Étonnant. Je ne m'y attendais pas face à un ancien de l'Euroligue.

Coupe de France (8es de finale) : la SIG s’impose à Paris (76-93)
Ils sont fortiches
La SIG n’a pas fait de détails hier soir à Coubertin. En s’imposant sans sourciller sur le parquet du Paris-Levallois, elle a décroché son billet pour les quarts de finale de la Coupe de France. Cette équipe-là semble insatiable.
DNA

Ils avaient pourtant perdu deux fois en Europcoupe contre la même équipe. Comme quoi... Il serait temps de l'emporter ce trophée.

La SIG battue après prolongation à Saint-Petersbourg

En tête durant la majorité de la rencontre, mais menée dans le money-time, la SIG a eu la balle de la gagne, le Zenit aussi, avant que les deux équipes ne partent en prolongation, fatale à la SIG (87-82).

http://sports.orange.fr/basket/pro-b/leaders-cup-souffelweyersheim-et-antibes-en-finale-newsweb-sports_CNT00000072kzd.html

Pro A, 17e journée : la SIG s’impose à Gravelines (62-76)
Une équipe d’enfer
Victorieuse hier soir à Gravelines (62-76), la SIG reste au contact des deux autres coleaders de Pro A. Les Strasbourgeois n’auront toutefois pas le loisir de s’en gargariser puisqu’ils basculent dès demain sur l’Eurocoupe, avec une rencontre de la plus haute importance, au Rhenus, face à Nymburk.
L’histoire ne dit pas si Vincent Collet recevra son poids en rillettes ou si une tribune d’Antarès sera baptisée en son honneur. Ce qui est certain, c’est que la victoire strasbourgeoise, hier soir à Gravelines (62-76), a fait les affaires et le bonheur du Mans.

En balance avec le BCM pour “gratter” le dernier ticket pour la Leaders Cup, le club sarthois sera du rendez-vous à Disneyland Paris.
L’admiration de Fred Forte sur les réseaux sociaux

La SIG, elle, maintient la cadence endiablée imprimée par Limoges et Nanterre, tous deux vainqueurs samedi, et c’est toujours une hydre à trois têtes qui règne ce matin sur la Pro A.

Dans le Nord, c’est Gravelines qui a eu un aperçu de l’enfer à la sauce strasbourgeoise. La SIG a littéralement marché sur l’eau – et sur son hôte – en première période (19-44), comme elle l’avait déjà fait à Paris ou contre Kazan, suscitant l’admiration de Frédéric Forte sur les réseaux sociaux.Pour le président limougeaud, la bande à Vincent Collet a envoyé un message à la Pro A hier soir.

« Eux aussi ont envoyé un message samedi, a souri Vincent Collet. Est-ce que ça va durer ? Il faut rester vigilant. » Louis Campbell et ses partenaires ont en tout cas fait forte impression avant la pause, profitant sans doute aussi du manque de compétition de leurs hôtes.
« On avait vraiment à cœur de se racheter de notre défaite à Saint-Pétersbourg et on s’est concentré sur une défense collective, on a fermé les drives et on les a laissés shooter », convient Jérémy Leloup, auteur d’un premier quart-temps de feu (12 points, à 100 %) qui a mis les siens sur orbite.

« Il n’y a pas grand-chose à dire sur cette première mi-temps, ou plutôt, il y aurait beaucoup à dire, soupire Pape Sy. On a eu un temps de latence et on a balbutié notre basket, on n’était pas dans le rythme. On a montré ensuite qu’on est capable d’embêter ce genre d’équipes quand on fait les efforts, mais on partait de trop loin. »
Comme à Paris, en Coupe de France, la SIG s’est exposée au retour de son adversaire en seconde période. « Gravelines a eu la réaction d’orgueil qu’on attendait, même s’il est toujours difficile de l’évaluer », indique Vincent Collet.
Nymburk dès demain au Rhenus

Si la partie de ball-trap du BCM avait viré au tragique en première période (1 sur 13 à trois points), les Corsaires ont surfé sur une adresse hors normes ensuite (7 sur 10 dans le troisième acte).

