Finale des playoffs / Basket La SIG sur écran géant jeudi soir place Kléber, à Strasbourg
Le public pourra suivre les deux prochains matchs de la SIG sur écran géant, place Kléber, jeudi soir et samedi soir.
Après deux premières rencontres au Rhénus, face au CSP Limoges, en finale pour le titre de champion de France, les deux équipes qui sont à égalité s'affrontent à nouveau à deux reprises, dans le Limousin, jeudi et samedi.

La Ville de Strasbourg a décidé de mettre en place un écran géant sur la place Kléber, pour suivre ces rencontres en direct, indique un communiqué diffusé en début d'après-midi.

Les Strasbourgeois sont invités à venir assister à la retransmission ce jeudi 18 juin à partir de 20 h 30 place Kléber. Le match aura lieu à 20 h 50.

A noter que ce dispositif sera renouvelé pour la quatrième rencontre entre le CSP Limoges et la SIG samedi 20 juin, indique encore la Ville dans son communiqué.
Dna

Finale Pro A (épisode 3) : avant Limoges – SIG, demain (20h50) L’enfer vert
Les basketteurs de la SIG vont être plongés, demain et samedi, dans le chaudron de Beaublanc. Avant les rencontres et dans les tribunes, les “Ultras Green” font monter la température et assurent une ambiance héritée des stades de foot.
http://www.dna.fr/sports/2015/06/17/l-enfer-vert

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Collet : « La salle la plus chaude de France »
Partout, cette saison, comme la précédente d’ailleurs, il a été chaleureusement applaudi et reçu avec les honneurs dus à son rang, celui du sélectionneur qui a conduit l’équipe de France à un titre de champion d’Europe et à une toute aussi historique troisième place lors de la Coupe du monde 2014. Partout ? Non. Une seule salle lui a réservé un accueil hostile : Beaublanc.

Le palais des sports limougeaud n’a que faire du palmarès et des hauts faits d’armes accomplis pour la patrie par Vincent Collet. Et en mars dernier, des sifflets et des noms d’oiseaux ont dévalé des tribunes à l’adresse du coach strasbourgeois. Beaublanc est différent. « Ça reste la salle la plus chaude de France », a admis hier, pas rancunier, l’entraîneur de la SIG.
Dna

Marco 69/73 a écrit:

Collet : « La salle la plus chaude de France »

Le palais des sports limougeaud n’a que faire du palmarès et des hauts faits d’armes accomplis pour la patrie par Vincent Collet. Et en mars dernier, des sifflets et des noms d’oiseaux ont dévalé des tribunes à l’adresse du coach strasbourgeois. Beaublanc est différent. « Ça reste la salle la plus chaude de France », a admis hier, pas rancunier, l’entraîneur de la SIG.
Dna

Je me demande pourquoi?

Il y en a qui ne supporte pas les Alsaciens sur le podium.

La SIG s’incline à Limoges (71-59)
           

Battue au Rhénus lors de la première manche de la finale, la SIG doit s’imposer au moins une fois à Limoges pour rester en vie dans cette finale. Cela a mal commencé puisque les Strasbourgeois se sont inclinés (71-59) ce soir.

Très lourde, cette défaite. Peut-être bien trop lourde.

Si on n'arrive pas à gagner à domicile surtout pour le premier match cela devient compliqué surtout contre un Limoges.

Pro A
Sortie houleuse pour les Strasbourgeois
L'équipe de Strasbourg a eu du mal à quitter Beaublanc ce jeudi soir après sa défaite (71-59) lors du match 3 de la finale face à Limoges. Des supporters du CSP attendaient les joueurs à leur sortie et, après avoir jeté des pétards, ils ont conspué les hommes de Vincent Collet. «Ils ont menacé Ali Traoré», a expliqué l'entraîneur de la SIG, visiblement très irrité, alors que la troupe alsacienne était de retour dans la salle avant de se diriger vers une autre issue. «Ce qui s'est passé ce soir est inadmissible, a lancé Martial Bellon, le président de Strasbourg. La sécurité de nos jouueurs n'a pas été assurée. Je n'ai jamais vu ça dans aucune salle en France. Je peux vous dire qu'à Strasbourg, ça ne se serait jamais passé.»
equipe

