Pas bien loin : c'est ce qui s'est passé ce soir, puisque Perrin a été mis sur le banc. Du coup, j'attends de voir si une explication rationnelle sera apportée au fait qu'on se prive de notre meilleur buteur et passeur. Je veux bien qu'il n'ait peut-être pas été en forme contre Orléans, malheureusement ses remplaçants ne le sont guère davantage.

Selon France Bleu Alsace dixit FK : Perrin sur le banc pour ne pas gêner Noro dans le jeu car quasi doublon de poste!!!!!!!!  

Un sacré rigolo notre apprenti entraîneur ! Quel humour fin ! Nulle doute qu'il est un très grand visionnaire du football ! Peut-être même plus grand qu'Arsène !

Marius a écrit:

Selon France Bleu Alsace dixit FK : Perrin sur le banc pour ne pas gêner Noro dans le jeu car quasi doublon de poste!!!!!!!!  

Un tacticien hors de pair, je le vois bien au Barca ou au Bayern prochainement.

Le problème, c'est que :
1) Noro et Perrin ne sont pas supposés jouer au même poste.
2) Noro n'a pas joué à son poste de prédilection contre Bourg-Péronnas, mais plus en retrait, donc en quoi Perrin n'aurait-il pu jouer devant ?
3) Ni Noro, ni Benedick ne semblent avoir fait un match qui laisserait penser qu'ils peuvent renverser la hiérarchie en place (qui ne tient qu'à un fil, je le concède).
Ne serait-ce pas là ce que l'on appelle un coaching perdant ?

Tant que FK aura le soutien de la Direction, des médias, des joueurs il ne modifiera en rien ses plans aussi fantaisistes soient-ils.

Planète Racing a écrit:

François Keller : C’était un non-match, le pire depuis deux ans-et-demi qu’on ait délivré à la Meinau. Il me semble que le 4-0 l’année dernière contre Moulins était meilleur. C’est un non-match de beaucoup de joueurs, pas tous, mais la plupart. C’est aussi une responsabilité individuelle, la mienne, puisque si les joueurs n’ont pas été bons sur le terrain, c’est peut-être que je n’ai pas aligné l’équipe qu’il fallait. J’espère comme le disait Gauthier tout à l’heure que la prestation de ce soir servira d’électro-choc et de déclic. Je suis vraiment déçu, puisque au bout d’une minute de jeu je crois qu’on aurait déjà pu prendre un but. Et puis, on aurait pu en prendre cinq ou six ce soir. Malheureusement, il n’y a pas de quoi parler pendant une heure. On s’excuse auprès du public et des gens qui nous suivent. Le public vient toujours aussi nombreux alors qu’il faisait 1 °C, on jouait une équipe relégable et on a été nuls.

Est-ce qu’il y a des choses qui vont changer ? Allez-vous leur rentrer dedans ?

Si c’est ce que vous voulez entendre, non. Ce qui sera dit entre nous restera entre nous. Le plus important c’est que la semaine prochaine à Dunkerque, on puisse partir en vacances sans être relégable. Et ça nous oblige à faire une grosse perf’ à Dunkerque, ce qu’on n’est pas arrivé à faire depuis le début de la saison. Voilà le challenge qui va attendre les joueurs, s’ils veulent, eux, et moi-aussi nous faire pardonner de ce qu’on a montré ce soir.

Ce qui est étonnant aussi, c’est la passivité derrière. On sent une fébrilité extrême …

