le groupe du racing pour le tirage:

Groupe F
AS Prix-les-Mézières (5)
CS Sedan Ardennes (3)
Entente Feignies Aulnoye FC (5)
FC Lunéville (5)
Jarville Jeunes Section Football (6)
RC Strasbourg Alsace (2)
Sarreguemines FC (5)
SAS Football Épinal (3)
SR Kaysersberg (9)
Stade de Reims (2)
US Maubeuge (5)
US Sarre-Union (5)
Valenciennes FC (2)
Villeneuve d’Ascq Métropole (7)

Ces rencontres auront lieu le week-end du 3 et 4 décembre.
Groupe F :
 Villeneuve d’Ascq Métropole (7) - Stade de Reims (2)
 SR Kaysersberg (9) - Entente Feignies Aulnoye FC (5)
 AS Prix-les-Mézières (5) - US Maubeuge (5)
 Sarreguemines FC (5) - Valenciennes FC (2)
 FC Lunéville (5) - Jarville Jeunes Section Football (6)
 CS Sedan Ardennes (3) - SAS Football Épinal (3)
 US Sarre-Union (5) - RC Strasbourg Alsace (2)
Le Tirage Outre-Mer :
AS Excelsior Saint-Joseph (La Réunion) - Mulhouse FC (4)
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Si j'ai bonne mémoire, la dernière fois qu'on a joué à Sarre-Union, on avait perdu 1-0.

Oui mais ce n'est plus le même Sarre-Union, ni le même racing non plus.

candyraton a écrit:

Oui mais ce n'est plus le même Sarre-Union, ni le même racing non plus.

Ni les mêmes supporters ! 

Marius a écrit:

candyraton a écrit:

Oui mais ce n'est plus le même Sarre-Union, ni le même racing non plus.

Ni les mêmes supporters ! 

Cà c'est moins sur Marius y en a quand même pas mal des anciens

Je plaisantais Guy!

Allmen67 MrEnigme a écrit:

Si j'ai bonne mémoire, la dernière fois qu'on a joué à Sarre-Union, on avait perdu 1-0.

Depuis pas mal d'eau a coulé sous les ponts .

Sarre-Union - Racing le samedi à 18h ?
L’US Sarre-Union, un des héros de la précédente édition de la Coupe de France qui accueille le Racing : l’affiche du 8e tour ne pouvait laisser le diffuseur officiel insensible. La rencontre pourrait être télévisée le samedi 3 décembre à 18h.
Le Racing est un habitué des écrans TV depuis son retour en Ligue 2. Ce serait donc avant tout un événement pour l’US Sarre-Union, justement récompensée après son parcours qui l’a mené jusqu’en 8e de finale la saison dernière.
Eurosport aurait jeté son dévolu sur le derby alsacien. Un honneur. Néanmoins, dès que la télé s’en mêle, les clubs n’ont plus leur mot à dire quant au choix du jour et de l’horaire. Eurosport souhaite programmer le match le samedi 3 décembre à 18h. Il en sera donc sans doute ainsi, ce qui ne contrarie sûrement pas les Sarre-Unionnais, habitués à jouer le samedi en fin d’après-midi.
Reste au voisin Sarreguemines de s’adapter et d’accueillir Valencienne le dimanche 4 décembre.
dna

Sarre-Union – Racing le 3 décembre
La rencontre du 8e tour de la Coupe de France, entre l’US Sarre-Union (CFA2) et le Racing a été fixée.
Ce match se disputera le samedi 3 décembre à 14h30 sur le terrain de Sarre-Union. Ce match sera diffusé en direct sur Eurosport.
En jeu, un billet pour les 32es de finale de la Coupe de France.
SO
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Marco 69/73 a écrit:

Sarre-Union – Racing le 3 décembre
La rencontre du 8e tour de la Coupe de France, entre l’US Sarre-Union (CFA2) et le Racing a été fixée.
Ce match se disputera le samedi 3 décembre à 14h30 sur le terrain de Sarre-Union. Ce match sera diffusé en direct sur Eurosport.
En jeu, un billet pour les 32es de finale de la Coupe de France.
SO
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Notre dernière défaite et seule défaite d'ailleurs contre S-U, c'était aussi en début décembre (1er décembre 2012).
Mauvais présage?

ils vont quand même pas perdre contre un CFA2.

Les surprises existent en CDF.

C'est sur on l'a vu avec certaines équipes de L2, mais là je n'y crois pas.

Allmen67 MrEnigme a écrit:

Les surprises existent en CDF.