Le CSP mériterait à tout le moins une amende substantielle.
Mais bon, ce n'est que Strasbourg en face... donc il ne se passera rien. :$:

Finale Pro A (match 4) : Limoges – SIG Des regrets éternels

Décidement, la SIG n’y arrive pas. Hier soir, les hommes de Vincent Collet se sont inclinés à Limoges (82-75) et échouent pour la troisième fois de suite en finale de la Pro A. Les regrets sont éternels.

https://youtu.be/4X3gsY-WCC0
Il y a eu les maux de tête consécutifs à la désillusion vécue contre Nanterre, voilà deux ans. Les joues strasbourgeoises sont encore empourprées par la claque administrée en juin dernier par Limoges. Et depuis hier soir, la SIG traîne derrière elle un encombrant boulet, qui prend la forme d’un inédit et terriblement frustrant triplé perdant en finale du championnat.

« On manque clairement d’un peu de talent »

Dans cette compétition, les hommes de Vincent Collet sont devenus les dindons de la farce. Beaux perdants, loosers magnifiques, combattants maudits : les qualificatifs se bousculent pour désigner la bande à Louis Campbell, capitaine inconsolable qui a tenu la barre durant ces trois tempêtes.
Cette saison, pourtant, la SIG semblait suffisamment forte pour sortir la tête de l’eau. Impériale durant la saison régulière, elle avait déjà soulevé deux ‘’petits’’ trophées – la Leaders Cup et la Coupe de France -, histoire de se mettre en appétit.
Mais au final, c’est Limoges qui est parvenu à conserver son titre, dans une ville qui transpire le basket par tous les pores, signant le si difficile back to back que Pau avait été le dernier à réaliser voilà plus de dix ans.
Que s’est-il passé pour que les Strasbourgeois assistent encore, au pied du podium, aux scènes de liesse de ces hommes verts, en communion avec leur public? «On a fait des erreurs, analyse à chaud un Antoine Diot marqué par cet échec. Le premier match au Rhenus, on ne doit pas le perdre. Et jeudi, dans la troisième manche, on aurait dû présenter un autre visage… »
Hier soir, la SIG a pourtant repoussé Nobel Boungou colo et sa bande de solistes talentueux dans leurs derniers retranchements.
« Il y avait la place pour gagner, assure Vincent Collet. Mais il y a plein de petits détails, des choses évitables, qui nous coûtent cher au final. »
Le technicien alsacien n’a pas apprécié la légèreté de certains dans les moments-clés. « A la mi-temps, on doit regagner les vestiaires avec six points d’avance, mais ni Matt Howard, ni Louis Campbell ne commettent la faute que j’avais exigée. J’ai pourtant hurlé comme un fou… »
Coach Collet n’a pas été plus indulgent avec Ali Traoré, son pivot qui s’est « couché devant Zerbo dans le dernier quart temps, au lieu de l’envoyer sur la ligne des lancers francs». Soit des petites choses qui ne sautent pas aux yeux mais qui «font la différence dans les matches de haut niveau ».

