J'avais justement consulté hier le forum ses supporters de la SIG (il ressemble comme un frère à celui-là), Dettmann est la seule cible en plus beaucoup regrettent le départ de Campbell certes vieillissant mais quel combattant ce qui manque à la SIG actuellement.

Mi-temps

	Avellino	29	18	11
	Strasbourg	40	18	22

Comme d'hab seconde mi-temps catastrophique et le bec dans l'eau.

Terminé

	Avellino	72	18	11	22	21
	Strasbourg	69	18	22	13	16

La cata totale !

Fortunes diverses pour les clubs français engagés en Ligue des champions, mercredi. Strasbourg a craqué, Monaco a assuré.
Strasbourg avait le match en main avant de perdre le fil. Onze points d'avance à la mi-temps pour la SIG qui s'acheminait vers un succès mérité sur le parquet d'Avellino. Puis les hommes d'Henrik Dettmann se sont écroulés dans le troisième quart-temps. Un premier éclat (22-13) suivi d'une fin de match non maîtrisée auront eu raison des Alsaciens, défaits 72-69.  Slaughter a tenté de maintenir les siens à flots, en vain, malgré une efficacité certaine ce soir (22 points), épaulé par Jérémy Leloup (9 points, 7 rebonds, 4 passes). Strasbourg est avant-dernier de son groupe. La tâche s'annonçait plus aisée pour Monaco face à Helios. Et pourtant, le score final (59-55), particulièrement étriqué, reflète les difficultés rencontrées par les joueurs de l'ASM, inexistants longue distance. Serhiy Gladyr, 11 points ce soir, s'est fendu d'un petit 1/7 à trois points, preuve, s'il en fallait, que ce match est resté cadenassé d'un bout à l'autre.
Orange

Quand même

http://sports.orange.fr/basket/pro-a/article/basket-pro-a-strasbourg-dettmann-vers-la-sortie-collet-vers-un-retour-CNT000000w8pcH.html

Collet aller-retour !!! On a connu çà au Racing .. !

Le prob c'est que Collet va devoir gérer un effectif qu'il n'a pas choisi, c'est beaucoup plus difficile en basket qu'en foot.

Je crains une cassure après son remplacement d'où ma crainte de ce retour. Je souhaite le meilleur à Collet et à la SIG. Je précise que je n'ai rien contre Collet , un entraîneur que j'ai toujours apprécié autant sur le plan local que national .

À ça place j'aurais réfléchi à trois fois avant de venir.

.

Le sélectionneur des Bleus tout proche de s’engager jusqu’à la fin de la saison avec la SIG Collet, le retour
Vincent Collet à la SIG ? Cela ressemble à de l’histoire ancienne, mais c’est bel et bien du futur du club strasbourgeois dont il est question. D’après nos informations, le sélectionneur des Bleus devrait faire, de façon imminente, son grand retour dans le club qu’il a hissé à quatre reprises en finale du championnat de France. En lieu et place donc d’Henrik Dettmann.
Sur les forums et les réseaux sociaux, les supporters strasbourgeois n’avaient plus que son nom à la bouche pour remplacer Henrik Dettmann. L’on en soupçonne même certains d’avoir allumé un cierge à la Cathédrale pour permettre au miracle d’avoir lieu. Leurs prières devraient être exaucées dans les prochaines heures.

D’après nos informations, Vincent Collet, puisque c’est de lui dont il s’agit, s’engagera – ou plutôt se ré-engagera – avec la SIG jusqu’à la fin de la saison. Quatre mois après la finale perdue contre l’Asvel, le sélectionneur des Bleus, 53 ans, effectuerait ainsi son grand retour en Alsace, pour remplacer son homologue finlandais, plombé par un bilan catastrophique.
Le choix du sélectionneur finlandais ? Une erreur de casting

Dans ces colonnes, vendredi dernier, le président Martial Bellon, courroucé comme tout un chacun par le début de saison désastreux du club, n’excluait pas « d’appuyer sur le bouton », celui actionnant le siège éjectable sur lequel Henrik Dettmann se trouve assis depuis quelques jours. Cela ne devrait désormais plus tarder.

Le choix du sélectionneur des Susijengi s’apparentait, il est vrai, de plus en plus à une erreur de casting (lire aussi par ailleurs). Et le revers enregistré dimanche à Pau (82-74), le quatrième en cinq journées de championnat, lui a vraisemblablement été fatal.

Sans même attendre le résultat de le rencontre d’hier soir à Avellino, en Champions League, les dirigeants strasbourgeois auraient donc recontacté celui qui a fait les beaux jours de la SIG et écrit quelques unes de ses plus belles pages ces cinq dernières années. Les deux parties se seraient rencontrées hier et Vincent Collet serait à présent tout proche de revenir là où il est adulé.

