Contrôlé positif à un stéroïde anabolisant en juillet 2015, l'Américain Tom Danielson a été suspendu pour quatre ans par l'Agence Antidopage Américaine.
La carrière de Tom Danielson a visiblement pris fin en juillet 2015 quand il a été contrôlé positif à un stéroide anabolisant. L'Américain, alors membre de la formation Cannondale, qui l'a immédiatement licencié quand il a rendu public le résultat, a fait durer la procédure pendant plus d'un an avant que le verdict ne tombe. A 38 ans, Tom Danielson ne pourra pas prendre place dans un peloton jusqu'en août 2019 après avoir été suspendu pour quatre ans par l'USADA, l'Agence Antidopage Américaine. Une suspension qui n'est pas une première pour lui, qui avait écopé de six mois en 2012 après avoir avoué des faits de dopage durant sa carrière.
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Un récidiviste en plus, quel c..

RUGBY Des traces de corticoïdes chez trois joueurs-clés du Racing
Dan Carter, Joe Rokocoko et Juan Imhoff ont été déterminants dans la victoire du Racing le 25 juin dernier à Barcelone.
Des traces de corticoïdes ont été retrouvées dans les urines de trois joueurs majeurs du Racing 92, Dan Carter, Joe Rokocoko et Juan Imhoff, lors de la finale du dernier Top 14 remportée par le club francilien face à Toulon, affirme L’Equipe jeudi soir.

Pas d'autorisation

Le contrôle surprise réalisé sur tous les joueurs de la finale, le 24 juin à Barcelone, par l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) a permis de détecter des traces de ces produits interdits en compétition sans autorisation, sauf cas particuliers, chez ces trois titulaires de la même équipe, affirme le quotidien sportif dans son édition en ligne.
Selon la même source, les trois joueurs ne disposaient pas des autorisations qui auraient pu justifier la présence de ces substances interdites.
Carter, Rokocoko et Imhoff ont été déterminants dans la victoire héroïque du Racing (29-21), en infériorité numérique pendant plus d’une heure après l’expulsion définitive de Maxime Machenaud. Un succès qui a signé le retour au sommet du rugby français de la formation des Hauts-de-Seine.

Enquête en cours

Avertie par l’AFLD, la Fédération française de rugby (FFR) dispose de quarante jours à compter de la notification pour mener son enquête et décider si l’emploi de ces produits était justifié médicalement. Dans le cas inverse, une procédure disciplinaire devrait être ouverte.
dna

Et hop vais voir ce qu'ils vont encore inventer pour se justifier.

Le CIO demande à l'AMA de créer une agence chargée de l'ensemble des tests antidopage
L'AMA va devoir créer une structure globale qui sera chargée de réaliser les contrôles antidopage, sur demande du CIO. Le TAS sera par ailleurs seul habilité à sanctionner en cas d'infraction.

Le Comité international olympique (CIO) a demandé à l'Agence mondiale antidopage (AMA) de créer une structure en son sein, qui sera chargée de réaliser l'ensemble des contrôles antidopage. Le CIO a annoncé cette décision samedi dans un communiqué à l'issue d'un sommet consacré à la lutte antidopage à Lausanne.
 
Par ailleurs, le Tribunal arbitral du sport (TAS) sera le seul habilité à prononcer les sanctions en cas d'infractions, charge qui revenait jusqu'à présent aux fédérations nationales et internationales, a ajouté le CIO.
equipe

candyraton a écrit:

Et hop vais voir ce qu'ils vont encore inventer pour se justifier.

Comme je le supposais c'est le toubib du club qui leur a prescrit. Etonnant que 3 joueurs du même club aient soudain la même maladie nécessitant des corticoïdes, çà devait être drôlement contagieux. Nous prennent vraiment pour des imbéciles.

