La Fifa va supprimer les comités locaux d'organisation des Coupes du monde
 La Fifa a décidé de supprimer à l'avenir les comités locaux d'organisation des Coupes du monde. La Fédération internationale (Fifa) prendra le contrôle total de l'organisation des Coupes du monde à partir de 2026 à la place des comités locaux d'organisation, a annoncé la secrétaire générale de l'organisation, Fatma Samoura, citée mercredi dans la presse russe. «Nous organiserons par nous-mêmes la Coupe du monde 2026. Nous ne voulons plus créer de nouvelles structures à partir de zéro tous les quatre ans», a déclaré la dirigeante dans une interview au quotidien russe Vedomosti, réalisée début mars mais publiée mercredi.

Selon elle, ce nouveau système permettra à la Fifa de mieux contrôler «l'organisation et l'efficacité» des futures Coupes du monde. «Nous voulons avoir une équipe professionnelle permanente qui aura toutes les compétences et unira ses compétences au savoir-faire local», a précisé l'ex-diplomate sénégalaise devenue la première femme à occuper le poste de secrétaire générale de la Fifa.
«Des problèmes de budget»
Dans un document publié en octobre 2016 intitulé Fifa 2.0: une vision pour le futur, l'instance dirigeante avançait cette piste de développement, expliquant chercher à «générer plus de revenus, minimiser les coûts et être plus efficace». Les comités locaux d'organisation «créent des redondances et de l'inefficacité qui, à leur tour, posent des problèmes de budget», note la Fifa dans ce document.

Les deux prochaines Coupes du monde, organisées en Russie en 2018 et au Qatar en 2022, ne sont pas concernées par cette réforme. Lors des Mondiaux 2010 et 2014, en Afrique du sud et au Brésil, la Fifa était intervenue à plusieurs reprises pour dénoncer les retards dans les travaux nécessaires à l'organisation de la compétition.
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L'ancien président de la Fédération du Guatemala suspendu à vie
Brayan Jimenez, l'ancien patron du football guatémaltèque, a écopé d'une suspension à vie pour son implication dans le scandale de corruption de la Fifa.
Arrêté en janvier 2016 dans un appartement d'une banlieue chic de la capitale guatémaltèque, Guatemala City, puis extradé vers les Etats-Unis en mars, Brayan Jimenez a écopé d'une suspension à vie de toute activité liée au football pour son implication dans le scandale de corruption de la Fifa.

L'ancien président de la Fédération guatémaltèque, âgé de 62 ans, a plaidé coupable notamment des chefs de conspiration en vue d'extorsion et de fraude, en lien avec des pots-de-vin reçus en échange de l'octroi des droits médias et marketing portant sur des matches de qualification de l'équipe nationale du Guatemala pour les Coupes du monde 2018 et 2022.

Dans la même affaire, la chambre d'instruction de la Fifa a recommandé la suspension à vie de l'ancien président de la Fédération du Costa Rica, Eduardo Li.
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une rémunération de 1,4 million d'euros pour Gianni Infantino en 2016
 Le président de la Fifa Gianni Infantino a touché 1,4 million d'euros en 2016. Bien loin du salaire de son prédécesseur au poste, Sepp Blatter. Le président de la Fifa, Gianni Infantino, a perçu une rémunération de 1,5 million de dollars (1,4 millions d'euros) en 2016 et la secrétaire générale Fatma Samoura 837 400 dollars, selon le bilan financier de la Fifa rendu public vendredi. Le prédécesseur d'Infantino, Joseph Blatter, contraint au départ à l'issue du scandale de corruption qui a secoué l'instance suprême du foot mondial, avait reçu 3,63 millions de dollars en 2015, selon les comptes de l'époque. Quant au précédent secrétaire général Jérôme Valcke, sa rémunération annuelle s'élevait à 2,1 millions de dollars.