Le choix, de prime abord, peut surprendre puisque les deux camps ne s’étaient pas forcément quittés en bons termes en juin dernier. Le Normand, tenté par une aventure à l’étranger – finalement restée lettre morte – avait tardé à répondre à l’offre de prolongation qui lui avait été faite ; le club, lui, avait mal vécu cet attentisme et avait fini par tourner la page. Et la séparation paraissait bel et bien consommée.

Mais il était écrit que la belle idylle ne pouvait pas s’arrêter ainsi, comme dans un vulgaire roman de gare. Alors que les techniciens disponibles sur le marché ne sont pas légion (Greg Beugnot, Claude Bergeaud…), la SIG a fait le choix d’une valeur sûre, d’un homme dont l’aura en Alsace est unique et la légitimité sportive indiscutable (lire encadré).

À Vincent Collet, il appartiendra donc de redresser la barre, ce qui n’est pas une mince affaire. Le club strasbourgeois traîne, pour l’heure, sa peine sur les parquets de France et d’Europe et son bilan, indigne, n’est évidemment pas en rapport avec son standing récent, et pas davantage avec les moyens conséquents injectés dans cette nouvelle saison (6,7 millions d’euros de budget, le deuxième de Pro A, 2,2 millions d’euros de masse salariale, la troisième de l’élite).
Dans la peau du messie, du sauveur attendu par tout un peuple

Dans son entreprise, le stratège passé par Le Mans et l’Asvel devra composer avec une équipe qu’il n’a pas constituée, comme cela avait été le cas les saisons précédentes. Il pourra toutefois s’appuyer sur des joueurs qu’il a fait venir à Strasbourg et qu’il connaît bien, comme Paul Lacombe, Jérémy Leloup et même Matt Howard. Tous les trois sont des habitués de ses systèmes et de sa conception du basket. Un plus incontestable pour relancer la machine sans tarder.

Il lui faudra également trouver un nouvel adjoint pour le seconder puisque le fidèle Pierre Tavano, qui l’a assisté durant seize ans – de 2000 à 2016 –, a coupé le cordon pour faire ses grands débuts de head coach à Tours (Nationale 2). En interne, Lauriane Dolt, qui a déjà officié au côté du tandem, pourrait prendre du galon.

Vincent Collet avait été prolongé début septembre à son poste de sélectionneur des Bleus jusqu’en 2019, année de la Coupe du monde en Chine, voire 2020 si l’équipe de France se qualifie pour les Jeux de Tokyo. La Fédération française avait alors indiqué que rien ne s’opposait à ce que le coach champion d’Europe en 2013 entraîne un nouveau club en parallèle. Sauf surprise de dernière minute, ce devrait être cette SIG qu’il a grandement contribué à installer au sommet.

En Alsace, Vincent Collet reviendrait dans la peau du messie, du sauveur attendu par tout un peuple. Parfois, les miracles se produisent.
dna
.

Marius a écrit:

Je crains une cassure après son remplacement d'où ma crainte de ce retour. Je souhaite le meilleur à Collet et à la SIG. Je précise que je n'ai rien contre Collet , un entraîneur que j'ai toujours apprécié autant sur le plan local que national .

Ce ne sera pas évident du tout mais quitte à remplacer Dettmann je crois que c'est le meilleur choix. N'oublions pas les 4 finales consécutives, certes perdues et quelques exploits retentissants en Euroligue. Là on n'a même pas passé le 1er tour en CDF contre une modeste équipe lilloise de ProB, une maigre victoire en championnat et une champions league catastrophique, çà ne pouvait que mal se terminer, par ailleurs mais çà on n'en parle pas, d'après moi le courant n'a jamais passé entre les joueurs et Dettmann et que ceux-ci ont contribué à le faire virer mais çà n'engage que moi.

D'accord avec toi Guy.

Naturellement ça ne peut pas être pire, mais il prend un sacré risque.

Il devrait maintenir le club, ce serait déjà pas mal vu la manière dont les choses sont engagées.

[size=38]SIG : Dettmann démis de ses fonctions, Collet rappelé[/size]

L’incroyable come-back
Quatre mois après sa sortie ratée, Vincent Collet est de retour à la SIG. Charge à lui de rallumer la flamme vacillante d’une équipe et d’un public que le Finlandais Henrik Dettmann a plongés dans des abîmes de perplexité. .
Il faut croire que l’histoire ne pouvait pas se terminer comme ça. Le 14 juin dernier, date de funeste mémoire pour les amoureux de la SIG, Vincent Collet avait littéralement pété les plombs et quitté le Rhenus Sport sans prendre le temps de dire au revoir au public strasbourgeois, alors qu’il était arrivé en fin de contrat.
Ce quatrième revers consécutif en finale du championnat, contre l’Asvel du président Tony Parker, il l’avait pris pour lui. Devant la presse, le coach s’est alors contenté d’une phrase sibylline et amère – « Bonsoir et merci, j’apprécie les remerciements du basket français » – qui tranchait avec ses analyses poussées et étoffées, les jours de victoire comme de défaite.