Pour certaines performances ce soir, c’est aussi à l’image de ce que j’ai vu cette semaine à l’entraînement. Parfois on positive, on cherche le ressort pour tirer le maximum, mais en général tu joues aussi comme tu t’entraînes. Ce soir l’un ou l’autre était déjà moins bien depuis quinze jours, mais on n’a pas eu la possibilité de faire tourner. Et si on avait eu le choix, certains joueurs auraient pu ne pas jouer ce soir. Mais malgré tout, je m’attendais à mieux. On a été capable de le faire contre Orléans, et là on n’a pas été capable de le faire contre une équipe qui était derrière nous. Il faut absolument que ce match permette à tout le monde de voir, que ce n’est pas parce qu’on porte le maillot du Racing Club de Strasbourg qu’on ne jouera pas le maintien cette année en National. On va jouer le maintien […]. Beaucoup de joueurs n’ont pas joué à ce niveau-là, et aujourd’hui ce ne sont largement pas les moins bons, au contraire. Et ceux qui ont joué au-dessus ou à ce niveau étaient au chômage quand ils sont venus chez nous. Et moi aussi. On s’est construit depuis deux ans, on est arrivé en National, mais maintenant c’est fini. Il faut absolument qu’on sorte le bleu de chauffe et qu’on fasse des matchs comme contre Orléans pour que la chance bascule du bon côté, parce qu’on ne mérite qu’elle bascule du bon côté qu’à ce moment-là. Ce soir ce n’était pas le cas, un bonnet d’âne donc pour tous les joueurs, pour moi et un grand pardon au public. On a une semaine pour se faire pardonner à Dunkerque et on va tout faire pour ça.

Pour la trêve, je ne voyais pas le Racing au-delà de la place de premier non relégable, avec une faible avance sur la zone rouge. Mais pour ce faire, deux résultats positifs étaient attendus, concrètement une victoire et un nul. Avec un minimum de contenu. Au lieu de ça, on se ridiculise face à l'avant-dernier en ne montrant rien, et à domicile en plus  

candyraton a écrit:

Tant que FK aura le soutien de la Direction, des médias, des joueurs il ne modifiera en rien ses plans aussi fantaisistes soient-ils.

Surtout le Kop !

Le kop est toujours du côté des dirigeants , il y en a qui doivent toucher .
Je suis encore plus supporter qu'eux vu qu'à moi cela fait mal cette situation , le kop lui , est content .Bon leur but est le classement de meilleur kop de France , le reste ...............

Je ne suis pas si sur , le Kop peut joué un rôle pour le maintien de l'Entraineur ...

Sur le coup FK a le mérite de ne pas se cacher derrière des arguments tout fait, malheureusement un bon diagnostic ne suffit plus à ce stade de la saison. J'étais pour laisser les mains libres au coach jusqu'à la trêve, quitte comme dit à ce qu'il se plante, ce qui est maintenant en passe d'être fait. S'il n'est pas responsable de notre faillite défensive, force est de constater qu'il n'a pas trouvé les solutions offensives, alors qu'il dispose tout de même d'un effectif valant bien celui des autres promus.

J'ai regardé ça en détail, que ce soit Dunkerque, Colomiers ou Luçon, aucun n'a fait un gros mercato, car soumis eux aussi à l'encadrement de la masse salariale et disposant d'un budget bien inférieur au nôtre. Et pourtant, avec des joueurs offensifs recrutés en CFA, CFA2 et parfois même DH, ils arrivent à tenir la baraque. Tout n'est pas toujours rose, mais leurs supporters sont heureux de voir régulièrement des matchs agréables et aboutis. Et force est de constater, en regardant les résumés, que ces équipes construisent bien mieux et plus rapidement leurs occasions que nous. Elles s'en procurent aussi davantage. Bref on ne peut pas continuer dans cette direction, sinon le club risque réellement de filer en CFA.

Pourquoi un topic François Keller "entraineur" alors que cela n'en ai pas un 

Désolé je n'ai jamais aimé la famille Keller !

Marc Keller me semble amorphe, François est un sacré bosseur mais n'a pas les qualités pour entrainer un club comme le Racing !

« Plus jamais cette attitude »

le 18/12/2013
Après le président Marc Keller, passé leur remonter les bretelles vendredi à la mi-temps du match face au Poiré-sur-Vie (1-3), le coach du Racing François Keller a recadré ses joueurs lundi. Pour les sensibiliser au danger qui guette un RCSA relégable avant son dernier match de l’année après-demain (20 h) à Dunkerque.

