Amical
L'équipe de France féminine accroche l'Allemagne, champion olympique en titre
L'équipe de France féminine a accroché l'Allemagne (0-0), le champion olympique en titre, lors du tournoi amical SheBelieves Cup.
L'équipe de France féminine a tenu en échec, ce samedi lors du tournoi amical SheBelieves Cup, l'Allemagne, champion olympique en titre (0-0). En première période, si Renard a touché la barre d'une reprise de la tête (19e), les Allemandes ont manqué un penalty, Islacker voyant sa tentative arrêtée par Bouhaddi (25e).
Après la pause, les Bleues ont réussi à préserver le nul, grâce à un dégagement de Geyoro sur la ligne (50e), et de la chance, puisque Marozsan a touché à son tour la barre transversale (73e). Victorieuse de sa première rencontre contre l'Angleterre (2-1), l'équipe d'Olivier Echouafni affrontera pour son dernier match les Etats-Unis.
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L'OM a réussi une performance inattendue en battant le PSG (2-0), ce samedi à l'occasion de la 16eme journée de D1 Féminine.
Fin février, le Paris SG infligeait un lourd revers à son rival marseillais sur la pelouse du Vélodrome (1-5). Bien moins médiatisé, le « Clasico » féminin a permis à l'OM de rectifier le tir. Les joueuses de Christophe Parra ont battu la formation parisienne (2-0), signant ainsi un exploit remarquable. Sara Yüceil a d'abord réussi à tromper la vigilance de Katarzyna Kiedrzynek (64eme), avant que Sandrine Brétigny, sur coup-franc, n'envoie une frappe en pleine lucarne (76eme). Un succès de prestige qui vient encore embellir la saison du club phocéen, qui occupe une probante quatrième place pour son grand retour parmi l'élite, après trente-quatre ans d'absence à ce niveau. Les Parisiennes, de leur côté, concèdent leur troisième défaite lors de cet exercice et laissent à Lyon la possibilité de s'envoler en tête du championnat. Les Lyonnaises pourraient en effet prendre le large en cas de victoire ce samedi après-midi à Albi (18h30). Les coéquipières de Sabrina Delannoy ne se mettent pas non plus dans un état de confiance optimal au moment de se rendre sur la pelouse du Bayern Munich, en quart de finale aller de Ligue des Champions (jeudi 23 mars, 19h)

LDC 1/4 de finale aller


Bayern F

1 - 0

Paris SG F

candyraton a écrit:

LDC 1/4 de finale aller


Bayern F

1 - 0

Paris SG F

Le PSG chute face au Bayern Munich

En déplacement à Munich ce jeudi soir, en quart de finale aller de la Ligue des Champions féminine, le PSG a chuté face au Bayern (1-0) malgré une nette domination.
Après le fiasco de la section masculine contre le FC Barcelone il y a deux semaines, les Parisiennes comptaient bien venger les coéquipiers de Blaise Matuidi sur la scène européenne. Ce jeudi soir, le PSG féminin était en déplacement à Munich pour y disputer son quart de finale aller de Ligue des Champions contre le Bayern. Et malgré une nette domination, les joueuses de Patrice Lair rentrent bredouilles de Bavière (1-0). Miedema a inscrit l'unique but de la soirée d'une frappe écrasée au ras du poteau à vingt minutes de la fin de la rencontre (72eme). Le PSG peut nourrir de gros regrets car en plus de la défaite, le précieux but à l'extérieur n'a pas été marqué. Et ce malgré une montagne d'occasions.
Match retour au Parc des Princes
Dès le début de la partie, Boquete a manqué un face-à-face à priori immanquable face à la gardienne allemande (6eme). Korpela s'est ensuite troué sur une frappe lointaine de Cruz mais a été sauvée par son poteau (8eme). En deuxième période, Cruz s'est présentée seule dans la surface mais a de nouveau buté sur la gardienne munichoise. Et Cristiane, discrète pendant une heure, s'est procurée trois grosses occasions pour égaliser dans le dernier quart d'heure, sans réussite. Il faudra gagner au Parc des Princes la semaine prochaine (mercredi) pour espérer entrevoir le dernier carré.
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Résultats

Rosengard - FC Barcelone 0-1
Fortuna Hjorring - Manchester City 0-1
Bayern Munich - PSG 1-0
Wolfsburg - Lyon 0-2
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PSG qualifié pour les demi-finales

