Le bilan du Racing cette saison se résume pour l'instant à 1 victoire, 1 défaite et... 4 matchs nuls. Soit un taux d'invincibilité de 85% mais un bilan comptable inquiétant (sans notre victoire contre Colmar, on accompagnerait les équipes promus cette année dans la zone rouge). Alors pourquoi a t-on autant de difficulté à gagner un match, même en national ? Pourquoi n'arrive t-on pas à tenir un résultat quand on mène au score ? La parole est à vous.

Je dirai un manque de cohésion lié à un renouvellement très large de l'effectif donc à un manque d'automatisme mais cela semble petit à petit se mettre en place.
Allié ensuite à une situation extra-sportive peu habilitée à mettre les joueurs dans un climat de confiance surtout pour un effectif encore bien jeune et qui ne connait ainsi pas vraiment sa valeur et donc ses capacités à briller ou non lors de sa carrière.
Enfin, une incapacité à boucler une rencontre quand l'heure est arrivée de le faire comme contre Cannes ou le PFC voire à Bastia.

Ca en fait un de plus

Je comptais justement en profiter pour relancer mon petit débat qui n'a pour l'instant pas connu un franc succès, mis à part le sondage

Ma question est effectivement toujours plus d'actualité : pourquoi n'arrive t-on pas à faire ce qui fait la différence dans le foot, à savoir marquer un but de plus que l'adversaire ?

Moi j'aurais rajouté une possibilité .....le manque d'ambition collective.
Ces joueurs n'ont pour la plupart pas connu mieux que le national alors même avec les discours de Coach Fournier..difficile pour eux de se projeter vers un avenir en L2, pour eux bien figurer en national c'est déjà pas mal....et dans le jargon je dirais aussi qu'ils ne savent pas se faire mal !!!

Il faut laisser du temps à cette équipe toute nouvelle.
Le problème, c'est que nous n'en avons pas puisqu'il semble qu'il y ait consensus pour affirmer que si on ne monte pas cette saison, c'est fichu pour le monde professionnel à Strasbourg.
Bref, on est entre le marteau et l'enclume.

Et encore un
Pourquoi , si on le savait on pourrait au moins y remédier ou tenter de le faire.Mais là le staff semble impuissant et les dirigeants complètement aveuglés par leur cupidité

Le Racing est arrangeant, pas besoin de créer de nouveau débat à ce rythme. 3 matchs nuls lors des 4 derniers matchs

Et je crains qu'il faudra aussi s'en satisfaire à Beauvais.

On ferait mieux de prendre les 3 pts à chaque fois à la Meinau. AU moins, on pourrait aller les mains dans les poches à l'extérieur :|

Un de plus à rajouter ce soir??

et NNNNNNNNNNNNNNNOOOOOONNNNNNNNNNNN !!!!!!!

On reste sur le podium des équipes ayant fait le plus de nuls ...mais bien content qu'on ne rajoute pas une unité ce soir

Poncho a écrit:

Un de plus à rajouter ce soir??

Je réitère ma proposition

La vraie question n'est pas de les compter mais de trouver une explication à ce phénomène

3 a domicile , 1 a l'extérieur , la montée arrive les gars ...

On est pas les plus mauvais en la matière, le Paris FC et sa série de 5 nuls consécutifs nous fait de l'ombre.
La référence historique de la division semble néanmoins hors de portée vu le score de Créteil qui avait réussi en 2009 à enchaîner à 4 moments différents dans la saison une série d'au moins 4 nuls consécutifs ce qui les avait porté à un total de... 22 nuls dans la saison

Pourquoi autant de matchs nuls ?

Simple comme bonjour. Parce qu'ici tout est nul: la direction, le staff et le niveau global de l'équipe. Tout est nul, sauf les supporters.

Nul signifierait plus des défaites ,là ce n'est pas le cas. Faut englober toutes les propositions du sondage les mélanger et hop voilà les raisons. C'est un tout ,un ensemble de chose qui en s'additionnant font que....et comme personne dans le club ne tire cette équipe vers le haut. Vous me direz pourquoi vouloir faire des efforts quand de l'autre coté tu as un illuminé de première qui passe son temps à détruire le club.

Bref c'est NNNNNNNNNNNUUUUUUUUUUUUULLLLLLLLLLL et un POINT c'est tout !!

Finalement, il est facile d'expliquer tous ces matchs nuls. Ce championnat est constitué aux trois quarts d'équipes complétement nulles... dont le Racing.