De Blatter à Infantino, la rémunération du président de la Fifa a donc diminué d'environ 58%. «En 2016, ni le Président ni la Secrétaire Générale de la Fifa n'ont reçu de variable (indemnité à court ou long terme)», précise le rapport de la Fifa publié vendredi. L'instance juge en revanche que les anciens président et secrétaire Général de la Fifa avaient perçu «des primes et salaires excessifs». En août dernier, la Fifa avait déjà annoncé que le salaire de Gianni Infantino serait fixé à 1,5 million de francs suisses brut par an (1,38 million d'euros), accompagné d'avantages en nature : voiture, logement de fonction et remboursements de frais à hauteur de 2 000 francs suisses par mois (1 800 euros environ).
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Plus de 140 millions de dollars de la Conmebol détournés
«Plus de 140 millions de dollars» de la Confédération sud-américaine de football (Conmebol) ont été détournés, a déclaré mercredi Alejandro Dominguez, le président de l’instance, en rendant public un rapport d’audit externe sur le scandale de corruption ayant touché l’institution.
Entre 2000 et 2014, les anciens présidents Nicolas Leoz (1986-2013) et Eugenio Figueredo (2013-2014) ont transféré «des dizaines de millions (de dollars) à des tiers», au cours «d’opérations suspectes», selon cet audit dévoilé lors du congrès de la Conmebol à Santiago du Chili, en présence notamment du président de la Fédération internationale de football (Fifa), Gianni Infantino.
Ces deux ex-dirigeants de la Conmebol, ainsi que leur successeur Juan Angel Napout (2014-2015), sont actuellement en résidence surveillée dans l’attente du procès que mènera la justice américaine sur le scandale de pots-de-vin impliquant 42 hauts dirigeants de la Fifa.
Nicolas Leoz «a transféré à partir de deux comptes bancaires de la Conmebol vers deux comptes personnels un total de 26.951.070 dollars américains», relève notamment l’audit réalisé par le cabinet américain Ernest & Young.

Fifagate

Par ailleurs, entre 2001 et 2015, la Confédération sud-américaine a transféré 58 millions de dollars à différentes entreprises impliquées dans le scandale du Fifagate, d’après le cabinet.
Il s’agit de «détournements institutionnels au bénéfice d’individus», a ajouté l’audit. Sur la base des conclusions de ce rapport, les nouveaux dirigeants de la Conmebol définiront les «décisions» à prendre, avait indiqué l’organisation.
Rien qu’en Amérique du Sud, une vingtaine de dirigeants ont été impliqués dans le scandale, dont huit des présidents des dix fédérations de la région, comme le Brésilien José Maria Marin, le Péruvien Manuel Burga, le Chilien Sergio Jadue et l’Equatorien Luis Chiriboga.
L’enquête interne au sein de la confédération a été commanditée par l’actuel président, le Paraguayen Alejandro Dominguez, élu en janvier 2016.
Invité de marque du congrès de mercredi: Gianni Infantino, qui a remplacé Joseph Blatter, forcé à démissionner en février 2016 à cause du scandale de corruption.
En septembre dernier, lors d’un congrès organisé à Lima, les dirigeants de la Conmebol avaient décidé de modifier les statuts de l’instance pour limiter la durée des mandats et de fixer de nouvelles règles pour la signature de contrats.
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Qu'est-ce qui étonne encore dans ce panier de crabes? Plus rien...