La championne du monde Thérèse Johaug contrôlée positive
L'annonce du contrôle positif à un stéroïde de la septuple championne du monde norvégienne de ski de fond a été faite ce jeudi par la Fédération norvégienne.
La fondeuse norvégienne Therese Johaug, septuple championne du monde et médaillée d’or en relais aux jeux Olympiques 2010 de Vancouver, a été contrôlée positive à un stéroïde, selon un communiqué, diffusé ce jeudi, de la Fédération norvégienne de ski.
Des traces de clostebol, un stéroïde anabolisant interdit par l’Agence mondiale antidopage (AMA), ont été retrouvées lors d’un test inopiné le 16 septembre, a indiqué la Fédération dans un communiqué.

Une crème pour les lèvres comme coupable ?

Selon la Fédération, la skieuse âgée de 28 ans aurait absorbé cette substance via une crème pour les lèvres, utilisée pour traiter des brûlures subies lors d’une séance d’entraînement en altitude en Italie fin août.
Son entourage médical n’avait alors pas remarqué que cette crème contenait du clostebol. Le médecin de l’équipe nationale de ski, Fredrik Bendiksen, a dit endosser l’entière responsabilité de cet épisode.

Deuxième couac pour la fédération norvégienne

«Je suis complètement effondrée et désespérée de me retrouver dans cette situation extrêmement compliquée et surréaliste à mes yeux», a commenté Johaug, citée dans le communiqué de la Fédération.
C’est le deuxième incident à éclabousser la Fédération norvégienne de ski en quelques mois. Fin juillet, le fondeur Martin Sundby avait été suspendu pour deux mois et privé de sa victoire dans le Tour de Ski 2015 pour usage non autorisé de ventoline. La Fédération en avait là aussi assumé la responsabilité, ayant omis de demander une autorisation pour l’usage de cet anti-asthmatique.

Un gros palmarès

Un choc en Norvège alors que la championne a tout gagné ou presque dans sa carrière, au point de lancer en 2012 sa ligne de produits à son nom comme le géant Bjorn Daelhie avant elle.
Agée de 28 ans, Thérèse Johaug, redoutable grimpeuse capable de rivaliser en montée avec des hommes, compte déjà trois médailles olympiques, dont un sacre en relais en 2010, sept couronnes mondiales et deux globes de cristal pour ses victoires, nombreuses, en coupe du monde.
dna

Après la vache enragée de Contador, les piquouses conte son plein gré de Virenque, le dentirice dopant de Dieter Baumann, voilà le rouge à lèvre magique de Thérèse Johaug, on aura tout vu.

Peut-être pas encore.(tout vu)

Marco 69/73 a écrit:

RUGBY Des traces de corticoïdes chez trois joueurs-clés du Racing
Dan Carter, Joe Rokocoko et Juan Imhoff ont été déterminants dans la victoire du Racing le 25 juin dernier à Barcelone.
Des traces de corticoïdes ont été retrouvées dans les urines de trois joueurs majeurs du Racing 92, Dan Carter, Joe Rokocoko et Juan Imhoff, lors de la finale du dernier Top 14 remportée par le club francilien face à Toulon, affirme L’Equipe jeudi soir.

Pas d'autorisation

Le contrôle surprise réalisé sur tous les joueurs de la finale, le 24 juin à Barcelone, par l’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD) a permis de détecter des traces de ces produits interdits en compétition sans autorisation, sauf cas particuliers, chez ces trois titulaires de la même équipe, affirme le quotidien sportif dans son édition en ligne.
Selon la même source, les trois joueurs ne disposaient pas des autorisations qui auraient pu justifier la présence de ces substances interdites.
Carter, Rokocoko et Imhoff ont été déterminants dans la victoire héroïque du Racing (29-21), en infériorité numérique pendant plus d’une heure après l’expulsion définitive de Maxime Machenaud. Un succès qui a signé le retour au sommet du rugby français de la formation des Hauts-de-Seine.

