les 19 votants qui pensent comme toi !

Sinon pour répondre à Allender et à PJ : oui je le trouve horrible comme Président, et je pense que c'est bien le pire, même Proisy n'avait pas fait pire, il suffit de regarder la lente déchéance de l'équipe pour s'en apercevoir. Quant au fait qu'il ait investi du fric et que ce fric ait majoritairement servi à licencier des coachs me renforce dans mon idée qu'il est incompétent.

Maintenant, je n'ai pas dit que je le trouvais horrible comme personnage. Contrairement à pas mal de supporters, je ne suis pas convaincu qu'il soit une enflure ou un escroc, au contraire. Oui il aime son club, oui il sait qu'il a fait des erreurs, oui il l'a reconnu plusieurs fois (dans l'article d'aujourd'hui des DNA il admet que les attaques des supporters sont méritées), donc moralement il n'est pas complètement à la ramasse (sûrement beaucoup plus honnête qu'un Afflelou, un Tapie, sans même parler d'un Kashkar ...). Le problème c'est que sur le plan sportif, ça nous fait une belle jambe ... Le fait qu'il ait voulu bien faire et qu'il reconnaisse ses fautes permet de lui pardonner à moitié, mais pas plus. Ses choix sportifs et politiques dans la construction du club sont mauvais, point barre.

K4 c'est facile de dire il y en a 16 autres mais ils doivent faire la sieste ou ils ont peur de s'exprimer .Cela serai bien cela m'eviterai de prendre des cartons à toujours défendre les mémes raison.
Attention moins fort il y a VAUTROT qui guétte.lol

Rien que sur cette page, tu as candyatron, Poncho et Fabrice qui ont une aussi piètre opinion du Président que toi ...

Oui mais eux se sont des potes a VAUTROT lol

Tu te compliques bien la vie quand même ...

Non je suis un mec qui est pour la justice et que tout soit sur la méme longueur d'ondes .Tu te fais traiter de catin c'est normal personne reagi .Je dis un truc un peut sévère et boum le jaune trouver l'erreur .Comme caractére je suis comme un Gress ou un CANTONA je dis ce que je pense.Pas comme certain.Qui parle de justesse et qui ont largement leur préférence c'est cela qui me bouffe.Car moi je n'ai jamais traité quelqu'un sur le forum

Moi j'ai voté oui au sondage.
Oui pour que Ginestet soit président en tant qu'actionnaire majoritaire.

Sa plus grosse boulette aura été de chercher Furlan qui venait de faire descendre Troyes (il a fait descendre troyes en ligue 2 et maintenant ce club est en national.....qui sait si l'histoire ne va pas se répêter avec le racing....).
Furlan a coulé le club (quel est l'entraineur capable d'aligner 11 défaites d'affilée ???!)

Je dirais donc que Ginestet est responsable mais non pas coupable de la longue descente aux enfers du racing

C'est bien ; maintenant répétez après moi : Ginette est beau et intelligent, c'est le président du racinge, le seul l'unique qui ira en national oh yeah !

NON désolé, plutôt je quitte la salle .lol

Responsable mais pas coupable ..comme en politique !!!par contre , et ça c'est criard il est très mal entouré , lequel (a part Specht) est un ancien footballeur de haut niveau ?

D'accord avec toi!
Et moi je n'aime vraiment pas Hertzog.

Ginestet est surtout coupable d'avoir gardé Furlan malgré ses 11 défaites, évidemment, le licencier aurait coûté cher, mais je crois que la situation actuelle de ce (club) est plus dispendieuse que le reste, notre président est un incapable côté foot, ses pépettes quoi qu'on en dise ne se chiffrent pas à des sommes faramineuses sinon on aurait une autre équipe aujourd'hui que cette bande de paresseux qui traîne sur les terrains depuis le début de la saison