Procédure disciplinaire de la Fifa contre le président de la Fédération palestinienne
Jibril Rajoub, président de la Fédération palestinienne de football, est sous le coup d'une procédure disciplinaire de la Fifa après ses déclarations contre l'organisation du match Israël-Argentine.
La Fifa a indiqué jeudi avoir ouvert une procédure disciplinaire contre le président de la Fédération palestinienne de football Jibril Rajoub, après son appel à brûler des maillots de Lionel Messi s'il venait jouer en Israël.
La fédération israélienne avait annoncé la semaine dernière le dépôt d'une plainte auprès de la Fifa après l'annulation du match amical de préparation à la Coupe du monde entre Israël et l'Argentine, due selon elle aux «menaces» à l'encontre du capitaine de l'équipe argentine.  Sur fond de conflit israélo-palestinien persistant et trouvant ses prolongements jusque dans le sport, Jibril Rajoub avait appelé à brûler les maillots de Messi s'il participait à la rencontre prévue à Jérusalem.
La procédure disciplinaire contre Jibril Rajoub «résulte de ses déclarations largement rapportées dans les médias», a dit un porte-parole de la Fifa dans un message transmis à l'AFP. Eini Ofer, le président de la fédération israélienne, s'est félicité dans un communiqué de cette décision, considérant que Jibril Rajoub «franchissait toutes les lignes rouges possibles et imaginables». L'annulation d'Israël-Argentine avait comblé d'aise les Palestiniens qui craignaient de voir l'idole Lionel Messi se prêter à une opération à leurs yeux politique, et consterné les Israéliens.
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La Fifa menace de suspendre le Nigeria et le Ghana
  La Fifa a menacé mardi de suspendre les fédérations du Nigeria et du Ghana si des interventions des autorités locales, assimilées à une ingérence, ne sont pas levées.
La Fifa a demandé que d'ici à lundi, le président de la Fédération du Nigeria (NFF), Amaju Melvin Pinnick, «dûment élu le 30 septembre 2014», retrouve ses pouvoirs tout comme le comité exécutif.
Si ce n'est pas le cas, la NFF sera alors suspendue avec effet immédiat. L'instance souligne également qu'en cas de suspension de la Fédération, la sélection du Nigeria actuellement engagée dans la Coupe du monde féminine des moins de 20 ans en France, sera «exceptionnellement» autorisée à poursuivre la compétition étant donné que le tournoi a débuté.
La Fifa menace également de suspendre la Fédération ghanéenne (GFA), dont le président Kwesi Nyantakyi a démissionné début juin en raison de soupçons de délits de corruption après des révélations explosives d'une enquête journalistique. La Fifa précise que sa commission d'éthique a ouvert une enquête à l'encontre de M. Nyantakyi qui a été provisoirement suspendu par cette même commission.
Mais l'instance considère que les mesures prises par la justice ghanéenne visant à la dissolution de la Fédération constituent une ingérence. Elle demande donc aux autorités locales d'interrompre cette procédure avant le 27 août ou alors la GFA sera immédiatement suspendue.
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Accord Fifa-Ghana pour éviter la dissolution de la Fédération 
Le Ghana a trouvé un terrain d'entente avec la Fifa ce jeudi pour éviter la dissolution de la Fédération.
Un accord a été trouvé ce jeudi pour éviter la dissolution de la Fédération du Ghana (GFA), en proie à un scandale de corruption, lors d'une rencontre à Zurich entre des représentants officiels et le président de la Fifa, Gianni Infantino. La Fifa avait menacé mardi de suspendre la GFA, estimant que les mesures prises par la justice ghanéenne visant à la dissolution de la Fédération constituaient une ingérence.