« Ils ont mis les gros tirs qu’ils avaient ratés auparavant. Harris et Solo (Diabaté) en ont rentré de très compliqués, mais ça ne nous a pas porté préjudice », glisse encore Jérémy Leloup.
Avec un Tony Dobbins, qui a réussi « son meilleur match sous les couleurs strasbourgeoises » et, plus largement, un banc performant (33 points), les Alsaciens ont contenu la tentative de come-back.

Les coéquipiers d’Antoine Diot n’auront toutefois pas le temps de célébrer ce convaincant succès. Dès demain, ils reçoivent les Tchèques de Nymburk, pour le compte de la troisième journée du Last-32 de l’Eurocoupe, une rencontre capitale s’ils ne veulent pas hypothéquer leurs chances de qualification pour les huitièmes de finale de l’épreuve. Le devoir, déjà, les appelle à nouveau.
DNA

Eurocoupe (4e journée) : la SIG s’incline à Prague contre Nymburk (72-66)



Une glissade sans gravité

Les Strasbourgeois n’ont pas coupé, hier, à leur désormais traditionnelle baisse de régime. Si cette inconstance ne leur avait pas porté préjudice contre Nymburk à l’aller, elle leur a coûté le match retour. Le défaut est identifié, reste à le corriger.

DNA

Faut pas pousser mémé dans les orties. On n'est pas encore un grand d'Europe quand même.

19e journée : la SIG arrache la victoire à Dijon (70-74)
Quel sang-froid !
La SIG, rapidement privée d’Antoine Diot, a arraché une victoire remarquable, hier à Dijon. L’abnégation et le cœur mis à l’ouvrage dans l’adversité démontrent la force de caractère du leader alsacien.
Que l’on se place sous l’angle strasbourgeois ou dijonnais, la vision diffère grandement. Passées sous le prisme d’une fin de rencontre indécise, haletante et terriblement crispante, les réactions sont même diamétralement opposées.
L’acharnement strasbourgeois a payé

D’un côté, Paul Lacombe affiche un sourire de jeune communiant et parle de «maîtrise et de sang-froid». Grand bonhomme de la soirée, l’arrière alsacien qui s’est mué en meneur était aux premières loges pour assister au renversement de situation dans le money-time.

Jean-Louis Borg, le coach bourguignon, serre, lui, les dents «pour ne pas dire une bêtise» qui lui vaudra une sanction. Quant à Zach Moss, l’intérieur américain éliminé après sa cinquième faute – comme Steven Gray –, il fulmine contre un «arbitrage incohérent».

Tout au bout d’un «match de guerriers», aux dires de Lacombe, quelques coups de sifflet du trio arbitral ont ainsi contribué à transformer les espoirs dijonnais en profonde frustration. «Battre Strasbourg en temps normal n’est déjà pas chose aisée, mais ça devient impossible quand les arbitres décident de leur rendre trois ballons dans les dernières minutes», peste encore Borg.
Il faut dire que les affaires alsaciennes se présentaient mal, après une première mi-temps pourtant bien maîtrisée, où l’écart a culminé à quinze unités. Mais au retour des vestiaires, l’étau alsacien, maintenu par le forçat Tony Dobbins, s’est peu à peu relâché. «On n’arrive plus à rentrer dans le match après la mi-temps, et ça devient récurrent, note Vincent Collet. J’ai beau changer les hommes, prendre les plus réveillés, ce n’est pas mieux. Il va falloir y remédier…»

L’écart, confortable, jusque-là, a donc été dilapidé. À cause des mauvais choix de Louis Campbell, seul meneur de métier après la blessure d’Antoine Diot dès le premier quart-temps – «Un simple coup sur le ligament, on n’a pas voulu prendre de risques», précise Collet –, et de l’apathie général d’Ali Traoré, les Dijonnais sont revenus dans le match, avant de reprendre les commandes.
La rédemption de Campbell et Traoré

Et quand le lutin Erving Walker donne trois longueurs d’avance aux siens (66-63, 38e ’), le Palais des Sports est entré en fusion. Mais la SIG n’abdique pas. Et c’est là toute sa force.