François Keller, comment avez-vous vécu ce premier accroc à domicile, mais surtout la manière avec laquelle il a été concédé ?
Durant ces 90 minutes, j’ai eu l’impression de revoir le Racing d’il y a quelques années et ça fait mal. J’ai recadré les joueurs lundi. Mon souci a été de leur faire comprendre que la communication d’après-match livrée par Gauthier (Pinaud) était appropriée, mais qu’une fois la nuit passée, le groupe ne pouvait pas se contenter de dire que c’était un non-match et que ça irait mieux la semaine suivante. Certes, nous avons des circonstances atténuantes sur le résultat avec l’absence de 6 ou 7 titulaires, mais aucune sur l’attitude et le contenu. Je leur ai rappelé qu’à l’exception de deux ou trois joueurs sur les 25 du vestiaire, aucun n’avait d’autre offre que le Racing quand il a signé il y a deux ans et demi, un an ou six mois. Aujourd’hui, ils ont une année pour prouver qu’ils ont le niveau d’un National qui les a rejetés lorsqu’ils étaient en fin de contrat. On attend beaucoup du retour des blessés, mais surtout des cadres. Les jeunes en devenir que nous avons recrutés donnent satisfaction. Les cadres, eux, doivent rendre nettement plus à un club qui donne beaucoup.

Comment ce recadrage a-t-il été accueilli par les joueurs ?
Il faut le leur demander. Ils savent que nous avons failli vendredi. À l’entraînement, même s’il y a de l’implication et du travail, ça manque de fighting spirit. Depuis trois mois, je leur dis qu’à 110 %, nous pouvons battre tout le monde. La preuve, nous l’avons fait contre le coleader Orléans (1-0). En CFA, nous pouvions gagner des matches en étant à 90 %. En National, ce n’est pas possible, même à 95 %. Alors, à 80 %, quand l’attitude n’est pas bonne, nous prenons des fessées. Mon objectif n’était pas de les vexer, mais de les aider et leur signifier : « A un moment donné, plus personne ne vous voulait. Je vous ai tendu la main. Grâce à vous, nous sommes montés deux fois de suite et parce que le Racing est un club correct, vous avez la possibilité de défendre vos chances en National. Dans certains clubs, l’équipe aurait sans doute changé à 100 % durant l’été. Cette saison, vous passez un entretien d’embauche pour faire partie du projet qui doit ramener le club en Ligue 1. Éclatez-vous et montrez que vous avez le niveau ! Et si nous constatons que vous êtes au taquet, d’autres viendront. C’est la réalité du foot, la loi du milieu. » Normalement, quand tu as touché le fond, tu n’as plus envie d’y retourner.

Votre discours a-t-il été long ?
Vingt minutes. C’était un monologue. Je leur ai aussi dit que la direction, les actionnaires et moi consentions énormément d’efforts pour ramener le club en haut et que nous n’y parviendrions pas avec cette attitude. Le bât blesse parce qu’avec les absents, nous n’avons pas de marge, mais aussi parce que les joueurs oublient le danger qui nous guette.

Avez-vous des moments de découragement ?
Non. Vendredi, la déception a certes été terrible. Mais au-delà de cette déception, le constat objectif, c’est que nous traversons une crise de croissance. Après la liquidation, il fallait monter à quatre reprises pour retrouver la L1. Nous l’avons déjà fait deux fois d’affilée. Au cours d’une telle ascension, il est logique de passer par des paliers plus difficiles. Perdre nous arrivera encore, mais nous ne voulons plus jamais voir l’attitude inacceptable de vendredi. J’ai commencé ma causerie par ces mots : « Depuis que j’ai pris l’équipe, je n’ai qu’une ambition : un retour du club dans le monde professionnel. Mais j’ai aussi une frustration, car j’ai l’impression que comme pour beaucoup de gens, l’objectif, pour vous les joueurs, était de le remonter en National, là où il était lorsqu’il a coulé. » Mais l’ambition du Racing ne doit pas se limiter à revenir au niveau qui était le sien avant le dépôt de bilan. Et comme il ne retrouvera pas le statut pro d’un claquement de doigts, il faut se retrousser les manches.

Le match de vendredi à Dunkerque est-il plus important psychologiquement que comptablement avant la trêve hivernale ?
Nous sommes dans la même position que l’an passé avant d’aller à Belfort pour le dernier match de 2012. À une différence notable près : nous sommes en National. La marche sera donc plus haute. Le meilleur moyen de préparer Dunkerque, c’est de se dire que le Poiré n’était pas un accident. Si les joueurs pensent le contraire, nous prendrons dans le Nord une fessée qui fera mal jusque sous le sapin. Mais avec l’état d’esprit qui doit être le nôtre pour nous maintenir, nous pouvons faire un résultat. Ça ne veut pas dire que nous le ferons. Mais ça veut dire que nous aurons toutes les armes pour nous sauver. Un 2e championnat débutera en janvier. Nous devons en prendre la 4e ou 5e place non seulement pour nous maintenir, mais aussi pour bien préparer la saison suivante.