Un comité de normalisation mis en place

Le président de la Fédération, Kwesi Nyantakyi a démissionné début juin en raison de soupçons de délits de corruption après des révélations explosives d'une enquête journalistique. La commission d'éthique de la Fifa a ouvert une enquête à l'encontre de M. Nyantakyi qui a été provisoirement suspendu par cette même commission. Mais, face à ces soupçons de corruption, la justice ghanéenne avait entamé un processus de dissolution de la Fédération.
Il a été convenu ce jeudi que la Fifa va mettre en place un comité de normalisation de la GFA qui sera chargé de désigner un nouveau comité exécutif. Le gouvernement du Ghana, qui s'est dit «satisfait», «va prendre des mesures pour mettre un terme au processus de dissolution de la Fédération du Ghana», a ajouté la Fifa.
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La Fifa prend le contrôle de la Fédération uruguayenne
  La Fifa a pris le contrôle de la Fédération uruguayenne de football (AUF), en plein chaos après la démission inattendue de son président fin juillet.
Alors que la Fédération uruguayenne est en plein chaos, la Fifa en a pris le contrôle, ce mardi. L'instance internationale a mis en place un «comité de régularisation» qui doit remettre de l'ordre dans l'AUF. Son mandat s'achèvera le 28 février 2019 et d'ici là, ce comité en «révisera les statuts» et organisera de nouvelles élections, selon un courrier de la Fifa diffusé par la presse locale.
La Fédération uruguayenne est en plein marasme depuis la démission le 30 juillet de Wilmar Valdez, président de l'AUF qui était favori pour un nouveau mandat lors de l'élection prévue le lendemain. Cette démission soudaine est intervenue peu après la diffusion d'enregistrements qui mettraient en difficulté M. Valdez. Si le contenu de ces enregistrements n'est pas encore connu, des médias spécialisés évoquent des propos visant des dirigeants sportifs, un membre du gouvernement, des journalistes sportifs et des supporters.
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XI Fifa de l'année : Hugo Lloris ne figure pas parmi les cinq meilleurs gardiens 
Hugo Lloris, le gardien et capitaine de l'équipe de France, ne fait pas partie des cinq gardiens de but ayant reçu le plus de votes pour le XI Fifa de l'année. Karim Benzema est dans la sélection chez les attaquants.
Gianluigi Buffon, Thibaut Courtois, David De Gea, Keylor Navas et Marc-André ter Stegen. Voici les cinq gardiens en lice pour faire partie du XI Fifa de l'année après le vote des joueurs. Le résultat a été dévoilé ce lundi par le FifPro, l'union de joueurs professionnels. Capitaine des Bleus champions du monde, Hugo Lloris ne fait pas partie de cette liste.
Parmi les 20 défenseurs figurent tout de même Raphaël Varane, Samuel Umtiti et Benjamin Pavard, trois Français sacrés champions du monde. Au milieu, N'Golo Kanté et Paul Pogba représentent la France.
Chez les attaquants, Karim Benzema, vainqueur de la Ligue des champions avec le Real Madrid, côtoie deux autres Français : Kylian Mbappé et Antoine Griezmann. 