Un joueur hors norme a fait défaut à la SIG

Et quand tout pouvait encore basculer dans le camp strasbourgeois, Limoges a pu compter sur un petit lutin aux cheveux frisés. A lui seul, et à travers deux tirs ‘’primés’’ de suite, Pooh Jeter a ‘’tué’’ la SIG dans le money time. « Pooh, on l’attendait depuis longtemps et il a mis les tirs au bon moment, sur son talent », savoure Philippe Hervé, l’entraîneur limougeaud.
Voilà peut-être ce qui a fait le plus défaut à la SIG : un joueur hors norme qui peut gagner un match à lui tout seul.
« On manque clairement d’un peu de talent, reconnaît Vincent Collet. On dépendait trop d’Antoine Diot, qui n’était pas suffisamment secondé sur cette finale. On a manqué de deuxième lame… Voilà, on arrive en fin de cycle, Antoine va certainement nous quitter. Il y a tout à reconstruire. »
Mais avant de démarrer ce vaste chantier, la SIG a d’abord tenu à finir proprement la saison. Dans l’intimité des vestiaires, où les joueurs se sont longuement réfugiés, quelques larmes ont dû couler. « Je voulais juste remercier tous les gars pour cette super saison, conclut Antoine Diot. Elle a un goût d’inachevé, mais ce groupe était vraiment extraordinaire… »
Dna
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Il faudra trouver maintenant un paquet de pognon (c'est possible) pour continuer à entretenir la possibilité de rester très haut dans la hiérarchie française sinon la chute pourrait être très brutale.

Après la défaire de la SIG contre Limoges (1-3) en finale de Pro A Nouvelle philosophie
Vincent Collet voulait conduire la SIG au titre en imposant ses idées. Ce troisième échec de rang, scellé samedi soir à Limoges (82-75), met cruellement en exergue les limites du système. Explications.Ce devait être la revanche de la dernière finale, expédiée en trois manches sèches par Limoges face à une équipe strasbourgeoise à bout de souffle. C’est en fait un triste remake de 2014 qui s’est joué en un peu plus d’une semaine, entre l’Alsace et le Limousin.

Samedi soir à Beaublanc, les mêmes scènes se sont succédé à un an d’intervalle, avec une intensité accrue. D’un côté, les Limougeauds, casquette blanche vissée sur la tête et orgueil en bandoulière, ont pu plastronner autour du massif trophée réservé au champion.

Assis dans un coin, les Strasbourgeois ont laissé apparaître une insondable tristesse et un profond dépit sur des visages hagards.
« C’est forcément un échec cuisant »

« La déception est plus grande parce que l’on était meilleur cette saison, on avait davantage les armes pour gagner, assure Vincent Collet. Mais on a mal abordé la finale en perdant dès le premier jour à Strasbourg (68-70). On a commis une faute, même si je reste persuadé qu’il y avait encore la place… »

Si la SIG est cette fois parvenue à enlever une manche, la deuxième (66-52) sur son parquet, elle n’a pas tenu la distance face à une formation pétrie de talents individuels, qui a su se serrer les coudes après la blessure de son joueur majeur, Adrien Moerman, lors de son unique défaite.
« C’est forcément un échec cuisant, reconnaît le technicien strasbourgeois. Il faut se poser les bonnes questions par rapport à l’équipe, car il nous a aussi manqué clairement des choses. »

S’il vit pour ses idées, coach Collet accepte aussi de mourir avec elles. Mais à force de perdre, le double champion de France, avec Le Mans et l’Asvel, commence à réviser son jugement.

Les intentions, louables, de s’appuyer sur un noyau dur de joueurs français, de privilégier l’équilibre du groupe, l’intelligence de jeu, la constance et la confiance, rendent l’équipe séduisante et permettent de développer un basket léché. Pour autant, le succès n’est pas au rendez-vous.
Pas d’états d’âme à Limoges
Plus que les choix de l’entraîneur, c’est toute la politique du club qui doit être remise en question. À Limoges, on nourrit ainsi moins d’états d’âme. L’omnipotent président Fred Forte peut pourrir ses joueurs comme s’ils s’agissaient de bons à rien, avant de leur tresser une couronne de lauriers. Il est capable de garder un Américain récalcitrant sous contrat, James Southerland, sans plus jamais le faire jouer.
L’imprévisible ex-joueur de la SIG sait provoquer un électrochoc en dégageant sans ménagement l’entraîneur du dernier titre, Jean-Marc Dupraz, au profit de l’ingénieux Philippe Hervé à l’approche de l’emballage final. Enfin, il ne rechigne pas à casser sa tirelire pour s’attacher les services d’un talent pur comme Pooh Jeter, le lutin qui a erré comme une âme en peine durant les trois premières manches de la finale avant d’éclabousser de sa classe l’acte décisif.
Bref, au CSP, la morale n’est pas toujours sauve, les méthodes restent parfois douteuses, mais l’essentiel est assuré : dans les moments qui comptent, tous les joueurs, du premier au dernier, répondent présent. À l’image de l’inattendu Ousmane Camara, qui a été récompensé du titre de MVP de la finale, ou du “faux frère” Mike Gelabale, vu en décembre sous le maillot strasbourgeois et qui a fait très mal à ses ex-coéquipiers, au relais de Moerman.