 PSG - Bayern Munich

4 - 0

Le PSG a facilement fait oublier sa défaite en quart de finale aller de la Ligue des Champions la semaine dernière en atomisant le Bayern Munich au Parc des Princes mercredi au match retour (4-0). Qualifiées pour le dernier carré, les Parisiennes y retrouveront... le FC Barcelone !
Le PSG aura droit à une deuxième chance contre le FC Barcelone cette saison. Après l'élimination rocambolesque de son équipe masculine par les Blaugrana en huitième de finale de la Ligue des Champions, le club parisien recroisera la route de son homologue catalan. Ce sera avec sa section féminine, qui a composté mercredi son billet pour les demi-finales de la C1 féminine aux dépens du Bayern Munich (4-0). Une démonstration de force, une semaine après une défaite cruelle en Allemagne en quart de finale aller (1-0). Le tableau de la compétition ayant déjà été tiré au sort, le PSG sait déjà qu'il retrouvera dans le dernier carré le FC Barcelone, tombeur de Rosengard en confirmant au retour (2-0) sa victoire en Suède à l'aller (0-1). Une excellente opportunité pour les Parisiennes de mettre un peu de baume au cœur de leurs dirigeants en cas de qualification, surtout que cela serait synonyme de finale à Cardiff le 1er juin prochain.
14 000 spectateurs au Parc des Princes
En attendant, les joueuses de Patrice Lair pourront savourer ce succès sans appel décroché au Parc des Princes, où 14 000 personnes et 2 000 Ultras avaient fait le déplacement pour les pousser vers le dernier carré pour la troisième saison consécutive. Il leur a suffi de quatre petites minutes pour égaliser sur l'ensemble des deux matchs par Marie-Laure Délie, opportuniste sur un coup-franc indirect (1-0, 4eme). Dans la foulée ou presque, Cristiane a profité d'un nouveau coup de pied arrêté mal dégagé par la défense du Bayern pour doubler la mise (2-0, 12eme) et faire passer les Parisiennes devant. S'il ne leur avait manqué que le réalisme à l'aller, elles ont ainsi concrétisé leurs deux premières occasions franches de la soirée.
Le PSG avait sorti le Barça la saison dernière
Supérieur dans tous les domaines aux Bavaroises, championnes d'Allemagne en titre et actuellement troisièmes de Bundesliga, le PSG a maîtrisé son sujet devant son public. Il a notamment imposé sa domination technique et infligé un pressing étouffant aux visiteuses, à l'image du ballon récupéré haut par Shirley Cruz sur le but du K.-O. juste avant la mi-temps (3-0, 42eme). Au retour des vestiaires, le duo Cristiane - Délie, avec un beau une-deux au passage, a terminé le travail (4-0, 52eme). Les Parisiennes ont ensuite déroulé sans forcer (18 tirs à 4), en prenant à cœur le fait de garder leur cage inviolée. S'il n'est pas encore le temps de se projeter sur le prochain tour, elles pourront se rappeler qu'elles avaient sorti le Barça, nouveau venu dans le dernier carré de la Ligue des Champions féminine, en quart de finale la saison dernière. Un signe plus positif que la récente « remuntada »...

Quart de finale
FC Barcelona  2  - 0 FC Rosengård
Paris Saint-Germain 4 - 0 FC Bayern München
Olympique Lyonnais 0 - 1 VfL Wolfsburg
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L'OL poursuit la défense de son titre malgré sa défaite contre Wolfsburg

Tenant de la Ligue des Champions féminine, Lyon s'est qualifié pour le dernier carré de la compétition mercredi aux dépens de Wolfsburg. Les Lyonnaises ont tenu les deux buts d'avance ramenés de l'aller, malgré leur défaite au Parc OL en quart de finale retour (0-1).
Jusqu'au bout, l'OL s'est fait peur. A force de vendanger des occasions, le tenant de la Ligue des Champions féminine a ouvert la voie à un retournement de situation mercredi au Parc OL contre Wolfsburg en quart de finale retour de la compétition. Mais les deux buts d'avance ramenés d'Allemagne au match aller la semaine dernière (0-2) ont suffi au bonheur des Lyonnaises. Elles se sont certes incliné (0-1) sur un penalty transformé par Caroline Graham Hansen suite à une faute indiscutable de Kadeisha Buchanan sur Pernille Harder (82eme). Elles ont certes tremblé à l'idée d'une égalisation avant le coup de sifflet final, même si ce sont elles qui ont obtenu les meilleures opportunités de marquer dans le money-time, par Dzsenifer Marozsan ou Ada Hegerberg. Mais la troupe de Gérard Prêcheur a tenu bon pour se hisser jusque dans le dernier carré. Au prochain tour, ce sera Manchester City ou le Fortuna Hjorring, le club anglais se trouvant en ballottage favorable après le match aller (0-1).
Un penalty accordé à l'OL... avant correction
Sur le papier, l'OL semble pourtant avoir fait le plus dur en sortant Wolfsburg dans un remake de la dernière finale de la C1. C'est dire si l'affiche réunissait deux des meilleures équipes du continent. Elles l'ont encore démontré au cours d'un match âpre et accroché, au cours duquel elles se sont rendues coup pour coup. Un poteau partout, des parades de Sarah Bouhaddi (36eme) et d'Almuth Schult (40eme) : ça allait d'un but à l'autre en première période, avec un léger avantage aux Allemandes. Mais Lyon a bien cru y bénéficier d'un penalty, pour un contact entre Hegerberg et Isabel Kerschowski. L'arbitre central a accordé la faute, avant de se raviser après discussion avec sa juge de touche. Décision logique à la vue des images, tant le milieu allemand était passé devant son adversaire direct avant qu'elle ne lui bute dessus. Toujours aussi équilibrés après la pause, les débats ont fini par tourner en faveur du WfL. Mais ce n'était pas suffisant pour renverser le triple vainqueur de la Ligue des Champions féminine. Parmi les quatre derniers clubs engagés, l'OL sera le seul à avoir déjà gagné le trophée. Un avantage non négligeable dans la quête d'une quatrième couronne.
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Wendie Renard prolonge avec l'OL jusqu'en 2022
En fin de contrat cet été, la capitaine de l'OL, Wendie Renard, a décidé de prolonger avec Lyon jusqu'en 2022.
L'OL a annoncé jeudi la prolongation de la capitaine de son équipe féminine, Wendie Renard, pour cinq saisons supplémentaires. La défenseure internationale de 26 ans est arrivée dans le Rhône en 2006, elle a joué 275 matches avec le club lyonnais. Son précédent contrat s'achevait en juin. La joueuse était courtisée par plusieurs clubs étrangers aux Etats-Unis et en Angleterre.
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Une remise en ordre attendue de la part des parisiennes sans doute en route pour la finale... à moins d'affronter les lyonnaises en demi mais quelque chose me dit que les deux clubs français vont s'éviter avant la finale.