Les cinq gardiens ayant eu le plus de voix : Gianluigi Buffon, Thibaut Courtois, David De Gea, Keylor Navas et Marc-Andre ter Stegen.
Les vingt défenseurs ayant eu le plus de voix : Jordi Alba, Dani Alves, Daniel Carvajal, Giorgio Chiellini, Virgil van Dijk, Diego Godin, Mats Hummels, Joshua Kimmich, Dejan Lovren, Marcelo, Yerry Mina, Benjamin Pavard, Gerard Pique, Sergio Ramos, Thiago Silva, Kieran Trippier, Samuel Umtiti, Raphaël Varane, Sime Vrsaljko, Kyle Walker.
Les quinze milieux ayant eu le plus de voix : Sergio Busquets, Casemiro, Philippe Coutinho, Kevin De Bruyne, Eden Hazard, Andrés Iniesta, Isco, N'Golo Kanté, Toni Kroos, Nemanja Matic, Luka Modric, Paul Pogba, Ivan Rakitic, David Silva, Arturo Vidal.
Les quinze attaquants ayant eu le plus de voix : Karim Benzema, Edinson Cavani, Paulo Dybala, Antoine Griezmann, Harry Kane, Robert Lewandowski, Romelu Lukaku, Mario Mandzukic, Sadio Mane, Kylian Mbappé, Lionel Messi, Neymar Junior, Cristiano Ronaldo, Mohammed Salah, Luis Suarez.
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La Fifa veut limiter les prêts de joueurs et réformer les transferts 
La Fifa aimerait limiter les prêts de joueurs et réformer les transferts.
La Fifa envisage de limiter le nombre de joueurs prêtés par un club mais aussi de créer une chambre de compensation pour redistribuer l'indemnité de formation et les commissions des agents, dans le cadre d'une réforme des transferts.
La Fifa prévoit de limiter «entre 6 et 8» le nombre de joueurs qu'un club peut prêter chaque saison, selon cette source. Cette mesure vise à «garantir l'équité sportive entre clubs» et à endiguer un phénomène qui voit des clubs, notamment anglais et italiens, engager un grand nombre de joueurs et à les prêter aussitôt.
Autre proposition : la création d'une chambre de compensation, gérée par une banque, chargée de collecter et de reverser aux clubs formateurs les indemnités de formation prélevées sur chaque transfert. Cette chambre de compensation, dont la création a déjà été évoquée par le passé, serait également chargée de reverser les commissions aux agents.
Un examen pour la licence d'agents ?
La Fifa envisage également de réinstituer un examen pour l'obtention de la licence d'agents, alors que depuis 2015 les licences d'agents n'existent plus, ayant laissé la place à un système d'enregistrement d'intermédiaires.
La Fifa a confié à une «commission des partenaires», réunissant l'ensemble des acteurs du football et présidée par le Canadien Victor Montagliani, le soin d'aboutir à des mesures réformant le marché des transferts, volonté du président de la Fifa, Gianni Infantino. Cette commission doit se réunir le 24 septembre à Londres.
Si certaines propositions sont adoptées à Londres, elles seront alors soumises au Conseil de la Fifa, le gouvernement de l'instance, dont la prochaine réunion est prévue les 25 et 26 octobre à Kigali, au Rwanda.
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Marco Van Basten quitte son poste de responsable du développement technique de la FIFA
  Marco Van Basten a annoncé qu'il allait quitter son poste de responsable du développement technique de la FIFA à la fin du mois d'octobre.
L'ancien attaquant néerlandais Marco van Basten quittera son poste de responsable du développement technique de la FIFA à la fin du mois d'octobre, pour passer plus de temps avec sa famille. Âgé de 53 ans, Van Basten a rejoint la FIFA en 2016 dans un rôle visant à rechercher des moyens d'améliorer le jeu grâce à la technologie et à l'innovation.
Van Basten était l'un des principaux soutiens de l'assistance vidéo à l'arbitrage (VAR), qui a été utilisée lors de la Coupe du monde en Russie cet été. « Après deux bonnes et intéressantes années, j'ai décidé de mettre fin à mes fonctions à la FIFA, principalement pour pouvoir passer plus de temps avec ma famille à Amsterdam, a déclaré le vainqueur du Championnat d'Europe de 1988. J'ai beaucoup appris en étant en mesure d'influencer ce jeu de l'autre côté. La Coupe du monde en Russie avec l'introduction du VAR a été une belle étape. »
L'année dernière, l'ancien joueur de l'AC Milan et de l'Ajax à Amsterdam avait déclaré réfléchir à des expériences telles que l'abolition de la règle du hors-jeu, et le remplacement des cartons jaunes par des minutes de pénalité.
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Le président de la FIFA Gianni Infantino met en garde la Fédération océanienne
 Le président de la FIFA espère que l'OFC va faire le ménage pour laisser derrière elle les scandales de corruption qui la minent depuis des années.
En visite en Nouvelle-Zélande où se tient le congrès de la Fédération océanienne de football (OFC), le président de la FIFA Gianni Infantino a lancé un message ferme à l'organisation, touchée ces dernières années par une série de scandales de corruption. « Il est vital que l'OFC tourne la page. C'est vital pour la survie du football dans cette partie du monde. S'il reste quelqu'un en Océanie qui est impliqué dans le football et qui n'a pas encore compris qu'il est temps d'arrêter d'abuser du monde du football pour des gains personnels, alors on ne peut plus vraiment vous aider. Mais je suis sûr, d'après ce que j'ai entendu, de ce que j'ai vu, que le message est bien passé parce que c'est vraiment la dernière chance pour l'Océanie. »
Il y a quelques jours, le vice-président Lee Harmon de l'OFC, qui est aussi membre du Conseil de la FIFA, a été suspendu pour trois mois après une enquête sur des reventes de billets douteuses pour les matches de la Coupe du monde en Russie. Et la semaine passée, la FIFA a également suspendu pour six ans et demi l'ancien président de l'OFC David Chung pour corruption. Chung, qui avait déjà démissionné de son poste en avril de l'an dernier, a également écopé d'une amende de 100 000 francs suisses (87 900 euros).
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La FIFA va débloquer 500 millions de dollars pour le foot féminin