On ferait mieux de tenter le tout pour le tout quitte à perdre un peu plus de match et à en gagner aussi un peu plus. Parce qu'avec des petits points, on ne fait que se maintenir dans ce milieu de classement dans parvenir à revenir sur les premiers...

Cette équipe ne sait pas accélerer dès lors que l'on affronte une équipe habituée aux joutes du National. Encore une chance qu'en face, ils ne jouent pas le tout pour le tout car sinon Créteil ce soir aurait gagné.

Du beurre, mais pas d'argent...

Solide derrière, le Racing ne s'est pas montré assez percutant devant pour l'emporter à Orléans. Et il n'est pas certain que les Alsaciens aient actuellement les moyens d'être efficaces en même temps dans ces deux secteurs de jeu. Explications.

« On ne peut pas avoir le beurre et l'argent du beurre » dit le dicton. Samedi soir, le Racing en a encore fait la démonstration.

Depuis le début de l'automne, le Racing ne perd plus et surtout, prend peu de buts (un seul lors des six derniers matches). Mais les Strasbourgeois ont du mal à marquer et n'ont d'ailleurs réalisé qu'un « carton » cette saison, face à la lanterne rouge Alfortville (4-0).
Quatrième au classement défensif - derrière Cannes, Bastia et Luzenac - avec 11 buts encaissés, le Racing ne pointe qu'à la sixième place en attaque, ex aequo avec Cannes, Niort, Gap (19 buts marqués).

Et à l'image du match de samedi à Orléans, les troupes de Fournier semblent en ce moment incapables de jouer correctement dans ces deux secteurs en même temps.
Au stade de la Source, le Racing a ainsi été solide durant la première mi-temps. Avec un quartette défensif très expérimenté - Pichot, Outrebon, Sikimic et Tchato - et un duo de milieux au rôle purement défensif (Peuget et Marcio), le bloc strasbourgeois a été plus qu'imperméable.
Mais en deuxième mi-temps, après l'égalisation orléanaise, tout s'est délité quand le Racing a dû repasser en mode offensif. « On a beaucoup défendu et on était bien en bloc en début de match, mais après avoir pris le but, c'était très dur de se relancer », témoignait Alexi Peuget.
« On a commencé à jouer très haut, en bloc, mais c'est difficile de rester aussi haut tout un match », poursuivait Julien Outrebon dans la même veine.
« Fatigués » (dixit Fournier), les Alsaciens n'ont pas eu les jambes pour réagir après l'égalisation de l'USO. Et quand le coach a décidé de lancer du sang neuf, cela n'a pas réellement fonctionné, car c'est surtout la sortie de Marcio (sur blessure), qui a eu un effet : celui de déstabiliser un bloc strasbourgeois qui a été à deux doigts de craquer en fin de match.
« On a manqué de justesse dans la dernière passe, de lucidité. Sur des petites erreurs, on se met en danger et en deuxième mi-temps, on était moins au pressing », analysait aussi Laurent Fournier.

Le Racing s'expose trop vite

Au final, le constat est simple. Actuellement, le Racing est incapable, à l'extérieur, d'attaquer aussi bien qu'il défend. Et si Laurent Fournier tente de forcer la décision - en lançant un ou deux attaquants sur le terrain en fin de rencontre - le Racing perd son équilibre et s'expose trop vite aux contres adverses.
C'est la quadrature du cercle. A défaut de pouvoir gagner à l'extérieur, le Racing préfère donc ne pas y perdre. Il faudra, pour l'instant, s'en contenter.

(DNA)

Et un de plus, un ...
Un topic qui risque fort de connaître une certaine notoriété jusqu'à la fin de la saison.

Comme celui qui propose de débattre sur la prochaine victoire du Racing à l'extérieur ^^

Nous en sommes à dix
Au moins sur ce classement on est premier et loin devant les autres

Et pourtant ce soir il est vraiment immérité pour Amiens (du moins sur la seconde période) qui n'a cessé de faire des fautes et de dégager le ballon le plus loin possible ...

Et un nul de plus. Ce qui fait 14 en 27 rencontre soit un pour deux matchs. Un ratio trop élevé sans doute pour espérer monter.
La seule différence; c'est que désormais, c'est nous qui égalisont alors que lors cu cycle aller, c'était le contraire mais le résultat reste le même.

A l'heure actuelle, les équipes qui sont sur le podium ont fait deux fois moins de matchs nuls que nous