Côté strasbourgeois, les manquements et les égarements de certains leaders – Louis Campbell sur l’ensemble de la série, Matt Howard ou Ali Traoré samedi soir – et l’impact insuffisant des hommes du banc, pourtant si précieux toute l’année, interpellent.
Vincent Collet estime que la finale a été perdue à cause de l’addition de toutes ces lacunes individuelles, de celles qui passent inaperçues en saison régulière, mais qui s’avèrent rédhibitoires quand le niveau s’élève.

« J’ai rabâché aux gars tout au long de la série que la gestion des fautes était fondamentale, insiste-il. Parfois, il faut savoir “casser le bras” de ton adversaire. C’est ce que j’appelle des fautes de haut niveau, celles qu’il faut prendre pour rééquilibrer le rapport de forces. Être bon, ce n’est pas suffisant… »
Moins gentille, plus “tueuse”
Si tout n’est pas à jeter, le gain de la Leaders Cup et de la Coupe de France soulignant l’emprise de la SIG une bonne partie de la saison, Vincent Collet va donc devoir redessiner son équipe dans ses grandes largeurs, histoire de la rendre moins gentille, plus “tueuse”.

Avec le départ prévisible d’Antoine Diot, le chantier est immense (lire ci-contre). Mais l’occasion de repartir de zéro, ou presque, peut être salvatrice après ces trois échecs que le coach va traîner comme un boulet.

« Le travail fait depuis toutes ces années mérite de déboucher sur un titre, mais il faut aller le chercher », conclut le président Bellon. Les “chics types” réunis autour du capitaine Campbell n’y sont pas parvenus. C’est peut-être le moment de changer de philosophie.
dna

Limoges est un suceur de stéphanois, alors j'étais à fond derrière la SIG.

Lyonniste a écrit:

Limoges est un suceur de stéphanois, alors j'étais à fond derrière la SIG.  

Sympa de ta part, malheureusement cela n'aura pas suffit.   N'empêche la SIG aura fait un joli parcours cette saison.

Joli sans doute pour un puriste du basket car c'était certainement la meilleure équipe mais sans titre de champion au bout (qui aurait été logique vu le niveau de l'équipe), ça devient un échec bien cuisant et peut-être annonciateur d'une chute future encore plus cuisante puisque un grand nombre de joueurs majeurs du club vont filer.
Pour moi, le titre s'est envolé pour longtemps.

Marius pour la SIG je pense que c'est une saison mitigée car leur principal objective était Champion de France , je vais suivre Allmen67 MrEnigme qui a raison sauf pour "pour moi, le titre s'est envolé pour longtemps." maintenant un changement d'Entraîneur est t-il nécessaire ????

Euro-2015 dames (finale) : la France s’incline face à la Serbie (76-68) Battues par plus fortes

Pour la deuxième fois de suite, la France s’est inclinée en finale de l’Euro dames de basket. Mais cette fois-ci, ce revers n’a pas été vécu comme un drame par les Bleues tant la Serbie leur a été supérieure (76-68), hier à Budapest.