Enquête en cours

Avertie par l’AFLD, la Fédération française de rugby (FFR) dispose de quarante jours à compter de la notification pour mener son enquête et décider si l’emploi de ces produits était justifié médicalement. Dans le cas inverse, une procédure disciplinaire devrait être ouverte.
dna

Dopage : les joueurs du Racing 92 « lavés de tout soupçon »

Les joueurs du Racing 92 Dan Carter, Joe Rokocoko et Juan Imhoff ont été « lavés de tout soupçon » concernant la présence de traces de corticoïdes dans leurs urines à l’issue de la finale du Top 14 remportée face à Toulon en juin, a annoncé le club ce mardi.

« Pas la moindre infraction aux règlements »

Les trois joueurs avaient été auditionnés par la commission de lutte contre le dopage de la Fédération française de rugby (FFR). « Comme nous l’avons toujours affirmé, Dan Carter, Joe Rokocoko, Juan Imhoff et Sylvain Blanchard le médecin du club n’ont donc pas commis la moindre infraction aux règlements, pas la moindre entorse à l’éthique », explique le club dans un communiqué.
L’Agence française de lutte contre le dopage (AFLD), qui avait diligenté le contrôle le 24 juin à l’issue de la finale du championnat remportée par le club francilien face à Toulon (29-21) le 24 juin, peut faire appel de cette décision de la commission de lutte contre le dopage de la FFR.
dna
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Evidemment couverts par les fameuses AUT autorisation à usage thérapeutique qui laissent la porte ouverte à tous les abus, on légalise le dopage ni plus ni moins.

Bientôt des salles de dopage comme les salles de shoot !!

Media365, publié le 26 octobre
Six médaillés des J0 2008 de Pékin ont été déchus de leur palmarès a annoncé le CIO, mercredi. Les noms ont été dévoilés.
Trois haltérophiles, l'Ukrainienne Olha Korobka (2e chez les 75 kg) ainsi que les Bélarusses Nastassia Novikava (3e chez les 53 kg dames) et Andrei Rybakou (2e chez les 85 kg messieurs), les lutteurs ouzbèke Soslan Tigiev (2e chez les 66-74 kg hommes) et kazakhstanais Taimuraz Tigiyev (2e chez les 84-96 kg hommes) et l'athlète russe Ekaterina Volkova (3e du 3000 m steeple femmes), ont tous perdu leurs médailles, après que le réexamen d'échantillons prélevés à Pékin a révélé la présence de déhydrochlorméthyltestostérone (turinabol), a expliqué l'instance olympique.

Les noms des athlètes qui vont récupérer les médailles n'ont pas été annoncés par le CIO. Trois autres sportifs ont été convaincus de dopage: l'haltérophile azerbaïdjanais Sardar Hasanov, ainsi que les athlètes cubain Wilfredo Martinez et espagnol Josephine Nnkiruka Onyia. Les nouvelles analyses des échantillons prélevés aux JO de Pékin ont déjà permis de révéler 60 cas de dopage. Au total, sur les Jeux de Londres 2012 et de Pékin, le CIO a déjà fait réanalyser 1243 échantillons grâce à des méthodes scientifiques ayant évolué depuis et sur la base d'informations ciblées recueillies depuis l'été 2015.

Dopage: les Russes faussaient les résultats avec "du sel et du Nescafé"
La version finale du rapport McLaren à propos des soupçons de dopage généralisé en Russie est explosive. Plus de 1000 sportifs seraient concernés.
La version finale du rapport McLaren, dévoilé ce vendredi à Londres, est explosive. Le juriste canadien Richard McLaren, qui a mené les investigations, a étalé une à une les preuves d'un dopage généralisé et couvert par l'État en Russie entre 2011 et 2015.
Le juriste évoque une "conspiration institutionnelle" dans laquelle seraient impliqués le ministère des Sports, l'agence russe antidopage, le laboratoire antidopage de Moscou ou encore... les services secrets, le tout dans le but de manipuler et fausser les résultats des contrôles de ses athlètes.

JO de Londres, de Sotchi...