«C’est Louis Campbell, dans un mauvais soir jusque-là, qui nous rentre deux ‘’primés’’ dans les dernières minutes, poursuit l’entraîneur strasbourgeois. Et Ali Traoré qui met un panier décisif, et franchement pas facile, après avoir pas mal souffert.»

Le motif de la colère noire de la JDA réside dans ce ballon rendu à la SIG, après un gros pressing de Lacombe sur Walker qui a mis le pied en touche. A-t-il été aidé en cela par une poussette du sauveur alsacien ?

Vincent Collet se garde bien d’alimenter le débat, tout en rappelant avec malice que Dijon a perdu un autre ballon dans la foulée, seul comme un grand. Il préfère retenir «l’acharnement» dont son équipe a fait preuve, et «l’aubaine d’avoir pu compter sur Lacombe comme meneur inspiré».

En attendant le résultat de Nanterre, mardi en clôture de cette 19e journée contre Cholet, la SIG est seule en tête de la ProA. Déjà, son regard se tourne vers Kazan et le match d’Eurocoupe, mercredi, au fin fond du Tatarstan. La frustration et la colère sont des sentiments qu’elle laisse volontiers à Dijon.

DNA

La SIG s'impose à Kazan
Grâce à son succès sur le parquet de Kazan (60-82) lors de la cinquième journée d'Eurocoupe, Strasbourg prend provisoirement la tête du groupe G, en attendant le résultat de Saint-Pétersbourg.
Alsace

la SIG

Enormes regrets pour la SIG qui, alors qu'elle avait la qualification pour les 8e de finale de l'Eurocoupe à portée de mains, n'a non seulement pas été en mesure de décrocher ce mardi la victoire qui suffisait à son bonheur devant son public du Rhénus, mais les joueurs de Vincent Collet ont surtout sombré face aux Russes de Saint-Pétersbourg (61-73) et à leur défense de fer pour concéder un lourd revers aux conséquences fatales. Le parcours des Alsaciens dans la compétition s'achève ainsi sur une sévère désillusion.

(Orange Sports)

Une fois de plus la SIG manque un RV important, fâcheuse habitude.

Il fallait aussi que l'autre équipe russe (Kazan je crois) gagne à Nymburk pour que la SIG soit éliminé, non? Je suppose que c'est le cas.
Bon, l'essentiel est de remporter (enfin) un titre en France.

La SIG en finale après prolongations.

Strasbourg	79	17	16	16	17	13
Dijon	72	13	18	18	17	6

La Sig jouera Le Mans vainqueur de Nancy 64-62 en finale ce soir à 17H, auparavant Souffelweyersheim disputera la finale de la Cup B

Leaders Cup (finale) La SIG remporte la Leaders Cup en battant Le Mans en finale (60-58)

La SIG, leader de la ProA de basket, a remporté sa première Leaders Cup en dominant Le Mans, tenant du titre, 60 à 58, ce dimanche à Disneyland Paris.
C’est le deuxième trophée de l’histoire du club alsacien, après son sacre en 2005 en Championnat de France.
Strasbourg a globalement maîtrisé son sujet, avant de se faire une belle frayeur dans le dernier quart-temps, où le match s’est enfin enflammé.

Antoine Diot est sacré MVP de la Leaders Cup

la S I G 

:bien:titre mineur mais titre quand même.