Battues par plus fortes 05:00 Basket-ball - Euro-2015 dames (finale) : la France s’incline face à la Serbie (76-68) Battues par plus fortes

La grande Europe :
la SIG repêchée en Euroligue
Après 2005 et 2013, la SIG va participer à sa troisième campagne continentale dans la reine des compétitions : l’Euroligue. Les Strasbourgeois ont bénéficié d’une invitation et accompagneront donc Limoges pour porter les couleurs de la France.
En s’inclinant à Limoges, voilà dix jours dans le quatrième acte de la finale du championnat de France, la SIG de Vincent Collet avait été soumise à la double peine : buter pour la troisième année consécutive sur la dernière marche qui mène au trophée national et voir les portes de l’Euroligue lui claquer sous le nez.
« Cela va nous permettre de continuer à grandir
Pour autant, le désormais triple vice-champion de France n’a pas remisé ses ambitions continentales aux oubliettes. Étant entendu qu’un club français serait invité à la prochaine édition, en compagnie des Limougeauds, Martial Bellon a rapidement fait acte de candidature.

Eu égard au bilan sportif – premier de la saison régulière, solide en Eurocoupe, soit la deuxième compétition par ordre d’importance –, et aux indicateurs économiques plutôt en croissance, le président se disait « raisonnablement optimiste » quant à l’obtention d’une wild-card.

Celle-ci a donc été obtenue tout à l’heure. « C’est un soulagement et une très bonne nouvelle, car cela va nous permettre de continuer à grandir », savour Martial Bellon.
Voilà deux saisons, la SIG avait déjà été rattrapée par le bout de la manche. Battus par Nanterre en finale de la Pro A, Alexis Ajinça et les siens avaient obtenu une invitation à la suite du forfait de Rome.

À l’automne 2013, face au grand Real Madrid – qui vient de décrocher sa neuvième couronne continentale –, à Milan, Kaunas, l’Efes Istanbul et Bamberg, les Strasbourgeois avaient pu mesurer le fossé qui les sépare des places fortes européennes.

Malaxés lors de la phase aller – cinq défaites en autant de matcher –, ils avaient sauvé l’honneur en remportant trois succès lors du cycle retour. Pas suffisant, cependant, pour se hisser dans le Top-16, que plus aucun club français n’a vu depuis 2003 (Pau/Orthez).
À l’été dernier, la SIG a retenté sa chance via le tournoi de qualification organisé à Ostende. Mais Antoine Diot et les siens ne sont pas parvenus à s’en extirper, les Russes de l’Unics Kazan empochant le seul billet mis en jeu.

Avec son sésame pour l’Euroligue en poche, Vincent Collet va désormais pouvoir rebâtir une équipe compétitive. Après la prolongation de Romain Duport – le pivot étant à ce jour le seul joueur encore sous contrat –, d’autres annonces devraient intervenir dans les prochains jours.
Dna

Fofana prolonge à la SIG
LA SIG vient d’annoncer via un communiqué de presse, la prolongation du Fofana pour deux saisons supplémentaires dans le club de la capitale européenne. Un choix aidé par un repêchage en Euroligue.
Communiqué de presse :

Quelques jours après la prolongation de Romain Duport, la SIG enregistre une seconde signature. En effet, le pivot Bangaly Fofana (26 ans, 2,13m, 107kg) lui a emboîté le pas en signant un contrat pour deux saisons supplémentaires dans l’effectif de Vincent Collet.