Surtout quand on connaît l'indigence en déplacement des résultats du racing

Sarre-Union – Racing : le groupe
Thierry Laurey a communiqué un groupe de 18 joueurs pour le match du 8e tour de la Coupe de France à Sarre-Union (CFA2), ce samedi (14h30). L’Entraîneur du Racing laisse au repos Ernest Seka mais récupère Abdallah Ndour, de retour de suspension.

Le groupe :
Bonnefoi, Oukidja ; Bahoken, Benkaid, Blayac, Boutaib,  Dos Santos, Gragnic, Grimm, Guillaume, Lienard, Mangane, Marester, Ndour, Ndoye, Nogueira, Saad, Salmier.
Les absents : Solvet (suspendu), Gonçalves, Sacko (blessés), Seka (ménagé), Belahmeur, Caci, Gambetta, Pouye, Schmittheissler, Solvet, Weissbeck (équipe réserve).
SO

Pour éviter la fièvre
Sur une série de deux victoires en championnat, le Racing entend ne pas ruiner sa belle dynamique en Coupe de France, à Sarre-Union. Un match piégeux se profile pour le pensionnaire de Ligue 2 que l’USSU veut contrarier.
Entre un voyage (fructueux) au Havre et l’accueil d’un autre Racing, celui de Lens qui attirera la foule des grands week-ends dans une semaine – plus de 20 000 billets ont d’ores et déjà été vendus pour le prochain choc à la Meinau –, les Strasbourgeois se consacrent à une parenthèse. La Coupe de France, à ce stade juste avant l’entrée des clubs de Ligue 1 en 32e de finale, pour un club de L2, c’est quasiment l’assurance de jouer le rôle du gros gibier.
Les pros du Racing n’ont pas brillé, il y a trois semaines, à Oberlauterbach (0-2), mais ils ont fait le job pour éviter d’être du contingent des six disparus de son championnat enregistrés lors du week-end du 11 novembre. Le verdict a convenu à l’entraîneur du Racing, Thierry Laurey. Le contenu nettement moins puisque le pensionnaire d’Alsace du Nord avait bien enquiquiné Ernest Seka et ses copains.
Tout comme Anthony Caci, l’habituel capitaine ne sera pas de la qualification attendue ou de la surprise invraisemblable puisqu’un souci à la cuisse l’a amené à des examens médicaux hier soir et à se ménager ce week-end. Mais si Gonçalves et Sacko, blessés, ne seront pas non plus de la partie, le Racing apparaît largement armé pour passer l’écueil.

« Une dynamique, […] c’est important de la faire durer »