Ligue des champions fém.

Quarts de finale retour

Manchester City - Fortuna 1-0 (1-0)
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Manchester City rejoint Lyon en demies
Les joueuses de City ont battu les Danoises du Fortuna Hjorring (1-0) au retour, jeudi soir.

Victorieuses des Danoises du Fortuna Hjorring (1-0), jeudi soir, sur le même score qu'à l'aller, les Anglaises de Manchester City se sont qualifiées en demi-finales de la Ligue des champions où elles retrouveront Lyon, le 22 avril prochain. L'autre demie opposera le PSG, qui a éliminé le Bayern Munich (0-1, 4-0), au FC Barcelone, tombeur de Rosengard (1-0, 2-0).
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Demi-finales
Aller le samedi 22 avril 2017, Retour le samedi 29 avril 2017

Manchester City (F)  - Lyon (F)

FC Barcelone (F)  - Paris-SG (F)

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A moins de faire preuve d'une insigne maladresse devant les buts, ce sera cette fois-ci beaucoup plus simple pour le PSG face à Barcelone que pour les garçons.

1/2 finales
Dimanche 16 avril 2017 

HÉNIN BEAUMONT F.C.F 0 - 10 OLYMPIQUE LYONNAIS

PARIS SAINT-GERMAIN 4 - 1 A.S SAINT-ETIENNE
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Coupe (Femmes)
PSG - Lyon en finale le 20 mai prochain
 L'OL devra batailler face au PSG, le 20 mai prochain, pour s'offrir une sixième Coupe de France consécutive.
La finale de la Coupe de France féminine opposera le PSG à Lyon le 20 mai prochain à Vannes. L'OL a en effet dominé Hénin-Beaumont dimanche (10-0) grâce, notamment, à un quadruplé d'Alex Morgan et un triplé d'Ada Hegerberg. Paris, quant à lui, a facilement battu Saint-Etienne (4-1) pour rejoindre les Rhodaniennes, quintuples tenantes du titre, en finale.
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Le genre de score qui doit être très rare en 1/2 finale d'une compétition.
Peut-être unique.

Lyon et Paris c'est quand même les deux grosses équipes en France.

Reynald Pedros a participé en septembre 2012 à Autrans (Isère) à une session d'entraînements en anglais destinée aux entraîneurs alors sans emploi. FOOTBALL FEMININ OL: Ça donne quoi Reynald Pedros comme entraîneur? Après deux expériences dans le football amateur masculin, entre DH et CFA, l'ancien milieu offensif nantais va faire face à un immense défi avec les féminines de l'OL...
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Équipe de France féminine : Olivier Échouafni viré, Corinne Diacre nommée



Olivier Échouafni n'a donc pas survécu à l'élimination de la France en quarts de finale du dernier Euro féminin. Le technicien a été démis de ses fonctions et est remplacé par Corinne Diacre à la tête des Bleues.
Nommé en septembre 2016, Olivier Échouafni ne sera donc même pas resté un an à la tête de l'équipe de France féminine. Alors qu'il l'avait d'abord confirmé à son poste, Noël Le Graët, le président de la FFF, a reçu ce mercredi le technicien pour mettre un terme à ses fonctions, comme indiqué dans un communiqué publié sur le site de l'instance.
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Une bonne chose de fait
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Première interview de Corinne Diacre à la tête de l’équipe de France féminine
« Une très belle promotion »
Devenir sélectionneuse de l’équipe de France féminine est « une très belle promotion »et non un retour en arrière pour Corinne Diacre, débauchée de Clermont (Ligue 2) pour remplacer Olivier Echouafni.
Qu’est-ce que cela vous fait de revenir à Clairefontaine dans la peau de sélectionneur des Bleues ?

– C’est déjà beaucoup de plaisir de revenir dans des lieux que je ne connaissais pas car cela s’est agrandi de fort belle manière. On a un bel outil de travail. Et puis il y a un sentiment de fierté qui est très présent aujourd’hui. Il va falloir le garder le plus longtemps possible.
« La mission qui m’attend va être ardue »

– Pour votre première liste, vous avez appelé beaucoup de jeunes joueuses. Est-ce l’entame d’un nouveau cycle en vue du Mondial-2019 ?