Un été douloureux, un automne radieux ?

Tout au bout de ses cinq belles saisons passées sur le banc alsacien, Collet était au fond du trou. Ce soir-là, il se serait même laissé gagner par des idées noires, prêt à commettre « une grosse bêtise » s’il n’avait pas été bien entouré, comme il l’avait reconnu quelques jours plus tard dans les colonnes de L’Équipe.
En guise d’adieux à “l’armée rouge”, le sélectionneur national avait posté une vidéo sur le site officiel du club, rappelant tous les bons moments et les réussites sportives – une Coupe de France, une Leaders Cup, une finale d’Eurocoupe, entre autres – vécus en Alsace. Puis il a quitté la région, se consacrant à la préparation olympique des Bleus.
La virée aux Philippines, sur la route de Rio, a été couronnée de succès. À Manille, la “génération Parker” a décroché son billet pour les Jeux. Las, le tournoi brésilien a tourné court. Une phase de poules mal négociée et une claque retentissante en quart de finale contre l’Espagne ont sonné le glas des espoirs de médailles.
Touché, mais pas résigné au sortir d’un été douloureux, Vincent Collet a finalement décidé de rempiler à la tête de l’équipe de France, avec pour objectif de rebâtir un collectif compétitif dans la perspective des JO de Tokyo en 2020. La Fédération lui a toutefois laissé une porte ouverte, au cas où une opportunité en club se présenterait, la seule condition étant d’accorder « la priorité à l’équipe de France ».
À ce moment-là, Vincent Collet est très loin de Strasbourg, où le président Martial Bellon espère entamer un « nouveau cycle » avec Henrik Dettmann.
En voisin, l’ex-coach assiste à la première de la SIG à la sauce finlandaise en championnat, sur le parquet du Mans. Et il ne reconnaît pas ses “petits”, qui proposent une bouillie de basket à Antarès. Il s’agit déjà de la deuxième défaite de la saison, après l’élimination sans gloire en Coupe de France, sur le parquet de Lille (Pro B).
Un mois plus tard, l’équipe est aux abois. Avec sept revers en huit matches, toutes compétitions confondues, la position de Dettmann devient intenable, d’autant qu’aucun début de cohésion ne se dégage, malgré ses appels à la patience.
Paradoxalement, c’est au soir du match peut-être le plus abouti, mercredi en Italie, que l’impavide Finlandais est poussé vers la porte de sortie. Et même si son équipe s’était imposée à Avellino, son sort semblait scellé.
Dans un communiqué laconique (lire ci-contre) , le club a en tout cas officialisé la nouvelle hier après-midi. À leur retour au Rhenus, les joueurs ont eu droit à une explication de texte du président Bellon et des membres du directoire. Et dans la foulée, ils sont remontés sur le parquet pour une première séance d’entraînement sous les ordres de Collet, assisté de Lassi Tuovi, l’adjoint de Dettmann, et de Lauriane Dolt, en vue des deux prochaines échéances domestiques : demain (20h) contre Antibes et mardi (20h30) face à Ostende.

Remettre de l’ordre

Comment cet incroyable come-back a-t-il pu s’opérer ? Qui est parvenu à le convaincre de replonger, quatre mois après sa sortie ratée ? Hier soir, personne ne voulait s’exprimer sur le sujet. C’est que le futur ex-coach est toujours sous contrat, jusqu’en juin prochain. Comme dans tout licenciement, il y a des procédures à respecter.
Vincent Collet a fait savoir qu’il ne pouvait s’exprimer dans les prochains jours que « sur les questions de basket », et pas sur celles concernant son engagement.
Ça tombe plutôt bien : depuis le début de la saison, il n’a jamais vraiment été question de jeu. Ou alors dans une version brouillonne, sans queue ni tête. Au revenant de remettre de l’ordre dans la maison.
dna