Le premier volet du rapport, divulgué en juillet, avait mis au jour une tricherie spécifique pour les JO-2014 d’hiver, organisés à Sotchi en Russie.
Le rapport final dévoilé vendredi étend la fraude à l’ensemble des grandes compétitions qui ont donc eu lieu durant la période 2011-2015: Jeux Olympiques de Londres 2012, championnats du monde d'athlétisme 2013 à Moscou...*

Plus de 1 000 athlètes impliqués

D'après Richard McLaren, plus de 1 000 athlètes russes, concourant dans des disciplines inscrites aux Jeux olympiques et paralympiques d'été et d'hiver, seraient impliqués dans ce système de dopage d'État et auraient bénéficié de ces manipulations pour éviter des contrôles antidopage positifs.
Les investigations ont également révélé l'utilisation de méthodes parfois peu banales pour fausser les résultats des contrôles. "Du sel et du Nescafé ont été ajoutés dans les échantillons urinaires", est-il écrit dans le rapport.

L'objectif? Assurer à la Russie un maximum de médailles

Cette démarche institutionnelle de triche s’inscrivait dans une stratégie d’Etat, notamment pour les jeux Olympiques d’hiver de 2014.
«Cela visait à assurer à la Russie, le pays hôte, qu’il pourrait décrocher le plus de médailles possible en permettant à ses meilleurs sportifs prétendant à une médaille de se doper et, parfois, dans certains cas, y compris pendant les Jeux», a encore développé Richard McLaren.
dna

Le Paraguayen Julio Cesar Caceres suspendu quatre ans
Le Paraguayen Julio Cesar Caceres, 37 ans, a été suspendu quatre ans pour dopage.
L'ancien défenseur international du Paragauy Julio Cesar Caceres a été suspendu quatre ans après avoir été contrôlé positif à l'octopamine, une substance interdite.

Le joueur de 37 ans, qu a joué trois Coupes du monde, a été testé positif en août dernier. Il avait alors écopé de deux matches de suspension avant de refuser, en décembre dernier, de se soumettre à un nouveau test après un match de championnat du Paraguay.

Son club Guarani, champion en titre, a fait savoir qu'il allait faire appel de cette sanction.
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Un ancien coureur du team Sky, Joshua Edmonson, passé chez l'équipe britannique entre 2013 et 2014, a avoué s'être injecté des vitamines durant cette période.
De nouveaux soupçons au-dessus de l'équipe Sky... Ce vendredi, l'ancien coureur Joshua Edmonson a avoué qu'il s'injectait des vitamines au moment où il portait le maillot noir de la formation britannique, alors que règlement interdit l'usage d'aiguilles comme matériel d'injection. Coureur chez Sky en 2013 et 2014, et parti depuis chez NFTO, le natif de Leeds, aujourd'hui âgé de 24 ans, a expliqué qu'il avait informé ses dirigeants de ses pratiques, mais que ceux-ci l'ont couvert.

çà n'étonnera personne

Roberto Carlos rattrapé par une affaire de dopage
Lors d'une enquête de la chaîne allemande ARD, l'ancien latéral de la Seleçao a été nommément cité par un médecin impliqué dans un scandale de dopage au Brésil.
"En 20 ans de carrière, je n'ai jamais été contrôlé positif." Roberto Carlos a dû prendre publiquement la parole après des révélations de la chaîne allemande ARD, selon laquelle l'ancien défenseur brésilien aurait été l'un des clients du docteur Julio Cesar Alves, accusé d'avoir administré des substances dopantes à de nombreux sportifs.
Après une enquête sur le dopage russe, les journalistes d'ARD se sont, cette fois, fait passer pour des agents de footballeurs pour obtenir des anabolisants des mains du sulfureux médecin sud-américain. Lequel s'est vanté, devant la caméra cachée, d'avoir fourni ses services au latéral de la Seleçao.