– Il y a encore quelques trentenaires dans le groupe. J’ai à peu près vingt mois pour préparer la compétition. J’ai fait des choix aujourd’hui, seront-ils les mêmes demain ? La porte est ouverte à tout le monde. Cela va dépendre aussi des performances en club. Est-ce qu’une joueuse de 30-31 ans, même si elle est performante aujourd’hui, le sera dans 20 mois ? J’ai un groupe à constituer, je ne me ferme aucune porte. Je me laisse le choix, à un moment donné, de rappeler éventuellement des filles que je n’ai pas prises et qui ont fait l’Euro-2017. Pour les filles qui sont dans la liste, si elles ne me donnent pas satisfaction ou leurs performances en club sont moindres…

– Le signal que vous voulez émettre, c’est la fin des statuts ?

– Oui. Il y a forcément des joueuses qui ont un certain statut parce qu’on ne peut pas se passer d’une capitaine sur un terrain, de certains relais. Mais en tout cas, il y aura des échanges, des discussions sur ce que moi j’ai envie de mettre en place.

– À Clermont, avez-vous pu garder un œil attentif sur le foot féminin ?

– Non, un œil assez lointain. De par mes fonctions d’entraîneur de Ligue 2, j’avais pas mal d’autres matches à observer. Il m’était difficile de le faire. J’avais plutôt un œil de supportrice, plus qu’un œil avisé de technicienne.

– Revenir dans le foot féminin, c’est une forme de retour en arrière ou au contraire une promotion ?

– Je reviens à la “Fédé” en tant que sélectionneur de l’équipe de France, donc pour moi, c’est une très, très, très belle promotion. Il n’y a rien au-dessus. C’est vraiment une grande fierté d’être ici aujourd’hui. Je sais que la mission qui m’attend va être ardue, il va y avoir du travail, des choses à mettre en place.

En tant que joueuse, j’avais toujours cette envie parce que l’équipe de France c’est déjà être reconnue comme une joueuse dans son club différente des autres, et vraiment de pouvoir porter ce maillot bleu, de représenter son pays, cela doit être quelque chose de particulier et pour moi aujourd’hui, c’est un moment très particulier.
« Des objectifs à atteindre »

– Comment allez-vous gérer ces deux ans de matches amicaux avant le Mondial-2019 ?

– Il va y avoir un gros travail d’observation. Aller voir les joueuses dans les clubs, retrouver une certaine proximité avec les entraîneurs, puisqu’ils ont les joueuses au quotidien.

Et puis suivre leurs performances hebdomadaires. Ensuite, à moi de constituer la meilleure équipe possible en essayant de trouver des automatismes entre les unes et les autres en fonction de leurs qualités respectives. C’est ce que je vais m’attacher à faire dans les prochains mois.

– La pression du résultat risque d’être énorme…

– Il y a des objectifs à atteindre. Une Coupe du monde à la maison, ça va être la première fois. Ensuite, on ne sait pas dans combien de temps on aura la possibilité d’organiser encore une compétition de ce genre-là. Effectivement, il va y avoir une pression médiatique, une pression des résultats. Mais quand on est compétiteur, et qu’on veut gagner des compétitions, on doit être capable de surmonter cette pression.
dna