L'Alsace

En tant que supporter, je ne peux qu'être content de lire que l'entraîneur veut voir le Racing prendre la 5e place des matchs retour, et qu'il ne se satisfait pas d'un maintien laborieux. On pourrait cela dit lui reprocher d'avoir contribué à ce qu'on en arrive là, notamment à travers ses discours. Sans doute pas ceux tenus devant les joueurs, mais devant la presse, comme lorsqu'il a plusieurs répété ces dernières semaines que le Racing était à sa place et que le spectacle proposé était suffisant. Alors que lui-même avait été assez clair en début de saison (sur le fait qu'il souhaitait voir l'équipe finir au-dessus du milieu de tableau).

Bon, ça ne règlera pas tous les problèmes tactiques et les joueurs en difficulté continueront sans doute à l'être pendant un certain temps. Espérons au moins qu'après un tel discours ils réagissent dans l'engagement sur le terrain, sinon c'est à désespérer de tout.

Plus de deux mois se sont écoulés, les joueurs dont le niveau avait été jugé insuffisant ont été remplacés par d'autres (tous choisis en concertation avec le coach et les dirigeants) présentant des qualités encourageantes. Et malgré cela, la situation est désormais catastrophique : 3 défaites consécutives, seulement 2 victoires en 8 matchs (depuis le non match du Poiré, qui devait servir de déclic), des prestations loupées à répétition contre des mal classés qui nous rattrapent les uns après les autres ... Encore une victoire d'Amiens, et le Racing sera largué. A ce rythme, on va vraiment redescendre en CFA.

D'après FK, il était en National pour apprendre le niveau. Qu'il retourne en maternelle pour apprendre ! Moi, je croyais qu'on était en national pour jouer et pour essayer de gagner !

Bon, encore quelques match pour apprendre et ensuite, ce sera la punition, le bonnet d'âne et le tour de la ville sous les tomates pourries !

FK a déclaré que si c'était de la faute de l'entraineur , il fallait le virer .
Naturellement il estime que ce n'est pas de sa faute et il compte sur son frangin pour penser de même .
Avec un autre président cela aurait déjà été fait .
OK il n'est pas le seul responsable mais depuis 3 pas de système de jeu , pas de tactique , les gars ne savent pas centrer , pas faire de passes , et beaucoup de joueurs s'éteignent quand ils arrivent à Strasbourg . Ce doit être les supporters les fautifs .

Ce matin dans les DNA

"Les têtes étaient basses et les visages fermés, vendredi soir, au sortir des vestiaires du stade Jean de Mouzon. Peu de Strasbourgeois avaient envie de s’exprimer après la défaite face à Luçon (1-0), la troisième d’affilée, qui plonge les Alsaciens dans la zone de relégation de National.
« On n’a pas répondu présent, on a été mauvais, lâchait tout de même Ludovic Golliard. Même menés, même réduits à dix, on aurait pu revenir dans le match. Mais pas en étant si mauvais ».
« J’y crois toujours, mais l’intérêt du club passe avant »
« C’est un cauchemar, je ne comprends pas ce qui se passe, expliquait Dimitri Lienard, encore très marqué hier. Pour les gens qui nous suivent, c’est honteux. Ça m’a fait vraiment mal de rendre une copie aussi indigne, alors que nos supporteurs avaient fait le déplacement ».
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Mais au coup de sifflet final, l’analyse de cette faillite collective a vite laissé place à une question plus brûlante : celle du maintien, ou non, de François Keller à son poste d’entraîneur.
Et c’est Marc Keller, président (et frère de) qui a lui-même mis la question sur la table. « Les joueurs doivent se remettre en cause individuellement, j’attends plus de leur part. Mais j’attends aussi du staff qu’il trouve des solutions », a lancé le président du RCSA. Avant d’ajouter, au cas où ses propos n’auraient pas été assez clairs : « Si la solution est de mettre François de côté, je le ferai. Même si c’est mon frère… »
François Keller, le principal intéressé, était sur la même longueur d’ondes. « Le niveau des joueurs n’est pas satisfaisant, mais la question du coach se pose aussi, a-t-il ainsi indiqué. Si le problème c’est l’entraîneur, il faut le changer tout de suite ».
L’hypothèse d’un remplacement de François Keller est donc posée. Mais ce sera aux actionnaires du RCSA – qui vont se réunir autour de Marc Keller dans les prochains jours – de trancher."

