Marius a écrit:

'est officiel ! Dimitri Foulquier portera les couleurs du Racing cette saison 🔵⚪️ Le défenseur est prêté une saison par Watford FC ⤵️

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Le Racing Strasbourg Alsace et le Watford Football Club (Premier League anglaise) ont trouvé un accord pour le prêt de Dimitri Foulquier. Joueur du club espagnol du Grenade FC ces quatre dernières saisons, Dimitri Foulquier a signé un contrat de quatre ans en faveur de Watford et portera donc les couleurs alsaciennes cette saison.

Agé de 24 ans (il est né le 23 mars 1993 à Sarcelles, dans la région parisienne), Dimitri Foulquier a passé son enfance en Guadeloupe. Il est repéré à l’âge de 14 ans par le Stade Rennais dont il intègre le Centre de Formation. Le jeune défenseur fait ensuite partie des équipes nationales U18, U19 et U20. C’est avec cette dernière sélection qu’il devient champion du Monde en 2013 après un succès en finale contre l’Uruguay (0-0, 4 tab à 1), à Istanbul, inscrivant le dernier tir au but des tricolores. En fin de saison dernière, Dimitri a porté le brassard de capitaine du Grenade FC.
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Dimitri Foulquier, 10e recrue strasbourgeoise Foulquier, heureux arrivé
Le défenseur latéral a vécu son premier entraînement avec la réserve strasbourgeoise hier. Mais c’est bien au bon souvenir de la Ligue 1 qu’il compte se rappeler.
Dernier arrivé… premier à s’entraîner cette semaine : Dimitri Foulquier a un petit retard à rattraper et le défenseur, a priori la dernière recrue du Racing lors du mercato estival qui s’achève jeudi soir, était sur le pont hier. Sous les yeux de Thierry Laurey mais sous les ordres de François Keller, l’entraîneur de la réserve, qui a intégré un pro à sa bande de gamins.
« Je voulais revenir en France »

Le joueur de 24 ans a suivi toute la préparation à Grenade, dont il est devenu un pilier en Liga depuis quatre ans. « Lors du dernier exercice, j’étais même capitaine », précise-t-il alors qu’il sort d’un exercice à 22 matches en D1 espagnole.

Le Guadeloupéen, qui s’est affranchi dans le sud de l’Espagne – près de 100 matches dans l’élite –, n’a néanmoins pas voulu découvrir la D2 ibérique, la descente ayant sanctionné le parcours des Andalous au printemps. « Je voulais revenir en France, précise celui qui avait fait toutes ses gammes à Rennes, précédemment, qu’il avait rejoint à l’âge de 14 ans. Il faut bien admettre que lorsqu’on ne joue pas le titre à l’étranger, on passe inaperçu. Et pourtant, depuis quatre ans, je suis sûr d’avoir progressé. »

Il désire désormais ardemment le prouver. Sa venue dans l’effectif du Racing a dépendu des soucis rencontrés par Abdallah Ndour. « Cela fait quelque temps qu’on est en contact avec Foulquier, a indiqué Thierry Laurey, l’entraîneur en chef, le long de la main courante hier. Mais on voulait savoir comment cela évoluait avec Abdallah. Il ne sera pas prêt tout de suite (le Sénégalais ne sera pas apte avant un mois au moins après sa fracture de la jambe, ndlr). Et on peut s’appuyer sur cette recrue qui peut jouer à droite, à gauche, un joueur puissant avec une bonne culture tactique. Il risque juste de manquer de rythme. »
Les bons conseils de Mangane

Effectivement, s’il n’est pas en vacances depuis deux mois, loin de là, Dimitri Foulquier n’a pas disputé le moindre match, ni amical, ni officiel, depuis la fin de saison passée.

« L’entraîneur de Grenade a préféré s’appuyer sur ceux sur qui il était sûr de pouvoir s’appuyer et c’est normal, explique le néo-Strasbourgeois. Le président a voulu que je signe à Watford avant d’être prêté en France. Et Strasbourg était le club où il n’y avait aucune complication. J’ai eu d’autres contacts en Ligue 1, mais c’est ici que le président et l’entraîneur ont manifesté leur volonté de me recruter. »

Il s’est renseigné auprès d’une vieille connaissance, connue à Rennes. Le capitaine strasbourgeois Kader Mangane lui a vanté l’air alsacien et le parfum de la Meinau.
« Je me suis exilé, mais je me suis renforcé »

« Ce club revient de l’enfer, il était en CFA 2 il y a six ans alors que beaucoup de clubs ne s’en sortent jamais, apprécie l’ancien international espoirs. Cela veut dire quelque chose. Il y a des dirigeants et un environnement favorables. Et puis d’après ce que j’ai compris, il y a de la ferveur dans le public. Et ça me va bien parce que j’aime être généreux sur un terrain et dans les duels. » Le retour du Racing parmi l’élite peut parfaitement correspondre à l’envie du joueur de renouer le fil avec une Ligue 1 dont il s’est éloigné pour mûrir.