L'Espagne remporte l'Euro U19 féminin
  La sélection féminine espagnole est devenue ce lundi championne d'Europe U19 en battant l'Allemagne (1-0).
Déjà vainqueure du tournoi l'an passé aux dépens de la France, l'Espagne a remis ça cette année en prenant logiquement le dessus sur l'Allemagne en finale de l'Euro U19 féminin ce lundi (1-0). Llompart a marqué le seul but du match d'un coup franc direct sous la barre (80e). C'est le troisième titre des Espagnoles dans la compétition, elles qui sont présentes en finale depuis 2014 maintenant.
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Foot féminin : démission du sélectionneur de la Nouvelle-Zélande, accusé par ses joueuses
  Pointé du doigt par ses joueuses pour son comportement inapproprié, le sélectionneur de l'équipe féminine de la Nouvelle-Zélande a démissionné.
C'est une histoire qui doit faire grand bruit au pays. En Nouvelle-Zélande, treize joueuses de l'équipe nationale ont refusé de jouer pour le sélectionneur, l'Autrichien Andreas Heraf, qui a démissionné de son poste.
La raison de ce refus ? D'après le New Zealand Herald, les internationales avaient écrit à la Fédération pour évoquer le «harcèlement, l'intimidation et la culture de la peur» dans le management du technicien, en fonction depuis décembre dernier.
Un état des lieux avait été lancé par l'instance depuis juin, alors que Andreas Heraf se trouvait en «congé spécial».
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Coupe du Monde U20 (Femmes)
Les Bleuettes échouent aux portes de la finale
 L'équipe de France féminine des moins de 20 ans n'a pas réussi à se qualifier pour la finale de son Mondial. Les Bleuettes se sont inclinées lundi soir à Vannes face à l'Espagne (0-1) qui affrontera le Japon en finale.
Héroïne de l'Euro U19 remporté par la France en 2016, Marie-Antoinette Katoto n'a pas su briller durant ce Mondial où elle était tant attendue. Devenu remplaçante, Gilles Eyquem lui préférant Amélie Delabre, Katoto a eu l'occasion de se relancer. Alors que le stade de la Rabine avait fait silence pour lui permettre de se concentrer, elle a manqué le penalty de l'égalisation à la 75e minute. Les Bleuettes étaient alors à 11 contre 10 face aux Espagnoles qui menaient 1-0 depuis la 51e minute.
L'équipe de France, qui n'a pourtant pas démérité, ne disputera pas la finale de sa Coupe du monde, vendredi à Vannes. Ce sont les Espagnoles qui affronteront le Japon, tombeur un peu plus tôt de l'Angleterre (2-0).
L'unique but de cette deuxième demi-finale a été marqué en début de seconde période. Les Françaises ont manqué de concentration sur une touche aux abords de leur surface de réparation. Lucia Rodriguez a pu centrer pour Patri Guijarro, la meilleure buteuse de la compétition (6 réalisations) qui a devancé Polito pour tromper Chavas. Ce but a eu le mérite de réveiller un peu les Françaises qui ont mis un peu plus de rythme dans le match poussées par le stade de la Rabine. Gilles Eyquem a fait entrer Katoto (54e) et Zamanian (58e) à la place de Delabre et Fercocq pour essayer d'apporter un peu de fraicheur à son équipe. Lakrar (55e) et Zamanian (59e) ont tenté de la tête mais la défense espagnole n'a pas cédé. L'expulsion de Bonmati, sortie en larmes, consécutive à un deuxième carton jaune à la 69e minute a enflammé un peu plus le stade de Vannes. Le penalty obtenu à la suite d'une main d'Aleixandri a redonné espoir, mais n'a malheureusement pas été transformé par Katato.
Les Françaises pourront nourrir quelques regrets car elles ont globalement dominé le début de la première période. Les centres de Baltimore pour Laurent ont fait passer quelques frissons dans le camp espagnol (11e, 12e, 30e). Très en jambes sur son côté droit, Laurent a eu l'occasion d'ouvrir le score à la 15e minute mais son piqué a manqué de puissance. Fercocq s'est également procurée une belle occasion mais son tir a été capté par Coll, la gardienne espagnole (26e). Les Bleuettes ont souffert en fin de première période et ne sont passées loin de concéder un premier but. Mais Lakrar a été attentive sur un ballon relâché par Chavas dans les pieds de Pina (39e) et surtout Bacha a sauvé sur sa ligne une frappe d'Egurolla (40e).
Il faudra désormais se reprendre et aller chercher la troisième place, vendredi, face aux Anglaises. Mais la fête est d'ores et déjà un peu gâchée.
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Le nombre de spectateurs présents au stade de la Rabine de Vannes pour la demi-finale entre la France et l'Espagne. C'est un record, en France, pour un match féminin des moins de 20 ans.
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Mondial U20 (F) : Les Bleuettes battues aux tirs au but par l'Angleterre pour la 3e place 
L'équipe de France des moins de 20 ans s'est inclinée ce vendredi face à l'Angleterre aux tirs au but (1-1, 2-4, t.a.b.) lors du match pour la 3e place.
Favorites en début de compétition dans la course au titre de championnes du monde, les Bleuettes se sont inclinées aux tirs au but face à l'Angleterre (1-1, 2-4 t.a.b.) à l'issue du match pour la 3e place ce vendredi à Vannes. Les Bleuettes terminent quatrièmes, au pied du podium de «leur» Mondial.
Une fois encore, elles ont dominé les débats sans parvenir à se montrer efficaces. En première période elles ont notamment eu plusieurs occasions d'ouvrir le score par Emelyne Laurent (16e), Christy Gavory (27e) ou Annahita Zamanian (28e). Cette dernière regrettera sans doute longtemps son face-à-face perdu avec la gardienne anglaise alors qu'elle avait parfaitement été lancée dans le dos de la défense par Thibaud (43e).
Bacha et Delabre manquent leur tir au but
Au retour de la pause, les Françaises ont été prises à froid par Georgia Stanway, la meilleure buteuse anglaise du tournoi, qui a marqué son 6e but en 6 matches. Profitant d'un marquage trop large de Julie Piga qui venait de remplacer Maëlle Lakrar, elle a trompé Justine Lerond, la gardienne française (46e).
Les Bleuettes ont égalisé sur un penalty transformé par Laurent (68e) à la suite d'une faute de Finningan sur Delabre. Elles ont poussé pour inscrire leur second but, en vain.
La rencontre s'est terminée sur une séance de tirs au buts durant laquelle Bacha et Delabre, deux des meilleures françaises durant la compétition, ont échoué. Les Bleuettes voulaient repartir avec un trophée, elles repartent avec des regrets et des larmes.
Le coup d'envoi de la finale, opposant le Japon à l'Espagne, au stade de la Rabine de Vannes, sera donné à 19h30.
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COUPE DU MONDE U20 (F) LE JAPON CHAMPION DU MONDE

Le Japon a battu l’Espagne (1-3) ce soir au Stade Rabine de Vannes en France en Finale de la Coupe du monde des moins de 20 ans. Le Japon succède à la Corée du Nord.

Battu par l’Espagne en poule (1-0), le Japon a attendu l’ultime moment pour sortir ses griefs et triompher en Coupe du monde U-20. Les Nadeshiko n’ont pas fait dans la dentelle lors de cette finale à Vannes face à la Rojita, battue (1-3).