par Barbara Schuster, publiée le 09/03/2014 à 05:00

François n'a toujours pas l'air de se rendre compte . Aucune réaction de sa part , c'est du style "oui on est mauvais mais ce n'est pas de ma faute , les joueurs non plus (vu qu'il a leur soutien) , je ne comprends pas" .
Bref il n'a pas d'idée pour faire avancer l'équipe .
Soit il déclare que les joueurs sont mauvais , soit il part . Ce n'est pas toujours la faute à pas de chance , on ne peut pas continuer comme cela .

Un peu tard tout ce bla bla. Non ?

Faut juste que FK arrête de raconter n'importe quoi .
Il ne sait pas comment faire , essaye 36 solutions , rien ne fonctionne  .
Pourquoi ?
Au lieu de sortir des excuses à la ...., avoue que tu es perdu .

S'ils sont mauvais le staff y a quand même une grosse part de responsabilité en plus on a recruté 4 joueurs dernièrement qui devaient donner monts et merveilles, Oliveira déjà un flop, Ribas sans doute un autre, Bamba pas au-dessus du lot, un autre débarqué du CFA, donc de quoi se poser des questions sur la capacité du staff.

FK sera entraineur jusqu'à la fin de la saison .
La situation du club n'étant pas inquiétante .

"Mais sauf énorme retournement de situation, Marc Keller devrait annoncer le maintien de François Keller à son poste d’entraîneur. « François a le soutien total de ses joueurs et je ne suis pas sûr que le renvoyer est la bonne solution », soulignait ainsi le président.
Un président qui, après avoir allumé la mèche dans les couloirs du stade de Luçon, s’est donc évertué à faire baisser la pression durant le week-end."

« Il faut absolument une réaction. On n’a pas pris tous les risques et fait tout ce travail depuis deux ans pour retourner en CFA », a aussi indiqué le président. Avant de souligner : « Le club n’est pas en crise. Mais on reste sur dix jours de résultats sportifs catastrophiques et à un moment donné, il faut tirer la sonnette d’alarme. »

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Quand il parle , de quoi il parle vu que si le lub n'était pas monté de CFA en National cela aurait été anormal .

" il faut tirer la sonnette d’alarme. »

Encore faut-il avoir le courage de la tirer ce qu'il n'a pas fait en maintenant son frère.

« Le club n’est pas en crise!!  Mais on reste sur dix jours de résultats sportifs catastrophiques et à un moment donné, il faut tirer la sonnette d’alarme. »


Voilà ce qui s'appelle < manier la langue de bois et botter en touche >


Tout va très bien, Madame la Marquise,
Tout va très bien, tout va très bien.
Pourtant, il faut, il faut que l'on vous dise,
On déplore un tout petit rien :
Un incident, une bêtise,......

Une rechute en CFA voudrait sans doute dire la fin des haricots pour longtemps. Un peu comme le Stade de Reims, tombé en 1979 et qui est resté dans le trou pendant plus de 3 décennies.

Même en restant en National , pas sûr de monter en L2 en 2015 .
Onverra vendredi mais s'il n'y a pas de victoire , je pense que cela va huer à la Meinau .

François confirmé par Marc

La seule chose à faire pour Marc, c'était de discrètement introduire un adjoint à son frère. Un adjoint hautement qualifié en foot qui serait en même temps bien vu des supporters et aussi un amoureux du Racing. Tout le monde aurait été content. Marc qui était quitte de virer son frère, François qui aurait pu progresser au contact d'un véritable entraîneur et le public qui aurait apprécié de retrouver Dugué !

Les fautifs seraient les joueurs .
OK en partie mais FK y est aussi pour quelque chose .
On verra ce que cela va donner mais j'ai peur . Bon avec un autre entraineur , je ne sais pas si cela aurait suffit .

Le coach confirmé, le groupe réduit