« L’important, c’est d’arriver là-haut à son rythme, sourit-il. Et puisque mes parents sont à nouveau installés en région parisienne, cela va être plus facile de les retrouver régulièrement. »

Dimitri Foulquier a emprunté un chemin de traverse, dans le sud de l’Espagne, pour se forger une carapace et envisager la concurrence à venir à l’ombre de la Meinau puisque Kenny Lala, Abdallah Ndour et lui se disputeront, à terme, les deux postes de latéraux. « À Grenade, je me suis imposé alors qu’il y avait Miguel Lopes, international portugais, souligne-t-il. Je me suis exilé, mais je me suis renforcé. »

Et dans ce Racing qui n’a « pas réussi un mauvais championnat », il est temps de reprendre sa place parmi les promesses de la génération 1993. Il y a quatre ans, les U20 français devenaient champions du monde en Turquie emmenés par Paul Pogba, Kurt Zouma, Florian Thauvin et un certain Dimitri Foulquier, auteur de l’ultime tir au but lors de la finale face à l’Uruguay.
dna

Interview express - Dimitri Foulquier « Gratter quelque chose »
Absent près de quatre mois à cause d’une blessure au quadriceps droit dès son arrivée fin août, puis d’une rechute en octobre, Dimitri Foulquier est, d’une certaine façon, l’une des “recrues” hivernales du Racing. Désormais en pleine possession de ses moyens, l’ancien joueur de Grenade pourrait être titularisé au poste de latéral droit à Marseille.
– Le Racing reste sur deux revers en Ligue 1. A-t-il l’obligation de réagir à Marseille ?

– On aborde ce match comme les autres, avec l’envie de gagner. On sait que ça va être difficile contre une très bonne équipe. Mais on va mettre l’attitude et les ingrédients qu’il faut, en espérant gratter quelque chose.

L’OM est tout de même sur une dynamique impressionnante…

Oui. Il a trouvé son rythme, ses automatismes. Mais dans le football, tout est possible. On le respecte, mais on ne s’avoue pas vaincus pour autant. On va y aller pour se battre.

– Jusqu’ici, Strasbourg a été performant contre les gros à domicile, moins à l’extérieur (défaites 4-0 à Lyon et 3-0 à Monaco) …

– Nous avons l’ambition de prendre des points à l’extérieur, que ce soit contre les gros ou les clubs un peu moins bien classés. À ce niveau, tous les matches sont difficiles. Mais nous savons que nous sommes capables d’accrocher l’OM.

– La défaite de Guingamp et notamment l’entame ratée ont-elles été digérées ?

– Dès vendredi soir. Ce qui est fait est fait. Nous sommes maintenant focalisés sur Marseille pour y faire un bon résultat. Nous allons jouer notre chance à fond.

– Des deux matches de la semaine, celui contre Dijon samedi à la Meinau est-il le plus important ?

– Il n’y a pas de vérité. Le plus important en fait, c’est l’attitude, l’envie de bien faire. C’est ainsi que nous pourrons récolter des points et obtenir notre maintien.
« Je suis déterminé »

– Comment avez-vous vécu votre première partie de saison presque blanche à cause des blessures ?

– Ç’a été très difficile parce que je me sentais impuissant. Mais les bons résultats de l’équipe m’ont aidé à surmonter ça. En début de saison dernière, j’avais connu pareille blessure. Mais c’était différent. J’évoluais dans un club (Grenade) où j’avais passé trois ans et où tout le monde me connaissait.

Au Racing, je n’ai pas eu le temps de jouer que je me suis blessé. Je n’ai pas pu rendre la confiance placée en moi. Aujourd’hui, je suis déterminé, encore plus après ma première partie de saison très compliquée. Je suis maintenant dans l’effectif pour aider le coach et le club à obtenir le maintien. J’espère que c’est vraiment parti pour moi.
dna

« Rennes m’a accueilli »
Absent au match aller à la Meinau (2-1 pour le Racing le 18 novembre), le latéral droit strasbourgeois Dimitri Foulquier, formé à Rennes, retrouvera le Roazhon Park ce dimanche (17h) pour un duel au couteau entre un club breton candidat à l’Europe et un Racing qui bataille pour se sauver.
« Dimitri ? Mais c’est le directeur de Rennes ! » Assis sur les marches de la Meinau, Dimitri Foulquier, le latéral droit du Racing, raconte, en ce mardi midi 1er  mai, ses six années passées sous le maillot rouge et noir lorsque l’autre ancien Rennais du club alsacien, Kader Mangane, passe à côté de lui et se fait un devoir, un plaisir même, de le chambrer.