Les dernières heures de l’entraîneur finlandais à la tête de la SIG Dettmann, la détresse silencieuse
Sonné par son éviction, Henrik Dettmann (58 ans) a vécu un trajet pénible, hier au retour d’Avellino. L’ex-coach de la SIG n’a presque rien laissé transparaître.
Il est minuit et demi, ce jeudi, au Green Park Hôtel d’Avellino. En compagnie de son adjoint Lassi Tuovi, Henrik Dettmann visionne, sur son ordinateur, les images de la courte défaite (72-69) que la SIG vient de concéder, quelques heures plus tôt, dans le cadre de la deuxième journée de la Champions League.
L’entraîneur ne sait pas encore que son sort est déjà scellé. Il consacrera une partie de sa nuit à décortiquer le jeu de son équipe.
On le retrouve les yeux cernés, à l’aube, dans la salle du petit-déjeuner. Toujours boitillant, après avoir été renversé sur un passage piéton, en septembre à Nancy, le coach s’assoit péniblement devant son cappuccino.
Il est 7 heures et les réseaux sociaux relayent déjà avec gourmandise l’information publiée hier dans ces colonnes, selon laquelle Vincent Collet se réengage à Strasbourg.
Joueurs, staff… Personne ne décroche un mot. Rien ne permet d’affirmer que quiconque est au courant. Après une nuit écourtée, chacun attend surtout de prendre place dans le bus, pour mieux se rendormir, sur le trajet menant à l’aéroport de Naples.

Une émouvante poignée de main en guise d’au revoir

L’autocar de la SIG démarre, à 7h30 tapantes, sous une grosse averse. Alors que les lumières s’éteignent au-dessus des sièges, Henrik Dettmann rallume machinalement la sienne. Le technicien semble soucieux, mais somnole tout de même par intermittence.
Le groupe, lui, est à nouveau plongé dans un profond sommeil, à l’exception de Frank Ntilikina et Mam Jaiteh, assis côte à côte. Portable à la main, les deux comparses s’extasient devant les exploits de LeBron James et revivent les principaux temps forts de la nuit NBA.
Un peu plus tard, aux abords de la porte d’embarquement, l’ambiance n’est plus tout à fait la même. Téléphone vissé à l’oreille, Henrik Dettmann a le visage fermé. Difficile d’imaginer, à ce moment-là, que le Finlandais n’a pas été averti, par médias ou personnes interposé(e)s, de sa future éviction.
Quelques instants après l’atterrissage, à Bâle, le doute n’est plus permis. Posté devant le bus qui doit ramener tout ce beau monde au Rhenus, l’entraîneur strasbourgeois adresse une émouvante poignée de main à chacun de ses garçons. Une petite claque amicale sur la joue de Mam Jaiteh, une franche accolade avec le kiné Louis Feuillas…
Le regard triste, Henrik Dettmann salue symboliquement ses hommes. Pape Sy lui glisse quelques mots de réconfort, mais l’ex-stratège du Besiktas Istanbul garde sa souffrance à l’intérieur.

Très digne dans l’épreuve

Entre Mulhouse et Strasbourg, le temps paraît presque figé. Les éclats de rire, au fond de l’autocar, contrastent singulièrement avec la détresse silencieuse d’Henrik Dettmann.
Terrick Nérôme, le préparateur physique, transmet néanmoins une consigne, discrètement : dès l’arrivée, tout l’effectif est attendu dans le vestiaire. Le manager finlandais, lui, décline poliment notre sollicitation. « Je ne pense pas que ce soit une bonne idée de m’exprimer pour le moment. Je parlerai plus tard… »
Impassible, il pénètre dans l’enceinte du Rhenus. Son passage durera moins de dix minutes. Véhiculé par son fidèle acolyte Lassi Tuovi, l’entraîneur quitte les lieux sans manifester une émotion. Jusqu’au bout, il sera resté très digne dans l’épreuve.
dna

Va falloir se serrer les coudes et ne pas attendre de miracle au début, ce ratage mémorable ne s'effacera pas avant quelques semaines.

Il faut attendre les premiers matchs, pour voir si vraiment le changement d'entraineur fasse de l'effet , personnellement je pense que la saison est foutue .

Non la saison n'est pas foutue c'est pas comme en foot. Il faudra aller chercher l'une des 8 premières places pour participer aux Play-off, difficile mais loin d''être impossible car le bas du tableau est un vrai panier de crabes d'où il faut s'extirper.

On verra bien .

1er match pour Collet ce soir au Rhénus face à Antibes, pas une des meilleures équipes mais dans le contexte çà va pas être facile.

La première victoire ??

Marco 69/73 a écrit:

La première victoire ??

Non on a déjà gagné contre Le Portel

candyraton a écrit:

Marco 69/73 a écrit:

La première victoire ??

Non on a déjà gagné contre Le Portel

1ere victoire pour Collet .
.

Mi-temps

	Strasbourg	49	30	19
	Antibes	33	21	12

Belle 1ère m.t.

Comme d'hab faut pas craquer maintenant.

Terminé

	Strasbourg	85	30	19	16	20
	Antibes	74	21	12	22	19

  SIG