Pourtant les choses ont mis du temps à se dessiner. Les deux équipes se sont rendues coup pour coup pendant longtemps lors de la première partie de la rencontre. Le Japon prenait l’avantage alors qu’on s’acheminait vers la pause. Hinata Miyazawa trompait Catalina Coll, la gardienne espagnole (0-1 ; 38ème). En vain l’Espagne tentera de recoller avant la mi-temps.
 
Alors qu’on s’attendait une réaction d’orgueil de la Rojita, c’est bien les Nadeshiko qui vont doubler la mise. Saori Takarada était à la conclusion d’une excellente action (0-2 ; 57ème). Le scénario est idéal pour le Japon qui peut tranquillement attendre calmement son adversaire. C’était sans connaitre l’adresse de Fuka Nagano. La joueuse d’Incheon Hyundai Steel Red Angel FC (Corée du Sud) envoyait Coll, chercher le ballon au fond de ses filets pour la troisième fois (0-3 ; 65ème). Le break était fait malgré la réduction au score de Candela Andujar pour l’Espagne (1-3 ; 71ème). Le Japon inscrit pour la première fois son nom au palmarès de la Coupe du monde féminine U-20, et confirme une fois de plus l’hégémonie du continent asiatique dans cette compétition, après la victoire de la Corée du nord il y’a deux ans en Papouasie-Nouvelle Guinée.
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Foot féminin : 68 000 spectateurs attendus pour Atlético de Madrid-Barça
  La rencontre au sommet du Championnat féminin espagnol devrait permettre de battre, dimanche (13 heures), un record mondial pour un match de club
 Le Wanda Metropolitano fera théoriquement le plein, dimanche (13 heures), pour le sommet du Championnat de foot espagnol féminin entre l'Atlético de Madrid (1er) et le Barça (2e). Plus aucune place payante n'est disponible et toutes les invitations ont été retirées : 68 000 spectateurs devraient donc garnir les travées du stade madrilène et battre pour l'occasion un nouveau record pour un match de foot féminin de clubs.

La précédente affluence la plus élevée (48 121) avait été enregistrée le 30 janvier dernier, lors d'un match de Coupe de la Reine entre l'Athletic Bilbao et l'Atlético de Madrid. La rencontre de dimanche devrait donc permettre d'établir un nouveau record continental, mais aussi mondial. Pour le moment, l'affiche Monterrey-Tigres (51 000 en mai 2018), en Liga MX, au Mexique, possède la palme.
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Marinette Pichon: "150 francs, c’était mes premiers revenus !"


Victime d'un père violent et alcoolique durant son enfance, Marinette Pichon s'est évadée grâce au football, qui lui a permis d'être la première Française à s'exiler aux Etats-Unis. Elle a marqué 81 buts en 112 sélections en équipe de France.

Marinette Pichon au tacle lors d'un amical France-Norvège en 2005.
A la veille du Mondial de foot féminin en France, Marinette Pichon, ex-attaquante des Bleues, raconte son époque, où le professionnalisme était inexistant en France et les préjugés tenaces.

Vous avez été le premier visage connu du foot féminin français. Est-ce une fierté ?
«Oui. Je mentirais si je disais le contraire. Je suis ravie d’avoir contribué à l’histoire des Bleues».
Qu’est-ce qui vous a poussé vers le foot ? Etait-ce difficile d’aller contre les préjugés ?
«J’ai cinq ans quand je commence à jouer au foot (en 1980). Je suis loin de toutes ces considérations. Je suis attirée par le football parce qu’il y a des gamins qui crient sur un terrain et prennent du plaisir. Et j’ai la chance de rencontrer des gens qui vont juste me dire, "tu veux jouer au foot ? Eh ben tiens prends un chasuble ! Oui, mais je suis une fille ? Mais on s’en fout que tu sois une fille, joue au foot". A partir de là, je vais commencer une pseudo-carrière».
A 16 ans, vous n’étiez plus autorisée à jouer avec des équipes de garçons. Avez-vous eu peur d’arrêter le football ?
«On me dit que j’arrive à la limite d’âge, que je n’ai pas d’autres possibilités. Et moi dans ma tête, je n’entends pas que j’ai des clubs (féminins) aux alentours. Je me résigne, c’est fini. Heureusement, mon éducateur Jean-Claude Rychel va contacter la présidente du club (féminin) de Saint-Memmie (Marne). Tout va s’enclencher après».
Quand imaginez-vous que cela puisse devenir un métier ?
«Quand les Etats-Unis m’appellent. Je me rends compte qu’il y a un championnat professionnel ailleurs, que j’ai peut-être été choisie pour y évoluer. Jusqu’à ce coup de fil des Philadelphie Chargers, à aucun moment, je n’imagine un seul instant que je vais être professionnelle. Pour moi, ce n’est pas possible, parce que la pratique du foot féminin est très récente. Je me disais, je profite, je m’éclate, je gagne ma vie en partie grâce au foot, même si je ne m’y consacre pas pleinement car je travaille en même temps».
Tombez-vous des nues en découvrant l’ampleur du foot féminin aux Etats-Unis ?
«Oui, dès le jour où on pose le pied sur le sol américain avec ma mère (en 2002), on se dit "waouh". On est attendu avec une voiture logotée du club, avec le staff qui porte les tenues des Philadelphie, avec le maillot floqué à ton nom. Là tu te dis "c’est bon, tu rentres dans une autre dimension". Le soir, lors de la présentation de l’équipe à l’Urban de Philly, il y avait près de 3 000 supporters. Je me demande dans quel monde je suis tombée. Le parallèle avec la France va être difficile à faire».