La FIFA va débloquer, dans les semaines à venir, 500 millions de dollars pour le foot féminin, en plus du budget déjà prévu pour la discipline.
En plus du demi-milliard déjà prévu dans le budget en cours, la FIFA va débloquer 500 millions de dollars (449 millions d'euros) de ses réserves, hautes de 2,7 milliards de dollars (2,4 milliards d'euros), pour développer le football féminin dans les quatre prochaines années. Une décision qui doit encore être approuvée jeudi 24 octobre lors du Conseil de l'instance à Shanghai.
Pour multiplier les possibilités de compétitions pour les femmes, la FIFA va également entamer une réflexion sur la création d'une Ligue mondiale féminine pour les sélections - sur le modèle développé chez les hommes par l'UEFA, notamment pour la Ligue des nations - avec des divisions régionales, des promotions et des relégations, ainsi que la mise en place d'une Coupe du monde des clubs féminins et le développement des tournois pour les catégories jeunes
La création ou non de compétitions décidée en mars 2020
Au-delà de l'investissement sur ses fonds propres, la FIFA souhaite aussi mieux valoriser les contrats signés pour le prochain Mondial féminin, qui aura lieu en 2023. « La FIFA prévoit de renégocier les contrats de la Coupe du monde féminine, pour offrir des primes beaucoup plus importantes » aux joueuses
Après le Mondial, Gianni Infantino s'était déclaré déterminé à poursuivre ses projets d'expansion pour le prochain tournoi, qualifiant le cru 2019 de « meilleure Coupe du monde féminine de l'histoire. » La FIFA a déjà annoncé que le nombre d'équipes participant au Mondial 2023 passerait de 24 à 32.
Le président de la FIFA a également proposé le doublement de l'enveloppe destinée aux joueuses lors de la prochaine Coupe du monde féminine, qui passera de 30 millions de dollars (27 millions d'euros) en 2019 (un montant qui avait déjà doublé par rapport à 2015), à 60 millions en 2023 (54 millions d'euros).
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Gianni Infantino prévoit d'aller en Iran pour assister à un match aux côtés de femmes
Le président de la FIFA veut soutenir le processus d'ouverture des stades aux femmes qui veulent assister aux matches en tribunes.
Gianni Infantino prévoit de se rendre « très bientôt » en Iran pour assister à un match de Championnat où des spectatrices seront admises. Le président de la FIFA a adressé récemment un courrier à la Fédération iranienne pour lui faire part de son intention de s'installer en tribune aux côtés de spectatrices, selon une source proche du dossier.

Pour la première fois en près de quarante ans, plusieurs milliers de femmes ont pu soutenir au stade Azadi de Téhéran l'équipe nationale d'Iran face au Cambodge en qualifications pour la Coupe du monde 2022, le 10 octobre.
Après la révolution islamique de 1979, les Iraniennes se sont vu refuser l'accès aux stades pour les compétitions de football masculin, officiellement pour les protéger de la grossièreté des hommes. La FIFA, qui avait envoyé une délégation pour le match du 10 octobre, avait indiqué qu'elle regardait « désormais plus que jamais vers un avenir où toutes les filles et femmes souhaitant assister à des matches en Iran seront libres de le faire ».
L'instance mondiale souhaite que le processus visant à autoriser les femmes dans les stades en Iran « soit prolongé, ne s'arrête pas et qu'il n'y ait pas de marche arrière », selon une autre source. Une délégation doit se rendre au préalable à Téhéran pour préparer le déplacement d'Infantino.
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Arsène Wenger nommé à la FIFA
La Fédération internationale a annoncé ce mercredi la nomination d'Arsène Wenger en tant que « responsable du développement du football », soit un poste de directeur technique de l'instance. Le Français intégrera également l'IFAB, qui régit les lois du jeu.
Arsène Wenger ne sera pas le prochain entraîneur du Bayern Munich. Alors qu'il avait laissé planer le doute sur une éventuelle arrivée au sein du club bavarois, le Français de 70 ans a été nommé ce mercredi à un poste de dirigeant de la FIFA. Comme l'avait révélé le New York Times il y a deux mois.
Poste à plein temps et missions diverses
C'est Gianni Infantino, le président de l'instance internationale, en personne qui a demandé la venue de l'ex-manager des Gunners. Dans ce nouveau poste à plein temps, ses missions principales consisteront à superviser et gérer le développement du foot masculin et féminin, et coordonner la formation des entraîneurs.
Ce n'est pas tout. Wenger présidera aussi le groupe technique d'étude de la FIFA, qui analyse les matches depuis 1966, et s'intéressera également à l'arbitrage, puisqu'il intégrera l'IFAB, l'instance en charge des règles du jeu. Enfin, il participera au programme d'aide à la reconversion des anciens joueurs et sera le principal porte-parole de la FIFA dans le domaine technique. « Je veux juste partager ce que j'ai appris », résumait l'intéressé il y a un mois sur beIN Sports.
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Matches truqués : quatre joueurs africains suspendus par la FIFA
Quatre joueurs africains, un Ougandais et trois Kényans, ont été suspendus par la justice interne de la FIFA pour leur implication dans des matches truqués.
Le joueur ougandais George Mandela et les Kényans Moses Chikati, Festus Okiring et Festo Omukot ont été suspendus mardi par la justice interne de la FIFA pour leur implication dans des matches truqués. Pour son « rôle central » dans la manipulation de matches de D1 kenyane, le premier a été suspendu à vie par la commission d'éthique de l'instance, tandis que les trois autres ont été suspendus pour quatre ans. Ces sanctions ont été prononcées à l'issue d'une enquête menée par le département « intégrité » de la FIFA, portant sur des matches de la Premier League du Kenya disputés en 2019.
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Angers interdit de recrutement au prochain mercato
Le club d’Angers sera interdit de transferts le temps d’une période de mercato, tout comme le Paris FC (Ligue 2), après des violations à la réglementation.
Le SCO d'Angers et le Paris (Ligue 2) ont été interdits de recrutement par la FIFA durant le prochain mercato estival pour ne pas avoir respecté la réglementation des transferts lors de celui de Kevin Bemanga, un jeune attaquant français.