Poursuivant son objectif de signer prioritairement des joueurs formés localement (JFL) afin de répondre aux obligations du règlement de la LNB, la SIG a prolongé son pivot Bangaly Fofana. Au vu de la saison réalisée par le géant strasbourgeois, les dirigeants n’ont pas hésité. Arrivé l’été dernier en provenance du Havre, avec la ferme intention de franchir un palier dans sa carrière, il a montré tout au long de la saison passée, que le coach avait eu raison de lui accorder sa confiance.Auteur de 5,8 points, 3,4 rebonds et 8,4 d’évaluation pour un temps de jeu moyen de 15 minutes en saison régulière il s’est montré particulièrement rentable au poste 5.
Durant les playoffs, il a même démontré qu’il n’était pas qu’un simple joueur de rotation en augmentant, à temps de jeu égal, son niveau de jeu (6,3 points, 4,9 rebonds et 10,2 d’évaluation). En saison régulière, il s’était montré dominant à plusieurs reprises, comme par exemple contre Gravelines lors de la 29ème journée avec 17 points, 10 rebonds pour 29 d’évaluation. Un indice de 29 qu’il réalisa également lors du match#1 de la demi-finale de playoffs contre Le Mans.Lors de sa signature en août dernier, Bangaly Fofana avait annoncé que son choix avait été en partie dicté par la participation à une coupe d’Europe. Une redécouverte globalement positive. Défenseur de premier ordre, il a bien souvent plané dans la raquette strasbourgeoise pour imposer son énergie et son envergure.

Second meilleur contreur et rebondeur offensif de l’équipe en Eurocup, il a assumé au mieux ses responsabilités lorsque les coaches faisaient appel à lui.Avec cette signature, la raquette strasbourgeoise disposera une nouvelle fois de deux joueurs complémentaires de plus de 2,15m la saison prochaine. Bangaly Fofana ayant déjà démontré qu’il apprenait vite et bien, nul doute que le fait de travailler dans la continuité et dans un cadre qu’il connaît, pourra lui permettre de franchir encore quelques paliers.
total sport

Kyle Weems rejoint la SIG
La Sig vient d'annoncer dans un communiqué que le Nanterrien Kyle Weems (25 ans, 1,98m) avait signé un contrat d'un an pour porter le maillot de Strasbourg en Pro A et en Euroleague.
Dna

[g]L’ancien strasbourgeois Lavoy Allen prolonge en NBA[/g]
Passé par Strasbourg (Pro A) lors de la saison 2011/2012 (10,1 points et 7,2 rebonds de moyenne en 9 matchs), l’Américain Lavoy Allen évoluera toujours en NBA la saison prochaine. L’ancien joueur de la SIG vient en effet de prolonger son contrat pour trois ans et 12 millions de dollars avec les Indiana Pacers. Il disputera donc sa troisième saison NBA après avoir réalisé un exercice convaincant en sortie de banc (5 points et 5 rebonds de moyenne en 17 minutes).

Drafté en 50e position par Philadelphie, il avait débuté, avec brio, sa carrière professionnelle en Alsace durant le lock-out NBA. Avant de rejoindre la ligue américaine en décembre 2011, après la fin de la grève.
total sport

b]Beaubois à la SIG
Après l’ailier-fort américain Kyle Weems, l’arrière du Mans Rodrigue Beaubois (27 ans, 1,88m) est la deuxième recrue de la SIG.[/b]
L’affaire était dans les tuyaux depuis quelques jours. Et les rumeurs ont circulé, sans être confirmées ni démenties par le président Martial Bellon, le coach Vincent Collet étant, lui, injoignable. Silenzio stampa, comme disent les Italiens…

S’il fallait la juger à sa discrétion et ses cachotteries sur le marché des transferts, la SIG serait assurément une pointure, un cador en Europe.

En attendant de pouvoir rivaliser avec le Real Madrid ou le Maccabi Tel Aviv, le club qui a échoué pour la troisième fois de rang en finale de Pro A, contre Limoges le mois dernier, poursuit donc ses petites emplettes. Kyle Weems (Nanterre) a été le premier à poser son baluchon à Strasbourg.
Hier, c’est Rodrigue Beaubois – 188 matches en NBA avec les Dallas Mavericks – qui a donné son accord. Le combo international, formé à Cholet et passé par Le Mans cette année, fait partie de la caste des shooteurs racés, capable de prendre feu derrière l’arc – 35 points contre Reims lors du dernier exercice -, au relais d’un Louis Campbell arrivé en bout de course.