"On n’a pas comblé le retard sur des nations phares"

Qu’est-ce qui a changé entre l’équipe de France d’aujourd’hui et la vôtre ?
«Ce sont les moyens, les mentalités. Donner plus de temps sur les rassemblements, plus d’argent, offrir un accompagnement à la hauteur de l’investissement des filles. Les mentalités de présidents de club ont changé. Le regard des médias a changé. Et puis, il y a cette génération qui arrive et qui bouscule les codes. C’est un tout».
Au début de votre carrière internationale, vous étiez défrayée 150 francs par match...
«J’étais contente, je les prenais ! 150 francs, c’est mes premiers revenus. Voilà, il y avait très peu de moyens à destination de l’équipe de France. Bon, on était hébergées, les transports étaient remboursés, mais il manquait cette valorisation qu’on retrouve aujourd’hui. Car venir en équipe de France, ça voulait dire manquer à son club, mais manquer aussi des journées de travail... Aujourd’hui, on a beaucoup évolué».

Au début, vous n’étiez pas non plus dans le château de Clairefontaine...
«On était chez les Espoirs. Bon, c’est sympa, on ne se plaint pas. Mais c’est sûr que quand tu dors une fois dans le château, tu as envie d’y retourner. Parce que c’est fun de se dire, "attends j’ai dormi dans la chambre de Bixente (Lizarazu), de Lilian (Thuram) ou celle de Zinédine (Zidane)". Et parce que c’est une reconnaissance».
Quelles sont les prochaines étapes pour le foot féminin français ?
«C’est la réussite de la Coupe du monde. Il faut qu’on arrive à toucher tous les publics et à susciter des vocations. En parallèle, il faut que notre équipe de France marche. Ce ne sera pas si facile, tu joues avec une forme de pression, avec l’obligation de réussir, parce que tu es l’équipe hôte».
Peut-on dire que la France est devenue un moteur du foot féminin ?
«Oui, même si on n’a pas comblé le retard sur des nations phares comme l’Allemagne ou les Etats-Unis. Développer le foot féminin dès l’âge de cinq ans dans les établissements (scolaires) pourrait être une proposition assez forte».
dna

Metz battu par Lyon mais maintenu, Lille relégué en D2 féminine
  Malgré sa défaite à Lyon (0-3), ce samedi, Metz a obtenu son maintien en D1 féminine. Car dans le même temps, Lille a aussi été battu à Montpellier (2-3). Le LOSC accompagnera Rodez en D2 la saison prochaine.
L'ultime journée de D1 féminine a rendu son verdict ce samedi. Le deuxième club qui accompagnera Rodez en D2 la saison prochaine est désormais connu, il s'agit de Lille. Avant-dernier au classement avant son déplacement à Montpellier, le LOSC s'y est incliné (2-3), malgré une belle résistance. Conséquence : les Nordistes quitteront l'élite, dans laquelle Metz s'est maintenu de justesse. Malgré sa défaite à Lyon (0-3), face au champion déjà titré, le club lorrain a gardé son petit point d'avance sur les Lilloises.
Deux jours après l'annonce de la liste des 23 joueuses françaises retenues pour la Coupe du monde, l'autre intérêt de cette dernière journée était d'observer le comportement des Bleues qui participeront au Mondial. Wendie Renard a encore marqué pour l'OL par exemple, tout comme Valérie Gauvin ou encore Sakina Karchaoui avec le MHSC.
Katoto et le PSG en échec
En revanche, Marie-Antoinette Katoto, la grande perdante de la semaine, n'a pas terminé sa saison en beauté. Écartée de la sélection par Corinne Diacre, l'attaquante du PSG, meilleure buteuse du Championnat (22 buts), a vu son équipe accrochée à Guingamp (1-1), au terme d'un match très animé. Tandis que les Parisiennes, avant d'être réduites à dix après l'expulsion de leur gardienne Endler (36e), ont trouvé deux fois les montants, les Bretonnes ont manqué un penalty par Le Garrec (41e). Les partenaires de Katoto, qui a manqué deux grosses occasions de faire le break (51e et 63e), ont ensuite longtemps mené avant de se faire rejoindre.
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L'Olympique de Marseille évoluera bien en D1 féminine la saison prochaine
  Une réclamation de l'AS Saint-Étienne, dauphine des Olympiennes, a été rejetée.
Non, tout n'est pas noir dans la saison de l'Olympique de Marseille. La section féminine du club va retrouver la D1 un an après avoir été reléguée en Deuxième Division. Acquise sur le terrain le week-end dernier contre Ambilly (3-0), la montée est officielle depuis cette semaine et le rejet par la FFF d'une réclamation de l'AS Saint-Etienne, rapporte la Provence, samedi.
L'ASSE, dauphine de l'OM à un point, avait porté cette réclamation contre Toulouse au sujet d'une homologation de contrat de l'une de ses joueuses. En cas de succès, cette procédure aurait rapporté deux points de plus aux Vertes et privé Marseille de son accession, mais la Fédération a classé la réclamation sans suite.
Reims, vainqueur de l'autre groupe de D2, accompagnera les Marseillaises dans l'élite, tandis que Rodez descendra avec Lille, Metz ou Dijon. L'identité du deuxième relégué sera connue à l'issue de la 22e et dernière journée de D1 ce samedi (coup d'envoi des six matches à 14h30).
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Championnes de France de D1 féminine, les joueuses de l'OL ont reçu leur trophée