« Je ne m’imagine pas partir sur une relégation »

“Dim” Foulquier a beau être né à Sarcelles en 1993, avoir vécu de 3 à 14 ans en Guadeloupe, le défenseur du Racing, prêté sans option d’achat par Watford est en effet un pur produit de la formation rennaise.
« Grenade, où j’ai passé quatre saisons (2013-2017) , m’a permis d’éclore (91 matches de Liga). Mais le Stade rennais m’a accueilli quand j’avais 14 ans et permis de passer pro (pour trois ans en décembre 2011, ndlr). Je le remercierai toujours. Ce club a été très important dans ma carrière et ma vie. J’en garde beaucoup de bons souvenirs : les amis qu’on s’y fait, les débuts chez les professionnels. Le directeur du centre de formation, Patrick Rampillon, aujourd’hui retraité, m’a beaucoup aidé, tout comme les coaches Régis Le Bris, Laurent Huard ou Franck Haise. »
Un centre de formation où il côtoie le néo-Stéphanois Yann M’vila ou l’attaquant international algérien du FC Porto Yacine Brahimi. Le 2 octobre 2011, à 18 ans, il dispute à Lille le premier de ses 19 matches de L1 sous la tunique bretonne, avant d’être prêté avec option d’achat à Grenade en 2013-2014.
« Grenade a levé l’option pour 2,5 millions d’euros », rappelle celui qui, entre-temps, est devenu champion du monde U20 avec les Paul Pogba, Kurt Zouma et Florian Thauvin.
À cet instant de la “confession”, Jonas Martin, arrivé lui aussi en Alsace l’été dernier, mais en provenance du Betis Séville, rentre de l’entraînement et apostrophe son latéral dans la langue de Cervantès. Les deux hommes rient de bon cœur.
« Ça nous amuse de parler espagnol parfois dans le vestiaire », sourit un Dimitri Foulquier qui se prépare à retrouver le Roazhon Park, dimanche, pour la première fois depuis son départ en Espagne. Il y croisera quelques anciens partenaires. « Adrien Hunou, Abdoulaye Diallo, que j’ai fréquentés au centre de formation, et Romain Danzé », énumère-t-il, tout en reconnaissant que « Rennes a beaucoup changé ».

La concurrence fait rage

Depuis l’arrivée de Sabri Lamouchi, successeur de Christian Gourcuff, le 8 novembre, le club breton est passé de la 10e à la 6e place. Entreverrait-il enfin un destin continental après lequel il court depuis six ans lorsque “Dim” Foulquier avait joué son seul match européen contre l’Atlético à Madrid, en Europa League ?
« Pour être honnête, je ne sais pas ce qui se passe à Rennes. Je ne pense qu’au maintien avec Strasbourg. On sait que le match de dimanche va être compliqué, mais ni plus ni moins que les autres. Dans l’esprit de beaucoup, le voyage à Amiens semblait plus facile. L’a-t-il été ? Non (échec des Bleus 3-1). En foot, il n’y a pas de vérité. Le plus important, c’est l’attitude que tu mets dans ton match. »
À trois échéances de la fin, la marge du Racing sur la zone rouge n’est plus que de trois points. Chez les latéraux, la concurrence fait de nouveau rage, avec le retour prochain de Kenny Lala après celui d’Abdallah Ndour. Le prêt de Dimitri Foulquier à Strasbourg s’achèvera dans moins de trois semaines. Autant de sujets avec lesquels le Guadeloupéen s’efforce de garder de la distance. Sauf un : le maintien.
« En début de saison, nous avons carrément été dans la zone rouge et avons su en sortir. Aujourd’hui, nous avons toujours notre destin en main. La concurrence ? Je ne me prends pas la tête avec. Peu importe qui joue, l’objectif collectif et individuel est le maintien. »
Il assure ainsi que son devenir ne le hante pas. « J’y penserais peut-être si le club était sauvé. Je ne m’imagine pas repartir d’ici sur une relégation. Le maintien est ma priorité absolue. L’été sera bien assez long pour songer à mon avenir. »
dna

Dimitri Foulquier envisage un retour au Racing
Dans une interview accordée au site internet "Goal", l'ancien joueur du RC Strasbourg, Dimitri Foulquier, avoue avoir encore de très bons contacts avec le Racing Club de Strasbourg et n'exclu pas un retour en Alsace prochainement.

Avez-vous l’impression de ne pas avoir pu vous montrer pleinement à Strasbourg ?

Ce n’est pas qu’une impression. C’est le cas. Je suis arrivé, je me suis blessé. J’ai raté presque toute la première partie de saison. En deuxième partie, j’ai eu du temps de jeu, mais le mal était fait malheureusement. Ça ne vous a pas empêché de jouer 16 matches de Ligue 1 dont 13 en tant que titulaire.

Strasbourg n’a-t-il pas pensé à vous conserver ?

Je n’étais pas prêté avec option d’achat. Du coup, il n’y avait pas vraiment à se demander si Strasbourg allait me conserver ou non. Mais c’est vrai que je garde de très bons contacts avec Strasbourg. J’y ai passé une bonne année, donc tout est possible.
canalracing

 Dimitri Foulquier (Watford) prêté à Getafe
 Prêté la saison passée à Strasbourg, Dimitri Foulquier va vivre le prochain exercice à Getafe.
Watford lâche de nouveau Dimitri Foulquier de manière temporaire pour la saison prochaine. Prêté à Strasbourg l'an passé, le latéral français (13 sélections chez les Espoirs) va effectuer le prochain exercice en Espagne avec Getafe. Formé à Rennes, il a déjà joué à Grenade entre 2013 et 2017.
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