« On a l’effectif pour mettre quelque chose en place et il est clair que l’on doit être plus performant que lors du tour précédent, quand on avait fait le minimum, souligne l’entraîneur du Racing. On a eu quatre jours, depuis le déplacement au Havre, pour préparer cette rencontre. À nous d’être intelligents pour faire le match attendu. » Au regard de ce que ses protégés ont réalisé depuis deux semaines – une partie solide en Normandie (0-1), une sortie efficace face à Laval (1-0) –, toute autre issue qu’une victoire apparaîtrait comme une faute de goût.
Si le Racing a été l’auteur de quelques ratés, sur la pelouse de l’AC Ajaccio il y a peu, à Orléans en septembre, il semble disposer d’une petite marge. Encore que. L’US Sarre-Union, que le staff technique a notamment supervisé lors de sa victoire du week-end dernier, à l’ASIM (0-3), inspire de la méfiance, voire une forme d’admiration. Et lors du lointain précédent, au stade omnisports, le grand Racing avait mordu la poussière, en CFA, Youssef Oulahri avait fait chuter la statue du commandeur (1-0). C’était il y a quatre ans devant près de 2500 spectateurs.
Depuis, de l’eau a coulé sous les ponts. Trois divisions séparent les deux adversaires du jour mais c’est en terrain hostile qu’il s’agira de construire sa présence au tirage au sort de lundi soir, parmi les 64 derniers candidats au Stade de France.
« J’aime le profil de cette équipe de Sarre-Union, indique ainsi Thierry Laurey. Il y a un trio offensif techniquement intéressant, une défense qui ressort bien les ballons. Mais nous sommes dans une dynamique et c’est important de la faire durer. Si on garde l’état d’esprit de ces dernières semaines, ça devrait passer. Mais il ne suffit pas de se retrouver là-bas pour se qualifier. »
S’il a évidemment dans l’idée d’aligner la meilleure équipe possible, l’entraîneur a gardé 18 joueurs sous pression, un groupe élargi susceptible d’instiller une certaine émulation.
Landry Bonnefoi, l’habituelle doublure, sera dans la cage strasbourgeoise et il ne serait pas étonnant que Khalid Boutaïb, le meilleur buteur, soit invité à souffler sur le banc ou en tribune. L’objectif, dans tous les esprits strasbourgeois, est de gagner pour… écourter les vacances de mi-saison. Le 32e de finale doit mettre un terme à la trêve hivernale, qui commence le 17 décembre au soir, après la venue de Niort, à la Meinau.
Il n’est toutefois pas question de calculer, de se projeter ou d’envisager des congés longue durée aux sports d’hiver. Il n’est pas question de donner à un stade l’occasion de s’enflammer. Au sommet de la hiérarchie régionale, le Racing se doit de mettre à la raison les envies du trublion, de faire souffler le vent glacé de son efficacité.
dna
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Sarre-Union -Racing
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Voilà le onze qui sera au coup d'envoi : Bonnefoi - Dos Santos, Mangane, Salmier, Ndour - Ndoye, Grimm, Nogueira - Gragnic - Blayac, Guillaume.
Sur le banc, on retrouve Oukidja, Bahoken, Boutaïb, Saad, Lienard. Grimm aura le brassard de capitaine.
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Globalement, il faut bien admettre que le Racing déçoit. Sarre-Union est nettement plus mordant et remporte la grande majorité des duels.
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On a du mal à déceler la hiérarchie attendue.
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Sarre-Union et le Racing sont dos-à-dos à mi-course. Les Strasbourgeois notamment sont transparents.
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Mi-temps 0-0
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Si le Racing a monté un brin en intensité, il ne se passe vraiment pas grand-chose sur la pelouse du pensionnaire de CFA2.
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Thierry Laurey procède à son premier changement. Boutaïb remplace Blayac.
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64e Première grosse occasion pour le Racing. Guillaume est à la réception d'un centre au second poteau de Dos Santos. Il reprend du plat du pied gauche, le ballon frôle la lucarne d'Ozcan.
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67e en a failli assister à un énorme coup de théâtre. Au terme d'un rush de Dje, Dos Santos intercepte mais le ballon rebondit sur sa main. Le stade réclame un penalty qui ne s'impose pas mais a déjà été sifflé en pareille circonstance.
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Bahoken remplace Gragnic
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77e But de l'incontournable Boutaïb.0-1
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L'international marocain est à l'affût d'un mouvement, l'un des premiers, construits par les Strasbourgeois. Bahoken a centré, Guillaume a repris du plat du pied, auix 6 mètres. Ozcan s'est détentdu de tout son long pour dévier la tentative sur le poteau. Mais Boutaïb a glissé le ballon dans un trou de souris.
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La rencontre s'achève au petit trot. Le Racing n'insiste pas, l'USSU semble résignée. La logique attendue se dessine mais cela n'a vraiment pas été brillant.
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La rencontre est finie sur la victoire du Racing qui a été médiocre mais a pu s'appuyer sur ses remplaçants, Bahoken et Boutaïb, pour faire la décision.
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Sans Boutaib d'entrée, nous sommes muets.
Que Laurey ne mette pas Blayac d'entrée, ça ne sert à rien, c'est un joker.

Souhaitons que le prochain tour ne sera pas une équipe de L1, car sinon l'aventure s'arrêtera la.

Pas sûr si c'est une équipe de seconde moitié de classement et que l'on joue à domicile.

Avec le racing tu n'es sur de rien.
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La Coupe à cœur
En évitant le piège en Alsace Bossue, le Racing prolonge son aventure en Coupe de France. Son calendrier s’alourdit et les occasions de réjouissances se multiplient.
Sur le coup, ils ont préféré retenir l’essentiel, la qualification, seulement la qualification, même si elle a été arrachée dans la douleur, sur quasiment la seule occasion qu’ils se sont créée.
Après coup, ils ont pu constater que l’aura de leur maillot reste presque intacte. Les enfants de Sarre-Union se sont disputé les équipements des derniers représentants alsaciens en Coupe de France. L’intendant, Guy Feigenbrugel, est parti du stade omnisports un peu en maugréant, les maillots d’entraînement ayant fait le bonheur des têtes blondes d’Alsace Bossue.
La jeunesse peut être indulgente. Car le capitaine Jérémy Grimm et ses copains ne s’étaient pas foulés pour faire triompher la logique, quelques instants plus tôt. Joueurs et dirigeants de l’USSU ont nourri un torrent de frustration.
Qu’à cela ne tienne. C’est bien le Racing qui sera pour la 83e fois au rendez-vous des 32e de finale.