Strasbourg	60	13	18	16	13
Le Mans	58	15	9	8	26

Antoine Diot élu meilleur joueur du tournoi Un MVP au poil

Désigné MVP de la compétition, Antoine Diot a préféré mettre l’équipe en avant. Le meneur de la SIG n’en a pas moins franchi un nouveau palier cette saison.

Il n’en finit plus de collectionner les distinctions sur le plan personnel. MVP français de Pro A la saison dernière, Antoine Diot a reçu, hier, le trophée de meilleur joueur de cette troisième édition de la Leaders Cup des mains d’Alain Beral, président de la LNB, et de l’ex-international Laurent Foirest.

« Il est 20 % plus fort que l’an passé »

« Ça fait toujours plaisir de gagner un titre individuel, mais il passe au second plan, a estimé le meneur strasbourgeois. C’est, avant tout, une victoire d’équipe. On a un jeu qui permet à tout le monde de s’éclater et de mettre des points. Et moi, ce que je retiens surtout, c’est l’écran en retard que va faire untel, le rebond que va prendre tel autre ou encore la petite aide quand on est à la rue en défense. Je me sens bien dans cette équipe. »
En finale, le Bressan a rendu une copie correcte, mais sans grand relief non plus (11 points, à 5 sur 12 au tir, 5 passes, 3 balles perdues, 9 d’évaluation). Il ne s’en est d’ailleurs pas caché. « Mon match n’est pas très bon, ce n’est pas moi qui mets les shoots décisifs, ce sont ceux de Jérémy et Louis qui font la différence. »
Sa demi-finale contre Dijon fut, en revanche, d’un tout autre acabit (28 d’évaluation) et Vincent Collet s’est chargé de le rappeler. « C’est lui, le premier, qui a rassemblé son équipe et lui a dit : “Suivez mon étendard. Cette finale, on va y aller”. » Pour le sélectionneur, « l’Antoine Diot de cette année est vraiment meilleur que le précédent. Il est 20 % plus fort que l’an passé. »
Cette progression, coach Collet la mesure notamment à l’aune des productions européennes. « En Euroligue, son évaluation avait été très moyenne. Cette année, par contre, il est presque à 18 d’évaluation en Eurocoupe, il a fait de très grands matches à Bamberg, Saragosse et Kazan, des matches qu’on a gagnés, et ça, ça situe le niveau d’un joueur. »
Le médaillé de bronze du dernier championnat du monde, lui, a apprécié « le caractère » dont l’équipe a fait preuve durant ces trois jours de compétition. « On arrive à produire un basket de guerriers, à fournir les efforts en défense, et ça, c’est très important pour la suite de la saison. » Même dans son discours, Antoine Diot fait un MVP au poil.
Dna

Enfin. Après dix ans sans gagner le moindre titre, et plusieurs finales perdues, Strasbourg a rafraîchi son palmarès, dimanche à Disneyland Paris, en remportant la finale de la Leaders face au Mans (60-58). Une victoire à l'arraché au goût sans doute particulier pour Vincent Collet, lui l'ancien coach du MSB, qui attendait de soulever son premier trophée avec la SIG. "Il y avait de très fortes attentes, a reconnu l'entraîneur du club alsacien après le match, des propos relayés sur le site de la ligue nationale de basket-ball (LNB). L'autre jour, on m'a demandé si j'avais la pression, j'ai dit: « oui, beaucoup ». [...] Ça fait deux ans qu'on n'y parvient pas (à être champion en Pro A) et je pense qu'on sera encore dans la course cette année." Mais à l'image de ses joueurs, le sélectionneur des Bleus a souffert face aux Sarthois. "J'espère aussi que la fin du match nous servira, parce que je n'ai pas été heureux tout de suite, j'ai vraiment souffert et je pense qu'on s'est mis un peu dans cette situation-là, a-t-il analysé. On s'est un peu relâché, ils sont revenus à 12 points et après on a eu le trouillomètre à zéro."

orange sports

Les années en 5 portent chance à la SIG !

Souhaitons le