Il faut en tout cas croire que l’intéressé n’est pas rancunier. En demi-finale des play-offs, contre Le Mans (battu 3-0, avec un Beaubois transparent), Vincent Collet avait tenu des propos trempés dans le vitriol et rapportés par L’Équipe, au sujet de Beaubois, avant de se confondre en excuses: «Il peut jouer en meneur mais ne mène rien, à part lui-même.»

À la SIG, il tentera de prouver que l’humour du sélectionneur national était mal placé.
dna

Matt Howard prolonge à Strasbourg
C’était attendu, c’est désormais officiel : l’Américain Matt Howard (26 ans, 2m03) prolonge à la SIG pour les deux saisons à venir.

Strasbourg n’attendait plus que le retour de contrat signé. C’est désormais chose faite. Matt Howard portera toujours les couleurs de la SIG les deux saisons à venir et avec qui il disputera l’Euroleague. Il sera associé à Kyle Weems, Romain Duport, Bangaly Fofana et à un dernier joueur restant à recruter dans la raquette alsacienne.

Arrivé en Alsace l’été dernier, Howard, ancienne star universitaire à Butler (NCAA), n’a pas tardé à trouver sa place dans le système de Vincent Collet dont il est devenu un joueur du cinq majeur (7,7 points, 5 rebonds et 1,7 passe de moyenne).
Total sport

Que du lourd

Le foot affronte le Bayern II en amical et le basket affronte le vrai Bayern au basket dans la reine des compétitions européennes. On voit là le chemin que le foot strasbourgeois à encore à faire...

Bientôt Allmen67 MrEnigme , Bientôt, pour le racing.

SIG : Antoine Diot s’engage à Valence
C’était l’une des questions récurrentes concernant le dorénavant ex-Strasbourgeois, sous quelles couleurs évoluera Antoine Diot. Annoncé tanto en Grèce, tanto en Turquie, c’est finalement à Valence en Espagne que le champion d’Europe posera ses valises.
Une star française quitte la France et sa Pro A. Le meneur de jeu international de la SIG Antoine Diot (1,93 m, 26 ans) rejoint le récent demi-finaliste des playoffs ACB pour deux saisons. Il disputera l’Eurocup dès cette saison.
Alsa'Sport

Euroleague : Droits TV en forte baisse pour la SIG
C’est la mauvaise surprise de la semaine. La SIG devra composer avec des droits TV en (très) forte baisse pour son retour en Euroleague. De quoi compliquer encore plus la tâche des Strasbourgeois.
Plus petit budget de la compétition, Strasbourg devra composer avec un maigre chèque provenant des droits télévisuels de l’Euroleague.
« Nous toucherons 150 000 euros, alors que nous avions eu 400 000 euros il y a deux ans, explique Martial Bellon, le président de la SIG, dans les Dernières Nouvelles d’Alsace. Et dire que Limoges, qui était le seul représentant français l’an dernier, avait perçu 800 000 euros … »
Cette baisse s’explique par un nouveau mode de répartition des droits TV pour les 24 équipes qualifiées. Et surtout par le fait que les clubs qualifiés pour le Top 16 toucheront beaucoup plus qu’auparavant.
Alsa'Sports

SIG : Campbell rempile ! (officiel)
Excellente nouvelle pour le SIG et les supporters des rouges et blancs. Louis Campbell (36 ans) s’est engagé pour une quatrième année supplémentaire avec le vice champion de France.
Toujours aussi performant malgré ses 36 printemps, Louis Campbell (1,90 m) va repartir pour une quatrième année à Strasbourg. Arrivé sur la pointe des pieds à l’été 2012, le meneur Américain est devenu un leader de terrain et de vestiaire. Campbell partagera les responsabilités à la mène strasbourgeoise avec Rodrigue Beaubois et Paul Lacombe.
Alsa'Sports

Mardy Collins rejoint la SIG Le jeudi, c’est Mardy
La SIG tient le successeur d’Antoine Diot. Passé par la NBA – quatre saisons aux Knicks et aux Clippers – et par l’Olympiakos, Mardy Collins (1,98 m, 30 ans) a quelques références ronflantes à faire valoir.
L’histoire d’un recrutement est aussi faite de petits clins d’œil. Façon un de perdu, un de trouvé. Ainsi, le jour où Adrian Uter, le pivot jamaicain convoité par la SIG, annonçait sur son compte Instagram s’être engagé en faveur du promu monégasque, le combo américain Mardy Collins postait, sur le même réseau social, une photo où il paraphait son contrat avec Strasbourg.