Pour Angers, c’est un nouveau coup dur alors que le club recherche activement le successeur de Stéphane Moulin, l’entraîneur emblématique qui a accompagné pendant 10 ans la montée et l’installation de l’équipe en Ligue 1.
Angers et le Paris FC, qui écopent aussi d’une amende de 30 000 francs suisses, sont les premiers sanctionnés depuis l’entrée en vigueur l’an dernier de nouvelles dispositions sur les transferts-relais, une pratique destinée à contourner certaines obligations des clubs acheteurs vis-à-vis des vendeurs.
L'indemnité de formation n'a pas été réglée

Début juillet 2020, le PFC a enregistré le premier contrat professionnel de Kevin Bemanga, un attaquant âgé aujourd’hui de 23 ans, qui avait auparavant évolué au niveau amateur en France et en Espagne. Mais dès le 18 août, le jeune homme a été transféré à Angers.

Après enquête, la commission de discipline de la Fifa "a jugé que le transfert du joueur au Paris FC n’avait pas été effectué dans le but de faire participer le joueur au football organisé mais en vue de contourner les règles concernant l’indemnité de formation".

Jamais utilisé à Angers, Bemanga est actuellement prêté à la réserve de Sion en Suisse.

Philippe Caillot, le président délégué du club angevin, a déjà annoncé sur RMC Sport la volonté du SCO de faire appel de cette sanction.
dna

Top 20 du classement mondial FIFA du 10 février 2022
1- Belgique 1 828,45 points (0)
2- Brésil 1 823,42 (0)
3- France 1 786,15 (0)
4- Argentine 1 766,99 (+1)
5- Angleterre 1 755,52 -1)
6- Italie 1 740,77 (0)
7- Espagne 1 704,75 (0)
8- Portugal 1 660,25 (0)
9- Danemark 1 654,54 (0)
10- Pays-Bas 1 653,73 (0)
11- Allemagne 1 648,33 (+1)
12- Mexique 1 647,90 (+2)
13- États-Unis 1 643,34 (-2)
14- Suisse 1 642,83 (-1)
15- Croatie 1 620,74 (0)
16- Uruguay 1 614,05 (+1)
17- Suède 1 588,26 (+1)
18- Sénégal 1 587,78 (+2)
19- Colombie 1 585,89 (-3)
20- Pays de Galles 1 578,01 (-1)
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