"C'est moi qui ai fait les cuisses de Roberto Carlos"

"J'ai traité Roberto Carlos. Il est venu chez moi à l'âge de 15 ans. C’était un garçon dégingandé. J'ai développé ses cuisses, explique ainsi le docteur. C'est moi qui a fait les cuisses de Roberto Carlos ce qu’elles sont aujourd'hui."
L'athlète Eliane Pereira, contrôlée positive en 2011, a également confié avoir vu "une grande star de la Seleçao" au cabinet d'Alves. Qui ne se serait pas limité à la fourniture de compléments de croissance et de substances interdits, mais aurait aussi aidé les sportifs à déjouer les tests anti-dopage.
"Je nie fermement les accusations proférées par ARD et je réaffirme n’avoir jamais utilisé de produits me donnant un avantage artificiel sur mes partenaires, a réagi l'ancien joueur du Real Madrid sur les réseaux sociaux. Durant toute ma carrière je me suis battu pour la loyauté et l’intégrité. Ces accusations mensongères vont à l’exact opposé de ma manière de penser."
Il y a 15 ans, le nom de Roberto Carlos était déjà ressorti dans un rapport de l'agence brésilienne anti-dopage, mais l'enquête diligentée par le ministère avait été abandonnée sans explication.
dna

Dopage : Le TAS maintient la suspension du Finlandais Roman Eremenko positif à la cocaïne 
Le TAS a confirmé la suspension de deux ans infligée au Finlandais du CSKA Moscou Roman Emerenko pour un contrôle positif à la cocaïne. Le Tribunal arbitral du sport a confirmé vendredi la suspension pour deux ans par l'UEFA du milieu finlandais du CSKA Moscou Roman Eremenko, infligé pour un contrôle positif à la cocaïne. L'international finlandais de 30 ans avait été contrôlé positif à la cocaïne après un match de Ligue des champions face au Bayer Leverkusen (2-2) le 14 septembre 2016.

La commission de discipline de l'UEFA l'avait alors suspendu pour deux ans, décision confirmée par la commission d'appel de l'instance en mars dernier. Le TAS a confirmé cette dernière décision et fixé au 6 octobre 2016 le début de la suspension du joueur, ce qui lui permettra de reprendre la compétition à compter du 5 octobre 2018.
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Dopage : Nasri encourt une lourde suspension