Le cliché, mis en ligne jeudi, était accompagné de ces quelques lignes : « Une bénédiction que de pouvoir signer mon contrat aujourd’hui devant mes fils, pour qui je fais ça. De leur faire savoir qu’il faut travailler dur dans la vie pour obtenir ce qu’on veut. Prochain arrêt, la France ! #StrasbourgIG #NextChallenge #Euroleague ».
189 matches NBA
Avec cet arrière de grande taille (1,98m, 30 ans), capable d’être décalé à l’aile et à la mène, le triple finaliste de Pro A, qui a officialisé la nouvelle sur son site hier, a indéniablement ferré un gros poisson. Collins, c’est 189 matches de NBA au compteur, un passage de six mois à l’Olympiakos et une saison européenne de haut vol l’an dernier avec le club polonais de Turow.

Diplômé de l’université de Temple – comme Lavoy Allen –, où il tournait à 16,9 points, 4,7 rebonds et 4 passes par match, le natif de Philadelphie a été drafté par les New York Knicks en 2006, en 29e position. En quatre saisons dans la Grande Ligue – deux avec les Knicks, deux avec les Los Angeles Clippers –, Mardy Collins a affiché des statistiques plutôt modestes (3,9 pts, 1,8 rbd et 1,7 pd en 15’).
Pour l’anecdote, le joueur, alors rookie , avait été à l’origine de la bagarre entre les Knicks et les Denver Nuggets en décembre 2006, en commettant une grosse faute sur JR Smith à moins de deux secondes du coup de sifflet final. Les dix acteurs avaient été exclus et avaient écopé d’un total de 45 matches de suspension, dont six pour Collins.
Un match référence sur le parquet du Pana
Passé ensuite par la Turquie, la Chine, la D-League américaine, Israël et l’Italie, le globe-trotter états-unien avait rejoint l’Olympiakos en janvier 2014 et découvert l’Euroligue avec le club grec (2,1 pts et 1,1 pd en 8 minutes). Mais c’est avec le Turow Zgorzelec que Mardy Collins s’est véritablement révélé en Europe en 2014/15, avec des moyennes de 12,4 pts, 4,4 rbds et 3,9 pd en saison régulière d’Euroligue et un match référence sur le parquet du Panathinaikos (23 pts, 9 rbds, 29 d’évaluation).

Le néo-Strasbourgeois avait ensuite littéralement plané sur l’Eurocoupe, en cumulant 16,3 pts, 7,1 rbds et 6,3 pd en moyenne dans la poule du Last 32 et en décrochant le titre de MVP de la 4e journée lors d’une victoire à Ostende (79-80), qui l’avait vu inscrire 28 points, dont le panier de la gagne, et réaliser une évaluation de 40.
Bon défenseur, très fort en pénétration et capable de poster ses vis-à-vis, Mardy Collins avait terminé 5e à l’évaluation du Last 32 avec une moyenne de 27,24. Il aura désormais la lourde tâche de succéder à Antoine Diot, parti à Valence.

Avec la signature de ce joli CV, troisième recrue de l’été après Rodrigue Beaubois et Kyle Weems, la SIG a quasiment bouclé ses emplettes. Il ne lui reste plus qu’à trouver un poste 4/5 plutôt massif pour tenir le choc en Euroligue. Un intérieur qui ne sera donc pas Adrian Uter.
Dna