« On n’a pas été top top »

Le mammouth du foot alsacien sait parfois passer par un trou de souris.
« On n’a pas été top top, a admis le capitaine d’un jour, Jérémy Grimm. Il nous a fallu ouvrir le score pour être soulagé. On se retrouve toujours qualifié dans une coupe très intéressante à jouer. On doit en passer par des moments comme ça. On voulait bien faire au début mais Sarre-Union a d’abord fait preuve de plus d’envie. »
La victoire s’est donc dessinée en deux temps. Avant la pause, le Racing a été médiocre, pour rester mesuré. Ensuite, il a su monter (un peu) en intensité.
« Il y avait plein de joueurs formés au Racing en face, qui avaient à cœur de nous battre, considère Yoann Salmier, qui s’impose de plus en plus comme l’homme fort de la défense centrale. Ils se sont donnés à fond et il fallait absolument se mettre à leur niveau pour s’en sortir. On s’est réveillé et on a continué sur notre lancée. Au final, on retient la qualif non ? » Il ne devrait effectivement pas rester des souvenirs impérissables de la rencontre en dehors de son verdict.

Le risque d’indigestion ?

La présence en 32es de finale n’est pas sans conséquence pour un Racing qui devrait récupérer du monde en 2017 – Anthony Gonçalves, Ihsan Sacko –, mais en perdre aussi avec les éventuelles participations de Khalid Boutaïb et d’Abdallah Ndour à la Coupe… d’Afrique des Nations.
Évidemment, le Racing n’affrontera pas l’adversaire désigné par le tirage au sort de ce soir, à la Tour Eiffel, avec l’idée de passer par la fenêtre. Mais le calendrier de la saison ne ressemble pas à une publicité incarnée pour l’épreuve hexagonale à élimination directe.
Ainsi, le mois de février est ponctué de cinq rencontres de L2. Une éventuelle sixième, le 1er février, n’introduirait-elle pas un risque d’indigestion ?
En filigrane, le lourd programme à venir pourrait inciter à s’activer lors du mercato hivernal qui débute le 1er janvier. Les postes de latéraux semblent tout particulièrement exposés, Marester, Dos Santos et Ndour, peut-être absent quelques semaines en raison de la CAN,, se répartissant les rôles sur les flancs défensifs. Même si les décisions ne se prendront pas avant le dernier match de l’année 2016, face à Niort, la cellule recrutement et le staff ont assurément quelques pistes dans le viseur. La direction a, elle, débloqué une enveloppe pour le recrutement.

De jolis rendez-vous à l’horizon

Avant cela, de jolis rendez-vous se profilent à l’horizon. Il y a un choc, face à Lens, samedi, qui devrait remplir la Meinau et qui pourrait donner l’occasion aux Strasbourgeois, s’il est bien négocié, d’épater un peu plus. Après, il sera l’heure de finir le travail. En tout cas, les intéressés ne veulent pas rater les occasions de s’amuser et notamment la première qui se présentera à eux, les 7-8 janvier en Coupe.
« On est content parce qu’on peut continuer l’aventure, dans la joie et la bonne humeur », a conclu Jérémy Grimm avant-hier. Le Racing garde de bonnes raisons de sourire ces temps-ci. Il aurait bien tort de ne pas en profiter.
dna
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L'absence de Boutaib pour raison de CAN est vraiment handicapante, c'est le seul attaquant de pointe efficace actuellement. Les autres sont soit en méforme, soit n'ont pas le niveau de L2 pour jouer d'entrée en tous cas.

C'est vrai pour Boutaib mais si pour x raison il ne serait pas là il faudra aussi faire avec.
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Oui mais ce sera avec des résultats en dents de scie.

Peut-être les autres joueurs se donneront plus.
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C'est embêtant et préjudiciable d'avoir dans son effectif des joueurs participant à la CAN. C'est pas comme à la CDM ou tous les championnats sont arrêtés.

Quand tu vois tous les joueurs Africains en France il ce peut qu'il y des équipes ou le ou les joueurs sont qualifiés pour jouer la Can, naturellement une fierté pour ses joueurs.

Oui Marco, d'où le bricolage pour pallier à leur absence durant la CAN , ce qui porte préjudice au club.

Bon, en attendant, on n'a pas encore mis le prochain adversaire des 3éèmes qui sera Epinal à la Meinau.