Sans club depuis la résiliation de son contrat avec Antalyaspor, Samir Nasri devrait, d'après le Telegraph, écoper de six mois de suspension pour dopage de la part de l'UEFA.
Samir Nasri ne devrait pas revenir jouer en Europe de sitôt. Libre depuis la rupture de son contrat avec Antalyaspor le 31 janvier dernier, le joueur formé à l'Olympique de Marseille serait en effet, selon le Telegraph (citation d'un avocat du milieu français à l'appui) sous le coup d'une suspension d'un an infligée par l'UEFA. La raison : il aurait reçu des vitamines par injection en décembre 2016, alors qu'il portait les couleurs du FC Séville. Une pratique assimilée à du dopage et ayant fait l'objet d'une enquête de la part de l'agence mondiale antidopage (ainsi que de l'agence espagnole) en 2017.  Si cette sanction venait à être confirmée, Nasri n'aurait donc pas la possibilité de s'engager avec un club européen, et cela pendant six mois. Impossible, dès lors, de rejoindre Las Palmas, avec lequel l'ancien Mancunien aurait récemment été en contacts. De son côté, Marca avait évoqué une suspension d'une durée d'un an.
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La Fifa a effectué plus de 2000 contrôles antidopage lors de la Coupe du monde 
Dans un rapport publié ce jeudi, la Fifa annonce avoir procédé, dans le cadre de son programme antidopage, à 2037 contrôles sur des internationaux concernés par le Mondial, depuis le début de l'année 2018.
A quelques jours du terme de la Coupe du monde, la Fifa a établi un bilan de son programme de contrôles antidopage. L'instance affirme avoir effectué 2037 contrôles sur l'année 2018, prélevant 3985 échantillons différents (urine, sang et sérum). Les joueurs des équipes demi-finalistes (France, Belgique, Croatie, Angleterre) ont été en moyenne contrôlés 4,41 fois depuis le début de l'année, certains l'ont été jusqu'à huit fois.
Sur l'ensemble des contrôles effectués, la Fifa précise qu'il n'y a eu qu'un résultat d'analyse anormal, justifié par un autorisation à usage thérapeutique (AUT), et trois résultats atypiques non classés dans les résultats anormaux après enquête. Deux AUT ont été délivrées au cours du tournoi.
Pour procéder à tous ces contrôles, la Fifa assure que son programme est «le plus exhaustif jamais mis en place pour une Coupe du Monde». En coordination avec les Confédérations, les Agences nationales antidopage et l'Agence mondiale antidopage, l'instance a établi un groupe cible de 1500 joueurs potentiellement concernés par le tournoi. «Chacun d'entre eux a ainsi fait l'objet de contrôles inopinés avant la compétition, tandis que des contrôles systématiques ont aussi été effectués pendant la compétition, à la fois après les matches et les jours sans match.»
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Dopage : Samir Nasri finalement suspendu dix-huit mois
L’UEFA a annoncé mercredi avoir alourdi en appel la suspension pour dopage du Français actuellement sans club Samir Nasri de six à dix huit mois, soit jusqu’au 1er janvier 2019.
L’ex-international français Samir Nasri, 30 ans, suspendu six mois en février pour "violation des règles antidopage", a vu sa sanction portée à 18 mois ce mercredi. L’instance de contrôle, d’éthique et de discipline de l’UEFA avait fait appel de la première sanction. 
Lorsqu’il évoluait pour Séville, l'ancien Marseillais avait séjourné dans une clinique nord-américaine qui avait communiqué sur un traitement intraveineux, "méthode prohibée" par l’Agence mondiale antidopage (AMA) comme le rappelle l’UEFA.
Sans club depuis son départ d’Antalyaspor en Turquie en janvier, Samir Nasri ne parvenait pas à trouver de nouveaux clubs en ce mercato d'été à cause de ses prétentions salariales jugées trop élevées. La suspension ayant démarré rétroactivement le 1er juillet 2017, il ne pourra pas retrouver les terrains avant le 1er janvier 2019. Il a toutefois été autorisé à reprendre l’entraînement avec n’importe quel club à partir du 1er novembre 2018.

Communication sur Twitter

Tout était parti du passage du joueur, quand il évoluait à Séville (2016-17, alors prêté par Manchester City), dans une clinique américaine pour un traitement intraveineux. La clinique Drip Doctors, située à Los Angeles, avait communiqué sur Twitter sur «un traitement intraveineux» de vitamines fourni pour l’ancien joueur de Marseille et d’Arsenal «afin qu’il garde la forme».
L’Agence espagnole antidopage (Aepsad) avait alors ouvert une enquête fin 2016. Cette pratique par intraveineuse est interdite par l’AMA, à moins, entre autres, que le joueur ne bénéficie d’un certificat. Mais l’UEFA avait refusé d’accorder une autorisation d’usage à des fins thérapeutiques (AUT) à titre rétroactif.
L’ex-Bleu aux 41 sélections (5 buts) risquait quatre ans de suspension, selon la presse espagnole.
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Denis Cheryshev disculpé d'une quelconque affaire de dopage 
Le Russe Denis Cheryshev n'a enfreint aucun règlement en matière de dopage, selon l'Agence espagnole de la protection de la Santé dans le Sport.
Soupçonné par les médias russes de faire l'objet d'une enquête de l'Agence mondiale antidopage (AMA), pour un usage de produit interdit avant la Coupe du monde, l'international russe Denis Cheryshev a été disculpé. Le milieu prêté à Valence cette saison a publié lui-même, ce jeudi sur Twitter, un communiqué de l'Agence espagnole de la Protection de la Santé dans le Sport (AEPSAD), qui l'informe de son innocence. Selon ledit document, le joueur (27 ans, 17 sélections) n'a enfreint aucun règlement avant le Mondial, en recevant une injection d'hormones de croissance avec Villarreal. «L'affaire est close», a précisé l'AEPSAD.
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