  Lyon a célébré son titre de champion de France, en recevant officiellement son trophée, ce samedi après sa victoire contre Metz (3-0).
Officiellement sacré champion de France de D1 féminine pour la 17e fois de son histoire et la 13e consécutive, depuis sa victoire contre le PSG (5-0) mi-avril, Lyon a reçu son trophée ce samedi. Les joueuses de l'OL l'ont brandi après leur dernière victoire contre Metz (3-0). Elles s'apprêtent désormais à disputer deux finales, mercredi en Coupe de France contre Lille (19 heures), puis le 18 mai à Budapest, contre Barcelone.
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OL féminin : Reynald Pedros ne sera plus entraîneur
Reynald Pedros et l'Olympique Lyonnais ont décidé de séparer d'un commun accord. L'ancien international n'entraînera plus l'équipe féminine de l'OL avec qui il a remporté deux Ligues des champions.
Reynald Pedros n'entraînera plus l'équipe féminine de l'Olympique Lyonnais, avec qui il a remporté deux Ligues des champions, autant de Championnats de France et une Coupe de France, a annoncé jeudi le club rhodanien.

« Le club et son entraîneur ont estimé qu'il était nécessaire de modifier l'organisation technique pour impulser une nouvelle dynamique et pour que des méthodes et une approche différentes permettent à l'équipe de se régénérer et de continuer à progresser », indique un communiqué de l'OL.
Reynald Pedros (42 ans) était arrivé à l'OL pour succéder à Gérard Prêcheur en 2017.
Sélectionné vingt-cinq fois en équipe de France, Pedros avait notamment joué à Nantes, Marseille, Parme, Naples, Lyon, Montpellier, Toulouse et Bastia. Avec Lyon, il occupait son premier poste d'envergure comme entraîneur après avoir dirigé des équipes amateurs.
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La Division 1 féminine aura aussi son naming
À partir de la saison prochaine, et pour trois ans, la société Arkema va associer son nom à la première division féminine.

Après la Ligue 1 et la Ligue 2 masculine, c'est au tour de la Division 1 féminine. Selon nos informations, la société Arkema, déjà sponsor de la Coupe du monde féminine, va, à partir de la saison 2019-2020 et pour trois ans, donner son nom au Championnat d'élite féminin.

Arkema est le premier groupe chimique français et leader mondial dans plusieurs domaines de la chimie de spécialité et des matériaux de performance (verre de lunettes, ballons de basket).
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Quand les footballeuses font grève pour améliorer leur condition
Les footballeuses espagnoles de Première Division entament une grève illimitée le 16 novembre pour obtenir un minimum salarial et davantage de droits. Avant elles, d'autres ont choisi la lutte. Le débrayage des Guingampaises
En février 2018, les Guingampaises débrayent avant un match de Coupe de France contre Brest. Le geste est inédit dans l'histoire du foot féminin français. Les Bretonnes protestent contre des conditions de travail et des infrastructures qu'elles jugent indignes : trajets en bus de 24 heures, repas à préparer elles-mêmes, entraînements sur des terrains différents chaque jour... Elles obtiendront gain de cause.
Après dix mois de négociations, les Danoises, vice-championnes d'Europe 2017, refusent en octobre de la même année de jouer un match de qualification pourtant crucial contre la Suède. En lutte pour obtenir des droits égaux à ceux des hommes, elles ne lèveront pas la grève, obligeant leur Fédération à annuler le match. Et abandonneront des points précieux qui leur coûteront une qualification au Mondial en France.
Le sit-in des Nigérianes
Après leur élimination par l'Allemagne en huitièmes de finale de la Coupe du monde en France (3-0), les Nigérianes refusent de quitter leur hôtel, exigeant que leur Fédération verse des primes de match dues depuis plus de trois ans. Elles en étaient déjà arrivées là avec un sit-in de trois jours après leur titre de championnes d'Afrique en 2004 ainsi qu'une manifestation organisée dans les rues d'Abuja après celui de 2016.
Le message des Jamaïquaines
Tandis que les Américaines attaquent en justice leur Fédé pour « discrimination sexiste institutionnalisée », les Reggae Girlz font le buzz au printemps 2019 à l'occasion de leur première participation à un Mondial. L'enthousiasme retombe vite : leur Fédération ne les ayant pas payées, elles décident en septembre de former un syndicat, de se déclarer en grève lors des tournois à venir et de partager le message « NoPayNoPlay » (pas de paie, pas de jeu), qui fait un tabac sur l'île.
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